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***** SALLE POUPEE*****GUET****

Envoyé par breitou 
***** SALLE POUPEE*****GUET****
17 février 2008, 05:35
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'...GUET..!'

Récit en 30 Chapitres.


Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
30 mars 2008, 11:08
Paris le 6.02.2008.

Récit.

GUET

Le Guet est une autorisation dans le droit religieux juif qui permet à une femme divorcée de s’affranchir de son mari lors d’une séparation.

Cette formalité est nécessaire pour une femme divorcée pour retrouver sa liberté et pouvoir ainsi par la suite se remarier.

Sans ce document, elle ne pourra pas prétendre épouser un autre juif.

Il arrive dans certains cas, par méchanceté et par pic etc...Que le mari laisse traîner les choses et ne daigne pas accorder ce Guet malgré les pressions d’amis intimes, du rabbin ou d’autres personnes influentes et proches de l’époux.

Tous les événements et les noms cités dans cette nouvelle ne sont que pure imagination et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Hélène malgré les conseils et les pressions de toutes sortes de ses parents a fini par épouser Clément, un joueur de cartes, invétéré.

Clément Ayoun, beau garçon à 28 ans, était connu pour son vice, un poker-man professionnel Charmeur et surtout généreux lorsqu’il remportait une grosse mise, il levait non seulement les plis avec un rictus aux coins des lèvres mais aussi de très jolies filles et même des femmes mariées.

Il était grand flambeur, courtois en apparence, toujours bien mis dans ses costumes bien taillés. Une fine moustache agrémentait son beau visage. La gomina (crème capillaire assez épaisse) maintenait sa coiffure ondulée et lui donnait l’apparence d’un grand homme lorsqu’il franchissait le casino du Belvédère.
Un lieu très prisé par les fanatiques ‘aristocratiques’ d’une époque révolue.

Les tables de roulettes et autres jeux de hasard n’avaient aucun secret pour lui.
Aucun cercle de jeux ne lui était inconnu. On l’appelait Clém’s Casino’. Un sobriquet qui ont dit long sur ces fréquentations de ces lieux de la dépouille.

La rumeur disait qu’il s’était accoquinait avec certains croupiers pour ne jamais perdre. Mais ‘l’on dit’ n’a jamais été prouvé dans ce milieu où tout un chacun surveille l’autre.

On s’étonnait surtout par sa chance insolente qui attisait certaines rancoeurs au point qu’il fut un soir pris à partie, lors d’un rami poker, par un quatuor ivre qui jurait par tous ses dieux au poste de police qu’il trafiquait les cartes. Or, il n’en était rien. Il était joueur à risques pas plus.
Clément aimait jouer et jamais il ne fut pris à défaut. Il était honnête dans la manipulation des cartes surtout solvable.

A Suivre.

Re: ***** SALLE POUPEE *****GUET****
06 avril 2008, 10:51


Clément Ayoun n’avait aucun métier, seule sa passion des jeux, l’aidait à vivre confortablement.
Son papa Georges l’était aussi. Ce dernier a transmis le gêne du vice à son fils, ce fils qui le suivait déjà dans les tripos clandestins, siciliens ou autres installés dans des lieux tenus secrets.
La famille était connue pour son comportement bas et vulgaire.

Il pouvait rester trois à quatre jours et nuits d’affilés à jouer une partie de poker qui ne trouvait pas de fin.
Les règles étaient imposées d’avance sauf si le grand perdant demandait à se retirer après avoir été mis ‘à nu’. L’heure d’arrêt était fixée d’avance sauf cas de force majeure.

Ce qui était rare.

Quatre ou cinq personnes, toujours les mêmes participaient à ces joutes où la bière le whisky et divers sodas coulaient presque à flots et où les cigares et la cigarette empestaient l’air au point que les visages grisés s’effaçaient sous ces brumes tabagiques et ses odeurs éthyliques.

Une cagnotte était prélevée ‘ mel oust el midé’ (la part des victuailles).

Un ‘croupion’ payé, soit à la soirée soit à la durée de la partie par la bande, avait pour tache de ‘nourrir’ la smala. Il était l’employé de service. Toujours le même.
En générale, un homme célibataire, entre deux âges, chômeur de luxe qui gagnait son ‘pain’ par cette fonction destinée aux fainéants en tout genre.

Parfois, un homo bien jeune offrait ses services à ces vicieux du cul, chacun à son tour, passant de dame carte à monsieur le valet sans oublier la reine et le roi.
La morale chez eux était ignorée. Elle l’était déjà à l’école communale lorsque pendant les récréations, certains d’entre eux, squattait les WC et se branlaient en tafardant la jeune maîtresse de surveillance debout dans la cour. Parfois, un jeune écolier surpris dans une positon naturelle au moment où il soulageait sa vessie ou son trop plein de matière fécale.

Ils ignoraient tout des bonnes valeurs morales.
Peu instruits, l’école les a rejetés autrefois pour indiscipline ou attouchements sur mineurs pendant les cours. Des gosses élevés dans la rue, flirtant avec la voyouterie et les petites combines connues de leurs paires. Ni foi ni loi.

Plus tard, D ieu carte devenait leur icône et sans elle, pas de salut.

A suivre...

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
15 avril 2008, 12:39


Les fesses viriles n’étaient pas la ‘came’ de Clem qui aimait trop le sexe féminin pour s’adonner à ces mi temps qui tournaient par moment, lorsque la partie devenait insoutenable, a des orgies entre ‘hommes’. Il préférait dans ces cas là, s’allonger sur le divan à toutes fins utiles plutôt que d’assouvir un flanc d’homme, de ‘donner’ ce que les autres donnent à ce Touati de père musulman et de mère juive qui moyennait ses charmes.

Tout reprenait son cours, lorsque les ‘trois ou quatre hommes joueurs’ sortaient satisfais et heureux de la chambre, après avoir sodomisé leur employé de service, bien heureux d’avoir joint l’utile à l’agréable.

Hélène Guetta, première secrétaire de direction dans une usine de métallurgie installée du coté de Mégrine, est une jeune fille de bonne famille, bien comme il faut, la vingtaine, en âge de se marier d’après les dires des parents, se trouve un midi, abordée par notre beau Clément.
Dans le wagon du TGM. Celui de 12 Heures 12.
L’homme comme je l’ai dit plus haut, ne manque pas de charme et de bagout.
Hélène, timide et surtout vierge de tous soupçons, lui accorde la parole.
Ils parlent de tout et de rien durant le court trajet. 20 minutes.
Quelques échanges anodins qui tirent de l’ennui la jeune fille.
Mais qui ne la laissent indifférentes sur son charme.
Les éloges de ce cher Clément, sur sa beauté la font rougir. Hélène était belle en effet.
Dans son quartier, les voisins l’ont surnommée ‘ Madouna’ (La Madonne, en référence à la Sainte Madone de Trapani qui loge dans l’église de la Goulette, rue St Cypriano, le quartier sicilien).

Raymond Guetta le papa, rabbin de son état et bien connu par la populace juive, maltaise et musulmane goulettoise, s’offusquait par cette appellation et interdisait à quiconque, que sa fille soit comparée a ce qui est pour lui ASSOUR.
(Défendu). Il aurait préfère un surnom biblique un surnom plus en rapport avec sa beauté, comme Rachel,Sarah ou Esther.

A Suivre.

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
08 mai 2008, 09:39


Cette première comparaison le mettait en colère. L’entourage, par respect s’interdisait donc de prononcer ce qualificatif de ‘Madouna’. Il en parlait quand même derrière son dos.
Car ils ne connaissaient pas du tout la beauté biblique de Rachel de Sarah ou de Esther. Mais la ‘Madouna’ oui, il la connaissait très bien pour l’avoir souvent vue sortir à la fête du 15 Août.

Clément de son coté n’est pas resté insensible aux charmes dégagés par cette jeune fille qui semblait appréciait sa compagnie. L’homme sait faire rire les femmes.

Il lui raconte durant le parcours qu’il est directeur d’une imprimerie. Une tromperie pour se valoriser.
Ce qui évidemment est faux. Elle le crût, comme toute belle jeune colombe, naïve et ne connaissant rien aux embrouilles des hommes et du joueur de poker.

Clément pour la seconde fois, croise encore Hélène, le lendemain sur le quai de la gare Goulette Neuve. On pourrait parler de hasard mais non, il l’attendait et il feint la surprise.

Hélène ne semble pas déçue par cette nouvelle rencontre qu’elle pense fortuite dans son esprit.

Il l’invite en première classe.
Elle ne dit pas non.

‘...Nous serons plus tranquilles... !’

En effet, la première classe est réservée aux gens bien. Du moins tant que le supplément est payé. Là aussi, ils parlent de tout et de rien.

A Suivre...

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
01 juillet 2008, 03:36
5°.

Hélène parle de ses activités, de ses futurs projets après l’obtention du Baccalauréat tandis que l’autre s’invente une histoire avec maints détails. De ses responsabilités au sein de l’imprimerie. Des employés sous sa direction bref avec beaucoup de son imagination fertile.
Hélène est pleine d’admiration devant ce directeur qui travaille dur.
Pas un mot bien sur, sur son vrai métier.

Hélène le surlendemain est toujours debout à la même heure sur le quai de la gare.
Elle semble attendre son nouvel ami et confident.
Elle laisse passer son train habituel alors que l’autre est caché par loin de la gare. A surveiller la réaction de la jeune fille.
Il conclu assez rapidement que son stratagème a réussi. Si Hélène a raté son train, c’est pour le rencontrer. Clément sort de sa cachette et feint la surprise en la voyant assise à attendre le TGM. Celui de 12 heures 17.

‘...Tu as raté ton train à ce que je vois... ???
‘...Oui, j’ai eu un contre temps... !’

Clément découvre que la jeune fille a menti.

Toute la semaine Hélène et Clément se voient en première classe.
Le mois passe ainsi.
Hélène est heureuse par ce Clément qui lui cache la vérité sur sa situation.
Elle le trouve à présent fort sympathique.
Une lueur de bonheur se lit sur son visage toutes les fois qu’elle le voit arriver et partager un bout de voie de chemin de fer.

Pour la première fois de sa vie, Hélène ressent un étrange sentiment inconnu à ce jour.
L’amour est entré dans son cœur comme une goutte miel.
Clément succombe aussi.
Ils sont très amoureux mais leur amour est un amour à la cache cache.
Il ne doit pas être vu, dévoilé ni découvert par les yeux de la populace avide de faits divers. C’est la pitance journalière de toute cette faune goulettoise qui s’épie pour mieux récolter les graines de l’Achon Ara( médisance) plus tard au cas où... ! Comme on disait là bas, il y a longtemps, ‘Il lemou el khandaq (Il collectionne la boue) pour mieux se l’étaler lors d’un accrochage minime entre voisins de bons quartiers.

Scandales et ragots.

A Suivre...

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
26 juillet 2008, 13:59


Les goulettois sont friands de cancans.
Dans une ville aussi étroite, les rumeurs vont bon train.Les rues et ruelles, avenues sont de la partie. Elles se parent des bonnes infos. De chuchotements, de regards appuyés envers la victime ou le coupable. El chouya oul yar (le scandale et la médisance) sont la devise de certaines familles vulgaires plus enclins à semer la discorde que la bonne retenue et l’entente.

Les amis de Clément se doutaient bien que ce dernier avait changé et les petites rencontres furtives et quotidiennes dans le wagon ne sont pas restées inaperçus à leurs yeux mesquins de voyeurs. D’autant plus que le joueur professionnel n’est pas un garçon à se faire piéger par une idylle. Sa concentration au jeu s’effrita. Un signe avant coureur qui fait dire à l’un d’entre eux...

‘...Tu dois être amoureux Clem’s.... !’ Dit sur un ton goguenard.

Il le reconnaît en baissant les yeux.

La nouvelle ne tarda pas à venir aux oreilles de la famille Guetta.
Le rabbin prit très mal la chose.
Il voulait en avoir le cœur net.

‘...Hélène ma fille, on me rapporte que tu fréquentes un voyou... ! Un joueur de cartes qui passe son temps dans les tripos... ! Est-ce vrai... ?’
‘...D’abord, Clément est directeur de presse et ne joue pas comme le disent les méchantes langues d’autre part, nous nous aimons... !’

Le rabbin senti ses jambes défaillir sous, ce qu’il estime être une effronterie.
Il se sent mal et s’affale sur le divan.
Hélène prend peur et aide son papa à se redresser tandis que M’Tira sa femme, rentrant du marché, trouve son mari étendu, le visage pâle.
Le papa du bout des lèvres annonce la situation.
M’Tira plus calme, essaye de raisonner son mari qui semble retrouver ses esprits.
Elle lui fait une bonne tisane chaude et lui masse les pieds tout en évitant de soulever le souci.

A Suivre.

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
19 juillet 2009, 11:24
7°.

‘...On en reparlera plus tard, Hélène.... ! Va dans ta chambre, je dois m’occuper de ton père... !’

Le plus tard arriva le soir alors que le papa se rendait à la syna pour son arbit.


‘...Ce Clément, dont tu sembles être amoureuse, au point de mal répondre à ton papa,
Tu le connais si bien pour être aussi sure de toi ...???’
‘...Oui, maman, assez je pense et il est merveilleux... ! Généreux et très attentionné... !’
‘...Il n’a pas de métier et toute la Goulette le connaît comme étant un vaurien, un type louche
un homme qui gagne sa vie aux cartes. Son papa l’est déjà et tout cela te laisse indifférente... ?’
‘...Nous parlons mariage et rien ne viendra s’opposer à cela... !’
‘...Ce n’est pas le gros lot que tu tire là, mais un va-nu-pieds, incapable de nourrir une poule.
Sa réputation est déjà faite depuis sa naissance et tu veux nous imposer ce genre de gendre... !
Tu mérites beaucoup mieux que cela... ! S’il t’aimait vraiment pourquoi ne t’a t’il pas dit la vérité sur ces vices... ?
‘..Je n’ai pas soulevé le problème et puis il est capable d’assumer... !’
‘...Je te croyais assez intelligente pour deviner ce qui se lit dans les yeux des gens mais à tu es ensorcelée par un tribun qui te bride les yeux... ! Ton père n’acceptera jamais cette union et tu seras la cause de son chagrin... !’
‘...Je fréquente un juif maman, pas un goy... ! Et nous parlons de futurs projets... !’
‘...Tu parles de mariage comme si cela n’était qu’une formalité assez simple à tes yeux sans te rendre compte du grand gâchis qui t’attends et nous attends... ! Tu es devenue folle ma fille... !’

A Suivre.

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
19 juillet 2009, 11:27


La discussion s’arrête au moment où Papa Raymond rentre à la maison et sans rien dire va dans sa chambre.

‘...Tu vois, comme il est devenu, depuis trois heures, ton père... ! Tu le déçois au point qu’il serait capable de s’allonger et de ne plus se relever... !’

Hélène est ailleurs. Elle n’écoute pas. Elle ne voit rien, elle pense à son Clément.

Durant des jours et des jours M’Tira, en bonne mère, déploie avec calme des efforts pour ramener sa fille à la raison. Mais en vain.

Clément inconnu aux offices religieux de la semaine, se voit subitement fréquenter la choule, comme par miracle, présidée par le rabbin Raymond qui voit ce RACHA violait son lieu saint en toute impunité. Mais contre mauvaise fortune, il fait bon cœur en l’ignorant. Il juge que le Clément le nargue par sa présence devant ses ouailles.

Il n’en parle pas à sa femme, une fois rentré chez lui.

Quant à sa fille, il l’évite. Montrant ainsi un certain mépris pour le choix qu’elle fait.

Hélène toujours assidue aux rendez-vous, ne se cache plus à présent.
Elle est toujours de plus en plus accro à son male.

‘...Tu m’avais dis que tu étais directeur de ta boite or... !’
‘...Il n’en ai rien. J’ai menti par procuration.Je suis un joueur de cartes depuis ma bar mitsvat et je n’ai jamais manqué de rien ? bien au contraire, j’ai un solide compte bancaire et je peux assumer notre mariage avec ou sans le consentement de tes parents... ! Si tu le veux... !
Je compte même abandonner cette profession pour gagner dignement ma vie... !Nous serons heureux.. !’
‘...Mais tu ne sais rien faire à part cela... !’
‘...J’ai un petit diplôme de comptabilité... !’
‘...Petit c est déjà bien, au moins tu rapporteras un petit salaire... !’
‘...Je bouclerais mes fins de mois avec... !’
‘...Avec les cartes... ! Et ma petite paye... !’
‘...L’important est d’être heureux non... ?’
‘...Si tu le dis... ! On ne crèvera pas de faim au moins... !’
‘...Si tu ne veux pas, on pourra aller en France, j’ai un oncle très riche à Paris et je pourrais travailler chez lui dans sa bonneterie... !’ Encore un mensonge.
‘...Oui bien sur... !’

Bref, les histoires les plus courtes sont les plus simples.

A Suivre...

Re: ***** SALLE POUPEE*****GUET****
19 juillet 2009, 11:32


Un an plus tard, le mariage a lieu avec beaucoup de grincements de dents. Sans grandes pompes. Une simple formalité.
La mariée était belle et le marié.....Aussi.
La Simha n’y était pas.


Raymond s’y résigna mais changea du tout en tout son comportement. Gh’bina, grand chagrin. Comme s’il portait le fardeau de la honte sur ces épaules. Une honte qu’il bravait toute les fois qu’il sermonnait ses fidèles présents jours de yom tov.
Lui qui est si jovial, de bonne humeur, narrant de belles histoires juives lors des matinées sabbatiques sur la teba qui lui attiraient des Hazaq de ses fidèles amis, est devenu renfrogné, taciturne, triste presque amer devant ses eux.
Tout le monde comprenait sa détresse et sa mélancolie. On respectait son état de papa et rabbin malheureux comme un chien.

Le jeune couple Ayoun s’installe de l’autre coté du canal. Dans un modeste appartement donnant sur la canal de la Goulette ;
A Kherredine. Autant dire que Clément préféra mettre un étroit couloir d’eau entre sa nouvelle famille et ses beaux-parents.
Une frontière naturelle. Un pont.
Hélène et son mari Clément sont heureux.

Pas la famille Guetta.

Les débuts se passent très bien.

Clément malgré sa promesse de trouver un travail honnête se cantonne dans son farniente.
Malgré les harcèlements de sa femme. Il fait la sourde oreille.
Jouant de plus bel en compagnie de ses affreux jojos.
Laissant sa jeune femme passer des moitiés de nuit seule et souvent des nuits entières.
Il rentre au matin alors que sa femme se prépare à aller à son travail.
Lorsque cette dernière rentre de son boulot l’autre claque la porte , sans rien dire, pour remplir ses devoirs de bon père de famille, aller gagner son ‘pain’ à la sueur de ses doigts de tordu.
Un soir, il gagne un soir, il laisse sa chemise.

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