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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 novembre 2017, 01:58
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 novembre 2017, 02:59
LES ENFANTS DU PAYS...OULED EL BLED.

LES ENFANTS DU PAYS sont devenus vieux...Ils ont prit de l’age comme moi mais leur mémoire est restée intacte ainsi que leurs souvenirs...Ils ont vécu avec nous et nous entre eux, nous n’étions pas une zone tampon, une communauté tampon entre d’autres communautés, nous étions une seule communauté qui marchions sur les mêmes trottoirs, qui empruntions les mêmes rues, qui avions les mêmes hobbys et sur les tables de cartes juifs arabes ou chrétiens trichaient.

Les vieux enfants du pays savent de quoi je parle...Les nouveaux enfants sont braqués sur ce qu’on leur vend à la télé….Ignorant qq chose qui ne connaissent pas..Puisque là bas, les portes en fer de la syna sont fermées durant les offices et si je parle de taliths à M’Hamed ..15 ans, il va me regarder avec des yeux surpris alors que SI FAWZI...70 ans sait de quoi je parle...Combien cette année d’enfants du bled ont t’il vu de CHEUKAS à la Goulette… ? Combien y en avaient t’ils dans les années 60…. ?? Ye SI MAHMOUD… !! Qolli ye si GZHAIER….Euchkoun cen i 3âbi el qkfef bél mandaline ouel bordgan… ??? Dis moi TOI LE MARCHAND DES 4 SAISONS, qui remplissait ses couffins de mandarines et d’oranges… ? MADAME HAYE..BARQ… ? Que maman.. ?

LES ANCIENS ENFANTS DU PAYS parlaient les deux langues...LE JUDEO ...Les nouveaux l’ignorent ….Les enfants du pays n’ont pas la chance de croiser FRITNE la grosse ou Millie el hafiéne...Moins encore DIDEKH el 3âyeb...Ni MOI...ET PLUS DE MAHOU LA SORCIERE...SAMSSARA...MECHBOUGHE...METNE….JAMAIS SORTIE DE CHEZ ELLE PARCE QU’ELLE AVAIT 3 MÈTRES DE TOUR DE TAILLE...Bon tans pis pour eux...LES NOUVEAUX ENFANTS DU PAYS QUI DÉFILENT AVEC DES DRAPEAUX ...
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 novembre 2017, 00:07
Mais qu est ce OULD EL BLED…. ???

J’ai parlé de OULD EL BLED...Fils du pays….

Avez vous compris la nuance entre un fils du pays et un qui vient de s’installer au pays...Ce dernier n est pas FILS DU PAYS mais adopté par le PAYS….Ould BLED est né dans le pays. A bu le lait de sa maman qui est née dans le pays...Qui a grandit avec des NÉS DANS LE PAYS...C est important de le dire...( Des beurs revenus au pays n ‘ont pas pu s’adapter facilement aux mœurs du pays) bien que leurs parents furent à un moment donne OULED EL BLED….UN fils du pays parle la langue du pays...C est une obligation, c’est sa marque déposée….On me reconnaît en vacances FILS DU PAYS si je parle ARABE sinon je RESTE GAOURI….Étranger.

OULD EL BLED….Sait dire DIN OMOQ...etc...Chante tunes orientale même faux mais il chante. Il gouté à tous les plats culinaires de son pays dans toutes et même allongés, nous jeunes tunes FILS DU PAYS aimions mangé dans notre lit sous la couverture qd il faisait froid et que nous n’avions pas de chauffage mais le CHEKHEN….Un fils du PAYS ne se retourne pas derrière une femme en sef sari….Sauf si vraiment elle en vaut la peine….Et si elle vous regarde de trop..Lo ;…

Un OULD BLED n affronte jamais le regard de son papa ou de sa maman...Elle lui dira ‘..ABET AINEQ YATIC KOHLI….Baisse les yeux qu’il t’arrive une noirceur, aveugle, et si la maman se plaint du comportement d’un OULD EL BLED de son fils, a son papa , celui là peut dans un accès de colère le TUER. Oui...Parce que UN OULD EL BLED se doit de RESPECTER SES PARENTS...SES VOISINS ET TOUS LES VIEUX ET VIEILLES qu’ils croisent sur son chemin.

Lorsqu’on se dit OULD EL BLED on ne va pas chez les autres FOUTRE LA MERDE...ON RESPECTE LE PAYS QUI ACCUEILLE...SES FEMMES ...ENFANTS ETC...Et pas comme je le vois dans le MÉTRO ..LA HONTE D UN OULD QUI N EST PLUS DU BLED mais qui a perdu la notion De l HONNEUR DU BLED….J ‘ai la HONTE DU FILS D UN BLED dont je suis encore celui là….YATIEM HAZOUQ AMIN...

Vous avez bien compris..YE OULED BLEDI..III… ??
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 novembre 2017, 01:31
LE GRAND ARBRE.

J’ai rêvé que j étais un grand arbre...Rappelez vous de celui qui a rêvé d’être une femme et l’autre qui chante JE SUIS UN HOMO et bien moi mon rêve m’a mit au vert.

Oui, un grand arbre dont les racines flirtent avec le royaume de DANTE sans se brûler, et mon fait qui chatouille les nuages là où la voix de D ieu me parvient. J’ai rêve que mes branches étaient si grandes qu’elles atteignaient l’horizon et que le soleil matinal se posait sur le bout de mes bras avant de commencer sa chaude journée et quand vient le soir, il s’asseyait un court instant avant de s’absenter et s’éteindre...Sous la terre….

Tous les oiseaux du monde venaient se poser sur mes feuilles persistantes, des chants divins sortaient de leur petite gorge tant et si bien que mes feuilles dansaient du soir au matin...sous les CUI CUI ET LES QUOI QUOI….Les oiseaux migrateurs, les migrants, qui par dessus ma tête passaient, s’abreuvaient d un peu de rosée…..Certaines de mes branches pliaient parfois sous le poids de leurs excréments, el khraa mtayem...et les pipis tellement, que beaucoup d’entre elles souffraient de la goutte jaune.

Que de voyageurs de passage fatigués par de longs parcours, sous mes ombrages n’ont t’ils point partager entre eux l’eau et le pain et combien d’entre eux n’ont t’ils forniqué nus sous mon regard laissant sur mes écorces des arcs, des flèches et des cupidons...J’ai bcp saigné et cicatrisé.

Combien d’entre eux, j’ai couvert et protégé de la pluie, abrité des éclairs et qd le tonnerre se faisait menaçant j’ai ouvert mes creux pour les abriter, et je pardonne à ceux qui ont levé la jambe pour m’abreuver d’éjections ou baisser leur froc pour chier sur mon tronc.

Des hommes en hache, venus à pieds, des campagnes sombres sont venus en hâte handicaper mon corps, qui de grosses branches ou de brindilles, ils ont remplis leur hotte pour réchauffer leur coeur dans leur chaumière. En judéo, mon voisin me dit ‘..Tarf lham meni me choudouch’lec.. !’ Jamais je ne t’interdirais un morceau de ma viande, sers toi… !’ Énorme sacrifice, preuve d’un grand amour envers ceux et celles que l’on reconnaît comme homme ou femme de bien.

Sous mes feuillages, des hommes en colère ont croisé le fer et leur sang a giclé et sur mon tronc il sèche….Une autre d’une balle au cœur, il s‘est endormi, le corps et l esprit en paix...Un lointain cousin par la grâce de la Fontaine fut déraciné par un vent tropicale et devant un roseau il meurt…

J’ai vu le lion refuser le coup de pied de l’âne et se lever sur ses pattes comme avant qd il avait 20 ans….Et sans oublier qu’un matin, aux aurores, aux maures et aux sarrasins, ROLLAND se fendit la gorge en soufflant de son cor.

J’ai rêvé ce matin que j’étais un grand arbre….A mon réveil, surprise, je me rend compte que je ne suis qu’un simple vieux arbuste, le commun des papas qui reçoit sans broncher… car par trop d’amour, je plie...Et que pour elles, je me couperai en quatre...et supporterai tout.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 novembre 2017, 03:20
MOHAMED SALAH….

Je vous parle d’un fait qui date car tout ce qui date mérite d être remis en vogue.

Papa Deidou me raconte ‘...Chouf ye ouldi...Regarde mon fils… !’ Edeq ( tu vois celui là) il me pointe du doigt Mohamed SALAH le graveur, l’écrivain de notre atelier.

C’était il y a 40 ans.

‘..Omou jét lebche bel houli ou mouechme mel fouq el louta...Sa maman était venue me voir en habit traditionnel, le houli, tatouée des pieds à la tête… !’ Ouldé ouraa cheded el houli….(Son fils positionné derrière elle lui tenait un pan de son habit). Il avait 12 ans...Et pieds nus, sa morve au nez… Je continue en français….’...Mr Deidou, ( papa était connu sous ce nom à BAB EL KHADRA) je t’amène mon fils, EL SBAY (vierge, puceau, pur) pour lui apprendre un métier. .. !’

Il faut savoir que chez ces gens là, la parole est sacrée et ne doit souffrir d’aucun manquement à la parole donnée. Madame La maman était de celle qu’on appelait VILLAGEOISE, dames des campagnes qui ne se plaignent jamais et qui parlent avec LE G...Gotli….Elle vivait donc avec son jeune fils, veuve, seule et sans ressources, faisant qqs travaux ménagers.. Ils habitaient Jbel Jelloud dans un taudis. Un gourbi à l’époque.

Donc papa promet d’embaucher son fils, le lendemain. Le jeune Mohamed Salah malingre à cette époque, tête basse et les yeux collés par terre, fait son entrée chez papa, le lendemain.

Deidou z’al lui explique ce qu’il doit faire...Prendre un burin, on appelle cela BOUNTA et taper sur un gros bloc de marbre afin de forger ses doigts à la dureté de la frappe . Une semaine de ce régime et croyez moi, tous les doigts saignent ( je suis passé par là) Au bout d’un mois des cales se forment et la peau de la paume de la main se durcit.

Le jeune paraît curieux de tout et il maîtrise le burin. Il veut tout voir et apprendre..Papa lui conseille de se calmer...Enfin après un mois de burinage, il le met à la gravure, il lui trace qqs mots en français à l encre de Chine sur une plaque de marbre et lui apprend comment graver en profondeur. EL NAQCH ….EL HROUF. Puis un jour, il se prend à écrire en arabe sur le marbre...Sans faute et bien aligné tout en respectant les espaces..

Papa n' en revenait pas. MAX etait aussi surpris de voir ce jeune venu il y a peine six mois, maîtriser le métier de graveur et de calligraphe mais mieux encore, il se formait à l hébreu. Du coup, c’était lui qui calligraphier les ‘douats’ versets coraniques en arabe sur les plaques tombales et gravait l hébreu dans toutes les formes possibles, creuses ou en relief.


Il s’attelait même à traduire les noms juifs en hébreu au point de contredire le rabbin ou mon papa ou frère sur telle ou telle lettre...Il avait 15 ans le jeune. Ce métier de marbrier s’apprend vite pour ceux qui s’y mettent et ne craignent pas la dureté du métier car il ne suffit pas d être graveur seulement mais omni tout pour remplacer l’absent.

Il était coupeur, ponceur, en plus de graveur, il voulait tout faire et tout connaître. Lorsque je rentre en 1970 avec mon père CHEZ MON PAPA, j ai affaire à une jeune homme accompli.

Entre temps, on apprend qu’il a change de domicile et qu’il habite dans un quartier présentable, dans un appartement avec sa maman, tjs assise par terre me dit t’il...Ils sont sortis, grâce à son travail de la grande misère.

Un jour, je lui demande de voir sa maman...Il accepte et lors d’un déplacement au borgel, je fais le détour. Je fais connaissance avec celle qui la fait venir au début voir papa, sa maman, assise par terre sur une hssira.

Chez ces gens là, on n ‘embrasse pas, on tend la main pour se saluer. J’ai vu la dame, la maman de MOHAMED SALAH..Digne, silencieuse, m offrant un verre de thé ‘...Enté ould DEIDOU…. !’ Tu es le fils de DEIDOU… !’ ‘..Eye nââm… ! Oui et là stupeur, elle se lève, nettoie son HOULI et vient m’embrasser. Ces gens à la culture saine et propre surtout sont des femmes d’honneur comme je l’ai dis plus haut...Elle se rassoit après sa bise. Comme si rien n’ était.

MOHAMED SE MARRIE.. Sa maman habite avec lui ‘...WIN EN HATTE BEBERT…OMMI…. ? Où vais je la mettre…MA MÈRE... ? Beaucoup de frictions entre la grue et la belle mére et puis, elles ne se parlent plus. La maman cuisine, la jeune épouse se maquille et sort...Elle travaille...Ils mettent de l’argent de coté….Pour l'achat d'une maison la SNIT.....ILS ONT DEUX ENFANTS…..MOHAMED SALAH entre temps trouve une échoppe pas loin de la PORTE BAB EL KHADRA..., nous pique qqs burins ...SA MAMAN DÉCÈDE…...LUI AUSSI DÉCÈDE QQS ANNEES…..PLUS TARD….

LE SBAY s’en est parti MARBRIER …..marié...papa ...Deidou n’ est plus là…..Son fils raconte…
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 novembre 2017, 08:26
‘…...LE SBAY s’en est parti MARBRIER …..marié...papa ...Deidou n’ est plus là…..Son fils Albert…..raconte….

La maman en HOULI…

Dans le fait réel que j’ai raconte….. MOHAMED SALAH…….Je commence par…

‘…..Ouldé ouraa cheded el houli ( son fils lui attrape un pan de son houli…!) Il se cachait derrière sa maman par la honte, chez ses gens là, les sans dents comme les a qualifié mr SI B3AR….Hollande, l’honneur vaut toutes les richesses..Car si SI B3AR HOLLANDE avait posé son postérieur sur une HSSIRA chez ces gens là, chez cette dame, cette maman habillée en houli, il aurait mieux perçu, senti, aspiré le respect et l’honneur chez ses dames en houli parce que moi, lorsque j’ai rendu visite à la maman des années plus tard, je l’ai vu la maman en Houli, tatouée, avec sur son front, la douleur des années gravée, la souffrance sans parole d’une dame veuve, à 25 ans qui faisait des kilomètres à pieds pour aller bosser ‘..Taht el new .. !’ Sous la pluie… Avec son bébè scotché à son dos...C‘est lui son fils qui me raconte en français alors que la maman, me servait son thé….’...Et tu veux que je laisse seule, BEBERT… !’ Les dames en Houli ne parle pas bcp avec les étrangers, elles ne s’assoient pas avec les étrangers pour boire le thé, les dames en houli servaient leur mari dans leur gourbi, sans lever les yeux vers leurs mari, elles sentaient le plus souvent le hénè et la makhdouma ( teinteure noire pour les cheveux, préparation spéciale) ...Et leurs mains sentaient la tabouna...Avez vous visité un gourbi… ? Moi si...J’en parlerai dans un autre récit.

Chez les dames en Houli, la rose, el ward ou l’oranger 3arterchiye étaient leur parfum faits maisons bien loin du DIOR ou de Givenchy….

Lorsque la dame en Houli vous sert le thé, il faut baisser les yeux par déférence ..Par respect pour cette dame d’un certain age qui vous reçoit avec son fils, mon employé dans une petite pièce, un petit appartement qui m’a rappelé le notre, de la rue Pasteur.

J’ignorais tout cela et pourtant j’avais l’impression de connaître la gestuelle. Mohamed Salah m’a appris un truc que j’ignorais….Découvrir la dame en Houli, la maman en Houli….celle que nous avons côtoyé, il y a longtemps dans nos rues..LA DEGUAZZA….En Houli…3âlel houli ye mâa 3âlel houli...§§§§

Chez la maman en Houli, l’éducation se résume à des échanges de regards, pas un mot d’où que MOHAMED SALAH n ‘a jamais montré envers nous un haussement de ton...Ou un regard déplacé alors qu’il était marié et que mon papa n était plus là. Il nous respectait...Sinon lui disais- je, pour l‘effrayer, j’irais me plaindre à ta maman et rien que cela le faisait bondir...Le respect du fils à sa maman en HOULI. vous savez ce que sait… ?

Lorsque maman décéda, la dame en Houli et son fils étaient là, pour un dernier adieu à celui qui a rendu le SBAY ‘ le puceau’ un employé modèle que tout les marbriers du coin le voulaient..Mais lui ...Conscient de la parole de sa maman en HOULI fut sourde aux cris des sirènes.

Les dames tunisiennes aujourd’hui se sont affranchies du HOULI….Et…..leur regard...Ne porte plus les vertus du HOULI…...

Pièces jointes:
el houli.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 novembre 2017, 10:27
Génération Toupie contre génération Iphone.

Une récente enquête américaine pointe du doigt l’IPHONE...Et ses dérives….Ordinateurs etc.
Il y a danger pour nos enfants et petit enfants. Il est question de santé mentale, d’exclusion, d’enfermement sur soi, de rupture, de suicide et de dépressions etc. Nos enfants sont en danger et le péril est grand.


Selon un sondage, les enfants sont addict à tous ces nouveaux venus les drogués de l’illusion qui ont délaissé lecture, sorties, cinéma et divertissements, nos enfants seront des associables, malades, isolés, renfermés si les parents n y prennent pas garde.

Nous, anciens enfants de la toupie, des jeux tous azimuts, sportifs etc rappelons aux enfants d’aujourd’hui que tous ses appareillages sont dangereux et qu’il faut surtout pas en abuser sinon c est l’asile des FOUS QUI VOUS ATTEND .
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 novembre 2017, 10:29
Chez MABEL'S boutique ésotérique afro cosmétique et hrouchouts pour la magie noire, blanche et jaune...

Trois personnes qui sont loin d’être norvégiennes rentrent dans la boutique, l'un d'eux tient une image, une grande image..Le portrait de leur défunte maman....

'...Est ce que vous avez des cadres....! Me dit l'un des frères...'
'...Oui, attendez...' Je lui en apporte un. Je place l'image...

Le même frére '...Avez vous deux bougies, pas chéres, je n'ai pas assez de budget....Sa soeur me regarde et semble genèe...

'...Comment celà vous n'avez pas de budget pour votre maman, deux bougies de Un € c est tout ce qu'elle mérite....Elle qui s 'est tué pour vous qd vous étiez jeunes...La sœur laisse échapper une larme...Maxo est assis et boit son café qd soudain, il pleure....

'..Echbiq enti tfarqat ommi....Qu 'est ce que tu as toi, tu t'es souvenu de maman....?'

Le monsieur au petit budget devant cette situation me dit '...Bon je vais prendre une neuvaine......5 € 50...!!' Maxo redouble les pleurs, je le regarde puis il me dit en arabe '...Nebqi béch i zid yech'ri...'! Je pleure pour qu'il dépense plus....!'

Et bien le mec au petit budget est sorti avec 23 € de bougies....Avec ses frères....

Tu aurais du continuer de pleurer Max
...
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 novembre 2017, 04:27
Il y a des drogues dures, interdites par la loi, mais la drogue IPHONE raporte tellement qu'elle est ENCOURAGEE .
Les gens sont devenus completement fous.!!!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 novembre 2017, 01:43
La prochaine génération sera sourde...muette et aveugle.
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