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SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...ERNESTINA...*****

Envoyé par Mr_Jano 
Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...*****
24 avril 2008, 14:40
au moins il y a un debut..
Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
01 février 2009, 22:22
NOUVEAU RÉCIT IMAGINAIRE POUR BIENTÔT


'...L'ÉNIGME SANS FIN....!'

Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
02 février 2009, 12:09
Imaginez un instant, vous êtes assis dans un wagon de métro.

Vous lisez tranquillement, les genoux croises, un roman à suspense. Et voilà que, arrivé à la fin, au moment crucial du dénouement, le paragraphe en question se détache de la dernière page, tombe à terre et les lettres se retrouvent éparpillées...?
C'est fou n'est ce pas...? Et bien vous suivrez L'ÉNIGME SANS FIN TRÈS PROCHAINEMENT.

Récit de Albert narré par Breitou Lââziz.Que l'on veuille ou pas.

Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
03 février 2009, 06:21
je viens dans ce petit coin de ilan halimi deposer des bougies en sa memoire, il est surement au paradis car l'enfer il l'a deja vu sur cette terre. pour ne jamais oublier la barbarie des des ignorants integristes musulmans.

paix a ton ame ilan. sbar ala amark.amen.




DEMAIN DÉBUT DU RÉCIT HIVER PRINTEMPS...'

L'ÉNIGME SANS FIN..'

A Suivre.





Paris le 24 AVRIL 2008.

Récit imaginaire.

Toute ressemblance avec des personnes ou des faits connus n’est que pure coïncidence.



L’ENIGME SANS FIN.


Jean Marc, depuis son jeune age, raffole de lecture.
Un dévoreur de livres, de romans, de récits, de nouvelles, de poèmes bref de tout ce qui est littérature. Sa pitance. Insatiable de tout, il est grand plongeur dans les abîmes littéraires.
Boulimique invétéré des belles feuilles, anorexique de belles lettres, grand obèse des bonnes pages.

A Suivre demain...


Paris le 24 AVRIL 2008.

Récit imaginaire.

Toute ressemblance avec des personnes ou des faits connus n’est que pure coïncidence.

L’ENIGME SANS FIN.

Jean Marc, depuis son jeune age, raffole de lecture.
Un dévoreur de livres, de romans, de récits, de nouvelles, de poèmes bref de tout ce qui est littérature. Sa pitance. Insatiable de tout, il est grand plongeur dans les abîmes littéraires.
Boulimique invétéré des belles feuilles, anorexique de belles lettres, grand obèse des bonnes pages.

Qu’un moment de libre s’impose à lui et le voilà ouvrir son dernier livre. Et lire en tous lieux sauf dans son travail. Le seul endroit où il cache son dernier roman dans un tiroir, pour le ressortir dés la fin de son boulot.

Les toilettes aussi n’échappent pas à sa grande passion.

Il fait de la lecture sa maîtresse au point qu’il en oublie de manger certains soirs, préférant flirter en solitaire avec celle qui lui procure tant de joie. Les romans policiers, les intrigues, les histoires rocambolesques, les récits de magie noire sont ses ingrédients préfères.
Il y met tant d’ardeur dans la lecture qu’il bouffe de l’écriture à une vitesse vertigineuse.
Il s’en rassasie.

Aller au cinéma ou au théâtre, le laisse de marbre. Sa dame de compagnie lui suffit et il en est heureux.

Les bancs des parcs l’intéressent car une fois assis devant le lac de Créteil lorsque le temps le lui permet, il ignore ce petit peuple de joggeurs mobiles, promeneurs et randonneurs qui flânent sur les bords des plans d’eau.

A 25 ans, il ne se connaît pas de filles.
Il n’en éprouve pas le besoin.
Sa solitude, son amour, il les partage avec ses bouquins, anciens ou neufs, achetés un peu partout dans les brocantes ou les librairies qui se respectent.

Il connaît tout, des grands hommes philosophiques de France.
Ces chantres de la rime et de la prose, ces poètes et bien pensants.
Il pourrait réciter des pages entières de poèmes : du Verlaine, Rimbeau ou Victor Hugo. Pour ne citer que ceux là. Sans fautes. Il a ce don de la mémoire, une profonde connaissance des lettres qui fait dire à ces quelques amis de travail ...

‘...Tu es une encyclopédie vivante, Jean... !’

Il l’est et jamais il ne fut pris à défaut. Il en est fier.


A Suivre.
Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
12 février 2009, 09:04
CORRESPONDANCE.

Bonjour,

La ville de Bagneux organise l'hommage à Ilan Halimi z'l pour la troisième année. Cette année revêt une importance particulière puisque le procès du gang des barbares s'ouvrira le 28 avril.

Cette cérémonie sera médiatisée et je pense que la présence de la communauté juive est indispensable.

Merci de relayer cette information auprès de vos connaissances et merci de faire le nécessaire pour assister à cette cérémonie.
En page jointe le communiqué de la Mairie.

La cérémonie se déroulera jeudi 12 Février à 18h30 devant l'hôtel de
Ville 57 avenue Henri Ravera.
Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
21 février 2009, 12:11
LE RÉCIT L'ÉNIGME SANS FIN.





CHAPITRE 2.




Son livre de chevet du moment, un vieux bouquin de 456 pages, ‘...L ÉNIGME SANS FIN... !’Une intrigue policière l’introduit dans un roman policier dont les principaux personnages sont des adeptes de magie noire. Un meurtre, puis deux, trois dans une secte obscure ‘...Les rédempteurs de la foi... !’

L’inspecteur Boulakia, le célèbre commissaire, bien connu à cette époque en 1948, peine à démêler cet écheveau réel d’intrigues et de rebondissements où la magie noire, l’exorcisme, le diable et le surnaturel font bons ménages.

Jean Marc est en plein dans un récit de sciences occultes.

Malgré toute son expérience reconnue dans les hautes sphères, le Boulakia va jeter l’éponge et classer le dossier de tous ces meurtres réels dans son armoire comme ‘...Affaires non élucidées...’ ! Ce qui veut dire, ‘insolutionnables’. Une exception dans les annales judiciaires lorsqu’on connait l’acharnement que met cet inspecteur dans la recherche de la vérité.

Jean Marc arrive presque à la fin du roman lorsque l’inspecteur, dans un dernier sursaut de réflexion, pense confondre le ou les coupables. A force de recoupements car les faits sont tirés d’un grand fait divers qui a fait la une des journaux de l’époque tel COMBAT ou le FIGARO.

Deux autres quotidiens,à tirages limités, en mal de sensations, titre dans leurs premières pages ‘...Les obscurs assassins du Manoir... !' Avec bcp de détails sur les faits.

‘...Enfin la vérité ... !’ Pour le second quotidien RÉALITÉS.

Je passe pour les autres périodiques qui en parlent dans leurs pages intérieures.

Mais voilà que, comme par enchantement, personne n’a retrouvé trace de ces évènements à l’intérieur des archives de ces journaux. Pour comprendre le mystère, des années plus tard.

Pour la simple raison que les rotatives tombèrent presque toutes en pannes bien avant la parution de l'épilogue.

Les journaux ne parurent pas en ce 12 Avril 1949.

Une chape de plomb s’abattit sur ces faits et l’auteur du roman n’a pas survécu à la sortie de son livre. Plus personne n’avait envie d'en parler.

Tant tout semblait sombre.

...L’auteur en question Alberton de Siméoli, auteur fort célèbre et bien connu pendant la seconde guerre a payé de sa vie le fait d’avoir relaté des faits véridiques. Sans mentionner les vrais noms des coupables. Il n’en a pas eu le temps. Le roman fut repris par son compagnon de route Breitounich Eustache, qui lui avait décidé de citer les noms des assassins sans tenir compte de ce qui paraissait être une malédiction. A son tour Eustache ne survécu et le livre paru tout en entier. Sauf que.... Personne n’en voulait. L’éditeur prit de superstition préféra enterrer un grand nombre de ce roman policier dans une grande remise. Comble de malheur, la remise en question prit feu et seul quelques exemplaires survécurent à l’incendie.
Ces derniers se retrouvèrent chez un brocanteur ayant droit de cité sur le quai Pont Neuf, à Paris.

Et c’est ainsi que Jean-Marc tombe sur l’un des exemplaires lors d'une chine chez un brocanteur des quais.


A Suivre.
Re: SALLE ILAN HALIMI Z'AL*****POLICIER....COMPTE A REBOURS...L'ENIGME SANS FIN...*****
01 mars 2009, 11:44
CHAPITRE 3. ET FIN.




Prit dans le tourbillon de l’énigme, il avait hâte de finir le récit.
Il est assis sur un banc de wagon de métro.
Il tourne sa page, la 455, l'avant dernière, celle qui dévoile les vrais noms des assassins lorsque Ô Stupeur... ! Dix lignes, un paragraphe entier, se détachent et tombent sur le linoléum. A ses pieds....!

Il pense rêver. Mais là, il se rend compte que les lettres sont éparpillées.
Il a donc entre les mains, une page cruciale sans le paragraphe primordial.
Il n’a jamais vu cela en 15 ans de lecture. Il ne comprend pas ce phénomène.
Il est prit au dépourvu. Comment cela se peut-il... ! Une question qui le taraude dans son silence. Qui le poursuit tout au long de son chemin.
Il rentre chez lui et pour mieux se convaincre de la chose, il rouvre une nouvelle fois son livre afin d’être bien sur d’avoir vécu un épisode invraisemblable. Il se rend à l’évidence, le paragraphe n’y est plus.

Sans se décourager, il téléphone au brocanteur pour lui demander si à tout hasard, il n’aurait pas un second livre du même auteur pour le même récit.
La réponse est affirmative et sans perdre de temps, il se rend illico presto chez ‘ ...LA BROCANTE DU QUAI...’
Il a à nouveau le précieux livre entre ses mains. Il se garde de l’ouvrir en chemin.
Sans perdre de temps, il regagne son appart.
Tout fiévreux, il s’assoit sur son divan. Il pose son bouquin sur ces genoux. Il hésite un instant puis ré ouvre son nouveau livre, feuillette avec ses doigts tout tremblants les pages et arrive enfin à ce fameux paragraphe et là, une nouvelle fois, ce dernier se détache et tombe sur le parquet. Exactement comme la veille dans le métro.

Jean Marc instinctivement à un mouvement de recul.
Il a entre les pieds des mots éparpilles.
Il ne peut rien lire. Pas même des groupes de mots.
Un vrai puzzle s’offre à ses yeux.
Sans se démoraliser, il veut à tout prix connaître la fin de l’histoire.

Il s’agenouille, puis commence avec soin et patience à morceler les mots.
Sa dizaine de lignes bien précieuses. Qui vont enfin assouvir sa curiosité.
Six heures plus tard, enfin, il arrive à remettre tout en place.
Mais avant de lire, il ouvre les battants de son balcon, histoire de respirer et de souffler avant de connaitre la suite de l’énigme. Et surtout les noms des auteurs des méfaits.

Un courant d’air soulève le chapitre reconstitué et voilà le précieux écrit prendre la route des airs.
Jean Marc voit la fin de l’énigme s’envoler sous ses yeux, passer par-dessus son balcon.
Il essaye de la rattraper, se penche plus avant et le voilà qui bascule dans le vide.
Jean-Marc ne connaitre jamais la fin de son histoire partie sous un coup de vent.
Il git à cote de son paragraphe éparpillé sur le macadam.

L’énigme reste entière.

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