Archive jusqu'au 10/juin/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires Juin 2007: Archive jusqu'au 10/juin/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 08 juin 2007 - 19h36:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le vendredi 08 juin 2007 - 19h22:

Le mystère Cécilia,
par The Independent

NOUVELOBS.COM


"Cherchez la femme: le mystère de l’état du mariage de Sarkozy s’approfondit avec l’absence de sa femme", The Independent (08/06)

Cecilia Sarkozy a disparu prématurément du programme des femmes au sommet G8 hier, semant un vent de spéculation dans les discussions en Allemagne.
Des tentatives initiales de découvrir pourquoi l’épouse de Nicolas Sarkozy avait disparu ont engendré une réaction surprenante des officiels allemands accueillant le sommet d’Heiligendamm. "Nous n'avons aucune idée. Les questions sur ce sujet devraient être adressés à la délégation française," était la réponse laconique.
Quelle que soit la vérité, les officiels français étaient à la peine pour fournir une explication convaincante qui exclut la possibilité d'une autre crise matrimoniale dans le ménage Sarkozy. "Son départ prématuré était prévu depuis des mois- elle a l'anniversaire de sa fille à organiser," était la réponse.
Ils n’ont pas mentionné si Mme. Sarkozy était soulagée de manquer l'événement des femmes d'hier, auquel un homme bien seul a participé : le professeur de chimie, Joachim Sauer, mari du Chancelier Angela Merkel.
Professor Sauer, 58 ans, n’a pas vraiment les faveurs des medias…"

"Les réformes de Sarkozy édulcorées", par Le Temps (Suisse) (07/06)

"L'obsession de Sarkozy est de ne pas jouer "petits bras" en édulcorant ses réformes sous la pression de l'administration, des syndicats ou des instances internationales. Mais une myriade de raisons - juridiques, financières et politiques - le poussent à faire des concessions.[…] Il en est ainsi pour un projet phare du nouveau pouvoir: la défiscalisation des intérêts des emprunts immobiliers, censée encourager l'accès à la propriété. Selon le Figaro, la baisse d'impôt ainsi obtenue serait limitée à 1500 euros par an et par foyer, mais pourrait augmenter en fonction du nombre d'enfants par famille. […]
Un projet prévoyant des peines plus sévères pour les délinquants récidivistes ou mineurs a dû être édulcoré pour respecter la liberté d'appréciation des juges. Une loi sur l'autonomie des universités doit être votée en juillet, mais elle ne prévoit ni sélection accrue, ni hausses des frais d'inscription, deux mesures qui auraient pu susciter de fortes oppositions parmi les étudiants. […]
Au même moment, les premiers déçus des réformes apparaissent. Des patrons jugent insuffisantes les aides qu'ils recevront pour diminuer le coût des heures supplémentaires. Les partenaires européens de la France et le FMI s'inquiètent de l'impact budgétaire des baisses d'impôts et des autres mesures. […]"


"Une belle femme à la fois, s'il-vous-plaît", par The Montreal Gazette (Canada) (06/06)


"Quand Nicolas Sarkozy a été investi dans sa fonction de président de la France, son geste de tendresse envers sa femme fut exposé en première page d'un magazine français : un long baiser, une douce caresse sur la joue. Comme Cécilia Sarkozy a rougi. Comment n'aurait-elle pas pu, une si belle femme dans une robe de satin couleur champagne, à 2.000 dollars chez Prada. (…)

Pauvre Ségolène Royal, relayée aux pages intérieures. Elle perd la course à la présidence. Son concubinage est vraiment, aux dires de tous, en lambeaux. Son parti est sur le point d'être rossé aux élections législatives. Et, pour ajouter l'insulte à la blessure, elle perd sur l'échelle du glamour face à la femme de son rival. Une femme qui n'a pas daigné voter au second tour d'un scrutin crucial, et qui avait reconnu que la perspective de servir la France en tant que Première dame "l'ennuyait à mourir"."


"Les sondages prédisent à Nicolas Sarkozy une grande majorité", par le quotidien espagnol El Pais (05/07)

"A moins d'une semaine du premier tour des élections législatives françaises, tous les sondages promettent une victoire écrasante aux candidats de l'UMP, le parti de Nicolas Sarkozy. L'opposition à l'Assemblée nationale serait réduite à moins d'une centaine de députés socialistes face à plus de 400 élus conservateurs. (…)
Ces présages ont conduit les socialistes –divisés et sans leader clair après la déroute de Ségolène Royal- à articuler une fois encore leur campagne autour de la peur suscitée par les possibles abus de le droite conservatrice. Ségolène Royal veut éviter "une vague qui écraserait l'équilibre de la République". L'ex-ministre de l'Economie Dominique Strauss-Kahn, adversaire de la candidate socialiste, lance, lui, un avertissement contre le risque que l'UMP soit "ultra-majoritaire". (…)
La réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans, conjugué au fait que les élections législatives se déroulent juste après la présidentielle, a configuré un modèle politique bien plus présidentiel que celui imaginé par le fondateur de la Ve République, le général De Gaulle, mais sans les contre-pouvoirs inhérents à ce type de système."


"Les liens confortables entre Sarkozy et la pub", par le magazine américain consacré au marketing et à la publicité, Adweek (04/06)

Malgré la tradition française, la vie privée du nouveau président du pays a été un captivant mélo, d'un de ceux qui ont éclipsé les rebondissements politiques de la campagne. Un détail moins visible, c'est le "ménage à trois" de rivaux de la publicité, qui s'est joué derrière la scène.


Après sa victoire sur Ségolène Royal le 6 mai dernier, Nicolas Sarkozy, en tant que président élu, a pris tout d'abord des vacances de trois jours à Malte, à bord d'un luxueux yacht appartenant à l'un des plus importants actionnaires d'Havas, le milliardaire Vincent Bolloré. Les journalistes français tenaient là un jour faste, relayant les criques de la gauche sur les relations confortables entre Sarkozy et les grandes entreprises. Un dirigeant médiatique aura aimé sans nul doute plus que d'autres cette saga : Alain de Pouzilhac, le patron de France 24 –la version gauloise de CNN– qui fut aussi l'ancien PDG d'Havas, viré il y a deux ans par un coup de Bolloré."


Farc : "Ce que cache la libération de Granda", par le quotidien colombien El Tiempo (03/06)


En cette fin de semaine, beaucoup de regard se fixent sur la grande porte de métal de la prison de La Dorada. Si elle s'ouvre, et si Rodrigo Granda [considéré comme "le ministre des affaires étrangères" des Farc] sort, cela pourrait devenir une image historique : le pas le plus significatif donné durant les dernières cinq années à la recherche de la libération d'Ingrid Betancourt et de otages aux mains des Farc. Mais ce n'est pas si simple que Granda accepte de quitter la prison.Même si l'objectif final de Sarkozy et de Uribe est le même, la libération des otages, la démarche que chacun a choisi de suivre, au moins en principe, n'est pas la même. Uribe, aux dires de certaines sources de la Maison de Nariño (résidence du chef d'Etat), souhaitais démontrer que les Farc ne répondrais pas à ce geste -en libérant des otages- et que la seule chose qui les intéresse c'est le défrichage. Mais celui qui c'est montré plus intéressé par Granda, c'est Sarkozy, il a donc demandé à Uribe qde l'inclure dans la liste de rebelles libérés. Au-delà des plans qu'a le français pour lui, si Granda finit par sortir de prison, il tombe comme un anneau au doigt d'Uribe : le plus célèbre des guérilleros emprisonnés, deviendrait le grand légitimateur de la proposition d'Uribe. Il ne faut pas oublier que Rodrigo Grand a joué la médiation entre la France et les Frac, quand il a été capturé au Vénézuela en décembre 2004. Il convient de rappeler que depuis cette époque, les relations entre Bogota et Paris sont tendues : pour quoi les Français avaient envoyé, apparemment sans autorisation, un émissaire du gouvernement pour parler avec les Farc.


"Sarkozy introduit une vision plus optimiste de la France", par The Financial Times (1/06)

Deux semaines seulement après avoir été élu président, Nicolas Sarkozy surfe sur une vague de popularité extraordinaire, et le bon niveau de l'économie lui offre la possibilité de remporter haut la main les élections législatives et de mettre en place son programme de réformes. (…) Les données économiques publiées cette semaine confirment que M. Sarkozy a pris le pouvoir à un moment particulièrement favorable. La production industrielle a augmenté en mai et les carnets de commandes sont pleins, à en croire l'index de données publié vendredi. La confiance des consommateurs a elle aussi grimpé le mois dernier et le taux de chômage, qui atteignait 10% il y a deux ans, est désormais retombé à 8.2%. (…) M. Sarkozy, ou "Speedy Sarko", comme on l'appelle souvent, a rapidement créé un gouvernement profilé, qui réunit au-delà des partis politiques. Il a entamé des discussions avec les patrons et les dirigeants des syndicats dans le but d'assouplir des lois sur le temps de travail trop rigides. Les sondages estiment que le parti au pouvoir, l'UMP, va très certainement garder sa majorité à l'Assemblée à la suite des deux tours des élections des 10 et 17 juin prochains.

Sarkozy, "rouleau compresseur", par Le Temps (1er/06)

"Cette débauche d'activités est-elle normale? Pour l'entourage de Nicolas Sarkozy, cela ne fait aucun doute: «Avec Chirac, on avait pris l'habitude de se rendormir, estime un proche. Lui, c'est un président moderne. Parler seulement le 14 Juillet et le 31 décembre, ce n'est pas son genre.» Son conseiller Manuel Aeschlimann estime que le rythme endiablé des derniers jours pourrait durer: «Il est capable de tenir ce rythme de fou, puisqu'il est en campagne électorale permanente depuis 2002. Ce sera toujours un président hyperactif.»
En temps ordinaire, tout président français dispose de pouvoirs conséquents que lui attribue la Constitution de la Ve République. Mais cette puissance était jusqu'à présent atténuée par un style distant, qui obligeait le chef de l'Etat à n'apparaître qu'en des occasions choisies et à s'exprimer peu, tout en déléguant la gestion des affaires courantes à son premier ministre. Cette époque est de toute évidence révolue."

"Les Kennedy français", par le quotidien américain New York Times (31/05)

"Pour ses fans, les membres de la famille Sarkozy sont les Kennedy français: le président est sportif, la première dame élégante et habillée avec goût, la ribambelle d'enfant se montre souriante et photogénique.
Mais pour leurs détracteurs, les Sarkozy ressemblent davantage au clan de l'ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi: vulgaires, ostentatoires, possessifs, très nouveaux riches.
Quoi qu'il en soit, l'arrivée de Nicolas Sarkozy au Palais de l'Elysée, il y a deux semaines, a déjà entrainé un changement radical avec ce que les Français appellent la pipolisation de la présidence.
Adieu les vieilles manières des Chirac, tout en formalisme et en discrétion. A leur place est arrivé un président de 52 ans, d'une ambition à nue, au style hyperactif et très proche de quelques une des hommes les plus fortunés de France."

"Royal et Sarkozy remontent sur le ring", par le quotidien belge Le Soir (30/05)

"Comme au bon vieux temps de la présidentielle... Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy sont remontés sur le ring électoral hier soir. La socialiste était aux côtés des éléphants au Zénith de Paris. Le nouveau président, lui, a battu l'estrade lors d'une réunion publique au Havre. Mais qui s'intéresse aux législatives des 10 et 17 juin ? Convaincu que la partie est déjà largement gagnée, le gouvernement a déjà entamé ses grands chantiers. Economie, éducation, justice : les réformes avancent au pas de charge. Avec l'espoir que l'état de grâce permettra de lever les obstacles."

"Speedy Sarkozy", par El Universal, quotidien vénézuélien (29/05)

"Il pourrait être tranquille : cela fait deux semaines, depuis sa victoire sur Ségolène Royal, qu'il a la charge présidentielle. Mais le président français fait honneur à son surnom de "Speedy Sarko", tant sur le plan de la politique intérieure qu'à l'étranger.


En un temps record, Nicolas Sarkozy, 52 ans, s'est occupé des sujets politiques les plus importants. Action et contact sont les marques de ce qui est connu à Paris comme le "super travail" de Sarkozy, c'est-à-dire ses séances de jogging, bavarder avec les citoyens et ses séjours à la résidence présidentielle du Fort de Brégançon. Bien qu'on soit à moins de deux semaines des élections parlementaires, Sarkozy pourrait prendre les choses avec plus de calme, vu que sa victoire le 6 mai dernier augure un bon résultat lors des scrutins des 10 et 17 juin."

"Les trois corps du président Sarkozy", par Le Temps (Suisse) (28/05)

Trois fortes images présidentielles se sont inscrites ces derniers jours dans le paysage politique français: un président en short exécutant son footing quotidien dans le parc de l'Elysée; un président mari, père et beau-père d'une tribu contemporaine de bric et de broc rassemblée par l'amour, le hasard et la nécessité; un président en effigie, debout, en habit à côté du drapeau, sur un fond de bibliothèque dont les livres, dorés à la feuille, sont ornés du lys royal. (…)
Le joggeur est le plus inattendu. (…) Nicolas Sarkozy, en tête des Français mais à l'unisson avec eux, se plie au dur devoir de produire lui-même son corps par le choix d'une bonne conduite. (…) En short, le nouvel élu exprime la liberté des générations soixante-huitardes qui se sont approprié le corps. Mais, contrairement à elles, il choisit d'en afficher les contraintes au lieu des plaisirs (encore que sur le yacht...), le but étant de le faire travailler plus pour gagner plus.
En père de famille recomposée, Nicolas Sarkozy bricole une synthèse personnelle et nouvelle entre le modèle familial classique et le hasard du lien amoureux. (…) La famille présidentielle est la famille française d'aujourd'hui. (…)
Tandis que, devant le drapeau, il est "la France". Il n'est plus une personne mais un personnage, sanglé dans le costume du rôle et entouré des objets qui attestent de la continuité de l'histoire, l'étendard et les livres. (…)"J'aime la France", répète-t-il. S'il l'"épouse", c'est en amoureux, en conquérant. Ce sera en vainqueur si elle se donne vraiment à lui. Ses trois corps, en short, en jeans et en habit, ne font plus qu'un dans ce but.

"Sarkozy : les ajustements à la machine" par El Pais (27/05)

Les premiers gestes de Nicolas Sarkozy, dont celui qui figure de manière explicite (en forme de drapeau) sur la photographie officielle, ont été en faveur de l'Europe. […]
Pourtant, le Sarkozy-candidat avait des idées très arrêtés sur l'Europe. Le refus de l'entrée de la Turquie fut le symbole le plus visible, et aussi le plus problématique du point de vue de Bruxelles [...]


Mais, le pragmatisme et la conviction qu'il est nécessaire d'agir "rapidement pour trouver une solution à la crise institutionnelle en Europe", comme le signale le porte-parole de Sarkozy, Davis Martinon, l'emporte aussi sur thème de la Turquie. La France ne s'opposera pas à ce que l'Union européenne ouvre trois nouveaux chapitres de négociations avec Ankara.

Sarkozy est un président que est encore en train d'"habiter" sa charge, et qui se construit en fonction du chemin. Qui le considérait comme un homme trop idéologisé, un "néoconservateur" avec des convictions, admettra que ses premières mesures –son gouvernement, ses gestes, la mise en scène du pouvoir- tienne beaucoup plus du pragmatisme que de l'idéologie.


"Prétendant au trône", par le quotidien indien The Telegraph (26/05)

Sarkozy a réussi un sacré beau coup. Sous la Constitution de la cinquième république, le président français détient un pouvoir énorme et peut virtuellement diriger le pays comme un monarque. Sarkozy est le premier président d'origine étrangère. Il est aussi partiellement juif, même s'il n'a pas l'intention de le mettre en avant. Quelques jours seulement après sa prise officielle de pouvoir, il a beaucoup de sujets sur lesquels méditer. Le mandat que lui ont confié les citoyens est loin d'être consensuel et des doutes sont déjà apparus quant aux réels pouvoirs dont "Sarko" - comme l'appelle communément la presse française - va disposer.
(…) Quelles sont les options qui s'ouvrent à lui et comment la France va-t-elle réagir à ses initiatives? Pour répondre à ces interrogations, on doit nécessairement se pencher sur la psyché de cet homme et les contraintes liées à son électorat. Avec une base électorale solide composée de personnes âgées et de lobbies financiers, Sarkozy va peut-être être tenté d'adopter une ligne économique proche du système libéral anglo-saxon tant décrié. (…) Sarkozy n'hésite pas à utiliser les jets et yachts privés de ses soutiens, mais il ne va pas pouvoir piétiner les valeurs républicaines et 200 ans d'histoire.

"Entretien téléphonique entre le président tunisien Ben Ali", et le président français, par le quotidien tunisien La Presse (25/05)


Les Présidents Ben Ali et Sarkozy ont évoqué l’avenir de ces relations et les perspectives de leur développement par la prospection de nouveaux créneaux, de manière à renforcer les bases du partenariat stratégique entre les deux pays amis et consolider le climat de compréhension et de respect mutuel, pour atteindre les objectifs de l’action commune et élever la coopération tuniso-française aux plus hauts niveaux.
L’entretien a, d’autre part, permis aux deux Chefs d’Etat d’échanger les vues concernant le développement d’un dialogue fructueux et d’un partenariat agissant entre les rives nord et sud de la Méditerranée, de façon à impulser le processus euroméditerranéen et à faire de cette région un espace de développement solidaire, de sécurité et de paix.
Les Présidents Ben Ali et Sarkozy ont exprimé leur attachement à ce processus pour gagner les enjeux du développement, de la sécurité et de la stabilité, au service des aspirations des peuples de la région.

"Sarkozy appelle à un traité simplifié pour mettre fin à l'impasse européenne", par le quotidien britannique The Guardian (24/05)

"Le Président Nicolas Sarkozy s'est déplacé hier soir pour mettre la France aux commandes de la réforme de l'Europe, appelant à un déblocage rapide de la crise constitutionnelle de l'UE, deux ans après que les électeurs français stoppent la progression de la création d'une charte européenne.
Le premier président français à venir à Bruxelles dans les jours qui suivent son investiture, Nicolas Sarkozy s'est livré à une défense robuste de ses priorités pour l'Europe, signalant clairement un engagement vigoureux après la politique européenne peu reluisante menée par son prédécesseur Jacques Chirac..."

"Le couple présidentiel fascine", par le quotidien allemand le Spiegel (23/05)


"Les flashes crépitaient sans cesse et les cameramen se bousculaient quand la star est descendue sur le tapis rouge. Non, ce n'était Cannes, où les beautés de l'écran comme Angelina Jolie ou Gong Li se retrouvaient pour le festival du cinéma de renommée mondiale. C'était Paris, l'Élysée, pour être précis, et là elle était : la capricieuse et mystérieuse Cécilia Sarkozy, qui commande son deuxième mari, le nouveau président de la France, comme lil l'admet aisément…"

"Hortefeux veut expulser les sans-papiers", par le quotidien algérien Liberté (22/05)

Le ministre français de l'Immigration a annoncé qu'environ 25 000 sans-papiers seraient expulsés cette année. Il a souhaité, non sans cynisme, que cela soit fait avec le respect qui est dû aux personnes, en présence d'associations humanitaires comme la Croix-Rouge et d'autres, qui ne seront pas là pour servir de caution.
La politique de l'immigration sera dictée par la fermeté, a indiqué hier le responsable de ce nouveau ministère français de l'Immigration et de l'Identité nationale, Brice Hortefeux, qui a exclu toute vague de régularisation massive. Le proche du président Sarkozy s’est, par ailleurs, déclaré ravi que le baby boom a repris en France. Ce qui, à ses yeux, justifie les mesures draconiennes préconisées par le programme du nouvel occupant de l’Elysée. (…)
Il faut mettre de côté les régularisations massives, cela ne marche pas et c'est pénalisant, y compris pour les immigrés (!)”, a martelé Brice Hortefeux, précisant qu'il ne demeurera pas sourd et insensible à des situations particulières, notamment la situation des femmes battues. C’est le zest humanitaire de l’immigration à la mode de Sarkozy.


"De l'Elysée au tribunal de Bruxelles ?", par le quotidien belge La Libre Belgique (21/05)

Le nouveau conseiller pour les affaires judiciaires de l'Elysée s'appelle Patrick Ouart. M.Ouart fut en son temps secrétaire général du groupe Suez. Il est, au même titre que Jean-Pierre Hansen, l'ancien administrateur délégué d'Electrabel, passible d'un renvoi devant le tribunal correctionnel de Bruxelles dans le cadre d'un dossier d'espionnage informatique au sein de la filiale belge du groupe Suez. C'est en ce sens, en tout cas, qu'a requis le parquet, en août 2006. La chambre du conseil de Bruxelles se prononcera le 20 novembre.
L'affaire fait quelque bruit en France mais l'intéressé se dit serein alors que l'Elysée ne fait aucun commentaire.
Le dossier fait état d'incitation au hacking, de hacking et d'interception de communications privées. Des préventions d'abus de biens sociaux et de vols avec effraction n'ont pas été retenues par le parquet.
(…)
M. Hansen a toujours fait valoir qu'il avait agi "dans l'intérêt des entreprises et de bonne foi". Il s'agissait, selon lui, de vérifier la fiabilité du système informatique et de contrôler l'ordinateur d'un cadre soupçonné d'avoir divulgué des informations confidentielles.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 08 juin 2007 - 15h11:

Shabbat Shalom 080607

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 08 juin 2007 - 11h36:

Reçu ce jour,,, par mail :

Après vérification, veuillez noter que le message "Honte à l'Angletterre" s'avère être un hoax, mais restons vigilants, il n'y a pas de fumée sans feu....

Suite à la circulation d'un email proclamant que les écoles anglaises n'enseigneraient plus l'histoire de la Shoah, le BBI a reçu du Gouvernement Britannique l'assurance que ceci était faux.

Lors d'une réunion avec les dirigeants du BBI, Alan Charlton, député chef de mission à l'Ambassade anglaise (à Washington) a souligné que l'enseignement de la Shoah était important et faisait bien partie du programme scolaire anglais, qui comprend l'enseignement de la 2ème guerre mondiale.

Charlton a déclaré que le gouvernement a arrêté un programme pour les années scolaires 2006-2008 pour envoyer 2 élèves de chaque école secondaire à Auschwitz-Birkenau.

Les écoles ainsi que les comités directeurs travaillent avec des organisations comme le Anne Frank Trust, le Centre culturel Juif Londonien, et la bibliothèque Wiener à Londres pour des développements ultérieurs de ressources adéquates et de programmes.

Après avoir consulté les dirigeants du BB en Grande-Bretagne, le BBI a été rassuré que les étudiants anglais continueront à apprendre l'histoire de la Shoah, une tragédie de dimension exceptionnelle.



U.K. OFFICIALS ASSURE B’NAI B’RITH THAT THE HOLOCAUST WILL CONTINUE TO BE TAUGHT IN BRITISH SCHOOLS

(Washington, D.C., April 30, 2007)—B’nai B’rith International has issued the following statement:

We welcome the reassurance by the British government that a widely circulated email claiming that schools in the United Kingdom would no longer teach about the Holocaust is untrue.

In a meeting with B’nai B’rith leaders, Alan Charlton, British deputy head of mission at the British embassy, underscored that Holocaust education remains an important, and mandatory, part of the core British school curriculum, which also includes the study of WWII.

Charlton said the government signed onto a program for the 2006-2008 school years to allow two students from each secondary school in the U.K. to travel to Auschwitz-Birkenau as an extension of the core curriculum. Schools and school boards also work with organizations like the Anne Frank Trust, the London Jewish Cultural Centre, and the Wiener Library in London to further develop pertinent resources and curricula.

After consulting with B’nai B’rith leadership in the United Kingdom, we feel confident that school children throughout the U.K. will continue to learn about the Holocaust—an event of unmatched tragic proportions.

B’nai B’rith International, the global voice of the Jewish community, is the oldest and most widely known Jewish humanitarian, human rights, and advocacy organization. Since 1843, BBI has worked for Jewish unity, security, continuity, and tolerance.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le vendredi 08 juin 2007 - 09h15:

Les mêmes hommes en juin 1967 et en 2007

description


L'histoire de ces deux photos

https://www.sixdaywar.co.uk/news_articles-three-soldiers.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jero (Jero) le vendredi 08 juin 2007 - 05h43:

Video du jour sur KIF TV

Serge Gainsbourg - Jane Birkin - Je t'aime moi non plus

Cliquer ici pour jouer la video

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 08 juin 2007 - 00h47:

Barbet Schroeder a filmé un documentaire sur l'avocat des terroristes Jacques Vergès. Celui-ci a commencé par épouser une cliente, Djamila Bouhired, qui le 30/9/1956 a planté une bombe à Alger tuant 17 personnes et déclenchant la guerre d'indépendance en Algérie. Et de 1970 à 1978, il a disparu de France avec comme alibi qu'il était hébergé au Cambodge par son copain d'école le dictateur Pol Pot. En fait il aurait suscité, organisé et coordonné tous les attentats terroristes de la décennie, dont ceux de Munich et d'Entebbe. Jacques Vergès serait le traitre parfait à la solde des despotes et des terroristes.
Le documentaire s'appelle "l'avocat de la terreur"

Albert Soued

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 08 juin 2007 - 00h12:

BE Israël 58 >> 7/06/2007

Ambassade de France en Israel

Politique Scientifique - Relations Internationales

Hommage à Pierre-Gilles de Gennes

https://www.bulletins-electroniques.com/actualites/43132.htm

Le Technion et l'association Technion France rendent hommage à Pierre-Gilles de Gennes. Pierre-Gilles de Gennes, physicien français né en 1932 à Paris, s'est éteint le 18 mai 2007 à Orsay. Ses travaux, qui portaient sur les cristaux et polymères liquides, ont généré de nombreuses études de physique, physico-chimie fondamentale et sciences appliquées.

Pierre-Gilles de Gennes effectuait de fréquents voyages en Israël afin de rencontrer ses collègues du Technion, de l'université de Tel-Aviv ou de l'institut Weizmann. Il avait été récompensé des prix israéliens Harvey du Technion et Wolf avant de recevoir le Prix Nobel de Physique en 1991. De plus il était membre de l'Alliance Général Koenig pour la coopération France-Israël.

Tout le dernier bulletin

https://www.bulletins-electroniques.com/be_israel_058.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le jeudi 07 juin 2007 - 22h36:

Spécial guerre des Six Jours.

« Un numéro des Temps modernes revisité » de Denis Charbit, dans La Règle du jeu

07/06/07 - - : Histoire

Nous reproduisons ci-après, avec l’aimable autorisation de Salomon Malka -coordinateur du dossier « Israël : 40 ans après la guerre des Six Jours », publié par « La Règle du jeu », n°34, mai 2007- l’intégralité de l’étude proposée par Denis Charbit, maître de conférences en sciences politiques à l’Université Ouverte de Tel-Aviv : « Un numéro des Temps modernes revisité. » Denis Charbit se penche avec brio sur le numéro spécial N° 253 bis de 1967 (994 pages) des Temps modernes sur le conflit israélo-arabe. Décryptage.

Marc Knobel

Intégralité du document de 32 pages en PDF : https://www.crif.org/uploads/articles/fichiers/denis_charbit.pdf

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le jeudi 07 juin 2007 - 22h29:

Youssouf Fofana, « Moudjadine forever » (sic)
07/06/07

- - Thème: Antisémitisme

Le Parisien consacre une pleine page à Youssouf Fofana, le chef du « gang des barbares » responsable de l’assassinat d’Ilan Halimi. D’après les experts, le meurtrier présumé « n’est pas fou » et est « accessible à la sanction pénale ». Il devrait être jugé devant une cour d’assises avec ses complices. Les faits qui lui sont reprochés sont d’une extrême gravité, note le quotidien qui cite les chefs d’accusation : « association de malfaiteurs en vue d’enlèvement, détention et séquestration en bande organisée, avec actes de torture et de barbarie » et « meurtre avec préméditation en raison de l’appartenance vraie ou supposée de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Les experts révèlent aussi un antisémitisme obsessionnel. Au cours de ses interrogatoires et à travers de nombreux courriers, il affiche un antisémitisme virulent. « A chaque fois qu’un juif meurt je suis content », lance t-il au juge d’instruction, Baudoin Thouvenot, le 2 mai dernier lors de son dernier interrogatoire. « Les Juifs, c’est des terroristes, regardez Einstein, il a inventé la bombe atomique (…) Chaque dimanche matin, je regarde une émission sur les Juifs et je me dis ‘Purée, ils me dégoûtent, il faudrait tous les mettre dans un coffre de voiture pour les rançonner’ », ajoute t-il.

L’enquête n’étant pas encore achevée, le procès ne devrait pas se tenir avant la fin de l’année 2008.

https://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9044&artyd=5

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le jeudi 07 juin 2007 - 22h21:

Spécial guerre des Six Jours.

Jacques Tarnero : Ma guerre des Six Jours
07/06/07

- - Thème: Histoire

En 1967, J’étais en France depuis une année, étudiant à l’université de Nanterre. Un chantier boueux, ou bien déjà une ruine moderne, cerné par les bidonvilles. Tous les ingrédients du séisme majeur à venir étaient réunis dans ce lieu.

En juin 67 ce qui était pour certains une secrète déchirure devint une plaie ouverte. A Nanterre, beaucoup de leaders étudiants d'extrême gauche étaient juifs, enfants de déportés, de communistes, résistants, FTP, MOI parfois. Dans les groupes trotskistes de la JCR la dominante était très nettement ashkénaze sans que cette appartenance n’ait eu à l’époque une quelconque importance. Quelques blagues juives circulaient mais les identités d’origine avaient peu d’importance par rapport à ce qui les transcendait : faire la Révolution.

Quand brutalement, en mai 67, le colonel Nasser fait monter la tension en interdisant le canal de Suez aux israéliens et en leur fermant le détroit de Tiran, c’est une déclaration de guerre non dite qui fut faite. Le Raïs ne jouissait pas d'un très grand capital de sympathie dans l'hexagone qui avait la mémoire du soutien égyptien au FLN. Au foyer de la cité universitaire je restais collé à la télévision, voir les foules arabes de l'Atlantique au golfe persique, communier dans même désir de destruction de l'Etat juif. Les étudiants arabes affichaient leurs sympathies symétriquement opposées. Beaucoup d’entre eux étaient des copains proches. On se mit à se regarder avec méfiance et hostilité. Le manichéisme simplificateur des gauchistes faisait de la cause arabe la cause juste tandis qu'Israël était supposé être dans le mauvais camp, du côté impérialiste. Cependant les passions n’avaient pas atteint le paroxysme haineux des années 2000. Israël jouissait encore de son statut d’Etat menacé et les palestiniens ne s’étaient pas encore installés en héritiers des vietnamiens ou des algériens. Les vociférations d’Ahmed Choukeïri appelant à « jeter les juifs à la mer » ou les paroles des chansons d’Oum Kalsoum, « égorge, égorge, égorge », ne forçaient pas la sympathie pour la cause arabe.

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Le mardi 26 juin 2007
De 21 h à 2 h du matin

La Baraka

La Tunisie des années de folie, de la fête, celle de la Baraka, renaît à Paris

Dans l'un des endroits parisiens les plus tendances du moment, toutes les générations se retrouvent enfin pour fêter l'esprit Baraka

AU QIN
20, rue Quentin Bauchart - 75008 Paris
Pour LA soirée de l'année

OPEN BAR

Animation
Francky Perez (Radio communauté)

Humour
Max Boublil - Steven Bensimon

Spectacle
ATMA

Avec la participation d’autres artistes…

P.A.F : 40 E

En raison des places limitées, envoyez dès que possible votre règlement par chèque libellé à l’ordre de LALU et adressé à :
Francine Disegni - 2, av. des marronniers - 94120 Fontenay-sous-Bois - (0610305970)

Evénement parrainé par harissa.com

Remerciements : BOUKHA BOKOBSA

Patrick Kessis, Jacky Moati, Joel Bellity, Sonia Assous, Solange Maizil, Nani Boublil,
Et l’Association des anciens élèves du lycée Carnot de Tunis