Archive jusqu'au 02/février/2004

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 février 2004 - 18h32:

WASHINGTON


Le FBI et les experts du monde entier sont sur les dents pour débusquer les auteurs de Mydoom, en passe de devenir la plus importante attaque virale informatique de tous les temps.

Ce virus a déja attaqué "20% à 30% de l'ensemble du trafic mondial de courriels", selon des estimations mercredi de la société finlandaise de sécurité informatique F-Secure soulignant que Mydoom, également appelé Novarg, est jugé plus puissant que le virus Sobig.F, qui avait fortement perturbé les écrans de millions d'ordinateurs en août.

Il aurait déjà infecté plus de 100 millions de courriels en 36 heures, selon F-Secure.

"Mydoom a dépassé Sobig.F et est devenu la plus importante attaque virale jamais connue", a précisé l'un de ses responsables, Mikko Hyppoenen. Entre 400.000 et 500.000 ordinateurs avaient été infectés à travers le monde, selon F-Secure.

Mydoom "n'est pas du tout en train de s'essoufler", a ajouté Keith Peer, président d'une société américaine de sécurité, Central Command. Au contraire, il pourrait même accélérer, ses créateurs utilisant "les machines infectées comme une armée pour en attaquer d'autres", a-t-il averti.

Des experts ont d'ailleurs annoncé mercredi qu'une nouvelle version du virus, baptisée Mydoom.B, indétectable par le logiciel anti-virus de la première version qui s'attaquait au système Unix, avait été découverte, selon M. Hyppoenen. "Le nouveau virus a été modifié" afin d'attaquer le principal site du géant informatique Microsoft, a-t-il précisé.

Pour M. Peer, les créateurs de Mydoom "ont la volonté de frapper fort" avec une stratégie "très bien pensée" pour que le virus se propage rapidement.

Mydoom est de type "ver", c'est-à-dire qu'il se diffuse automatiquement à travers les carnets d'adresses des boîtes aux lettres où il atterrit, sous la forme d'un document joint. Il utilise également le service de partages de fichiers Kazaa, qui permet à ses utilisateurs d'échanger gratuitement jeux, musique et films.

L'une de ses caractéristiques est qu'au lieu de proposer des photos et messages personnels envoyé par des amis, ou des photos érotiques, il envoie un message d'erreur, demandant au destinataire d'ouvrir un document attaché --et infecté-- pour en savoir plus sur le problème.

Mydoom est apparu lundi en fin de journée en Europe mais en plein milieu des heures de travail sur le continent américain, ce qui explique que la plupart des courriels infectés l'aient été initialement aux Etats-Unis et au Canada.

Mais, selon F.Secure, il avait quand même réussi mercredi à infecter plus du tiers des courriels envoyés en Europe.

Aux Etats-Unis, le FBI (police fédérale) a lancé mardi une enquête pour tenter de remonter à la source de MyDoom.

Le département (ministère) de la Sécurité intérieure (DHS) a par ailleurs annoncé la mise à disposition d'un programme pour les utilisateurs souhaitant "sécuriser leurs systèmes informatiques". Il est proposé par courriel et accessible via le site internet www.us-cert.gov.

Le groupe informatique américain SCO, propriétaire du système Unix, cible de la première attaque qui était destinée à surcharger son site internet, a promis une récompense de 250.000 dollars pour toute information permettant l'arrestation des diffuseurs du virus.

"Nous ne connaissons pas les origines et les raisons de cette attaque, bien que nous ayons des soupçons. C'est un acte délictueux auquel il doit être mis fin", a indiqué le groupe.

Pour faire face à la multiplication des attaques virales ces dernières années, les entreprises ont fortement amélioré la défense de leur sécurité informatique. Elles ont aussi diversifié leur système d'exploitation en utilisant, au côté du système dominant Windows (Microsoft), ceux de Linux ou Mac OS.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le lundi 02 février 2004 - 18h28:

Sharon donne l'ordre de préparer l'évacuation de 17 colonies de Gaza


JERUSALEM (AFP) - Le Premier ministre israélien Ariel Sharon a déclaré lundi avoir donné ordre de préparer l'évacuation des 17 colonies israéliennes de la bande de Gaza, dans une interview au quotidien israélien Haaretz qui en publie les principaux extraits sur son site internet.

"J'ai donné ordre de planifier l'évacuation de 17 colonies de la bande de Gaza" a déclaré M. Sharon. "Je pars du principe que dans le futur il n'y aura pas de juifs à Gaza", a ajouté M. Sharon, indiquant que les 17 colonies dont il envisage l'évacuation regroupaient un total de 7.500 habitants.


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Les dirigeants des colons israéliens de la bande de Gaza ont affirmé lundi dans un communiqué qu'ils feront tout pour faire tomber le gouvernement du Premier ministre Ariel Sharon s'il ne revient pas sur son intention d'évacuer toutes les colonies juives de ce territoire.

"Le conseil régional des colonies de la bande de Gaza exprime ses regrets à la suite des propos malheureux" tenus par le Premier ministre israélien, indique le communiqué. "Les colons ne reculeront devant aucun effort, avec l'aide d'autres éléments du camp nationaliste, pour écourter le mandat de Premier ministre d'Ariel Sharon par tous les moyens légaux", poursuit le communiqué.

"Nous appelons Sharon à revenir immédiatement sur ses bonnes vieilles positions et à ne pas infliger au peuple d'Israël une nouvelle catastrophe en expulsant des juifs de leur maison", conclut le communiqué.

Les députés du Likoud, le parti d'Ariel Sharon, ont quant à eux accueilli avec "stupeur" les propos du Premier ministre. "Je suis tout simplement en état de choc et stupéfait de tout ce qui a été dit. Le Premier ministre n'a pas démenti les propos" tenus au quotidien Haaretz, a déclaré le député Yehiel Hazan, chef de file du lobby des colons au sein du Likoud, en sortant de la réunion des députés de ce parti avec M. Sharon qui s'est tenue à huis clos. "M. Sharon pense sans doute qu'il est le dirigeant du parti travailliste (opposition) et non celui du Likoud. Je suis convaincu que son plan n'obtiendra jamais le feu vert des institutions dirigeantes du Likoud", a-t-il ajouté.

Selon le ministre palestinien chargé des négociations, Saëb Erakat, les Palestiniens sont pour l'évacuation de toutes les colonies de la bande de Gaza tout en craignant que les propos de M. Sharon ne soient qu'un exercice de relations publiques.

"Mon intention est de procéder à une évacuation, pardon à un redéploiement, des colonies qui nous posent problème et des sites que nous ne conserverons plus de toutes façons dans le cadre d'un règlement final, telles que les colonies de la bande de Gaza", a expliqué le Premier ministre. "Nous parlons d'une population de 7.500 personnes. Ce n'est pas simple. Nous parlons de plusieurs milliers de kilomètres carrés de serres, d'usines et d'usines d'emballage. Des gens qui sont installés là-bas depuis trois générations. La première chose est d'obtenir leur accord", a-t-il dit.

"Déplacer des milliers de kilomètres carrés de serres, d'institutions éducatives, n'est pas vite fait, particulièrement si cela se fait sous le feu", a indiqué M. Sharon. Interrogé s'il allait soumettre ce plan d'évacuation au président américain George W. Bush, lors de sa visite à Washington, prévue dans les prochaines semaines, le Premier ministre a répondu: "Absolument. Cela doit être fait avec le soutien et l'accord américains. Nous avons besoin de leur appui", a-t-il dit, en allusion à l'aspect financier de l'opération.

Quatre Palestiniens, dont un responsable local du mouvement intégriste Jihad islamique, ont été tués lundi à l'aube durant un raid militaire israélien à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.

Parmi les Palestiniens tués figurent Yasser Abuleish, 26 ans, chef de la branche militaire locale du Jihad islamique, ainsi que son frère Hussein, 38 ans. Ils ont été tués lorsque les troupes israéliennes ont donné l'assaut de leur maison, alors qu'ils refusaient de se rendre. Les deux autres victimes sont un civil identifié sous le nom de Majdi al-Khatib, 32 ans, et un homme de 36 ans, Baha Joudah, qui était armé.

Ils ont trouvé la mort lors d'échanges de tirs avec un char israélien, a indiqué le chef de l'hôpital de Rafah, le docteur Ali Moussa. Un porte-parole de l'armée israélienne a confirmé qu'une opération avait été lancée près de Rafah "en vue d'arrêter des Palestiniens recherchés membres du Jihad islamique": "Lorsque les soldats se sont approchés de la maison où se trouvait l'une des personnes recherchées, des Palestiniens ont lancé une grenade et ouvert le feu". Un des soldats a été légèrement blessé au cours des échanges de tirs. Le porte-parole a également affirmé que le "corps d'un terroriste a été retrouvé par les soldats" et indiqué que ceux qui avaient participé à l'incursion s'étaient ensuite retirés. Le porte-parole n'a pas fait état des trois autres Palestiniens tués évoqués par des sources palestiniennes.

La ville et le camp de réfugiés de Rafah ont été ces derniers mois la cible de plusieurs incursions de l'armée israélienne qui cherche à détruire des tunnels utilisés pour la contrebande d'armes en provenance de l'Egypte, toute proche. La dernière opération remontait à jeudi dernier lorsque l'armée israélienne s'était retirée du camp de réfugiés de Rafah après une opération de 48 heures, au cours de laquelle une Palestinienne de 31 ans avait été tuée à son domicile et huit autres personnes blessées, dont plusieurs enfants. Des dizaines de maisons avaient été rasées ou endommagées, mais aucun tunnel n'avait été découvert.

Par ailleurs, un activiste du mouvement radical islamiste Hamas a été tué et quatre militaires israéliens ont été blessés lundi durant une opération de l'armée israélienne à Bethléem en Cisjordanie, selon des sources sécuritaires israéliennes et palestiniennes. L'activiste a été tué lors d'échanges de tirs avec les militaires israéliens dans le camp de réfugiés palestinien d'Aïda qui jouxte Bethléem. Deux des militaires blessés sont grièvement atteints.

Des dizaines de soldats étaient également déployés près du camp de réfugiés d'Aida d'où était originaire le kamikaze palestinien qui a tué onze personnes en se faisant exploser jeudi dernier à Jérusalem, a-t-on ajouté de mêmes sources. Selon des responsables des services de sécurité palestiniens, les soldats tentaient d'arrêter un activiste du Hamas, une des deux organisations qui ont revendiqué l'attentat de Jérusalem.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le lundi 02 février 2004 - 08h32:

La Douda a dit,
"Cela vous permettrait peut-être, de vous dégager de l’enlisement dans lequel vous plonge, le marécage des sempiternelles jérémiades."

Et elle a ajoute,

"Mais alors et réciproquement, surtout si l’on est des adeptes de la démocratie, et de la liberté d’expression, il faut bien sur laisser à la Douda le droit de s’exprimer tant sur le fond que sur la forme."

Ce qui est bon pour la Douda n'est pas bon pour Davideden?!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Libre a chacun de vivre ou il veut, d'aller passer ses vacances ou il veut, mais la verite ne doit pas etre escamotee et transformee.
Les Arabes de Tunisie nous ont rejete.

Et comme je l'ai deja dit, nous etions en "galout" en Tunisie, et baroukh Achem nous sommes revenu aujourdh'ui sur notre terre D'israel que D.. nous a promis.

Cette annee la pluie bienfaitrice nous a gatee, et deja,tout est vert,et des fleurs embellisent le pays,c'est un plaisir pour les yeux et l'ame.
Je vous invite donc a vous joindre a nous sur la terre benie d"israel.
Chalom et Brahka.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le lundi 02 février 2004 - 08h12:

Extrait d'un chapitre du livre en préparation:

"Les mémoires d'un déraciné."

Chapitre: l'empreinte des juifs en Tunisie.

En exclusivité pour HARISSA.

A l’époque la télévision n’existait pas encore en Tunisie, mais le cinéma était la grande attraction de tous les enfants, comme celle des adultes d’ailleurs.

Il y avait beaucoup de salles de cinéma dans cette ville.

On projetait les films de l’époque tels que Spartacus, Quo-vadis, Les derniers Jours de Pompéi, Dracula, Mangala la fille des indes qui était l’un des plus fameux films hindous, il y avait aussi beaucoup de Westerns, des films égyptiens en arabe sous titrés.

Une place de cinéma valait assez chère pour des enfants de cet âge, à l’époque les temps étaient durs pour les parents non musulmans qui se préparaient au départ de Tunisie vers des pays d’espérance au vu des temps incertains qu’il y avait en Tunisie après l’indépendance.

Mais toute la communauté juive dont l’origine en Tunisie remonte à l’ancienne antiquité et qui compte à peu près 120.000 âmes ne pouvait pas quitté définitivement ce pays natal, se disait Jean Claude.

Les Juifs sont arrivés dans cette terre de Tunisie après la destruction du premier temple de Jérusalem en 582 avant notre ère et bien longtemps avant les arabes, d'ailleurs le peuple arabe n'existait pas à l'époque.

A l’époque c’était l’empire de Carthage, les premiers juifs s’installèrent en premier lieu à Salammbô pas très loin de la baie de Carthage et à quelques kilomètres de l’actuelle ville de Tunis.

D’ailleurs ces premiers hébreux baptisèrent Salammbô de l’hébreu «Shalom bo» signifiant «Paix ici».

Plus tard les juifs de Salammbô qui prospérèrent, rachetèrent aux autorités babylonienne par l’intermédiaire d’émissaires une partie de leurs frères qui étaient captifs du roi Nabuchodonosor en Babylonie, l’actuel Iraq d’aujourd’hui.

Ces derniers rachetés par leurs frères de Salammbô arrivèrent par bateaux via le port de Tyr au Liban, mais à leurs arrivés a Salammbô les autorités locales leur interdire le débarquement pour une raison mystérieuse.

Ils furent obligés de débarquer plus au sud sur une île pratiquement déserte qu’on appelait alors Meninx, qui plus tard pris le nom de Djerba mot dérivé de Griba, la fameuse synagogue de l’île.

Ces juifs à travers les siècles on eu une importante implication dans tous les domaines que se soit culturel, pédagogique, médical, économique, auprès des pouvoirs politiques ou de celui des habitants, autant au moyen âge que sous les dynasties aghlabide et fatimide, et même au temps des Beni Hilal ces envahisseurs cruels venus d’Egypte détruisant et assassinant beaucoup de monde lors de leurs passage pour islamiser l’Afrique du nord.

Un rôle important on joué aussi les juifs de Tunisie l’édification de la Tunisie moderne ?

Singulièrement Jean Claude pensait, mais pourquoi doit-on tout quitter ? Tout oublier ? Pourquoi sommes nous obligés de partir ? D’être déracinés de ce pays natal ?

Le nouveau gouvernement de Bourguiba veut tout ignoré de la présence des juifs en Tunisie, il essaie de faire en sorte, comme si les juifs n’ont jamais existé dans ce pays.

Pourtant des preuves indélébiles existent de la présence des juifs en Tunisie.

Et ce malgré la volonté du pouvoir de détruire la majorité des cimetière juifs,de banaliser et désacraliser les lieux de culte juifs, camoufler les signes juifs tels que les décorations de chandeliers a sept branches trouvées lors de recherches archéologiques à Carthage.

Mais pourtant se dit Jean Claude, il y a nos maisons, nos commerces, nos médecins, nos journaux, nos livres, nos artistes, nos architectes, nos sportifs, notre cuisine, notre musique mais tout dans ce pays est imprégné de la culture juive.

Tout dans ce pays porte l’empreinte de la présence des juifs.

Victor Cohen. Copyright 2004.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 02 février 2004 - 00h33:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste : ..Les maths, la physique, la chimie… ? Des matières qui non jamais étaient mes
disciplines préférées.

Ya Bébert, bien sur que ça sert à rien ! Quel est le brel qui t' a dit que ça devait servire à quelque chose ?

Mais c’est comme le “Fteïl ou le Tarfisme”, parfois ça peut servire, Chkoun y aref ? Même le
plombier il en a plein dans sa boite à outils Zekch !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 02 février 2004 - 04h49:

c:/

Envoye par Avraham

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 02 février 2004 - 00h20:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste : COCKTAIL PINA COLADA

• Pour 6 personnes
• Préparation : 5 mn
• Réfrigération : 1 h


Une boisson que les amateurs de cocktails authentiques dégusteront avec plaisir. Le lait de coco, le jus
d' ananas et le rhum constituent un mélange vraiment très savoureux ponctué par l' onctuosité du lait
concentré.


Décorez vos verres avec du sucre. Avant de verser le cocktail, humidifiez le bord des verres que vous
tremperez ensuite dans du sucre en poudre.

• 1/2 boîte de 397g de Lait Concentré Sucré Nestlé
• 10 cl de rhum brun
• 20 cl de lait de coco
• 1/2 litre de jus d' ananas

1. Mélangez tous les ingrédients dans un shaker ou à défaut, dans un grand récipient à l' aide d' un
fouet.
2. Laissez macérer 1 heure au réfrigérateur et servez bien frais.

C' est aux antilles que vous trouverez les meilleurs pinas coladas classiques, servis dans des ananas
démunis de leur chair, à déguster à l' ombre d' un palmier... divin !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 02 février 2004 - 00h19:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste : SHARM EL SHEIKH ACCIDENT? DETOURNEMENT ou TERORISME?
"l' avion aurait dû se diriger vers une direction, mais en fait il est allé vers une autre".

Le Boeing 737 devait virer à droite après le décollage, au lieu de cela et selon toutes vraisemblances il a viré à gauche. Une explication semble pour l’instant être envisagée, un défaut de la gouverne dedirection, qui serait à l’origine de deux crash mortels qui se sont produit aux USA.

Il est bien trop tôt pour être affirmatif dans ce cas.

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le lundi 02 février 2004 - 00h17:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Tarfiste : Tu as bien choisi ton pseudo, tu ne peux pas t’empêcher de critiquer, c' est une "DOUDA"un vers qui ronge.

Cher Henri, un grand merci pour le compliment ! Mais sache bien qu’il est hors de question que la
Douda ( Sur ADRA, lieu de tous les décorticages des glibettes et commentaires en tous genres), il est hors de question que la Douda n’ait envisagé un seul instant, d’empêcher quiconque d’exprimer Sa Vérité ni Ses Opinions !

Le Vers n’est pas assez cinglé pour ronger la branche sur laquelle il est installé, ontemplant la maréede toutes les écritures, et se délectant de tous les super kif, que cette marée lui apporte au cours du sac et du ressac !

Mais alors et réciproquement, surtout si l’on est des adeptes de la démocratie, et de la liberté d’expression, il faut bien sur laisser à la Douda le droit de s’exprimer tant sur le fond que sur la forme.

Nous sommes certains que tu es d’accord avec cette requête.

Sois heureux et ftile en paix!

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 01 février 2004 - 22h11:

TUNE CELEBRE D'ISRAEL

Un grand bonjour d'Israel
Je voudrais ajouter un Tune celebre d'Israel.
C'est Tal Menahem (Tuil Andre) - Ingenieur general du ministere de la sante de
la zone de Haifa - Israel.

Bien a vous,

Danielle Zveda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le dimanche 01 février 2004 - 22h01:

c:/


Madame, Monsieur,



A Montréal nous mettons à peu près 10 minutes pour allez de la Place Ville Marie à la rue Crescent.

A Paris, nous mettons à peu près 10 minutes pour aller de l’Ecole militaire à la Tour Eiffel.

En quoi est-ce important ? Parce que ce temps est identique pour un terroriste palestinien qui va de Kalkilya sur la Rive occidentale à Kfar Sabah en Israël.

Israël comme la France (ou le Canada), a le droit et l’obligation de contrôler les personnes entrant sur son territoire.

On ne peut exiger d’Israël plus que ce que l’on demande à ses propres services de sécurité, spécialement lorsque qu’Israël fait face à une campagne de terrorisme ininterrompue.

Depuis 3 ans et demi, plus de 900 israéliens on été assassinés lors de 19 000 attaques terroristes.

A la lumière de ces statistiques il est tout simplement impossible de parler de mesures de sécurité israéliennes - telle la barrière de sécurité - sans dire que ces attaques terroristes palestiniennes ont rendu ces mesures nécessaires.

Il a été très difficile pour Israël de prendre la décision de construire une barrière de sécurité. Cependant une majorité d’Israéliens, appartenant à l’ensemble de l’échiquier politique, a fini par penser que c’est malheureusement devenu une obligation.

De nombreuses critiques sur la barrière arguent de son inefficacité. Pourtant son efficacité a déjà été testée et prouvée.

Depuis 3 ans, seule une sur 124 attaques suicides est venue de Gaza, bien que Gaza soit la place forte du terrorisme palestinien.

La raison en est malheureusement claire : à Gaza il existe une barrière de sécurité, contrairement à la Rive occidentale.

La construction de larges portions de la barrière de sécurité a rendu difficile aux infrastructures terroristes, basées au nord de la Rive occidentale, de faire passer des terroristes en Israël. Le mois dernier une épouvantable attaque terroriste contre une école dans la ville de Yoknéam a été évitée grâce à la partie nord de la barrière, qui a obligé les terroristes à passer plus au Sud, donnant le temps aux israéliens de déjouer l’attentat.

Les photos dans les médias montrent la barrière comme un mur alors qu’en réalité 95% de cette barrière est faite de fils de fer. Les parties de mur en dur se situent le long des routes principales israéliennes, pour lesquelles la moindre menace pourrait paralyser le pays.

Il est malheureusement vrai que la barrière créera des inconvénients à quelques agriculteurs palestiniens qui seront séparés de leurs champs.

Le Gouvernement travaille à ce que les résidents palestiniens soient consultés le plus possible sur le tracé de la barrière ; il existe également des actions judiciaires en cours, certaines concernant la constitutionnalité de la loi. Parallèlement Israël essaie continuellement de trouver des moyens pour faciliter la vie des populations palestiniennes.

La semaine dernière par exemple 34 000 personnes ont obtenu des permis pour travailler en Israël.

Israël venait à peine de délivrer ces permis de travail supplémentaires qu’une femme s’est fait exploser à l’une des entrées de la bande de Gaza, au point d’accès principal vers Israël, le terminal d’Erez, tuant quatre israéliens.

Ce passage permet aux Palestiniens de se rendre en Israël pour travailler et est considéré comme le symbole de la coopération officielle entre Israël et l’Autorité Palestinienne.

Cette attaque montre clairement comment le terrorisme palestinien ne nuit pas qu’ aux israéliens, mais aussi aux efforts faits pour améliorer l’économie palestinienne.



La barrière de sécurité n’est pas la solution idéale, mais elle est définitivement la plus efficace pour protéger des Israéliens innocents de la vague sans précédent de terrorisme palestinien. Le leadership palestinien, et tous ceux souhaitant une résolution pacifique du conflit, serait bien avisé de combattre le terrorisme plutôt que de lutter contre la barrière. Alors que les barrières sont réversibles, les pertes en vies humaines ne le sont pas.



Pour avoir plus d’informations et d’analyses concernant la barrière afin de vous aider à mieux appréhender sa réalité, vous pouvez consulter les sites suivants :

http://securityfence.mfa.gov.il/

http://www.mfa.gov.il/mfa/go.asp?MFAH0o3l0 (en français) La clôture de sécurité d'Israël



Cordialement,

Dina SOREK

Ministre-Conseiller à l’Information


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 01 février 2004 - 18h55:

Qu’as-tu fait de « Jérusalem » ? (fin) (info # 010102/4) [analyse]

Par Gérard Huber, correspondant permanent à Paris © Metula News Agency



Lors de mon récent voyage en Israël, je me suis rendu compte que la question de la manipulation médiatique mérite vraiment d’être posée. En effet, le visionnage des rushes de Reuters devait nous apprendre, le lendemain de mon arrivée, que, le 30 septembre 2000, à Netzarim, l’armée israélienne avait bel et bien perçu le premier piège de la provocation palestinienne – le harcèlement du fortin israélien à coups de cocktails Molotov, de pierres et de pneus enflammés lancés par des adolescents – mais sans y tomber. En effet, indépendamment d’un combat entre deux « snipers » israélien et palestinien, il n’y avait pas eu de riposte israélienne à balles réelles (seules quelques balles en caoutchouc).



En revanche, elle n’avait pas perçu le second piège, et y était tombée à pieds joints, le bandeau sur les yeux : à savoir la multiplication de tournages de saynètes sur les lieux, où nombre de jeunes palestiniens sans armes apparaissaient comme touchés de plein fouet, tués ou gravement blessés, et portés en hâte dans une multitude d’ambulances, toutes préparées, le tout sous le regard de spectateurs ou de caméramans souvent amusés, qui parfois, se prenaient au sérieux, comme un certain Talal Abou Rahmé.



C’est de ce sujet que je souhaitais parler avec Charles Enderlin, lorsque, sitôt en Israël, je lui demandai un entretien. Je dois à la vérité de dire que celui-ci l’a refusé. Il n’y avait manifestement pas d’abonné au numéro que j’avais demandé.



Car, l’effet de réalité de la fiction, sur laquelle La Ména a déjà beaucoup écrit et qu’il faudra encore analyser à l’avenir, fut tel qu’Enderlin, qui, au moment du tournage à Gaza, était à Ramallah, devait, de retour à Jérusalem, prendre les images de la mort du petit Mohamed pour argent comptant, sans vérifier quoi que ce soit et y croire mordicus.



Autre chose est, bien sûr, le fait que, dans son livre Le Rêve Brisé, il n’hésite pas à faire référence à des témoins, sans d’ailleurs être capable d’en citer aucun, pour attester que l’enfant avait bel et bien été tué par des balles provenant de la position israélienne.



Et autre chose encore est le fait qu’il maintient inchangée sa version des faits dans la publication de son livre aux Etats-Unis, en octobre 2002, alors qu’elle a lieu quelques semaines après que Talal, son « témoin », lui a eu envoyé (le 30 septembre 2002) le désaveu de son témoignage accusateur des Israéliens, ce même témoignage qu’il avait fait sous serment le 3 octobre 2000 auprès de l’Organisation palestinienne des droits de l’Homme de Gaza.



Car Enderlin ne prend même pas la peine d’informer ses lecteurs américains, ne serait-ce qu’en note, que Talal a désavoué le noyau même de la version des faits qu’il leur livre.



Autant dire que la question de la duperie est au centre des débats. Pour certifier que le meurtre d’un enfant a eu lieu, sans en avoir été le témoin, mais uniquement sur la base d’images ne montrant ni de sang ni de traces de balles dans le corps, faut-il être la dupe de sa bonne foi ou être dupe de celui ou de celle qui vous a adressé ces images ?



Partons de l’hypothèse qu’être la dupe de sa bonne foi c’est la même chose qu’être la dupe de la bonne foi que l’on attribue à l’autre (l’émetteur des images), et que c’est cette confiance en l’autre qui étaie la sincérité avec laquelle on est la dupe de soi-même. Qu’est-ce que ce désaveu change ?



Et d’abord, pour qu’il ne change rien, ne faut-il pas qu’il soit interprété, ce désaveu, comme l’effet d’une pression extérieure, comme si cet émetteur avait été obligé de désavouer son témoignage ?



En tout cas, Enderlin fait comme s’il ne croyait pas en l’authenticité du désaveu de Talal. Il tient donc à la foi qu’il place en son caméraman, son coéquipier, ce qui, bien sûr, est tout à son honneur, mais pas à sa celui de sa perspicacité.



Avant le 30 septembre 2002, et apparemment même après, il semble trouver que la contre-enquête de France 2 n’a pas de raison d’être. « Ne serait-elle pas », semble-t-il se dire, « une manière de céder à des menaces, voire à l’ignominie » ?



Peut-être pense-t-il, à l’époque, que France 2 n’a pas à tenir compte de ce qu’il perçoit comme une campagne d’intimidation qui viserait à le transformer en complice d’un assassinat et à accuser la chaîne nationale d’antisémitisme ? Peut-être pense-t-il même que répondre à la pression extérieure par une contre-enquête serait porter atteinte à la liberté d’informer ?



Peut-être tout cet échafaudage d’objections se trouve-t-il bel et bien derrière le refus de mettre en doute le bien-fondé de la foi qu’il place en son caméraman ?



Il n’en reste pas moins qu’il faut dire quelque chose, si l’on a quelque chose à dire et si l’on a de bonnes raisons de le faire. Notamment, lorsqu’un « dessin animé »¹ glauque vous assène des coups, parce qu’il vise à vous faire croire à la réalité d’un meurtre qui n’a pas eu lieu.



Il est tout de même intéressant de noter qu’en réponse à l’article Who shot Mohammed Al-Dura ? (Qui a abattu Mohammed Al-Dura ?) publié, en juin 2003, par James Fallows dans The Atlantic Monthly, Enderlin prend position sur une phrase et une seule dans le courrier des lecteurs qui paraît en septembre.



« James Fallows writes », écrit Enderlin, « The footage of the shooting… illustrates the way in which television transforms reality » and notably, « France 2 or its cameraman may have footage that it or he has chosen not to release ». We do not transform reality. But since some parts of the scene are unbearable, France 2 cut a few seconds from the scene, in accordance with our ethical charter ».²



De quelles parties de la scène parle-t-il ? De celles qui appartiennent aux deux minutes et demi de rushes que France 2 a remis à l’enquêteur israélien et qui ont disparu du reportage de cinquante secondes, lequel a fait le tour du monde. Or, loin d’être des images d’agonie, ces images révèlent, au contraire les gestes et les mouvements d’un enfant vivant, et loin d’être à l’article de la mort, puisqu’il regarde la caméra, après avoir soulevé son épaule.



Nous avons donc là affaire à un retournement typiquement inconscient (soit à une manipulation du film de la part d’escrocs absolument conscients Ndlr.). Sous le coup d’une intense émotion, le spectateur (car Enderlin est un spectateur en la matière) interprète les gestes d’un être vivant comme des signes d’un cadavre.



Quant à la référence à la Charte d’éthique de France 2, elle est tout à fait singulière. En effet, cette Charte exige que France 2 corrige explicitement l’information, lorsqu’elle a été erronée, et au sein même du Journal de 20 heures, pendant lequel elle a été délivrée. Or, si France 2 a déjà admis que le commentaire initial d’Enderlin qui accusait les Israéliens était erroné, elle ne l’a fait savoir qu’implicitement, au sein d’un reportage Le Rêve Brisé, paru le 4 novembre 2002, d’où il a disparu, non sans laisser courir, d’ailleurs, l’autre partie du commentaire qui affirme que le petit Mohamed est mort.³



Autrement dit, Enderlin et France 2 font fonctionner un déni performatif dont la caractéristique est le renvoi en boucle de l’élément primordial dénié : l’existence du sujet irréductible à l’interprétation qu’il donne de l’image.



Face au sujet du discours d’investigation – La Ména, Fallows etc.- Enderlin et France 2 se font disparaître en tant que sujets. Talal fait un désaveu, Enderlin l’ignore, malgré son propre démenti, France 2 ignore La Ména et s’identifie à la réponse en forme de déni que Enderlin adresse à Fallows… déni performatif, il est vrai, encouragé par l’Etat d’Israël, sa justice et son armée qui ignorent délibérément France 2, au point de n’avoir jamais demandé (dans les règles Ndlr.) la totalité des rushes de France 2 au service juridique de la chaîne nationale.



On connaît la performativité du discours. Ce qui la rend possible, c’est l’opération préalable qui consiste à taire l’auto annulation de soi comme sujet de son énoncé. Elle produit des effets d’autant plus violents qu’elle déroule un automatisme de la pensée qui inscrit ses objets en termes binaires : blanc ou noir, vrai ou faux… Lorsque triomphe la performativité, il n’y a plus de débat possible, car chacun est du côté de l’un ou de l’autre des deux termes. Il n’y a plus que du lobbying.



La Ména est une Agence de presse, non un lobby. La résolution de l’énigme Mohamed Al Dura l’intéresse pour une raison et une seule : la fausse clôture d’une énigme permet à la rumeur de s’installer puis de redoubler de vigueur.



Aujourd’hui, il n’est plus grand monde pour contester les résultats de l’enquête de La Ména. Même les leaders d’opinion du Monde (Sylvain Cypel, Gilles Paris) se taisent. En un sens, la tâche de La Ména est terminée.



Oui, mais en un sens seulement. Car, c’est une évidence pour chacun que La Ména n’a nullement mis un terme aux effets antisémites que la diffusion de ce reportage a produits en France, dans les pays arabes et dans le monde.



Certains pensent que nous faisons de l’acharnement, ou que nous poursuivons un autre but que celui de la seule révélation de la vérité.



Ces objections pourraient être vraies, si le faux meurtre médiatique du petit Mohamed n’était pas une clef pour comprendre comment l’opinion mondiale a basculé soit vers une tolérance soit vers une accentuation de l’antisémitisme, à partir de la Seconde Intifada.



Car, l’autorité de la chose télévisée a convaincu les plus ardents défenseurs du devoir de mémoire envers les victimes juives de la Shoah qu’ils avaient un autre devoir à faire : celui de dire ce qu’ils pensent être la vérité au sujet de l’armée israélienne, qui, pour être composée majoritairement de descendants des survivants à la Shoah, n’en serait pas moins devenue, selon eux, une cohorte de massacreurs d’enfants palestiniens.



L’autorité de la chose télévisée a corrompu le cœur. Elle a appris à l’opinion publique comment tolérer les crimes contre l’humanité que sont les attentats-suicides palestiniens.



Mais n’était-ce pas le but qui était recherché par les metteurs en scène palestiniens du faux meurtre médiatique de Mohamed Al Dura ? (Et par l’auteur du commentaire mensonger, qui seul, dans le reportage, affirme que les tirs qui ont tué l’enfant provenaient de la position israélienne et que "l’enfant est mort" ? Ndlr.)





Notes

¹ Pour justifier le passage de ce reportage, Charles Enderlin dit : « Sur le terrain, nous montrons la réalité comme elle arrive, un point c’est tout. Si les images sont violentes, c’est parce que la réalité est violente. Après, si les gens refusent de voir cette réalité, ils n’ont qu’à éteindre leur poste. Le journal télévisé n’est pas un dessin animé » (http://pedagogie.ac.aix-marseille.fr).



² « La scène du tir… illustre la manière qu’a la télévision de transformer la réalité, » et notablement, « France 2 ou son caméraman peut posséder la scène qu’elle ou lui [le caméraman] a choisi de ne pas divulguer ». Nous ne transformons pas la réalité. Mais puisque certaines parties de la scène sont insupportables, France 2 a coupé quelques secondes de la scène, en conformité avec notre charte éthique ».



³ Modifier le commentaire antérieur d’un reportage d’information signifie, en effet, forcément que l’on admet que le commentaire initial était erroné. Il faut cependant différencier radicalement entre l’admission implicite, comme c’est le cas ici de la part de Charles Enderlin, qui peut avoir l’effet de prolonger l’effet de duperie en essayant de la faire oublier et l’admission explicite, qui seule vaut reconnaissance d’une erreur. (Ndlr.)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le dimanche 01 février 2004 - 18h20:

Cukierman à la fois inquiet et rassuré après le dîner annuel du CRIF


PARIS (AFP) - Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Roger Cukierman s'est dit dimanche à la fois inquiet de l'ampleur de l'antisémitisme en France et rassuré par les mesures prises par le gouvernement ces derniers mois.

Interrogé sur France Inter au lendemain du dîner annuel du CRIF sur le fait de savoir s'il était rassuré par les propos tenus la veille par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, M. Cukierman a répondu: "oui et non".

"L'antisémitisme est en train prendre de l'ampleur en France, notamment chez les jeunes, donc c'est un sentiment d'inquiétude et d'angoisse que j'ai essayé de transmettre au Premier ministre. Oui, dans la mesure où les mesures prises par le gouvernement ces derniers mois sont très fermes et semblent manifester très clairement la volonté du gouvernement de lutter contre l'antisémitisme", a-t-il déclaré.

M. Raffarin a annoncé samedi que le gouvernement allait proposer des amendements au projet de loi sur les communications électroniques afin de donner au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) les moyens de faire cesser la diffusion de programmes satellitaires à caractère raciste ou antisémite.

Roger Cukierman s'est dit dimanche "très heureux" de cette annonce du Premier ministre qu'il avait alerté sur la diffusion d'un film reprenant tous les poncifs antisémites sur la chaîne du Hezbollah basée au Liban.

Le président du CRIF a par ailleurs estimé que le Proche-Orient était un "prétexte" aux actes antisémites en France.

"Je considère que les Juifs sont un peu les sentinelles de l'histoire: quand quelque chose va mal sur le plan des violences, les Juifs sont les premiers à écoper (...). On prend le prétexte du Proche-Orient. Il y a une maladie de la société française: ces jeunes sont mal intégrés et trouvent des bouc-émissaires. Nous, les Juifs, servons de bouc-émissaires", a-t-il dit.

M. Cukierman s'est également prononcé "pour une loi qui montre que la France ne veut pas se laisser entraîner vers le prosélytisme islamiste", évoquant le projet de loi sur la laïcité, qui interdit les signes religieux ostensibles à l'école, comme le voile islamique et la kippa.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 01 février 2004 - 17h49:

LES MEMOIRES D’UN GOULETTIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)


18/6/89

‘ A+B FACTEUR DE A-B = VENDEUR DE CREMES…’

Au début, tout allait pour le mieux. L’apprentissage du calcul avec des bûchettes colorées -j’en perdais la moitié- s’est fait sous les auspices de ma tante Poupèe et de ma mère, suivi de beaucoup de claques.
Puis est arrivée l’ardoise noire ….Les baffes ont redoublé d’intensité. Elle était si mouillée par mes larmes que je passais plus de temps à l’essuyer qu’à la violer avec ma craie.
Après des efforts méritoires ‘circonstanciés et circonstanciels’, j’apprivoisais les additions,’ les sous…., Les divis…, et les multipl…..’.
Sont arrivés -in yaddin raddèm - les 1300 problèmes du blid BLED avec les trains et les cyclistes.
Dés fois, un connard de piéton se mêlait à l’affaire alors qu’on ne lui a rien demandé. En prime, les fractions. les 3/4, les 6/10, les 8/9 d’un gâteau d’anniversaire à partager entre Jacques, Lionel, Tiberi et Bertrand Delanöe –ils sont toujours quatre et les même. Les bougies, c’est pour moi. Je pataugeais dedans comme dans une mare de boue.

Ensuite, la lumière que je fût, du affronter les équations, -belyafiè yè diwen-, les mises en facteur –gbour ou jbèben (tombes dans un cimetière) avec un couronnement inattendu les racines carrées….Heureusement qu’il n’y avait pas de rectangulaires en ce temps là. Une euphorie mes amis.
A quoi cela m’a t’il servi aujourd’hui de savoir que A2 + B2 = (a + b) ( a –b) ?
Hein.. ? Dites le moi i yaiche kom (que vous vivez)….brassboukôm ( sur la tête de votre mère)…brassômkôm( sur la têtes de vos mères). Mettre des lettres alphabétiques entre parenthèses –alors que Brigitte Bardot défend ses chiens et chats au lieu de s’apitoyer sur le sort de ces lettres- c’est faire preuve d’une grande méchanceté…les emprisonner alors qu’elles méritent la liberté n’est pas conforme à notre constitution…j’aurai préféré être mis en parenthèses à la place de nos lettres. D’ailleurs même encore aujourd’hui ma situation, entre parenthèses, a évolué non pas grâce à ces savants calculs mais à mon intuition intelligente. A chacun hmoumou ou braddou…ou yelli yebki yalla bou ( son mauvais et son pire…et pour celui qui pleure sur son père… ?) . C’est beau les vers en judéo…

Les racines carrées… ? A t’on idée de faire un V avec une branche plus allongée que l’autre… pour protéger, comme un parapluie, des chiffres logés au premier étage tandis que ceux du dessous sont chapeautés par une barre horizontale… ?

Les équations… ? Je n’en parle pas puisqu’elles sont toujours fâchées avec Albert, cinquante après. Yèmchou neyk…..( elles vont se faire encu…)

La géométrie variable….. ? Les plans qui se coupent, s’entrecoupent, se superposent dans l’espace…. ? Pourquoi… ? Ils ont vu un futur ingénieur de la N.A.S.A mes profs pour que l’on m’apprenne ‘ces casse -couilles.. ?

Calculer des orbites ‘épileptiques et écliptiques’ …a 15 ans… ? Mais c’est quoi…. ? ils ont cru que j’allais aussi voyager dans l’espace, cette bande de miraculés…
Calculer des tangentes qui se rejoignent à un point C en évitant que B n’en souffre…. ?
Allez dire à un plombier, de calculer la tangente d’un tuyau de plomb ou de plastique passant sous un siphon bouché et qui doit rejoindre une cuvette de toilette trouée.

Franchement...a quoi cela m’a t’il servi.. ? Etait- ce bien raisonnable d’apprendre, à des futurs publicistes, assureurs, cocus, trompeurs de femmes, musiciens, escrocs en tout genre, vendeurs, comptables, toutes ces choses savantes. Je n’ai pas encore entendu parler d’un goulettois qui ait frôlé la lune ou mars…sauf avec ses yeux. Et encore…ils y en a qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez…quand ils ont la chance d’en avoir un.


Franchement….Je m’interroge encore, à cette heure là, sur ce fatras de connaissance qui me laisse pantois.

J’ai demandé à ma fille, Doris bachelière, qu’elle est le plus court chemin entre deux points superposés ? Elle n’a pas su me répondre et je la comprends puisqu’ils n’ont font qu’un. Ils font du sur place.

…..Les maths, la physique, la chimie… ? Des matières qui non jamais étaient mes disciplines préférées.

Je préférais la bonne conduite et le sport. A chacun son mezel. (Sa chance)

OULLE MENOU OULLE BQELLOU... Ou bien rien ou alors c est tout..