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DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...

Envoyé par albert 
Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...*
04 juin 2012, 13:50
Les faits qui vont être relatés sont vrais.

Je les tiens de la bouche même de ‘rabbin’ marié ayant à charge quatre enfants, deux jeunes filles et deux adolescents.

C’est alors que nous étions attablés dans un café sur la promenade du Kikar, qu’il se laisse aller à des confidences assez surprenantes.
‘…Tu vois Albert… !’ Qu’il me dit en présence de son fils et de sa femme alors qu’il ingurgite sa 3 iéme bière, un verre assez grand ‘…Ma femme veut coucher avec des hommes… !’ Il en rit alors que sa femme que je connais depuis son plus jeune âge, baisse la tête par la honte. Je lui réplique que je n’apprécie pas du tout ce genre de propos en ma présence. Il se tait à sa quatrième bière.

Il a fait de l’achon ara en notre présence le religieux barbu.
Son fils de 22 ans lui demande une bière qu’à cela ne tienne, il prend le quart de son verre et lui verse quatre doigts de bière. Le fils boit et après cinq minutes en redemande encore, idem quatre doigts de bière dans son verre.

Alors que nous parlions de tout et de rien, sa femme s’adressant à lui, lui dit qu’elle a faim. Elle veut une pizza. Qu’à cela ne tienne, il tire de sa poche 100 shekels et lui dit en hébreu en présence de ma femme qui comprend la langue ‘…Et surtout rapporte moi 50 Shekels ‘…Sil elle lui rapportait que 40 une querelle s’en suivrait à coup sur. L’épouse de lève avec ma femme qui décide de l’accompagner.

Une demi-heure plus tard, elles reviennent et l’épouse lui tend les 50 shekels. Un sourire illumine son visage. Ma femme me rapportera plus tard que devant l’avarice de ce mari adorateur de bières, elle a payé la pizza de l’épouse en lui recommandant surtout ‘…Garde les 50 shekels pour toi et donne lui le reste. Donc la femme à prit les 50 shekels.

Mais ce qui est plus grave c’est que le CHER MONSIEUR, nous confie que sa fille à 16 ans, elle tombe amoureuses d’un homme de 36 ans. Le père s’en offusque et essaye de raisonner sa fille. Celle là est si entichée de l’homme qu’elle n’entend et ne voir rien. De guerre lasse, le papa décide d’aller à la rencontre de l’individu. Il lui remet les idées en place.

‘…Si tu continues à fréquenter ma fille, je porte plainte pour détournements de mineurs, ca va te couter 10 ans de tôle si…..tu ne me donnes pas 5 000 Schekels soit 1000 € … !’
Non seulement ACHON ARA mais en plus tahan le rabbin barbu.
Et depuis, la fille continue à sortir avec le pervers.


Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....*
04 juin 2012, 21:57
Bebert chalom,
Le lachon ara, (mauvaise langue) n'est pas seulement de raconter des fausses verites, mais aussi de COLPORTER des verites.
Raconter des verites sur le web est pire que "colporter",c'est du lachon ara.
Notre monde aujourdh'ui n'est vraiment pas tres beau, alors que faire? et bien, peut etre qu'en racontant les bonnes actions qui ne manquent surtout pas chez nous, on adoucira la situation, et on attirera la clemence d'Achem.
Je t'invite a venir voir au bet-habbad de Nes-Tsiona le resto du coeur ou des personnes viennent se restaurer gratuitement tout les jours, et recevoir les vendredis les repas a emporter pour le chabbat.
Ce n'est certainement pas la longueur de la barbe,ni la couleur de la kipa qui font d'une personne un "haief Rabbi".
Rabi ma'ak ya hkouya.
Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....*
05 juin 2012, 13:46
MNIH...TOUBA OU BRAKHA. LOL.
Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....*
05 juin 2012, 13:46
REFUS SUICIDAIRE.

Certains récits, certaines histoires viennent à moi comme les fleuves se jettent à la mer.

Je ne les cherche pas. Non, elles me parviennent souvent par des amis, par ma femme aussi.

Et voilà ce qu’elle me raconte ce soir alors que mes dents craquent une feuille de brik à l’œuf.

‘…J’ai rencontré hier soir….. !’



Dédé et son frère Ben sont inséparables bien que nos jumeaux, ils se sont retrouvés d’année en année sur les mêmes bancs de classe, jusqu’au jour où l’après bac les sépare durant qqs années.

Ces années qu’ils trouvent longues et interminables. L’un devient docteur et l’autre pharmacien.

Le hasard encore fait qu’une fois leurs études terminées, ils se mettent à leur compte. Là encore heureux hasard, la pharmacie de l’un est juste en face du cabinet de l’autre.

Les voilà donc réunis pour déjeuner et sortir ensemble pour se distraire.

Ils ont un an de différence mais lorsqu’on les voit, les passants les prennent pour des jumeaux. Ils en rigolent. La vie de célibataire ne va durer trop longtemps pour l’un. A 30 ans l’âge l’égal pour Dédé convoler en justes noces sonne à sa porte. Deux clientes se présentent donc à sa pharmacie. Deux sœurs assez jolies qui entrent pour se faire servir, du moins pour l’une d’entre elle. Ariane, que je nomme. Dédé tombe sous le charme de cette jeune fille et tout en la servant, dialogue un instant avec elle. Les deux jeunes sœurs rient de ce que leur raconte le pharmacien.

Dédé assez entreprenant propose aux deux jeunes filles de se rencontrer dans un café en compagnie de son frère. Ariane hésite mais promet de le rappeler. Un rappel qui ne va pas tarder à ce faire.

Les deux adultes et les deux sœurs, se rencontrent autour d’un pot sur la terrasse d’une grande brasserie à Paris.

Bref, de fil en aiguille, les rencontres se font de plus en plus fréquentes et les cœurs se mettent à l’unisson. Les deux frères et les deux sœurs s’amourachent. Dédé sans hésiter propose à Ariane le mariage après un an de fréquentation.

Le mariage de Dédé et Ariane est célébré.

Trois mois plus tard, c’est au tour du frère de demander la main de l’autre sœur. Sophie.

Sophie toute heureuse consent. Ses parents sont d’accord. Dédé est super heureux d’avoir comme beau frère, son frère.

Mais la famille des garçons grincent des dents et font dire à leur fils Ben..

‘…Il n’est pas question que tu te marries avec cette fille…On ne veut pas de deux belles filles d’une même famille… !’

Ben ressent cela comme une affliction et parlemente avec ses parents des jours et des jours. Son frère défend la cause de l’autre. Mais rien n’y fait. Les parents refusent catégoriquement en invoquent les mêmes motifs.

Ben prend sur lui et ne veut en rien abandonner sa dulcinée. Il en pleure devant son frère. 6 mois ainsi. Six mois de relance et six mois de refus.

Vers les 18 heures d’un certain mois de l’année. Les parents du dernier fils célibataire sont assis dans leur salon à voir la télé lorsque le téléphone sonne.

Au bout du fil, une voix neutre qui leur annonce ceci…

‘…Madame……………………………….. !’

‘…Oui…… !’

‘…Nous venons de repêcher votre fils dans la Seine… !’

Ben s’est suicidé à cause d’un refus, celui de convoler en justes noces, tout simplement.


Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....*
07 juin 2012, 11:36
DE HENRI.

Bebert chalom,
Le lachon ara, (mauvaise langue) n'est pas seulement de raconter des fausses verites, mais aussi de COLPORTER des verites.
Raconter des verites sur le web est pire que "colporter",c'est du lachon ara.

Notre monde aujourdh'ui n'est vraiment pas tres beau, alors que faire? et bien, peut etre qu'en racontant les bonnes actions qui ne manquent surtout pas chez nous, on adoucira la situation, et on attirera la clemence d'Achem.
Je t'invite a venir voir au bet-habbad de Nes-Tsiona le resto du coeur ou des personnes viennent se restaurer gratuitement tout les jours, et recevoir les vendredis les repas a emporter pour le chabbat.
Ce n'est certainement pas la longueur de la barbe,ni la couleur de la kipa qui font d'une personne un "haief Rabbi".
Rabi ma'ak ya hkouya.

Mon cher Henri,

Donc rapporter des vérités est de l'achon ara pour toi.
L'Achon ara c'est médire sur qq'un. Mentir sur lui, tout faire pour le noircir auprés des gens.

Mais rapporter des vérités entendues par la bouche de son auteur c'est aussi de l'Achon ara...? Mais alors que font les journalistes, les écrivains etc....Lorsqu'ils rapportent des faits exacts pour nous informer ou pour un écrivain raconter un faits divers etc...Ils font donc tous de l'achon ara...?

Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....CHOUFF PAULETTE...*
10 juin 2012, 10:38

PAULETTE.
PAR BREITOU FLEMARION.

Paulette est une amie presque d’enfance de ma femme. Et aussi une amie perdue de vue. Nous la rencontrons à l’abri du soleil sous un parasol sur la plage de Nataniya.

Elle fait partie d’une grande tribu tunisoise qui ne compte pas moins de 250 membres tous affiliés à la grande bouffe. Chaque membre accusant sur la balance pas moins de 150 kgs de viande. Autant les filles que les hommes. Devenues épouses et mamies aujourd’hui, le poids à suivi. Aucune balance digne de ce nom ne peut les supporter.
Donc, nous voilà assis en compagnie de Paulette. D’une épaisseur et d’un volume à vous donner le vomi et le vertige.

Des plantes de pieds bien larges supportant une paire de jambes poilues aussi grosse que les colonnes d’Hercule garnies de graisse. A hauteur des hanches, deux grands airbags sur les cotés latéraux. Lorsque nous l’avons vu rentrer sur la plage, elle peinait à avancer. Ces airbags tout en chair molle freinaient sa marche. Elle a mit 15 minutes pour faire 10 mètres et venir se jeter sur le transat tout en sueur tout en pouffant d’un ‘…AhHHHHHHHH ya rabi… !’ De soulagement.

J’ai horreur des grosses femmes qui se laissent aller dans la difformité.

Son visage bien mouchette la faisait ressembler à une grenade épluchée dont les grains rouges/ bruns, décor naturel, lui donnaient l’aspect d’un bombaloni ( chichi) percé sur lequel sont venus se greffer des petites pierres d’ombre. Hmoum ou brad.

Qu’à cela ne tienne, un profil monstrueux, une vue de face horribilus et vu par derrière, infamante nature qui donne à ses formes les disgracieuses rondeurs d’une bassine à linge cabossées made in La Goulette.

L’ensemble pour le moins étonnant et surprenant mais qu’importe ne connait pas de complexe. Pour couronner le tout un maillot à une pièce couleur noir qui m’a semblait avoir reconnu à l’époque goulettoise. Soit 30 ans depuis. Tout effiloché, laissant apparaitre des brins d’élastique.

Bien avant qu’elle n’arrive vers nous, je décortiquais sa démarche. Une démarche qui ne ressemblait en rien à une personne sortie d’une peinture de l’ ARTBOUSIER mais plutôt à de l’ARTOBESIEN. Picasso en aurait fait son modèle, la peindre en fermant les yeux, tant tout se confondait. Sans être trop méchant, j’ai cru voir Guernica remis en ordre.

Seule éloge en sa faveur, Paulette est drôle. Lorsqu’elle sourit, l’interstice d’entre ses gencives permet à l’air marin de circuler librement dans son palais. Et ainsi son gosier ne manquant pas de fraicheur marine n’a point besoin d’être hydraté. Tout est bien ventilé dans son for intérieur.

Lorsque j’ai vu de biais les fesses de Paulette, allongée, j’ai eu l’impression de contempler une montgolfière avachie sur la toile prête à prendre son envol dans le cas où un gaz impétueux et pervers viendrait prendre sa source à la sortie du mont de son cul.
J’ai prié pour que cela ne le soit pas, dans le cas contraire, j’aurai fait les frais, pour la première fois de ma vie, d’un survol de la crique, accroché à ses airbags.

D ieu merci, il n’en fut rien. J’avais pris mes précautions, alourdir mes jambes par trois gros lest de de sable pesant chacun 100 kgs, accrochés à mes chevilles afin d’éviter une envolée sournoise.
Il y a des situations merdiques dans la vie qu’il faut prévoir.
Une fois assise et son couffin de victuailles mis au frais, sous la petite tablette blanche, voilà qu’elle demande à son mari Hector, un mou fabriqué avec de la guimauve franco-tunisienne, s’il veut bien..
‘…Hector chéri, veux tu me passer de la crème solaire sur le dos… ?’
‘…Oui, ma poule adorée et comment… !’


A Suivre…

Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...
10 juin 2012, 11:50
Suite de PAULETTE.


Elle tire de son sac, un grand bidon d’huile solaire L’Oréal, fabriqué spécialement à son intention par la fabrique sur commande tout frais d’envoi payés.

Il le pose entre ses genoux alors que sa poule adorée s’étale de toute sa beauté sur le transat. Elle présente son dos. Son mari appuie sur le bec du bidon et dépose trois grosses giclées d’huile. Un peu comme le ferait un marchand de beignets qui verse son bidon d’huile dans son large récipient.

Le dos de la poule doit mesurer 50 cm sur 50 soit 250 cm2 de surface moucheté de grains de beauté aussi épais que le sont mes cors aux pieds. Et vas y qu’il commence à masser sous les gloussements de sa dulcinée qui émet de temps à autre un ‘…Oui, j’aime… !’ ‘Plus bas… ! Qu’elle lui ordonne. ‘…Ah comme c’est bon… !’ Le mari transpire met continue son massage avec bcp de soin. Et de crainte. Une demi heure plus tard, le dos de notre belle star est huileux, si huileux qu’une planche à voile glisserait sur cet affreux plan.

‘…Tu veux chérie aussi que je te passe la crème sur les jambes….?’ La guimauve.
‘…E’li bdé liltou i cemela…. !’ (Celui qui a passé une belle nuit qu’il la continue…!’)
Il reverse encore trois grandes bonnes mesures d’huile à bronzer sur ses grosses cuisses et fesses dont les plis ‘vagueux ‘ donnent le vertige.

Et là, le voilà reparti pour ce qui restera dans ma vie le plus grand des massages vu sur une plage. Couvrir 500 cm2 de peau crevassée n’est pas une sinécure mais le mari semble apprécier ce va et vient discontinu qui donne à son OBESITE MAJESTUEUSE une grande satisfaction.

Une heure à l’huiler. Enfin, elle se retourne et la même opération reprend sauf que, la surface de réparation est moins grande au vu du maillot à une pièce. Lorsque je me suis mis debout, j’ai eu l’impression de voir, vu de haut, deux très grosses concombres bien cirées, brillantes, dégoulinantes, RUTHY-LANTES prêtes à fendre les vagues de la mer avec par-dessus son mari, tout en équilibre, heureux d’avoir mis trois heures pour graisser l’obèse.

Arrive l’heure du déjeuner. Là mes amis, j’ai encore eu le sentiment de voir un traiteur garnir une table de convives de 100 personnes.
Il a fallu accoler une autre table à la première pour poser dix petits plats d’assortiments de salades de toutes sortes et trois gros contenants en alu. Dans l’un, un poulet frit, dans l’autre une bonne dose de pommes de terres cuites, quant au dernier, quatre belles tranches de gigot coupé en lamelles et baignant dans une sauce aux câpres. Elle nous invite à la curée mais au vu de tout cela, nous nous confondîmes, ma femme et moi, en excuses et en désolation.

En une heure tout était fini. Ramassé et mit dans un sac poubelle, la poule se transforma en CHAPON en moins de 60 minutes chrono. Un temps record digne de figurer dans le GUINESSE ET FACE BOOK.

Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...
10 juin 2012, 23:11
Le "lachon ara" ou medisance c'est colporter les ( vraies) mauvaises nouvelles.
"Leotsi chem ra" ou calomnier c'est raconter des fausses verites,ce qui est bien plus grave.
Les journalistes "rapportent ou colportent" des verites, mais font bien attention de ne pas calomnier,car ceci est puni par la loi.
Dans la derniere paracha, Myriam la soeur ainee de Moche Rabenou avait dit du lachon ara sur son frere au sujet de sa femme Tsipora, et pour cela elle a ete puni. Elle n'avait pourtant rien dit de faux, elle avait seulement "rapporte" des faits reels, car Moche c'etait separe de sa femme.
Cette semaine c'est la paracha des explorateurs qui n'ont fait pourtant que "raporter" des verites sur Erets-Israel, et pour cela Achem les a severement punis de 40 ans d'errance dans le desert.
Yom tov lecoulam.
Yom tov.
Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...
11 juin 2012, 00:35
Bebert,
50cm sur 50 cm cela fait 2500 cm2 !!!!
Ce qui compte c'est que ton recit est tres vivant, on est presque a la plage avec toi,continu a nous faire kiffer a te lire.
Yom tov.
Re: DESESPERADES WIVES...II....HAMID....ELIE OU L'INSTANT PRECIS....PAULETTE...
11 juin 2012, 04:18
Les cakes de ma mere (la mere de celui qui a ecrit ce message) pas moi!

. כַּעְכַּהּ-ביחיד ) מפעם לפעם.
זכור לי ערב אחד במיוחד כאשר היא הכינה את הכעכים. היה זה לאחר יום ארוך וקשה בעבודה שלה והכעכים שהיא הכינה נשכחו ונשרפו מעט.
באותו ערב, הניחה אימא שלי מול אבא שלי צלחת ובה הכעכים שנשרפו לה באפייה ולצידה כוס תה.
אני זוכר את עצמי מחכה לראות אם מישהו שם לב!
נראה לי שאבא שלי לא שם לב לכעכים השרופים, הוא חייך אל אימא שלי, הפנה מבטו אליי ושאל אותי איך היה היום שלי בבית הספר. אני לא זוכר מה אמרתי לו באותו ערב, אבל אני זוכר ששמעתי כיצד אימא שלי מתנצלת בפני אבא שלי על שריפת הכעכים.
לעולם לא אשכח מה הוא ענה לה:" יַה בְּנַיַיה יַה חַבִּיבְּתִּי, יִעְגִ'בְּנֵי אַל כַּעְכְּ אַל מַחְרוּק...( אישה יקרה , אני אוהב כעכים שרופים...)".
בלילה מאוחר, כאשר הלכתי לתת לאבא נשיקת "לילה טוב", שאלתי אותו אם הוא באמת אוהב כעכים שרופים.
הוא עטף אותי בזרועותיו ואמר: "על אימא שלך עבר יום ארוך וקשה בעבודה והיא באמת עייפה מאוד, וחוץ מזה ... כעך שרוף מעולם לא הזיק לאף אחד! אתה יודע, החיים מלאים דברים לא מושלמים ...האנשים חושבים שהם מושלמים..."
"אני לא הכי טוב בכל דבר כמעט, ובמשך השנים שמתי לב לזה שהיא לומדת לקבל את כל הפגמים שלי ובוחרת לשים לב לכל התכונות הטובות שלי. מציאת הקו המחבר בין ההבדלים שבינינו, הוא אחד המפתחות החשובים ביותר ליצירת אווירה בריאה הולכת וגדלה, ועל יחסים ארוכי טווח."
"אז ...תעביר לי בבקשה כעך אחד וכן, זה השרוף בסדר גמור! "
החיים קצרים מדי מכדי להתעסק ב"חַרטות" ...
אהוב את האנשים המתייחסים אליך בחיוב ושכח את אלה שלא.
תיהנו מהחיים עכשיו וזכרו: יש תאריך תפוגה!
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