Archive jusqu'au 20/juin/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juin 2006: Archive jusqu'au 20/juin/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 20 juin 2006 - 07h02:

Sincerement, mon cher Davideden, je me serais rejouis d'une victoire de la Tunisie. Mais l'Espagne etait la plus forte. C'est la loi du Sport. C'est tant mieux comme ca. De toutes facons, L'Equipe de Tunisie a su defendre vaillamment ses couleurs. Ils mouillent leurs maillots eux! Non pas comme certains...
Quant aux juifs d'Espagne, je ne vois pas pourquoi, ils ne pourraient pas se rejouir meme si on les a chasses d'Espagne il y a plus de 500 ans (plus exactement, depuis 1492) ! Quant a nous, juifs de Tunisie, on nous a fait comprendre qu'on etait insesirables apres que la Tunisie ait obtenu son independance en 1956. Combien sont aujourd'hui en Tunisie, ceux qui se rappellent de la presence des juifs en Tunisie depuis plus de 2000 ans bien avant que les arabes ne conquierent la Tunisie en 670 et fondent Kairouan ? Dans les annees 1950-1960, il y avait pres de 120.000 juifs en Tunisie (soit a peu pres 3% de la population). Qu'en reste-t-il aujourd'hui (1000 a 1500 au maximum sur les 9 millions et demi de Tunisiens). Les traces que nous avons laissees durant ces deux millenaires sont progressivement effacees. Est-ce que le souvenir des juifs de Tunisie est evoque dans les livres d'histoire de la Tunisie ? Combien de ceux des generations de Tunisie d'apres 1956 ont eu connaissance de l'existence de juifs en Tunisie? Aujourd'hui, ils confondent juifs (meme s'ils sont originaires de Tunisie) et Israeliens.
Mon cher Davideden, essayons de ne pas melanger la Politique et le Sport bien qu'aujourd'hui, cela devienne de plus en plus difficile!
Je crois que vous m'avez entraine un peu loin dans mes reflexions, mais je n'ai aucune crainte de reouvrir le debat sur les raisons de notre depart de Tunisie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le mardi 20 juin 2006 - 00h31:

Les Juifs sefarades (donc d'Espagne) doivent donc se rejouir!! A moins que eux non plus n'ont pas apprecies d'etre evictes!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 20 juin 2006 - 00h12:

Espagne-Tunisie : 3-1

Kol Akavod a la Tunisie qui, pendant pres de 70 minutes, a tenu tete aux espagnols et a mene 1-0.
Finalement les plus forts ont gagne. Mais les Tunisiens ont encore une chance d'etre qualifies s'ils viennent a bout des ukrainiens et cela, a mon avis, reste encore possible. Allez la Tunisie ! Soutenons la, Soutenons les representants de notre Terre Natale ! Eux ils nous ont oublies. Nous on ne renie pas nos origines meme si, aujourd'hui, D.. Merci, j'ai eu la chance, avec les miens, de retrouver la Terre de mes ancetres, la Terre promise.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 19 juin 2006 - 23h28:

MESSAGE A MR DJACHEM...


NOUS SOMMES SUR SON TOIT...

REPARATION DANS UNE SEMAINE EN ATTENDANT ELLE DOIT SE PRESENTER DEMAIN AU CONCOURS DE MISS HARISSA....

ENVOYEZ MOI LES MAILS QUE JE LUI TRANSMETTRAI....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 19 juin 2006 - 23h57:

Paris, Judée (1ère de 2 parties) (info # 011706/6) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Non, non rien n’a changé…



Lors de la visite, cette semaine, du 1er ministre israélien M. Ehoud Olmert à Paris, certains ont pu se dire que les relations bilatérales entre la France et Israël avaient connu un grand coup d’embellie. Désolé de les faire déchanter mais ils se sont laissés prendre par les apparences faîtières que les deux clans avaient décidé de donner à ce sommet.



Chacun poursuit son propre agenda mais dans ces priorités mutuelles, la bienveillance de l’autre est bienvenue. Alors, puisque cela ne coûte rien, Chirac et Olmert ont convenu de ce mariage fictif et de raison. Ce qui importe au président du Conseil de Jérusalem, c’est que Paris ne se mette pas en travers de son projet de retrait unilatéral de la quasi-totalité de la Cisjordanie, comme l’Elysée et le Quai ont pris l’habitude de le faire à chaque mouvement d’oreilles d’Israël.



Acquis ! Sans pour autant que personne, parmi les hôtes des bords de Seine, ne soit allé jusqu’à apporter sa bénédiction aux intentions d’Olmert. Mais, de toutes façons, ce dernier n’en avait pas besoin et ne comptait pas dessus. Dans ces conditions, lors des discussions, on s’est surtout abstenu d’aborder les problèmes de fond. On a rempli ses poumons d’air, et on est resté au sommet des vagues, un sourire niais sur les lèvres.



Et cela, ces sourires, c’étaient la maigre contrepartie que demandaient Chirac et Villepin en échange de leur "attitude amicale". Dans quel but ? Seuls les provinciaux qui ne hument pas l’air de la capitale peuvent encore poser cette question : à l’Elysée et à Matignon, on est en pleine préparation préélectorale. Pas contre la gauche ni contre l’extrême droite, que non, contre Nicolas Sarkozy, bien entendu.



Et comme, depuis quelques temps, il court dans l’ex-Lutèce des bruits persistants selon lesquels les partis politiques auraient évalué de manière inadéquate le poids du vote juif et que le tandem Chirac-Villepin n’est pas précisément dans les bons papiers de cette communauté, il convenait de déclencher sans tarder cette offensive de charme en direction de ses chouchous israéliens.



Où se trouvait l’erreur dans le pesage du vote des Israélites ? – C’est bien simple, dans la hâte des prophéties de quelques mages, bien plus devins et antisémites que sociologues ; ceux-ci avaient omis d’intégrer des variantes prépondérantes dans l’équation. Leur réflexion s’était arrêtée au nombre de musulmans vivant en France face à celui des Juifs. Lorsqu’on pratique cette restriction, si vous me permettez un emprunt éphémère au vocabulaire turfiste : il n’y a pas photo !



Mais depuis, des scientifiques plus sérieux ont complété cette comparaison, faite sur le pouce, par des données qui leur paraissent essentielles. Certains de ces politologues ont même fait le lointain déplacement de Métula afin de nous présenter le fruit de leurs travaux. Sans entrer dans les détails, le chiffre de 6 à 700'000 Juifs français serait largement insuffisant pour évaluer leur poids électoral. Il faudrait le compléter par le niveau d’intégration de ces personnes, les rôles qu’ils jouent dans la vie publique, associative, économique et politique du pays, le multiplier par le temps que leur communauté a passé en France – depuis le second siècle de notre ère, cela commence à compter ! –, lui ajouter un nombre impressionnant d’individus de sang mélangé ayant conservé de l’empathie pour les intérêts de la communauté dont ils sont partiellement issus, afin d’obtenir une image révélatrice du poids électoral réel des Juifs au pays de Victor Hugo.



Les chiffres que nous avons ouïs nous semblent si élevés que je ressens une gêne authentique à les répercuter dans mon article. Sachez seulement que le volume occupé par les judaïsants (bah, comme ce terme me déplaît !) français n’est ni marginal, comme on avait pris l’habitude de le penser, et certainement pas négligeable.



Pour plaire à ce groupe de gens, n’en déplaise aux immenses philosophes que sont Johann Weisz, Dominique Vidal, Sylvain Cypel et Jean Daniel, pour ne parler que d’eux, il faut flatter Israël et montrer combien on l’aime. Alors, la fin justifiant les moyens, Dominique de Villepin a déposé au mont de piété sa paire de parenthèses, sans perdre l’espoir de la récupérer après les élections. Et Olmert a fait comme si Paris était un modèle d’équilibre dans la politique qu’elle mène au Proche-Orient et la manière dont ses media officiels couvrent les évènement qui s’y déroulent.



C’était si bien interprété, que Sarko lui-même s’y est laissé prendre. Il a dit à Olmert – et il s’agit, comme à notre habitude, d’une fuite véridique – que "lui avait toujours été l’ami d’Israël et qu’il n’avait pas attendu la période actuelle pour le devenir". Affirmation à laquelle, en vérité, et sans prendre parti, je ne trouve pas d’élément historique à opposer.



Une fine couche de vernis, c’est tout



Que Sarkozy ne prenne pas peur : on se déteste toujours autant, mais on fait semblant d’être amis comme des sangliers. Pour tout dire, au niveau personnel, Olmert et Chirac sont plutôt des gens sympathiques et doués d’un sens de l’humour consommé, et, ma foi, ils se sont fort bien entendus. Dire qu’il y a des opposants à la Ména qui étaient certains que j’étais incapable d’écrire la moindre remarque positive sur le président français… Au temps pour eux ! J’ajoute même qu’entre passer vingt-quatre heure avec Lionel Jospin ou avec Jacques Chirac, je choisirais le président ; non pour ses idées ni pour le respect très limité que me laisse son action historique, certes non, mais parce que je serais sûr de ne pas m’ennuyer !



Dans le fond rien n’a changé. Mais Paris n’a pas lésiné sur les dépenses pour les strass et les paillettes. Voilà quelques mois, Chirac avait attrapé la fine fleur des journalistes de l’Etat hébreu par les papilles gustatives, les conviant à un super show gastronomique dans la plus belle salle de son palais. Brillante initiative : lorsqu’on vous a ainsi flatté la panse, comment voulez-vous ensuite mordre la main qui vous a nourri ? Ce doit être parce que Jacques a oublié de poster notre invitation que nous continuons à le poursuivre de notre intransigeance…



Ce n’est pas tout, l’ambassade tricolore à Tel-Aviv se multiplie afin d’organiser moult conférences, expositions, spectacles, débats et rencontres. Le clou de ses efforts, ce fut, il y a quelques semaines, un gigantesque feu d’artifice en face des plages de la capitale économique d’Israël. LE feu d’artifice de Tel-Aviv, en fait ! Heureusement que les SDF du quartier de la Gare de Lyon lisent rarement la Ména, car ils demanderaient la raison pour laquelle Chirac offre le superflu aux Télaviviens, qui ne manquent pas de feu et ne lui avaient rien demandé, tout en laissant leurs gamelles aussi mal garnies. La politique aussi a donc ses raisons que les SDF ignorent.



Nous, à la Ména, les infatigables empêcheurs de pyrotechniquer en rond, nous aurions bien sûr préféré, comme cadeau de réconciliation, que l’Elysée donne son feu vert pour que Pujadas puisse enfin dire aux Français la vérité sur la mise en scène de Nétzarim ! Mais l’autocritique, c’est bien connu, n’est pas française ; comment espérer la vérité sur Mohamed Al-Dura, alors qu’Alfred Dreyfus attend toujours, dans sa tombe, que la justice française l’innocente, et que les familles des ouvriers algériens précipités par la police depuis les ponts dans la Seine, en 1961, attendent aussi, sans plus y croire, que leurs assassins soient condamnés. Même à titre symbolique ou posthume ! C’est dans cette expectation qu’ils ont pris la vilaine coutume de siffler la Marseillaise. Moi, sans vouloir fâcher personne, je les comprends un peu…



Jacques Chirac aurait fait plus d’effet sur les Juifs s’il avait exigé de son agence de presse semi-officielle qu’elle se mette à parler français. Et s’il avait gentiment demandé à l’AFP qu’elle envoie en Côte d’Ivoire ceux de ses fonctionnaires-journalistes hiérosolymitains qui se vantent, à la cantonade, d’avoir voté, lors des élections à la Knesset, pour un parti arabe réclamant la destruction de l’Etat d’Israël. Ce n’est même pas que je conteste le droit de tout un chacun à suivre ses préférences, mais c’est que choisir une telle personne afin d’établir le glossaire des actes d’Israël dans les media français, c’est presque une déclaration de guerre.



Et si Bécassine rentrait en Bretagne, le temps d’apprendre que l’entité sioniste s’appelle Israël, ne respirerait-on pas mieux entre Métula et Paris ?



L’Histoire française sur la voie des satyres de Métula



Jacques Chirac a beau faire les mauvais choix pour la France, les pygmées des media se contenter de nous diaboliser en chœur, car absolument incapables de soutenir la discussion quant à n’importe laquelle des preuves que nous affirmons dans la Controverse de Nétzarim, il se passe de drôles de choses lors de l’archivage de cet épisode capital de l’Intifada.



Prenez le [Nouvel Observateur], par exemple, et voyez comment il relate désormais cette affaire. D’abord, ce ne sont plus les tirs venant de la position israélienne qui sont à l’origine du pseudo décès de Mohamed, mais un échange de tirs entre Palestiniens et Israéliens. La différence est conséquente et l’hebdo de Jean Daniel ne croit plus ni Enderlin ni Rahma, mais surtout, il les expatrie, de même que France 2, les qualifiants de télévision étrangère. Quelle que soit la chaîne à laquelle ils pensent, elle ne mérite assurément pas cette insulte ; il faut que l’Hexagone s’occupe lui-même de ses porte-avions amiantés et de ses impostures médiatiques. Le monde n’est pas le dépotoir des erreurs de la France.



Extrait de la chronologie de l’Obs :



"Voici les faits marquants depuis le début
de la seconde Intifada, fin septembre 2000.

En 2000

- 28 septembre : la visite d'Ariel Sharon, chef du Likoud (opposition de droite), sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-est provoque des heurts entre Palestiniens et forces de sécurité israéliennes, faisant plusieurs dizaines de blessés.


(…)



- 30 septembre : Mohammad al-Dourra, 12 ans, est tué dans les bras de son père dans la bande de Gaza. Sa mort lors d'un échange de tirs entre Palestiniens et Israéliens, filmée par une télévision étrangère, devient le symbole du début de l'Intifada".



Quant au Monde Diplomatique, qui a dégradé ses rédacteurs en chef Alain Gresh et Dominique Vidal au rang de simples journalistes, pour parti pris anti-israélien obsessionnel au point d’être indéfendable et donc ingérable, il fait tout simplement abstraction de l’"assassinat" de Mohamed A-Dura dans sa chronologie de l’Intifada. Voici qui est plus simple et surtout plus sûr, même si ce genre d’amnésie ne fait pas du tout partie des prérogatives journalistiques usuelles :



[Chronologie de la deuxième Intifada (2000-2001)] du Monde Diplomatique.



Autre mauvaise note commune pour l’Obs et le Diplo – il y en a sûrement un qui a copié ! – en septembre 2000, alors que le 1er ministre est le travailliste Ehoud Barak, Ariel Sharon n’est pas le chef du Likoud. A cette époque, le chef du Likoud, c’est Binyamin Netannyahou.



Plus significative encore est la version des choses publiée par l’Institut Français de l’Audiovisuel, INA, sorte de [version officielle de l'affaire A-Dura] à l’intention des media et du public français. On y remarque que l’INA désavoue Enderlin en adoptant explicitement les conclusions de la contre-enquête de la Ména [1], puisque, pour l’institut de l’audiovisuel, celle-ci "établit" ("prouve". Larousse) que ce ne sont pas des tirs venus de la position israélienne qui ont tué Mohamed.



Dommage que l’INA ait pris la liberté – on ne sait d’où ! – d’affirmer que Mohamed était mort et que c’était l’armée palestinienne qui l’avait tué. Des gens aussi sérieux devraient savoir que l’Autorité Palestinienne dispose d’une force de police et non d’une armée. De plus, Charles Enderlin n’a jamais soutenu qu’il se trouvait sur les lieux de "l’assassinat" pendant qu’il "eut lieu". Ce qui ne l’empêcha toutefois pas d’accuser les militaires israéliens d’homicide, et de participer ainsi largement à l’embrasement de la région, qui allait coûter la vie à des milliers d’innocents, aussi bien arabes que juifs.



Extrait du texte de l’INA :



"Histoire & Société

Le conflit israélo-palestinien



Charles Enderlin, journaliste à France 2, et son caméraman sont présents. Leurs images attribuent les tirs à l’armée israélienne. Elles feront le tour du monde et la mort du jeune garçon deviendra le symbole de la deuxième Intifada. Mais deux ans plus tard, une contre-enquête est menée, établissant que la mort de Mohammed devait être attribuée à l’armée palestinienne. Le journaliste de France 2 est accusé d’avoir caché la vérité à ses téléspectateurs".







A suivre…





Note :



[1] Aucune enquête autre que celle de la Ména au sujet de la Controverse de Nétzarim, hormis celle de l’armée israélienne, sous la direction du physicien Nahum Shahaf, n’a jamais été publiée. L’enquête de l’armée fut complétée en novembre 2000 et ses conclusions présentées aux journalistes lors d’une conférence de presse.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le lundi 19 juin 2006 - 23h15:

Message personnel pour NAO:

Les mails reviennent de ta boîte perso

Bises

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 19 juin 2006 - 22h11:

Agence BREITOUNA AND C°.

Les médias israéliens ne perdent de temps pour annoncer un peu n’importe quoi.

A la recherche du sensationnel, joufem teJri, ( diarrhée) sans compter les déclarations hâtives de certains de leurs prophètes), ils n’hésitent pas avancer , alors que l’enquête sur la famille de Houda tuée prétendument par un obus israélien sur une plage et diligenté par les services de celle qui n’est pas muette, n’était qu’à ses premiers balbutiements.

Ce qui soulève bien des questions et de doutes aux yeux des opinions aveugles.

Je trouve bizarre cette précipitation qui ne fait que renforcer les convictions des ennemis d’Israël.

Encore ce matin, entendu sur Radio J, un responsable israélien, malgré les démentis de l’armée, prétend que l’obus est juif….. !!!

Reprenant ainsi la thèse mensongère du Hamas , passe maître dans la désinfo donnant ainsi de l’eau à leur moulin pourri.

Un mort qui ressuscite sous nos yeux, une affaire Duran montée de toutes pièces et reprise par l’enderlain mais démontée comme supercherie par la Mena, tout cela prête à penser que les palestos, en mal de sensationnel, sont à la recherche du spectaculaire.

Ils sont devenus des artistes dans le comique et le ridicule.

Ils tentent de trouver dans cette nouvelle affaire un élan de sympathie ternie par la lassitude qui se fait jour parmi les opinions occidentales qui commencent en avoir marre d’eux. Sondage à l’appuie.

Les palestos sont passes maîtres dans l’art du mensonge et de la mise en scène et personne ne doute plus, à part les petits nains de jardins piteux, ‘enderlainesques’ et compagnie, que ces gens là sont indignes de la confiance que certains gouvernements laxistes et bien charitables lorsqu’il s’agit de servir à fonds perdus les sous de leurs contribuables, leur porte.

Sans nul doute que la petite orpheline a été ‘complice malgré elle d’une autre tentative de subversion pour faire porter le chapeau à TSAHAL.
Ils s’apitoie sur cette malheureuse enfant alors qu’ils envoient leurs enfants se faire exploser.

Quelle logique… !

Tsahal qui est bien loin de ressembler à certaines muettes qui imposent le blak-out sur leurs actions n’a jamais caché sa volonté d’être transparente dans cette ‘guerre de petits pas’.

La jeune Houda a prétendu se baigner lorsque le drame est arrivé or des photographes sur place ont constaté que ces vêtements étaient secs d’une part et d’autre par comment se fait t’ils que les brigands du HAMAS forts de leur certitude sur la prétendue bombe ont t’ils si rapidement balayés les lieux…. ? Et comment se fait t’il aussi qu’ils n’aient pas analyse les éclats de bombe comme l’ont fait les analystes de Tsahal qui ont conclus à des éclats de mine palestinienne. ????

Certains journalistes objectifs sont même surpris par les déclarations de cette jeune fille qui raconte pour son âge des évènements qu’on lui a peut être suggérés. Alors ????

Lorsqu’on veut prouver une bavure et culpabiliser l’ennemi, il faut des preuves tangibles et pas des insinuations hasardeuses qui trompent le monde dans le seul but de faire passer TSAHAL comme des TUEURS de famille.


Lorsque Tsahal agit c’est de la micro chirurgie qu’elle entreprend lorsqu’elle cible ses terroristes et aucune armé au monde ne peut prétendre avoir un tel niveau de manipulation et de conscience dans la tache que ses ennemies l’ont cantonnée.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 19 juin 2006 - 22h13:

ASLAMA!!!!

La Tunisie joue aujourd'hui contre l'Espagne!!! Soyez nombreux à l'encourager!! Bon match à tous. Vive la Tunisie!!!

Elyssa

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 19 juin 2006 - 20h31:

A LIRE!

Pour votre information, ci-dessous cliquer sur l'url afin de lire cette excellente analyse:

Qui est coupable de la douleur qui s’exhale sur une plage ? Charles Krauthammer

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le lundi 19 juin 2006 - 20h12:

La droite progresse au sein de l'électorat juif
Cécilia Gabizon


Le nombre de responsables politiques présents la semaine dernière au dîner de radio J (de François Hollande à Philippe de Villiers) confirme l'enjeu du vote juif dans la perspective de 2007.


AU DÉBUT des années 2000, l'immense majorité des juifs de France se situaient à gauche ou au centre. Selon l'enquête du Fonds social unifié (1), 43% des juifs se disaient de gauche, 41% au centre et 14% seulement soutenaient la droite parlementaire. Tandis que 2% se revendiquaient d'extrême droite. Depuis, le curseur s'est nettement déplacé en direction de la droite parlementaire, en raison de l'inquiétude face à l'insécurité, des ratés de l'intégration ou encore des émeutes.

Mais au-delà de cette recomposition politique générale, les Français de confession juive ont de surcroît fait face à des agressions antisémites inédites depuis la Seconde Guerre mondiale. Entre 1999, où l'on avait compté 9 actes antisémites, et la fin 2000, avec près de 200 attaques, la sérénité d'une communauté souvent citée en modèle a volé en éclats. A l'époque, le gouvernement socialiste de Lionel Jospin tentait de minimiser la portée de ce nouvel antisémitisme porté par les enfants de l'immigration maghrébine. Gêné, le PS ne voulait voir dans ces agressions que de la banale délinquance. À l'extrême gauche, certains laissaient s'installer la confusion entre antisémitisme et antisionisme : la rage qui s'exprimait contre les juifs n'aurait été qu'une sorte de réplique des combats du Moyen-Orient. «Ce positionnement a pesé sur toute la gauche», analyse aujourd'hui Julien Dray. «D'autant que le PS n'a pas manifesté une position claire, ferme et lisible dès le départ», reconnaît encore le député de l'Essonne. «La gauche française considérait la communauté comme acquise, reprend-t-il, sans voir qu'elle s'était sentie abandonnée».

La désaffection aurait déjà pesé sur la présidentielle de 2002, assurent les socialistes. Des mots d'ordre en faveur d'Alain Madelin ou de François Bayrou ont effectivement circulé dans la communauté organisée qui réunit un tiers des 500 000 juifs de France. Les deux avaient participé au gigantesque défilé contre l'antisémitisme en avril 2002, ignoré du reste de la classe politique. Il faudra encore les manifestations contre la guerre en Irak et des dérapages antijuifs pour que les «principales figures du PS reprennent en main la question de l'antisémitisme», observe Patrick Klugman qui présidait alors l'Union des étudiants juifs. «Ils ont alors compris que des minorités discriminées pouvaient aussi être antisémites.» Par la suite, le discours s'est clarifié. Mais si les juifs ont pris acte du changement de ton, «cela n'a pour l'instant pas entraîné une réadhésion», estime celui qui siège aujourd'hui au Crif.

D'autant qu'en 2002, le nouveau ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, prête, une attention particulière aux actes antisémites. Il multiplie les discours de fermeté, se rend auprès des victimes, reçoit les familles. «Beaucoup de juifs éprouvent de la gratitude pour Nicolas Sarkozy», concède Roger Cukierman, le président du Crif. «C'est encore sous la droite que la politique extérieure de la France a changé», poursuit-il. La mort de Yasser Arafat, le retrait de Gaza ou encore l'assassinat de Rafic Hariri ont, selon lui, modifié la position française vis-à-vis d'Israël.

Pour Villiers, «un enjeu symbolique»

Pour autant, le président du Crif ne prend pas pour argent comptant le sondage et insiste sur la pluralité des voix juives, soucieux de préserver les «bonnes relations» avec tous les partis. Le vote UDF reste d'ailleurs très important. «C'est une option antigaulliste traditionnelle dans les milieux séfarades qui n'ont pas pardonné l'abandon de l'Algérie», analyse Jean-Yves Camus. C'est aussi un choix centriste traditionnel. Mais pour la première fois depuis des décennies, une partie des juifs s'est tournée vers la droite avec une forte demande de sécurité et la crainte désormais affichée d'un affrontement avec les musulmans. Cela n'a pas échappé à Philippe de Villiers. Il assure avoir reçu le soutien spontané de nombreux juifs inquiets de «l'islamisation de la France».

A son tour, le président du MPF a multiplié les soutiens à la communauté juive : manifestation pour Ilan Halimi, intervention rue des Rosiers après la descente de gros bras de la Tribu KA, des «suprémacistes» noirs. Lundi dernier, il s'est fait applaudir chaleureusement au dîner de Radio J, où plusieurs ministres et des présidentiables s'étaient pressés. Plus qu'une quête de voix, Philippe de Villiers cherche une caution, estime le politologue Jean-Yves Camus. «La communauté est un enjeu symbolique, pour donner une légitimité à son discours contre l'islamisme.»

(1) Enquête menée en janvier 2002 auprès d'un échantillon représentatif au niveau national des ménages juifs de France (1 132 personnes).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le lundi 19 juin 2006 - 11h30:

Lettre ouverte a Madame Arlette Chabot, directrice de l’information de France 2,

a la suite de l’emission « L’hebdo du Mediateur » du samedi 17 juin 2006.



Madame,



J’aimerais bien connaître votre position a la suite de la lamentable prestation, lors de cette emission , de vos deux journalistes Eric Monier, chef–adjoint du service de l’Etranger et surtout de Charles Enderlin, votre correspondant permanent de France 2 a Jerusalem. Il faut remarquer aussi l’absence du journaliste Bernard Lebrun qui a ete responsable du premier reportage tendancieux (commentaire en cabine a partir de Paris) du Vendredi 9 juin 2006.

Vous pourrez le constater, par vous-meme, en revoyant les images video de cette emission presentee avec beaucoup d’objectivite et d’honnetete par le Mediateur de France 2, Monsieur Christian-Marie Monnot.



Vous trouverez en pieces jointes les documents traitant de ce sujet, en l’occurrence celles concernant le traitement de l’information par votre chaine de l’evenement tragique « Deces des 7 membres d’une meme famille sur la plage de Gaza ».

Doc 1

Doc 2

Doc 3

Doc 4

Ci-joint une analyse supplementaire a ce sujet :



Doc 5



J’espere que, cette fois-ci, vous saurez prendre vos responsabilites en demandant une commission d’enquete interne ou independante qui pourrait, eventuellement, mettre en relief « Les vraisemblables bavures » de certains de vos reporters et de la redaction des informations. En tant que Directrice de l’Information, vous avez « vraisemblablement » visionne avec la redaction des Journaux Televises, ces differents reportages avant qu’ils soient diffuses sur votre antenne. Ces reportages ont ete aussi largement diffuses tout le long de la semaine, dans les differents bulletins d’information de France 2, sans oublier pour autant leur rediffusion sur TV5 dans le Monde entier.

S’il s’avere qu’il y a eu faute et non respect flagrant de « la charte du journaliste » telle qu’elle est definie et rappelee par France 2, j’espere que vous saurez, cette fois-ci, prendre les mesures appropriees afin de sanctionner ces fautes et ces abus. Alors en tirant tout a la fois les enseignements et les consequences , vous pourrez faire en sorte que de tels actes ne puissent se renouveller a l’avenir. Si cela etait fait, votre honneur et celui de vos journalistes dignes de ce nom, seraient sauvegardes. Si cela n’etait pas fait, vous me permettrez de douter de l’ethique de certains de vos "journalistes" telle que, je le rappelle a nouveau, cela a ete clairement defini et d’une facon detaillee dans « la charte du journaliste ».



J’espere recevoir une reponse a ma lettre, ce qui, malheureusement, n’a jamais ete le cas pour tous les courriers ou courriels (*) qui vous ont ete adresses auparavant sur d’autres sujets mais concernant toujours le meme theme : la Desinformation pratiquee dans certains de vos reportages et journaux televises surtout lorsqu’il s’agit du conflit israelo-palestinien.



Cordial Chalom,



Hector CHEMLA.



*Affaire David Pujadas

Lettre à Madame Arlette Chabot à propos de la désinformation du présentateur David Pujadas de France 2 )
13 novembre 2004 - Hector Chemla



Doc 6



Doc 7



etc…





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Affaire Thierry Thuillier sur son reportage : « œil surls planete : Questions interdites sur Israel »



Doc 8



Doc 9



etc…….



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Affaire Mohamed al Dura



Doc 10



Doc 11



etc………..