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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Fevrier 2004: Archive jusqu'au 13/février/2004-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 12 février 2004 - 19h10:

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Jerusalem - Tunis

Documentation Freddy Galula

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 12 février 2004 - 19h09:

Objet: CHIOURIM.COM [PARACHAT YITHRO]

Chalom Aleihem

Il est étonnant de voir qu'une Paracha puisse s'appeller au nom d'un personnage qui de surcroît est un converti ,
Yitro , qui n'a même pas assisté à la sortie d'Egypte ni à l'ouverture de la Mer Rouge .
Pourquoi la Paracha de cette semaine qui comporte les textes du don de la Torah ( Matan Torah ) s'appelle- t- elle Yitroh ?
Pourtant Yitro , avant de rejoindre les Bnei Israel fait demander par l'intermédiaire d'un émissaire que Moche Rabeinou vienne l'accueillir ? Désirait -il du Kavod : etre honoré ?
Qu’a-t-il entendu qui l’ait incité à quitter Midyan et à venir chez Moché ? ( une réponse est également apportée dans le Dvar Torah ci dessous )
Yitro a apporté une leçon aux Bnei Israël : laquelle ?
Pour avoir une réponse à toutes ces questions vous pouvez écouter le cours audio mp3 en cliquant sur www.chiourim.com et sur la partie Parchat Hachavoua : " la leçon d' Yitro"


Voici un exemple de questions et réponses que vous pouvez trouver sur le Forum des rabbanims
pour plus de détails et consulter toutes les questions et réponses : http://www.chiourim.com/forum_php/index.php
Question posée par un internaute:

Est il permis de plier son Talith pendant Chabath ?
Certains décisionnaires le permettent d'après ce que j'ai entendu : de qui s'agit il ?
Le plier hors de ses plis est - il mieux ?

Réponse du Rav Efraim Crémisi

Le Mé'haber dans le Siman 302 Sayif 3 rapporte l'avis du Morde'hi qui autorise à plier son talit seulement sur un nouveau pli et le Mé'haber conclut en disant qu'il approuve cette avis.

Donc pour le Mé'haber plier son Talit le shabat n'est possible que si on le fait sur de nouveaux plis.

Le Michna Beroura preçise que le din du Mé'haber s'applique a une personne qui plie son talit pour le porter le lendemain ou le shabat suivant; mais si c'est pour le reporter le shabat meme on pourra alors le plier même dans ses plis d'origine.

Le Kaf A'haim ramène l'avis du Kolbo qui est ramené dans le Beit Yossef qui permet de plier le talit même dans son pli d'origine, car notre façon de plier n'est pas professionnel. Il ramène également l'avis du Birké Yossef qui permet également de plier le talit sur son pli initial en se servant du principe de HIDOUR MITSVA c'est a dire de pratiquer les mitsvots avec le maximum de nos capacités (financières et autres) afin de pratiquer les mitvots avec un dévouement et une qualité appréciable. Ainsi si l'on ne plie pas le talit sur ses plis d'origine, a long terme le talit va s'abimer et la mitsva ne sera plus de la même qualité.

Conclusion : d'après le Mé'haber et la majorités des décisionnaires, plier son talit le shabat pour le lendemain ou même pour le shabat suivant c'est possible que sur de nouveaux plis. Dans le cas ou on possède un talit de qualité fragile et que l'on risque de l'abîmer, d'après le Kaf A'haim on pourra le plier même sur ses plis d'origine.


DEBRANCHER UN APPAREIL ELECTRIQUE LE SHABBAT

Avant Shabbat, je pense toujours a débrancher ma bouilloire électrique. En effet, je fais bouillir l'eau tellement de fois dans la journée (biberons...) que je crains, par habitude, d'allumer la bouilloire le jour du Shabbat.
Si, une fois, j'ai oublie de débrancher la bouilloire, ai-je le droit de la débrancher pendant Shabbat, toujours pour ne pas arriver a allumer la bouilloire par habitude, ce jour-la ?

Réponse du Rav Daniel Ohayon

Il est écrit dans le Chmirath Shabbat Kehilhata, au nom de Rav Shlomo Auyervah (chapitre 13 halaha 28) et dans le Orhot Shabbat de Rav Roubin (chapitre 8 Halaha 17):
Lorsqu'il n'y a pas d'électricité, il sera permis d'enlever une prise du mur (ou d'éteindre un bouton) pour ne pas que l'appareil électrique se remette en marche avec le retour de l'électricité.
Ceci dit, comme la prise est un objet Mouktse (car tout objet qui sert a faire un travail interdit le jour de Shabbat ne devra pas être bouge de sa place, on dit que l'objet est ''Mouktse''), il faudra donc enlever la prise de manière inhabituelle, par exemple avec le coude.

Par contre, le Or Letsion (vol 2, chapitre 41 halaha 8) ecrit qu'il est interdit d'enlever une prise du mur. En effet, la prise faisant partie du mur, l'enlever sera considère comme ''détruire'' (''soter'', ce qui est interdit, au même titre qu'il est interdit, le jour de Shabbat, d'enlever une porte de ses gonds, ou une fenêtre coulissante de ses rails.

(Le Chmirath Shabbat Kehilhata et le Orhot Shabbat pensent que la prise n'est pas considérée comme un objet faisant partie attenante du mur comme une fenêtre ou une porte. La prise est un objet indépendant du mur, et c'est pour cela que, selon eux, on ne ''détruit'' pas en l'ôtant).

Les avis étant départagés entre ces grands Rabbanims, je ne me prononcerais pas quant a la manière de se comporter. Il conviendra de demander a son Rav.




Comme promis nous vous présentons comme chaque semaine un Dvar torah sur la Paracha


Yithro prêtre de Midyan, beau-père de Moché, entendit tout ce que Dieu avait fait pour Moché et pour Israël Son peuple, que Hachem avait fait sortir Israël d’Egypte. (18, 1)

Qu’a-t-il entendu qui l’ait incité à quitter Midyan et à venir chez Moché ? Le partage de la mer et la guerre contre ‘Amaleq, explique Rachi.
La division de la mer a été certainement le miracle le plus extraordinaire de toute l’histoire de l’humanité, fait observer Rav Eliyahou Lopian. Selon l’enseignement de nos Sages (Mekhilta sur 15, 2), ce qu’a vu alors une simple servante a surpassé même les visions du prophète Ye‘hezqel ! Il est donc fort compréhensible qu’un individu ayant entendu parler de ce prodige se soit précipité pour rejoindre les Hébreux. Mais en quoi la guerre contre ‘Amaleq a-t-elle pu constituer elle aussi une incitation à se rallier à eux ? D’autant que ce n’est visiblement pas la nature miraculeuse du triomphe qui a inspiré Yithro. Rachi affirme en effet explicitement que c’était « la guerre contre ‘Amaleq » qui l’a motivé, et non « la victoire sur ‘Amaleq ». Comment comprendre cela ?
La réponse nous est fournie par l’histoire récente. On a assisté après la Choa à un phénomène étrange : Beaucoup d’athées endurcis et cyniques se sont soudain découvert une foi en Hachem qu’ils n’avaient jamais possédée jusque-là. Le peuple allemand, dont on vantait la culture, s’est révélé comme plus barbare et plus sadique que les bêtes les plus sauvages. Cela n’a pu se produire que parce qu’il n’y avait aucune crainte du Ciel. Dépourvue de foi en Dieu, la société ne s’est pas montrée supérieure à une jungle, milieu totalement inhumain. La Choa, en révélant ainsi la bestialité sous-jacente de l’humanité, a ramené les gens à une foi renouvelée en Hachem.
Cela correspond à ce qu’a voulu dire Rachi : La réflexion de Yithro l’a mené à la conclusion que, tout comme il avait entendu parler du partage de la mer, le monde entier en avait eu vent (voir Yehochou‘a 2, 10). ‘Amaleq en avait donc également été informé. Et il a pourtant aussitôt attaqué les enfants d’Israël. Comment peut-on adopter une attitude si aberrante ? Celle-ci prouve à l’évidence, raisonna Yithro, que ‘Amaleq ne possédait aucune foi en Hachem. D’où il ne suffit pas, conclut-il, d’entendre parler de miracles à distance. Les effets produits par de telles informations sont, au mieux transitoires, et au pire inexistants. Voilà pourquoi il lui fallait se joindre aux enfants d’Israël, et ainsi développer et renforcer sa foi en Hachem sur une base solide et permanente.

Le Talmud (Zeva‘him 116a) cite une opinion selon laquelle Yithro est venu parce qu’il avait entendu parler du don de la Tora. Pourquoi a-t-il attendu jusque-là ? s’interroge Rav Moché Feinstein. Que dire des innombrables miracles qui en ont précédé la promulgation, comme les plaies d’Egypte, le partage de la mer, et ainsi de suite ? Avant le don de la Tora, répond ce Maître, Yithro continuait de croire que les miracles résultaient d’actes de sorcellerie, de pures coïncidences, etc. En effet, les incroyants trouvent toujours des explications aux accomplissements de Hachem ! Mais après avoir entendu parler de la Tora, il a compris avec une sagesse rétrospective que tous les miracles précédents, loin de découler d’interactions magiques ou astrales, étaient les manifestations de la Toute-puissance du Créateur, qui modifiait les lois de la nature à l’avantage des enfants d’Israël. Lorsque Yithro est venu, sa démarche procédait donc effectivement de tous les miracles qui avaient eu lieu. (extrait du livre Talelei Oroth)



Concernant les cours de guemara de la massehet Baba Batrah , nous sommes arrivés à la page 7 A . Pour écouter les chiourim et voir la page originale du Talmud , veuillez cliquer sur http://www.chiourim.com/affichage.asp?cours=Baba%20Batrah

Un nouveau cours audio a été mis en ligne sur les Hilhoth Chabath (Lois de trier à Chabath : cours no 3) Pour écouter le cours , veuillez cliquer sur http://www.chiourim.com/halakha.asp


Chabath Chalom et Kol touv
Rav Dov Lumbroso-Roth


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www.chiourim.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le jeudi 12 février 2004 - 17h18:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 12 février 2004 - 16h25:

Bonne fete de Ythro a tous les ptits tunes et tunettes ... Que D vous protege !!! amin !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 12 février 2004 - 11h10:

Hommage posthume au Rabbin INOUN HOURY.

I noun Houry fut un homme juste, modeste et plein de sagesse

N ourrissant un savoir instructif exemplaire et une érudition sans cesse

O ouvrant à ses semblables le portail des torrents de son savoir avec largesse

U ne vie paisible et simple il vécut, refusant présents et dons avec délicatesse

N e cherchant ni la célébrité ni les honneurs, il fuyait sa notoriété avec souplesse


H assid et Tsadik nisstar disent de lui ses disciples avec tendresses

O ptant toujours pour les dialogues pacifiques et débonnaires dénués de toute agresse

U ne existence dissimulée il vécut, ignorant un monde cupide et avide de petitesse

R épandant autour de lui grâces et bénédictions en ignorant sa maladie et sa vieillesse

Y e Rebbi, tu laisses un grand vide autour de toi, nous n’oublierons jamais ta noblesse.


Victor Cohen

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pinacolada (Pinacolada) le jeudi 12 février 2004 - 09h04:

Ambiance d’une ville : Quand Tunis délire de joie

(Un de nos envoyés spéciaux à Tunis) - Tout un peuple avait le visage tourné vers Radès, priant, invoquant tous ses dieux, pour passer le redoutable ogre nigérian. Quant au terme d’un match âprement disputé, la victoire choisit le camp des Aigles de Carthage, ce fut la joie, le délire à Tunis.

D’habitude si calme et flemmarde, Tunis est sortie de sa torpeur habituelle, de ce semblant d’insouciance qui caractérisait tant la ville. Sans pudeur, ni retenue, la capitale a laissé éclater sa joie. La spontanéité de la liesse populaire, son grand élan enthousiaste laisse penser que Tunis l’indolente, Tunis la carthaginoise, Tunis la ville entre deux âges, Tunis pont entre l'Afrique et l'Europe et entre l'Orient et l'Occident, Tunis la cité des beys ne s’était payé, depuis des lustres, une telle cure de jouissance. On ne le dira jamais assez et au risque d’usiter une formule ressassée à l’envi : Seule la victoire est belle.

Oui, qu’elle est belle ! s’exclame-t-on à la vue de ce peuple béat dans sa joie, uni dans son plaisir, dansant, chantant à l’ivresse, en chœur et du fond cœur le bel hymne à la gloire de la nation. Déjà, dès les premières aurores, une certaine agitation immodérée s’était emparée de Tunis. Le drapeau rouge floqué de la lune et de l’étoile en blanc flottait au vent, à chaque coin de rue, on avait ressorti le fameux morceau d’étoffe si chère aux Tunisiens. En atteste, cette image ramassée fugacement, comme ça au bon goût du hasard, sur le chemin de Radés, l’antre des Aigles de Carthage, plus d’une heure avant la confrontation. Sur cette grande autoroute déjà diablement sollicitée par le flux dans tous les sens sur Radès, un de ses automobilistes, roulant à vive allure, voit, sous l’effet du vent, l’un des nombreux drapeaux décorant sa voiture s’envoler. Tranquillement, le monsieur à la trentaine largement entamée s’arrête et dans une insolite posture, s’en va courir derrière le précieux morceau d’étoffe, pour le ramasser bravant au péril de sa vie, la circulation en ces lieux avec une vitesse qui atteint facilement les 100Km/h. Et l’on ne peut s’empêcher de s’écrier au fond de soi : elle a du cœur cette Tunisie !

Plus tard, quand les partenaires de Khaled Badra finiront d’arracher leur qualification, au terme d’une épique bataille sur la pelouse de Radés, un confrère, comme inspiré par l’anecdote, cria : «C’est la victoire du cœur.» Tant il est vrai que la Tunisie a durement acquis ce billet pour la finale. C’est pourquoi, à la fin de la partie, elle s’est laissé aller à la fête. Follement. Radès dans un état de délire indescriptible. Le peuple dans la rue. Ces escouades de supporters parés aux couleurs nationales qui défilent tout chantonnant. Des fumigènes sortent de partout. Ce concert de klaxons sans fin. Pour une première à domicile, Tunis est si agité. Il est vraiment à la fête. Rien qu’à la fête !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 12 février 2004 - 08h13:

Info Boukha bar ... Achetez bleu et blanc pour dire je t aime !!!http://harissa.com/boukhabar/read.php?f=15&i=956&t=956

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 12 février 2004 - 05h25:

Dieudonné M'bala M'bala, véritable Le Pen noir, multiplie les dérapages antisémites, ne prenant plus la peine de se masquer derrière son antisionisme.

Après son sketch honteux du Rabbin nazi, celui qui affirme que « les juifs n'existent pas » et qui se vante de se « torcher le cul avec le drapeau d'Israël » déclare :



« Ce sont tous des négriers reconvertis dans la banque, le spectacle et aujourd'hui l'action terroriste qui manifestent leur soutien à la politique d'Ariel Sharon. Ceux qui m'attaquent ont fondé des empires et des fortunes sur la traite des Noirs et l'esclavage... Mais c'est Israël qui a financé l'apartheid et ses projets de solution finale. »


(Journal du Dimanche, le 8/2/2004)



De quoi est-il encore capable ?



Après les annulations de Deauville, Le Mans, Tours, Nantes, Angers, Melun, Chalon sur Saône, Valence, Roanne, Voiron, Aix Les Bains, et après les récents incidents de Lyon, nous faisons tout pour qu'à Paris, l'Olympia soit annulé.



Aidez nous dans notre action, téléphonez massivement et inondez de fax,



Téléphone :
Olympia : 01 55 27 10 00
Préfecture de Police de Paris : 01 53 71 53 71
Mairie de Paris : 01 42 76 40 40

Fax :
Olympia : 01 55 27 10 10
Préfecture de Police de Paris : 01 53 71 57 03
Mairie de Paris : 01 42 76 53 85

Un seul message : Dieudonné est raciste et antisémite, il ne doit plus pouvoir déverser sa haine.

Si le spectacle n'est pas annulé, nous serons tous présents devant l'Olympia le 20 février. L'heure exacte du rassemblement vous sera communiquée ultérieurement.


MESSAGE A DIFFUSER !!!



Collectif Citoyen Antiraciste
Pour tout contact : alexmoise_CCA@hotmail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lucia (Lucia) le jeudi 12 février 2004 - 01h43:

Encore une tres belle photo en rouge, sur Accueil, pour la St
Valentin? nous avons de vrais artistes parmi nous. Si je ne
recois pas de roses rouges cette annee, je me contente de
ces poivrons. Lucia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le mercredi 11 février 2004 - 22h16:

11/02/2004-- La demi-finale de la Coupe d'Afrique des Nations de Football Tunisie-Nigeria a joué avec les nerfs des Tunisiens jusqu'à la fin des fins, c'est-à-dire la dure épreuve des penalties après une prolongation de 30 minutes des plus angoissantes.

Et lorsque le dernier tireur tunisien a marqué le penalty de la qualification, une immense clameur de joie a secoué le centre de la capitale où des milliers de supporters de l'équipe nationale, la main sur le coeur, suivaient le match sur un écran géant installé en la circonstance.

Ils étaient fous de joie les Tunisiens et tellement fiers de cette performance sportive. Hommes, femmes et surtout des jeunes en grand nombre, se sont constitués en immenses foules pour investir rues et artères de la capitale et du district de Tunis. Ils étaient venus manifester leur bonheur de voir leur équipe battre, un à un, les grands du Football africain : le Sénégal, finaliste de la dernière édition, en quart de finale, puis le Nigeria, vainqueur de la Coupe en 1994, en demi-finale.

Brandissant drapeaux aux couleurs nationales et banderoles à la gloire de la Tunisie et de ses héros sportifs, d'énormes foules ont envahi les principales avenues et places publiques à Tunis et partout ailleurs, à Sousse, à Biizerte, à Béja, à Sfax, au Kef et dans toutes les régions du pays.

Au son des klaxons stridents de voitures a n'en pas finir, des tambourins et des youyous de femmes tout autant heureuses de cette qualification historique, les supporters du onze national s'en sont donné à coeur joie. Ils scandaient des vivats à la gloire de la Tunisie et de sa jeunesse, laquelle montre de jour en jour son aptitude à réaliser tous les exploits et à accéder à l'excellence non seulement en sport mais dans tous les autres domaines.

''C'est un jour de gloire et de bonheur pour les amoureux de Football, mais aussi pour tous les Tunisiens'', a clamé un jeune qui arborait fièrement un drapeau aux couleurs nationales flottant au vent.

D'autres jeunes, sautant et dansant frénétiquement, magnifiaient avec encore plus de fougue le succès du Football tunisien avec des slogans fort optimistes : ''La Tunisie à 90 minutes
du bonheur'', ''La coupe sera à nous'', ''La Tunisie 2010'' (en référence à la candidature de la Tunisie pour organiser la Coupe du Monde à cette date)...

Partout dans le pays, les Tunisiens n'en finissaient pas de manifester leur joie en espérant que la finale se terminera elle aussi par une grande fête similaire.




E-mail : info@Tunisie.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le mercredi 11 février 2004 - 22h13:

La Tunisie en finale


11/02/2004-- La Tunisie s'est qualifiée pour la finale de la Coupe d'Afrique des Nations de Football en battant le Nigeria aux tirs au but 5 à 3 en demi-finale disputée mercredi au stade 7 novembre de Radès.

Au terme du temps réglementaire et des prolongations les deux équipes étaient à égalité (1 à 1).

Okocha a donné l'avantage au Nigeria sur penalty à la 67 et Khaled Badra a égalisé pour la Tunisie sur penalty également à la 82.

C'est la troisième finale pour la Tunisie après les deux premières disputées en 1965 et 1996.

Le onze national rencontrera en finale, samedi à Radès, le vainqueur de la seconde demi-finale Maroc/Mali qui a lieu ce soir à Ssousse.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 11 février 2004 - 23h06:

Plus de 30 000 personnes étaient à l’enterrement de Rabbin INOUN HOURY. ZAL.

L’enterrement a duré à Bnei Brak de 10 heures à 17 heures.

Les plus hautes instances rabbiniques Séfarades et Ashkénazes d’Israël ont participé à l’enterrement.

Plusieurs ministres Israéliens ont pu rendre hommage lors de la cérémonie à cet homme d’une modestie exemplaire et d’un savoir kabbalistique hors du commun.

Le grand Rabbin d’Israël a souligné que sa disparition était une grande perte pour le peuple d’Israël.

Les grands Rachei Yeshivot Ashkénazes ont dit que c’était un génie de la halakha et du savoir caché de la Thora.

Il avait toujours vécu dans la discrétion la plus totale, il était d’une simplicité naturelle, il vivait dans la décence la plus modeste.

Je rends hommage au nom du site Harissa au rabbin INOUN HOURY ZAL qui fut l’archétype et l'exemple même de nos rabbins de Tunisie.

Par modestie pour sa personne je ne demande pas de le mettre dans la liste des Tunes célèbres, à moins que notre Web master n’en décide autrement.

Victor Cohen.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 11 février 2004 - 21h41:

Mazerolle out
Pujadas out

kmara Enderlin

amine aminètte

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 11 février 2004 - 21h01:

Ca chauffe a France 2: le Presentateur David Pujadas suspendu 15 jours, Olivier Mazerolle, DG de l'Information démissionne

Ce remue-menage est la conséquence de l'annonce le 3 février du retrait de la vie politique d'Alain Juppé, alors qu'au même moment celui-ci parlait sur TF1.

Bref Pujadas a balourdé son info trop vite. Il fallait d'abord laisser Juppé parler sur TF1 car sinon un scoop n'est plus un scoop.

Tout ca pr vous dire que nous sommes vengés car personne n'a oublie combien cette rédaction de journalistes malfaisants ont cassé Israel et toujours montré les palestiniens comme les uniques victimes malheureuses de la violence! Quand je disais que celui qui fait du mal a Israel un de ces 4 le paye, je ne croyais pas si bien dire...

Attendons le tour de AP et Reuters qui font ce matin du raid sur Gaza leur Une sur yahoo.fr. Personne ne parle du tremblement de terre, un grand evenement pour un petit pays. Y a pas de sang juif a se delecter donc motus.
On en parlera seulement si il fait des victimes palestiniennes bien sur... Attendons donc et voyons!