Par Edmond (Edmond) le lundi 24 mai 2004 - 19h56:

Controverse autour de la « Mezquita »
UN ARTICLE DE EMMANUELLE STEELS,
envoyée spéciale à Cordoue |


On retrouve partout le même contraste entre les deux styles, commente la guide en désignant un vitrail au motif chrétien entouré d'une frise mudéjar, le style architectural hispano-musulman datant de la domination arabe sur la péninsule. Emerveillés, les touristes évoluent à travers le dédale de colonnes mauresques de la Mezquita de Cordoue, en Andalousie. Joyau de l'époque d'Al-Andalus entre 711 et 1492, lors de la domination arabo-musulmane sur une partie de la péninsule ibérique , l'ancienne mosquée héberge une cathédrale, édifiée trois siècles après la reconquête chrétienne de la ville en 1236. Ici, les styles architecturaux se mélangent mais pas les croyants.

La gestion de l'édifice appartient à l'Eglise catholique, qui se montre inflexible face aux demandes formulées par les musulmans de Cordoue d'être autorisés à prier dans l'ancienne mosquée. Les musulmans ? Oui, ils viennent de temps en temps, raconte un surveillant de la Mezquita. D'après son récit, ils se dirigent droit vers le « mihrab », la niche qui indique l'orientation vers la Mecque, pour se prosterner. Mais les ordres provenant de l'archevêché de Cordoue sont formels. On ne les laisse pas faire, poursuit le garde. Moi, je les repère à l'entrée et je les préviens d'emblée qu'ils n'ont pas le droit de prier ici.

Les responsables de la sécurité sont plutôt nerveux et ils n'ont toujours pas digéré l'épisode du 3 mars dernier, lorsqu'ils ont dû empêcher
par la force un groupe de touristes musulmans de réaliser une prière collective.

Lassée des tensions continuelles que génère cette revendication depuis une vingtaine d'années, la Junte islamique, basée à Cordoue comme l'une des plus importantes associations musulmanes progressistes d'Espagne, a porté ce qu'elle dénomme sa proposition oecuménique à Rome, devant le Vatican. L'idée est d'utiliser un endroit aussi symbolique que la Mezquita comme lieu de culte commun et de franchir un pas qui aille au-delà de la rhétorique habituelle en matière de dialogue interreligieux.

À Rome, certains hauts dignitaires religieux ont souligné l'impossibilité de baser ce dialogue sur un retour en arrière dans l'histoire, considéré comme une forme de revanche. Ces réticences profondes trouvent un écho dans les secteurs catholiques de Cordoue, où la thèse d'une tentative d'islamisation de l'Europe à partir de Cordoue jouit d'un certain crédit.

C'est qu'ils n'ont pas lu notre proposition, s'offusque Mansur Escudero, responsable de la Junte. Nous ne voulons pas récupérer l'endroit en lui-même, dont la gestion resterait aux mains de l'Eglise. Et son collègue de l'association, Abdelnur Prado, d'enchaîner : L'espace est tellement grand que cela ne représenterait pour eux qu'un effort infime, mais qui aurait un impact retentissant en donnant une image d'ouverture de l'Eglise catholique.

Escudero et Prado admettent qu'ils puisent leur inspiration dans une volonté de récupérer et d'adapter à la modernité l'esprit d'Al-Andalus, celui d'une cohabitation pacifique entre les différentes religions, sans pour autant que le souvenir réside dans des pierres à se réapproprier..

Au-delà de cette proposition concrète relative à la Mezquita, qui a recueilli l'appui de nombreuses associations et de la majorité des forces
politiques, la Junte islamique a toujours accordé au modèle d'Al-Andalus un rôle de référence en vue de l'intégration de l'islam au sein de la société
laïque et démocratique. C'est un modèle adaptable aujourd'hui, poursuit Escudero. Au lieu de présenter l'islam comme une religion extérieure à
l'Espagne, importée par les immigrés, folklorique, voire fanatique et fondamentaliste, les autorités devraient lui donner les moyens de se développer au sein de notre tissu démocratique. Complaisant quant aux privilèges écrasants accordés à l'Eglise catholique, le gouvernement précédent avait en effet renoncé au financement du culte islamique. Le résultat de ce désengagement est patent à Cordoue, où les fidèles ne disposent que d'une « minimosquée ».

Du côté de l'évêché de Cordoue, à qui appartient la décision finale sur la controverse de la Mezquita, l'heure n'est pas à l'apitoiement sur le sort des musulmans. Ils s'imaginent que parce qu'ils vont y prier, ils vont la consacrer en tant que mosquée, se choque cette collaboratrice de l'évêque, qui dénonce un harcèlement terrible des musulmans aux portes de la Mezquita. Peu disposé à répondre aux musulmans, l'évêché estime : Il n'y a pas eu de demande officielle dans les formes et il n'y a pas non plus de soutien de la part de la population.

Aux abords de l'édifice, les habitants de Cordoue et les touristes voient pourtant généralement d'un bon oeil la requête de partage du lieu de culte. Ils devraient accepter, spécialement par les temps qui courent, dit cet homme, enthousiaste, alors que le responsable des visites répète froidement son point de vue : Il s'agit d'une cathédrale et pas d'une mosquée, un point c'est tout. Ce qui n'est pas tout à fait exact, puisque d'après Ricardo Cordoba, professeur d'histoire médiévale à l'Université de Cordoue, le caractère exceptionnel de la Mezquita réside dans la permanence des lieux de cultes au fil de l'histoire.
La mosquée avait été construite sur les vestiges d'une basilique, puis la cathédrale a été érigée au beau milieu du temple islamique. Ce qui ne dote pas forcément la démarche actuelle d'une justification historique. Mais à aucun moment de l'histoire des confessions différentes n'ont utilisé la Mezquita comme lieu de culte commun, précise Ricardo Cordoba, qui émet de sérieuses réserves au sujet du caractère tolérant de l'époque d'Al-Andalus : Ce n'est pas la tolérance telle qu'on l'entend aujourd'hui ; chrétiens et musulmans se limitaient à ne pas s'entre-tuer. « Tolérance »... c'est pourtant un mot qui pourrait être apposé sur la plaque de marbre qui, à l'intérieur de la Mezquita, exhorte à la fraternité entre les hommes qui professent leur foi en un seul Dieu, une phrase signée Jean-Paul II..

Par Maurice (Maurice) le lundi 24 mai 2004 - 19h41:

Benzarti oui il est inhumain de tuer un homme mais explique moi pourquoi tu ne t'emeus pas que des algeriens tuent des algeriens des soudanais qui tuent des chretiens soudanees que je ne t'ai pas entendu quand Saddam tuaient des kurdes des chiites et combien de sunnites et des egyptiens musulmans qui ont tué des egyptiens coptes qui ont eté envahis par les arabes et convertis de force et explique moi pourquoi les arabes juifs sont partis en abandonnant tout et pourquoi toutes les armees arabes ont envahi la faible Israel à l'epoque pour les tues et que la chanteuse egyptienne chantait EGORGER EGORGER mais malheureusement pour les israeliens et les Palestiniens sont devant une guerre de liberation des juifs qui ont le droit d'avoir au moins leur etat

Par Mena (Mena) le lundi 24 mai 2004 - 18h49:

Il doit partir, il va partir (info # 012405/4) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Ce matin, la radio officielle ainsi que les quotidiens israéliens ont rendu publique l’information que nous communiquait Sami el-Soudi voici trois mois, dans son papier "Pas si unilatéral, ce retrait" . L’info concerne les tractations intensives qui ont lieu entre le gouvernement de Jérusalem et Mohamed Dahlan, l’ex-chef de la sécurité intérieure palestinienne, limogé par Yasser Arafat. Les négociations se déroulent en direct entre les intéressés mais elles jouissent, de plus, d’un soutien très actif de la diplomatie américaine, des services spéciaux égyptiens et jordaniens et, c’est là peut-être la nouveauté, de personnalités influentes de l’Autorité Palestinienne.


Si le motif principal des discussions n’a pas changé depuis l’article d’el-Soudi, et qu’il s’agit toujours d’établir les modalités du transfert de la bande de Gaza des Israéliens à Dahlan ainsi que de la coordination de la neutralisation des organisations terroristes selon les termes de la Carte Routière, les pourparlers ont connu ces jours une extension capitale. En fait, il s’agirait maintenant de procéder également à la nomination de Dahlan au poste de 1er ministre, en remplacement d’Ahmad Qureï. Le plan qui s’ourdit prend même des allures de conspiration, puisqu’il prévoit, en outre, la mutation, de gré ou de force, d’Arafat au poste à créer de président honorifique et le transport de ses privilèges gouvernementaux actuels vers la fonction de 1er ministre.



Le putsch, ou révolution de palais, dont les notables palestiniens discutent depuis des mois et dont el-Soudi avait aussi décrit les balbutiements aux lecteurs de la Ména, est ressenti par les conspirateurs comme une mesure de plus en plus urgente. Cette urgence faisant suite à la dégradation de l’état de santé physique et mentale de l’occupant de la Moukata de Ramallah ainsi que de son entêtement à empêcher que son Intifada ne soit interrompue au profit des dispositions prévues par la Carte Routière.



Lors de conversations que j’ai eues ce matin avec des personnes de l’entourage de Dahlan, j’ai entendu leur inquiétude face à la publicité faite en Israël aux discussions en cours. "Dans l’état actuel des choses, il n’y a pas de meilleure manière de griller Mohamed aux yeux des Palestiniens, que de parler de sa future collaboration avec les Israéliens et les Américains" m’ont affirmé ces sources et d’ajouter : "Pendant que la presse palestinienne exagère les dégâts de votre opération à Rafah, ces indiscrétions vont faire passer Dahlan pour un traître !"



Il est certain que nombre d’analystes partagent les préoccupations de Dahlan et considèrent avec souci l’incontinence informationnelle systématique des ministres israéliens. Mais ces indiscrétions ont-elles le pouvoir de faire échouer la conjuration ? On peut en douter, même si elles ne facilitent pas les choses ; les intentions de l’Administration US, de la Grande-Bretagne et de plusieurs autres capitales européenne – cependant que la France de Jacques Chirac conforte Arafat – des Etats arabes limitrophes du conflit, associés en la circonstance à des acteurs palestiniens de premier rang, nous semblent imparables. Ces intentions sont directement à mettre en relation avec les propos allant dans le même sens, tenus la semaine dernière par le roi de Jordanie au New York Times et parus dans Al-Hayatt à Londres. Les concours de circonstances n’existant pas dans ces situations.



Le principal intéressé n’est d’ailleurs pas dupe de se qui se trame, puisqu’il a déclaré ce matin, par Jibril Rajoub interposé, qu'un retrait unilatéral effectué par Tsahal sans concertation avec l’Autorité Palestinienne – lisez Yasser Arafat - n'apporterait ni la paix ni la sécurité à l'Etat hébreu.



Mais personne ne parle de retrait sans concertation. Ni le Caïre et Aman, qui vont former des unités palestiniennes au maintien de l’ordre après le départ de Tsahal. Ni Dahlan, qui tient ses quelques 5'000 hommes, entraînés et équipés par les Américains, en dehors de toute confrontation avec Israël.



Comment, non plus, ne pas voir un sérieux coup de main israélien – légitimement intéressé – au successeur d’Arafat, dans l’élimination de ses pires concurrents qu’étaient le Cheikh Yacine et Rantissi ? Pourquoi ignorer que le rebouchage des tunnels de Rafah aurait aussi été une mission hyper délicate à effectuer pour Mohamed Dahlan, sur les semelles des soldats israéliens quittant le sud de la bande de Gaza ?



La semaine dernière, Ahmad Qureï a rencontré des hauts émissaires des gouvernements américain, anglais et jordanien. Il a mentionné à leurs oreilles qu’Arafat le privait de toute autorité et qu’il se sentait ainsi totalement impuissant à infléchir le désastre du blocage du processus de paix par son patron et de toutes les réformes, urgentissimes, dont a besoin l’entité de Palestine si elle entend devenir un Etat. Qureï leur a dit qu’il envisageait de démissionner depuis de longues semaines. D’après ce que nous en savons à Métula, l’actuel 1er ministre ne serait pas opposé du tout à son remplacement par Dahlan, surtout si ce changement est accompagné de la mise à la retraite du raïs, de la réintégration des Palestiniens au processus international et du début des réformes.

Par Emma (Emma) le lundi 24 mai 2004 - 18h33:

"JE NE SAIS PAS QUOI PENSER DE CET ARTICLE. AIDEZ MOI."


L'opération israélienne à Rafah rend "malade" un ministre du Shinoui

JERUSALEM (AP) - Le ministre israélien de la Justice Yosi Lapid, survivant de l'Holocauste, a fait scandale en déclarant dimanche que les images de l'offensive de Tsahal sur le camp de réfugiés palestiniens de Gaza lui rappelaient les souffrances de sa famille à l'époque des nazis.

Ces remarques sont venues alimenter le débat, qui bat son plein en Israël sur l'offensive à Rafah. Quarante-et-un Palestiniens ont été tués depuis le début mardi de cette "opération Arc-en-ciel", destinée à la base, selon Tsahal, à démanteler les tunnels de trafic d'armes entre l'Egypte et Gaza. Une opération fortement dénoncée par la communauté internationale.

Au cours du Conseil des ministres, Yosi Lapid, du parti centriste Shinoui, a réclamé l'arrêt des démolitions, ajoutant que les images télé de Rafah lui rappelaient la guerre et les nazis. "Je parle d'une vieille femme, cherchant ses médicaments à quatre pattes dans les ruines de sa maison, et qui m'a fait penser à ma grand-mère", a-t-il ensuite expliqué sur les ondes de la radio d'Israël.

"Nous avons l'air de monstres aux yeux du monde. Ca me rend malade", a-t-il déclaré.

Yosi Lapid avait passé la plus grande partie de la deuxième guerre mondiale dans le ghetto de Budapest, et a perdu nombre de ses proches, dont sa grand-mère et son père. Il a immigré en Israël en 1948, à l'âge de 17 ans. Il a tenu à souligner qu'il ne comparait pas la situation de Gaza avec l'Holocauste, mais ses propos ont scandalisé d'autres ministres, qui ont réclamé qu'il se rétracte.

"Peut-il faire ce genre de comparaison juste parce qu'il est un survivant de l'Holocauste?", s'est interrogé le ministre de la Santé Danny Naveh. "La comparaison, sous-entendue ou même non-intentionnelle, entre le meurtre systématique des juifs par les Allemagnds et les opérations de l'armée à Gaza (...) n'est pas une analogie légitime", a-t-il jugé.

Dans ce même entretien, Yosi Lapid a également révélé que l'armée envisage de détruire quelque 2.000 maisons à Rafah pour élargir la route de surveillance entre le camp et la frontière égyptienne. Pour la première fois, des responsables militaires ont confirmé, sous couvert d'anonymat, que les projets impliquaient la démolition de 700 à 2.000 maisons.

Dimanche matin, quatre bulldozers militaires et trois chars sont revenus dans le quartier Brazil, théâtre de violents combats la semaine dernière. AP

Par Benzarti (Benzarti) le lundi 24 mai 2004 - 16h34:

Henri,
Ce n'est pas choquant de tirer sur une foule de manifestants?De rendre 2000 personnes sans-abris?
Ce n'est pas choquant de voir que la colonisation existe encore en 2004?

Par Bazooka (Bazooka) le lundi 24 mai 2004 - 16h38:

Henri,

On va surement vous retorquer d'etre tolerant, parce que ces salopards ne sont pas des gens comme nous !

La question est de savoir si ce sont bien des gens tout court ...

Par Lalla (Lalla) le lundi 24 mai 2004 - 14h45:

facile,tres facile surtout pour une non douee comme moi!une cuilleree a soupe de grains de lin dans une assiette plate qui va au micro-onde;quelques gouttes d'eau en arrosoir et saupoudrer de quelques grains de sel et une minute au micro jusqu'a ce que les grains se mettent a sauter!c'est tout.ca fait juste le contenu d'un cornet en papier;

Par Henri (Henri) le lundi 24 mai 2004 - 14h34:

Choque!!!!!!
Hajklouf a ete choque.....mais pas par les laches salopards qui ont kidnappe egorge et decapite un malheureux civil, et tout cela aux cris d'Hala okbar.
Ces laches salopards et ceux qui les soutiennent iront droit en enfer.

Par Simon_Baroukh (Simon_Baroukh) le lundi 24 mai 2004 - 04h26:

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 24 mai 2004 - 04h01:

Ya Si Breitou, Tu as oublié le beau coq que j'avais apporté dans le deuxième couffin, tu ne l'a pas vu? Brabi Echnoua El hadra des cheveux cachère? Depuis quand, on avait pas une seule femme qui razait c'est cheveux. On devient comme Louba? Puis Malha Oubnina mais c'est les grains delin (Hboub Ketana) que l'on lavait puis on les faisait sécher et après les salait. Ya Breitou tu as oubli les glibettes des Melons de Béja et des Pasteque et des Courges "Haboub Betikh,Hbou Dela', Hboub Qara'a etc. "Nsit El Kher Ntana" Tu as oublié notre richesse. "Ya Oueldi Ech Nahkilek" mon fils qu'est ce que je vais te raconter. "Ednia Laab Oudahk" La vie c'est le jeu et les rires. Voila une de Saliha:

Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 20h50:

Nous en avons tirupati de tes cheveux TAWFIK...

Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 23 mai 2004 - 20h44:

les peruques cacheres/pas cheres:
effectivement une grande part des cheveux humains
qui rentrent dans la fabrication des peruques sont originaires de l'inde et en particulier du temple de vichnou a tirupathi au sud de l'inde.
j'y ai mois meme offert mes cheveux en 77.
il est aussi coutumier de raser la tete des enfants le jour le leur premier anniversaire et aussi de leur percer les oreilles.
se raser la tete de temps en temps est parait il bon pour les cheveux car ils reprenent du poil de la bete.

Par Albert (Albert) le dimanche 23 mai 2004 - 20h20:

Apres le pain Cacher et les sauterelles voici venu le temps des POILS....Ca tombe pile poils je suis dedans....Quel kif Pauline Ourass Deidou, je n’en espérais pas tant....Je vais en greffer une comme pas possible...

SKETCH LES PERUQUES DINDES....


‘....Bonjour Monsieur TAWFIKORAMA.... ! Vous êtes le patron de cette usine de perruques... ????
‘...Oui....... ! Sayib..... !’
‘...D’abord je ne suis pas sayib ok, au contraire je suis conciliant, appelez moi Sire..... !’
‘...Ok ....Soeur.... !
‘...Bon alors racontez moi comment sont faites vos perruques.... ?’
‘....Ben voilà c’est facile à comprendre.... ! Nous avons deux contingents, d’une part les femmes juives et d’une part les femmes boud...euses pardon bouddhistes.... !
‘...Ne rentrez pas dans les détails... !’
‘...Je ne suis rentré nulle part Sayib.... !
‘...Bon continuez.... !’
‘....Donc nous ne mélangeons pas les fibres juives et bouddhistes, d’ailleurs constatez par vous-même, il y a deux bacs bien distincts.... !’
‘...Ok.... ! Mais vous les salez les fibres avant de les coudre... !’
‘...Oui nous faisons la CACHROUT...... ! Nous les emmenons au Mikve à RAS EL POUPA à dix km d’ici.... !’
‘...Ensuite.... ?’
‘...Ensuite, nous les portons chez le grand rabbin de Bombay, pour qu’ils les bombent un peu avec du hraouar , genre hrouchout.... !’
‘...Et ensuite.... ?’
‘....Ensuite on les circoncis par la queue de cheval.... !’
‘....Et ensuite.... ?’
‘....Ensuite on fait la brakha des Couhanim... ! Nous avons à notre disposition une communauté de Cohen dont HAI BEKHOR... !’
‘...Mais lui il est dans les Akoud... ?’
‘...Oui mais il cherche a se rendre utile ici alors on l’a mit comme HABIR des fibres humaines ... !’
‘....C’est un nouveau métier ça pour lui... ?’
‘....En attendant qu’il retrouve sa place qu’on lui a chippè....Mais c’est un bon contrôleur de postiches vous savez.... !’
‘...Ensuite.. ?’
‘....Ensuite, nos petites mains vérifient le degrés d’humidité de chaque poil... ! Et surtout elles contrôlent qu’elles ne se sont pas accoquinées avec un cheveu hamas...pardon Hames... !’
‘....Et ensuite.... !’
‘...Ensuite, la fibre passe chez les grosses mains pour tisser chaque fibre sur un squelette... !’
‘...Un squelette.... ?’
‘...Oui, une tête.... !’
‘....Une tête... ?
‘...Oui une forme de tête en polystyrène... !’
‘....Kacher au moins la tête polie. sirène.. !’
‘....Oui bien sur.... !
‘...Ensuite... ?’
‘....Ensuite une fois terminée on l’emmène au Gange.... !’
‘....Pour la purifier... ?’
‘....Oui..... !’
‘....ET BIEN NONNNN..... ! Ne dites pas cela au grand RAV....OK..... ?’
dites lui que c’est la MER ROUGE ICI...OK.....Comme ca il fermera les yeux... !’
‘...Je dirais même que c est l’eau du Jourdain.... !’
‘.. NONNNNNNNNNNNNNNNNN.....Jesus s’y est baigné.... !’
‘....Bon je dis quoi alors..... ?’
‘...Dites lui que c’est de l’eau de SOURCE ET QUE JE M Y SUIS BAIGNEEEEE...§§§§§§§§§......A LA CLAIRE FONTAINE MA PERRUQUE S Y EST BAIGNEEEE...JE L’AI TROUVEE SI BELLE QUE JE N’ AI PAS PU M Y EMPECHER DE LA FOUTRE SUR MA TRONCHE... ! KACHER OU PAS KACHER JE N’AI PAS A LA CAC HER....§§§§§§....

MERCI PAULINE BISOUS...Vous n'êtes pas louba au moins....?

Par Pauline (Pauline) le dimanche 23 mai 2004 - 19h05:

ATTENTION : VOS PERRUQUES NE SONT PEUT-ETRE PAS CACHERES

une info qui fait la une des chouls dit que les perruques que nos épouses portent proviennent d'inde ou les dames offrent leur cheveux a boudah ce qui les rendraient interdites
sur quoi repose cet interdit et a t-on le droit de conserver celle que l-on possède??

Rav Dunner de Londres s’est en effet rendu en Inde à la demande de Rav Elyachiv et a effectivement constaté que la coupe des cheveux dans ce pays se faisait dans des conditions qui ne garantissent pas l’absence d’un culte d’ ‘Avoda zara. C’est pourquoi Rav Elyachiv a appelé a la fin de son chiour à une vigilance accrue vu la gravité de l’interdiction.
Des informations plus précises seront données cette semaine quant aux marques et aux références permises.


Rav Dov Lumbroso-Roth


Voir ce lien pour plus de renseignements à ce sujet :
http://www.techouvot.com/viewtopic.php?p=694#694

Selon les renseignements que j’ai recueillis, plusieurs rabbanim, en s’appuyant sur le din du Rov (« loi de la majorité »), avaient en effet permis les perruques faites de cheveux humains, bien que le Rav Moché Sternbuch du Badats s’y soit opposé depuis environ 20 ans .

Le changement qui s’est opéré dernièrement est dû, plus précisément, à certains changements constatés dans la fabrication des perruques vendus en Israël. Il semble que la majorité des cheveux humains servant à la fabrication des perruques ait changé et qu’une grande partie des cheveux humains proviennent de l’Inde et sont par conséquent interdits parce qu’ils ont servi à une ‘Avoda zara. Les gens, dans ce pays, se les coupent pour les offrir à leurs divinités, et les cheveux sont ensuite récupérés pour être vendus.

Un grand flou règne en ce moment pour déterminer quelles sont les perruques qui sont cachères (« permises ») et quelles sont celles qui ne le sont pas. Des Rabbanim ont été envoyés dans les usines pour procéder à des vérifications, et un certain temps devra s’écouler avant que des décisions définitives puissent être prises.

Une chose est sûre : les perruques à base de cheveux à 100 pour cent synthétiques sont permises. Encore faut-il vérifier l’absence totale de cheveux humains, même en faibles quantités. Les perruques synthétiques fabriquées en Israël contiennent en effet très souvent de ces cheveux humains.

Voici une liste, non exhaustive et non définitive, des perruques qui semblent interdites :

-Euro custom -Millenium -First lady 100 % naturelles

-Georgie 100 % naturelles -Yaffa - Miami

-Galith Italia

Certaines perruques, bien que l’on ne doive plus en acheter désormais avant vérification, semblent permises pour celles qui en ont déjà (bedi‘avad) :

-Frida -Chevi -Leah -Frouma -Jacquelyn -First LAdy blend

-Penina -Rosalyne -Channy -Gaby -European de Luxe

D’autres nouvelles sur ce sujet suivront dès que possible.

Dans tous les cas, mieux vaut demander à son Rav.
(surtout pour les femmes qui travaillent parmi les Goyim et qui n'ont pas encore trouvé de perruques permises ).

pour plus de précisions sur le site cliquez :
http://www.techouvot.com/viewtopic.php?p=694
http://www.techouvot.com/viewtopic.php?t=293

voici un lien très intéressant sur cette coupe de cheveux d'Idolâtrie:
Il y est écrit notamment que " La plupart des perruques ou postiches faites dans le monde , sont des cheveux qui viennent du temple de Vishnou !!!"
http://www.indes-nepal-tibets.net/cheveux.html