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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juin 2006: Archive jusqu'au 28/juin/2006-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 28 juin 2006 - 07h43:

Coustumes vestimentaires des juifs de Tunisie

Merci Sibylle de toutes tes precisisions accompagnees de photos prises a la fin du 19eme siecle ou meme, au debut du 20eme siecle avant que l'influence de la presence francaise ne change d'une facon radicale la facon dont les juifs s'habillaient. Il y a de nombreuses photos ou croquis qui l'attestent.

coutumes vestimentaires

Par ailleurs, j'aimerais signaler que nombreuses, sont les photos de nos grand-parents posant en costume traditionnel alors que, leurs enfants posent habilles a l'europeenne.

Voici, pour illustrer mes propos, le commentaire d'un de mes freres accompagnant la photo de famille [datant de 1925] ou figurent mes grand-parents, mon pere, mon oncle et mes trois tantes.

"C'est une photo d'une grande valeur et de plus chargée d'histoire... Notre Histoire. Elle est remarquable, car elle montre le passage du 20ème siècle et le bouleversement des générations, sur le même document.

Devant, se trouvent les parents de Papy et sa soeur aînée ....., habillée comme ses parents à l'orientale (C'est sa tenue habituelle... Ce n'est pas du folklore). Dans la même famille, selon sa date de naissance, on pouvait donc à l'époque s'habiller à l'orientale, comme l'ont toujours faits les juifs depuis les siècles précédents ou dans une impeccable tenue à la française. Pourquoi? Tout simplement, parce que les français ont débarqué en Tunisie en 1881 et, qu'à partir de cette date, le pays est devenu un protectorat français; Décidément on revient de loin! Les juifs avaient considéré les français comme de véritables sauveurs. Avant 1881, ils étaient des sujets du Bey, et portaient le titre peu envié de dhimmis, c'est à dire des "invités" dans ce pays (les autres disaient, avec cynisme, des protégés), en fait des personnes de seconde catégorie. Quand un juif rencontrait un arabe sur un trottoir, il devait y descendre et recevoir "la steka", c'est à dire une tape sur la tête tout en se faisant insulté.

Le père de Papy portait un habit spécifique aux juifs, pour se distinguer des arabes, avec un chapeau noir (celui des arabes était rouge), imposé par les autorités du pays.

Dés l'arrivée des français, les juifs avaient compris que c'était pour eux une formidable ouverture vers l'émancipation et vers la culture occidentale. C'est pourquoi il se sont occidentalisés beaucoup plus rapidement que les arabes ( je dirai même de façon exponentielle!).

Quand je vois cette photo, je ne peux empêcher l'histoire de m'envahir totalement !"

Revelateur, n'est-ce pas !

Le sujet des coutumes vestimentaires est d'ailleurs assez vaste et il serait interessant d'en debattre dans le cadre de Harissa.com.

Origine du nom EL HAÏK (ou HAÏK ou LAÏK)

D'autre part, il est bon de signaler que "Haik" est utilise comme nom de famille chez de nombreuses familles juives d'origine tunisienne.


EL HAÏK (ou HAÏK ou LAÏK) : nom dérivé d'un vêtement féminin berbère (hâyk) d'origine romaine : il s'agit d'une longue étoffe de 1,5mètre qui est enroulée puis maintenue à la taille par une ceinture, et ramassée ensuite sur les épaules où elle est maintenue par des fibules; c'est le nom arabe designant une piece de laine longue et etroite qui forme le vetement principal des arabes; par extension il correspond en arabe au métier de tisserand.

Date d'apparition : Un David El-Jayque (=Elhaik) est atteste a Tunis en 1686. Le Rabbin Elhaik de Tunis est le signataire d'une "Approbation" au recueil de "Reponses Y.B." (ed.Licourne 1782):Consultations rabbiniques de Semah et Simon, petits fils de Simon b. Semah Duran , grand rabbin d'Alger.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 28 juin 2006 - 05h33:

Le destin de quatre jeunes hommes et ses facéties (info # 012706/6) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Avec Ilan Tsadik dans le Néguev et à Beer Sheva



Le canon pointé droit sur la bande de Gaza, le tank Merkava scrutait l’horizon face à lui suivant le dispositif d’embuscade. L’équipage était soudé, bien entraîné, discipliné. Khanan, le commandant, regardait devant lui, le torse à moitié sorti, du haut de sa tourelle. Il ne lui serait jamais venu à l’idée de surveiller se qui se passait derrière lui, en plein territoire israélien. Par acquis de conscience, il jetait bien un coup d’œil de temps à autres par-dessus son épaule, mais c’était aux copains situés dans la tour de garde qu’il appartenait d’assurer les arrières du char.



Parmi les quatre servants du mastodonte, on se relayait toutes les deux heures. Khanan montait la garde avec Pavel, le conducteur, et Gilad, le canonnier, les relayait avec Roï, celui dont le boulot consistait à remplir le tube de munitions. Dans ce modèle de Merkava, chacun dispose de sa trappe de sortie, sauf le canonnier, qui, en cas de nécessité, sort par le haut du tank, après son commandant.



Mais en formation d’embuscade, on ne tient pas forcément sa place. C’est sans doute parce que le meilleur siège pour dormir est sans conteste celui du conducteur. Les avantages sont maigres, mais c’est cependant le plus confortable, il est situé tout à l’avant de l’habitacle, sur la gauche, juste derrière l’énorme moteur diesel du pachyderme, qui avale aisément quelques centaines de litres de carburant à l’heure lorsqu’il barrit.



Cinq heures du matin, dimanche, une garde sans intérêt va se terminer dans deux heures. Pavel et Roï échangent la place du conducteur pour la dernière fois. Dur de s’y relayer ; à vrai dire, c’est toute une gymnastique ! D’abord Pavel la quitte et passe avec peine vers le centre du char, puis Roï le remplace, avec tout autant de difficulté. Roï ne trouve pas la bonne position pour s’endormir, aussi, il tourne et se retourne des dizaines de fois.



Pavel occupe la place du chargeur de munitions, et Gilad celle du canonnier, et il dort sous le commandant et ses jumelles. Khanan, le chef, est l’exemple du brave type, qui accomplit sa tâche sans rechigner ni prendre de raccourcis. Dans l’unité de tankistes, tout le monde l’aime bien et le respecte. Tout le monde aime prendre ses tours de garde avec lui. Il n’est pas très loquace, mais parfois, dans les confidences des longues nuits, il lâche quelques mots à propos de son amie de Métula, Orit. Il a l’air sérieusement allumé, le commandant, même qu’Orit, la sœur de Shaï, l’ami de berceau de ma fille Vahé, vient de déménager à Arad, une ville située en surplomb de la Mer Morte, pour partager ses permissions et rêver ensemble à l’avenir. Ils vont bientôt faire un grand voyage, dont Khanan a répété cent fois l’itinéraire à ses potes qui le connaissent par cœur.



5h 30, la meilleure heure pour une embuscade : les moyens de vision nocturne sont déjà inopérants et on n’y voit pas encore vraiment clair. Mais qui pense à un guet-apens ? Ils ont certes été briefés de ce que des organisations palestiniennes creusaient un méga-tunnel dans la région, mais ils n’y croient pas beaucoup. Et l’un des endroits les plus sûrs sur cette terre, c’est assurément à l’intérieur d’un Merkava. Et puis, il y a quelques dizaines d’autres chars, postés dans les villages israéliens autour de la bande, alors pourquoi eux ? Si on ajoute à cela qu’aucun terroriste n’est jamais parvenu, en dépit de centaines de tentatives, à traverser cette section de la frontière, l’équipage n’a aucune raison de se faire des cheveux. On fait son travail, correctement, parce que, dans les blindés, on est des gens consciencieux et scrupuleux. Avec de tels engins entre les mains, ce n’est pas un luxe, c’est une condition incontournable. Il faut en avoir piloté un pour comprendre. Lorsqu’on lance 80 tonnes d’acier à près de soixante-dix à l’heure, on a l’impression d’être inarrêtable, absolument invincible ! Encore, ce modèle n’est pas le plus moderne, le Merkava Mark IV a l’air d’un vaisseau venu d’une autre galaxie, tant de l’extérieur qu’au niveau de l’agencement intérieur, de ses systèmes de tir, de ses armes…



Voilà à quoi ces quatre hommes songeaient peut-être, lorsqu’un projectile heurte l’arrière du tank, et non l’avant, comme Ilan Tsadik nous l’avait communiqué par erreur lors de son premier constat. Le système de chaînes visant à faire exploser la grenade antichar avant qu’il n’atteigne le blindage a, semble-t-il, correctement fonctionné. On retrouvera plus tard une trace sur l’acier mais en superficialité, la jupe du tank n’a pas été percée comme nous l’avions déduit dans un premier temps.



Peut-être, mais pour Khanan, Pavel, Gilad et Roï, la surprise est totale, ils n’ont aucune idée de ce qui leur arrive. Encore, si Khanan avait pu se retourner et regarder du côté d’Israël, n’aurait-il distingué que des soldats de Tsahal, puisque les miliciens du Hamas s’étaient revêtus des uniformes de notre armée. Que faire ?



Les systèmes de tirs et ceux de vision sont tous dirigés vers le territoire ennemi, dans l’axe du canon. De plus, le bruit d’explosions proches et d’armes automatiques a, d’un coup, déchiré le silence pastoral de l’aube. Ce que l’équipage entend, mais il n’a aucun moyen de s’en rendre compte, c’est l’écho de l’attaque de la tour de garde censée couvrir l’arrière du tank. Les gars de l’infanterie qui s’y trouvent ne se sont pas laissés surprendre, et ils ont abattu les deux assaillants palestiniens. Oui mais, dans l’entre-temps, ils ont laissé Khanan et ses soldats sans protection arrière et sans information.



Le mastodonte a certes tremblé, dans un vacarme insupportable, mais personne n’est blessé. Seulement, le Merkava est aveugle et ses servants sont totalement pris au dépourvu et au milieu d’une bataille, dans laquelle l’attaque vient de la direction d’Israël… Ce que je vous narre ici n’a duré en fait que quelques secondes et, face à l’inconnu, Khanan prend une décision fatidique. La plus mauvaise des décisions, celle d’abandonner le char.



Il a pourtant appris que, lorsque l’on est sujet à l’attaque d’une force inconnue et invisible, utilisant des moyens qu’on est incapable d’identifier, on est bien mieux protégé dans un tank qu’à l’extérieur. Khanan Barak a appris que les deux seuls cas dans lesquels il faut abandonner le blindé, c’est s’il est immobilisé, incapable de se mouvoir – auquel cas il ne représente plus qu’une énorme cible immanquable – ou/et si son canon est endommagé, rendu inapte à tirer, auquel cas le char ne sert plus à rien.



Mais le commandant est seul maître à bord. Sans doute n’imagine-t-il pas que des commandos ennemis sont postés juste derrière lui, les mitraillette, grenades et autres RPG pointés sur le Merkava. Il pense que ses hommes pourront sans encombre courir se mettre à l’abri afin de réaliser ce qui se passe. Alors Khanan crie, en baissant la tête : "lazov et ha-kli, laroutz !" – abandonnez l’engin, courez ! –. Il s’extrait en même temps que Pavel, qui a ouvert l’écoutille réservée au chargeur. Ils sont bientôt suivis par Gilad Shalit, qui passe par le même orifice que son chef. Là ils sont irrémédiablement fauchés par les rafales des Palestiniens, arrêtés net dans leur course. Khanan et Pavel sont tués durant l’échange mais Gilad n’est que blessé à l’abdomen. Les commandos, qui ne sont soumis à aucune menace urgente, s’en emparent et l’obligent à se traîner derrière eux en direction de la barrière de métal qui les sépare de Gaza. Elle n’est distante que de quelques dizaines de mètres.



Reste Roï dans le tank ! Il essaie d’ouvrir la trappe du conducteur, mais celle-ci, lorsque le canon se trouve exactement dans l’alignement du char, s’en trouve condamnée. Roï Amitaï pousse sur la porte, tire, rien ne se passe. Il est le dernier occupant du navire, et croit, à cet instant que ses camarades ont pu gagner un lieu où ils sont en sécurité. Roï panique ! Il essaie de quitter la loggia réservée au pilote, mais, en proie à une excitation extrême, il en est incapable. Il est bloqué, se voit condamné, impuissant, aussi, ce grand gaillard, sentant sa fin inéluctable éclate-t-il en sanglots. Pire, en s’agitant, il se cogne violemment contre un instrument de bord et s’occasionne une commotion cérébrale. En fait, sa malchance lui a assuré son salut… le bon vieux tank l’a protégé conte sa volonté !



Après la bataille, Roï sera transporté par hélicoptère à l’hôpital Soroka de Beer Sheva. En plus du choc qu’il a subi au-dessus de l’œil droit, il souffre d’avoir respiré de la fumée et est légèrement intoxiqué. Le docteur Tsakhi Ben Zion, vice-directeur de l’établissement et porte-parole par intérim m’a confirmé le diagnostic il y a quelques heures.



Mais par quoi a-t-il été intoxiqué ? Pas par le RPG, car si cette arme anti-tank avait perforé le blindage du Merkava, la température à l’intérieur aurait atteint des milliers de degrés et l’équipage serait mort carbonisé. Or Roï, le chargeur de canon, n’a subi aucune blessure par brûlure ! Une possibilité envisageable est que les miliciens, avant de quitter les lieux, ont balancé une ou plusieurs grenades par la trappe du commandant. Possible. Bien que Roï ne souffre d’aucun éclat et que les munitions, nombreuses, contenues dans l’habitacle du char n’ont pas explosé. De toutes façons, Tsahal, qui a constaté l’état du tank, possède la réponse à cette dernière question relativement mineure. Et de toutes façons aussi, la présence de fumée ne constituait pas une raison d’abandonner le blindé, la survie de Roï et la superficialité de ses maux en témoignent. Les Merkava sont munis d’un système d’extinction d’incendie et d’extraction de fumée hyper-performant, qui se met en marche automatiquement.



Certains vont se demander si Roï ne pouvait pas faire quelque chose d’utile au lieu de se lamenter sur son sort. En fait, non ! De là où il se trouvait, il n’avait pas accès au canon, ni aux deux mitrailleuses. Il ne pouvait pas non plus faire pivoter la tourelle… A la limite, il aurait pu mettre le tank en marche, même s’il n’est pas conducteur, mais ceci pour quoi faire ? Sans les instructions de son commandant, il prenait le risque d’écraser ses camarades, dont il ne connaissait pas l’état.



On lui a appris la nouvelle à l’hôpital de Beer Sheva : deux copains tués et un autre aux mains des intégristes. Il a de la peine à y croire, il image un film, un mauvais scénario… Quand à Tsahal, elle a tout un tas d’enseignements à tirer de cette tragédie. Cela va du sérieux avec lequel il convient de prendre les avertissements des services d’information de l’armée ; ceux-ci avaient même prévenu que la galerie que les Palestiniens creusaient aboutissait quelques deux cents mètres derrière la frontière. Puis il faudra répéter aux tankistes, preuve à l’appui, que leur meilleure protection, c’est leur monstre. Ceci dit, loin de moi l’idée de formuler une critique face à la décision de feu le 1er lieutenant Khanan Barak. Facile de procéder à une analyse depuis un siège bien rembourré de Métula, avec un comité d’experts qui disposent de toutes les conditions nécessaires afin de procéder à leurs reconstitutions et à leurs conclusions tactiques. Nous, nous avons une base de l’armée, à 50 mètres, qui assure nos arrières !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le mercredi 28 juin 2006 - 01h25:

en voila une autre
Voici une image : mon image

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le mercredi 28 juin 2006 - 01h23:

Le haik est porté également par les femmes juives, c’est un vêtement que j’aime particulièrement, et que je trouve très sensuel lorsqu il est bien porté, je me rappelle d’un vieux souvenir d’enfance avec mes cousines, ont avait un jour en fouillant dans l’armoire de ma grand mère retrouvé le haik de mon arrière grand mère, il était magnifique tout en soie ou satin de couleur nacrée , qu’elle portait exceptionnellement sous des vêtements de fêtes lorsqu elle était invitée à un mariage ou un événement heureux, les cotés étaient brodés sur 2 centimètres, je crois qu on appelle ce haik , haik mérama, une des cousine nous a expliqué comment il devait être porté, parce qu on fonction des événements il y a plusieurs façon de le porter , elle avait mis les chaussures à talon de sa mère dans lesquelles ses pieds nagés, et nous a fait une leçon sur la démarche à avoir pour paraître femme et belle.
Il existe une veuille tradition dans la famille de ma mère, perdue depuis plusieurs années, je sais que quand mon arrière grand mère s’est mariée, à l’époque il n’existait pas de robe blanche, le jour ou elle a quitté la maison de son père elle portait un caftan et par-dessus on lui a mis ce fameux haik elle ne devait pas le quitter jusqu a ce qu elle arrive dans la maison ou était célébré le mariage soit celle de ses beaux parents.
Voila quelques photos de ma collection personnelle
Voici une image : mon image

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 28 juin 2006 - 00h48:

Declaration de Julien Dray, porte-parole du Parti Socialiste


''J'ai interpellé les dirigeants israéliens : ''Vous avez perdu la bataille de la communication''. Ils s'en fichent. Ils ont eu tort car ils devraient aussi mener cette bataille'', a déclaré Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste, à Paris. (Guysen.Israël.News)
Invité par Les amis du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), il a loué le CRIF qui avait publié la photo des victimes du terrorisme palestinien. Il a ajouté : ''L'affaire du petit Mohammed al-Dura a été parfaitement utilisée. J'ai parlé avec ce journaliste français. Je lui ai demandé pourquoi France 2 avait donné ces images, ce qui était une première. Je n'ai pas eu de réponse. Lors de l'affaire de Jénine, certains dirigeants socialistes en campagne électorale se sont fait piéger. Ils ont fait une faute, et n'ont pas pu rétablir le devoir de vérité. Des comités actifs apposent des affiches, parfois fausses''. M. Dray a loué l'action du personnel éducatif et des élèves du Lycée Einstein qui ont réagi fermement en voyant, à trois reprises, des inscriptions antisémites sur les murs de cet établissement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 28 juin 2006 - 00h39:

haik ou pas haik ?

Tu te trompes, Slim ! jusqu'a mon depart de Tunisie en 1963, le haik etait encore porte par les femmes musulmanes surtout parmi les plus agees. Le President Bourguiba, dans une de ses nombreuses reformes, avait conseille l'abandon du haik et du voile pour des tenues vestimentaires plus modernes. Cela a ete suivi, surtout parmi les plus jeunes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 28 juin 2006 - 00h27:

Il semble que Tsahal a commence son operation dans la bande de Gaza :

23:52 Des Palestiniens affirment que des avions israéliens auraient bombardé un pont dans la bande de Gaza ; cette information n'a pas encore été confirmée. (Guysen.Israël.News)

Cela vient d'etre confirme par la chaine 1 Israelienne

23:48 Des sources palestiniennes affirment qu'un tank de Tsahal aurait ouvert le feu sur une position des services de sécurité de l'AP près de Soufa, et qu'un des leurs aurait été blessé. Un porte-parole de l'armée a indiqué que le tank avait tiré sur des terroristes qui tentaient de poser une charge explosive. (Guysen.Israël.News

Pour avoir plus d'informations, cliquer sur l'url suivant :

Guysen News

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Slim (Slim) le mercredi 28 juin 2006 - 00h06:

Lapid a raison, le Haik a ete bel et bien porte par les femmes musulmanes (Beldi seulement) en Tunisie, et peut-etre meme quelques femmes juives (a la fin du 19eme siecle), et toutes les anciennes cartes postales des femmes Beldis les montrent avec une blouza, fouta, Safsari, et un Haik blanc ou noir). A mon avis, le Haik a ete abandone vers les annees 20 en Tunisie, mais je n'en ai pas la preuve. En tout cas, il a disparu apres l'independance, ce qui explique l'abandon de l'usage du mot. Je ne suis pas sur du nom que l'on a donne a ce tissu en Tunisie. J'ai l'impression que c'est le meme nom utulise a Constantine et a Annaba (puisque leurs dialectes sont proches du Tunisien).

Ceci est aussi valable pour le chapeau conique qui a lui aussi disparu au debut du 20eme siecle. Bien qu'il soit le plus souvent associe aux femmes juives, il a aussi ete porte par cetaines femmes musulmanes des villes comme Tunis et Sfax. En visitant Istanbul, j'etais agreablement surpris de voir d'anciennes photos Ottomanes montrant des femmes Ottomanes portant un chapeau conique presque identique a celui des Tunisiennes. A mon avis, les Tunisiennes ont adoptees cette mode des Ottomanes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 28 juin 2006 - 00h18:

Un grand coup de chapeau a l'Equipe de France !
France-Espagne 3-1


"L'Equipe des Vieux", par son experience, a su contenir les jeunes Iberiens malgre leur nette domination dans la possession du ballon. C'est la loi du Sport. Excellent arbitrage de Mr Rosetti et des juges de touche italiens.
Bravo l'Equipe de France. A bientot pour le quart de Finale France-Bresil ! Tout n'est pas joue ! Rappelez-vous d'une certaine finale France-Bresil en 1998 ! Bravo a Ribery, Riviera et Zidane pour la detemination dont ils ont fait preuve tout le long du match.

ALLEZ Les Bleus, ALLEZ !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 28 juin 2006 - 00h00:

Malgrè une nette domination ibérique, ces derniers ont manquè au finish...Domage.
Vive les Bleus.

4/1.

Il y a un but de Breitou que personne n'a vu.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 27 juin 2006 - 22h57:

France-Espagne 1-0 a la mi-temps

Penalty justifie pour les espagnols. Bon match pour l'equipe de France malgre la domination des espagnols au milieu du terrain et leurs nombreuses attaques contre le but de Barthez. Tentatives d'attaque des francais qui se terminent trop souvent par des hors-jeu de Thierry Henry. En fin de match la partie "s'enflamme" et cela se termine par une magnifique action de Ribery qui arrive a tromper le gardien de but et deux defenseurs iberiques. Arbitrage tres correct des 3 arbitres italiens diriges par Mr Rossetti.
Cela promet pour la 2eme mi-temps.
ALLEZ LA FRANCE! ALLEZ!