*****SALLE BRAHAM ...SHABATH CHALLOM...SHAVOUAT TOV...CHANA TOV...ET CABARET...*****

Tunis le 5/8/2007.







Retour aux sources.







-Et c’est toujours le même rituEEel

-Chaque fois que j’descends du cieEEl

-Ma pensée première

-Et de rendre visite à ma seconde mère* (La Goulette)

-Plus tard, le respect dû à mon défunt pèEEEre.

-----------------------------

-Sur cette autoroute, mille fois jadis empruntée,

-Je double ce train bleu à la couleur sal’ azuUUr

-Qui roule vers sa destination d’un pas sur mesure

-Le BaAAc*, j’l’ai dépassé. * Première station de gare avant Goulette Neuve.

-Ma vieille école, j’l’ai contournée EiwèEE.....

-Avec mes enfants.

--------------------------

-Par le café Rex, j’ suis repassé

-Et c’est le même rituel inchangéEE.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

-C’est fou comme mon esprit vadrouille

-Lorsque je pose les pieds dans mes anciennes rueEElles

-A travers les rues et les impasses déforméEEes,

-Je crois les entendre presque gémir à l’oréEEe des vagues,

-Sur leur passé qui ne reviendra pluUUUs.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

_______________________________________________________________

C’est fou ...////..

-Comme mon esprit vadrouiIIIIlle

-Ca remue dans toute ma citrouille,

-Mais les regrets, je n’en ai pluUUUs.

-J’n’reconnais plus les voix qui m’interpellent

-Les gazouillis de mes amis les oiseaux

-Des cris qui ont mû, une autre espèce

-L’a remplacée depuis.

-Dans ma tête tout s’embrouille.

-Mon ancienne maison s’est effondrée.

-MELLAHHH RAHAAAAAA......( Bon débarras)

-Elle ne s’est pas encore relevée

-Elle n’est plus qu’un amas de pierres détaillées* (Ici pas taillées)

-Sur des ruiIIInes éparses, bien éparpillées.

-Et mon balcoOOn complètement raséEEE..§§§§§§§

-He HEEEE ...HEEEE....§§§§§§§


-Et c’est toujours le même rituel

-Chaque fois que j’ monte au ciel.

-Ma ville n’est plus qu’un point noir

-A travers mon hubloOOOOOOOOOt...



A suivre....

Le soiIIIIIr.



Je suis passé par L’O.S.O*
(Œuvre de Secours pour les Oubliés*)

Je suis passé par L’O.S.O.

Un pèlerinage programmé.

Juste pour recompter

Ceux et celles qui sont restés. En vie.

Y’a pas de quoi rigoler.

Il manque comme chaque année

Les anciens appelles mais rappelles

A D ieu ne plaise.

Surprise, j’ai retrouvé Traki* la sœur du cordonnier

Ghzal qui loin de ressembler à une biche, s’est transformée.

Dilatée, elle m’a reconnue.

Je lui ai demandé des nouvelles de Nelly

‘...Yatia qatra... ! Qu’elle m’a dit.

Une vieille rancune encore d’actualité.

Du temps où j’cantinais’ à l’age de mes hui’s’ années.

A travers les barreaux de sa ‘prison dorée’

Sa chambre puait le renfermé ....

‘..Ijjé natiq bouchè ye ould Ayouche... !’ (Viens que je t’embrasse)

Je lui tends mes joues parfumées, bien bronzées.

Et là, elle me colle d’entre les deux fers forgés

Deux baisers suçons à l’odeur ‘naphtalinée’.

Y’a pas de quoi se marrer. C’est la vérité.

Sur sa lancée,

Elle me demande

Quelques bananes martiniquaises,

Des fraises, des pommes et des fadaises

Je les lui promets pour l’ prochain été.

En lieu et place de ce marché,

Je lui glisse quelques billets.

Soudain.

Une voix grosse et grasse m’interpelle

Alors que je distribuais une paire de gros billets.

A la vieille smala qui m’entourait.

C’est le GoliaAAAth

Qui de mémoire bénite

Ne m’a pas oublié.

Le fameux diplômé dans la grande mendiIIIcité

Au cimetière du BorgeEEEl toujours abandonné,

Il accourait d’entre les allées, il y a bien longtemps

Pour réclamer son dû, sa part d’argent.

C’est le Goliath au dos voûté;

Le célèbre mendiant au couffin usé.

Par tout temps, d’entre les tombes

Il demandait ses pièces de monnaie.

Là devant moi, il est debout

Habillé d’un demi costume en velours côtelé.

Un veston couleur brume déboutonné

Sur un caleçon couleur gris sel, ‘Débraguettè.’ * (Sans braguette.)

Y’a pas d’ quoi rigoler, c’est la vérité.

‘....E gratta gratta ses gros et gras mollets moN cher ..... BAAAmbiNOOOOO...§§§§

‘...Yatini hajjè yé ould Chemyouni... !

Sarqouli flouchi kif qen raqed... !

(Donne moi qq chose O toi le fils Siméon

On m’a délesté de tout mon argent alors que je dormais.)

Il continue sur lancée.

‘...Par un matin d’hiveEEEr,

J’ai perdu la lumière, dalmou âïnéyè

On m’a ruiné.... !

Tous mes biens étaient pourtant bien cachés

Sous mon oreiller. Mes millions on me les a piqué

Et je me suis retrouvé plus pauvre que j’ n’étais... !’

Avec des trémolos dans les yeux

Et des larmes dans la voix.

Y’a pas de quoi s’marrer c’est la pure véritéEEEE.

L’anecdote qui va suivre est aussi bien vraie.

Car notre sire, aux lèvres retroussées, pensa émigrer.

Au pays de France qui l’attendait, il atterrit

Par une belle journée notre fortuné

Sur le tarmac comme un esseulé.

Si tôt bien pensé, notre ancien richissime

Débarque à Orly avec son couffin usé.

Au premier gaulois bien policé, il rime

Il ânonne qu’il vient travailler dans la mendicité.

Sans plus attendre, le galonné bien inspiré

Sans ménagement aucun, lui fit dire en chemin...

‘....Que la France de D’Estaing n’offre plus la charité.... !’

Triste destin pour un paumé.

Dépité mais pas découragé, notre Goliath remonté, et plein de volonté

Repris son chemin d’entre les travées et les tombes abîmées et délavées.

Y’a pas de quoi rire, c’est la bonne...véEEEEEriIIIItéEEEEEEE.


• O.S.O en réalité toujours l’O.S.E mais il y a un non sens parce que cet organisme
ne répond plus aux exigences de l’enfance indigente juive.

• Traqi était serveuse dans la cantine ainsi que sa compagne Nelly.

La Nostalgie


C’est comme un vieux croûton
Rassi.

Que je ramasse du fond de ma corbeille
Vieillie.

Avec mes mains tremblantes, mûres et affaiblies.

La NostalgiIIIe,

C’est comme un vieux morceau de paiIIIn
Durci.

Que je plonge dans un verre d’eau acide

Ca gonfle avec l’envie d’en parler.

LaAAA NostalgiIIIIe,

C’est comme un suc amer

Qui remonte à la surface

Avec des relents aigris.

La NostalgiIIIe,

C’est l’enfance, l’adolescence et tout le reste

RéuniIIIes....

Qui nourrissent notre mémoire pétrie

De souvenirs assoupis.

La NostalgiIIIe,

C’est comme une vieille pierre

Que je remonte du fond de mon abîÎÎÎme

Pour lui redonner vie et reluire son poli.

La NostalgiIIIe, HIIIIIIIIIIII...HIIIIIIIII......

C’est le pays que j’ai fui.

C’est la patrie de ma vie

Car ici gît ma nostalgie.

Notre NosSStaLLLgie...§§§§§§

Cette maladie.///.

Sur un air de chansons D'Aznavour.





J’suis l’Homme Ô de la Scène...!
















Je suis artiste de la nuit,

Sans port d’attache, je passe ma vie

Ici ailleurs un peu partout

Mais jamais au même endroit.

Je suis l’homme Ô de la scène

Artiste itinérant sans grande prétention

Mais avec beaucoup d’éducation.

Et plein d’attention.

J’connais Calvi et Capri

Tahiti Miami et Paris

Avec mes fausse plumes de paons collés au cul

J’ gambade sur les tréteaux

La nuit sur mes talons hauts.

Je chaAAnte des vers mi-sots

Mi imbéciles mi idiots

sortis d’ mon répertoire,

Empruntés à des inconnus

Qui ne m’réclament aucun droit.

Je chante tout et n’importe quoiIII.

Et oui, mais avec foiII.

Je chante Lili la folle

Lorsque je suis triIIIste,

Mon plat pays de ce cher Brel

Lorsque j’suis en forme

Dés fois, j’ n’regrette rien

Je piaffe

Sous l’émotion.

Et vient m’inspireEEr.

laAAA MAMAAAAA....§§§§§§§

Et là.... ! Je pleure.

Car je suis l’artiIIIste d’l’ nuiIIIt

L’homm’ Ô sans compagnie

Sans aucune attache Ô Mimi.

Je passe ma vi...iIIe à m’trémousser

Sur des planches sèches et vernies

Comme l’est ma vie,
Durant de longues nuiIIIts

Devant des regards attendris

Plus enclins à boire

Qu’à m’applaudiIIIr.

J’ m’dandine sur les plateaAAAux

Sous les yeux des gâteux qui m’ font des signes

Que j’consigne dans mes carnets.

Ni pute mais mi homme

Je suis l’artiste de la nuit.

J’n’me connais pas d’amis

Non plus d’ennemies

Q’ des amants choisis

Ici ailleurs un peu partout

Au grès de m’fantaisies.

Mille prénoms je poOOOrte,

Denise à Clermont

Sabine à RotterdaAAm

Fashion à Tunis madame

Quand l’contrat m’emporte.

Je suis une artiste MiIIImi

Mi ange ni diable

Seulement....

Un homm’ ÔÔÔÔÔ artiste de la nuit

Sur une scène virtuelle.

COMME ILS LE DIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISENT....§§§§§§§

Je ne vis pas avec mamAAAan

Je suis orpheline depuis longtEEemps.

Ma vie se passe sans chat,

Ni chien de compagnie.

Pas même un coucou pour veiller mes nuits.

Quatre murs en crépis

Témoignent de mon ennui.

Je fredonne de vieilles chansons

Des vieux labels d’autrefois

Marqués par le sceau du passé

Qui m’rappelle ma jeunesse,

Devant ma poêle à frire

D’un père courant d’air

D’une mère bar-maid

Pleine de mal et alcoolique

J’ai grandi chez une tante

Qui m’appellait TITI.

J’ai choisi ma route

Sans guide sans famille

Le stress et le strass

Ont fait de moi un HOMO

Comme ils diIIIIIIIsent.

CHANGEMENT DE DECOR.









PariIIIIIs.....













Ville du monde

J’aime TRENET

Sur les quais d’ la Seine

Mes soirs de relaAAche.

Avec mon chouchou, on se Bécotte sur les ponts ;

C’est un vrai bonheur mon

CHEVALIER.

PariIIIIIs.....

Ville lumière,

C’est là où je suis né

Entre les BOUFFES PARISIENS

Et le ZEBRE DE BELLEVILLE.

Il n’y a pas de grands mystères

Je suis faite pour la scène.

ParIIIIIs.....

Ville du monde

Ce soir je chante ton nom

Sur mes tréteaux.

ParIIIIs....


Aux cent mille lumières

Qui brillent comme de joyaux

Dans les regards des badauds.

Ton charme étrange

M’ensorcelle

Je t’aime mon ange.

ParIIIIs...

Couronne de France

Sur ta jolie frange

5 lettres de diamant scintillent au firmament.

Paris, Belleville

Du monde et dans ta Barbes

J’y suis, j’y vis mon D ieu

Que de frissons.

PariIIIs, tu es magie

Féerie ma jolie

Et ce soir, j’ t’ sers mes refrains

Sur mes tréteaux harissiens.

PariIIIs ...

J’éclaircis certains visages sombres

Mais ce soir je te chante à l’ombre

De mes peines en nombre.

C'est la Rentree. Finies les Vacances.
Pièces jointes:

Ici Mon_Germain.


Voici le compte rendu de la grande soirée inaugurale du NEW PTB.

C’est dans une ambiance de grandes soirées à marquer d’une grosse pierre blanche que c’est déroulée dans le grand salon Ilan Halimi, l’inauguration du célèbre et fameux théâtre LE NEW PTB.

Un parterre de célébrités que vous connaissez tous. Et dans la réputation n’est plus à faire a suivi avec beaucoup d'émotion le spectacle. Sous la houlette de Albert, le grand RIBIBI de la scéne
Avec lui, on ne s'emmerde pas mais avec les autres, y a de quoi mourir de déprèssion, ye Jini.

Je vous laisse voir le film.

Albert est habillé d’un costume couleur alpaga qui lui tombe à pic.

Il reçoit ses invités devant le seuil du PTB illuminé comme la tour Effel.

Le premier convive..

‘...Jaco, Lââziz, ye baba, comme je suis heureux, tu es enfin venu, et moi qui ne le croyait pas, vraiment, c’est plus qu’un honneur, c’est un acte d’amour et toi tu t’y connais dans ce genre d’acte, et même dans le pardon, tu pardonnes tout, et avec toi tout le monde est pardonné, les railleurs, les moqueurs, les hâbleurs, les connards, les bouffeurs de cochons, les grosses antipathiques dont certains disent qu’elles sont fidèles harissiennes et comment qu’elles sont fidèles... ! Fidèles jusqu’à la moelle, excuse moi, Lââziz, les chiennes sont plus fidèles mais pas une certaine catégorie de gente féminine qui se prélasse à se voir toute la journée devant leur miroir de poche. .. !’

‘...Bon, dis moi où je suis placé, brabi... ! Tu ne veux pas t’arranger toi hein... ?’

‘...Belébou, s’il vous plait, table Une devant le scène... !’

‘....Braham, KhouèYYYYYEEE.... ! Poisson, Poisson mille poissons sur toi avec les écailles, comme tu es beau... ! Bonsoir Madame... ! Braham que je n’appelle pas Si, mais Cher Ami, j’éprouve un sentiment ce soir que je n’arrive pas à définir, venir d’Israël pour moi, ce n’est pas du courage mais de l’héroïsme, ah là, vraiment, on voit les gens ‘couilleux’ ( qui ont des couilles) Je n’oublie pas ce geste.... ! BelebOUUUUUUUUUUUUUUUUU..... ! Table 38 LES LILAS derrière le pilier.... !’

‘...Emile....EmiLEEEE.... ! Notre sage.... ! Alors toi ce n’est même plus de l’héroïsme c’est du suicide, dans ton état, venant de ton état, si loin, mon D ieu, Ahchem, il ne fallait pas te déplacer mon cher Emile, le papy qui nous a ouvert une rubrique dont on ne voit plus la fin... ! Enfin, presque LES ISRAELIENS VIVANT A L ETRANGER... ! Comme toi... ! Quelle souffrance et que de nostalgie de voir son ancien pays d’accueil de si loin... ! Après tout remarque, chacun fait ce qui lui convient, habiter là où l’on gagne plus, sans que personne ne vienne te faire chier, et moi je te dis, ta décision n’est pas à justifier, tu es libre... ! Tu as récolté qd même 990 visites ( dont les miennes 220 fois) tu peux les négocier au marché noir si tu veux... !’

‘...Tu m’as saoulé, place moi et yejji mel trkhalouid... !’

‘...BelEEEEEE bou.... ! La 109, là bas dans le jardin, coté rue... !’

Belebou vient chuchoter à l’oreille de son patron...

‘.............................. !’
‘....Des SDF.... ? Donne leur deux assiettes par derrière les cuisines... !’
‘...Non, la bande... !’
‘...Ne leur donne rien, ok et dis leur que la soirée est reportée... !’ Manquait plus qu’eux... ! Alors là... !’
‘...Y’a Elsa avec eux.... !’
‘...Dis lui de m’attendre au salon des dattes, j’y serai vers les 4 heures du mat, elle va être de trop ici... ! A moins que je la mette dans la cave.... !’
‘...Elle est au complet la cave... !’
‘...Par qui... ?’
‘...Par les rats... !’

‘...TaWFIQQQQQ..... ! L’homme qui ne dit plus rien, d’avoir trop dit, te voilà mon cher ami enfin, alors Taw, et les states.... ? Hein, statuquo ici pour toi, hait metequi lei i dahaq lei i beqi... ! ‘ Qalleq zedda moule el tej yah’tèj’ alors même si le PTB est riche de moqueries, de railleries, nous avons besoin tjs de ta parole, et toi tu fais comme si tu n’existais pas, on dirait que tu es fâché, et je pense que tu l’es parce que je ne comprends pas que dans le nouveau système tu n’a rien dit alors que dans l’autre, tu as parlé plus de 358 fois en cinq ans.... ! Soit divisé par 5 cela donne un chiffre de 71 fois l’an....Soit environ 6 fois le mois soit 0, 20 par jour, dc deux mots ... ! Tu as crevé le plafond de l’audimat... !

‘...BelebOUUUUUUUU.... ! Table 2 juste derrière l’aquarium... ! Il pourra voir les petits poissons rouges.... !’

‘...Ce cher et merveilleux Lapid et Lapida, aucun éloges ne te sied, faut que je cherche des expressions encore plus enjoliveuses, comme un enjoliveur de voiture, alors mes chers amis et depuis ce fameux resto que noue NE REGRETTONS PAS, comment allez vous ????
‘...Alors Monsieur Breitou... !’
‘...Albert Madame, Breitou se prépare à chanter... !’
‘...Mais vous alors vous n’êtes pas Breitou... ?’
‘...Lapida chérie, enfin, un peu de discrétion, Breitou et Lui ne sont pas les mêmes personnes mais il ne font qu’un enfin... ! Je n’ai fais que te l’expliquer dans l’avion depuis une semaine... !’
‘...Parce que vous avez passé une semaine dans l’avion avant de venir ici... ?’
‘...Il tournait en rond à cause de nous, nous hésitions à descendre... !’

‘...BeEEEEEEEEleBOUUUUUU... ! Table, sans hésitation 2, près de Jaco, comme cela ils auront de quoi discuter.... !’

‘...HaJJJJJJJJ..CLOUUUUUU..FETTEEEEE.... ! Ma chérie, quelle élégance, et surtout se écharpe brodée HAM ISRAEL HAI...SUR FOND BLANC.... ! Alors toi, franchement, tu m‘étonnes de jour en jour, quoique je le suis depuis longtemps déjà mais avec l’age mon étonnement à mûri, il est devenu plus mûre que moi, je suis ravi quand je te parcoure, et en plus tu ne parcoures pas pour rien, tu parcoures bien et juste... !’


‘...BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE....lebou..... ! Table 3 près de notre cher Webmaster... !’

‘...MICHKAAAAAAAAAAAAAAAA.....Monsieur et Madame Quel honneur, et quelle surprise sachant que vous vous ne vous déplacez presque jamais pour les grandes manifestations.... ! Quel look ma chère, c est un vrai plaisir des yeux... ! Y’en a qui vont pâlir de jalousie, je vois déjà d’ici leurs neurones rougir, et cette tenue, oalalallala... ! Quelle allure, une vraie mannequin...! Et cette démarche si gracieuse.... !’   

‘...Où sommes nous placés Monsieur... ?’

‘...Je vais vous y conduire personnellement... !’

‘...Voilà ici.... !’

‘...Mais pourquoi sommes nous surélevés par rapport aux autres... ? Demande Michka.
‘...Il faut prendre de la hauteur ma chère et tu mérites la place la plus haute du podium... ! Comme les médailles d’or....Plus de 1000 photos montages, plus de 1200 articles, les uns plus beaux que les autres à part certains qui sont passés à travers les mailles du filet... ! Bref, ce n’est pas de la PREFERANCE et du GRAND FAVORISTISME gagné à la sueur de tes doigts... ! Alors que d’autres font dans le grand BANDITISME... !’

Belebou vient chuchoter.

‘....................Des émirs... !’
‘...Ye bim, c’est toujours elle, la bande qui c’est transformée en émirs arabes pour me tromper... ! Si elle pense m’induire en erreur ahahaha... !’

Le gala reprend....

CHANGEMENT DE DECOR.SUR ARRIERRE FOND.





Solenzara,

Perle corse posée sur un rivage


Et tes montagnes sauvages veillent sur toiIII


Comme des anges.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§




Je me suis souvenu

D’un port, d’un coucher de soleil

D’un large, de belles filles

De tout ages

De tes cafés et tes airs embaumés.

SolenzaraAAAAA§§§§§


J’ai trempé mes pieds

Dans tes eaux claires

Moi l’étranger de passage,

J’ai batifolé.

Je me suis rappelle soudain

Mes murs ensoleillés

Et mes soirs de veillées.

Mes terrasses blanches assoupies

Mes volets clos endormis

Mes jalousies se sont réveillées.





Solenzara


J’ai ‘kiffè’ et ‘chikhè’

Sur les espaces de tes cafés

J’ai goûte à tes sorbets

Tes glaces colorées

M’ont rappelle mes cornets.

La main de D ieu

Serait t’elle à tes côtés....?