Archive jusqu'au 14/août/2006-2

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires d'Aout 2006: Archive jusqu'au 14/août/2006-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le lundi 14 août 2006 - 21h12:

Pour Infos

Depuis un mois, Antoine Sfeir lutte entre son attachement pour son pays, le Liban, et son métier de spécialiste des questions moyen-orientales. Il tente de rester « cyniquement froid », comme il dit, pour décrypter le conflit entre le Hezbollah et Israël…

ANTOINE SFEIR INTERVIEWE PAR OLIVIER BERGER Voix du Nord 13/08

– Depuis près d’un mois, comment vivez-vous la crise en tant que Libanais habitant en France?

«Quand on est libanais et français, on se sent complètement démuni face à une telle situation. Des étudiants amènent leur vieille maman qui vit seule là-bas… Depuis trois semaines, je dois bien avoir accueilli 150 Libanais. La situation dépasse tout entendement. Elle sort du rationnel. Personnellement, ça me remet en question. Quand on est journaliste, on a parfois le risque d’être blasé, moi je ne veux pas, je ne peux pas. Ça fait trente ans que je suis là mais finalement, j’ai découvert ma « libanité » en France. Je redécouvre un attachement viscéral à ce pays, dont le peuple est aussi attachant qu’irritant et qui ne cesse de répéter, de hurler: “Ce n’est pas ma guerre!”»

– Comment peut-on qualifier ce conflit entre Israël et le Hezbollah?

«C’est une guerre bizarre qui implique à la fois un tas d’acteurs dont la plupart sont occultés. La pièce se joue pour l’instant sans l’acteur principal, l’Iran. Une chose est sûre, Israël ne pouvait pas laisser se monter à ses frontières une milice armée aussi puissante, plus armée que certains pays arabes.»

– Pensez-vous que le conflit va durer?

«Israël attendait l’opportunité pour intervenir. Selon des chiffres de services de renseignements, le 10juillet, le Hezbollah comptait sur 70000 à 80000 roquettes et missiles, ce qui est énorme. Il faut bien savoir qu’on parle d’une région plus petite que le Nord- Pas-de-Calais! Aujourd’hui, selon les mêmes sources, il en resterait 15000. La stratégie israélienne ne pouvait pas être une guerre-éclair. C’est plus une guerre de frappes, contre les camions, les sites de lancements, les sites de stockage, c’est-à-dire les entreprises, les hôpitaux, les écoles publiques et enfin, toutes les voies de communication par lesquelles sont acheminées les armes. Maintenant, on fait place à la bataille terrestre. Déjà, des forces spéciales israéliennes sont en train de nettoyer le terrain. Ça peut encore être très long, on arrive désormais à une guerre d’usure.»

– Une résolution de l’ONU ne pourrait donc intervenir prochainement selon vous?

«Ça n’en prend pas le chemin. En cinq jours, le Liban était complètement détruit, des milliards de dollars sont arrivés à la banque du Liban en provenance d’Arabie saoudite, de la banque mondiale, des garanties du FMI, du club de l’Europe et le conflit continue. Ça me pousse à vouloir comprendre. De deux choses l’une, ou c’est vraiment la dernière guerre au Liban, qui subit depuis trente ans les guerres des autres, ce qui laisserait entendre qu’Israël va aller jusqu’au bout, ou alors, on est en plein délire.»

– Au fil des semaines, il apparaît que l’Iran a de nombreuses cartes dans son jeu pour devenir une puissance régionale…

«En donnant depuis 2003 tout pouvoir aux chiites en Irak, c’est un cadeau merveilleux, qui vaut dix fois la bombe nucléaire pour l’Iran. On donne là l’occasion à Téhéran de sortir de ses frontières. En 1916, les Français et les Britanniques, en installant des États nations dans la région, avaient mis des minorités au pouvoir plutôt qu’une majorité qui peut écraser les autres. On savait faire de la politique internationale à ce moment-là…»

– Quel danger peut représenter un arc chiite allant de l’Iran à la Méditerranée?

«Les Américains ont beau dire que l’Iran est un État voyou ou terroriste, en installant des chiites au pouvoir en Irak, ils ont étendu le califat jusqu’à Bagdad. La Syrie, avec ses alaouites chiites, soutient l’Iran, c’était déjà le cas dans les années quatre-vingt pendant la guerre contre l’Irak. Et maintenant, le Hezbollah au Liban. C’est Khomeiny qui avait créé ce chiisme politique qui est en train de s’étendre. Les Perses méprisent en général les Arabes, mais après un califat perse et chiite, on donne l’occasion de monter un califat arabe. Il faut se rendre compte de ce qui est en train de se passer.»

– Quel poids le Hezbollah pèse-t-il dans la société libanaise?

«Le Hezbollah est un parti politique et une organisation caritative qui s’est créé en 1982 en dissidence avec le parti Amal devenu trop politicien à ses yeux. Le Hezbollah s’est constitué en étant, dès le départ, très influencé et aussi financé par la révolution iranienne.
Quand j’étais au Liban dans les années quatre-vingt, j’avais un chauffeur, Ali. Un jour, il était triste, son fils malade devait être hospitalisé à Saïda mais cela coûtait trop cher. Deux jeunes gens sont venus le voir: «On te paie l’hôpital et tu pourras faire soigner ton fils.» Un peu plus tard, ils sont revenus et ont commencé à lui dire que ce serait bien que ses filles soient voilées, que ses enfants aillent à l’école coranique… Il était entré dans l’engrenage. «Je me sentais étranglé», me disait-il par cette dette de 6000 $. C’est comme ça que le Hezbollah est né. Puis Hassan Nasrallah, qui se place dans la ligne de l’imam, de Khomeiny et depuis de Khamenei, l’a réorganisé militairement, politiquement…»

– Comment l’État libanais a-t-il pu laisser le Hezbollah monter en puissance?

«Le Liban s’est structuré en État en 1964 avec le général Fouad Chehab qui a donné une puissance énorme au 2e bureau, les services de polices et de renseignements. Nous, étudiants de gauche, on a fait la c******* lutter contre ça. On réclamait plus de démocratie. Or en affaiblissant le 2e bureau, l’exécutif s’est affaibli et on a vu émerger des mouvements, palestiniens, la montée de l’islamisme, puis la guerre en 1975. L’État n’existait plus. La troupe est rentrée dans les casernes et n’en est plus jamais sortie. C’était la descente aux enfers du Liban.
En 1989, le général Aoud a essayé de restructurer, d’intégrer les milices, les gens. Il a refait une armée mais n’a pas eu le temps de la rendre opérationnelle. En 1996, lors du premier Cana (un bombardement de l’armée israélienne avait fait 105 morts, des civils réfugiés dans un bâtiment de la FINUL, NDLR), l’État libanais a cherché à démilitariser le Hezbollah mais Aoud voulait devenir président. Il s’est dit: «Si je le fais, les chiites vont voter contre moi.» Il a laissé faire et a renoncé à envoyer l’armée libanaise au sud. Le Hezbollah a pu prendre racine.

En 2001, avec Al-Quaida est montée la peur du sunnisme et on a laissé les chiites tranquilles. En 2003, avec la guerre en Irak et la montée en puissance de l’antiaméricanisme, le Hezbollah a fini par être adulé. En 2004, la résolution 1559 de l’ONU est votée avec deux volets: la démilitarisation des milices et le retrait des forces syriennes. Le 14février 2005, l’assassinat d’Hariri (ex-Premier ministre libanais) accélère le processus à l’opposition syrienne. Le mouvement du 14-Mars, né de la rue, amène aux élections et à une majorité parlementaire issue de l’opposition avec un président pro-syrien. Mais en temps de cohabitation, on ne bouge pas, ce qui a laissé les mains libres au Hezbollah.
Le Liban était en plein dialogue national, les tabous commençaient à tomber et tout d’un coup, M. Nasrallah, en accord certains avec la Syrie et l’Iran comme commencent à le prouver certains écrits, tente une incursion à la frontière et enlève deux soldats israéliens. Le lendemain, c’est le déluge avec la réaction d’Israël qu’on a dit disproportionnée. Mais pouvait-il en être autrement?»

– Le chiisme politique peut-il séduire la majorité sunnite de l’Islam?

«Depuis Khomeiny, les chiites essaient de convaincre les sunnites de se joindre à leur combat. La Jordanie, l’Arabie saoudite, l’Égypte ont peur de l’Iran. Il y a 70% de chiites à Bahrein, 30% au Koweit, 10% en Arabie saoudite mais 30% dans les régions pétrolières. L’Iran contrôle 70% du passage commercial vers l’Asie de l’ouest. Tous ces enjeux-là s’entremêlent. Avec tous ces éléments, ça rend la guerre d’aujourd’hui beaucoup plus lisible.»

– Comment peut-on lutter contre la montée de l’extrémisme islamiste?

«La démocratie est le seul outil pour faire baisser la religion, même si pour l’instant, il existe une poussée normale de l’islamisme. Je parle de la démocratie au sens français, avec la laïcité et la séparation de l’Église et de l’État, pas au sens américain qui ne s’appuie que sur le suffrage universel. Ou alors, on se dit, après tout, ce sont des “*****”, on va les mener au bâton. À ce moment-là, ça devient une politique colonisatrice que les États-Unis expérimentent peut-être pour la première fois en Irak. La démocratie, c’est avant tout l’accès de la population au savoir, à la santé et à l’égalité des chances. Le chemin démocratique est long. En France, ça fait deux cents ans qu’il est en marche et on n’y est pas arrivé pas tout à fait.»

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le lundi 14 août 2006 - 18h55:

Washington «très impliqué» dans le plan israélien contre le Hezbollah, selon Seymour Hersh
AFP

New York -- Le magazine américain The New Yorker affirme dans sa dernière édition que le gouvernement américain «était très impliqué dans le plan israélien contre le Hezbollah, avant même la capture le 12 juillet de deux soldats israéliens» par le mouvement chiite libanais, déclenchant la guerre au Liban.


Le président américain George W. Bush et son vice-président Dick Cheney étaient convaincus qu'une campagne de bombardements israélienne couronnée de succès contre le Hezbollah pourrait apaiser les craintes d'Israël sur sa sécurité, écrit le journaliste Seymour Hersh, prix Pulitzer qui avait révélé le scandale d'Abou Ghraïb.

L'administration Bush voyait également dans cette campagne un prélude à une possible attaque préventive américaine pour détruire les installations nucléaires iraniennes, selon l'hebdomadaire daté du 21 août.

Citant un expert du Proche-Orient ayant exigé l'anonymat, informé des réflexions actuelles des gouvernements américain et israélien, le journaliste écrit qu'Israël avait mis au point un plan pour attaquer le Hezbollah -- et en avait informé les responsables de l'administration Bush -- bien avant la capture des soldats israéliens.

«Quand ils [le Hezbollah] ont capturé les soldats [israéliens] début juillet, cela a servi de prétexte» à l'offensive militaire israélienne contre le mouvement chiite libanais, a dit M. Hersh sur CNN.

«Nous [les États-Unis] avons travaillé de près avec eux [Israël] des mois avant, sans nécessairement savoir quand cela arriverait mais cela devait avoir lieu à la faveur d'un accident, au bon moment», a-t-il ajouté sur la chaîne de télévision.


«Rien ne dit qu'Israël ne l'aurait pas fait sans l'aide des Américains», a poursuivi le journaliste.


La Maison-Blanche avait plusieurs raisons de soutenir la campagne de bombardements, écrit M. Hersh, citant l'expert du Proche-Orient. S'il devait y avoir une option militaire contre l'Iran, il fallait anéantir les armes que le Hezbollah pourrait utiliser en guise de représailles contre Israël, écrit M. Hersh.


Citant un conseiller du gouvernement américain proche d'Israël, le journaliste rapporte également qu'au début de l'été, avant la capture des soldats israéliens, plusieurs responsables israéliens s'étaient rendus à Washington «pour obtenir un feu vert» à une opération de bombardements après la provocation du Hezbollah et pour «se rendre compte du niveau du soutien des États-Unis».

«Cette Maison-Blanche va trouver un moyen de qualifier de victoire ce qu'Israël fait contre le Hezbollah et s'en servir pour tout plan contre l'Iran», a dit sur CNN le journaliste.

Les responsables de l'administration américaine ont réfuté ces accusations, mais Seymour Hersh a affirmé sur CNN que ses sources étaient sûres.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le lundi 14 août 2006 - 17h07:

RABBI GROSSMANN

Dimanche matin, j'ai regardé sur Antenne 2 l'émission religieuse juive : Source de vie.
Au cours de cette émission, un merveilleux film
fut passé : La Tour de lumière.
Il était consacré à ce GRAND HOMME que je ne connaissais pas : Rabbi GROSSMANN.

Arrivé en Israël en 1968, il n'a eu de cesse de s'occuper des autres et tout spécialement des enfants abandonnés.
Pour cela, il a construit une Yéchiva à
MIGDAL HAEMEK. Pardonnez-moi si j'ai fait des erreurs d'orthographe ou d'interprétation.

J'ai écouté parler ce grand Rabbin. Je buvais ses paroles. Il a notamment dit des choses merveilleuses comme celles-ci :

Je suis très respectueux de mon père. ( encore vivant aujourd'hui ). Je ne pourrais m'asseoir à la place de mon père. Je ne fumerais jamais en sa présence. Quel respect ce grand homme à pour son père. Cela est magnifique de pureté d'âme.
Car, a-t-il dit : La Torah nous enseigne ceci :
Tu honoreras ton père et ta mère.

Il a également raconté qu'il avait dit un jour à ses élèves ceci :

Est-ce qu'un âne qui porte des livres est plus intelligent ?
Il voulait faire comprendre à ses élèves qu'il ne suffit pas d'avoir des bonnes notes, des diplômes pour se croire intelligent.
Que s'il ne s'agit que de ça, ils sont coparables à l'âne.
Parceque l'intelligence, c'est l'éducation du savoir vivre, du respect de l'autre.
Ô Monsieur, si vous saviez comme vos paroles sont vraies, surtout au jour d'aujourd'hui ...

Un jour, a-t-il raconté, il rentra dans une discothèque. Le directeur lui dit :
" Rabbi, ce n'est pas votre place, ici, c'est l'enfer ! "
Laissez-moi parler à tous ces jeunes ...
Et bien, tous les jeunes sont repartis avec lui !! N'est-ce pas merveilleux !!
Et puis, je le regardais, il y a la sainteté dans son regard.
Je me suis dit à ce moment là :
Si je devenais millionnaire, je partirais immédiatement en Israël pour lui faire un GROS chèque pour son orphelinat.

Vous avez beaucoup de chance, chers amis d'Israël, d'avoir ce Grand Homme parmi vous.
Je pense que ceux qui habite Israël doivent le connaitre.
Je voulais vous demander : A-t-il un site ?
J'aimerais tant le connaitre un peu plus. A-t-il écrit des livres ?

Si, je vais en Israël, j'essaierai de rencontrer ce Grand Homme, car je me sens si petite à côté de lui ...

Je voulais également vous dire que je suis près de vous dans les épreuves que vous traversez. Je pense à Israël tous les jours. Je prie l'Eternel tous les jours pour qu'il vous vienne en aide.

Ne désespérez pas, quelque chose me dit que Israël s'en sortira. Il ne peut en être autrement.

Bon courage à vous tous. Axelle

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Deutéronome (Deutéronome) le lundi 14 août 2006 - 17h05:

Ceux qui, au sein de la population du Liban, souhaitent la victoire des fanatiques du Hezbollah ne devraient pas s’étonner de découvrir qu’ils prennent des risques et vont être appelés, en conséquence, à les assumer. On ne peut en effet souhaiter l’assassinat de ses voisins et s’indigner ensuite que lesdits voisins ne se laissent pas faire docilement.

"Je compatis naturellement, en ce qui me concerne, essentiellement avec ceux qui veulent vivre en paix : les Israéliens, et les Libanais qu’on n’entend pas assez ; ceux qui voudraient vivre dans un pays paisible, prospère, sans Hezbollah et qui sont, il est bon de le rappeler, les premières victimes de la terreur islamiste que des déments suicidaires font d’abord régner chez eux."
même avis d'autant plus qu'avant de commencer la guerre Israël avait prévenu le Liban que si ils ne voulaient pas aider Israël (huggy)pour libérer les otages et préférait mourir pour le hezbollah ils seraient responsable de ce qui leur arriverait .... Israël ne veut pas la mort d'enfants et de civil il veut la fin de ses agresseurs si ils ne se rendent pas et coopèrent avec l'état hébreux alors ils supportent la conséquence d'une guerre où Israël sacrifiera sa population et son armée pour la liberté...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Deutéronome (Deutéronome) le lundi 14 août 2006 - 16h23:

tout n'a pas été encore dit sur les pertes en matérielles et en hommes du hezbollah, et là seulement il sera possible de savoir si Israel aura perdu une bataille .

tout à fait d'accord avec toi kinor
et maintenant prions pour que le shalom revienne dans nos âmes et celle de nos soldats.
haï Israël Haï
bel haï Achem soit avec nous et tous les juifs du monde entier. Que le prophète Eli ne nous abandonne pas et protège tous les nouveaux nés.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Kinor (Kinor) le lundi 14 août 2006 - 13h13:

tout n'a pas été encore dit sur les pertes en matérielles et en hommes du hezbollah, et là seulement il sera possible de savoir si Israel aura perdu une bataille .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le lundi 14 août 2006 - 12h22:

Juifs de France : très peu d'annulations de vacances en Israël.

50% des chambres des hotels de la région de Tel Aviv sont occupées par des touristes provenant de France.

Count on the French: Very few summer vacation cancellations

By Irit Rosenblum

http://www.haaretz.com/hasen/spages/750050.html

Last update - 02:18 14/08/2006

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le lundi 14 août 2006 - 09h36:

C'etait prevu que cela finirait par un cessez le feu en defaveur d'Israel .
Car la base philosophique n;est pas homogene
Et les interets en general sont les " puissants
Mais il y a toujours la foi ancestrale qui est la et se manifestera pour effacer le mauvais parcours et reprendre le chemin tous unis .
Il est necessaire de tirer les consequences de toutes ces guerres qui sont au fait des epreuves .
Sachez que TSAHAL est tres puissant grace a D.
Quant au resultat que chacun trouve les reponses qui lui conviennent !!
bien a tous sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 14 août 2006 - 07h56:

Dernière minute :

Le Hezbollah refuse de se départir de son armement dans le Sud et ailleurs, ce qui vide de toute substance l’engagement antérieur de l’organisation intégriste terroriste de respecter la résolution 1701 du Conseil de Sécurité.

La réunion du cabinet libanais, prévue en début de soirée, dont l’objectif déclaré était précisément de fixer les modalités du désarmement du Hezb au profit de l’armée libanaise, a été renvoyée sine die.

Ceci augure de très mauvaise manière des chances de succès de voir la décision de cessation des hostilités décidée à new York prévaloir sur le terrain. Le chef d’état-major de l’armée de Beyrouth a déclaré à cet effet que ses forces n’avaient pas les moyens d’obliger les Fous de Dieu à leur remettre leurs armes.

Assez ! (info # 011408/6) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency

Plus jamais ça, disait-on après la Seconde Guerre Mondiale et la découverte de l’horreur absolue que fut la shoah. Cela n’empêcha pas la Grande-Bretagne de régenter avec beaucoup de lâcheté la fin de sa gestion du territoire du Mandat palestinien. Cela n’empêcha pas non plus les Nations Unies, tout juste créées, de voter un plan de partition censé instaurer un Etat juif et un Etat arabe à partir du territoire dudit mandat, ce, quand bien même un Etat arabe palestinien avait déjà été créé sur 80% du territoire original de ce mandat, je veux parler de la Transjordanie.

Les dirigeants arabes n’ont pas voulu du nouvel Etat arabe qui aurait dû naître du plan de partition, aussi lancèrent-ils leur première guerre d’extermination contre Israël. Suivirent deux autres guerres à l’occasion desquelles les adversaires d’Israël ne cachèrent pas leurs intentions génocidaires.

On assista plus tard à la création de l’OLP, matrice de tout le terrorisme moderne, cristallisant l’invention du concept de « peuple palestinien », imaginée entre les bureaux du KGB et ceux du colonel Nasser. Un concept qui ne servit longtemps qu’à donner une justification publiquement présentable à une intention simplement éradicatrice.

De conflits en négociations, on aboutit à la paix froide signée en premier lieu entre Israël et l’Egypte, puis, entre Israël et la Jordanie. On assista, en parallèle, à la montée en puissance de la politique arabe de la France et l’on vit la naissance de l’hypothèse rance colportée par les cercles chiraco-villepénistes, prépondérante au Quai d’Orsay, affirmant qu’Israël ne serait en fait qu’une parenthèse de l’histoire.

Symétriquement, par le principe des vases communicants, on put constater le renforcement constant des liens entre Israël et les Etats-Unis.

D’un point de vue planétaire, on enregistra la fin de la guerre froide, suivie de l’effondrement de l’empire soviétique, ainsi que du naufrage du nationalisme arabe séculier qui lui collait aux basques. Au Moyen-Orient, le vide laissé par cet échec pava une voie royale à la montée de l’islam radical comme totalitarisme de substitution.

Et pendant que toutes ces péripéties se succédaient à sa porte, le peuple d’Israël n’a jamais eu l’opportunité de pouvoir réaliser sa plus chère et plus simple aspiration : vivre en paix avec ses voisins. Quand ce n’était pas les guerres qui faisaient rage, c’était l’écho des propos haineux et antisémites des médias des pays arabes environnants qui prenait le relais des armes. La haine de l’essentiel du monde arabe justifie depuis, sans éprouver le moindre scrupule, les attentats les plus abjects, ceux qui tuent de préférence des femmes et des enfants, en Israël et ailleurs, et qui laissent derrière eux des survivants atrocement mutilés.

On parvint toutefois au temps des concessions, des dirigeants, en Israël, s’imaginant qu’ils obtiendraient la paix contre la cession de territoires. Ce fut même ce principe qui présida le processus d’Oslo, la création de l’Autorité Palestinienne, dictature aussi sanguinaire que miniature aux portes d’Israël, l’évacuation de Gaza, ce pour aboutir aux « élections palestiniennes ». Leur résultat amena ceux qui s’obstinaient dans la myopie à y voir clair : pour la première fois au monde, des élections apparemment démocratiques portèrent au gouvernement un mouvement explicitement terroriste et explicitement voué à l’extermination d’un peuple voisin.

Au Liban, pendant ce temps, le territoire occupé par les terroristes de l’OLP au Sud avait été libéré par les forces israéliennes ; puis ce même Sud eut à subir une nouvelle force terroriste : le Hezbollah. Une organisation soutenue, armée et financée par la puissance qui asservissait le Liban, à savoir la Syrie.

Israël conserva longtemps une zone de sécurité au Liban-Sud, jusqu’à ce que, dans un geste de bonne volonté, elle décide de la quitter au printemps 2000. L’ONU, organisation dont la majorité des membres a montré à plusieurs reprises des tendances assurément antisémites, a cependant été contrainte de reconnaître qu’Israël s’était retirée de toute la portion du territoire libanais qu’elle contrôlait. C’est alors que le Hezbollah se nidifia dans la région abandonnée par Jérusalem, où il s’employa à croître, à s’armer, à provoquer et à agresser le pacifique voisin situé du côté méridional du pays des cèdres.

En 2005, Israël a quitté la bande de Gaza, ce qui, pensaient certains optimistes invétérés, aurait dû servir à créer un « embryon d’Etat palestinien ».

L’Iran islamiste s’était doté, peu de temps auparavant, d’un nouveau président, le sinistre Ahmadinejad. Le Hezbollah, qui n’avait cessé d’être téléguidé depuis l’Iran, prit une posture plus inquiétante encore après le retrait forcé de la Syrie du Liban. Dès cette évacuation, la Syrie, et, avec elle, ses supplétifs des Fous de Dieu, intégrèrent totalement la stratégie islamiste iranienne, continuant d’ « influencer », par le meurtre si nécessaire, ce qui se disait et se faisait à Beyrouth.

Le peuple d’Israël n’a ainsi jamais pu vivre en paix. Et ce, indépendamment de ce que ses dirigeants pouvaient décider. Il lui a perpétuellement fallu vivre dans une atmosphère délétère, entouré de fanatiques et de sanguinaires, d’adorateurs de Ben Laden, de Khomeiny, et maintenant de Nasrallah. Quand les dirigeants israéliens ont fait preuve de fermeté, ils se sont fait conspuer par la presse bien pensante qui les a traités de criminels, mot qui sonne en porte-à-faux avec l’euphémisme sordide de l’expression « activistes palestiniens ». Quand les dirigeants israéliens ont fait des concessions, les mêmes les ont accusés de ne pas concéder assez… Non seulement le peuple israélien n’a jamais pu vivre en paix, mais ses dirigeants ont toujours eu tort, d’une façon ou d’une autre, aux yeux de ce qu’il est désormais convenu d’appeler l’ « opinion internationale ».

Plus jamais ça, disait-on après la Seconde Guerre Mondiale. Ne pourrait-on pas, enfin, transformer les mots en actes ? Il n’est plus tolérable, si le mot civilisation a encore un sens, que le peuple d’Israël ait à subir aussi bien des bombes que des tirs de roquettes. Il n’est plus tolérable qu’Israël doive monter la garde avec la plus extrême vigilance sur toutes ses frontières sous peine de prendre des risques existentiels. Il n’est plus tolérable qu’Israël doive sans cesse envoyer ses jeunes gens à l’armée, au combat et souvent à la mort.

Il est absolument inadmissible que l’ONU, l’organisation censée représenter la « communauté internationale » dont il est question, soit un lieu de corruption, d’impuissance, de complicité avec les meurtres les plus divers et consacre une part aussi importante de son temps à fustiger ou à harceler un Etat dont la population ne représente qu’un millième de la population mondiale. L’ONU a adopté une coutume consistant à pratiquer la stigmatisation systématique de l’Etat hébreu avant tout parce que l’essentiel de sa population est juive, et qu’il y a plus d’un milliard de musulmans, trois cent millions d’Arabes, des islamistes et des dirigeants de toutes sortes à leur solde sur cette planète et donc également dans les gradins de Manhattan.

Quant à la France, il est absolument et définitivement inconcevable que son gouvernement se comporte sans cesse comme le dernier recours du Hezbollah, que ses dirigeants n’osent pas appeler organisation terroriste. Le fait qu’il n’y ait que deux chefs de gouvernements, en Occident, pour incarner les valeurs de l’éthique judéo-chrétienne, et que ces deux chefs de gouvernement, Tony Blair et George Bush, soient l’objet d’autant d’injures, montre que le monde occidental est dans le gouffre et entend tout faire pour mériter le mépris qu’il inspire à ceux qui veulent sa perte. Le fait que les journalistes occidentaux qui font honnêtement leur métier et ne se comportent pas comme des propagandistes anti-israéliens soient une denrée aussi rare, montre que les islamistes ont raison de traiter globalement les journalistes comme des idiots à utiliser tant qu’ils sont utiles, quitte à les jeter ou à les kidnapper après usage.

La guerre est une chose affreuse et doit être le dernier recours, disent les belles âmes. Je partage pleinement ce point de vue. C’est la raison pour laquelle j’écris cet article. Aux fins de dire que cela suffit.

Bientôt soixante ans de guerre ou de ni guerre ni paix imposés à Israël, cela suffit. Des morts qui succèdent aux morts dans les familles israéliennes, cela suffit. La tolérance envers les incitations à la haine, au meurtre, au génocide, ce dans une large part du monde arabe et au-delà, dans l’Asie musulmane, cela suffit. La complaisance envers des terroristes, sous prétexte qu’ils ont des amis qui ont du pétrole ou parce qu’ils sont susceptibles de mettre des bombes à Paris, ailleurs en Europe ou dans des avions de ligne, cela suffit. Le peuple d’Israël n’a cessé de devoir se battre pour sa survie. Au nom de « la paix », on n’a cessé, planétairement, au fil de l’histoire, de faire pression sur Israël pour que ses victoires lui soient confisquées ou pour qu’elle mette un peu davantage encore la vie de ses habitants en danger : Baste !

Précisément parce que la guerre est une chose affreuse et doit être le dernier recours, lorsque toutes les voies de communication ont abouti à un cul de sac, Israël devrait avoir, enfin, l’opportunité de montrer à ses ennemis ce qu’il en coûte de vouloir la guerre. La paix ne vient vraiment qu’au moment où le champ de bataille accouche d’un vainqueur et d’un vaincu. Or il faudra, très vite, qu’il y ait un vainqueur et un vaincu. Il faudra, très vite, que l’ensemble du monde occidental et tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de la civilisation dans laquelle ils vivent fassent tout ce qui est en leur pouvoir et en leurs capacités pour qu’il y ait un vainqueur et un vaincu, et donc pour que les forces du totalitarisme, du fanatisme et de la haine génocidaire connaissent effectivement la défaite.

Il s’agit du droit d’Israël de vivre en paix, mais il s’agit aussi de bien davantage, et il faut que cela soit dit. Ce qui est attaqué, ce qui est agressé aujourd’hui, au-delà et au travers d’Israël, ce sont toutes les valeurs qui ont fait la civilisation occidentale et la civilisation tout court. Face à Israël, il y a la barbarie sous sa forme la plus absolue. Céder à la barbarie en se disant qu’on se contente de sacrifier Israël est non seulement indéfendable, moralement, mais procède assurément d’une vision à court terme. La barbarie à laquelle Israël est confrontée aujourd’hui menace, en fait, tout l’Occident, et toute la civilisation.

Le Hezbollah est construit sur les mêmes dogmes que ceux qui imprègnent le Hamas, al Qaida, l’ensemble de l’islamisme meurtrier, sunnite ou shiite. Un dogme qui embrasse du baiser de l’ours la dictature syrienne, les islamistes apocalyptiques iraniens, ceux qui ont tué, le 11 septembre à New York et plus tard à Bali, à Madrid, à Londres. Il s’agit d’un dogme, d’une doctrine ou d’un rassemblement qui réunit, en fait, tous les islamistes et une bonne part des assassins du globe. Ce qui mène infailliblement à l’équation, selon laquelle ne pas vaincre le Hezbollah, ce n’est pas seulement abandonner Israël, c’est nous abandonner nous-mêmes et nous soumettre nous-mêmes au grand spectre criminel qui a déjà posé un pied sur notre horizon. C’est refuser de voir que la barbarie a déclaré la guerre au genre humain et lui concéder la victoire – ou même le match nul – sans avoir même cherché à combattre.

Les circonstances sont graves, certes, et la situation est difficile. Elle se trouve, je dois le dire, fortement compliquée par le fait que le gouvernement israélien semble, au cours du mois écoulé, ne pas s’être montré à la hauteur de la situation. Un débat monte en Israël et il doit être mené jusqu’à son terme. La France peut se permettre d’avoir des dirigeants ineptes, même si ce n’est pas sans conséquences, Israël ne peut se permettre ces genres de faiblesses et de tergiversations, surtout pas maintenant.

La situation se trouve compliquée parce que le gouvernement Olmert, c’est au cœur du débat qui enfle en Israël, s’est, selon toutes les apparences, opposé à lâcher l’armée israélienne contre les intégristes libano-iraniens. Ce faisant, Olmert a privé Tsahal – jusqu’à vendredi soir, une heure après la résolution du Conseil de Sécurité appelant à la cessation des hostilités – de faire étalage de l’optimalité qui a fait sa réputation dans d’autres guerres. C’est cette étrange retenue qui a privé Israël d’une victoire militaire absolue et qui a conduit au vote, aux Nations Unies, d’une résolution extrêmement dangereuse.

Les choses se trouvent envenimées par le fait que ce que cette résolution entérine, de facto, est un triomphe du Hezbollah et de la stratégie iranienne. Nasrallah est d’ores et déjà devenu le héros de tous les djihadistes du monde musulman : celui qui a résisté à Israël. Penser qu’un gouvernement libanais, otage du Hezbollah, peut le désarmer est une pitoyable plaisanterie. Penser que l’armée libanaise peut rendre sa « souveraineté » à l’Etat libanais est grotesque. Penser qu’une FINUL (Force d’Intervention des Nations Unies au Liban) aux contingents démultipliés servira à autre chose qu’à fournir davantage de boucliers humains aux terroristes relève du cynisme ou de la débilité absolue.

Ce à quoi l’on risque d’assister est une emprise plus nette encore du Hezbollah sur le Liban, le renforcement des capacités militaires des terroristes et, tôt ou tard, de nouvelles attaques, toujours plus rudes, contre Israël. Une menace de démocratie au Proche-Orient, que les malades mentaux fanatiques et sanguinaires qui dirigent l’Iran, et qui espèrent diriger bientôt le Liban, comptent, plus que jamais, rayer de la carte.

La situation est périlleuse, et ni Blair, isolé au Royaume-Uni, ni Bush, confronté à une montée d’isolationnisme aux Etats-Unis et au tsunami gauchiste qui s’empare du parti démocrate, ne peuvent faire beaucoup plus pour la contrer en ce moment.

Mais je sais que c’est en situation de péril que le peuple d’Israël a toujours trouvé les ressources pour se relever de ses blessures et triompher du fatum qui semble s’acharner sur son histoire.

Non seulement le Hezbollah peut encore être détruit, mais il doit l’être. Impérativement. Absolument. Une action militaire plus lourde et décisive ne peut pas rendre l’Etat d’Israël plus impopulaire qu’il ne l’est déjà aujourd’hui, mais peut lui permettre d’être, à nouveau, craint et respecté. La Syrie ne saurait être laissée en dehors du conflit, car chacun sait que c’est par elle que transitent les fournitures du Hezbollah et les liens avec les altérés de Téhéran. Israël doit retrouver le sens du commandement, le chemin de la victoire, la force de résister aux pressions internationales. Une victoire d’Israël donnerait de surcroît à George Bush ce dont il a tant besoin actuellement : les moyens de montrer aux sceptiques à Washington qu’Israël est un allié crédible, fiable et utile. Et que la guerre contre le terrorisme peut être remportée.

On peut souhaiter que, sur ces bases, Bush retrouve lui-même le sens du commandement qu’il semble perdre quelque peu actuellement et retrouve par là même le mode d’emploi de sa propre doctrine : la victoire en Irak reste aléatoire tant qu’un changement de régime n’aura pas lieu en Syrie et en Iran. Aucune paix, aucune négociation n’est possible avec une organisation terroriste génocidaire, qu’elle s’appelle al Qaida, Hamas ou Hezbollah.

Enfin, il est temps de réaliser qu’il n’y a qu’une seule guerre, qui a simplement plusieurs fronts et qui procède d’un conflit planétaire. Par delà les divergences entre shiites et sunnites, les djihadistes veulent la mort d’Israël, mais au-delà d’icelle, celle de tout l’Occident, de tout le monde civilisé. Les djihadistes ont des alliés qui s’appellent Russie, Corée du Nord, Venezuela d’Hugo Chavez ou France de Jacques Chirac. Ils ont aussi des ennemis qui devraient donner de la voix bien davantage et dire, comme moi en ces lignes : plus jamais ça. Eh oui, vraiment : cela suffit !

Quand Israël aura retrouvé le chemin de la victoire, ce discours devra se faire entendre. En tout premier lieu à Washington, où il aura une résonance certaine et attendue. C’est urgent. C’est, et je suis terriblement sérieux en écrivant ces mots, une question de vie ou de mort.

Un dernier point concernant les populations civiles. Je suis prêt à compatir sur le sort des Libanais tués ou blessés. Je le ferais d’autant plus volontiers si ceux qui compatissent aujourd’hui sur le Liban acceptent de compatir avec moi sur le sort des Israéliens, tués ou blessés parce que leur pays a été, une fois de plus, agressé. J’ajouterai que ceux qui compatissent sur le sort des Libanais me sembleraient davantage crédibles s’ils soulignaient qu’il est ignoble pour le Hezbollah de prendre des femmes et des enfants comme boucliers humains ; s’ils exprimaient aussi, que par ses intentions exterminatrices, le Hezbollah est ignoble en lui-même.

Ceux qui, au sein de la population du Liban, souhaitent la victoire des fanatiques du Hezbollah ne devraient pas s’étonner de découvrir qu’ils prennent des risques et vont être appelés, en conséquence, à les assumer. On ne peut en effet souhaiter l’assassinat de ses voisins et s’indigner ensuite que lesdits voisins ne se laissent pas faire docilement.

Je compatis naturellement, en ce qui me concerne, essentiellement avec ceux qui veulent vivre en paix : les Israéliens, et les Libanais qu’on n’entend pas assez ; ceux qui voudraient vivre dans un pays paisible, prospère, sans Hezbollah et qui sont, il est bon de le rappeler, les premières victimes de la terreur islamiste que des déments suicidaires font d’abord régner chez eux.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Deutéronome (Deutéronome) le dimanche 13 août 2006 - 22h20:

Israël peut-être perdra une bataille mais elle ne perdra pas la paix. D... n'a pas dit son dernier mot.
Shalom, vive l'état d'israël, vive tsahal vive l'armée israelienne.
Même si ça la coupe à tout le monde pseudo viril de cette terre les français en tête.
parce que eux n'hésite pas à employer un article défini quand il s'agit des juifs. N'est-ce pas tous les juifs sont pareils, ils se tiennent tous. les juifs sont responsables de tous les malheurs du monde. alors la réciprocité est vraie pour tous les arabes et les français.
D... a permis à son peuple de se défendre en cas d'agression comme nous l'a souligné Moïse "tu ne tueras point soite mais il a autorisé qu'on utilise la loi du talion celle l'auto défense pour les esclaves juifs qui tendaient l'autre joue car on ne tue pas des juifs impunément.
Que D... nous vienne en aide qu'il protège les juifs et l'état d'Israël et bannit la jalousie dans l'esprit torturé et malsain des goys qui n'arrive pas à la cheville d'Israël.
Israêl vivra !!! Israël vaincra !!!!