Archive jusqu'au 14/septembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Septembre 2006: Archive jusqu'au 14/septembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le jeudi 14 septembre 2006 - 13h58:

Jean Daniel antisémite! Je ne crois pas!

Mais Anti-Israël, pro-palestinien et imbu de sa personnalité, oui.

Il se prend pour le journaliste qui ne se trompe jamais. D’ailleurs, il n'est pas le seul, Elkabbach est de la même trempe.

J'ai résilié il y a bien longtemps mon abonnement à sa revue, à cause de lui.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jneyen (Jneyen) le jeudi 14 septembre 2006 - 13h17:

Il n'y a pas de pires, juifs renegats (pour ne pas dire antisemites) que Jean Daniel et sa fille.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 14 septembre 2006 - 08h16:

Les vrais amis d’Israël

NOUVELOBS.COM


par Jean Daniel,
cofondateur
et directeur
du Nouvel Observateur

1. Toutes les informations que l’on peut réunir sur l’état d’esprit de George Bush, de Dick Cheney et de Donald Rumsfeld, comme sur celui des néo-conservateurs et des évangéliques, indiquent qu’ils n’ont pas tiré la moindre leçon du désastre irakien. Pour le cinquième anniversaire du 11 Septembre, bien qu’il ait été obligé, la mort dans l’âme, de concéder que l’on n’avait pas trouvé d’armes de destruction massive en Irak alors que c’était leur présence qu’il avait invoquée pour justifier la guerre, George Bush n’a pas eu un seul mot non pas de remords - ce qui serait trop lui demander - mais de regret. Non seulement le chef de la plus grande démocratie du monde ne s’est pas senti coupable d’un incroyable mensonge mais il a tiré argument des menaces venant aujourd’hui d’Iran pour justifier les fausses alertes d’hier à propos de l’Irak.
Il est courant d’entendre, paraît-il, d’anciens collaborateurs de George Bush père confier leurs inquiétudes sur ce qui nous attend avant la fin du mandat de George Bush fils. Car les mots d’ordre, les slogans concernant la croisade contre l’islamo-fascisme se retrouvent désormais dans une succession de déclarations.



Il s’agit de durcir le ton et de préparer les esprits à on ne sait quelle épreuve de force avec les Iraniens. Devant sa dégringolade dans les sondages, George Bush est apparemment tenté de chercher son salut en procurant aux Américains cet ennemi dont, selon Henry Kissinger, ils auraient toujours besoin, en l’occurrence l’Iran, dont la crainte pourrait détourner les électeurs de voter le 7 novembre prochain pour le parti démocrate.

2. Faut-il et peut-on faire la guerre à l’Iran ? Personne, parmi ceux qui pourraient en décider, ne paraît en être vraiment persuadé. Peut-on pour autant ne pas riposter aux provocations quotidiennes des dirigeants de Téhéran ? Evidemment, non. Mais les Occidentaux - comme les Chinois, les Russes et, d’ailleurs, les Arabes eux-mêmes - sont divisés sur la nature de la riposte. Premier constat : le droit pour les Iraniens de posséder - comme la Chine, l’Inde, le Pakistan… et Israël - un armement nucléaire, baptisé pour le moment « enrichissement d’uranium à des fins civiles », ce droit est défendu par tous les Iraniens, même les opposants aux ayatollahs.
La question devient donc de savoir comment on pourrait endiguer le nouvel expansionnisme idéologique et militaire des Iraniens. Une réflexion sérieuse aboutit inexorablement à la conclusion qu’il faut d’abord en finir avec le conflit israélo-palestinien, conflit dont les Iraniens se servent, mieux qu’on ne l’a jamais fait, pour embraser l’esprit de la multitude musulmane.
Le Saoudien Ben Laden, lorsqu’il commente en 2001, dans sa déclaration sur le 11 Septembre, les raisons du combat contre les Américains, ne fait nullement allusion à Israël. Al-Zarqawi, le chef des insurgés irakiens, n’en fait pas grand cas, lui non plus, au départ. C’est l’Iranien Ahmadinejad qui a découvert dans l’antisionisme radical (« Il faut rayer Israël de la carte ») le moyen de discréditer l’Arabie Saoudite, principale alliée des Américains, donc d’Israël.
C’est sur l’impulsion de Téhéran que l’idée s’est répandue que les gardiens des lieux saints sont en fait des apostats, que les Arabes n’ont pas réussi à protéger la terre arabe et musulmane de Palestine et que le salut ne peut venir que de cette grande nation, l’Iran, sans doute perse et chiite mais dont le régime théocratique représente la seule vraie révolution religieuse depuis la naissance du Prophète.

3. Il faut aujourd’hui tout faire, chacun à sa place et dans son domaine, pour que les politiques, en Israël, prennent le pouvoir laissé aux militaires, et pour renouer le dialogue avec l’Autorité palestinienne comme avec une partie du gouvernement du Hamas. C’est seulement en établissant à Gaza et dans la Cisjordanie occupée une paix véritable que l’on pourra contribuer à retirer au Hezbollah libanais ses raisons de combattre et à freiner la contagion de l’islamisme iranien. Clinton avait bien vu que la paix dans cette région du monde serait un atout considérable pour l’image de l’Occident et pour le développement du Proche-Orient. Arafat, pour le malheur de son pays, n’a pas compris qu’il fallait accepter moins pour obtenir plus, dans l’intérêt de son peuple.
Mais aujourd’hui, si l’Europe et l’Occident veulent combattre autrement que par la croisade la gesticulation de Téhéran, c’est par des moyens politiques de ce genre qu’ils peuvent le faire.
Comme le faisait remarquer un politologue israélien, il est aussi superficiel de sous-estimer la dimension nationaliste libanaise du Hezbollah que de sous-estimer l’autonomie du gouvernement d’Israël. Certes, les Etats-Unis et l’Iran procurent à leurs protégés des armes sophistiquées, de l’argent, des renseignements, et partagent avec eux des valeurs communes. Mais cela ne veut pas dire qu’il iront, quoi qu’il arrive, jusqu’au bout de leur solidarité.

4. En attendant, les faits sont les faits. Avant 1967, le monde était pour Israël. Aucun journal, aucun intellectuel ne marchandait son enthousiasme pour l’Etat juif. Après 1967, les esprits se sont divisés. Avant le 8 août dernier, le monde, y compris les Arabes, condamnait le Hezbollah et trouvait normal le droit pour Israël de riposter. Après l’offensive massive des Israéliens contre le territoire libanais, avec bombardements et occupations, tout a changé.
Il faut accepter d’être jugé non plus sur ce que l’on est mais sur ce que l’on fait.

5. Il faut, en tout cas, que ceux des Israéliens dont le comportement est un exemple pour tous les démocrates du monde reçoivent de l’extérieur les témoignages d’une solidarité qui ne s’étende pas aux égarements de leur gouvernement. Ils savent, eux, qui sont les vrais « amis d’Israël » puisque l’on transforme cette expression en sujet d’une misérable polémique. Les vrais amis d’Israël sont ceux qui avaient annoncé l’impossibilité pour un pays libre d’occuper un autre pays libre et qui ont rappelé ce que dit Emmanuel Levinas sur le fait que, dans le génie juif, la fin ne saurait jamais justifier les moyens.
Tout ce que nous avons écrit depuis des années va dans le même sens que ce que publie le quotidien « Haaretz », ce qu’écrivent le journaliste Gedeon Levy, les écrivains Amos Oz, A.B. Yehoshua et David Grossman, ce que disent le savant David Shulman et l’ancien président de la Knesset, Avraham Burg, ce que font tous les groupes judéo-palestiniens réunis dans les orchestres de Daniel Barenboïm et dans la revue de Victor Cygielman. C’est une grave responsabilité que de paraître solidaire et donc d’encourager les gouvernements qui ont conduit Israël à la situation actuelle. Je refuse, quant à moi, que l’on se considère comme un ami d’Israël lorsque l’on a approuvé Sharon à la fois lorsqu’il se trompait et quand il a dit lui-même, ensuite, qu’il s’était trompé ; lorsque l’on a justifié l’implantation des colonies, qui est à l’origine de tous les maux, et que l’on s’enchante aujourd’hui de les voir évacuées. J.D.

(le mercredi 13 septembre 2006)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 14 septembre 2006 - 07h33:

Bonsoir,

Je m'appelle Rémy Attig, j'ai 22 ans et j'habite aux États-Unis. Je viens de faire un projet généologique. Dans le projet j'ai su que ma famille est judeo-tunisienne. Elle s'est passée pour l'allemagne avant d'arriver aux États-Unis et donc j'ai toujours pensé que nous étions judeo-allemands. Ben, je vous le dis parce que j'ai pensé faire un voyage en Tunisie peut être pour célèbrer Pesah et connaître le pays de la famille de mon père et je voulais savoir si tu avais des idées de comment je pourriais me communiquer avec la communauté juive là et savoir des synagogues, des plages, et peut être d'un seder où je pourriais y aller. Je te remercie avant pour tout ce que tu peux me dire et j'attendrais ta reponse avec impatience.

Rémy Attig

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 14 septembre 2006 - 07h20:

I signed a petition from The Israel Project to Kofi Annan today. Iran should not be permitted to develop a nuclear bomb.

Visit http://www.theisraelproject.org/unpetition to add your name to The Israel Project petition.

Sincerely,

soued

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 14 septembre 2006 - 01h45:

Aucune sorte de menace n’est révolue (info # 011309/6) [Analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Il n’y a pas que le Hezbollah qui ait besoin de se refaire une santé après la dernière guerre du Liban. Le Liban, justement, qui doit réparer ses infrastructures, et Israël, qui a du pain sur la planche. Au sommet de l’Etat hébreu se déroule le débat politique autour de la question : faut-il nommer une commission d’enquête officielle – disposant des droits d’un tribunal – pour juger des responsabilités et des défaillances lors de ce conflit ? J’y reviendrai, car cette interrogation est plus complexe et plus périlleuse qu’il n’y paraît à première vue. Mais, loin des flashes des projecteurs, une armée d’ingénieurs et de stratèges s’affaire à trouver des parades aux armes et aux doctrines qui menacent nos soldats et que nous avons découvertes durant les dernières hostilités.



Israël, pas plus que les terroristes chiites, n’est ainsi pressée de remettre l’ouvrage sur le métier. Il faudra d’abord adapter les antidotes, surtout celui concernant le missile antichar russe Kornet, puis les tester et enfin en équiper les blindés existants. Une tâche d’un an, si tout se passe au mieux, période durant laquelle il vaudrait mieux qu’Israël ne soit pas mêlée à une guerre conventionnelle.



Cette constatation d’ordre technique aide à comprendre la relative passivité du gouvernement Olmert et sa tendance à s’accommoder des trafics d’armes renouvelés en provenance de Syrie et d’Iran à destination des sbires de Nasrallah. Elle explique également pourquoi Jérusalem accepte presque sans broncher le laxisme public des soldats de la FINUL à l’égard des terroristes islamistes. Lorsqu’on ne désire pas partir en guerre, on met son poing dans sa poche et on exerce ses dons dans la diplomatie.



Surtout, ne croyez pas que l’armée israélienne soit démoralisée. Nous avons placé l’un de nos amis, reporter-photographe, dans la Brigade Kherev (Sabre), durant toute la semaine dernière et le moins que l’on puisse dire de ses éléments, c’est qu’ils sont gonflés à bloc. La dernière confrontation n’a été guère plus, pour ce pays, qu’un conflit frontalier. L’une des preuves de ce que j’avance, c’est que la brigade en question, qui a participé à toutes les batailles les plus difficiles de la confrontation, n’a subi qu’un seul blessé. Encore celui-ci a-t-il rejoint son unité après seulement 48 heures de soins. Et Kherev a son quartier général permanent à Zarit, à moins d’un kilomètre de là où tout a commencé, en plein centre du dispositif libanais de Tsahal.



Israël est un pays spécial… si l’on entendait parler de 160 morts, en 42 jours d’hostilités au Sri Lanka, personne ne réagirait ; on penserait immédiatement à une altercation mineure, certains diront même marginale. Mais ici, on s’est habitué aux guerres durant lesquelles on ne perd pas d’hommes, ou presque pas, comme à Gaza et en Cisjordanie et l’on exige une prééminence technologique totale, absolue. Dans ces conditions, les tirs de roquettes sur Haïfa et Afoula, l’incapacité de notre armée à y mettre un terme, les victimes civiles, la non-réalisation des objectifs fixés par Ehoud Olmert au début du conflit révoltent la population et les soldats. Avec en tête l’idée que ça n’était "que" le Hezbollah. Alors on pense automatiquement à la Syrie, dont on croyait aussi l’armée prête à être jetée toute entière à la réforme. On se rappelle qu’elle dispose de 2 millions de militaires, de missiles balistiques, porteurs de têtes chimiques et bactériologiques. Et des unités de commandos équipés presque exclusivement de Kornet, disponibles en si grand nombre, qu’on ne sait plus où les entreposer…



Là on se dit que la guerre non voulue par le Hezbollah, qui pensait créer un gros incident de frontière n’engendrant pas de suites dramatiques, pourrait finalement s’avérer salutaire pour ce pays d’Israël, planté, tel un drapeau rebelle, au cœur du monde musulman.



Israël a perçu comme une décharge le fait que l’ère des guerres conventionnelles n’était pas forcément révolue. On scrutait les étoiles pour guetter les missiles d’Ahmadinejad en se demandant si la high-tech du Khetz les intercepterait tous. Et on a été surpris par des miliciens intégristes qui nous ont lancé des pierres – ou presque – dans les mollets. Tout à coup, on a dû reparler en termes de nombre de chars disponibles, de divisions mobilisables et de toute cette logistique, que l’on croyait définitivement rangée dans les placards.



Qui dit surpris, dit premièrement problème de renseignement. On attend de l’Aman, l’intelligence de l’armée, qu’il nous dise combien il y a de combattants en face, de quelles armes ils disposent et où ils se trouvent. Et ce qui fonctionne si bien contre le Hamas à Gaza, a presque complètement foiré au Liban. Au point, inimaginable, en termes tsahaliens, que les soldats cherchaient des cibles, tout en ignorant totalement l’étendue du réseau de bunkers que le Hezbollah avait construits juste sous notre nez, avec l’aide des ingénieurs militaires iraniens.



L’un de mes maîtres à penser en matière stratégique, qui refuse que je le cite, m’a enseigné une chose qui n’a pas de prix : "une guerre est gagnée ou perdue avant que le soldat d’une armée n’ait tiré le premier coup de fusil". Remis dans son contexte, en plus des carences de l’Aman, cela signifie que les divisions n’étaient pas prêtes au combat, pas dotées du matériel adéquat à ce genre de conflit, que les plans d’action détaillés à jour n’existaient pas et, surtout, que l’état-major n’était pas à la hauteur. Il y eut incompréhension entre le commandement militaire, qui a tenté de réaliser des objectifs civils, et le gouvernement qui les avait prescrits. Très résumé et simplifié, c’était : faire la guerre sans la faire !



Ce qu’on peut reprocher à Oudi Adam, le commandant du front nord, c’est d’avoir accepté des objectifs désignés par le gouvernement, relayés sans broncher par l’état-major, sans refuser de les faire exécuter par ses soldats, sans expliquer qu’ils ne menaient à rien. Ni à faire cesser la pluie de Katiouchas qui tombait sur la Galilée, ni à nettoyer le Liban de la présence du Hezbollah. Et le général Adam, qui s’est fait chaperonner en plein milieu de la campagne par un proche du chef des armées, sert également de soupape de sécurité à ce dernier. Un Dan Khaloutz désigné comme une nullité en matière de compréhension du conflit par la plupart des officiers supérieurs d’active et de réserve auxquels j’ai parlé.



Faut-il révoquer le 1er ministre Olmert, le ministre de la Défense Amir Péretz et le chef d’état-major Khaloutz ? A question directe, réponse directe : eu égard à leur prestation durant cette guerre, oui, sans aucun doute, ils ont été loin de remplir leurs mandats. Et si une commission d’enquête est convoquée, elle aboutira invariablement aux conclusions qui précèdent.



Il y a une autre question qu’il faut cependant poser, et qui n’est pas semblable à la précédente : est-il souhaitable, pour l’intérêt public, que ces trois personnages soient remerciés ? Sur ce point, ma réponse est largement plus nuancée : c’est oui pour Khaloutz, car l’armée ne peut pas réaliser ses objectifs de remise à niveau sous la houlette d’un chef aussi médiocre. Et aussi, parce que, dans les viennent ensuite militaires, j’en vois au moins cinq qui peuvent remplir les missions du chef d’état-major, de façon adéquate, cette fois.



Il n’en va pas de même pour les politiques ! Il n’y a pas mieux, en activité, que Péretz et Olmert. Des responsables possédant des envergures comparables oui, moult, mais des meilleurs, je n’en vois pas. Dans ces conditions, il vaut peut-être mieux laisser les mêmes procurer au moins un peu de stabilité au pays – il est nuisible à bien des égards de procéder à des élections tous les quatre mois – et surtout, il ne faut pas qu’ils servent de boucs émissaires. Tout le monde sait, en effet, que la meilleure façon de conserver des oligarques déficients consiste à remplacer leurs chefs de temps en temps. Or ici, on a bien affaire à l’échec d’un système, ou plutôt d’une génération de fonctionnaires, d’hommes politiques et d’officiers supérieurs. Des individus qui ont tous leur part de responsabilité dans les erreurs commises, et dont le comportement mental est très uniforme et pèche par manque de responsabilité et de sens d’initiative.



Et Israël ne dispose pas du luxe de reconstruire son administration en partant de zéro. Pas maintenant, en tous cas. Au Nord, la tension monte face à l’opiniâtreté des ayatollahs à ne pas renoncer à devenir une puissance atomique. Et cela, l’Occident, tout divisé qu’il soit, ne peut pas l’accepter : un régime hégémoniste islamo-intégriste, disposant à la fois de l’arme suprême et de missiles intercontinentaux pour les lancer, c’est une menace existentialiste pour l’ensemble de la planète.



Bientôt le Conseil de Sécurité prendra des sanctions contre Téhéran et la tension grimpera d’un cran supplémentaire. Dans ces conditions, il est évident que le rôle et la présence des armées européennes au Liban et devant les côtes de ce pays, revêtent une importance bien plus grande que se frotter aux restes des terroristes islamistes. Il y aura 7'500 militaires européens au Liban-Sud, mais ils sont déjà 40'000 à l’est de la Méditerranée, et ils disposent de trois porte-avions.



Leur fonction stratégique ? Elle se situe à moyen terme, dans un ordre de temps d’une année : tenir en respect le régime du président Béchar Al-Assad afin qu’il n’engage pas Israël, en cas de "problème" avec l’Iran. A nouveau, les puissances occidentales aimeraient laisser l’Etat hébreu en dehors d’un conflit les opposant à une puissance islamique ou arabe. Israël ne réagirait que si elle est agressée, mais si la Syrie faisait mine de vouloir faire usage de violence, les Occidentaux auraient les moyens de noyer sous des bombes les aires de missiles et de munitions non conventionnelles à disposition de Damas.




c:

La base syrienne d’Al-Saphir

Scuds, gaz, armes bactériologiques etc.

S’en "occuper" à la place de l’Etat hébreu, en cas de conflit, pour ne pas donner un prétexte

à la République Islamique d’Iran d’agresser Israël et risquer une confrontation nucléaire




La dernière guerre aura au moins servi de réveil à Israël, d’opportunité pour le Liban – comme l’avait décrit Michaël Béhé – à récupérer sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire, et enfin, aux Occidentaux, de prétexte pour mettre le pied dans ce Moyen-Orient qui les menace de plus en plus directement. Une chose est sûre, les cartes ont été brassées, et une nouvelle donne voit le jour sur la table de jeu.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le jeudi 14 septembre 2006 - 01h20:

PARIS, 13 sept 2006 (AFP) - Le président du Congrès juif européen rencontre le président palestinien

Le président du Congrès juif européen (CJE), le Français Pierre Besnainou, a annoncé mercredi avoir discuté à Ramallah avec le président palestinien Mahmoud Abbas "de pistes pour sortir de la situation de blocage dans laquelle se trouve le dialogue entre Israël et les Palestiniens".

Parallèlement, "le président Abbas m'a assuré que le jeune Gilad Shalit était en bonne santé et il s'est montré très optimiste sur sa libération", a déclaré par téléphone à l'AFP M. Besnainou, qui se trouvait en Israël.

Le caporal israélien Gilad Shalit, qui possède également la nationalité française, a été enlevé le 25 juin par des groupes palestiniens, dont la branche armée du Hamas radical, à la lisière de la bande de Gaza. L'Egypte avait indiqué le 4 septembre que les négociations pour sa libération en échange de détenus palestiniens pourraient rapidement aboutir.

M. Besnainou a rencontré M. Abbas au lendemain de l'annonce d'un accord pour la formation d'un gouvernement palestinien d'union nationale entre le Hamas et le Fatah, parti du président Abbas.

"Nous avons évoqué un certain nombre de pistes pour essayer de sortir de la situation de blocage dans laquelle se trouve le dialogue entre Israël et les Palestiniens et voir comment l'Europe peut contribuer à sortir de la crise", a dit M. Besnainou.

"Je lui ai assuré que les communautés juives européennes feraient leur possible", a poursuivi M. Besnainou, qui est également en contact avec les responsables de l'Union européenne et Israël.

"J'ai évoqué aussi la normalisation des relations de la Tunisie et du Maroc avec Israël", a ajouté M. Besnainou qui est d'origine tunisienne, "il m'a dit qu'il n'était en aucun cas hostile à cette normalisation".

M. Besnainou, président du Congrès juif européen depuis juin 2005, a également été élu en juin dernier à la présidence du Fonds social juif unifié (FSJU) en France.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 septembre 2006 - 22h01:

LES PETROLEURS....

FILM PRESENTE PAR LA METRO NAO OIL....saraq.

Coproduit par HARISSA FORT....

AU PTB.


Seconde partie ye jmâya nigates.

 LES PETROLEURS


Avec une brochette bien cuite de minables à la sauce Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mercredi 13 septembre 2006 - 15h07:

dommage que Gad ne passe pas par Chicago!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mercredi 13 septembre 2006 - 16h44:

humour chiite


Sur le BAF http://www.bafweb.com/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 13 septembre 2006 - 08h48:

Pour les harissiens de Californie

description


et aussi

Le 14 septembre à Miami au Jackie Gleason Theatre

Le 17 septembre à New York au Beacon Theatre