Archive jusqu'au 23/juillet/2006-1

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juillet 2006: Archive jusqu'au 23/juillet/2006-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Kinor (Kinor) le samedi 22 juillet 2006 - 09h25:

A LAPID
« La lutte contre le judaïsme est le fondement de l’alliance naturelle entre le Reich national-socialiste et les musulmans épris de liberté, jusqu’à la victoire finale. »

Le lien n’est pas bon , c’est dommage
Cordialement

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 22 juillet 2006 - 04h55:

Le Venezuela va entrer dans... la Ligue arabe.

Chávez, futur leader «arabe» ?
Par Jean-Hébert ARMENGAUD

Liberation : Jeudi 20 juillet 2006 - 06:00

Chávez, futur leader «arabe» ? Par Jean-Hébert ARMENGAUD

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Par Victor FLORES CARACAS (AFP) 19 juillet 2006
...................Sa tournée au Moyen-Orient passera par le Qatar, qu'il a déjà visité quatre fois, et surtout par l'Iran, dont M. Chavez, narguant la Maison Blanche,soutient le droit à développer un programme nucléaire.

Le président vénézuélien, qui a annoncé qu'il fêterait son 52e anniversaire au Moyen-Orient le 28 juillet, a évoqué avant son départ le conflit entre Israël et le Hezbollah libanais, dénonçant le rôle des Etats-Unis.

Hugo Chavez a critiqué les opérations militaires israéliennes au Liban, affirmant que "la faute fondamentale revient à l'empire nord-américain, qui a armé et soutenu les attaques d'Israël, qui envahit et défie l'ONU depuis longtemps"..........

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 22 juillet 2006 - 04h23:

« La lutte contre le judaïsme est le fondement de l’alliance naturelle entre le Reich national-socialiste et les musulmans épris de liberté, jusqu’à la victoire finale. »

Télégramme de Himmler à Hadj Amin el Husseini - 1943


en savoir plus ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le samedi 22 juillet 2006 - 04h18:

Rage à Matignon (info # 012107/6) [analyse]

Par Sébastien Castellion © Metula News Agency



Dimanche dernier, sur TF1, Nicolas Sarkozy a commis, selon le cabinet du Premier ministre, un crime majeur : il a dit la vérité.



« Dans le conflit entre Israël et le Liban, a dit le ministre de l’Intérieur, il y a un agresseur. Cet agresseur, c'est le Hezbollah, qui se comporte de manière invraisemblable ».



Non content d’appeler « agresseur » la milice terroriste qui avait, quatre jours plus tôt, pénétré sur le territoire israélien pour y enlever deux soldats (ce qui constitue, en droit international, une « agression »), le ministre de l’Intérieur a poussé le vice jusqu’à prononcer la phrase dont tout diplomate français apprend, après environ une semaine d’ancienneté au Quai, qu’elle lui coûterait sa carrière : « Israël doit se défendre et a le droit de se défendre ».



Enfin, il a dit ce que tout le monde sait : « L'Iran se met un peu plus au banc de la communauté internationale (…), il y a plus que des soupçons sur les liens entre le Hezbollah et le régime iranien ».



Où est le scandale ? Eh bien, voyez-vous, Sarkozy a prononcé le mot « Iran ». Deux jours plus tôt, le Président Chirac avait lui aussi évoqué l’évidence de la main iranienne derrière la marionnette Nasrallah, mais il l’avait fait plus diplomatiquement, en disant : « il y a quelque part un soutien de tel ou telle nation ». Pourquoi cette formulation est-elle acceptable et pas l’autre ? Si je le savais, je serais diplomate.



Dans un monde normal, on pourrait se demander en quoi les déclarations du ministre de l’Intérieur ont mérité la rage qu’on entendait sourdre, cette semaine, dans les couloirs de Matignon, inspirée en premier lieu par les deux premiers diplomates du pays, Dominique de Villepin et son directeur de cabinet Bruno Le Maire. C’est un fait historique que le Hezb était l’agresseur !



La France n’est d’ailleurs pas du côté du Hezbollah dans cette affaire. Chirac est sincère lorsqu’il demande, de manière répétée, le désarmement du Hezb ; et même les plus fanatiquement pro-arabes de nos diplomates se contentent d’épouser la position des dictatures sunnites, pas mécontentes à l’idée de voir l’Iran affaibli par les coups que les Hébreux portent à sa filiale libanaise. Enfin, le droit des peuples attaqués à se défendre fait partie intégrante du droit international ; il n’est contesté par personne, sauf quand il est exercé par les nombreux peuples dont le nom commence par « ju » et se termine par « if ».



La raison de la fureur contre Sarkozy semble tenir à deux choses. D’abord, sa déclaration était franche et claire. Les diplomates français, à commencer par les deux premiers d’entre eux, ne supportent pas la clarté. Ils préfèrent les ombres et les ambiguïtés qu’impose leur vision du monde, dans laquelle il n’y a bien ni mal, ni vérité ni mensonge, mais un jeu permanent de mots, pesés au trébuchet, dans le seul but de nuire aux puissances rivales.



Le fait de présenter les choses telles qu’elles sont (le Hezbollah est l’agresseur, les agressés doivent se défendre) est perçu par ces gens comme une menace existentielle – une remise en cause de toute leur vie – qu’ils consacrent à obscurcir la réalité pour faire progresser ce qu’ils croient, parfois, être les intérêts de la France. Lorsqu’un dirigeant cherche à clarifier les choses, il devient l’ennemi – et l’ennemi, pour les diplomates français, c’est avant tout l’Américain –. C’est ainsi que Sarkozy, qui parle mal l’anglais et qui ne s’est jamais exprimé en faveur de la guerre en Irak, se trouve régulièrement traité de « bushiste » dans la villepinie pour le crime de vouloir être clair.



La deuxième raison de la fureur de Matignon contre Sarkozy tient moins à ce que contenait sa déclaration qu’à ce qui ne s’y trouvait pas. Le ministre de l’Intérieur, imaginez-vous, a parlé cinq minutes sans utiliser aucun des artifices désormais classiques pour démoniser Israël. Il n’a pas évoqué, comme Chirac, une « volonté délibérée de détruire le Liban, ses routes, ses infrastructures », impliquant par là que les Israéliens seraient dotés d’une nature ataviquement cruelle et incompréhensible, établie en axiome dans la Chiraquie.



Sarkozy n’a pas, comme Villepin ou Douste-Blazy, tâché de réduire l’histoire de la guerre en cours à celle de la souffrance des seuls Libanais et de faire oublier celle des Israéliens. Il a certes appelé toutes les parties à la retenue ; mais il ne lui serait pas venu à l’idée, comme l’a fait Villepin, de venir montrer sa compassion à Beyrouth en « oubliant » Haïfa, au moment où ces deux villes étaient bombardées et où, des deux côtés, il y avait des citoyens français sous les bombes. Il n’a pas qualifié de « disproportionnées » les mesures prises par Israël pour se défendre, ce qui est une manière, à peine déguisée, d’appeler les Juifs à se laisser tuer sans réagir comme ils avaient bien voulu le faire pendant deux mille ans.



Il serait d’ailleurs intéressant de comprendre quelle est la raison pour laquelle Nicolas Sarkozy – qui n’est ni juif, ni spécialiste du Moyen-Orient – est l’un des très rares hommes politiques français qui soit toujours resté totalement insensible à la rhétorique anti-israélienne.



Cette particularité ne peut pas s’expliquer – contrairement à ce que disent, plus ou moins clairement, certains proches du Premier ministre – par le seul fait que le ministre de l’Intérieur, élevé dans la religion catholique, et bien plus ouvert à l’islam que la plupart des hommes politiques français, a un peu de sang juif. Le camp des ennemis d’Israël en France et celui, bien plus nombreux, des ignorants qui adoptent occasionnellement une rhétorique antisioniste, contiennent assez de Juifs et de demi-juifs pour prouver que vos ancêtres ne déterminent pas vos opinions. De plus, d’autres prises de position du ministre de l’Intérieur, comme son soutien à la discrimination positive ou ses efforts pour soutenir l’islam modéré en France, n’ont souvent pas été perçues favorablement dans la communauté juive de France.



Le refus de Sarkozy de critiquer Israël n’est pas non plus un simple calcul politique. Si c’était le cas, Sarkozy aurait, comme les autres, participé à la critique presque unanime d’Ariel Sharon, lorsque l’hostilité avait atteint son point culminant, en France, dans les années 2001-2003. Or, même à cette époque, Sarkozy s’était toujours refusé à hurler avec les loups. Ses conseillers m’ont précisé qu’il n’avait même jamais permis qu’on le lui propose.



L’interprétation la plus probable de cette fidélité, parfois risquée, est donc que la sympathie de Sarkozy pour Israël vient d’une similitude de caractère, de valeurs profondément partagées, qui ont créé chez lui une « affinité élective » avec le peuple hébreu. Sarkozy apprécie le courage : il reste l’homme qui, en 1993, allait négocier lui-même avec un dément bardé d’explosifs, qui avait pris en otage une classe de maternelle dans sa commune, et profitait de chaque rencontre pour négocier la libération de quelques enfants. Il apprécie la franchise et le langage clair : il est celui qui, dans la lutte contre la délinquance, a cessé de parler de « jeunes » ou de « sauvageons » et s’est mis à appeler les voyous … des « voyous ». Enfin, il est amoureux du pragmatisme et de l’efficacité : il demande à ses collaborateurs des actions rapides et des résultats, pas des postures ; des idées et non des mots.



Cette attitude ne peut que rapprocher Sarkozy d’Israël – un pays où le courage de beaucoup est indispensable à la survie de tous – où la parole est si libre et si directe qu’elle en paraît souvent brutale pour les étrangers, et où le pragmatisme et l’efficacité sont des valeurs nationales. Elle ne peut aussi que le rendre odieux aux villepinistes. Ceux-ci, comme leur chef, aiment les grandes postures verbeuses et sans risque réel : s’il est une chose sûre quand on fait de grands discours contre Bush à l’ONU, c’est qu’on prend moins de risque qu’en négociant avec un dément meurtrier ou qu’en prononçant le mot « Iran » pour nommer un Etat terroriste à la télévision.



Les villepinistes aiment le langage obscur et subtil, qui permet de nier plus tard qu’on a dit ce qu’on a dit. Enfin, ils sont moins attachés à l’efficacité de l’action qu’à la beauté du geste : lorsqu’ils font, par exemple, l’éloge du discours de leur chef à l’ONU avant la guerre d’Irak, ils défendent toujours l’attitude et n’évoquent presque jamais les résultats (comme le fait que la France sera détestée pendant des générations par les démocrates irakiens et qu’elle a perdu, pour longtemps, toute occasion de remporter des grands contrats en Irak).



Cette opposition de caractère est bien plus profonde que les oppositions politiques (Villepin et Sarkozy sont membres du même parti) ou que les oppositions religieuses ou ethniques (on trouve, chez l’un comme chez l’autre, des représentants de tous les principaux groupes ethniques qui cohabitent en France). Et c’est bien parce que l’on touche là à la division la plus profonde entre les hommes, la ligne invisible qui sépare ce que les caractères ont de plus intime, que l’on entendait, cette semaine, conspuer et grogner contre le ministre de l’Intérieur dans les couloirs de Matignon.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 22 juillet 2006 - 04h14:

Derrière le Hezbollah, la Syrie est au bout de la ligne de mire israélienne
par François Géré

Le Figaro
le 18 juillet 2006

Role de la Syrie dans le conflit actuel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 22 juillet 2006 - 04h05:

Tension diplomatiqueentre Israel et Le gouvernement socialiste espagnol dirige par Jose Luis Zapatero. (Suite)

AFP - Jeudi 20 juillet 2006, 18h07

L'offensive israélienne au Liban, jugée "abusive" à Madrid, provoque
une tension diplomatique entre Israël et l'Espagne, et des éclats de
voix entre la gauche au pouvoir et l'opposition.

Les relations entre les deux pays "ne sont pas à leur meilleur
moment", en raison notamment des critiques "très dures, très
injustes contre Israël" du gouvernement espagnol, a estimé jeudi
l'ambassadeur d'Israël à Madrid, Victor Harel.

Le chef du gouvernement socialiste espagnol Jose Luis Zapatero,
après avoir estimé la semaine dernière qu'Israël "se trompait" en
procédant à une riposte généralisée au Liban, avait stigmatisé
mercredi l'utilisation par l'Etat hébreu d'une "force abusive" dans
son offensive armée.

Ces critiques ont amené le Parti Populaire d'opposition (PP-droite)
à qualifier M. Zapatero et son gouvernement "d'antisémites" et
de "judéophobes", des accusation jugées jeudi "intolérables" par le
ministre des affaires étrangères Miguel Angel Moratinos.

La polémique est montée d'un cran alors que se préparait dans la
soirée de jeudi à Madrid une manifestation anti-israélienne "contre
la guerre et les crimes contre les civils palestiniens et libanais",
avec le soutien du Parti socialiste (PSOE) au pouvoir.

M. Harel a dit "regretter profondément" cette manifestation
d'un "parti gouvernemental contre Israël", qui, selon lui, "donne
une prime au terrorisme islamique".

Le PP a demandé de son côté à M. Zapatero de "désavouer" cette
manifestation, sous peine de déclencher une "crise diplomatique
profonde" entre les deux pays.

M. Zapatero fait preuve "d'irresponsabilité" avec ses
déclarations "déséquilibrées" critiquant Israël, sans faire de même
pour un "groupe terroriste" comme le Hezbollah, ont accusé jeudi
deux responsables des affaires internationales du PP, Jorge Moragas
et Gustavo de Arestegui.

La droite espagnole attaque en outre M. Zapatero pour s'être laissé
photographier mercredi à Alicante (sud) avec un foulard palestinien
(keffieh) qui lui avait été mis brièvement autour du cou.

On ne verrait "ni Chirac, ni Blair, ni Merkel dans une photo
semblable" a estimé jeudi le porte-parole parlementaire du PP,
Eduardo Zaplana en réclamant "davantage de prudence" à M. Zapatero,
lequel aurait perdu, selon lui, le "respect de nombreux pays" en
agissant ainsi.

© AFP.
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le samedi 22 juillet 2006 - 03h28:

Après l’accalmie, le lynchage reprend
21 juillet 2006
- Par David Ruzié, professeur émérite des universités, spécialiste de droit international
(Desinfos.com)
Si jusqu’à présent, un certain équilibre entre les deux parties au conflit était respecté dans les médias français et aux Nations Unies, il ne semble plus en être de même, à l’heure actuelle.

Après l’accalmie, le lynchage reprend

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le samedi 22 juillet 2006 - 02h38:

Un petit message de mon cru envoye au Mediateur de l'info (France 2):

Par pitie, arretez le desastre diffamatoire contre Israel!! Que le JT de France 2 arrete de nous servir la sauce propagandiste infame du Quai d'Orsay!!!

Apres vous ferez semblant de vous etonner que les actes antisemites se multiplient ca et la!???? mais VOUS ETES LA CAUSE DIRECTE de l'antisemitisme en France.
Vous abrutissez le Francais moyen de mensonges et manipulations perfides sur la realite de la situation!!!

Vous presentez Tsahal et Israel comme des salopards et des envahisseurs sans coeur qui bombardent aveuglement les civils. Cela s'appelle de la desinformation!!!
Si j'etais un telespectateur profane en matiere de Moyen-Orient, a voir les images que vous nous montrez, je haierais a coup sur Israel!!

Il est de votre devoir d'utiliser le vocabulaire adequat pour decrire cette guerre.

Cette guerre N'EST PAS une guerre contre le Liban en soi. Israel n'a pas de visees territoriales et encore moins de desir de tuer des civils que Tsahal previent toujours a coup de prospectus de degager les lieux avant un bombardement.
C'est une guerre d'eradication de la vermine du Hezbollah qui a cree un etat dans l'etat et qui a pris en otage le Liban ce pays toujours trop faible..

Car le Hezbollah comme tout mouvement terroriste lache se cache parmi les populations civiles. Alors quel choix a Israel???
L'histoire nous montre que les Libanais, ces passifs, ont laisse les fedayins palestiniens agir depuis son sol dans les annees 70/80, puis se sont retrouve etre la marionnette du regime demoniaque de Damas et enfin ont laisse en toute impunite le Hezbollah monter sa machine meurtriere!!!

Et Chirac ose nous parler de la souverainete libanaise?? C'en est a pleurer de rire! Quelle souverainete???

Jamais vous n'oserez presenter les faits de maniere objective puisque vous avez peur des petits arabes qui risqueraient de mettre vos banlieues encore a feu et a sang.
Alors pour les calmer, on pointe du doigt Israel le mechant! C'est tellement plus facile!

Dans quelques annees, vous pourrez remercier Israel d'avoir fait voler en eclats le triangle terroriste qu'est le Hezbollah, la Syrie et L'Iran qui possedent de vilains joujoux atomiques qui peuvent detruire l'Humanite.
C'est aussi VOUS qu'Israel sauvera!!

Les Americains eux l'ont compris. Mais les Francais toujours en retard d'un train, pas...

La connerie de la France est totalement insupportable!!

Une telespectatrice en colere

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le vendredi 21 juillet 2006 - 23h55:

Qu'ont dit le gouvernement d'Israel et son ministre des affaires étrangères après les réflexions de Zapatero?

Ceci est d'une gravité extrême, malheureusement En allant sur le site indiqué, on s'aperçoit que l'article n'existe plus. Pouvez vous préciser le lieu et les circonstances, svp?

Comment, on le sait seulement maintenant et ça a été dit le 5 décembre !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le vendredi 21 juillet 2006 - 23h20:

Extraits de l’interview de Nicolas Sarkozy, sur TF1 dimanche 16 juillet 2006, JT de 20h


« Il y a un agresseur dans cette situation. On ne va pas mettre tout le monde sur le même plan. Et cet agresseur, c’est le Hezbollah, qui se comporte de manière invraisemblable…

Israël doit se défendre, a le droit de se défendre. Mais si on est un ami d’Israël – et je le suis -, on doit conseiller à Israël de garder son sang-froid et de ne pas faire de la surenchère, de proportionner la réaction. Alors, je sais bien que c’est plus facile à dire de Paris que de Haïfa, mais c’est une réalité.

Le Liban est en train de se reconstruire et le Liban a le droit à son indépendance et au respect de son unité et de son intégrité. Et le comportement irresponsable du Hezbollah conduit aujourd’hui à la désagrégation d’un Etat qui, depuis quinze ans, faisait des efforts pour se reconstruire. Et chacun doit bien comprendre qu’il faut débarrasser le Liban des influences extérieures.

…....................

L’Iran se met un peu plus au ban de la communauté internationale. Il y a un moment où il faut dire les choses telles qu’elles sont. Il y a plus que des soupçons sur les liens entre le Hezbollah et le régime iranien, dont le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on est consterné par son attitude et par ses déclarations. Et je crains, par ailleurs, qu’il n’y ait pas que l’Iran qui soit concerné. »