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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le vendredi 28 juillet 2006 - 20h16:

Union des Patrons et des Professionnels Juifs de France
Association Loi 1901
Siège social : 12 rue Notre Dame des Victoires – 75002 Paris
Tél. : 01 41 83 03 88 – Fax : 01 41 83 84 73 – contact@upjf.org
Email : contact@upjf.org
Pour diffusion immédiate
COMMUNIQUE
DE
L’UNION DES PATRONS ET DES PROFESSIONNELS JUIFS DE
FRANCE
Le 24 juillet 2006
DECLARATIONS DE MICHELE ALLIOT-MARIE
LORS DE SON DEPLACEMENT A CHYPRE
L’Union des Patrons et professionnels Juifs de France est choquée par les propos tenus par la
Ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie, lors de son déplacement à Chypre.
Mme Alliot-Marie, en affirmant qu’elle ne voit pas « le sens non plus des frappes sur des usines qui fabriquent de la poudre de lait pour les enfants », se fait l’écho de propos
propagandistes indigne d’un représentant de la République.
L’UPJF ne doute pas que le Chef des armées française a conscience des défis que doit relever
l’armée d’Israël, à chaque instant, afin d’épargner les civils, alors qu’elle doit faire face à une véritable guérilla qui se sert des femmes et des enfants comme boucliers humains.
L’UPJF partage néanmoins les propos de Mme Alliot-Marie qui affirme « qu’il a des
populations civiles qui souffrent beaucoup aujourd’hui. Et plus il y a de morts d’un côté et de l’autre, plus la fin de la crise est nécessaire » et espère qu’elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour que le Hezbollah soit désarmé et les soldats israéliens libérés afin que cesse ce conflit.
Mais l’UPJF rappelle à la Ministre de la Défense, garante de la sécurité de notre pays, que lorsque 9 de nos soldats ont malheureusement péris en Côte d’Ivoire, elle n’a pas hésité à
prendre ses responsabilités, à juste titre, en faisant détruire toute l’aviation ivoirienne, sans se soucier du principe de proportionnalité ou d’éventuels dommages collatéraux.
L’UPJF s’interroge : La France, par la voix de son Ministre de la Défense, fait-elle deux poids
deux mesures dans l’application du Droit international ?
Claude BAROUCH
Président

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le vendredi 28 juillet 2006 - 20h07:

PRIMO en Israël


Lundi 24 juillet 2006. Il est 4h du matin ; nous sommes heureux de nous retrouver à Roissy. Primo, association non communautaire, oeuvrant pour plus de rigueur dans l’information sur le Moyen-Orient, participe au voyage de soutien à Israël du 24 au 26 juillet.

Décision prise à l’emporte pièce sans prendre le temps de trop d’analyse ; Le voyage a été organisé en 48 heures, ce qui explique les joyeuses incohérences du séjour.

Des les premiers instants, nous apprenons à découvrir l’inoubliable Albert Benabou, nouveau responsable à Paris de l’ONIT.

Retenez bien ce nom, il s’agit d’un pince-sans-rire dont l’humour tente, avec élégance, de cacher l’immense et fine intelligence. Le courant passe au-delà du possible avec Primo, et les engagements sont pris.

A 12h, nous sommes à Tel Aviv. Un autobus nous conduit aussitôt à Haïfa ville durement touchée par les destructions du Hezbollah. Ville fantôme. Pas une voiture dans les rues. Tous les volets sont fermés.

Nous sommes reçus par l’équipe médicale de l’Hôpital Rambam. La modestie de ces éminents praticiens est des plus émouvantes. Nous avons terriblement honte des remerciements qu’ils nous adressent. Dans les chambres, les soldats blessés répondent à nos questions. Les larmes coulent toutes seules. Médecins et infirmiers, arabes et juifs sont autour des blessés, eux aussi arabes et juifs. Une infirmière dit aussitôt : « Lo Livcot », attention ! Ici on ne pleure pas, on n’a pas le droit ! ».

Primo n'a pris aucune photo de ces instants là. La complaisance avec laquelle les médias occidentaux repassent les photos choc des blessés libanais est un piège dans lequel nous souhaitons ne pas tomber. Car ces films et photos s’adressent au coeur, et le coeur a ses raisons que la raison ne veut pas connaître: il veut croire que seuls les Libanais souffrent. Il y a bel et bien souffrance et drame de chaque côté de la frontière.

Après ce flot de remises en question, départ pour la mairie de Haïfa. Le maire est un monument de courage, comme vous le constaterez quand nous aurons eu le temps de transcrire son discours. Nous lui avons offert le livre Le Canari dans la mine.

Arrivée à Jérusalem à 21h, rencontre avec madame le ministre de l’Education Nationale. Cette ministre travailliste est jeune, efficace, percutante. L’échange est de qualité. A minuit, il est temps de se quitter.

Mardi départ à 8 pour le Mur des Lamentations. Prière pour la paix du Rabbin Messas. Les femmes sont expédiées bien loin, bien isolées. J’en profite pour aller jeter un œil tout au long de la Via Dolorosa. Les commerçants arabes ou arméniens entrent spontanément en contact : Rien, rien, rien, pas un client pas un touriste. Comment allons nous vivre ?

11 h nous avons réunion au ministère du tourisme. Long échange intéressant de questions réponse avec le ministre concerné : comment améliorer les échanges.

Nous avons rendez-vous avec Ygal Palmor. Je lui téléphone d’un bureau du Ministère des Affaires étrangères,il est débordé de travail, mais répond à la demande et vient rencontrer le groupe. Il nous brosse en une demi heure une analyse d’une clarté, d’une cohérence qui en estourbit plus d’un...Tous veulent à présent savoir qui est cet irremplaçable Palmor.

Il est 12h30. Nous ne savons pas encore que nous allons vivre un évènement hors du commun. En route pour l’ancien aéroport Ben Gourion. A l’arrivée, des contrôles d’une rigueur extrême sous un soleil de plomb.

Enfin dans le hangar, décorations, étalage de chaises, tribune, des rafraîchissements et des fruits… Les Olims (immigrants) de France arrivent !! Et nous allons les accueillir. Des visiteurs de passage vont accueillir de nouveaux résidents.

Premier avion de Marseille. 120 nouveaux immigrants en T-Shirt et casquette blanche. D’une seule voix nous entonnons un chant de bienvenue; applaudissements, embrassades, certains ados retrouvent visiblement le ou la fiancée qui attendait l’arrivée définitive de la chère moitié en Israël.

Une solidarité et une intimité spontanées ; la joie de s’accepter, de se reconnaître et de s’aimer sans même se connaître. Un seul peuple en un mot.

Le grand rabbin d’Israël en grande tenue, vient bénir la foule, remercie chaleureusement ces amis juifs et non juifs venus nous soutenir de France.

Il invite le premier ministre Olmert a faire la bénédiction du pain et du sel pour accueillir nos nouveaux frères. On est dans la cérémonie, on en fait partie ; on vit l’instant, on voudrait le prolonger. Des autobus viennent emmener ces nouveaux citoyens pour leur remettre leurs nouveaux papiers d’identité. C’est fini.

Nous regagnons nos autobus quand un monstre se profile dans le ciel : l’avion des immigrants de Paris est arrivé : 520 nouveaux immigrants tous parisiens en un seul jour.

Moment historique : c’est la plus grosse arrivée d’immigrants de France de l’histoire d’Israël.

Nous n’y tenons pas ; nous quittons nos sièges, et retournons en courant sous le hangar.

Il faut l’avoir vécu pour le croire !!! 520 personnes en T-shirt blanc, et surtout, c’est incroyable, un flot ininterrompu de jeunes très jeunes enfants.

Drapeau à la main, battant la mesure sur les épaules de papa, des sourires timides devant la chaleur de l’accueil, une larme vite effacée ; nous ne chantons plus, nous hurlons en tapant des mains ; nous leur faisons une haie d’honneur.

Des bébés des adolescents et, une jeune fille, sa robe de mariées « Pronuptia », à la main. C’est du délire ! Mazal Tov, vive la mariée !! Toute émue elle presse le pas et se jette dans les bras du promis israélien.

Yvan Levaï arrive par le même avion. Il est accueilli de même ; il est hilare de bonheur. Retour dans la salle, discours de bienvenue ; le temps passe mais nous ne voulons plus partir. Les chauffeurs grillent dans les cars et commencent à trouver le temps long. Il nous faut y aller. Quelle journée ! Quelles larmes de pure émotion !

Tel Aviv, nous avons trois quarts d’heure pour nous débarbouiller et nous rendre à table à la rencontre de nouveaux ministres.

Un frêle jeune homme nous explique son amour de la France. C’est le ministre du Tourisme Herzog, fils du valeureux président de l’Etat, Haïm Herzog.

Incontestablement sur le plan des rencontres, la plus inattendue, mais avec celle d'Ygal Palmor la plus inoubliable, reste celle d'Amir Peretz, Ministre de la Défense !

Quel humour, quel réalisme, quelle pédagogie dans l’évaluation de la situation. Primo transcrira le texte. Nous lui faisons une ovation debout.

Une jeune femme du groupe, lui lance un "je t’aime" en arabe marocain ; deux bises ministérielles bien sonores la récompensent aussitôt.

Quel peuple ! Quel pays ! Quelle exemplarité ! Que de leçons à retenir, que d’humilité à avoir !

Josiane Sberro © Primo Europe, 26 juillet 2006

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le vendredi 28 juillet 2006 - 19h03:

L'économie israélienne absorbe le choc de la guerre
Par La Tribune


La pérennité de la croissance dépend de la durée du conflit au Liban. Le déficit budgétaire devrait augmenter.
Alors que l'échec de la Conférence de Rome a peut-être ouvert la voie à une guerre longue au Liban, l'économie israélienne a réussi à limiter les dégâts, du moins pour le moment. Seuls deux secteurs sont sinistrés : les entreprises du nord du pays, cible de centaines de roquettes du Hezbollah, et le tourisme touché par une vague de quelque 200.000 annulations. Les responsables et les experts locaux ou étrangers estiment toutefois qu'il n'y a pas lieu de s'alarmer de menaces de récession ou de fuite des capitaux des investisseurs étrangers, à condition que le conflit ne traîne pas en longueur.

L'offensive au Liban a été déclenchée alors que la plupart des indicateurs étaient au vert. Selon Stanley Fischer, le gouverneur de la Banque d'Israël, si les combats cessent dans les deux semaines, le taux de croissance ne devrait perdre qu'un point, ce qui n'a rien de dramatique dans la mesure où il caracolait à un rythme annuel de 6 % depuis le début de 2006. À titre de précaution, le patron de la Banque centrale vient de relever d'un quart de point le taux de base à 5,5 % pour mieux défendre le shekel.

Optimisme. Abraham Hirshson, le ministre des Finances, assure pour sa part qu'il ne laisserait pas filer le déficit du budget censé être ramené à 2 % l'an prochain. Une mission qui s'annonce difficile. La facture des dépenses militaires devrait atteindre 1 milliard d'euros, estime le Trésor. Shraga Brosh, le patron des patrons, a pour sa part évalué à 300 millions d'euros les pertes directes subies par les entreprises dans le nord d'Israël qui ont dû fermer leur porte ou tourner au ralenti, en raison des alertes à répétition et des appels à la population à se réfugier dans les abris. L'État va également devoir verser des indemnisations pour quelque 3.000 maisons et bâtiments endommagés ou détruits.

Le gouvernement estime qu'il est en mesure de faire face. Cette confiance affichée est destinée surtout à rassurer dans le monde au moment où les investissements étrangers affluaient de nouveau dans la haute technologie. Signe des temps : Hewlett Packard vient d'acheter la société israélienne Mercury, spécialisée dans les logiciels informatiques, pour 4,5 milliards de dollars, une somme record pour une entreprise israélienne. Et, pour l'heure, les experts sont peu inquiets, à l'image de Merrill Lynch qui estime que les " fondamentaux restent intacts ".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 28 juillet 2006 - 15h29:

Shabbat Shalom

Je vous avoue que pour moi c'est la premiere fois, depuis 1958, que je ne suis pas sous les Drapeaux en temps de guerre. Croyez moi que rester a la maison en attendant les sirenes est bien plus stressant que d'etre parmi des Amis, la bas.

Mais bientot Shabbat et je salue tous ces jeunes qui dineront ce soir a l'ombre de leur tank.

Shabbat Shalom 280706

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 28 juillet 2006 - 15h19:

Votez YES pour Isreal sur la Chaine CNN

http://www.cnn.com/2006/WORLD/meast/07/14/mideast/index.html

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L'IMAGE DU PITECANTHROPE

wanted

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nonette (Nonette) le vendredi 28 juillet 2006 - 13h36:

à lire dans "le monde"daté du 28 juillet(le monde.fr)un article de Bernard-Henri Lévy,

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 28 juillet 2006 - 13h03:

Victimes de la barbarie islamiste.

http://www.all4israel.org/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le vendredi 28 juillet 2006 - 12h42:

Petit sondage:

http://www.expression-publique.com/expression-publique/resultat.php?adresse=liban1 (klic klic)

suggest.1

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 28 juillet 2006 - 11h10:

On recherche un Pitécanthrope, espèce qui était en voie de dispariton et qui apparait de temps en temps déguisé en homme qui sème la haine, sous les noms de :
A'malek, Haman, Titus, Torquémada, Staline, Hitler et autres spécimens qui font du ravage mais qui disparaissent vite.