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*****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****

Envoyé par albert 
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA Z'AL*****
04 octobre 2007, 10:04
Que de beaux souvenirs !!! Merci Albert

AM ISRAEL HAY
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA Z'AL QUE SON NOM SOIT INCRIT DANS LE GRAND LIVRE D OR.*****
05 octobre 2007, 01:27
AFFICHE DES TUNE SAVANTES. PIECE EN PLUSIEURS ACTES


25/03/2003



LA TROUPE FOULANT LE TARMAC DE L AEROPORT.


L .



31/03/2003.


L'ARRIVEE DES ACTRICES A HARISSA AIR PORT.

30/03/2003.




LA PIECE.



2/04/2003


C'était au temps où harissa nous rassemblait sur un plateau. Voici aujourd'hui venu le temps où l'on se regarde comme des CHIEEEENS de faïence.




4/04/2003.

Tu peux être fiére Elsa de ce que tu as fouttu comme merde partout.
Henri Z'AL en premier plan .

Jojo Cohen a la batterie, Jojo Chemouny Z'AL (au centre) a la guitare, et Hubert Fellous aussi a la guitare.
Le papa d'Hubert etait un tres grand musicien de talent, il chantait en s'accompagnant du luth.

Quelle equipe nous faisions!!!!!.

Ya hassra al Touness El khadra.

C'etait vraiment le bon temps, notre tete etait vide de soucis.

Cette photo m'avais etait envoye par Henri Z'AL, lorsqu'on c'etait retrouve grace au site Harissa.

Je suis sur que de la haut il rigole, et est content de nous.

Il faudrait, en son souvenir,lui promettre de garder cet esprit d'amitie sincere sur ce site.

Il y a des freres, mais il y a mieux encore, c'est les amis de jeunesse,
parmi eux, Jojo Cohen mon camarade de classe, complice de toutes nos farces et qui habite a 5 minutes de chez moi a Richon-letsion .
Un jour de forte pluie, nous etions en voiture a la rue d'Isly, et nous avions entendu un grand bruit. Jojo avait continue a rouler, et se demandait que voulait ces gens qui nous faisaient des grands signes.
En arrivant a la maison, on s'est rendu compte qu'on avait perdu une roue.

Nous sommes restes lie jusqu'aujourdh'ui par cette amitie, partageant tout, la joie et le reste aussi.
Pièces jointes:
RYTMSBOY.jpg
Ya hassra ,il fut un temps à la goulette.
Et ils furent d'autres temps sur Harissa .
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 00:57


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AU NOM DE TOUS LES NÔTRES
.



‘…Lorsque tu es parti
Cher Ami co fondateur du site,
Ton décès a claqué comme un fouet
Dans tous les esprits.

Nous avons cru un instant
A une farce puis la réalité
Nous a rattrapé et là,
Nous fûmes contraints
De l’accepter avec beaucoup de tristesse.
Et beaucoup d’injustice.

Chez nous les juifs TUNES,
On dit souvent ‘Mche ou khelle fallou él hanin’
Il est parti mais nous a laissé son doux caractère…!’
Cela fait bientôt 5 ans que tu nous as quitté
Et nous t’avons tous dans notre mémoire.

Cette belle mémoire qui fait de nous
Des hommes et des femmes qui jamais
N’oublierons le mal ni le bien.

Toi tu étais le BON, LE BIEN.
Et ton silence aujourd’hui
Fait de nous des Harissiens
En manque de ta présence.
Avides de ce que tu aurais pu
Nous donner comme archives,
Sur cette communauté juive de Tunisie que tu aimais.
Profondément.

Le PTB est là, et tant qu’il sera là
Il ne T’OUBLIERA JAMAIS.
Paroles d’Albert.



C’est devenu une tradition au PTB de rappeler le souvenir de certains de nos chers HARISSIENS Disparus. Celle de Henri Bellicha z’al par exemple.

Voici ce qu’écrivait notre journaliste Mon_Germain. A cette époque.

Son décès a claqué comme un coup de foudre en plein été dans le site.
J’étais en vacances et j’ai appris cela en rentrant qqs jours plus tard.

Je ne le connaissais pas personnellement.
Je ne l’ai pas rencontré hélas mais pour le peu que j’ai pu lire sur lui, j’en déduis que Henri Bellicha était un homme du monde, affable, simple, courtois.
Un homme de goût qui a laisse un grand vide dans Harissa et au salon des dattes où il rentrait sous le pseudo de Raphaël.

Il était aussi dans la rubrique Judéo-arabe sous le nom de Mat_Chouéchi.
Ce mot a comme racine ‘chéyè’, ce qui veut dire tragédie, comme ghzira. Malheur.
Or, ce pseudo est une bénédiction sans doute la plus forte et le plus grande parce traduite elle veut dire

‘…Que tu ne sois jamais privé de tes enfants...’

Lui qui n’en avait pas, il souhaitait cela aux autres, tant est grande sa générosité. Tant il voulait du bien aux autres.

Il avait bcp d’humour. Il était l’inventeur de MDB ( Met Bel Dahq), histoire de contrecarrer le MRD( Mort De Rire) ou le LOL.

A sa façon, il voulait garder son empreinte de tune amoureux de son pays natal.
Il était grand connaisseur du judéo-arabe. Tune dans le sang, il en parlait avec nostalgie.

Il était l’ami de tous et tout le monde le respectait.
Au salon des dattes, il n’a jamais été pris en flagrant délit de mauvais mots.
Dés que son pseudo s’afficher, et voilà que par miracle, la liste des invités s’allongeait.

Il était rassembleur.

Dans nos pv nous parlions de temps en temps de la Goulette en judéo-arabe.
Il semblait l’apprécier et m’encourageait souvent à écrire sur ma ville.
Dans la rubrique judéo-arabe, il apparaissait de temps en temps sous Mat_Chouachi.
Je crois. Il était pure linguiste.

Dans le PTB qu’il a largement honoré par ses croquis et dessins, sous le pseudo de Anne Onim, ASH IYZBEL (Anagramme de Bellicha) il a été l’artiste peintre qui a relevé par ses esquisses une drôle d’enquête et aussi les aventures de Breitou à la Goulette.

Sur Radio H, Hajkloufette, Printania. Sibylle, Fernand, Albert, etc…Se sont lancés dans une enquête policière dont voici le début….Un délire qu’on voit rarement.
Il était de la partie Henri Bellicha z’al.


A suivre.....
Par Albert (Albert) le jeudi 12 juillet 2007 - 13h10:

HOMMAGE A HENRI BELLICHA Z’AL.



Qui était Henri Bellicha (Raphaël) décède le 13 JUILLET 2004.


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Ici avec le sculpteur César.

De Nice, nous est venu l'extraordinaire Henri Bellicha. Né à Tunis, il a fait des études primaires à l'école Bab el khadra et des études secondaires à Carnot et Mutuelleville. Ingénieur et entrepreneur, il dirige aujourd'hui une société d' ingénierie. Apres avoir vécu à Paris puis à Grenoble ou vit sa famille aujourd'hui, il est maintenant à Nice, vivant la douce vie de la Cote d'Azur.

Il a deux grandes passions, l'art et la Tunisie. Aussi depuis + de 20 ans, il a fait des recherches sur notre histoire et a accumulé une très importante documentation aussi bien sur la Tunisie que sur tous les sujets annexes que vous puissiez imaginer. Homme d'une grande discrétion, il ne se veut pas historien mais mémoire de notre communauté comme Charles Haddad, Sebag, Attal, les frères Allali avec qui il a des liens familiaux et d'autres. Pour lui, plus que l'analyse, les éléments du passe parlent d'eux mêmes et révèlent cette essence pure d'un temps qui n'existe plus.

Aussi, il ne veut pas écrire, mais il préfère montrer et que ce qu'il montre puisse raconter et éveiller des émotions enfouies. Et, vraie aubaine pour Harissa et pour nous tous, il a une qualité assez exceptionnelle. Il ne garde pas jalousement ses trésors mais son kif est en fait de faire profiter tous ceux qui le souhaitent. Vous avez du voir souvent des photos portant la mention "coll. Henri Bellicha" et je peux vous dire pleins d'autres mériteraient le label.
Je l'ai "rencontre" uniquement au travers de la technologie des emails, mais je peux vous dire qu'une vraie amitié me lie a lui maintenant. Sans jamais l'avoir rencontre. Nous communiquons plusieurs fois par jour et le plus souvent, il suffit d'un mot pour découvrir une piste d'intérêt commun ou réveiller des souvenirs oublies. Comme si, sans jamais s'être rencontres ni avoir vécu dans les même milieux, mais venant du même moule et partageant des passions communes, nous sommes arrives a une convergence de pensée. TUNE.

Henri, merci d'être ce que tu es et d'avoir si abondamment enrichi ce site. J'aimerais que tu continues ton merveilleux travail pour le bien de tous nos descendants.

Source Harissa.

Paix à sa grandeur d’AME.
Il m’a a plusieurs reprises croqué et offert ainsi, honneur suprême, ces croquis que vous pouvez admirer ici. Il était homme de cœur, talentueux, respectueux et plein de savoir vivre.
Jamais un mot de trop mais toujours digne et plaisant à tous les égards.





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Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 10:17
Mon ami Henri Bellicha

Cela fait cinq ans que mon ami Henri Bellicha a disparu. Il apparaissait souvent dans ses publications et dans le chat du Café des Dattes sous le pseudo de Raphaël.

J'avais rencontré Henri Bellicha, plus jeune que moi, à l'Hashomer Hatzair à Tunis, à la fin des années 1950.

Nous nous étions retrouvés grâce à une annonce qu'il avait fait paraître dans Harissa, au début de sa création. C’est ma fille qui m’avait signalé cette parution, car je lui avais raconté les faits décrits plus loin.

Voici le texte de cette annonce :
« Je recherche les anciennes et anciens de L'HACHOMER HATZAIR Tunis de 1955 à 1961, et en particulier ceux du makhané de Bizerte. ceux qui sont allés en ville et ceux qui sont restés dans la forêt. merci par avance. »

Nous avions participé ensemble à plusieurs makhanot (camps). En particulier ceux du R’mel, en 1960 et en juillet 1961, dans une forêt de pins au bord de la mer, près de Bizerte. Ce séjour avait failli se terminer tragiquement pour plusieurs d’entre nous car nous avions été pris dans les combats violents entre les forces tunisiennes et l’armée française.

Ceux qui sont allés en ville : la plus grande partie des jeunes était partie à Bizerte avec une partie de l’encadrement pour prendre le train et rentrer à Tunis car nous avions constaté que la tension montait dangereusement entre les autorités tunisiennes et les forces françaises.
Ceux qui sont restés dans la forêt : un petit groupe de jeunes, accompagné de moniteurs, avait démonté le matériel, et attendait l’arrivée de véhicules dans lesquels tout le monde embarquerait avec le matériel,.

Malheureusement le train n’avait pas pu partir vers Tunis car la voie de chemin de fer passait le long de la base aérienne française, et des combats violents avaient commencé dans l’après-midi du 19 juillet 1961. Ceux de la ville, une soixantaine de jeunes avec quelques adultes dont je faisais partie, restèrent bloqués en ville nouvelle jusqu’au 23 juillet, alors que ces combats continuaient dans les rues, jusqu’à l’occupation d’une partie de la ville européenne par la Légion Etrangère.

Après plusieurs jours d’incertitude et de difficultés de ravitaillement nous fûmes reconduits à Tunis par un convoi de voitures particulières venu de Tunis. Nous étions restés sans nouvelles de l’autre groupe, craignant le pire.

Ce sont ceux de la forêt, auxquels appartenait Henri, qui furent le plus en danger.

Je reproduis un extrait du livre de Patrick-Charles Raynaud qui relate ces évènements, La Bataille de Bizerte, publié chez L’Harmattan en 1996.
« Situé le plus à l’est, le fort du R’mel est tenu par une poignée de marins qui y entretiennent des batteries de 105 allemandes Krupp, installées par l’Afrikakorps du maréchal Rommel durant la dernière guerre mondiale. Fixes, ces tourelles sont pointées sur la baie mais peuvent être orientées vers d’autres objectifs. Au cours de la nuit, le quartier-maître chef armurier, ancien d’Indochine, a déplacé des silhouettes en contreplaqué de sa conception pour faire croire aux Tunisiens qu’ils étaient nombreux. En fait cinq marins en tout et pour tout assurent la défense du R’mel aidés par des chiens de guerre lâchés, pour la circonstance, dans l’enceinte du fort. Dans la nuit, des camions ont déposé des soldats tunisiens qui ont pris position dans le bois environnant, menaçant sérieusement la modeste garnison française. Une première fois l’aéronavale intervient et mitraille les environs du fort, à titre préventif. Mais vers11 heures, deux compagnies tunisiennes commandées par le capitaine Boubaker El Bekri se rapprocheront. Avec sa mâchoire lourde et ses cheveux noirs bouclés collés sur le front par la sueur, cet ancien sous-officier de l’armée française ressemble à un imperator romain. Il a combattu sous bien des latitudes, en Flandres en 1940 jusqu’en Indochine. Son expérience du combat lui a permis d’accéder à l’épaulette dans l’armée de Bourguiba. Alertés, les Corsair et les Aquilon de la flotille 11 F reviendront, piqueront et sèmeront quelques roquettes. Des camions brûleront. Les Tunisiens se replieront en emmenant leur capitaine blessé à l’épaule. Le bois du R’mel, à l’ombre duquel les bizertiens aimaient tant venir pique-niquer, flambera tout le reste de la journée. La position ne sera plus menacée. »

Ce récit donne une idée précise de l’enfer dans lequel s’étaient retrouvés Henri et ses camarades.

Lors de notre rencontre en avril 2002 je lui avais apporté ce livre qu’il ne trouvait pas à Nice. Il m’a dit que des roquettes avaient explosé très près de son groupe qui, vu d’avion à travers les pins, ne se différenciait pas du reste des troupes tunisiennes. Il m’a confirmé qu’ils avaient rencontré la compagnie tunisienne et qu’ils avaient eu de grandes craintes avec le capitaine Boubaker El Bakri qui, méfiant sur les causes de leur présence en ce lieu, les avait interrogés longuement avant de leur permettre de repartir librement. C’est un miracle que tous les membres de ce groupe soient sortis indemnes physiquement, mais pas moralement, de cet épisode tragique qui avait profondément marqué Henri pour toujours.

Peu après tous les mouvements sionistes en Tunisie s’étaient volontairement dissous.

Il avait relancé plus tard son appel dans HARISSA pour retrouver d’autres anciens :
« ANCIENS DE L'HACHOMER HATZAIR DE TUNIS: Meier,Yoel,Yoav et Reouven se sont retrouves grace a Harissa. Qu'attendent les autres pour nous écrire afin de nous réunir ou correspondre, échanger des souvenirs et des photos. Alors, Giza, Jeannot, Shimchon, Avi, Simone, André, Ilana, Ruthi, Yeoudith, et tous les autres, ou êtes vous et qu'êtes vous devenus. »

C'est avec un plaisir réciproque que nous avions échangé sans réserve nos souvenirs, nos photos et nos documents. En dehors du café des dattes, nous étions restés régulièrement en contact par mails et par téléphone.

Malgré la longue période durant laquelle nous nous étions perdus de vue, nos échanges avaient été rapidement chaleureux et ce passé commun avait permis une complicité implicite et constante. Chaque fois que l’un d’entre nous retrouvait des documents de cette époque, il en faisait part à l’autre et les lui communiquait.

Il m’avait informé qu’il entreprenait la réalisation d’un plan de la ville de Tunis à partir des plans antérieurs et des photos aériennes qui avaient paru dans HARISSA. Peu avant sa disparition il m’avait annoncé qu’il avait des nouveautés à me transmettre prochainement. Malheureusement je ne les ai jamais reçues.

Depuis cette date je pense souvent à lui et je ressens le vide créé par son absence.

Albert a bien décrit le rôle important et la contribution continue d’Henri dans HARISSA jusqu’à sa brusque disparition qui a été vécue comme une tragédie par tous les harissiens.

Voici deux photos dans lesquels Henri et moi sommes ensemble.

La première a été prise au camp du R’mel, autour du drapeau. Henri est le 2ème à partir de la droite, tenant le drapeau à deux mains. Il avait été très content lorsque je la lui avais transmise car il ne l'avait pas.
La seconde date d’avril 2002, sur la terrasse du café-restaurant où il aimait rencontrer ses amis parmi lesquels il y avait de nombreux artistes.


Pièces jointes:
Henri B-120709.jpg
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 11:11
Mon cher MeYer, quel joli témoignage qui me donne la chair de poule.
Merci du fond du coeur.

Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 11:33
Merci à toi, Meyer, ce témoignage est très émouvant, il ne se passait pas, en effet 15 jours sans que Henri, en plein cauchemar ne hurle "au secours" ou autre, Bizerte l'avait traumatisé à jamais.

Ce Plan de Tunis, je l'ai cherché partout sans trouver autre chose que ce que tu as en mains.

Je ne sais pas ce qu'il a mis et où, sur Harissa, ce qui complique beaucoup, pour moi, un travail de complément, si toutefois il n'avait pas mis la totalité de ce qu'il possédait ou si ce n'est pas chez son neveu Fabrizio.

Je ne peux pas scanner des livres entiers dans l'espoir de poster ici quelque chose qui n'y serait pas déjà.

Il faudrait pour cela que je lise tout ce qui a été publié, et tout ce qui est chez nous.

Merci d'avoir écrit ces souvenirs, Meyer, le restaurant dans lequel vous êtes photographié s'appelle Le Safari et c'était son "bistrot" favori.
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 12:07
Trés émouvantes ces photos Meyer et le rappel d'Albert qui a engrangé les dessins BD de Raph -
Nous habitions la même rue sans nous connaitre, il avait une mémoire fabuleuse concernant la tunisie....sa joie quand je lui ai dit que je connaissais Blandine ...mes pv ratés dont il se moquait, toujours avec finesse.

j'étais conquise par l 'affiche nous représentant (moi en Mamilivournaise)- j'en parlais avec lui pour lui dire : mais qui a fait cette affiche , quel talent !!discrétion ?....modestie?...ou humour il disait ne pas savoir - il devait rigoler en douce -

Son décés brutal- Zaza informée la première- nous a tous rassemblés dans la peine - au Café des dattes - des quatre coins de la planéte nous étions tous au rendez vous --pour parler de lui - et nous en parlons encore 5 ans aprés ....

Qu'il repose en paix - amen -
Re: *****GALERIE DESSINS HENRI BELLICHA *****
12 juillet 2009, 15:20
Le kandil (veilleuse du souvenir) d'Henri Bellicha.
Il a été posé à la synagogue tunisienne Ohr Torah d'AKKO (Saint-Jean d'Acre), recouverte entièrement de mosaïques.

Isaac-Henri Bellicha Z"L fils de Hannah


Pièces jointes:
DSCN2996bis-comp.jpg
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