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*****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFF/SYLVIE TOURE...ON A KID/ M. LA COMTESSE...LE GRAND PETRUS...LE VOL DU CANARI...'...CoUCOUUU ...! C'EST CLAIRE...!LES IMPONDERABLES...MARGOT LA CHATELAINE ...UNE MAMAN EXCEPTI..LE TALC....!'

Envoyé par albert 
Vous avez tout juste, j'attends bien sur l'avis de Madame Carlita et surtout de mes actrices.

Scarlett, y'a plus que cela dés fois.

Si tu crois que cela n'existe pas alors tu te trompes.
Tu es bien loin de certaines histoires encore plus 'tragiques'.

En fait, si l'amour rend aveugle, il y a des mamans pour qui l'amour pour leurs enfants devient obsessionnel presque aveugle et presque 'charnelle'. Et c'est là la gravité.
Et le drame qui se joue dans certaines familles.
Monsieur Breitou, j'avais lu un jour
un livre terrible ayant pour titre "la folie des mères".
Vous avez réussi à décrire une facette de cette folie.
Ne pas prendre le mot "folie" au sens premier bien sur,
quoique certains comportements maternels sont allés jusqu'au passage à l'acte.
C'est un sujet bien complexe. On en reparlera...


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cher albert, je confirme que certaines meres comme celles de ton recit existent, il suffit de lire les faits divers dans les journeaux ou aux infos pour y croire, je dois continuer a lire le 3 emme acte et je te repondrais mieux demain. toi continue bravo.

titrite tbarkellah pour ton hebreu.
Monsieur breitou, c'est un rôle de composition pour moi ...... car je suis à l'opposé du personnage de Juliette.......mais ça existe malheureusement ce genre de personne ...... merci de m'avoir embauchée pour ce rôle .... et merci pour l'énorme cachet que vous m'avez octroyé !!!! hot smiley
Vous avez beaucoup de talent ........ j'espère que j'en ai également en tant qu'actrice !!!hot smiley

Pièces jointes:
fanfina bis.gif
-Fanfina faites en bon usage surtout de votre cachet.
Bien sur que ce n'est qu'un rôle de composition.
Et vous avez du talent.

-Je n'en doute pas MADAME CARLITA. C'est une 'folie inconsciente'.
Je vous remercie pour vos éloges car ailleurs les vautours planent et les hyènes affamés n'ont plus rien à se mettre sous la dent.
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MONTAGE MADAME CARLITA.






AU THEATRE CE SOIR……..


Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 2/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.


LE TALC.


Acte I . Scène I.

Les principaux protagonistes.

Dans les rôles de….

Monsieur Chambéry……..Richissime propriétaire d’un Château….Albert
Mr et Madame Jacques Chauvin…..Monsieur et Madame Mamili.
Mr et Madame Germain Blanchard…Monsieur et Madame MaYté.
Mr et Madame Henri Collard……Monsieur et Madame Carlita.
Mr et Madame Gilbert Lahénnèc….Monsieur et Madame Nanouche.
Mr et Madame Roland Bottier………Monsieur et Madame Braham.
Mr et Madame Charles Louvin………Monsieur et Madame Tawfic.
Mr et Madame André Poussin……..Monsieur et Madame Jacquie.
Mr et Madame René Souchon…….Monsieur et Madame Fanfina.
La veuve Chartrain Henriette………Philanthrope……Kouka.
L’infirmière Irma Melle Annette Bouchetrou….Suzanne.
La domestique Madame Gyslaine Souline. …FATOUMA.
Le commissaire Boulakia…….Lui même.
Son collègue Gilbert…………Lui tout seul
.




Le théâtre est transformé en une grande salle décoré de tentures, de plusieurs fauteuils, le salon donne sur le grand domaine du Châtelain. Un grand escalier monte au premier étage. Le style des meubles est de style empire. Une grande moquette, des portraits familiaux sont accrochés aux murs. On y voit aussi des peintures de grands peintres. Une grande cheminée de marbre est dans un coin du salon..

L’intrigue.

Monsieur Chambéry invite chez lui de vieilles connaissances et cela afin de donner suite à un projet qui lui tient à cœur. Fonder une FONDATION pour les enfants handicapés, bien après la seconde guerre mondiale. Il envoie plusieurs invitations à quelques familles connues et bien établies dans la région. Son Château DE LARIBOISIERE est encastré dans un grand domaine où les ceps de vigne courent dans les collines avoisinantes, à perte de vue. Il est aussi producteur de vin, un vin célèbre d’appellation DOMAINE DE MR DE CHAMBERY.

Ses invités arrivent par couple, certains se sont désistés et finalement c’est neuf couples qui se retrouvent logés depuis quatre jours dans cet immense château médiéval. On y discute des statuts de la fondation et surtout de la désignation du président et autres assesseurs. Tout va pour le mieux quand vers les six heures du matin, du cinquième jour, on retrouve La Veuve CHARTRAIN au bas de l’escalier, inerte. La domestique de service, alerte Monsieur le Châtelain qui immédiatement appelle les services des urgences. La police est sur les lieux alors que tout le monde dort. L’inspecteur Boulakia, de la crim de Paris est sur place et donne ses instructions.

‘…Et surtout ne prévenez personne du drame… ! Gilbert, écoutes met nos hommes partout et surtout qu’ils relèvent tous les indices possibles, je dis bien tout et que rien ne soir laissé au hasard. … !

‘…Monsieur Chambéry, vos invités ont ils des téléphones dans leur chambre…. ?’
‘…Oui… !’
‘…Ok, Gilbert faites en sorte de les prévenir de ne pas sortir de leur chambre et surtout ne dites rien afin de ne pas les paniquer, je vais les convoquer afin que tu relèves leurs déclarations sur place, dans leur chambre. Ensuite, je les convoquerai un à un quand tout sera fait … !’
‘…Ok chef…. !’
‘….Ah Richard, vous me donnerez aussi, le compte rendu du médecin légiste quand il aura fait les constatations d’usage, afin de savoir de quoi est décédée madame Chartrain. … !

Puis…

‘…Attendez un peu messieurs les brancardiers, je dois vérifier quelque chose… !’

L’inspecteur découvre le visage de la morte et tout en l’examinant avec précaution remarque que sa main droite est saupoudrée d’une poudre blanche… !

‘…Gilbert, on dirait du talc , non… ?’
‘…Oui, et l’odeur s’y prête.. !’
‘…Ok, tout ça au labo…. !’

L’inspecteur monte les escaliers et vérifie la rampe des escaliers…

‘…Monsieur Chambéry, est- ce que madame Chartrain est venue toute seule… ?’
‘…Non, elle est accompagnée par son infirmière Mlle Irma… !’
‘…Elle couche seule ou avec … !’
‘…Elle est dans la chambre du fond du corridor dans le premier étage.. ! Madame Chartrain est diabétique et souffre aussi du cœur, elle a besoin d’une assistance quotidienne… ! Quel accident malheureux, elle a du glisser ou trébucher, avec son pied bot, elle a du rater une marche… !’
‘…Est ce que la lumière était allumée… ? Vous n’avez touché à rien n’est ce pas… ?’
‘…Oh que non , inspecteur, rien du tout… !’
‘…j’ai besoin de vous, pour faire une visite des lieux… !’

Monsieur Chambéry fait monter l’inspecteur au premier étage… !’

‘…Ici, c’est sa chambre, en face c’est monsieur et madame Collard, à côté Louvin, ici Souchon, en face, celle de l’infirmière, par ici Chauvin, Blanchard, Souchon, Lahénnèc… Madame Chartrain..En bas juste en dessous de madame Chartrain, Mr Poussin.. !’
‘…Et cette porte là…. ?’
‘…Elle donne sur l’escaliers de service… !’
‘…Elle est ouverte… ?’
‘…Oui, nous pouvons descendre… ! Nous tombons sur la grande dalle du jardin.. !’

A suivre…



AU THÉÂTRE CE SOIR……..






Paris le 2/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.






Résumé de la scène précédente. Madame Veuve Chartrain est assassiné dans la grand salon de Mr Chambéry, un riche châtelain. Ce dernier a réunit huit connaissances afin de fonder une association caritative. L’inspecteur Boulakia et son collègue Gilbert sont sur l’enquête. Les investigations ont commencé.


Récit policier.

Paris le 2/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.



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MONTAGE MICHKA.




LE TALC.

Acte I. Scène II.


L’inspecteur ouvre la porte et remarque des traces de pas de terre…

‘…Ces bout de terre, y était il hier… ?’
‘…Ah non, madame Gyslaine, ma domestique est une femme maniaque, elle nettoie tous les jours… !

L’inspecteur…Appelle Gilbert…

‘…Gilbert, as tu remarqué ça … ?’
‘…C’est déjà prélevé chef… !’

‘…Monsieur Chambéry, cette porte est donc toujours ouverte alors… !’
‘…Oui, nous n’avons jamais été cambriolés et en plus, j’ai des gardes avec les chiens au quatre coins de mon domaine avec télésurveillance… !’
‘…J’ai déjà remarqué ça, vous en avez même dans les escaliers, mais il faut avoir l’œil adroit pour les remarquer…. !’ Mais si vous ne craignez personne pourquoi tant de précaution alors… !’
‘…De nos jours, inspecteur, on n’ait jamais à l’abri d’un vol, j’ai des œuvres d’art qui me sont chers… !’
‘…Je vois, vous avez sans doute raison…. ! Bon …. ! Gilbert, je suis dans le jardin… ?’
‘…Ok, chef, je vais téléphoner à ces messieurs pour les informer de ce qui s’est passe.. !’
‘…Oui, soit précis et note tout…. ! Est ce que le services anthropométriques a fait les relèves de tous les détails, porte, poignets etc….Surtout le tapis d’en haut, là où à semble t’il trébucher madame Chartrain… ?’
‘…Tout a été relevé chef…. ! Ici dans mes notes, nous attendons les rapports d’expertise.. !’
‘…Bien , t’es un as…. !’

Gilbert après la levée du corps de madame Chartrain, commence son travail. Il met au courant les invités qui sont tous choques par la mort’ accidentelle’ de la bonne dame et veuve madame Chartrain.

‘…L’inspecteur aura besoin de vous dans deux heures dans la grand salon… !’

La domestique madame est debout près de l’inspecteur Boulakia…

‘…Dites moi madame Gyslaine, c’est vous qui avez alerté votre maître, je crois en premier lieu… ?’
‘…Oui, monsieur l’inspecteur… ! Je me lève toujours assez tôt depuis que monsieur mon maître a reçu ses invités, d’habitude je me lève vers les 8 heures mais là… !’
‘…Je comprends, vous dormez où…. ?’
‘…Ma chambre est dans le jardin, Monsieur Chambéry, l’a fait construire un joli cabanon… !’
‘…Dites moi avez touché à la rampe, je veux dire, nettoyer la rampe hier… ?’
‘…Tous les matins, je commence par là… !’
‘…Donc ce matin, elle était nettoyé depuis la veille… ,’
‘…Oui, exactement… !’
‘…Merci, je vous laisse à vos occupations… !’

Gilbert..

‘…A quoi penses tu Boulak… ?’
‘…A un assassinat…. !’
‘…Comment ça un assassinat, comment es tu arriver à cette conclusion… !’
‘…Viens, voir…. !’

L’inspecteur donne sa thèse…

‘…Oh ça alors, mais qui pouvait donc en vouloir à cette femme handicapé… ?’
‘…Nous sommes là pour ça … ! Non… ! Elucider le mystère… ! Bon, tu les as informés… ?’
‘…Oui, rendez vous dans une heure dans le grand salon… !’
‘…Demande à Madame Gyslaine de nous faire couler…… !’
‘…Un bain ?????’
‘…Non un café noir bien serré, la journée va être longue… ! Ecoute, téléphone à Robert et demande lui de me tirer tout ce qu’il peut trouver sur ces gens…. ! Ok…. ?’
‘…C’est déjà fait aussi… !’
‘….Décidément, tu deviens plus fort que moi… !’

Il est 11 onze du matin, tous les invités sont dans le grand salon…Assis dans des fauteuils par couple…

A suivre…

AU THÉÂTRE CE SOIR……..

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MONTAGE MICHKA.



Paris le 2/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.





AU THÉÂTRE CE SOIR……..


LE TALC.

Acte I. Scène III.

Résumé des scènes précédentes.

Madame Veuve Chartrain est assassiné dans la grand salon de Mr Chambéry, un riche châtelain. Ce dernier a réunit huit connaissances afin de fonder une association caritative. L’inspecteur Boulakia et son collègue Gilbert sont sur l’enquête. Les investigations ont commencé. Les premiers interrogatoires préliminaires sont assez vagues. Des traces de terre sont relevées sur l’escalier de service.

Boulakia…

‘…Mesdames, Messieurs, bonjour, voilà, mon collègue Gilbert vous a mis au courant de l’incident qui s’est produit ce matin, Madame Chartrain a été retrouvée morte au bas des escaliers que vous voyez là…

Monsieur Souchon….’

‘…Quelle tristesse, un malheureux accident, avec son pied et sa démarche lente, plus sa canne, elle a du glisser… !’
‘…Non, c’est ce qu’on pourrait croire, mais ce n’est pas un accident, c’est un meurtre… !’

Toute la smala…

‘..OOOOOOOOOOOOOhhhh…. ! Un meurtre… ?’

Tout le monde se regarde…

‘…Donc il vous est impossible de quitter les lieux jusqu’à la fin de l’enquête qui prendra deux ou trois jours, mes services ont relevé quelques faits troublants qui demandent un approfondissement sérieux, si par hasard, en plus de vos déclaration que j’ai sous les mains, il y un fait que vous avez oublie de signaler, il est temps que vous le fassiez auprès de mon collègue Gilbert.. ! Je vais vous laissez déjeuner et nous nous retrouverons vers les 16 heures , ici même… ! Vous comprenez que vous êtes tous suspectés… !’

Monsieur Collard…


‘…Inspecteur, nous dormions ma femme et moi… !’
‘…Monsieur Collard, soyez patients, j'interroge, nous nous y attelons mes collégues et moi à découvrir qui est l’assassin… ! Merci.. !’

L’inspecteur, reçoit les premières analyses...C’est bien du talc qui était dans la main droite de Madame Chartrain, morte d’une fracture de la tête suite à sa chute.

‘…Tiens tiens… ! Gilbert lis ça…. !’
‘…Alors c ‘est époustouflant… ! Mais ça ne me dis rien… !’
‘…Nous verrons, je ne peux pas me prononcer, bon lisons à présent le curriculum vitae de tous ces gens…. !’

Un demi- heure, plus tard…

‘…Fort intéressant, ils connaissaient tous la veuve a ce que je vois… ! Je vais éplucher aussi son journal intime… !’ Appelle moi son infirmière….Mlle Irma… !’

Mlle Irma est convoquée…

‘…Mlle, votre patronne avait t elle l’habitude de se lever pendant la nuit… ?’
‘…Oui, malgré l’interdiction de son médecin personnel, qui lui interdisait de croquer des friandises, à cause de son diabète et de son fort taux de cholestérol, elle rusait pour se lever pendant mes absences pour satisfaire sa gourmandise… !’
‘…Mais pourquoi se talquait elle la main droite… ?’
‘…Pour ne pas glisser quand elle attrape la rampe, c’est une précaution , un peu comme les gymnases qui s’accrochent aux barres asymétriques, d’ailleurs l’idée lui ai venue de là… !Madame Chartrain transpire énormément de la main…. !’
‘…Ah, je comprends, en effet, une idée géniale… ! Mais pourquoi la main droite seulement… ?’
‘…Ne vous a t’on pas dis que madame Chartrain….Portait une prothèse….De l’avant bras… On a dû lui amputer, il y cinq ans de cela, la main gauche suite à une infection….Son diabète…!’
‘…Comment… ! Attendez…. ! GilberRRTTTTTTTTTTTTTTT…. ! Viens, dis moi tu ne m’as pas dis que …. !’
‘…C’est écrit ici, chef…. ! En bas de la page… ! Regardez, et lisez…. !’
‘…Oh zut alors…. ! Excusez moi Mlle cela m’a échappé, continuez donc ce soir là… !’
‘…Ce soir, je lui donnais ses médicaments anti-coagulants, et elle s’est couchée vers les 23 heures après avoir lu quelques pages de son bouquin, comme elle le fait tous les soirs… ! Ensuite, j’ai éteint la lumière et j’ai regagné ma chambre… ! Avant de partir, elle me disait ‘….Ils ne m’aiment pas… !’
‘…Elle parlait de ces invités… ?’
‘…Sans doute, elle s’était accrochée avec quelques uns d’entre eux, rien de bien grave mais des mots se sont dits… ! Assez virulents… !Cependant, elle m’avouait que ‘ Son père…était un collaborateur à la solde des nazis….’ Je lui demandais de qui elle voulait parler mais là, elle s’est tut en disant ‘…Je lui ai fait payer… !’ Voilà…’
‘…Tiens, fort intéressant, on se croirait dans un roman d’Agatha Christie, les dix petits nègres… !’
‘…Vous pensez que c’est une vengeance…. ? Inspecteur… ?’
‘…Merci Mlle Irma… !’

Il est 16 heures quand la belle compagnie attend l’inspecteur…

Gilbert, leur annonce un report ‘ d’audience..’

‘…Il doit recouper quelques détails et ensuite il viendra vous voir, mais demain matin, après l’ heure du lunch…En attendant, vous avez quartier libre… !’

Monsieur Louvin…

‘…C’est ce qu’on appelle faire durer le suspense monsieur …Comment déjà… ?’
‘…Gilbert… !’
‘…Gilbert… ! Nous avons autre chose… !’
‘…Oui sans doute, mais vous semblez ne pas comprendre la gravité des faits, Monsieur Louvin, il s’agit d’un crime pas d’une partie de billard où d’échecs… ! Et si vous vous montrez si pressé peut être que vous serez mieux entendu chez nous, au poste pour 48 heures, alors que là vous êtes dans un château, en pleine campagne… ! Alors voulez vous voir notre jardin d’hiver au 48 Quai des Orfèvres… C’est à deux heures d’ici…Dans notre fourgon blindé et menotté…?’
‘…Non, je préfère cet air de la campagne comme vous le dites si bien avec petits déjeuners copieux…
‘…Enfin, vous devenez compréhensif.. !’

L’inspecteur ne perd de temps, il relit les dépositions de tous ces suspects.

A suivre...
Paris le 2/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit




AU THÉÂTRE CE SOIR.



Résumé des scènes précédentes.

Madame Veuve Chartrain est assassiné dans la grand salon de Mr Chambéry, un riche châtelain. Ce dernier a réunit huit connaissances afin de fonder une association caritative. L’inspecteur Boulakia et son collègue Gilbert sont sur l’enquête. Les investigations ont commencé. Les premiers interrogatoires préliminaires sont assez vagues. Des traces de terre sont relevées sur l’escalier de service. Tous les ôtes vont être entendus.



LE TALC.
Inédit.

Acte I. Scène IV.




Dix heures du matin..

‘…Gilbert… ! Tout est ok… ! Tu peux leur dire de venir ici… !’

Un quart d’heure plus tard..

‘…Mesdames, Messieurs, excusez moi de vous avoir fait retarder…Pour la bonne cause…Voilà je m’adresse tout d’abord à vous Monsieur Chauvin, vous avez omis de me dire que vous avez eu une petite conversation franche avec Madame Chartrain… ?
‘..Oh rien de bien grave qui ne méritait pas de lui donner une importance.. !’
‘…Tout est important et cette omission n’est pas à votre honneur…Avant hier soir, vous avez frappè à la porte de feu Madame Chartrain pour lui signifier qu’elle faisait trop de bruit avec sa canne quand elle allait au toilettes…Elle vous a traité de ‘ Parvenu sans grande envergure’…Suite à ce vous lui avez dit auparavant…’ Ici, ce n’est pas un endroit pour vous, il ne fallait pas venir, l’hosto vous aurez mieux convenu…. ! C’est écrit sur son journal intime du…….A 1 heures 30… ! Sa remarque vous a blessé d’autant plus que votre femme a souri en vous disant ‘….Elle a bien raison de traiter de parvenu… ! Tu l’es…’ C’est aussi inscrit là… ! Cet affront vous a mis mal à l’aise et aurait pu constituer un motif de vengeance… ! Mais nous n’en sommes pas là… !

Sa femme…

‘…Tu aurais mieux fais de te taire et de supporter encore deux soirs mais au lieu de cela tu fais de l’excès de zèle comme toujours, mon chéri… !’
‘…Tais toi … !’

‘Monsieur, Blanchard, je lis’….Il m’a traité de vieille peau, maniaque, de cancanière..’
‘…Nous étions quittes, elle m’avait rabroué pendant un dîner, en me disant ‘… Vous auriez du faire du cinéma ou du théâtre tellement vous mentez sur tout… !C’est bizarre, comme votre visage reflète la ruse et la mauvaise foi.. ! Sic…’
‘…Oui, mais cela ne constitue pas un motif valable d’assassinat, enfin… !’ je parlais de ma carrière, et je ne sais pas comment elle a su .. Que… !’
‘…Que vous avez été, disons le ‘aidé’ dans votre carrière, par votre père, qui est une amie personnelle de votre papa… !Ce mensonge qu’elle a jugé inopportun a soulevé en elle cette remarque car elle était femme droite et n’aimait pas qu’on se fasse passer pour ce qu’on n’est pas, elle écrit.. ;’ Son père qui a tant fait pour lui, est passe aux oubliettes…Ce soir là, ce mesquin, indigne de porter le nom de son père méritait ma mise au point…’ Les mots, monsieur Blanchard peuvent constituer un motif de meurtre surtout que vous vous êtes senti blessé devant vos amis.. !’ Qui ignoraient votre cursus.. Arrangé…De directeur de Banque..!’
‘…Bof… ! Je ne l’ai pas tué… Je vous jure…!’
‘…Comment vous croire, vous qui mentez et affabulez… !’
‘…Je ne vous permets pas de me traiter ainsi… !’

Sa femme..

‘…Calme toi ,enfin Germain, l’inspecteur fait son travail… !’
‘…Merci, madame…. !’

Il se tourne vers Monsieur Collard…

‘..A croire que cette bonne vieille Chartrain, vous connaissez tous… ! Un souffre douleur, une encyclopédie vivante qui n’est plus et d’ailleurs, je m’adresse à vous Monsieur Chambéry, pourquoi l’avoir invité ???
‘…Madame Chartrain, est une vieille connaissance, généreuse surtout et qui comme dire , toujours su répondre à mes appels, elle ne lésinait sur rien quand ils s’agissait d’aider autrui, j’ai donc pensé que sa présence, ici, était primordiale pour faire avancer ce projet qui me tient à cœur, elle m’a elle même désigné une bonne partie de mécènes qui seraient intéressés par cela, hélas, triste destin, elle trouve la mort chez moi dans une pareille situation… !’
‘…Mr Collard, vous faites la connaissance de madame Chartrain en 19…Vous êtes entreprenant, actif, sérieux mais voilà sans le sou à cette époque. Votre femme vous a bien aide financièrement, par le truchement de son père, en ce moment là, mais voilà vous n’avez aucune expérience du métier de publiciste. Vous tombez par hasard, lors d’une fête de bienfaisance sur cette dame, qui paraît il est généreuse. On vous la présente et prise de sympathie pour vous, elle parle à un directeur d’agence fort connu sur la place… ! Vous êtes embauché et au bout de six mois, vous détournez ‘ un certain fichier clients’. Vous vous adressez encore une fois à madame Chartrain à qui vous présentez un projet d’ouverture d’agence publicitaire. Elle ignorait votre détournement à cette époque puisque monsieur Ricard, votre directeur, tombe malade. Elle est emballée pour vous et vous présente là encore le directeur de sa banque, Monsieur Delpèche… ! C’est bien cela… ?’
‘…Ben puisque vous avez tous ces carnets… !’
‘…Elle se porte garante, sur un prêt et vous ouvrez votre première agence de publicité …ARGUSPUB… ! Ca marche si bien, laissez moi, vous dire au passage, qu’elle vous envoyait en sous main ses meilleurs ‘entrepreneurs’ chose que vous ignoriez sans doute… ! Bref, votre premier employeur se remet d’aplomb et s’aperçoit du vol. Il en parle à madame Chartrain, qui vous appelle toute en colère et vous traite de tous les noms d’oiseau. Vous lui claquez le combiné au nez.. !Et vous n’entendez plus parlez d’elle. Et voilà, qu’elle vous retrouve, ici et elle vous ‘houspille dans le jardin, en présence de votre femme qui ignorait tout de vos magouilles et de votre bonne santé financière…
‘…Vous n’êtes qu’une vieille femme à la porte de la mort, et l’enfer sera le meilleur endroit pour vous…’ C’était votre conclusion…’ C’est écrit noir sur blanc….’ Elle vous répond….’ Par un crachat… ! Signe de mépris… ! Vous ne l’avez pas supporté alors, vous vient l’idée de la balancer par l’escalier puisque vous connaissez ces habitudes… !’
‘…AH CA NON….. ! INSPECTEUR …JE NE VOUS LE PERMETS PAS…. ! D’ailleurs j’ai regretté tout cela par la suite et j’ai voulu me faire pardonner le lendemain , mais voilà, j’ai été pris de court par sa mort… !’

A suivre…



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