HOLOCAUSTE- LA SHOA

dehors il faisait un temps de printemps et c etait tres agreable.
il etait 14 heures et je me suis mise a table , j avais eu une journee chargee ce jour la et je pensais a cet apres midi ou je pourrais vaquer a mes occupations personelles .je venais a peine d entamer ma salade
lorsque le telephone sonne : au bout du fil c etait mon chef de service
elle s excuse de me deranger mais elle me dit avoir besoin de moi
voila c est pour un couple , elle , elle souffre de problemes respiratoires et lui souffre de sa jambe a la suite de complications vasculaires c est urgent dit elle si tu peux leur faire visite
aujourd hui meme, l ordonnance de leur medecin traitant se trouve chez lui
que tu saches ils sont tous les deux rescapes de la shoa .A demain!

a l appareil c est lui qui me repond , je me presente et j annonce
ma visite pour 16heures.

c est une jeune fille au teint clair souriante qui m ouvre la porte
elle ne parle pas la langue ,que le polonais et l anglais
elle m accompagne au salon . ils etaient tous les deux assis.
elle, une petite femme toute menue avec un dos rond
ses cheveux etaient colores brun, elle etait sans maquillage
une robe imprimee foncee avec un plastron en dentelle
et une paire de chaussures { de grand mere}orthopedique claire

lui des grands yeux bleus presque chauve tout droit et grand de taille
une chemise blanche deboutonnee au col un pantalon gris et des pantoufles.
elle , elle ne parle que le polonais et l yddish
lui , parle le polonais l allemand l yddish et l hebreu
il n y avait pas de differrence d age entre eux et ils approchaient des 90 ans.
aucune alteration de l esprit ils etaient attentifs au moindre mot
et attendaient patiemment d etre soignes.

des le debut ils n ont pas accepte que je m adresse a eux par leur nom
ils tenaient a ce que je les appele en polonais : TCHOTCHA { tante ou tata}
et VUIEK{oncle ou tonton}
dans la premiere semaine de mes visites ils m ont remis un livre
assez epais ce sont eux qui l ont ecrit, en polonais en yddish en hebreu ,
et en allemand.
ils etaient jeunes et ils s aimaient eperduement ils s etaient connus en pologne dans une petite ville
ils se marierent et pendant de nombreuses annees ils n ont pas pu avoir d enfant et un beau jour ,elle m est au monde un joli poupon qu ils nomment : SARAH
c est un hiver rude ce jour la en pologne.
Sarah a a peine trois ans, elle est quelques fois sur les bras de sa maman {tchocha} et quelques fois elle marche toute seule tenant la main de sa maman .ils sont des centaines. ils ont TOUS l etoile jaune
sur leur vetement. ils sont en file deux par deux dans la rue, sur les cotes, des soldats allemand en uniforme ss ,leur fusil braque.
eux ils ne savent pas ou ils vont . il y avait tchotcha vuiek sarah les parents de tchotcha et vuiek les cousins les freres de vuiek
les voisins ,des connaissances de la synagogue et des scouts
TOUS sans exceptions, JUIFS
ils arrivent en gare toujours guardes par les ss , avec eux ils ont pris une toute petite valise marron : les affaires de sarah.
ils ont tout laisse derriere eux, quelques polonais leur ont dit que c est pour un laps de temps qu ils ne doivent pas s inquieter , ils reviendront.
ils montent difficilement les marches du wagon. c est un train pour BETAIL. la famille est separee . tchotcha se retrouve dans le wagon avec sarah dans les bras ,ses parents , et quelques cousins.
tchotcha cherche vuiek ils sont tous serres l un a l autre et ca sent mauvais elle crie son nom , il n est pas avec eux.
un ss ferme la porte de bois, pousse le loquet
le train roule lentement ,tres lentement une puanteur d excrements se mele a la feraille et au betail. ils arrivent a casser une latte de bois pour avoir un peu d air
et ensuite ils arrivent a ouvrir le loquet et LA PORTE
ils sautent . quelques uns se font fusiller , on entend des coups de feu
quelques uns courrent on ne sait ou
tchotcha prend une decision elle se tourne vers ses parents: je vais sauter du train, jette moi sarah ensuite sautez vous aussi ne craignez rien dit elle avant d avoir fait sa petite priere.
sa maman accepte. tchotcha choisit le moment dehors il neige on ne voit pas grand chose . elle saute elle tend ses 2 bras en criant sarah sarah
et c est tout le train continue la route
sa maman n a pas jete Sarah.
tchotcha est perdu elle ne sait pas que faire autour d elle il n y a RIEN que de la neige . ses pieds sont geles elle marche difficilement
elle perd connaissance dans la neige .
lorsqu elle ouvre ses yeux elle entend une voix
elle rencontre un regard bleu , un bleu indini : c est un officier haut grade allemand en uniforme SS il la tient par les epaules.

{ a suivre }

tchocha sort d une famille modeste et religieuse traditionaliste elle n a jamais travaille, mais avait recu toutes les bonnes cultures de famille juive polonaise : la couture la broderie le canvas la musique ainsi que les instruments et l art
tandis que vuiek sort d une famille aisee , religieuse et traditionaliste. vuiek tres jeune a etudie le metier d ebeniste
et il travaillait avant la 2 guerre a son compte ,dans sa petite ville de pologne.
l officier allemand parle a tcocha en allemand elle a peur de parler
elle rassemble le peu de ses forces et avec un accent polonais
elle lui dit en polonais qu elle s etait promenait et avait trebuche
non loin.
il lui repond en allemand : je sais que tu es juive je vais t emmener et tu seras sauvee
ces mots se troublent dans sa petite tete, et elle fait des efforts pour comprendre ,car ces paroles resemblent un peu a l yddish
il la depose dans sa voiture militaire . il est seul.

il la depose ensuite dans un petit village ,dans une sorte de ferme
chez une famille catholique polonaise.
il se presente en polonais demande a ce qu on s occupe de la jeune Tchotcha et ils ne se reverront plus. Son nom ne sera pas mentionne.
Tchocha restera des mois chez cette famille jusqu a la fin de la guerre
elle y vivra en cachette. elle participe au besoin journalier dela maisonnee.

toute la famille de Tchocha a ete gazee et menee au four crematoire
ainsi que la petite Sarah dans les camps de concentration
Vuiek perdra ses parents et plusieurs membres de sa famille dans les camps de concentration

Vuiek n a pu monte dans le wagon avec Tchocha , il a ete repousse
par un soldat ss et est arrive a Treblinka. il etait seul avec aucun membre de sa famille. il reussit a se sauver { c est trop long a raconter} et se cache dans une mansarde d 1 m sur 1 m courbe
pendant 6 mois.
Vuiek retrouve Tchocha a la fin de la guerre ,par miracle tchocha est aide par la famille catholique.
cette meme famille est inscrite parmi "les genereux et charitables gens" sauvant des juifs pendant la guerre.
les petits enfants de cette meme famille , 2 grandes jeunes filles
se sont faites inscrire au ministere de l interieur en Israel
pour se porter volontaires aupres de Vuiek et Tchocha pendant leur veillesse. elles vivaient toutes les 2 aupres d eux . elles avaient leur chambre , et assistaient aux besoins de ces personnes agees.
l une d elles a immigre aux etats unis et l autre a epouse en mariage civil un israelien des forces de l ordre.


Vuiek et Tchotcha retourne dans leur petite ville de pologne a la fin de la guerre chercher leurs proches, revoir leur maison
ils n ont rien trouve. leur maison a ete entierement pillee
et entre des feuillets d un vieux journal ils ne leurs restent qu une photo qu ils ont retrouve c est celle de SARAH lorsqu elle avait 2 ans.
cette photo seule garnissait les murs blancs de leur appartement en Israel.
lorsque Vuiek et Tchotha eurent 90 ans ils inviterent, par une tres jolie carte ,tout le personnel medical qui s etait occupe d eux.
dans une grande salle ils avaient organise une grande ceremonie
on aurait dit un marriage: il y avait des fleurs blanches et roses de partout, un repas somptueux et des musiciens ainsi que des danses hassidiques.Vuiek et Tchotha se sont eteints a l age de 92 ans . lui tout d abord et elle quelques semaines apres dans leur appartement.
auparavant ils ont legue tout leur argent { Vuiek avait repris son travail en Israel et tous deux recevaient des indemnitees d apres guerre} pour l edifice d un batiment de culture @#$%& pour les habitants. cet edifice porte le nom : SARAH et il se trouve a ramat gan

sources: Vuiek et Sarah za"l

Joli récit véridique Patricia.

un israelien producteur de lampes ,R Bergman s est lie d amitie
avec un couple d allemands de la ville d Hanovre en Allemagne
quelques annees plus tard il devra voyager a Hanovre pour une foire
concernant ses occupations
il informe ses amis de sa venue et ceux ci l invitent dans leur foyer.
sur les murs de leur habitat, se trouvaient deux dessins de couleurs.
l hote expliqua a l israelien en visite que l appartement appartenait
a un commandant ss du camp d Auswitch ,et un prisonnier juif avait dessine ces deux dessins au ss en 1942.
ce commandant ss selon l hote, avait laisse en vie le prisonnier juif
contre ces deux dessins
ces deux dessins n ont pas ete signe de l auteur ,et son nom est inconnu
apres le deces du commandant ss , la femme de celui ci part habiter en maison de retraite. elle laissera ces deux dessins au couple.

ces dessins sont photographies et leurs histoires restent un mystere
du faite que l auteur n a pu etre identifier
a t il survecu?
a t il immigre en Israel?


ils sont la devant moi ,l un represente une etendue d eau ,dans un clair de lune et dans la penombre, on apercoit une personne adossee a un quai ,au loin du paysage on remarque une petite etoile a 6 branches

l autre represente une demeure , un chalet en hiver ,la neige tout autour et des rails de chemin de fer allant vers ce chalet
un arbre enneige, tout pres du chalet se garde de cacher la cheminee du chalet dans le dessin

COMMENT CROIRE EN D... APRES LA SHOAH- par Daniel Horowitch
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quelques jours apres la commemoration des 6 MILLIONS DE JUIFS extermines par le nazisme pendant la seconde guerre mondiale
un texte de Horowitch a attire mon attention sur harissa.com{les juifs tunisiens et le nazisme}

il cite le philosophe Maimonide ainsi que d autres
comme HansJonas qui dit que la realite des camps d extermination nazis s accomode mal d un dieu attentif a ce qui se deroule au monde

quant a Maimonide il cite que D... ne fait pas partie du monde et si on ne peut pas Lui parler ni parler de Lui s il n influe en rien sur la Nature {et ses lois} ni sur l Histoire il dit: a quoi cela peut il bien servir de le servir

{FAUT IL SEULEMENT COMPRENDRE LE VRAI SENS DU MOT SERVIR DANS LE SENS MORAL DES CHOSES}

pour ma part le livre de Maimonide : le guide des egares garni bien ma bibliotheque comme d autres philosophes

de part mes multiples rencontres avec les rescapes { ashkenazes et qq uns sefarades}de la shoah et des camps ainsi que ceux qui ont ete cobayes d experience du dr Mengele et ce de part mon travail
ces personnes qui ont cesse de croire en D... ou qui n ont jamais cru
ONT CRU PLUTOT AU PERE NOEL
de par leur education et leurs mauvaises influences qu ils ont adopte
BIEN LOIN DE RESSEMBLER AU JUDAISME

combien en existent -ils encore aujourd hui de par le monde et en Israel ou je vis
les horreurs de la guerre{la perte du combattant} les seismes et les desastres de la Nature n ont JAMAIS change la nature du vrai croyant de celui qui ne vit pas dans les chimeres de statuettes ou de photots de saints acroches aux murs dans la comtemplation de la beatitude
le nazisme et leurs collaborateurs ont grave a jamais la face des innocents civils veillard hommes femmes enfants bebes et femmes enceinte
{de meme que leurs animaux de compagnie qui ont ete sauvagement tue}
des morts vivants sans armes ni moyen de defense depouilles et nus devant le SADISME et la PERVERSITE
c est INNOUBLIABLE
qui donc vous en ont parler a l ecole en TUNISIE comme en FRANCE???

le vrai croyant n a jamais mis en doute l existance du D... Eternel
il ne va pas non plus le chercher trop loin

il n a jamais pense qu IL allait descendre du ciel

le face a face a oui existe en la presence de Moise {pendant la remise des 10 COMMANDEMENTS- et des lois qui suivent }
{ et le meurtre commis par MOISE d UN egyptien pou defendre un esclave hebreu a ete impardonnable aux yeus de D...}
Moise n a jamais mis le pied sur la terre d Israel
faut il etre assez meritant pour y acceder dans la paix et la joie

pourrai t on le faire comprendre ou le faire admettre?
celui qui l a compris c est comment se tenir dans LA DISCUSSION

est ce que la philosophie de Maimonide ou d autres philosophes est un analgesique ou un calmant?
le judaisme differe de la croyance du GOY
et cela releve de l etude de l education de l appartenance et du meli- melo
d entres les peuples et les cultures

MY FAITHFUL FRIENDS- SUZAN BULANDA

est un livre sur les petits animaux domestiques chats chiens etc qui
appartenaient aux juifs pendant l holocauste {la shoah} en France Pologne Hongrie Grece etc...de part l Europe

un livre que je recommande de lire et de faire lire meme aux petits

[midi-pyrenees.france3.fr]-[midipyrenees]-20140213-[info-titre1]

Il y a quelques années…

Il y a quelques années encore, je sortais dans la rue avec une étoile de David autour du cou.
Il y a quelques années encore, je n’avais pas peur d’emmener mes enfants à l’école.
Il y a quelques années, il était possible d’enseigner la Shoah dans tous les collèges et les lycées.
J’osais aborder le thème d’Israël avec mes amis non-juifs.

Il y a quelques années, j’ai donné à ma fille un prénom français.
Je l’ai inscrite à l’école publique, sans penser qu’un jour je devrais l’en retirer par peur qu’on ne la frappe parce qu’elle était juive.
Je ne voyais pas apparaître des caricatures dignes des années Trente sur Internet.
Je ne trouvais pas non plus quantité de sites répertoriant les noms des personnalités juives en France.
Je ne rencontrais pas sur Google, You Tube ou Facebook des propos antisémites.
Et dans le bar d’un grand hôtel, je n’avais pas entendu les délires d’un vieux fou, qui n’était ni vieux ni fou.

Il y a quelques années, je lisais les journaux.
Je regardais les nouvelles à la télé.
Pour moi, la Shoah était incompréhensible.
Je me disais : plus jamais ça !
Et surtout, je me demandais : pourquoi les Juifs ne sont-ils pas partis à temps d’Allemagne, alors que tant de signes inquiétants auraient dû les alerter ?

Il y a quelques années, je ne me savais pas en exil sur ma terre natale.
La France était mon pays, ma culture, ma façon d’être et de penser.
Je pensais que nos dirigeants nous protégeaient.

Il y a quelques années, je partais en vacances dans les pays arabes. J’aimais aller sur la trace de mes ancêtres, les Sépharades.
Ceux qui furent massacrés à Grenade en 1066 par une foule qui haïssait les Juifs qui, disaient-ils, étaient riches et puissants.
Ceux qui, victimes de l’Inquisition, furent obligés de se cacher ou de partir.
Il y a quelques années, je ne pensais pas devenir marrane.
Il y a quelques années encore, je ne pensais pas entendre scander des slogans anti-juifs dans la rue.

Il y a quelques années, j’avais foi dans l’homme.

Il y a quelques années, Ilan n’était pas mort.
Myriam, Gabriel, Arié et Jonathan étaient encore en vie.
Il y a quelques années, il était encore possible d’être juif en France.

Par Eliette Abécassis

[[i]J'habite au N°18 de ma rue. Au N°10 il est indiqué que Joseph W. a été déporté à l'âge de huit ans.
L'article mentionne une exposition au CNAM sur les enfants déportés. Les panneaux ont été vandalisés :[/i]
[www.metronews.fr]
Des panneaux sur la déportation d'enfants juifs vandalisés dans le 3e
CRÉÉ : 30-01-2014 12:02
Sur chacune des cartes on peut agrandir dans chaque localité jusqu'à ce que des noms apparaissent avec l'adresse exacte. Pour cela il faut d'abord cliquer dans l'article sur chaque URL indiquée sous le nom de la carte.]

Une carte interactive de la déportation des enfants juifs en France
Le Monde.fr | 15.02.2014 à 21h03 • Mis à jour le 16.02.2014 à 15h10 |
Par Denis Cosnard

La carte de France des enfants juifs déportés.
[tetrade.huma-num.fr]

A première vue, cela ressemble à un plan interactif comme Internet en offre à foison. Un bel hexagone à l'intérieur duquel on peut zoomer, jusqu'à détailler chaque rue de Paris, Marseille ou encore Bordeaux. Des points marron apparaissent alors. Mais ils ne correspondent pas à des magasins ou des bars branchés, comme sur Google Maps.

Il suffit de passer le curseur sur chaque cercle : une bulle indique le nombre d'enfants juifs qui furent arrêtés sur place, puis déportés. Un clic, et voici leurs noms, leur âge. Au 56, cours Lafayette, à Lyon : Jacques Sciandra, 17 ans. Un peu plus loin, au numéro 8 9: Dario Sarfati, 1 an seulement. Plus loin encore, au numéro 175 : Lipold et Georgette Epsztajn, 12 ans et 15 ans. Tous ont quitté Lyon au printemps ou à l'été 1944. Direction Auschwitz.

Des noms, des prénoms, des adresses. Et cela pour les 11 458 enfants juifs arrêtés en France entre juillet 1942 et août 1944 et envoyés vers les camps de la mort. Cette carte interactive d'un genre inédit est accessible en ligne. Elle fait simultanément l'objet d'une exposition sur les grilles du Conservatoire national des arts et métiers, dans le 3e arrondissement de Paris, l'un de ceux où le plus d'enfants furent arrêtés. Cette carte a été réalisée par Jean-Luc Pinol, un historien, professeur à Normale Sup, à partir des données collectées depuis des années par Serge Klarsfeld. Leur rencontre a donné naissance, en 2012, à une première cartographie de la déportation des enfants juifs, limitée à Paris.

La carte des déportations d'enfants juifs à Paris.
[tetrade.huma-num.fr]

Leur travail, très spectaculaire, est aujourd'hui étendu à toute la France. Il ancre des faits d'il y a soixante-dix ans dans le paysage actuel. L'expérience est marquante : entrer son adresse personnelle sur le site permet souvent de découvrir que des enfants ont été arrêtés tout près. A part la Corse, pas un département n'a été épargné.

Le projet, cependant, dépasse le cadre de la mémoire et de l'émotion. C'est aussi un outil permettant aux historiens de poser des hypothèses, de les tester, et de mettre en évidence certains phénomènes. A Paris, la cartographie montre ainsi qu'un quart des enfants arrêtés résidaient dans des îlots insalubres. On est loin de la mythologie antisémite sur les juifs richissimes.

[lemonde.fr]

Lire aussi : La carte des enfants déportés

[lemonde.fr]

Déportation : la carte et la mémoire
LE MONDE CULTURE ET IDEES | 14.02.2014 à 10h37 • Mis à jour le 14.02.2014 à 11h12 |
Par Denis Cosnard

[les-plus-beaux-films.blogspot.co.il]#!


des descendants nazis se convertissent au judaisme et nombreux vivent en Israel se sentant responsable d un devoir