Archive jusqu'au 05/juillet/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juillet 2006: Archive jusqu'au 05/juillet/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 05 juillet 2006 - 05h50:

Deuxième édition du salon international de la Franchise en Octobre à Tel-Aviv IsraelValley, 26 juin

L’initiateur et principal sponsor est un expert-comptable français, Albert Benamran. Il est le Président du groupe Gift qui comprend une quinzaine d’entreprises, la plupart centrées autour de la formation professionnelle dans des domaines très divers comme des écoles d’esthétique, d’optique, d’informatique, d’aéronautique, des écoles de marketing olfactif, de vétérinaire.Il y a un peu plus d’un an, lui qui connaît bien Israël, remarque que la quasi-totalité des pays alentour comme l’Egypte, la Turquie ou Dubaï ont créé leur grand rendez-vous du commerce. Or Israël manque à l’appel.

L’attractivité du pays n’est pourtant pas à démontrer pour les opérateurs : l’économie se redresse, le consommateur est porté sur les marques, le revenu moyen annuel par tête s’élève à 17 200 $ pour 1200 $ en moyenne pour ses voisins arabes et le pays compte 192 centres commerciaux. Le flux important de touristes étrangers entraîne aussi une recherche permanente d’enseignes familières internationales et les enseignes tricolores sont encore rares en Israël.

En 2005, il décide donc de lancer le premier Salon de la Franchise : c’est un succès avec plus de 3000 visiteurs pour 64 exposants. Pour une meilleure transparence entre franchiseurs et franchisés, Israël se dote d’un code de déontologie, le code ETI.

Les 24 et 25 octobre 2006, Albert Benamran renouvelle l’opération au Parc des Expositions de Tel-Aviv. La Fédération française de la franchise est son partenaire et Ubifrance, l’agence pour le développement international des entreprises, accorde son label, en allouant une subvention à chaque exposant français.

Les entrepreneurs français pourront donc en Octobre prochain explorer à nouveau les opportunités d’affaires avec leurs homologues israéliens et la manifestation ne manquera pas d’intéresser également tous les franchiseurs israéliens en recherche de partenariat pour leur développement à l’international.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 05 juillet 2006 - 05h41:

Economie

Croissance du chiffre d’affaire du commerce et des services. IsraelValley, 22 juin

Depuis les deux années « noires » de 2002 et 2003, le commerce et les services israéliens ont repris de la vigueur. D’après les dernières données publiées par le Central Bureau of Statistics, ils continuent de croître aujourd’hui plus vite que la production industrielle.

En effet, depuis 2003, le chiffre d’affaire du commerce et des services en Israël croît de près de 7,5 à 8 pour cent par an. La croissance s’établit en 2004 à 8 pour cent et en 2005 à 7,5 pour cent. La tendance ne faiblit pas en 2006 puisque sur les quatre premiers mois de l’année, la croissance est de 8,9 pour cent.

A titre de rappel, au premier trimestre, le chiffre d’affaires hôtelier en Israël s’est inscrit en forte hausse, de 24 pour cent par rapport au premier trimestre 2005.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 05 juillet 2006 - 05h29:

Bulle d'air high-tech de Matam ( Haifa - Israel)

Au pied du mont Carmel, Matam abrite les labos des cadors mondiaux de l'informatique. Ce filon de matière grise, qui attire une ruée d'investisseurs occidentaux, place Israël en troisième position derrière les Etats-Unis et le Canada, pour ses cotations au Nasdaq.

Joyau de l'économie israélienne, Matam, centre des industries scientifiques, s'est ciselé un écrin à la mesure de son succès.
Au pied du mont Carmel, en bordure de Méditerranée, un incroyable «parc de haute technologie» s'élève désormais sur une ancienne friche de 20 hectares en lieu et place de vieux hangars portuaires. Coulés dans la verdure, temples modernes entièrement dédiés à la recherche de pointe, deux dizaines d'immeubles en béton brut et verre fumé abritent les laboratoires de tous les principaux acteurs du secteur informatique mondial. Les géants du marché international, Intel, Microsoft, Philips, Motorola ou Hewlett Packard, côtoient ici les jeunes entreprises les plus dynamiques du pays, Elbit Systems, ChipX, Zoran, Zim Ofer. Dans cette pépinière à idées neuves, pas moins de 6 000 chercheurs, des ingénieurs, des techniciens, pionniers dans leur domaine, travaillent à développer aujourd'hui la trouvaille géniale qui fera l'ordinaire de demain. Et ce filon de matière grise attire en Israël une ruée d'investisseurs, spécialistes en capital-risque, en quête de la prochaine pépite électronique. Une source de revenus inestimable pour un pays lourdement handicapé par le coût d'un interminable conflit.

Petits génies embauchés à bon prix

Dans le cocon du Matam de Haïfa, les échos des accrochages dans les Territoires palestiniens occupés arrivent tout aussi étouffés que sur les postes de télévision californiens de la Silicon Valley. A l'image de son modèle américain, le monde du high-tech israélien vit dans une bulle confortable où les soucis du quotidien sont réduits à leur plus simple expression. L'attention des employeurs semble sans limites pour que leurs petits génies, embauchés à bon prix, puissent se concentrer sur l'accomplissement de leurs rêves numériques. Aucun détail n'a été laissé au hasard. Chacun dispose d'une place de stationnement nominative. Le Matam réserve à l'usage de ses hôtes une station-service et un garage, une clinique, une banque, un bureau de poste et une agence de voyages. Cerise sur le gâteau, une crèche de onze classes peut accueillir jusqu'à 350 chérubins âgés de 3 mois à 6 ans. Bezeq, la compagnie israélienne de téléphone cellulaire, gère un central de communication à très haut débit quand la municipalité affecte, en permanence, deux transformateurs électriques aux seuls besoins en énergie du parc.

Les rares pauses que s'accordent les informaticiens se prennent sur le pouce au Machinetta Coffee Shop. Ce bar aux allures de cafétéria est situé dans le hall de la Matam Towers 1, un immeuble de bureaux aux grands espaces traversés de passerelles reliées entre elles par des ascenseurs intérieurs en acier gris. Les murs s'élèvent en abruptes parois chaulées d'ocre rouge. Dans cette ambiance, un poil Star Trek, des haut-parleurs, que dissimulent des palmiers cultivés en bacs, diffusent des chansons de Brassens et d'Edith Piaf. Aux tables alentour, personne ne s'en étonne. L'anglais domine dans des conversations mâtinées de tous les accents concevables, hébreu, américain, russe ou français. Les tenues sont décontractées, mais chacun porte, passé autour du cou, un badge plastifié indispensable pour circuler entre les divers contrôles de sécurité. Bienvenue sur la planète high-tech, berceau de la mondialisation, laboratoire de notre futur, où l'expresso se boit avec sucrettes, coupé de lait crémeux.

«Monde à part»

«A Matam, tu te sens quelqu'un de spécial vivant dans un monde à part, admet bien volontiers Avi Ohana, embauché par Intel sur un salon d'informatique à Paris dès la fin de ses études. Tu trouves ici toutes les nationalités possibles, des Indiens, des Argentins. Pour communiquer, on utilise comme des fous Babylon, un logiciel de traduction simultanée inventé en Israël. Les boîtes multinationales sont totalement ouvertes. A Intel, on travaille même avec des Arabes. Les sociétés israéliennes en revanche leur refusent tout accès. Elles ont toujours un lien avec la Défense. A table, lors des gros événements, on parle de politique, ce qui serait impensable dans les laboratoires aux Etats-Unis. Ça ne pose aucun problème, le milieu du high-tech israélien tend plutôt vers le centre, c'est une sorte de miroir de la société israélienne mais sans ses extrêmes et beaucoup plus libéral d'un point de vue économique. Dans l'ensemble, on discute bien plus de nos salaires ou de football que de politique.»

Avi connaît son affaire. Ce spécialiste en architecture des microprocesseurs a atterri à Haïfa il y a douze ans. Le numéro 1 mondial de la puce informatique avait des besoins énormes. 2000 employés travaillent à Haïfa dans son centre de développement spécialisé dans les unités centrales pour ordinateurs. «Le processeur Centrino a été développé ici, souligne Avi, et nous mettons la touche finale au projet qui va remplacer le Pentium», le processeur qui équipe la très grande majorité des ordinateurs dans le monde. D'ici quelques mois, l'essentiel de la production d'Intel sortira de ses chaînes israéliennes. L'entreprise américaine possède déjà deux usines dans le pays. Celle de Kiryat Gat fabrique des cartes de mémoire flash. Une nouvelle ligne est en cours d'achèvement; elle traitera les applications issues de la nanotechnologie et produira de minuscules transistors bien plus fins qu'une feuille de papier à cigarette.

Prévue pour ouvrir au second semestre 2008, cette usine emploiera 2 000 techniciens à la fabrication de plaques de silicium. Intel aura alors déboursé la somme astronomique de 3,5 milliards de dollars, faisant du projet Fab-28 le plus important investissement industriel de l'histoire de l'Etat hébreu. Lors de la signature, en décembre dernier, le gouvernement israélien a annoncé l'octroi de 525 millions de dollars en crédits pour financer l'achat du terrain et une aide de 600 millions de dollars pour la modernisation de l'usine existante. Un effort considérable pour le budget du pays. «Nous avons eu un débat très intense sur la question de savoir si nous devions apporter à Intel l'aide nécessaire à son investissement», reconnaît Ehud Olmert, qui assure l'intérim du Premier ministre Ariel Sharon, mais qui a soutenu à bout de bras ce projet au cours des deux dernières années à la tête du ministère de l'Industrie puis de celui des Finances.

«Le fait que l'on puisse, aujourd'hui, investir 5 milliards de dollars en Israël, c'est aussi affirmer que le Hamas ne nous fait pas peur, que le terrorisme ne nous effraie pas et que l'on a confiance dans l'Etat d'Israël, son gouvernement, son peuple et sa stabilité économique, souligne-t-il. Intel a été la première compagnie à y investir, il y a plus de trente ans, ouvrant la voie à IBM, Motorola ainsi qu'à d'autres entreprises venues du monde entier. Et aucune d'elle n'a jamais eu à le regretter.» L'économie locale n'a pas eu plus à s'en plaindre. Ses partenaires internationaux se sont révélés d'une grande fidélité lors de la récession qui a frappé le pays de 2000 à 2003, conjugaison d'une reprise de l'Intifada palestinienne et de l'éclatement de la bulle spéculative dans les start-up du high-tech. La croissance est repartie depuis 2004, avec un taux supérieur à 4 %. Et la reprise s'est confirmée avec une croissance de 5,2 % en 2005, selon le Bureau central des statistiques.

Plus de 100 sociétés israéliennes sont cotées au Nasdaq, ce qui place Israël en troisième position derrière les Etats-Unis et le Canada. Les investissements étrangers se sont élevés à 9,7 milliards de dollars l'an dernier, en hausse de 67 %. Cet afflux a dopé la Bourse dont les principaux indices ont progressé de quelque 30 % en 2005. Et Israël talonne désormais les Etats-Unis pour l'importance du capital-risque.

Cet exceptionnel dynamisme de la haute technologie israélienne creuse aussi sûrement le fossé avec une société palestinienne rendue exsangue par l'Intifada que le mur de sécurité érigé autour des territoires occupés. D'autant que le conflit ne semble pas totalement étranger à ce nouvel élan économique. La perméabilité entre recherche militaire et applications civiles compte au nombre des raisons qui contribuent au succès du high-tech israélien. Ainsi les cartes de mémoire flash produites à Kiryat Gat sont une invention conçue au départ par l'armée de l'air pour équiper ses avions de chasse avec une base de données mécanique et compacte qui résiste aux conditions extrêmes du pilotage de combat. «Une solution technique développée pour les militaires finit toujours par trouver un débouché dans le civil», souligne Amit Mendelsohn, concepteur de logiciels passé lui-même de l'armée au civil, et rédacteur de Chief, une newsletter en hébreu.

Expérience acquise à l'armée

«Prenons l'exemple de la sécurité des données et de leur transmission. C'est un secteur dans lequel les Israéliens sont leaders à travers une entreprise comme Check Point, explique Amit Mendelsohn. L'un de ses trois fondateurs, Gil Shwed, a conçu le premier pare-feu en 1993. Il a entamé des études à l'université de Jérusalem, mais a acquis toute son expérience au cours de ses trois années passées sous les drapeaux. Chaque année, des dizaines de jeunes arrivent sur le marché de la recherche, munis de leur diplôme militaire et d'une solide expérience dans les domaines de pointe.»

«J'ai commencé l'informatique lorsque j'avais 15 ans, car mon lycée avait signé une convention avec l'université de Tel-Aviv, raconte un spécialiste des logiciels de télésurveillance sans fil. A 18 ans, j'ai rejoint une unité des renseignements militaires chargée de la récolte des données électroniques. C'est là que j'ai acquis mon expérience de recherche. En fait, quand un problème pratique se pose, nous apprenons à chercher des solutions qui ne soient pas conventionnelles ou auxquelles l'adversaire ne va pas penser. Les chefs vont alors mettre en place de petites équipes pluridisciplinaires en fonction des besoins. Ils peuvent également mettre plusieurs équipes en concurrence. Ce type de fonctionnement très souple, autour de la recherche d'une idée et de son application, est en fait très proche du mode de fonctionnement d'une start-up.»

L'arrivée massive d'immigrants quittant l'ancienne Union soviétique, à partir de 1990, a considérablement renforcé le potentiel de recherche d'Israël. «Les Russes devaient faire face au même problème que les Israéliens, souligne Avi Ohana, dû à leur manque chronique de moyens, il leur fallait se démener pour trouver des solutions technologiques originales et peu coûteuses. Elle est là notre force. En Israël, on a la "hutzpa", le toupet qui manque aux Américains. Les jeunes ici veulent réussir. Et les Israéliens veulent toujours faire mieux que les Américains. La high-tech, ici, c'est une sorte de fierté nationale.»

Par Didier FRANCOIS - Liberation

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 05 juillet 2006 - 04h53:

YONI LE MAGNIFIQUE

«Ni par la guerre, ni par la force, mais par mon esprit et ma volonté» Isaïe 45.3
par Emmanuelle ADDA

Yoni est "mentaliste". Une profession très rare dans le monde, une poignée tout au plus, tous Juifs, sept d'entre eux sont en Israël. Ces jeunes artistes sont capables, par la force de leur mental, de transformer la matière. Yoni Garcin est le plus jeune d'entre eux, il a vingt et un an.


Ce ne sont pas des vieux trucs de magiciens qui cachent des cartes dans leurs manches, encore moins des personnes possédant des forces surnaturelles. Comme le dit Yoni: ''L'homme est simple, tout est simple dans la vie, il faut juste accepter de voir le monde avec d'autres yeux et cela s'apprend''. Il faut d'ailleurs le voir pour le croire.*

Stupéfaction, incrédulité, étonnement; admiration, c'est tout simplement extraordinaire!

J'ai rencontré Yoni il y quelques semaines. Il sortait pour quelques jours de l'armée. Apres avoir écouté son histoire, il m'a prouvé en quelques minutes combien le pouvoir psychique était sans limite.

L'histoire de Yoni
Tout a commencé au moment de la guerre du Golfe. Yoni tout jeune, vivait avec ses parents à Raanana. Les scuds irakiens pleuvaient sur la côte israélienne.
Yoni refusait catégoriquement de mettre son masque à gaz; il était terrorisé, et le soir, dans son lit, essayait au travers de ses rêves de s'échapper au loin. Dans l'un d'eux, il voit des objets se déplacer, des gens voler dans l'espace. Au réveil, il est comme apaisé. Ce matin-là, ses parents l'emmènent, comme les autres enfants de la région, voir un spectacle de magie organisé par la mairie pour détendre la population. Yoni découvre, stupéfait, les scènes qu'il venait de rêver; des objets qui se déplacent dans les airs, qui apparaissent et disparaissent; il découvre alors le monde de la magie. Cela devient chez lui une passion; tours de cartes et lâchés de colombes deviennent ses principales activités. Tous ses amis l'invitent pour animer anniversaires et soirées. L'école devient alors secondaire et ses parents, affolés, le voient évoluer dans un monde parallèle rempli de tours et d'illusions.


A l'âge de 15 ans, il participe à un concours. Yoni gagne le premier prix et est remarqué pour son charisme par un homme au nom prestigieux: Yossi Alon (le premier mentaliste en Israël). Depuis ce jour, fini la magie; Yossi Alon va lui apprendre à passer dans le monde des ''mentalistes''. C'est une rencontre révélatrice. Pendant six ans, il va le former, nuit et jour, sans relâche. Grâce à quelques techniques de concentration et d'apprentissage, Yossi Alon va l'aider à passer son bac avec succès, histoire de rassurer ses parents. Jusqu'au dernier jour de sa vie, il y a quelques mois seulement, il sera le maître de Yoni Garcin.

Yoni décide alors de monter un spectacle qui met en scène des expériences impressionnantes. Son travail consiste en un savant mélange de différentes techniques: intuition, hypnose, autosuggestion, langage du corps, bio-énergie et programmation neuro-linguistique. Par la force de sa pensée, sans l'avoir vu préalablement, il décrit un dessin que vous avez fait, devine quel objet vous avez caché dans une boîte ou dévoile vos pensées.

Il m'a demandé, par exemple, de penser à un chiffre de 1 à 100. Ce chiffre, il l'avait déjà inscrit sur une feuille avant même d'arriver chez moi. J'ai vu de mes yeux les cuillères se tordrent et se redresser dans ma main sans même qu'il ne les touche. Il a deviné des mots que je choisissais au hasard dans un livre. Il a mis une cigarette allumée dans ma bouche et celle-ci en est tombée; devenue, soudainement, trop lourde, je ne pouvais plus la soutenir. Enfin, il m'a demandé de faire un exercice avec lui; en serrant fortement une pièce d'un demi shekel dans ma main et en m'expliquant comment utiliser les énergies de mon bras, j'ai réussi, grâce à lui bien sûr, en quelques minutes, à tordre la pièce en deux. Mais oui, vous lisez bien! En ouvrant ma main, j'ai poussé un cri de stupéfaction, tant la réalité dépassait mon imagination. J'ai gardé la pièce en souvenir et depuis, je la montre fièrement à tout le monde. Mais je ne vous en dis pas plus, il vous faudra voir ça de vos propres yeux...*

Alors comment expliquer toute ses interventions sur la matière et sur l'esprit ?
Yoni le dit avec des mots très simples; «Nous avons tous en nous un potentiel psychique que nous n'utilisons pas ou très peu». En homme croyant, il définit le lien très fort qui existe entre le travail mental et la emouna, le lien avec le Créateur. Il y a dans le monde une organisation, un ordre voulu, très précis. Les coïncidences n'existent pas et l'humanité forme une grande chaîne qui nous lie tous, les uns aux autres. Israël possède une énergie très puissante qui lui est intrinsèque. Il nous faut apprendre à recevoir cette énergie et à l'utiliser. Lorsqu'on apprend à développer ces forces que nous possédons, le cerveau fait travailler de nouvelles connections, apparaîssent alors de nouvelles capacités. Le principe est simple, il faut faire confiance à son intuition, à son idée première; apprendre à observer tous les détails de la vie; écouter les gens, non seulement au niveau de la parole mais aussi au niveau du langage du corps, et surtout, avoir une éthique qui nous empêche de dépasser des limites dangereuses. Le but de Yoni est d'émerveiller les gens; de les secouer en les sortant de la routine quotidienne, en les étonnant sur leurs propres capacités.
Le travail mental et énergétique peut, non seulement transformer la matière, mais il peut changer aussi le cours de notre vie en renforçant nos pensées positives, notre être, notre identité, pour avancer avec confiance sur le chemin de la vie.

par Emmanuelle ADDA pour Vision d'Israel

*Prochainement en représentation à Netanya et à Jérusalem

Vision d'Israel

et

www.terredisrael.com

sont les parrains de Yoni


Terredisrael.com et Vision D'Israël
présentent

YONI GARCIN, le mentaliste
L'homme qui défie la nature, transforme la matière, contrôle votre pensée

Un spectacle-rencontre époustouflant, à ne rater sous aucun prétexte !
2 représentations Jeudi 6 Juillet à 17h et à 21h, PAF : 25 sh
les places sont limitées reservez les : Jeanne 0523459386 ou par email
5 Rehov Jabotinsky - Netanya

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 05 juillet 2006 - 04h38:

Bertrand DELANOE, Maire de Paris

Pierre AIDENBAUM, Maire du 3ème arrondissement

Rafael BARAK Chargé d'affaires intérimaire à l’ Ambassade d’ Israël en France

Vous prient d'assister à l'inauguration de la place THEODORE HERZL


c:/


le mercredi 5 juillet 2006 Ã 18h

a l'angle de la rue de Turbigo et la rue Réaumur

à Paris 75003


venez nombreux

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 05 juillet 2006 - 02h44:

Madame, Monsieur,

Nous sommes heureux de vous annoncer le nouveau spectacle de Patrick Massiah.
Après le succès de sa précédente pièce "MONSIEUR BUTTERFLY" adaptée du roman d'Howard Buten, Patrick Massiah revient sur scène avec sa nouvelle création

"Maman revient pauvre orphelin" de Jean-Claude Grumberg.

Avec tendresse et humour, il aborde les thèmes forts de la famille, de la force de vivre, de l’enfance qui ne nous quitte pas, et en filigrane et tout en pudeur, la Shoah pour ne pas oublier et continuer à faire vivre les nôtres.

Jean-Claude Grumberg signe ici l’un de ses textes les plus émouvants où un homme, le temps d’une anesthésie, retrouve ses cauchemars, ses rêves avec sa mère avec laquelle il aimerait passer un dimanche heureux. Mais son sommeil croise aussi un dieu qui peut peu, un père qu'il n'a jamais connu et qui lui demande la vérité sur le monde...

"Maman revient pauvre orphelin" sera jouée :
du 6 au 29 juillet à 20h30 au Théâtre Côté Cour
12, rue Edouard Lockroy - 75011 Paris –
Réservations : tél : 01.47.00.43.55- Tarifs : 17€-12€
Relâche le dimanche

J’espère que nous aurons le plaisir de vous rencontrer à l’une de ces représentations et reste à votre disposition pour toute question.


Lucile Bloch
Chargée de Communication de la Cie Le Tapis Volant

Mail : lubloch@yahoo.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 05 juillet 2006 - 01h21:

Le choix du sexe de l’enfant est désormais possible en Israël.

Source : Ambassade de France en Israël

"Le ministère israélien permettait déjà le choix de l’embryon pour des raisons médicales (en cas de maladie génétique). Désormais, il sera également possible de sélectionner l’embryon uniquement en fonction du sexe. La technique consiste à examiner des embryons obtenus par fécondation in vitro et à en implanter un dans l’utérus de la mère selon le sexe désiré pour l’enfant. Ces familles (couples ou mères célibataires) désirant choisir le sexe de leur enfant, devront répondre à des critères très stricts : avoir au moins quatre enfants uniquement de l’autre sexe.

Chaque cas sera examiné avec une extrême rigueur par un comité composé de six membres : un psychologue clinique, un expert en éthique médicale, un gynécologue, un juriste, un travailleur social et un dignitaire religieux de la religion des parents."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 05 juillet 2006 - 01h16:

Le mécanisme moléculaire d'un vaccin contre le diabète révélé par des chercheurs israéliens
Yael Ancri
mardi 4 juillet 2006 - 23:53

Un remarquable progrès dans le traitement du diabète de type 1 a été effectué en 2001. Des chercheurs israéliens ont découvert que le mécanisme immunitaire responsable de la destruction des cellules pancréatiques productrices d'insuline pouvait être enrayé par un vaccin appelé DiaPep277.................

Pour en savoir plus cliquer sur l'url suivant :

Le mécanisme moléculaire d'un vaccin contre le diabète révélé par des chercheurs israéliens

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le mardi 04 juillet 2006 - 22h58:

Ne trouvez-vous pas que ce Richard au coeur d'artichaut est un peu lourdingue ?
Je reconnais là l'esprit balourd de certains tunisiens... quelle tristesse ! Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le mardi 04 juillet 2006 - 21h06:

Israël rejette l'ultimatum.
Ehoud Olmert ne cèdera pas au chantage des
ravisseurs de Guilad SHAVIT.

Les organisations terroristes
palestiniennes détenant le jeune caporal
israélien ont lancé hier matin un dernier
ultimatum à Israël, déclarant que le
«dossier du kidnapping serait clos si l'ennemi
sioniste ne libérait pas des prisonniers
palestiniens avant 6 heures ce matin»,
signifiant ainsi que plus aucune information ne
serait fournie sur l'otage, passé ce
délai.  Le document reçu, portant l'emblème du
Hamas, exigeait la libération de toutes
les femmes et des détenus de moins de 18
ans uniquement en échange d'informations sur le
soldat. Mille prisonniers
supplémentaires, parmi lesquels des activistes de
groupes terroristes, devaient  être
relâchés pour permettre le retour de l'otage
en Israël. Cet ultimatum n'a pas semblé intimider
le premier ministre Ehoud OLMERT qui a
déclaré hier: «L'état d'Israël ne cèdera
pas au chantage du gouvernement du Hamas
dirigé par des organisations terroristes
meurtrières, et aucune libération de prisonniers
ne sera effectuée».  Par ailleurs, le
Chef d'Etat-major a averti les ravisseurs
que l'exécution de Guilad SHAVIT entraînerait
immédiatement une réplique extrêmement
sévère de Tsahal et des pertes considérables à
Gaza.

 Sécurité


Des diplomates israéliens menacés.
Le Shin-Beth craint pour la sécurité des
ambassades israéliennes.

Le ministère des Affaires Etrangères a
indiqué avoir reçu des menaces
d'enlèvement concernant des diplomates israéliens
opérant à l'étranger. Les pays concernés
sont principalement la Turquie et l'Egypte où des
manifestations pro-palestiniennes ont d'ailleurs
eu lieu la semaine dernière, lors
desquelles des manifestants ont brûlé le drapeau
israélien. Le Shin-Beth a immédiatement renforcé
la sécurité des ambassades, désormais
considérées comme cibles  numéro 1 des groupes
terroristes affiliés au Hamas.