|
|
LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2017, 01:30 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2017, 01:30 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
VEGAN
Depuis qqs temps, une idée trotte dans ma tête. Je vais bien sur l’annoncer à ma famille, mes frères et à vous cela va de soi….Cette décision à venir et surtout à prendre, m’est nécessaire, primordiale, importante pour mon futur qui va en clopinant, chaque jour apporte son lot de bonheur, qayad noulli mneyeq, je deviens lent, déglingué , ce matin encore je me suis levé en tâtonnant et pour arranger les choses, j ai posé mon pied sur mon petit appareil à roulettes, un masseur que j’ai confectionné avec des petites boules en bois multicolores, un trou central les relie entre eux...Ca m a coûté plus cher que celui que j ai vu à télé achat...Donc, j’allais me casser la figure, TECHTIQA MTA BAR’OU….J’ai eu juste le temps de m’accrocher à mon parapluie…
Cette façon de vivre pour mon futur se termine en Isme, oui je sais que certains noms qualificatifs qui finissent en ISME font craindre comme Islamisme mais pas pacifisme...Sionisme, arabisme font exception, ils sont beaux, jolies….nous les avons adopté, selon que l ‘ont soit juifs, arabes, gays ou PD , certains avec cœur, à contre cœur d’autres sans cœur. JE VAIS PRATIQUER LE VEGANISME tout en étant JUIFISME….Dés ce soir.
J’ai commandé qqs cageots d’algues FRAICHES de Normandie, pour les effiler et les couper façon MACAROUNA SGARBATA….A D ieu les œufs, l’adam hout, la viande, le poissons, et tout ce qui peut nuire à ma future façon de manger, en arabe AICHA MCHOUME va commencer à 72 ans et qqs mois alors que durant bien avant cela, je mangeais tout le bien de D ieu...Dois je rappeller, que nous autres enfants de l’indigence nous étions déjà VEGAN durant qqs années, la HACHOUE...L ASSIDA...LA MLOULHIYE...PKEILA sans viande c est quoi cela c est pas du VEGANISME… ??? Alors enfin...Avons nous oublié ces pans de vie d’autrefois…. ?
J’ai donné qqs instructions à ma femme ce matin pour vider le frigo, et les congélateurs pour remplacer toutes nos victuailles PAR TARF HACHICH..( des monceaux d’algues) Mes algues de NOUARMOUTIER….Qu’on va me livrer sur le quai 28 D’YVRY.
Au moment où je termine d’écrire, ma femme vient de lire ce que je viens d’écrire ou klit QOBEISSA SUR MA TÈTE….( j ai reçu une grande baffe)...ADIEU ALGUE...ETC VIVE LES ALGARADES...MATINALE….A BAT LE VÉGANISME qui m’impose des trucs dont je m’en passerai bien….….
Depuis qqs temps, une idée trotte dans ma tête. Je vais bien sur l’annoncer à ma famille, mes frères et à vous cela va de soi….Cette décision à venir et surtout à prendre, m’est nécessaire, primordiale, importante pour mon futur qui va en clopinant, chaque jour apporte son lot de bonheur, qayad noulli mneyeq, je deviens lent, déglingué , ce matin encore je me suis levé en tâtonnant et pour arranger les choses, j ai posé mon pied sur mon petit appareil à roulettes, un masseur que j’ai confectionné avec des petites boules en bois multicolores, un trou central les relie entre eux...Ca m a coûté plus cher que celui que j ai vu à télé achat...Donc, j’allais me casser la figure, TECHTIQA MTA BAR’OU….J’ai eu juste le temps de m’accrocher à mon parapluie…
Cette façon de vivre pour mon futur se termine en Isme, oui je sais que certains noms qualificatifs qui finissent en ISME font craindre comme Islamisme mais pas pacifisme...Sionisme, arabisme font exception, ils sont beaux, jolies….nous les avons adopté, selon que l ‘ont soit juifs, arabes, gays ou PD , certains avec cœur, à contre cœur d’autres sans cœur. JE VAIS PRATIQUER LE VEGANISME tout en étant JUIFISME….Dés ce soir.
J’ai commandé qqs cageots d’algues FRAICHES de Normandie, pour les effiler et les couper façon MACAROUNA SGARBATA….A D ieu les œufs, l’adam hout, la viande, le poissons, et tout ce qui peut nuire à ma future façon de manger, en arabe AICHA MCHOUME va commencer à 72 ans et qqs mois alors que durant bien avant cela, je mangeais tout le bien de D ieu...Dois je rappeller, que nous autres enfants de l’indigence nous étions déjà VEGAN durant qqs années, la HACHOUE...L ASSIDA...LA MLOULHIYE...PKEILA sans viande c est quoi cela c est pas du VEGANISME… ??? Alors enfin...Avons nous oublié ces pans de vie d’autrefois…. ?
J’ai donné qqs instructions à ma femme ce matin pour vider le frigo, et les congélateurs pour remplacer toutes nos victuailles PAR TARF HACHICH..( des monceaux d’algues) Mes algues de NOUARMOUTIER….Qu’on va me livrer sur le quai 28 D’YVRY.
Au moment où je termine d’écrire, ma femme vient de lire ce que je viens d’écrire ou klit QOBEISSA SUR MA TÈTE….( j ai reçu une grande baffe)...ADIEU ALGUE...ETC VIVE LES ALGARADES...MATINALE….A BAT LE VÉGANISME qui m’impose des trucs dont je m’en passerai bien….….
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2017, 02:52 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
UN PAN DE VIE XVII.
Après cette fiesta de la RBAIBIYE aussi démente que furent ceux et celles qui ont trépigné, qui sont tombés à terre en faisant semblant de parler aux jnouns, du cinéma ambulant pour épater les naïfs, les milles RABEQ de mon papa qui a mit trois jours pour retrouver ses esprits envolés par la faute du mezzoued etc...Après cette hibernation en solitaire, recroquevillé dans son lit, il se réveille tout barbouillé, s’assoit sur le bord du lit et il se met à pleurer…..’...CENT MA OMI OU BABA…..Ghediq...Tqelemt mâââyem…. ! J’étais avec mes défunts parents, maman et papa, j ai parlé avec eux….!) ( IL AFFAUBLE MON DEFUNT PAPA….) Ma mère ‘...Chte’dnoueq béch toq’yad… ?( Ils t’ont invité à rester…?) ‘...Nok’yad ouin… ?? ( Que je reste où…!) ‘..FEL JENE…. ! (Au paradis) ‘..THAB EN MOUT….( Tu veux que je meurs..) Meiha ‘...I batel el gzira meghir biq qiffech naa’lou…. ! (‘ Que D ieu nous préserve et comment allons nous faire pour vivre…?) ‘...Haqni qâât ghe’diq… ! J’aurai du rester là bas… Enfin de compte…. ! Papa réalise que ce qu’il vient de dire n est pas fait pour nous rassurer….Puis il se reprend….’...Lai me’ghir boukha hatte chey mei ââjeb’ni…. ! Non, sans mon alcool Boukha rien ne me plait! Un ouf de soulagement se fit entendre.
Au troisième jour, tous les cartons furent déballés, nous avons tous aidés maman….Surtout pour les ustensiles. Meiha eut sa chambre indépendante, elle pouvait s’habiller et se déshabiller sans que tout le monde à la maison voit ses grosses termin, (fesses), entende ses pets, ou lui fasse des remarques qd elle enveloppait ses petits bouts de cheveux qu’elle gardait comme des reliques sous son matelas. Là, elle avait une commode et quatre grands tiroirs dont un pour ces mèches. Maman lui proposa de les mettre dans des petits boites d’allumettes genre coffret à bijoux, d‘où qu’à sa mort à 92 ans, nous avons du faire quatre voyages en voiture pour débarrasser ce tiroir des trois milles boites d’allumettes qui s’y trouvaient…. Si on savait qu’à Paris nous allions être perruquier, 30 ans plus tard, mon frère et moi, nous les aurions expédiés pour en faire des postiches...MEKTOUB .
Enfin, tout se mit en place… Tous les cadres furent posés au dessus de la servante...30...en tout.
Il nous manquait une chose très importante la TELE….
Après cette fiesta de la RBAIBIYE aussi démente que furent ceux et celles qui ont trépigné, qui sont tombés à terre en faisant semblant de parler aux jnouns, du cinéma ambulant pour épater les naïfs, les milles RABEQ de mon papa qui a mit trois jours pour retrouver ses esprits envolés par la faute du mezzoued etc...Après cette hibernation en solitaire, recroquevillé dans son lit, il se réveille tout barbouillé, s’assoit sur le bord du lit et il se met à pleurer…..’...CENT MA OMI OU BABA…..Ghediq...Tqelemt mâââyem…. ! J’étais avec mes défunts parents, maman et papa, j ai parlé avec eux….!) ( IL AFFAUBLE MON DEFUNT PAPA….) Ma mère ‘...Chte’dnoueq béch toq’yad… ?( Ils t’ont invité à rester…?) ‘...Nok’yad ouin… ?? ( Que je reste où…!) ‘..FEL JENE…. ! (Au paradis) ‘..THAB EN MOUT….( Tu veux que je meurs..) Meiha ‘...I batel el gzira meghir biq qiffech naa’lou…. ! (‘ Que D ieu nous préserve et comment allons nous faire pour vivre…?) ‘...Haqni qâât ghe’diq… ! J’aurai du rester là bas… Enfin de compte…. ! Papa réalise que ce qu’il vient de dire n est pas fait pour nous rassurer….Puis il se reprend….’...Lai me’ghir boukha hatte chey mei ââjeb’ni…. ! Non, sans mon alcool Boukha rien ne me plait! Un ouf de soulagement se fit entendre.
Au troisième jour, tous les cartons furent déballés, nous avons tous aidés maman….Surtout pour les ustensiles. Meiha eut sa chambre indépendante, elle pouvait s’habiller et se déshabiller sans que tout le monde à la maison voit ses grosses termin, (fesses), entende ses pets, ou lui fasse des remarques qd elle enveloppait ses petits bouts de cheveux qu’elle gardait comme des reliques sous son matelas. Là, elle avait une commode et quatre grands tiroirs dont un pour ces mèches. Maman lui proposa de les mettre dans des petits boites d’allumettes genre coffret à bijoux, d‘où qu’à sa mort à 92 ans, nous avons du faire quatre voyages en voiture pour débarrasser ce tiroir des trois milles boites d’allumettes qui s’y trouvaient…. Si on savait qu’à Paris nous allions être perruquier, 30 ans plus tard, mon frère et moi, nous les aurions expédiés pour en faire des postiches...MEKTOUB .
Enfin, tout se mit en place… Tous les cadres furent posés au dessus de la servante...30...en tout.
Il nous manquait une chose très importante la TELE….
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 15 octobre 2017, 01:20 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Un pan de vie XIX
LE COFFRE …
Avec le temps et le grand espace, nous avions trouvé nos commodités. Nous avions nos chambres et nos lits individuels...Une grande cuisine dans laquelle on pouvait enfin circuler… PAPA et MAMAN z’al avaient enfin aussi leur espace intime , leur chambre particulière...Aucune chambre n' avait de poignée en forme d’œuf en porcelaine… Nous avons pallié avec de la corde..Les volets grinçaient, celles de Meiha étaient souvent ouverts et tous les voisins de la rue ont connu ses fesses à travers la fenêtre souvent ouverte. Je reviendrais sur le reste.
Mais le probléme qui s est posé à papa était l’accumulation des dinars. Il ne pouvait pas tout verser à la banque, donc il fallait un coffre fort. Après mûres réflexions, la famille décide de creuser un trou dans le sol de la cour et d’y cacher les liasses.
Sans tarder, papa loue une pelle à son ami Saad DU CIMETIÈRE DU BORGEL..Lei warina une pelle des morts…Bon, nous n' étions pas superstitieux… Papa z’al trace au milieu de la cour, un carré à l’aide d’un morceau de charbon et il me dit ‘..AHFAR... OUNI…. ! Creuse là… ! Ghdeni HABIR il m’ a pris pour un fossoyeur… ! ’ Je relève mes manches et je commence...à donner le premier coup de pioche… Je creuse au moins 20 cms de profondeur qd en levant les yeux, je vois SI RIDHA notre jeune voisin d’à coté, penché et voir ce que je fais...Là, j’avise mon père qui sort pour lui dire ‘..Yé Ridha ne t inquiète pas nous n’enterrons personne, nous avons juste une fuite d’eau à réparer… !’Le jeune homme s’en va rassuré.
Tandis que je continue à creuser...Mon papa est en haut alors que je suis à 10 mètres sous terre..Lol..
‘..YE BABA en dalli yezzi ouni… !’ Eqtar mel hoffra mta mitin… !'( Papa je pense que c est bon ici, c’est plus profond qu’une litière d’un mort…) Papa d’en haut me lance un gros paquet….L’argent au noir...25 000 Dinars en grosses coupures… ! Soit 10 000 € de nos jours environ...Je remonte, scelle les carreaux et tout est remis en place… PAPA fait un plan du trésor….20 CMS coté mur latéral, 30 cms à partir du seuil de la cour...Perpendi cul aire 20 ° degrés longitude NORD EST….38 ° latitude ouest….Plan 4, 45 ° partir du haut et 10 mètres sous le bas… Bahde el halqoum mta el khandaq ( pas loin du tuyau des égouts…) Un mois plus tard, papa a besoin de 10 000 dinars….Il se poste devant la cour et il me dit...’..Tetfaqar wine hatit el flouch…. ? Tu te rappelles où tu as mis l‘argent… ?’
‘...Yandeq el bianou… ? (Tu as le plan non…?) ‘..EL BIANOU RAH...IN YADDIN RAB EL BIA’NOUET… !( ‘Le plan s est perdu juron sur tous les plans…!) Au moment où papa invective le plan, une trombe d’eau s’abat sur la Goulette….Une pluie diluvienne...Une demi heure à pleuvoir très fort qd soudain, on aperçoit les premiers billets ensevelis sortir mel mesqouqa mta el khandeq… ! DE LA BOUCHE D EGOUT… !’ Papa voit devant lui le labeur de trois mois de boulot monter monter monter et les billets se retrouvent tous nager sur un plan d’eau….’...Ye louled...FLOUCHIIIIIIII…..IJEW….NAH’CH’BOU’HOUMMMM…. !! Les enfants, mon fric...VENEZ VITE NOUS ALLONS LES COMPTER… !’ mais avant..MEIHA les a mis à sécher sous elle…durant 3 jours…
LE COFFRE …
Avec le temps et le grand espace, nous avions trouvé nos commodités. Nous avions nos chambres et nos lits individuels...Une grande cuisine dans laquelle on pouvait enfin circuler… PAPA et MAMAN z’al avaient enfin aussi leur espace intime , leur chambre particulière...Aucune chambre n' avait de poignée en forme d’œuf en porcelaine… Nous avons pallié avec de la corde..Les volets grinçaient, celles de Meiha étaient souvent ouverts et tous les voisins de la rue ont connu ses fesses à travers la fenêtre souvent ouverte. Je reviendrais sur le reste.
Mais le probléme qui s est posé à papa était l’accumulation des dinars. Il ne pouvait pas tout verser à la banque, donc il fallait un coffre fort. Après mûres réflexions, la famille décide de creuser un trou dans le sol de la cour et d’y cacher les liasses.
Sans tarder, papa loue une pelle à son ami Saad DU CIMETIÈRE DU BORGEL..Lei warina une pelle des morts…Bon, nous n' étions pas superstitieux… Papa z’al trace au milieu de la cour, un carré à l’aide d’un morceau de charbon et il me dit ‘..AHFAR... OUNI…. ! Creuse là… ! Ghdeni HABIR il m’ a pris pour un fossoyeur… ! ’ Je relève mes manches et je commence...à donner le premier coup de pioche… Je creuse au moins 20 cms de profondeur qd en levant les yeux, je vois SI RIDHA notre jeune voisin d’à coté, penché et voir ce que je fais...Là, j’avise mon père qui sort pour lui dire ‘..Yé Ridha ne t inquiète pas nous n’enterrons personne, nous avons juste une fuite d’eau à réparer… !’Le jeune homme s’en va rassuré.
Tandis que je continue à creuser...Mon papa est en haut alors que je suis à 10 mètres sous terre..Lol..
‘..YE BABA en dalli yezzi ouni… !’ Eqtar mel hoffra mta mitin… !'( Papa je pense que c est bon ici, c’est plus profond qu’une litière d’un mort…) Papa d’en haut me lance un gros paquet….L’argent au noir...25 000 Dinars en grosses coupures… ! Soit 10 000 € de nos jours environ...Je remonte, scelle les carreaux et tout est remis en place… PAPA fait un plan du trésor….20 CMS coté mur latéral, 30 cms à partir du seuil de la cour...Perpendi cul aire 20 ° degrés longitude NORD EST….38 ° latitude ouest….Plan 4, 45 ° partir du haut et 10 mètres sous le bas… Bahde el halqoum mta el khandaq ( pas loin du tuyau des égouts…) Un mois plus tard, papa a besoin de 10 000 dinars….Il se poste devant la cour et il me dit...’..Tetfaqar wine hatit el flouch…. ? Tu te rappelles où tu as mis l‘argent… ?’
‘...Yandeq el bianou… ? (Tu as le plan non…?) ‘..EL BIANOU RAH...IN YADDIN RAB EL BIA’NOUET… !( ‘Le plan s est perdu juron sur tous les plans…!) Au moment où papa invective le plan, une trombe d’eau s’abat sur la Goulette….Une pluie diluvienne...Une demi heure à pleuvoir très fort qd soudain, on aperçoit les premiers billets ensevelis sortir mel mesqouqa mta el khandeq… ! DE LA BOUCHE D EGOUT… !’ Papa voit devant lui le labeur de trois mois de boulot monter monter monter et les billets se retrouvent tous nager sur un plan d’eau….’...Ye louled...FLOUCHIIIIIIII…..IJEW….NAH’CH’BOU’HOUMMMM…. !! Les enfants, mon fric...VENEZ VITE NOUS ALLONS LES COMPTER… !’ mais avant..MEIHA les a mis à sécher sous elle…durant 3 jours…
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 15 octobre 2017, 02:12 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Rares sont ceux et celles qui ont vécu vraiment ce qu’on appelle la convivialité entre juifs et arabes. Beaucoup d’anciens parmi vous en savent qq chose et nous avons tous donné, chacun à sa façon et selon les exemples mille et mille gestes qui ont fait que juifs tunes et arabes berbères tunes se sont toujours sentis liés par la langue et une forme de pensée propre à leur ancien pays.
Nous les jeunes juifs étions liés par le sport avec nos amis arabo/berbéres….Le sport était notre alliage, notre ciment. Les lycées, les écoles françaises, l’administration furent le creuset dans les années de l'après l’indépendance d’une grande amitié entre eux et nous.
Les jeunes tunisiens d’aujourd’hui ignorent tout cela, on leur parle de PALESTINE, qu’ils continuent dans cette voie.
Je me souviens de MR DOUAGI directeur technique de l ÉQUIPE NATIONAL DE VOLLEY BALL qui par une après midi de samedi d'un certain mois de MAI 1963...lors d’une rencontre à la Pépinière TUNISIE/LIBAN, s est levé des gradins, est venu vers moi sur le terrain juste après le coup de sifflet final, il m’a prit dans ses bras et m’a embrassé avec émotion..TUNISIE 3...LIBAN O....En me disant ‘...Je n’ai vu que toi..Albert… !’ Allah cheyed… Il a étreint un jeune juif de 18 ans dans ses bras. Et pas un autre joueur tunisien.
Mais l’exemple le plus frappant concernant la fraternité et l’amitié qui nous unissaient dans notre quartier était la façon dont on respectait OMI HAYE...OU KHELTI HAYE...Ma défunte mère. Sans parler de MEIHA considérée comme celle qui dispensait de ses bons conseils celles qui étaient malheureuses dans leur foyer, coups, brimades mépris, etc...Elle allait bien souvent interpelle le mari ou l époux chez lui et souvent les tensions s’apaisaient parce que la vieille JUIVE était respectée.
OMI MEIHA était le challom.
Maman, une fois son service du matin terminé et surtout bien allégée des contraintes d’autrefois, elle n’ avait que Max à la maison, allait rendre bien souvent visite à ses deux voisines...FATOUMA MART KILANI el sekergi l'ivrogne et fainéant...ET HABIBA MART EL DIWENI….La femme du douanier, la voisine de palier et parfois MANOUBIA...mart MANOUBI EL CHÔMEUR DE LUXE….les trois époux décédés aujourd’hui, allah yerhamem.
Maman poussait cette convivialité jusqu’à la promiscuité puisque qu’elle se prenait la liberté de monter sur le divan de l’une ou de l’autre voisine et les voila décortiquer ensemble gloubs ou mâcher des pignons en s’accompagnant de thés.
LE BERED posé sur le cAnoun pas loin de nos deux colombes...
Maman et Fatouma, ou MABROUKA , l’une ou l’autre selon la maison, s’offraient des moments de détente en ayant les jambes couvertes sous une bataniya… Des pieds arabes et juives sous la même BATANYA...CAWE MECHIE OU THE JEYI...Omi chei’khe ou deï’khe taht él jaw tounssiye )...( Un café qui va un thé qui vient, maman faisant un kif, presque emportée dans son vertige sous une ambiance arabe tunisienne ) et ceux ou celles qui n’ont pas vécus cela, ne peuvent rien comprendre à ces tueries de rires… Je suis désole mais nous la bas au pays, nous étions soudés comme des doigts de la main.
NOUS ÉTIONS ASSOCIES BIEN AVANT L HEURE.
Les palestiniens ont changé la donne. Chaque pied juif tunisien est devenu indépendant de l’autre tune.
Vous, les tunisiens, l’avez voulu en choisissant le mauvais pied. Lol...
KHELQOM BREITOU.
Nous les jeunes juifs étions liés par le sport avec nos amis arabo/berbéres….Le sport était notre alliage, notre ciment. Les lycées, les écoles françaises, l’administration furent le creuset dans les années de l'après l’indépendance d’une grande amitié entre eux et nous.
Les jeunes tunisiens d’aujourd’hui ignorent tout cela, on leur parle de PALESTINE, qu’ils continuent dans cette voie.
Je me souviens de MR DOUAGI directeur technique de l ÉQUIPE NATIONAL DE VOLLEY BALL qui par une après midi de samedi d'un certain mois de MAI 1963...lors d’une rencontre à la Pépinière TUNISIE/LIBAN, s est levé des gradins, est venu vers moi sur le terrain juste après le coup de sifflet final, il m’a prit dans ses bras et m’a embrassé avec émotion..TUNISIE 3...LIBAN O....En me disant ‘...Je n’ai vu que toi..Albert… !’ Allah cheyed… Il a étreint un jeune juif de 18 ans dans ses bras. Et pas un autre joueur tunisien.
Mais l’exemple le plus frappant concernant la fraternité et l’amitié qui nous unissaient dans notre quartier était la façon dont on respectait OMI HAYE...OU KHELTI HAYE...Ma défunte mère. Sans parler de MEIHA considérée comme celle qui dispensait de ses bons conseils celles qui étaient malheureuses dans leur foyer, coups, brimades mépris, etc...Elle allait bien souvent interpelle le mari ou l époux chez lui et souvent les tensions s’apaisaient parce que la vieille JUIVE était respectée.
OMI MEIHA était le challom.
Maman, une fois son service du matin terminé et surtout bien allégée des contraintes d’autrefois, elle n’ avait que Max à la maison, allait rendre bien souvent visite à ses deux voisines...FATOUMA MART KILANI el sekergi l'ivrogne et fainéant...ET HABIBA MART EL DIWENI….La femme du douanier, la voisine de palier et parfois MANOUBIA...mart MANOUBI EL CHÔMEUR DE LUXE….les trois époux décédés aujourd’hui, allah yerhamem.
Maman poussait cette convivialité jusqu’à la promiscuité puisque qu’elle se prenait la liberté de monter sur le divan de l’une ou de l’autre voisine et les voila décortiquer ensemble gloubs ou mâcher des pignons en s’accompagnant de thés.
LE BERED posé sur le cAnoun pas loin de nos deux colombes...
Maman et Fatouma, ou MABROUKA , l’une ou l’autre selon la maison, s’offraient des moments de détente en ayant les jambes couvertes sous une bataniya… Des pieds arabes et juives sous la même BATANYA...CAWE MECHIE OU THE JEYI...Omi chei’khe ou deï’khe taht él jaw tounssiye )...( Un café qui va un thé qui vient, maman faisant un kif, presque emportée dans son vertige sous une ambiance arabe tunisienne ) et ceux ou celles qui n’ont pas vécus cela, ne peuvent rien comprendre à ces tueries de rires… Je suis désole mais nous la bas au pays, nous étions soudés comme des doigts de la main.
NOUS ÉTIONS ASSOCIES BIEN AVANT L HEURE.
Les palestiniens ont changé la donne. Chaque pied juif tunisien est devenu indépendant de l’autre tune.
Vous, les tunisiens, l’avez voulu en choisissant le mauvais pied. Lol...
KHELQOM BREITOU.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 15 octobre 2017, 05:31 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
Nous habitions dans un meme immeuble, familles juive,arabe et catholique et nos mamans etaient tres amies sans aucun probleme de cohabitation.
Je me souviens encore que lorsqu'une maman devait sortir faire ses courses, elle laissait son bébé a une notre maman qui lui donnait la tété si il pleurait.
Voila en qqmots mes souvenirs de Tunisie..
Je me souviens encore que lorsqu'une maman devait sortir faire ses courses, elle laissait son bébé a une notre maman qui lui donnait la tété si il pleurait.
Voila en qqmots mes souvenirs de Tunisie..
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 octobre 2017, 01:19 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Un pan de vie XX
J’en suis au 20 ieme plan. Une performance sportive au vu de mon âge. Ma seule consolation tient en qqs mots, vous faire plaisir tout en me faisant plaisir...Vous avez bien sur suivi mon parcours de jeunesse dans un appartement dont je me souviendrai toujours de ses coins et recoins.
Un appartement qui m’ a fait comprendre tant il était étroit, étriqué, que la joie , les rires, la bonne humeur, etc n’ont pas besoin de grands espaces et que les lits les plus modestes et chaleureux ne sont pas forcément ceux qui ressemblent à des baldaquins, que les matelas en crin avec des épines qui vous raclent le dos sont parfois meilleurs aux ‘ouatés’ Epéda.
Je vous laisse bien sur deviner avec quel matière étaient farcis nos taies, ne cherchez pas BEL CRINOU aussi, d’où que nous étions un peu dur d’oreille...Nous avons tous échappé à la trépanation tellement ces aiguilles sèches et dures perçaient nos joues et nos oreilles.
Nous avons aussi échappé aux BAQUES sanguinaires.......Punaises de lit, nous étions colonisés par toute une armée rebelle de bestioles qui dégustaient notre sang bleu. Nous craignons surtout pour mon jeune frère Maxo, que ces voraces sans foi ni loi, sans gène, ne s’attaquent à sa petite chaire blanche...MEIHA conseilla a ma mère de l'envelopper avec du CHMEN, du beurre rance, il paraît que l’odeur faisait fuir ces BAQATES….Donc MAXO fut enserré par des bandelettes imbibées de CHMEN….Un peu comme une momie...On ne voyait de lui que sa tête...Tout le reste BEL CHMEN….Il ressemblait au fils de POPEYE ET D OLIVE ...Hlou yesser…. Au petit matin, maman se lève et jette un coup d œil sur le berceau de son fils MAX et là….’..OULDIIIIIII…..’ On se lève tous en sursaut et tous ensemble ‘..MAXOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO…. !’ Une tache rouge brun….Tous les baques sont venus s’agglutiner sur le CHMEN tant et si bien que MAXO fut recouvert de BAQUES...'.....OULLE BAQA GBIRA OULDIIIIIIIIIII….'...UN grosse punaise….MON FIIIIILS....! Qui dormait dans son berceau…
Notre cri fut entendu dans tout le palier de l’immeuble….
Madame Temim, notre plus proche voisine est venue nous donner un coup de main, meskinè ne sachant point de quoi elle s’agissait et comme elle avait horreur des bestioles..DRECHET…Elle s’évanouit...Sur le lit ….de mes parents….On lui a tellement donné de gifles pour la réveiller qu’à la fin, écœurés par son profond sommeil, nous avons appelé son mari Gilbert pour qu’il la déplace chez eux, sur son dos…
Quant à Maxo, pour un peu on ne trouvait de lui que sa carcasse...
J’en suis au 20 ieme plan. Une performance sportive au vu de mon âge. Ma seule consolation tient en qqs mots, vous faire plaisir tout en me faisant plaisir...Vous avez bien sur suivi mon parcours de jeunesse dans un appartement dont je me souviendrai toujours de ses coins et recoins.
Un appartement qui m’ a fait comprendre tant il était étroit, étriqué, que la joie , les rires, la bonne humeur, etc n’ont pas besoin de grands espaces et que les lits les plus modestes et chaleureux ne sont pas forcément ceux qui ressemblent à des baldaquins, que les matelas en crin avec des épines qui vous raclent le dos sont parfois meilleurs aux ‘ouatés’ Epéda.
Je vous laisse bien sur deviner avec quel matière étaient farcis nos taies, ne cherchez pas BEL CRINOU aussi, d’où que nous étions un peu dur d’oreille...Nous avons tous échappé à la trépanation tellement ces aiguilles sèches et dures perçaient nos joues et nos oreilles.
Nous avons aussi échappé aux BAQUES sanguinaires.......Punaises de lit, nous étions colonisés par toute une armée rebelle de bestioles qui dégustaient notre sang bleu. Nous craignons surtout pour mon jeune frère Maxo, que ces voraces sans foi ni loi, sans gène, ne s’attaquent à sa petite chaire blanche...MEIHA conseilla a ma mère de l'envelopper avec du CHMEN, du beurre rance, il paraît que l’odeur faisait fuir ces BAQATES….Donc MAXO fut enserré par des bandelettes imbibées de CHMEN….Un peu comme une momie...On ne voyait de lui que sa tête...Tout le reste BEL CHMEN….Il ressemblait au fils de POPEYE ET D OLIVE ...Hlou yesser…. Au petit matin, maman se lève et jette un coup d œil sur le berceau de son fils MAX et là….’..OULDIIIIIII…..’ On se lève tous en sursaut et tous ensemble ‘..MAXOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO…. !’ Une tache rouge brun….Tous les baques sont venus s’agglutiner sur le CHMEN tant et si bien que MAXO fut recouvert de BAQUES...'.....OULLE BAQA GBIRA OULDIIIIIIIIIII….'...UN grosse punaise….MON FIIIIILS....! Qui dormait dans son berceau…
Notre cri fut entendu dans tout le palier de l’immeuble….
Madame Temim, notre plus proche voisine est venue nous donner un coup de main, meskinè ne sachant point de quoi elle s’agissait et comme elle avait horreur des bestioles..DRECHET…Elle s’évanouit...Sur le lit ….de mes parents….On lui a tellement donné de gifles pour la réveiller qu’à la fin, écœurés par son profond sommeil, nous avons appelé son mari Gilbert pour qu’il la déplace chez eux, sur son dos…
Quant à Maxo, pour un peu on ne trouvait de lui que sa carcasse...
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 octobre 2017, 02:28 |
Modérateur Membre depuis : 18 ans Messages: 3 103 |
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 octobre 2017, 02:12 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Le progrés mon ami fait des miracles...Mais à cette époque bénie, nos murs couleur blanc cassé viraient au rouge brun par certains coté et donc maman une saison a décidé de changer la couleur des murs en une couleur plus confirme avec la couleur des baques, un rouge sang ce qui a fait dire à MEIHA '..Lei warina chnoué el diné el harfé h'di...? Mon D ieu c est quoi cette sale couleur....!' Maman a vite changé le ton, en un ton plus harmonieux que le brun ocre.. couleur chataigne castli...ON a commence à les griller...Lolll .
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 octobre 2017, 02:12 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
LES DEUX SOEURS AIMANTES…
MEIHA LELLOUCHE ET LOUIJJE ASSOUS….
Comment voulez vous qu’ils interviennent… ? Mes acteurs préférés…. ? Comment puisqu’ils sont absents….Ils font relâche depuis longtemps...Dans l éternité, ils font relâche….Savent t’ils qu’un de leur progéniture les mets en valeur presque tous les jours…. ??? Comment voulez vous que MEIHA, omi ou baba viennent se présenter à vous .. ? Dans quelle tenue… ?? Dites moi , vous qui savez tout...Vous qui vous querellez… ? Vous qu’on rit de vous toutes les secondes car tellement ridicules vous êtes...Ils vous disent… ‘...Oui continuez à nous faire rire, votre seule finalité c est là…. ! Là qui vous attend… ? ‘
Ils ne sont pas ici mes acteurs, mes actrices, ils sont loin, très loin super loin que je n’ose définir exactement où… ? Ils sont sous terre, oui, puis dans le ciel me dit t’on….Donc jamais ils ne pourront se présenter à vous….Mais imaginons un instant qu’ils fussent là, je peux rêver non ...Oui le rêve est permis….qu’aurait t’elle pu me dire MEIHA à 133 ans… ? ‘...Yé Biber jibli el kassriââ…. ??? MTA EL BOUL OUEL KHRAA… ??? DE LA MERDE ET PIPI… ??? Apportes moi le pot de chambre… ? Ou bien ‘….Ye Maxou...Ejni cawat REX…. ? Emmène moi au café REX…. ? Ah ce café Rex ou pour 10 millimes, MEIHA squattait sa place durant TROIS HEURES et que lorsqu’elle elle arrivait le patron la regardait d’un mauvais œil….Elle lui tenait toute une table pour si peu de recettes….
LOUIJJE sa sœur pour le bonheur de MEIHA est venue par la grâce de maman occuper la chambre NORD du nouvel appartement. Elle était don à l’opposée de la chambre de MEIHA et comme les deux ne pouvaient se supporter, j’ai décidais d’un commun accord à ce que les deux ne se croisent pas dans la salle à manger au moment d’aller aux toilettes. Chacune d’elle avaient sa tranche horaire. Donc un midi alors que je piochais dans mon plat qqs bsal ou loubia, j’entends une canne et une porte qui grince….La canne de LOUIJJE et la porte de MEIHA. Soudain, j’entrevois comme de l’éclair dans l’air….La canne a dépassé le seuil de la porte de la cambre de la tante tandis que la porte de MEIHA est ouverte et que ma mémé avance d’un pas. Les voilà sur la ligne de départ BECH YEMCHIOU I BOULOU… Pour aller faire un besoin.
ARRÊT SUR IMAGE….DEUX VIEILLES SILHOUETTES OPPOSÉES EN TOUT..... DEUX ANTAGONISMES...QUI SE VOUENT UNE HAINE FÉROCE SE FONT FACE….LE COMBAT PEUT COMMENCER....SOUS MON REGARD ATTENTIF...
A SUIVRE….
MEIHA LELLOUCHE ET LOUIJJE ASSOUS….
Comment voulez vous qu’ils interviennent… ? Mes acteurs préférés…. ? Comment puisqu’ils sont absents….Ils font relâche depuis longtemps...Dans l éternité, ils font relâche….Savent t’ils qu’un de leur progéniture les mets en valeur presque tous les jours…. ??? Comment voulez vous que MEIHA, omi ou baba viennent se présenter à vous .. ? Dans quelle tenue… ?? Dites moi , vous qui savez tout...Vous qui vous querellez… ? Vous qu’on rit de vous toutes les secondes car tellement ridicules vous êtes...Ils vous disent… ‘...Oui continuez à nous faire rire, votre seule finalité c est là…. ! Là qui vous attend… ? ‘
Ils ne sont pas ici mes acteurs, mes actrices, ils sont loin, très loin super loin que je n’ose définir exactement où… ? Ils sont sous terre, oui, puis dans le ciel me dit t’on….Donc jamais ils ne pourront se présenter à vous….Mais imaginons un instant qu’ils fussent là, je peux rêver non ...Oui le rêve est permis….qu’aurait t’elle pu me dire MEIHA à 133 ans… ? ‘...Yé Biber jibli el kassriââ…. ??? MTA EL BOUL OUEL KHRAA… ??? DE LA MERDE ET PIPI… ??? Apportes moi le pot de chambre… ? Ou bien ‘….Ye Maxou...Ejni cawat REX…. ? Emmène moi au café REX…. ? Ah ce café Rex ou pour 10 millimes, MEIHA squattait sa place durant TROIS HEURES et que lorsqu’elle elle arrivait le patron la regardait d’un mauvais œil….Elle lui tenait toute une table pour si peu de recettes….
LOUIJJE sa sœur pour le bonheur de MEIHA est venue par la grâce de maman occuper la chambre NORD du nouvel appartement. Elle était don à l’opposée de la chambre de MEIHA et comme les deux ne pouvaient se supporter, j’ai décidais d’un commun accord à ce que les deux ne se croisent pas dans la salle à manger au moment d’aller aux toilettes. Chacune d’elle avaient sa tranche horaire. Donc un midi alors que je piochais dans mon plat qqs bsal ou loubia, j’entends une canne et une porte qui grince….La canne de LOUIJJE et la porte de MEIHA. Soudain, j’entrevois comme de l’éclair dans l’air….La canne a dépassé le seuil de la porte de la cambre de la tante tandis que la porte de MEIHA est ouverte et que ma mémé avance d’un pas. Les voilà sur la ligne de départ BECH YEMCHIOU I BOULOU… Pour aller faire un besoin.
ARRÊT SUR IMAGE….DEUX VIEILLES SILHOUETTES OPPOSÉES EN TOUT..... DEUX ANTAGONISMES...QUI SE VOUENT UNE HAINE FÉROCE SE FONT FACE….LE COMBAT PEUT COMMENCER....SOUS MON REGARD ATTENTIF...
A SUIVRE….
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.
