Archive jusqu'au 26/septembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Septembre 2006: Archive jusqu'au 26/septembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 26 septembre 2006 - 04h42:

Parait-il qu’il y a un film sur Hbiba Msika la chanteuse juive tunisienne, par Salma Bakar. Si quelqu’un sait ou le trouver je serais très reconnaissant s’il pouvait l’indiquer sur les commentaires ou chez moi directement. Merci Emile

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 26 septembre 2006 - 00h04:

Bazooka, aux altitudes de croisière des avions de ligne actuels (10 à 12 km) la température extérieure varie de - 51°C à - 56°C.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jneyen (Jneyen) le lundi 25 septembre 2006 - 23h52:

PROCHE ORIENT INFO, et la Chemla

MENARAKHA OUSHBARAKHATE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le lundi 25 septembre 2006 - 23h33:

LA TRAGI COMEDIE DE L'ONU

Après la bombe Shiite, une bombe pour l'Egypte Sunnite?



Editorial d'Opinion Journal, émanation du Wall Street Journal pour le Net

Le 22/09/06

Traduit par Artus pour www.nuitdorient.com



Hugo Chavez et Mahmoud Ahmedinejad se sont produits cette semaine à la tribune de l'Onu et il serait tentant de dire que ce n'était que de la grandiloquence. Sauf que leur assurance ne peut être séparée de l'histoire récente de cette institution, un échec continu devant le défi criant de l'Iran à la demande du Conseil de Sécurité

de suspendre ses activités d'enrichissement de l'uranium.

L'enjeu est de savoir si l'Onu peut avoir un rôle quelconque pour imposer une sécurité collective, et de comprendre pourquoi les pays qui ont appuyé cette résolution sont ceux qui font tout pour la saboter. Observez donc le comportement de la Russie, de la France, de la Chine, tous membres du Conseil de Sécurité, avec un pouvoir de veto, face à la menace Iranienne.

En Juillet, le Conseil a adopté la résolution 1696 qui note "… sérieusement préoccupés que l'Iran n'ait pas réalisé les étapes demandées par le Conseil des Gouverneurs de l'AEIA (agence internationale pour l'énergie atomique)"; et le Conseil est allé plus loin en exprimant son intention d'adopter les mesures appropriées selon l'article 41 du chapitre 7 de la Charte des Nations Unies afin de persuader l'Iran de se plier à cette résolution. L'article 41se réfère à toutes les mesures légales auxquelles on doit se plier sous peine de sanctions ou de coercition militaire. Ici la résolution disait que l'Iran devait cesser tout enrichissement de l'uranium au 31 août 2006, date limite dont l'Iran s'est moqué ouvertement.

Alors y aura-t-il des conséquences sérieuses? Pas le moins du monde. L'envoyé chinois Sun Bigan a rejeté toute sanction "qui serait non seulement nuisible à la région mais à notre pays", en référence aux importations de pétrole d'Iran, soit 56% des besoins de la Chine. Le ministre de la Défense russe Sergei Ivanov, qui fournit l'Iran pour 0,7 milliard $ de matériel de défense aérienne, dit aussi que les sanctions n'auraient aucun effet. Ce sentiment a trouvé un écho cette semaine auprès de J Chirac que l'administration Bush a pourtant qualifié d'allié loyal pour stopper l'Iran. Le président français a dit "Je ne suis jamais favorable à des sanctions, et, si elles sont inévitables, elles devraient être modérées et adaptées". En d'autres termes, il a fallu moins d'un mois pour prouver que la date limite fixée par la résolution 1696 était dépourvue de sens, événement prédit par Ahmedinejad en avril.

Alors pourquoi les 5 membres permanents du Conseil ont-il risqué leur crédibilité en fixant d'abord une date limite? Pourquoi alors menacer l'Iran de sanctions, s'ils n'ont aucune intention de les imposer? La réponse est que la diplomatie onusienne est devenue un outil de dissuasion non contre l'Iran, mais contre tout effort américain dans sa volonté d'empêcher l'Iran d'acquérir la bombe. Sous couvert de négociations diplomatiques, le programme nucléaire iranien s'accélère, comme le montre l'inauguration récente d'une usine de fabrication d'eau lourde. Les réacteurs d'eau lourde sont ceux qui sont le plus susceptibles de fournir un combustible pour arme nucléaire. Le journal iranien Syassat-al-ruz a souligné que cette performance était le signe que la résolution américaine n'avait aucun sens. Pendant ce temps le "cowboy" américain apparaît de plus en plus comme celui qui a été pris au lasso par l'Onu et non l'inverse. En 2003, les Etats-Unis ont accepté de rejeter l'idée que l'Iran trichait quant au traité de non prolifération signé par ce pays et à ses engagements, afin de donner une chance à la diplomatie européenne. Et les Etats-Unis ont continué dans cette voie en 2004, malgré l'évidence que l'Iran continuait à tricher. Ils ont même accepté d'autres négociations qui ont échoué six mois plus tard. Et cette année le président Bush a accepté le principe de négocier directement avec Téhéran, pourvu que ce pays suspende son enrichissement. Il a même souligné récemment à l'Onu qu'il ne s'opposait pas à un programme nucléaire à des fins civiles.

Pendant toute cette période, l'administration américaine a fait confiance à l'Europe, à la Russie et à l'AEIA, dans les délais et la tactique. Et maintenant elle se fie au Conseil de Sécurité. La seule insistance était que la communauté internationale montre sa bonne foi pour empêcher l'Iran de développer une arme nucléaire. Mais cette bonne foi a été manifestement absente et on peut se poser la question de savoir qui est vraiment désireux de donner à l'Onu une chance d'être fiable.

On tire la conclusion que l'Onu cherche en fait à persuader l'Amérique qu'elle peut vivre avec une bombe iranienne, comme elle le fait avec la bombe pakistanaise, car le prix de sanctions économiques ou de frappes militaires serait exorbitant. Mais on peut aussi déjà avoir une idée d'un monde où l'Iran est autorisé à avoir une bombe, rien qu'en écoutant Gamal, le fils du président égyptien Moubarak, et aussi son éventuel héritier, qui revendique lui aussi le droit de développer un programme nucléaire. Et ceci afin d'empêcher l'Iran shiite de dominer le Moyen Orient. Et là où l'Egypte ira, la Turquie et l'Arabie saoudite ne sont pas loin derrière. Est-ce que la communauté internationale est préparée à vivre avec 5 ou 6 puissances nucléaires au Moyen Orient?



On a qualifié les discours récents à la tribune de l'Onu de feuilleton avec acteurs M Bush et ses adversaires. Mais là ce n'est pas seulement le Moyen Orient qui est en danger, mais l'Onu. Et MM Chavez et Ahmedinejad se sont sentis libres de railler son évidente faillite.





U.N. Charades
After the Shiite bomb, a nuke for Sunni Egypt?

September 22, 2006 Opinion Journal



Hugo Chávez and Mahmoud Ahmadinejad put on quite a show at the United Nations this week, and it's tempting to dismiss it all as mere bombast. Except that their assertiveness can't be separated from the more important U.N. story this week, which is its continuing failure to come to grips with Iran's open defiance of the Security Council's demand that it suspend uranium enrichment.

At issue is whether the U.N. can have any role in enforcing collective security--and the mystery is why the very nations that say the U.N. must do so are doing the most to undermine it. Consider the behavior of Russia, France and China--all veto-wielding members of the Security Council--in squaring up to the Iranian threat.

In July, the Council adopted Resolution 1696, which noted "with serious concern that . . . Iran has not taken the steps required of it by the [International Atomic Energy Agency] Board of Governors." The Council went on to express "its intention . . . to adopt appropriate measures under Article 41 of Chapter VII of the Charter of the United Nations to persuade Iran to comply with this resolution." Article 41 refers to all legally binding measures short of war--sanctions, that is--to bring states into compliance with U.N. resolutions. The Resolution said Iran must cease enriching uranium by August 31, a deadline Tehran has openly flouted.

So, serious consequences? Not quite. Chinese Middle East envoy Sun Bigan has rejected sanctions on Iran as "detrimental not only to the region but also to ourselves"--the latter a reference to China's oil imports from Iran, up 56% from last year. Russian Defense Minister Sergei Ivanov -- who is selling Iran a $700 million air-defense system -- also says sanctions won't work. That sentiment was echoed earlier this week by France's Jacques Chirac, whom the Bush Administration has claimed is a stalwart ally in stopping Iran. "I am never favorable to sanctions," said the French President, adding that, if they are unavoidable, they should be "moderate and adapted."

In other words, it has taken less than a month for the deadline set by Resolution 1696 to prove to be absolutely meaningless, something Mr. Ahmadinejad predicted in April. Why then would the Permanent Five risk their credibility as an institution by setting a deadline in the first place? Why threaten sanctions if they have no intention of imposing them?

The answer may be that U.N. diplomacy has come to serve as a deterrent not against Iran but against any American effort to do anything about Iran's rush to acquire the bomb. Iran's nuclear programs are accelerating under this diplomatic cover, as its inauguration of a heavy-water nuclear plant late last month shows. Heavy-water reactors are the kind that throw off more weapons-usable fuel. The Iranian newspaper Siyasat-e Ruz underlined that event as evidence of the "worthlessness of this American resolution."

Meanwhile, the "cowboy" American President looks increasingly like the one who's been lassoed by the U.N., not vice versa. In 2003, the U.S. agreed to downplay clear evidence that Iran was cheating on its nuclear nonproliferation treaty commitments in order to give European diplomacy a chance. The U.S. continued to do so even after it became clear that the Iranians continued to cheat well into 2004.

Later that year, the Administration went along with another European negotiation, which collapsed after six months. Earlier this year, President Bush agreed in principle to negotiate directly with Tehran, provided it suspend enrichment. He has also repeatedly underlined the point, most recently in this week's speech to the General Assembly, that the U.S. does not oppose Iran's bid to develop civilian nuclear power sources.

Throughout all this, the Administration has consistently deferred, both in timing and tactics, to Europe, Russia, the IAEA, and now the Security Council. Its single insistence is that the international community demonstrate good faith in its ostensible commitment to prevent Iran from developing a nuclear weapon. But that good faith has been conspicuously absent, raising the question about who is really serious about giving the U.N. a chance to show its "relevance."



The conclusion is hard to resist that the U.N. effort is really about persuading America that it can "live with" an Iranian bomb, just as it lives with a Pakistani bomb, because the costs of economic sanctions or military strikes are supposedly prohibitive. But a glimpse of what the world will look like if Iran succeeds was provided on Tuesday by Gamal Mubarak, the son of Egyptian President Hosni Mubarak. Cairo's heir apparent floated a proposal for Egypt to develop its own nuclear programs, clearly a signal that the largest Sunni Arab country will go nuclear itself to prevent Shiite Iran from dominating the region. And where Egypt goes, Saudi Arabia and Turkey cannot be far behind. Is the international system really prepared to live with five, maybe six, nuclear powers in the Middle East?



The media portrayed this week's U.N. speeches as a soap opera showdown between Mr. Bush and his adversaries. But in the matter of Iran's nuclear ambitions, it is not only the Middle East that is at risk, but the U.N., which is why Messrs. Chávez and Ahmadinejad felt so free to mock its evident failures.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 25 septembre 2006 - 23h16:

Pour D.A.,

Cette operation, je pense, doit etre effectuee par un chirurgien plastique.
Je vous suggere de consulter la liste des chirurgiens faisant partie de l'Ordre des Medecins a l'URL suivant:

http://www.conseil-national.medecin.fr/index.php?url=rubrique.php&menu=ANNUAIRE

La detresse qui transparait dans votre message, me laisse croire aussi qu'une aide psychologique serait aussi la bienvenue.

Etonnant comme les so-called chirurgiens plastique qui foisonnent desormais au Maghreb n'ont pas encore mis cette operation a leur menu ...

Bon courage et bonne chance.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 25 septembre 2006 - 23h07:

Meyer vous avez raison (!) -30 c'est la temperature exterieure !
J'ai du me tromper aussi sur l'age du commandant de bord ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Résistance (Résistance) le lundi 25 septembre 2006 - 22h02:

Bazooka

Il y a eu aussi la dhima ...mais bon dans l'islam il y a le bien et le mal comme ici sur terre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le lundi 25 septembre 2006 - 22h10:

ADIEU À PROCHE-ORIENT.INFO

Par Élisabeth Schemla et Nicole Leibowitz

Alors que la France s’engage dans une année électorale déterminante, un modeste titre de presse, Proche-Orient.info, disparaît. Disons-le comme nous le pensons, le ressentons, le vivons : POI est trop indépendant, trop incontrôlable, quand tant de ses thèmes seront au cœur des débats durant les mois de campagne.

Nous n’avons pas l’esprit communautaire, ni de cour, ni de clan.

Proche-Orient.info s'éteint au moment où, par ailleurs, les relations entre l’Occident et l’islam se présentent comme l’enjeu majeur des décennies à venir, au moment où notre identité culturelle nationale et européenne est concernée dans ses fondements, où les démocraties et bien sûr, au premier chef Israël, apparaissent dans toutes leurs fragilités, en butte aux visées expansionnistes et totalitaires de l’islam radical, chiite ou sunnite. Au moment aussi où, pour la première fois, le président d’un État, l’Iran, soutenu par toute la hiérarchie politique, militaire et religieuse, se donne pour but officiel la destruction d’un autre État, l’État d’Israël, et le déclare urbi et orbi.

Nous voulons dire ici avec solennité la honte extrême que tous ensemble, journalistes français, belges, allemands, turcs, israéliens, libanais, égyptiens, algériens, juifs, musulmans, chrétiens, agnostiques ou athées de Proche-Orient.info, nous avons éprouvée en constatant que l’ONU, qui se targue de vouloir restaurer la paix dans le monde et de monter la garde contre le Hezbollah, a jugé Mahmoud Ahmadi Nedjad digne de sa tribune, lors de son Assemblée générale de septembre 2006.

Nous tenons à répéter notre sourde inquiétude devant la mollesse des institutions et des responsables européens, si peu à la hauteur des défis directs ou indirects que le Moyen-Orient et plus largement le monde arabe leur adressent, confondant trop souvent dialogue – dont nous sommes des adeptes – et compromission.

Nous souhaitons prendre date enfin sur le tremblement de terre qui à notre sens ébranlera notre pays l’année prochaine par les urnes. Nous ne doutons pas un instant en effet, tandis que les autres médias n’ont d’yeux que pour Ségolène et Nicolas, que le vote des banlieues, surgissant sur celui des bulletins lepénistes, métamorphosera la France.

Les voix de Proche-Orient.info qui s’exprimaient - pour certaines dans la clandestinité des pseudonymes imposée par les impératifs de la sécurité – ne pourront plus se faire entendre. Faute de support. Ainsi va la presse française : nous avons, hélas, la crainte que nos collaborateurs, parmi les meilleurs et de si loin, ne seront pas réclamés comme ils le méritent. Ils ne caressent pas, il est vrai, dans le sens du poil.

Nous avions certainement un rôle de « veilleur », comme tant d’entre nos lecteurs nous l’ont écrit, regrettant la disparition de nos analyses toujours libres et contradictoires. Chacun d’entre nous est allé au plus loin de lui-même. C’est la route que nous nous étions tracée. En toute responsabilité. L’avenir dira si la loi économique devait l’emporter sur la nécessité politique.

Le 25 septembre 2006

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le lundi 25 septembre 2006 - 20h54:

http://www.dailymotion.com/video/xetn4_lettre-ouverte-au-monde-entier

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le lundi 25 septembre 2006 - 20h18:

UNE HISTOIRE D’HYMEN POUR D.A. Lajeune algrienne désespérée.
(La restauration de l’hymen c’est une vieille histoire de toutes les générations de depuis que le monde est monde.)

Un jour une Shadkhanite (marieuse) trouva pour un brillant élève de Yeshiva (école rabbinique) une belle et jolie fille.

Une première rencontre eu lieu entre les parents des futurs mariés.
La maman de la fille trouva que le futur fiancé avait de l’avenir et surtout……il n’exigeait pas de dot de la part de la future fiancée.

On décida que les futurs jeunes fiancés se rencontreraient afin de faire plus ample connaissance.

Après avoir rencontré le futur rabbin pour une première dans un restaurant, la future fiancée rentra chez elle en sanglotant,

- Qu’est que tu as ma fille, pourquoi tu pleures ?
- Rien maman.
- Non ! tu as quelque chose, tu n’arrête pas de pleurer, regarde comme tu a les yeux rouge, YA BENTI. (ma fille)
- Voila maman, je ne pourrais pas me marier avec lui.
- Pourquoi ma fille, il t’a manqué de respect ?
- Non.
- Il ne te plait pas ?
- Non.
- Pourquoi alors, ALESH ma fille ?
- Voila maman, il est gentil, il est charmant, il a l’ait très doux comme garçon, mais, mais….. heu… heu….
- Mais ? mais quoi ma fille ? dis moi, tu peux tout dire à ta mère, allez vas y dis moi !! dis moi… ?
- Voila maman, il m’a dit qu’il me trouvait très bien, mais qu’il n’avait qu’une seule exigence, c’est qu’il voulait que je sois vierge.
- Et alors, ma fille ? c’est tout a fait normal cette demande.
- Mais voila maman, heu… heu…. Moi je ne suis pas vierge…heu …..heu…
- Quoi, YAKSSOF KODEK (injures) dis moi que ce n’est pas vrai ? dis moi ? mais quand ? avec qui ? tu te rends compte de ce que tu me dis ? espèce de traînée…. mais tu nous à apporté la honte…. Comment on va faire….ouh …..ouh alik ! quand ton père va le savoir…. tu me fait honte……..bon, bbon… je vais aller voir la marieuse, pour annuler, mais qu’est que je vais lui dire ? qu’est que je vais lui dire…… ? OUH ALE BENTI !........... OUH ALE BENTI………………………………..

La maman laissa sa fille dans sa chambre et sortit rencontrer la marieuse.
Après une brève rencontre, elle retourna dans sa maison, et d’un air radieux et content elle rentra dans la chambre de sa fille.

-Bon, voila ma fille, j’ai, une bonne nouvelle, le mariage aura lieu.
-Quoi maman ? Mais comment que je vais faire ? Le garçon a été trés ferme a ce sujet…
-Ne t’inquiète pas, j’ai rencontré la marieuse, elle m’a dis que ce problème est très courant, et qu’il ne fallait surtout n’en parler à personne, surtout pas au futur marié, même pas à ton propre père, c’est une histoire entre trois femmes… la marieuse, toi et moi un point c’est tout.
-Mais maman comment qu’on va faire ?
-C’est très simple, on préparera pour le jour du mariage un morceau de boyau de boeuf qu’on achètera chez le boucher.
On récupérera le sang d’un poulet égorgé, ce sang sera introduit dans le morceau de boyau, puis cousu.
-Et alors maman ?
-C’est simple, avant de rentrer dans le lit nuptial, tu rentre dans les toilettes ou dans la salle de bain, tu prends le morceau de boyau qui est dans ton sac, et tu l’introduit la ou il faut…. C’a y est le tour est presque joué…. après quelques effort du mari quand il sera sur toi, le boyau s’éclate, il y a le sang tant espéré par le marié, tu joue la comédie de celle qui a mal, tu vas aux toilettes…..tu récupère le boyau éclaté, tu le jette dans les toilettes, tu tire la chasse d’eau. La le tour est complètement joué, et tout le monde est content….


D.A, cette histoire te démontre que ce n’est pas la peine d’aller chez le chirurgien, et dépenser beaucoup d’argent.

Il y a les recettes ancestrales qui sont très fiables, surtout dans les zones villageoises de votre belle Algérie et pourquoi pas dans les villes.

Il y a un deuxième volet à cette histoire qui dit :

Le lendemain, les amis du marié lui demandèrent si la fille était vierge ?
Mais bien sur, quelle était vierge, et j’ai même eu droit au tampon « CACHER DU GRAND RABBINAT »
-Comment ça ? S’écrièrent-ils en cœur.
-Hé bien, figurez vous qu’en allant me laver dans la salle de bain, en me lavant, il y avait de l’encre violette du tampon « CACHER » sur ma verge….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 25 septembre 2006 - 19h13:

bonjour,

je suis une jeune algerienne au point du désespoir et je pense meme mettre fin a ma vie si je ne trouve pas un medecin pour me faire une operation de reconstruction d'hymen
est ce que vous pouvez me donner une adresse ou peut on pratiquér ce genre de chirurgie SVP

Je suis mal, trés mal

Aidez moi

D. A