Archive jusqu'au 09/août/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires d'Aout 2006: Archive jusqu'au 09/août/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le mardi 08 août 2006 - 19h22:

Agression antisémite suspectée à Annecy


Trois jeunes adultes ont été mis en examen lundi pour "violences en réunion sur une victime en raison de son ethnie, sa race ou sa religion" et écroués après l'agression d'un garçon juif âgé de 16 ans à Annecy.

Ils cherchaient apparemment "la bagarre" avec les gens qu'ils croisaient. Trois jeunes originaires de Bellegarde, dans l'Ain, qui avaient consommé beaucoup d'alcool, ont été écroués après l'agression d'un garçon juif âgé de 16 ans à Annecy, samedi. Les agresseurs présumés ont été mis en examen lundi pour "violences en réunion sur une victime en raison de son ethnie, sa race ou sa religion".

L'affaire a commencé samedi soir après le grand feu d'artifice de la fête du lac d'Annecy. L'agression a eu lieu après qu'une jeune fille eut crié le prénom de la victime, "Abraham". La victime a été frappée à coups de poings et coups de pieds. Les agresseurs nient tout caractère raciste à leur action, a précisé le parquet.

Une personne remise en liberté

Quatre personnes ont été interpellées peu après les faits, et une d'entre elles a été remise en liberté. Deux des personnes écrouées étaient déjà connues pour des violences.

L'affaire aurait dû passer lundi en comparution immédiate, mais le tribunal correctionnel n'a pas pu contacter les représentants majeurs de la victime mineure, née en Amérique du Sud. L'affaire sera jugée le 4 septembre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le mardi 08 août 2006 - 19h17:

Je viens de lire sur le site internet de haaretz que la committee des droits de l'homme a Geneve va se reunir pour discuter des "crimes Israeliens".

La Tunisie a demandee cette reunion d'urgence.

comme quoi ceux qui vivent dans une maison en verre peuvent jetter des pierres...


A quand mes vacances en Tunisie....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 08 août 2006 - 18h31:

Avez-vous remarque le nombre de meurtres commis en France avec actes de barbarie et de torture, de "tournantes" viols en bande, tabassages...?? Chaque soir, le JT deverse son lot de nouvelles infamies des 4 coins de l'Hexagone.

De memoire, je ne crois pas me souvenir que la France n'ait ete aussi violente. C'est un phenomene nouveau tout a fait inquietant que devraient analyser les sociologues.
Recemment ca a ete une ado anglaise violee alors que elle etait en vacances ds un club de naturistes ds le Sud. Les violeurs sont entres par effraction ds le camp.
Puis c'est un jeune Homo qui a ete retrouve inconscient ds un parc apres avoir ete battu et torture..
Tous ces actes criminels sont le fait de "jeunes"- vous irez vous meme chercher la definition aupres de la Prefecture de Police- et sont souvent de nature raciste anti-blanc/ anti-Juif ou de nature sexuelle/anti-femme.

Et puis il y a les nuisances ds le metro, ds les trains, sur les plages (Vu hier au JT de France 2-Ds le Pas de Calais, les mairies ont cree un programme d'ete de transport grandes villes-plages a 1 Euro histoire de sortir les jeunes des cites de leur quotidien sans vacances. Resultat: Au lieu de collecter les coquillages, des comportements odieux de ceux pissant dans des bouteilles versees sur la tete de vacanciers (!), des detritus jetes ca et la, des insultes et des bagarres.. Des compagnies de CRS ont du ete mobilisees pr faire face aux mauvais garcons). Sympa les vacances...

Mais ou va t'on? comment le systeme francais a t'il pu engendrer de tels monstres sans foi ni loi et sans respect?? comment les Francais peuvent ils tolerer tout ca sans broncher?
Combien peut on mettre sur le dos du CPE, du chomage et de la precarite???
Il faut quand meme avoir le mental criminel pour se laisser aller a de telles abominations..
Combien de prisons allons nous devoir construire et payer pr tous ces jeunes au destin foutu??

Dans les 10 annees a venir, voila 4 categories professionnelles ou il ne va pas y avoir de chomage: flics, juges, avocats penalistes et gardiens de prison...

Elle est belle la France!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 08 août 2006 - 18h01:

D'accord avec Braytou a propos de Siniora! On appelle ca un flake en english un homme qui a pas de c......!

Qu'a fait Mr Seniora pr vaincre le Hezbollah et le deraciner du Liban??

C'est tellement plus facile de pleurer sur ses morts tues par les bombardements des mechants israeliens que de prendre la responsabilite devant la Nation de son ecueil a avoir empeché les terroristes du Hezbollah de prendre en otage le pays en devenant un etat dans l'etat.
Encore un signe du refus du monde arabo-musulman a prendre ses responsabilites. C'etait le meme topo avec les Palestiniens!

Dans la vie il y a des consequences aux erreurs que l'on commet! Ils sont irresponsables et apres ils viennent dire mais pourquoi???
C'est vraiment pathetique..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le mardi 08 août 2006 - 18h55:

Tel Aviv, un monde à l'écart de la guerre au Liban

c:/telaviv

TEL AVIV (Reuters) - "Les affaires marchent en fait très bien", se félicite Adi Cohen, exploitant d'un night-club à Tel Aviv, à 220 km de la frontière du Liban, où l'armée israélienne affronte le Hezbollah.

Les roquettes tirées quotidiennement par le mouvement chiite libanais sur le nord d'Israël ont eu pour principal effet, à Tel Aviv, de provoquer un afflux de réfugiés nordistes.

"Les nordistes viennent ici, ils me disent qu'ils ont besoin de décompresser. Ils veulent oublier la folie de la situation chez eux. De sorte que toute la ville sort et continue de s'amuser", explique Cohen.

A 18 ans, Udi Effin entend bien profiter de son dernier été avant d'entamer ses trois ans de service militaire, et il le passe sur la plage de Tel Aviv à faire du surf ou à partager le narguilé avec ses amis.

"La guerre n'est pas arrivée jusqu'à Tel Aviv", sourit-il. "Nous regardons les informations du Nord à la télévision, mais une fois la télé éteinte, on reprend la vie de tous les jours. Tout cela est loin."

Néanmoins, les menaces du Hezbollah d'utiliser des missiles à plus longue portée ont incité les autorités municipales à préparer les abris.

"Il y a 235 abris publics dans la ville et, la semaine où la guerre a éclaté, nous les avons aménagés en y installant du matériel, des civières et de l'eau", précise Betty Yosef, porte-parole de la ville de Tel Aviv.

A ces abris publics s'ajoutent les abris privés et ceux dotant la plupart des résidences.

"La municipalité a aussi organisé deux exercices auxquels ont participé toutes les équipes de secours, en prévision d'attaques à la roquette. Mais, à part cela, la vie se poursuit normalement", ajoute la porte-parole.

La dernière attaque subie par Tel Aviv remonte à la guerre du Golfe, en 1991, lorsque 39 missiles Scud ont atteint Israël, causant des dégâts mais peu de victimes.

Sasson Gassi, propriétaire d'un snack-bar, se rappelle avoir alors passé de longues heures dans son abri, dans le nord de la ville.

"Nous sommes prêts en cas de nécessité. Mais la ville n'a pas aussi peur qu'en 1991", témoigne-t-il.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mardi 08 août 2006 - 17h34:

Proche-Orient : les illusions calamiteuses d'une géopolitique surréaliste, par André Glucksmann

L'indignation de beaucoup d'indignés m'indigne à mon tour. Pour l'opinion publique mondiale, certains morts musulmans pèsent le poids d'une plume, d'autres des tonnes. Deux poids, deux mesures. Le meurtre terroriste d'une cinquantaine de civils chaque jour à Bagdad est relégué à la rubrique des faits divers, tandis que le bombardement qui tue vingt-huit habitants à Cana est élevé au rang de crime contre l'humanité - seuls quelques rares esprits comme Bernard-Henri Lévy et Magdi Allam, rédacteur en chef du Corriere della Sera, s'en étonnent.

Pourquoi les deux cent mille massacrés du Darfour ne suscitent-ils pas le quart de la moitié des réactions horrifiées qu'éveillent les victimes deux cents fois moins nombreuses du Liban ? Lorsque des musulmans tuent d'autres musulmans, faut-il croire que cela ne compte pas, ni pour les autorités coraniques ni pour la mauvaise conscience occidentale ? L'explication est boiteuse, car lorsque l'armée russe, chrétienne et bénie par les popes, rase la capitale des musulmans tchétchènes (Grozny, 400 000 habitants) et tue les enfants par dizaines de milliers, cela ne compte pas davantage. Le Conseil de sécurité ne tient pas alors réunion sur réunion, et l'Organisation des États islamiques détourne pieusement les yeux. Force est de conclure que seul le musulman tué par des Israéliens vaut indignation universelle.

Faut-il croire qu'Ahmadinejad exprime tout haut ce que l'opinion publique mondiale chuchote in petto ? Pourtant un grand nombre de consciences occidentales outragées par les bombardements au Liban se proclament outrées au carré si on les soupçonne d'antisémitisme. J'aurais tendance à leur faire crédit, n'allons pas imaginer que la planète entière sombre dans la paranoïa antijuive ! Le mystère s'épaissit d'autant. Pourquoi pareille hémiplégie ? Pourquoi une indignation mondiale survoltée dès qu'il s'agit de bombes israéliennes ?

Si les images des destructions au Liban font choc - incomparablement plus choc que les affamés du Darfour et les ruines de Tchétchénie -, c'est qu'elles sont implicitement sous-titrées par une géopolitique surréaliste. Qui contemple l'actualité de Cana ou de Gaza ne compte pas seulement les cercueils des mauvais jours, les malheureux qu'on enterre semblent auréolés d'une annonciation fatale, étrangère aux centaines de milliers de cadavres africains ou caucasiens. Combien d'experts ne pointent-ils pas, depuis des décennies, le conflit du Moyen-Orient comme le coeur du chaos mondial et la clé de sa résolution ? Quel diplomate oublierait de répéter plutôt dix fois qu'une que les portes de l'enfer et le Sésame du retour à l'harmonie internationale se situent à Jérusalem ? Un même scénario codé trotte dans les têtes du XXIe siècle, il décrète que tout se joue sur les rives du Jourdain. Versant «hard» : tant que s'opposent 4 millions d'Israéliens et autant de Palestiniens, trois cents millions d'Arabes et un milliard et demi de musulmans sont condamnés à vivre dans la haine, le sang et l'oppression. Versant rose : il suffirait d'une paix, à Jérusalem, foi de Quai d'Orsay, pour qu'à Téhéran, Karachi, Khartoum et Bagdad les incendies s'éteignent et cèdent à la concorde universelle.

Nos sages sont-ils devenus fous ? Théorisent-ils sincèrement et sérieusement que, sans le conflit israélo-palestinien, rien de grave n'aurait eu lieu, ni la révolution massacreuse de Khomeyni, ni les dictatures sanglantes des partis Baas syrien et irakien, ni la décennie du terrorisme islamique en Algérie, ni les talibans en Afghanistan, ni les fous de Dieu essaimant sans foi ni loi ? L'hypothèse triste et inverse, rarement évoquée, est davantage vraisemblable : tout cessez-le-feu autour du Jourdain demeure intrinsèquement volatil tant que les palais, la rue, une bonne partie de l'intelligentsia et les États majors musulmans entretiennent la passion anti-occidentale. La «mondialisation» (le dynamitage planétaire des frontières économiques, mais surtout sociales et mentales) s'accompagne immanquablement de réactions de rejet souvent dures, parfois cruelles. Pas besoin de l'existence depuis 1947 de l'«entité sioniste» pour allumer l'anti-occidentalisme germanique de Fichte à Hitler, l'anti-occidentalisme russe sans cesse renaissant sous les tsars comme sous Staline et désormais Poutine. Seul un naïf peut supposer en toute ignorance que la volonté de puissance iranienne trouvant sa force de frappe dans la révolution khomeiniste récupère dans la «question juive» autre chose qu'un prétexte à djihadiser tous azimuts. Une fois Israël rayée de la carte, qui va imaginer que la subversion verte fêtera semblable triomphe en déposant les armes ?

La géopolitique de mauvaise foi qui sacre le Moyen-Orient pivot de l'ordre mondial est devenue la religion de l'Union européenne, la foi des incroyants et peu croyants d'Occident. Les penseurs post-modernes ont affirmé à tort la fin des idéologies, alors que nous nageons en pleine illusion idéologique, ayant en douceur troqué l'espoir fallacieux de la lutte finale contre la prédication angoissée d'une catastrophe non moins absolue et finale. Tandis que notre tête surréalise, notre coeur déchiffre la mort de l'humanité en chaque cliché expédié du Liban. Jérusalem n'est le centre du monde que parce que centre supposé de la fin du monde. Notre fantasmagorie calamiteuse se nourrit de prémonitions apocalyptiques.

Chaque affrontement moyen-oriental vaudrait répétition générale avant l'explosion ultime. La fumeuse guerre de civilisation, à force de l'invoquer, on y croit. Et à force de la prévoir, on s'y fait, par une méthode Coué, intitulée en anglais «self fulfulling prophecy», pronostic qui se confirme lui-même. Le bombardement à longueur d'années des agglomérations israéliennes par les missiles du Parti de Dieu crédibilise les promesses annihilatrices du Parrain iranien. Toutefois, remarque avec ironie Clausewitz, ce n'est pas l'agresseur qui déclenche la guerre, mais celui qui décide de stopper l'agression. Donc, Israël est forcément coupable. Circonstance aggravante : coupable d'une fin du monde mondialement fantasmée. De la géopolitique surréaliste au délire, la pente est glissante.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mardi 08 août 2006 - 17h13:

Point de vue

Espoirs en ruine dans le camp des modérés, par Amos Gitai

LE MONDE | 08.08.06

Etre à Haïfa, ma ville natale, ces jours-ci, entendre les sirènes d'alarme, et les missiles qui tombent, est une expérience qui n'a rien d'intellectuel. C'est, au contraire, ressentir physiquement combien être un citoyen du Moyen-Orient signifie faire partie du grand rituel de cette région, qui consiste à verser le sang de son peuple à intervalles réguliers.

La seule question qui se pose est : pourquoi ? Combien de victimes encore, et de destructions, faudra-t-il pour que l'on comprenne ici que cette danse de mort ne rime à rien ?

Le conflit actuel démontre au moins une chose : c'est que le Moyen-Orient était ces derniers temps sur le chemin de l'apaisement et de la réconciliation. De façon tragiquement répétitive et prévisible, les extrémistes interviennent à chaque fois qu'un progrès est fait vers la paix et l'anéantissent par la force.

Il suffit de remonter quelques années en arrière pour s'en rendre compte : du moment où Itzhak Rabin a donné l'ordre à Tsahal de se retirer de Jénine et Naplouse, il y a eu une vague d'attentats dans les bus de Tel Aviv. Du côté des terroristes, chaque avancée vers la paix est interprétée comme un signe de faiblesse, l'occasion de démontrer leur puissance en frappant Israël.

C'est ainsi qu'ils minent le camp des modérés israéliens. Pendant ce temps, ni les Israéliens ni les Palestiniens n'ont le temps de régler les questions quotidiennes, humaines, qui se posent ici comme partout ailleurs dans le monde, les problèmes de la retraite ou du salaire minimum. Le conflit empêche absolument toute avancée sociale. Attention à l'amalgame entre le conflit principal entre Israéliens et Palestiniens et les affrontements entre Israël et les pays arabes. Le premier est le conflit essentiel, parce que la terre appartient aux deux peuples, et qu'il faut trouver un moyen de vivre ensemble.

Pour nous Israéliens de gauche, la guerre que nous vivons en ce moment est particulièrement complexe sur le plan politique. Depuis des années, par des articles, des livres ou des films, nous cherchons à démontrer que la solution est le retrait des territoires occupés. Or Israël s'est retiré de Gaza et du Liban, et c'est exactement là où le Hezbollah a frappé. Dans la partie du Golan qui est toujours occupée, en revanche, tout est calme.

On sait ce que la droite israélienne va dire : se retirer n'était pas la solution. Pour ma part, je crois toujours qu'Israël devrait continuer les retraits, et même que la coexistence pacifique n'est pas seulement un espoir lointain : elle finira par se produire. Mais en attendant, la lutte contre le Hezbollah n'a pas de solution "politiquement correcte".

Peut-on vraiment apaiser une organisation religieuse féroce, qui s'appuie sur une idéologie parfaitement irrationnelle, par la modération, la diplomatie ?

La particularité du conflit du Moyen-Orient est qu'il est intégralement filmé. C'est le conflit le plus médiatisé de la planète, et le feuilleton préféré du monde entier. Un feuilleton sans fin, où les bons et les méchants s'échangent régulièrement les rôles.

Faire du cinéma dans ce contexte est un véritable défi : il faut constamment prendre de la perspective, rester rationnel, malgré la tourmente, malgré les inquiétudes individuelles.

Etre à la fois citoyen et cinéaste dans ce contexte relève de la schizophrénie, mais je crois profondément que le cinéma ne doit pas être le journal du soir, qu'il a pour fonction de démanteler la simplification des médias.

Au bout du compte, il ne doit pas nourrir la haine mais la compréhension.

Amos Gitai, cinéaste israélien.

Article paru dans l'édition du 09.08.06

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-801900,0.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 08 août 2006 - 14h50:

'Madame' SINIORA,


Pleure pour ses morts libanais.
Mechkina.
Nous on pleure depuis 6OOO ans et on se la ferme.

Meskina deux fois.

A qui la faute, si le Liban s'est fait kidnappè son Sud??? Hein??? Par le hezbollah qui se comporte en pays conquis.

Elle va envoyer 15 000 soldats de son armèe régulière qui sans aucun doute va collaborer avec ce parti de D ieu. Qui va croire à cette duplicitè???

On parle de souverainetè du Liban, laquelle???
Celle des palestos qui ont fait la loi des années durant et qui grâce à Israël les a débarrassè de cette glue....

'Elle'( la bakh'tara) devrait au contraire être heureuse que celà SOIT encore Israël qui fasse le ménage avec tout ce que celà comporte comme pertes en vies juives innocentes.

Sinon, jamais elle y arriverait.
Son Liban est devenu Hezboliban.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 08 août 2006 - 14h36:

'....émoluments directement des mains de Saddam Hussein... », et non Serge Boidevaix, à qui nous présentons nos excuses pour cette confusion....!
De la MENA.


Vos excuses les plus plates comme l'eau Evian.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nonette (Nonette) le mardi 08 août 2006 - 10h34:

merci HAJKLOUFETTE de nous avoit permis de visionner ce site qui permet pratiquement d'entendre battre le coeur d'Israel..comment ne pas etre rempli à la fois de fierté,de tendresse,d'admiration,de douleur devant ces très jeunes hommes qui à l'age de nos petits-enfants se battent comme des lions mais pleurent commme les enfants qu'ils sont encore!
que l'Eternel protège les enfants d'Israel,qu'IL apporte la consolation aux mères qui ont perdu la chair de leur chair,qu'IL donne l'espoir et la force de resister à Israel,amen!