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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juillet 2006: Archive jusqu'au 02/juillet/2006-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le dimanche 02 juillet 2006 - 01h09:

Allez les vieux!
Allez les vieux!
Allez les vieux!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 02 juillet 2006 - 00h09:

CHANSON.

Paris le 29/06/2006 13h 55.


Foot ….EZ.


Cartons jauUUnes.

CaAArtons rouUUUges
Hommes à terre
Ou aux vestiaiIIIIres../////

Crocs en jaAAAmbes
Croques-Monsieur….

TaAAAcles aux taloOOOns
Tac aux talons……
Coups de coin
Coups de poings../////§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Confis sont les mollets…

Coups francs
Jeux francs…
PenaltyYYYY
Qu’il dit…
Droit aux buUUUUts
Et c’est la joie dans les gradiIIIIns.


TouUUUcheS longues
Coups de têÊÊÊte
Passes d’or et tout droiIIIIt…
Feintes du corRRRps
Tout y passe chez ces pros du ballOOOOOOon.


Coups de ‘tchiqè’.
A la renverRRRse
Et le goal qui s’détend
Les regards qui s’bloOOOOquent
Et explosent de joie sur le buUUUt.

Joie dans la victoire d’un côtéEEE
Larmes chez les vaincUUUUs de l’autre
Qui ne déméritent jamais.
C’est la loi du sporRRRRt
Depuis l’antiquitEEEEEEEé.

COCORICOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO….


 COCORICO

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le dimanche 02 juillet 2006 - 00h18:

FRANCE-BRESIL 1-0

Victoire meritee de la France sur le Bresil. Zizou a ete a la hauteur de sa reputation a la tete d'un equipe de France qui a retrouve son dynamisme de 1998. "Les Vieux" sont toujours la. Encore deux matchs pour la Consecration. Cela devient possible.

ALLEZ LES BLEUS ! ALLEZ !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le samedi 01 juillet 2006 - 16h05:

Jasmin (reponse a Slim)

Le fleur blanche a 4 ou 5 petales (en etoile) n'appartient pas. malgre son parfum, a la famille des Jasmins.
Par contre contre ce nous appelons Fell (Foll ou Full) porte le nom de SAMBAC JASMINE ou ARABIAN JASMINE.
A Hawaii, on l'appelle PIKAKE.
En Asie elle est utilisee pour parfumer le The.

Pour plus d'informations,

http://www.desert-tropicals.com/Plants/Oleaceae/Jasminum_sambac.html

Ainsi que la photo de la plante d'ou j'ai cueilli les fleurs du dernier "Shabbat Shalom"


jasmin ou fell

Sans oublier le petit bouquet d'antan.

Aux amis

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le samedi 01 juillet 2006 - 04h24:

L’accident du Juif Eliahou Ashéri (info # 013006/6) [analyse]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency

Durant la seconde guerre mondiale, en France, sous l’occupation, dans de nombreux journaux de la collaboration, lorsqu’un Juif était renversé par une voiture à Lyon, on n’écrivait pas "M. Vidal ou M. Cypel ou M. Nahoum ou M. Enderlin ou M. Schattner ou M. Bensaïd a été victime d’un accident de la circulation, rue Trucmuche à Lyon". On écrivait : "Le Juif Vidal ou le Juif Cypel ou le Juif Nahoum ou le Juif Enderlin ou le Juif Schattner ou le Juif Bensaïd a été renversé par une automobile…".

C’était, sous la domination nazie, l’une des manières de signifier que le Juif n’était pas un être humain à part entière. Ce n’était pas une personne qui avait subi un accident mais seulement un Juif.

Or, ces Juifs-là n’ont rien compris, ils en redemandent ! Lorsque Eliahou Ashéri, 18 ans, a été assassiné, contre versement d’une récompense financière, soit-il ajouté en passant, à ses meurtriers par des terroristes palestiniens, les media français ont annoncé la mort d’un colon, pas celle d’un être humain. On assiste, crime terroriste après crime terroriste, au même processus de déshumanisation des habitants des implantations par les journalistes des media francophones et par les journalistes juifs des media francophones.

La palme revient, comme à l’accoutumée, à l’AFP de Jérusalem et au quotidien Le Monde. Ceux-ci, dans une [dépêche] commune, datée d’hier, ont réussi l’exploit linguistique de mentionner sept fois en vingt lignes les mots colons ou colonies. Une sorte de record raciste en la matière !

Mieux encore, chaque fois que le nom d’Ashéri est mentionné dans la dépêche, il est immédiatement précédé ou suivi du qualifiant colon ou colonie. Parfois même, l’AFP et Le Monde se contentent de parler d’un colon, sans citer son identité et sans se rendre compte qu’ils égalent, voire surpassent ainsi l’horreur de l’antisémitisme dans sa forme goebbelsienne. Comme dans : "(…) le corps d'un colon israélien enlevé dimanche a été retrouvé dans la nuit de mercredi à jeudi par l'armée israélienne (…)" et dans "(…) les Comités de la résistance populaire, avait montré lors d'une conférence de presse une photocopie des papiers d'identité du colon (…)".

Je suis d’autant plus à l’aise pour traiter de la question, que j’ai toujours été farouchement opposé à la politique des implantations, que je suis persuadé qu’un village de 60 familles, construit de toutes pièces à quelques kilomètres d’une ville palestinienne de 100'000 habitants, n’a aucune raison d’être sensée, aucun avenir, aucune justification. Pire, il représente, à n’en pas douter, une provocation continue – et parfois active et préméditée – à l’encontre des populations arabes. Une sorte d’appel permanent à la guerre permanente.

Mais cela, c’est de la politique, cela résume MON opinion et ne me donne en aucune façon le droit de déshumaniser les habitants desdites implantations. Comme le précise, de la manière la plus limpide, Amnesty International, les habitants de ces itnakhalouyot sont des civils, et leur présence sur le terrain n’autorise en rien qu’on les assassine. Plus précisément encore, Amnesty rappelle que l’assassinat de ces personnes est constitutif d’un crime de guerre et d’un crime contre l’humanité.

Et ceux qui les justifient ou même qui les expliquent, sont ainsi et bien évidemment des complices de crimes contre l’humanité…

De plus, les gens civilisés ne font pas la guerre aux morts. C’est Eliahou Ashéri, une personne, un être humain, un civil à part entière, qui a été assassiné par des terroristes palestiniens. Des individus armés, s’attaquant systématiquement à des personnes civiles désarmées. Des individus qui, de surplus, appartiennent à des organisations reconnues spécifiquement pour leur caractère terroriste par les grandes nations démocratiques, que ce soient les Etats-Unis ou l’Union-Européenne. Mais de cela, de ce fait, on ne trouve aucune mention dans la dépêche de l’AFP, qui rapporte, au contraire et sans avertissement, les propos tenus par les terroristes lors de leurs conférences de presse.

Il s’agit de tout sauf de broutilles, et je n’ai traité jusqu’à maintenant que de l’aspect de la déshumanisation menée ou répétée par ces media. Broutilles ? Lisez plutôt ce qu’écrivait Jean-Paul Sartre au sujet des colons et des droits des colonisés dans la préface du livre de son compère existentialiste Frantz Fanon, Les damnés de la terre (Editions La Découverte, 1961, réédité en 2002) :

"(…) Terrifiés, oui : en ce nouveau moment, l’agression coloniale s’intériorise en Terreur chez les colonisés. Par là, je n’entends pas seulement la crainte qu’ils éprouvent devant nos inépuisables moyens de répression mais aussi celle que leur inspire leur propre fureur. Ils sont coincés entre nos larmes qui les visent et ces effrayantes pulsions, ces désirs de meurtre qui montent du fond des cœurs et qu’ils ne reconnaissent pas toujours : car ce n’est pas d’abord leur violence, c’est la nôtre, retournée, qui grandit et les déchire ; et le premier mouvement de ces opprimés est d’enfouir profondément cette inavouable colère que leur morale et la nôtre réprouvent et qui n’est pourtant que le dernier réduit de leur humanité. Lisez Fanon : vous saurez que, dans le temps de leur impuissance, la folie meurtrière est l’inconscient collectif des colonisés.

(…) Cette violence irrépressible, [Fanon] le montre parfaitement, n’est pas une absurde tempête ni la résurrection d’instincts sauvages ni même un effet du ressentiment : c’est l’homme lui-même se recomposant. Cette vérité nous l’avons sue je crois, et nous l’avons oubliée : les marques de la violence, nulle douceur ne les effacera : c’est la violence qui peut seule les détruire. Et le colonisé se guérit de la névrose coloniale en chassant le colon par les armes. Quand sa rage éclate, il retrouve sa transparence perdue, il se connaît dans la mesure même où il se fait ; de loin nous tenons sa guerre comme le triomphe de la barbarie ; mais elle procède par elle-même à l’émancipation progressive du combattant, elle liquide en lui et hors de lui, progressivement, les ténèbres coloniales. Dès qu’elle commence, elle est sans merci. Il faut rester terrifié ou devenir terrible ; cela veut dire : s’abandonner aux dissociations d’une vie truquée ou conquérir l’unité natale."

Pigé ?

La guerre d’Israël n’a été assimilée que dans les années 80 à un épisode des guerres de décolonisation. De plus, cette caractérisation de colonies et de colonisation pour parler de notre guerre n’existe qu’en français et dans la sphère d’influence de la France. Auparavant, on ne parlait, en Francophonie, au sujet d’Israël, que du mouvement national d’émancipation du peuple juif. Certains, à bon escient, lui opposaient le mouvement d’émancipation du peuple palestinien.

Mais comment, dans ces conditions de confrontation entre deux légitimités de natures différentes pour la même terre, justifier les assassinats collectifs de civils israéliens, sans condamner la sauvagerie effective de ses exécutants ? - Par l’assimilation des Palestiniens aux colonisés et des Israéliens aux colonisateurs par Marius Schattner et ses camarades de lutte pour l’écrasement d’Israël.

Le colonisé possède tous les droits, c’est dans Sartre, celui de la rage, de la barbarie, et celui de la violence. De plus, la barbarie – je parle précisément de l’assassinat du colon Ashéri – constitue une étape nécessaire dans l’émancipation du combattant. On le voit, il s’agit bien plus que de la légitimité à tuer, on parlera ici d’obligation de tuer !

Et qu’importe si le conflit israélo-palestinien ne répond à aucun des critères de la colonisation et de la décolonisation tels que définis par la Science politique et l’histoire ! Qu’importe-t-il donc, si Ashéri n’est un colon que dans quelques cerveaux détraqués par l’antisémitisme ou par la haine de soi ? S’était-il installé dans l’implantation d’Itamar pour faire "suer le burnous" ? Pour l’attrait des richesses inexistantes du sous-sol palestinien ? Pour jouir d’une vie plus facile que dans une métropole, au-delà des mers, qui n’existe pas non plus dans ce conflit ? Certes non, c’est même faire démonstration de crétinerie profonde que de l’envisager !

Pour ne pas mourir analphabète, il faut faire l’effort de lire la série d’articles de Stéphane Juffa Une explication [1], qui expose la tentative réussie d’appliquer abusivement, par la force et le nombre des media français, les critères de la décolonisation au terrorisme palestinien. C’est incontournable, indiscutable et d’ailleurs incontesté, c’est le texte de référence en la matière.

Quant au malheureux Eliahou Ashéri et à ses amis édénistes, qui sont persuadés qu’en multipliant les implantations et en les renforçant, ils répondent au commandement sacré de défendre la terre d’Israël, et que ce sacrifice leur ouvrira les portes du paradis, ce sont des gens assurément spéciaux, mais certainement pas des colons. Ils sont arrivés trois mille ans trop tôt – soit 2300 ans avant la naissance du premier musulman sur leur terre – ou 150 ans trop tard, soit après le peuplement massif de cette contrée par les mahométans venus des pays avoisinants. Mais personne ne peut affirmer avec quelque raison, qu’à l’instar de tous les colons du monde, ils ne possèdent aucun lien spirituel ou historique avec ce pays. Ce serait une autre ineptie.

Pas pigé ? Et qu’est-ce que cela peut bien faire ? Que ceux qui veulent croire à un usage fortuit, maladroit ou ne portant pas à conséquence de l’utilisation concentrée – c’est le moins que l’on puisse en dire – de l’un des termes clés de l’existentialisme le croient ! Ilan vous assure quant à lui qu’il s’agit de l’un des plus grands détournements idéologiques de tous les temps et que ses instigateurs ont parfaitement réussi leur coup. Les intellos parigos, chaque fois qu’ils tombent sur un colon israélien dans un article, savent exactement de quoi il en retourne : de l’obligation faite aux Palestiniens de se comporter en barbares jusqu’à ce qu’ils aient biffé Israël de la carte. Pour retrouver leur honneur, pour revivre, selon les existentialistes !

Tout le monde marche : les journaleux de l’Hexagone possédant un petit bagage culturel, ceux qui n’en possèdent aucun mais qui se sont habitués à voir des colons partout en Israël et qui ne comprennent pas qu’on leur broie les nouilles avec des questions de… vocabulaire. Le porte-parole du Quai d’Orsay, situé au bout de sa Rue arabe, lui, ne marche pas, il court, il gambade ; et jusqu’aux communicateurs de l’ambassade de France à Tel-Aviv, qui colonisent leurs bulletins en veux-tu en voilà.

Pauvres Sartre et Fanon, qui ne méritaient pas ça. Mais pauvres surtout les 2'331’000 véritables colonisés de la dernière puissance impérialiste du monde, la France. Et des néo-colonisés de la Françafrique. Eux qui n’assassinent pas les vrais colons répondant, eux, à tous les critères posés par les politologues, et qui ne se font pas sauter dans les restaurants parisiens. Mais ils sont noyautés, manquent de tribuns en métropole qui s’intéressent à leur sort, subissent un écran de fumée ainsi que le fait que tout ce qui reste de la substance des existentialistes se trouve utilisé afin de stigmatiser de faux colonisateurs. Il est bien utile à la France d’avoir des méchants sur lesquels braquer leurs projecteurs, cela laisse les zones sensibles dans la pénombre.

L’information ? La réalité ? Des valeurs sans le moindre intérêt, dont il est largement plus utile de décider à Paris qu’en analysant correctement les péripéties d’un conflit qui ne préoccupe pas la France directement.

Deux derniers exemples ?

- Soit !

Le Monde, dans sa dépêche déjà citée, s’est fait l’écho des Comités de la résistance populaire qui menaçaient, mercredi, d’exécuter Eliahou Ashéri si Israël ne cessait pas son opération à Gaza. Depuis, la dépouille du malheureux jeune homme a été retrouvée dans un terrain vague aux environs de Ramallah. L’institut médico-légal, après avoir analysé le corps, a conclu qu’il avait été assassiné environ une heure après son enlèvement, au Revolver. Dimanche !

Inutile de chercher la moindre dépêche de mise au point sur le site de Colombani et de ses potes. Ils jugent sans doute les déclarations des représentants cagoulés du mouvement terroriste plus informatives pour leurs lecteurs que ceux de la police israélienne. Ce faisant, ils dissimulent que lorsque les Comités de la résistance populaire posaient leur ultimatum sur la vie d’Ashéri, ils l’avaient déjà abattu depuis quatre jours. Inutile d’écrire que Gilles Paris, Bécassine et compagnie ne manqueront pas, dès la prochaine occasion, de rapporter les propos de ces fumiers, à nouveau comme s’il s’agissait de paroles d’Evangile distillée par des enfants de choeur. Que voulez-vous, ce sont des colonisés…

Dans l’une de ses dépêches [voir la dépêche de l’AFP], l’Agence France Presse fait usage d’un terme éclairant à propos de feu Eliahou Ashéri : "un colon présumé" ! Ce terme s’apparente à l’expression judiciaire de "coupable présumé", car nul ne l’aurait utilisée de façon objective afin de caractériser aucune autre situation. A-t-on déjà entendu parler d’un Suédois présumé ou d’un plombier présumé dans la presse ?

Un présumé gangster, en quelque sorte, qui a été renversé par une voiture non loin de la rue Trucmuche. Mais au terme des années noires, à la libération de la France par les forces alliées, on a donné des cours de français et d’histoire accélérés aux vrais gangsters de la presse corrompue, pas aux Juifs. Des cours beaucoup trop superficiels à mon goût.

Notes :

[1] Une explication

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le vendredi 30 juin 2006 - 22h16:

La France demande la liberations des responsables du Hamas

"La France, par la voix de son ministre des affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, a appelé à la "libération" des 64 responsables politiques du Hamas arrêtés par Israël dans la nuit de mercredi à jeudi. Dans une interview accordée au quotidien de Lyon Le Progrès à paraître samedi, le ministre estime qu'"il faut éviter l'engrenage de la violence". "Nous avons condamné les arrestations de personnel politique palestinien et les conditions dans lesquelles celles-ci sont intervenues", rappelle M. Douste-Blazy, ajoutant : "Nous appelons à leur libération car ces arrestations ne font que fragiliser davantage encore les institutions palestiniennes".

Ces arrestations "interviennent alors que les principaux responsables palestiniens s'étaient entendus sur un document d'entente nationale intéressant pour l'avenir", a relevé le ministre. "Les avancées dont il pouvait être porteur sont désormais hors d'atteinte", a-t-il regretté. — (Avec AFP)"

Je comprends la colere de Nao.
Mais faut-il attendre plus d'un Quai d'Orsay connu, depuis toujours, par cette politique pro-palestinienne telecommandee aujourd'hui par Jacques Chirac, vous connaissez ce President Francais au plus bas des sondages avec 17% des citoyens francais pour le soutenir.
Il a ses priorites "le pauvre" !
Pourquoi se mettre a dos les pays arabes a qui il veut essayer de vendre, entre autres, ses Rafales alors qu'il a tant de difficultes avec ses Airbus 380, dont les previsions de vente sont des plus pessimistes ?
Pourquoi se preoccuper serieusement du soldat franco-israelien Shalit en faisant pression sur ses amis palestiniens ?
Toujours ce double langage utilise, quel que soit le Ministre des Affaires Etrangeres,ce double langage si cher a leurs amis palestiniens auxquels ils s'empressent de porter secours des qu'ils peuvent !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 30 juin 2006 - 21h26:

Des survivants tunisiens de la Shoah seront indemnisés.

Pour la première fois, des juifs originaires de Tunisie internés dans des camps en Tunisie par les nazis peuvent relever de l'article 2 d'indemnisation des victimes de la Shoah.

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3269515,00.html

Tunisian Shoah survivors to be paid

For first time, Jewish women and children in Tunisia to be eligible for Article 2 compensation
Ynetnews

In a historic breakthrough for Holocaust victims from North Africa, Jews imprisoned in internment camps in Tunisia by the Nazis may be eligible to receive ongoing German compensation payments.

Prisoners of Gabes, Marcia-Plage, and Tniet-Agarev may now receive pension payments from the Claims Conference Article 2 Fund , providing they meet other German-mandated eligibility criteria. For the first time, Jewish women and children in Tunisia will be eligible for Article 2 payments.

Jews were interned in these camps starting in July 1942 by the French Vichy government and its dependent protectorate authorities in Tunisia at the instigation of the Nazis. Following the German occupation of Tunisia in November 1942, the German authorities were solely responsible for the treatment of the Jews.

The camps were fenced in and tightly guarded. Leaving the camps was strictly forbidden. Hygienic conditions and medical care were extremely inadequate, with very poor living quarters, and prisoners suffered hunger and thirst.

Western European victims

The Claims Conference also obtained Article 2 payments for 4,000 new claimants from certain Western European countries. This will result in an 8-percent increase in the number of people receiving Article 2 payments, which is currently 49,000, and an additional Euro 15 million being paid annually.

Eligibility for these survivors was obtained in negotiations in 2003, but the Claims Conference has received many more claims than was originally provided for by the German government and the German government has not previously provided sufficient funding to make these payments.

Every year, the Claims Conference meets with German officials to obtain changes in compensation programs to benefit more Jewish victims of Nazism. These ongoing talks have enabled thousands of additional people to receive these payments and ensured that the experiences of Nazi victims are recognized.

Article 2 Fund payments are Euro 270 (approximately USD 320) per month.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le vendredi 30 juin 2006 - 21h16:

Esrob tarf Mazar, Nao...!

Ton texte est si handicapè que j'ai dû poser des bequilles aux yeux pour le lire...

Mes photos ratèes représentent les armoiries de PARIS ET LE PORTRAIT DE THEODOR HERZL.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 30 juin 2006 - 21h07:

URGENT

bonjour

fait passer l'info car la mairie de Paris minimise l' évenement et il faut être nombreux

 ARMOIRIE



Bertrand DELANOE, Maire de Paris

Pierre AIDENBAUM, Maire du 3ème arrondissement

Rafael BARAK Chargé d'affaire à Ambassade d’Israêl en France intérimaire

Vous prient d'assister à l'inauguration de la place THEODOR HERZL

 HERZL


le mercredi 5 juillet 2006 à 18h

a l'angle de la rue de Turbigo et la rue Réaumur

à Paris 75003

venez nombreux

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 30 juin 2006 - 20h57:

La France appelle Israel a relacher les ministres et parlementaires du Hamas interpelles dans la nuit de mercredi a jeudi. Elle a egalement exhorter Israeliens et Palestiniens a oeuvrer a l'apaisement de la situation dans la region. (Guysen.Israel.News)

La France nous emm....! Pourquoi n'exorte t'elle pas les ravisseurs palestos a la liberation de Gilad un citoyen FRANCAIS????
Esperons que motsei shabat nous aurons d'heureuses nouvelles de Gilad!

Shabbat Shalom a tous.

Nao en colere

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le vendredi 30 juin 2006 - 20h49:

Une présentatrice d'Al-Jazeera et la directrice d'un magazine féminin égyptien débattent du voile

Voici des extraits d'un débat sur le voile entre Iqbal Baraka, directrice du magazine féminin égyptien Hawaa, et la présentatrice Hadija bin Qinna. L'émission a été diffusée sur LBC le 28 mai 2006.

Visionner les extraits vidéo sur http://www.memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1163

Présentatrice: "Iqbal Baraka, de quel œil voyez-vous les célébrités qui portent le voile?"

Iqbal Baraka: "A mon avis, ce phénomène a moins à voir avec la religion qu'avec des facteurs sociaux, économiques et politiques. On intimide et on terrorise les femmes. La femme arabe subit des pressions constantes visant à lui faire porter le hijab. L'homme arabe cherche à obtenir le contrôle et l'hégémonie dans tous les domaines, afin de compenser son échec total dans le domaine politique. C'est ainsi qu'il exerce des pressions sur la femme. Certains disent que le port du hijab constitue un devoir religieux - comme si Allah avait enjoint à l'homme de respecter cinq devoirs religieux, et à la femme six. Voilà qui va complètement à l'encontre de l'égalité [censée régner] entre tous les êtres humains en Islam.

(…)

Le phénomène [du voile] a commencé à se propager avec la défaite arabe de 1967, quand certains savants musulmans prétendirent qu'elle était due au fait que les musulmans s'étaient éloignés de leur religion. A leur avis, la défaite s'expliquait essentiellement par le travail et la libération des femmes.

En conséquence, ils se sont mis à exercer d'énormes pressions sur l'élément faible et misérable: la femme. C'était une façon de compenser les insuffisances de l'homme arabe, qui essuyait défaite politique sur défaite politique.

Il s'agit d'un phénomène social, politique et psychologique plus que d'une phénomène religieux."

(…)

Hadija bin Qinna: "J'ai un jour compris qu'il était beaucoup plus important de plaire à Dieu qu'aux spectateurs. Et j'ai été surprise par les réactions merveilleuses des spectateurs au fait que je me sois mise à porter le hijab. Les gens ont jugé favorablement ma décision et m'ont félicitée. Presque tous les médias… Vous seriez surprise d'apprendre que des médias d'inde, du Japon, de Colombie, des Etats-Unis, de Londres, de France… Des médias comme Le Figaro, Le Monde, le Times, le Guardian… De nombreux médias parlent du hijab. Je crois qu'Iqbal Baraka se trompe dans son analyse.

(…)

Comment se fait-il que la liberté individuelle cesse d'exister dès que l'on parle du hijab ? Aujourd'hui, les homosexuels évoquent leurs libertés et réclament la création d'associations pour défendre leurs droits. Dans certains pays arabes, ils vont jusqu'à manifester dans la rue. Alors comment… Je veux dire… Les homosexuels se sont mis à parler de leurs libertés ; est-ce trop demander que de vouloir être libres de porter les habits de son choix ?

(…)

Elle parle du hijab comme s'il s'agissait d'un virus mortel ou d'un fléau fortement contagieux, croyant que le hijab pourrait se répandre dans la société de cette façon.

Le fait que Mme Iqbal considère [le hijab] comme un phénomène social sans rapport avec la religion me donne le sentiment qu'elle parle de Wagadugu ou de quelque île [isolée] plutôt que d'un pays arabe et musulman.

L'islam est la religion d'Etat selon la plupart des constitutions arabes. Près de la moitié des femmes dans les sociétés arabes portent le hijab."

(…)

Iqbal Baraka: "Vous pensez que le hijab est un devoir religieux ? Alors pourquoi les hommes en sont-ils exemptés ?"

(…)

Hadija bin Qinna: "Je suis allée à Jérusalem il y a deux mois, et j'ai remarqué que les femmes religieuses juives se couvrent la tête, parfois même d'une perruque. Certaines se rasent complètement le crâne et portent une perruque. Nous avons l'habitude des manœuvres juives pour détourner leur propre religion. Certaines de ces femmes se rasent complètement le crâne et portent une perruque en guise de couvre-chef.

Comment se fait-il que le monde ne monte pas sur ses grands chevaux au sujet de ces femmes ?"

(…)

Iqbal Baraka: "Elle a soulevé un problème essentiel: pourquoi le monde entier est-il contre le port du hijab par les femmes musulmanes ? La raison est que le hijab est un outil de discrimination raciste, qui servait initialement à distinguer les riches des pauvres. Plus tard, il fut utilisé pour distinguer les femmes libres des esclaves, et aujourd'hui il distingue les musulmanes des non-musulmanes, et les femmes des hommes.

Le hijab est l'un des moyens de discrimination raciale les plus clairs qui soient."

Memri