Archive jusqu'au 13/janvier/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Janvier 2004: Archive jusqu'au 13/janvier/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 13 janvier 2004 - 04h30:

A toi wnes, il me semble que tu preferes rester dans le sujet et dans les details. Ma reponse est tres claire il faut peut-etre la relire ou de declarer que nos vues sont divergentes

Amities

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mardi 13 janvier 2004 - 00h08:

Jean-Baptiste de Montety, c'est un nom trop beau pour être
vrai.
On dit machiavélique et non macabélique.
On ne vous a pas appris l'orthographe chez les frères
maristes ? À moins que ce ne soit chez les merr..ristes
Mais il y tellement de fautes non dues à des erreurs de
frappe que c'en est gênant pour l'aristocratie française.
Catholique de surcroît.

Je crois plutôt que vous êtes un farceur

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mardi 13 janvier 2004 - 01h35:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Controverse Harissienne :

Quand tu annonces : “ le terme Juif se réfère tant à une religion qu’ à un peuple”,

* Il suffit d’ ouvrire un dictionnaire à la bonne page, pour se rendre compte que c’ est loin d’ être le cas, car si cela était exacte, on pourrait dire que tous les adeptes du monothéisme, quelque soit leur obédiences, ou le courrant schismatique auquel ils adhérent, seraient des Juifs, car les origines de leurs
cultes se rattachent au passé plutôt lointain des croyances engendrées par les premiers Hébreux, et encore on n’ en est même pas certains, car il se pourrait que le monothéisme ait précédé le culte des Hébreux.

Ainsi selon toi, reconnaître une filiation spirituelle, suffirait à faire partie du même peule, du coup tous les adeptes du monothéisme deviendraient Juifs. Remarques que cela n’ est aucunement dérangeant et que l’ Humanité y gagnerait peut être!

Quand tu annonces : “Ce que vous appelez nationalité moi je l’ appelle citoyenneté”

* On est citoyen dans une république, et sujet dans une royauté, mais on peut être indistinctement nationaux d’ une république ou d’ un royaume, ce qui fait toute la différence entre citoyenneté et nationalité.

Amitiés,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le lundi 12 janvier 2004 - 23h01:

Site où on peut consulter le programme du 4ème Festival du Cinéma Israelien du 13 au 20 janvier

http://perso.wanadoo.fr/cjl-paris/infos/fest_film_is.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 12 janvier 2004 - 22h51:

Ne pas accepter le contact iskai94@msn.com. C est 1 virus qui va formater ton ordi..

Pour information.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 12 janvier 2004 - 22h04:

Not the slightest regret
By Yoel Marcus

"Haaretz", January 06, 2004

Eitan Ronel, a retired lieutenant colonel, returned his rank insignia to the chief of staff this week, along with a letter full of bitterness. "Human life has lost its worth and values we were raised on, such as purity of arms, have become a bad joke," he wrote (Haaretz, January 4).

Ronel's protest over the IDF's conduct in the territories is not the first and won't be the last. The reserve pilots, the Sayeret Matkal commandos and the 12th graders got there before him. Before them, there were the four Shin Bet chiefs and the former head of the Mossad. On top of that, we've got B'Tselem and Gush Shalom, plus the Beilins and the Sarids and the Burgs, who are big on peace with the Palestinians and feel their pain. We have committees of inquiry investigating how and why Palestinian women and children were killed in this or that operation. We have a High Court to which every Palestinian can appeal. We have a media that will not allow the least injustice or wrong to slip by. We have columnists whose hearts ache along with the Palestinians.

What I would like to know is why there is no one on the other side crying out against the Palestinian Authority's policy of hatred and bloodshed. Where is their B'Tselem? Where are the Palestinian refuseniks who object to the murder of women and children?

How come, when civilians are accidentally killed in one of our military operations, everyone clamors right away for an investigation, while their suicide bombers have no qualms about boarding a bus packed with children or entering a crowded restaurant and blowing themselves up, fully aware of who they are taking with them? Not only are they not denounced, but their families are treated with respect and showered with perks and pensions.

While we quarrel bitterly over ways to solve the conflict, the Palestinian government has only one way, and it begins and ends with violence. The Palestinians imbibe hatred of Israel with their mothers' milk. From childhood, they are taught that the Jews must die.

In their textbooks, it doesn't say, of course, that the ones who stole their rights were the Arab countries, who invaded the land earmarked for them in the UN partition plan when they attacked in 1948. It doesn't say that they were liberated from Arab occupation only in 1967 - by Israel. Actually, it's been easier for them to push for an independent state under Israeli control than it would ever have been under Jordanian-Egyptian rule.

Whenever a truly historical moment arises - the Oslo Accords, the Clinton-Barak initiative - that's when they go on a spree of suicide bombings in the heart of Israeli population centers. The Palestinians have crossed all the red lines. They have turned Israeli peaceniks into radicals, rousing them into angry rebellion against what is happening around them. But while we respond, while we torture ourselves, while we keep asking ourselves every second if we haven't gone overboard and maybe it's time to stop, the Palestinians have never shown the slightest regret over any attack, no matter how massive, no matter how cruel.

Instead of the Palestinian Authority keeping Hamas in check, it is Hamas that sets the tone. Even in times of grief and pain, the two peoples are poles apart. When we bury our dead, we weep quietly at the graveside. For them, every funeral becomes a raucous demonstration of hatred and incitement against Israel.

Israeli society is plunged in gritty debate. The government is being criticized for not doing enough to end the conflict. Before the intifadas, there were signs that coexistence was possible. Tens of thousands of Israelis flocked to the territories - to have their teeth fixed, to have their cars repaired, to do their food shopping. Hundreds of thousands of Palestinians worked in Israel proper.

Today, the only contact is via the barrel of a gun, the army checkpoint, the helicopter gunship, the Qassam rocket and the explosive belt. The IDF reprisal attacks in the territories may be brutal, but there are also people who feel sorry for the Palestinians' bitter lot.

Here one finds anger mixed with compassion; there, one finds anger mixed with loathing. Below the surface in Israel, hopes for peace continue to rumble. For them, hatred is total and blinding. Here they are with President Bush's road map staring them in the face, giving them a state of their own. And yet they won't do the one thing that will open the gate for them: dismantle terrorist infrastructure. Abu Mazen was ousted and Abu Ala will follow the orders of Arafat, who knows no other way but terror.

It is not a fence that will change things but tearing down the wall of hatred that the Palestinians have built between the two peoples.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 12 janvier 2004 - 22h14:

...Alors comment savez vous qu'il existent, comment savez vous que des synaguogues brulent, que des juifs sont attaqués ?
Monsieur de Montety.

Votre raisonnement refléte exactement la pensèe de la plupart d'entre vous, toujours cette même politique de l'autruche, mais dites moi, il vous arrive dés fois de voir la télè??? Les comiques de tous bords qui on fait des juifs français une caricature un peu trop simpliste, avez vous entendu la façon dont sont traitès les étudiants juifs dans les universitès etc..Bon sans vouloir m'étaler là dessus, ma réponse étant fort simpliste, vous allez recevoir les réponses de mes autres amis harissiens qui vont vous écarquiller les yeux...Quand à savoir comment on le sait, et bien figurez vous que nous faisons du porte à porte et dés fois nous recevons nos nouvelles par pigeons voyageurs avec une étoile bleue pas jaune. Sur leurs ailes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le lundi 12 janvier 2004 - 21h46:

je viens de lire votre article sur le web, et je ne suis pas d'accord avec vous.

Premierement si vous vous considérez comme un juif DE France, vous n'avez rien a faire en france, il n'y a en France de place que pour des juifs français.

2- Vous atribuez aux média et aux pouvoir en place un france un role macabélique, qui forme une sorte de complot contre les juifs.
La France est une démocratie, chacun peut s'y exprimer et c'est normal que chaque propos tenu dans la presse ne puisse pas vous plaire.
En parlant de presse vous trouvez que les actes antisémites ne sont pas dénoncés....
Alors comment savez vous qu'il existent, comment savez vous que des synaguogues brulent, que des juifs sont attaqués ?
Moi au contraire j'ai vu dans la presse ce genre de fait antisémites reporté tres largement, mais forcement on ne va pas parler que de ca comme vous le voudriez.

Enfin je trouve votre amertume et votre haine a l'egard de la france désespérente car vous accusez la France de la meme chose que certains en France accusent les juifs, d'une vaste conspiration.

En raisonnant comme ça vous ne laissez pas d'autre alternative que la violence pour résoudre les problemes.
Vous êtes desespérant car vous vous enfermez dans un communautarisme sous prétexte que tout le monde vous déteste, ce qui n'est pas le cas, a part quelques excités extremistes.

La France permet l'ascention sociale des juifs comme des tous les autres citoyens.
de toute facon je vois bien qui vous êtes vous etes un excite qui se trouve des raisons pour detester la france et puis pourquoi pas un jours aller prendre les armes pour tuer quelque ennemi des juifs, c'est surement ce que vous voulez...

Non sérieux arrétez, ne vous trompez pas d'ennemi, je ne veux pas dire qu'il n'y a pas d'antisémitisme en france mais vous savez quand on pense ca apporte un truc essentiel qui est la nuance, vous vous ne pensez pas, ca se voit tout
de suite, vous n'avez peut etre jamais pensé.

il ne faut exagérer tout je connais plein de juif qui vive en France sans aucun probleme, c le cas de la majorité d'entre eux.

Moi je suis catholique mais proche de beaucoup de juif, comme beaucoup d'autre catholiques.

Jean-Baptiste de Montety

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 12 janvier 2004 - 21h36:

SOIREE MIGDAL

Mercredi 14 Janvier 2004
à partir de 19h30
MIGDAL organise une soirée dédiée aux enfants victimes du terrorisme à Jérusalem
http://www.migdal.org
La soirée se déroulera dans les salons Beth Hanna : 49 rue Petit 75019 Paris
PAF : 100 euros
Vous pouvez réserver vos places en contactant :
Eric au 06.03.29.92.22 ou en écrivant ici :
MIGDAL
38 rue servan 75011 Paris.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 12 janvier 2004 - 21h34:

Israël-Syrie : La meilleure façon d’avancer 1ère partie (info # 011101/4) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Dans cet article, l’expert stratégique Juffa creuse l’idée qu’il a déjà développée de ses bases de propositions pour un règlement dynamique du différend israélo-syrien. Non seulement – et c’est crucial – ces bases supportent-elles toutes les critiques mais de plus, elles sont intelligentes et productives. C’est le plan de paix, les quatre fers par terre, d’un homme qui connaît chaque mètre du Golan au point de le respirer et de le sentir. C’est, en plus, le résultat de la longue étude d’un observateur en éveil, qui sait qu’ici, pour que la paix devienne réalité, il faut aussi qu’elle nourrisse une multitude de personnes qui ont un creux au ventre. Si El-Assad et Sharon comprenaient les avantages de ces propositions, à la place de parler chacun de son côté et tout seul, on pourrait réaliser la meilleure paix du monde possible en quelques mois. (Jean Tsadik)



La meilleure façon de vérifier si un différend entre Etats peut être réduit, consiste à en vérifier la teneur. Si le sujet essentiel de préoccupation est le même des deux côtés de la frontière, la recherche d’une solution devient largement aléatoire. Si ça n’est pas le cas, cependant, et si les deux parties ressentent, de bonne foi et sur des bases rationnelles, la nécessité de crever un abcès, il existe une bonne manière d’aborder la négociation.



On éclaircira alors le terrain en s’attelant à séparer les sujets de préoccupation essentiels. L’opération sera rendue possible, suivant l’hypothèse que ces sujets sont d’essence différente dans les deux pays en dispute. Il devrait alors être possible, en usant d’une certaine dose d’imagination et de créativité responsables, de donner satisfaction à chacun. Et cette hypothèse s’applique à merveille au contentieux du Golan, dans lequel, par bonheur, le facteur démographique – le plus délicat à négocier, toujours – ne joue qu’un rôle limité.



La Syrie, pays de 185'180 km², pour une population d’environ 18 millions d’âmes, ne connaît pas de problème de manque d’espace ni celui du manque d’eau. Les sujets essentiels de préoccupation de la république syrienne, globalement, se cristallisent autour du sous-développement économique et partant, industriel, et de la nécessité pour Damas de sortir de l’isolement dans lequel la communauté des nations développées tiennent la Syrie. Pour ce faire, ce pays a besoin d’effectuer deux démarches : La première est d’ordre esthétique, s’agissant pour lui de changer son image de régime dictatorial et belliciste, illustrée par l’occupation militaire du Liban, par l’absence de démocratie et de justice – de nombreux prisonniers politiques croupissant, par exemple, sans jugement, dans les prisons damascènes depuis plusieurs dizaines d’années – ainsi que par l’attitude jusqu’auboutiste de la dynastie népotique des El-Assad dans le conflit israélo-arabe et notamment, son soutien aux organisations terroristes palestiniennes et islamistes.



La seconde démarche est d’ordre pratique : Pour que les nations commercialement intéressantes aient envie d’échanger des produits avec la Syrie, il faut que la Syrie ait quelque chose à échanger. Lors, ça n’est pas avec la rareté de ses matières premières, son économie presque entièrement étatisée, la soumission absolue du commerce aux impératifs sécuritaires, les limites draconiennes imposées à la circulation des hommes et des produits et la corruption omniprésente, que Damas peut espérer se montrer sexy, au point d’attirer les capitaux et les entreprises étrangères en quantités significatives.



Sur le strict plan du différend frontalier, la récupération du plateau du Golan est avant tout un sujet de préoccupation lié à l’honneur national et à l’honneur panarabe. La restitution du Golan par Israël n’apporterait, en effet, aucun avantage significatif dans le sens de la solution des problèmes suscités. Il y a fort à parier, au contraire, que le "plateau", s’il était recouvré par Damas, subirait rapidement un nivellement par le bas, au point de se fondre dans l’anachronisme économique du reste du pays, qui ressemble, à bien des égards, à l’exemple cubain. Pour illustrer ce dont on parle, disons qu’à l’époque de la guerre des Six jours (1967), lorsque les troupes de la brigade Golani pénétrèrent dans les villages druzes-syriens, ils n’y trouvèrent aucune automobile, aucun véhicule agricole, aucun réfrigérateur, pas d’électricité ni d’eau courante.



Pour Israël, la préoccupation essentielle est assurément d’ordre sécuritaire. Pour faire court dans mon explication, s’il existait une formule magique qui garantirait à l’Etat hébreu que la Syrie et le Liban s’abstiendraient, pour l’éternité, de toute action inamicale contre lui, on peut assumer qu’un solide 85% des citoyens israéliens soutiendrait un repli jusqu’à la frontière du 4 juin 67. S’il y a un objet qui n’existe pas, dans le vocabulaire de l’évaluation stratégique, c’est cependant la baguette d’Harry Potter, aussi, les Israéliens ne peuvent-ils appréhender le risque d’un retrait que sur la base de leur expérience avec la Syrie. Et cette expérience est franchement mauvaise. On s’en rend compte en se remémorant la situation qui prévalait avant 1967, de Métula au Nord à Hamat Gader, au sud du lac de Tibériade, tout le long de la frontière syrienne. Depuis les débuts de l’émancipation sioniste en Haute Galilée, et alors que le territoire du Golan était de manière indiscutée sous le contrôle absolu de Damas – c’est ici un élément très important, à la fois pour l’évaluation stratégique et pour la mémoire collective d’Israël – les Syriens ont multiplié leurs actions agressives, notamment en bombardant à l’artillerie lourde les kibboutzim de Snir et de Ein Guev, situés au pied de la montagne. Depuis, le régime alaouite soutient vivement toutes les organisations terroristes qui s’installent au Liban-Sud pour y guerroyer contre Israël, qu’il se soit agi de l’OLP de Yasser Arafat ou du Hezbollah des islamistes barbus.



Autre problème lié au Golan pour Israël, celui de l’eau. A plusieurs reprises, le régime syrien avait entrepris des travaux afin de détourner le lit naturel des cours d’eau qui se jettent dans le Jourdain israélien à partir du plateau du Golan. Lorsque l’on connaît le déficit chronique du précieux liquide, que subit l’Etat hébreu de façon endémique, lorsque l’on réalise qu’Israël ne peut pas se passer des eaux du Golan et surtout pas, de celles du lac de Galilée, qui constitue son unique réservoir en eau potable, on réalise aisément que le retrait sur les lignes du 4 juin – qui rend le Golan et ses rivières aux Syriens dans leur entièreté et qui leur donne accès au lac – ne ressemble pas à une option raisonnable.



A ces sujets de préoccupation principaux viennent s’ajouter des considérants quelque peu moins cruciaux. Ainsi, du point de vue sécuritaire, Israël détient sur le Golan deux sites de couverture électronique, qui lui fournissent des données de pré alerte, dans le cas d’une nouvelle agression syrienne. Dans ces sites, Jérusalem dispose en outre de "grandes oreilles", avec lesquelles elle peut recueillir toutes les informations pertinentes pour sa sécurité qui s’échangent sur le territoire ennemi. A considérer également, les deux institutions qu’Israël a su développer sur le Golan et qui sont le domaine de ski du mont Hermon, ainsi que les vignobles de Yarden, près de Katzerin, qui produisent le meilleur vin du pays.



(A suivre…)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 12 janvier 2004 - 21h17:

Comme d'habitude, les Palestiniens ont tjrs une bonne raison d'incriminer Israel de ts les maux et trouver tous les pretextes pour ne pas faire la paix! On assiste au meme shema de loosers, caracteristique du monde arabe: ils sont incapables de faire le lien entre leurs actions et la consequence de leurs actions!
Ils ne sont pas capables de voir qu'ils ne recoltent que ce qu'ils ont seme. Le mur c'est pas Israel qui l'a construit mais eux meme...

Ahmed Qoreï s'alarme du "mur de séparation raciste" en construction.

KALKILIYA, Cisjordanie (AP) - Ahmed Qoreï lance un cri d'alarme. Le Premier ministre palestinien a exhorté dimanche la communauté internationale à faire pression sur le gouvernement israélien pour qu'il arrête la construction de sa barrière dite de sécurité, ce "mur de séparation raciste" qui compromet selon lui l'espoir de voir naître un jour un Etat palestinien indépendant.

"Ce mur de séparation raciste veut transformer les secteurs de Cisjordanie en cantons isolés, inacceptables pour toute forme de gouvernement palestinien ou toute forme d'Etat palestinien", a déclaré Ahmed Qoreï lors d'une visite à Kalkiliya, ville cisjordanienne proche de la "frontière" avec Israël et encerclée en grande partie par cette barrière.

"Nous nous tournons vers les Etats-Unis, le président Bush, l'Europe, la Russie, les Nations unies. Cela nous laisse-t-il une possibilité de création d'un Etat palestinien?", leur a-t-il demandé. "Où est passée la 'feuille de route'? Ce mur de séparation raciste sera-t-il construit à l'ombre de la feuille de route?"

La "feuille de route", nom donné au plan de paix soutenu par le "Quartet" (Union européenne, Etats-Unis, Russie, ONU) et accepté par les deux camps mais aujourd'hui dans l'impasse, prévoit en effet la création d'un Etat palestinien indépendant d'ici la fin de l'année prochaine mais, avant cela, le désarmement des groupes armés palestiniens et le gel par Israël de ses colonies de peuplement en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

La barrière de sécurité, déjà érigée au quart de sa longueur finale prévue de 700km, est destinée à isoler Israël de la Cisjordanie, mais s'enfonce -par endroits profondément- dans le territoire palestinien. Israël justifie la construction de ce mur par la nécessité de se protéger des kamikazes palestiniens. Les Palestiniens affirment qu'avec cette clôture, l'Etat hébreu s'empare de fait d'une quantité importante de terres palestiniennes et morcelle leur territoire, ce qui les empêchera de créer un Etat viable.

Dimanche soir, quelque 120.000 colons juifs de Cisjordanie et de Gaza et leurs partisans, selon une estimation de la police, ont manifesté à Tel Aviv pour protester contre les récentes déclarations du Premier ministre Ariel Sharon. Ce dernier a prévenu qu'Israël démantèlerait unilatéralement certaines colonies de Cisjordanie et de la bande de Gaza si un accord de paix avec les Palestiniens tarde à venir.

"Expulsez l'ennemi arabe", "la destruction de colonies déchire la nation", "Sharon, démissionne, nous ne te voulons plus", proclamaient certaines banderoles au milieu de l'immense foule rassemblée -ironie du sort- place Yitzhak Rabin, du nom de l'ancien Premier ministre travailliste assassiné. Parmi les manifestants se trouvaient de nombreux membres du Likoud -au pouvoir-, une dizaine de députés de ce parti et même des ministres du gouvernement Sharon.

En Cisjordanie, les violences se sont poursuivies dans la journée. Un Palestinien de 17 ans, Iyad al-Masri, a été tué près de Naplouse dans l'explosion prématurée de la bombe qu'il transportait, selon l'armée israélienne. Le jeune homme était semble-t-il en route pour Israël afin d'y commettre un attentat-suicide. Selon sa famille, il avait été recruté par le Djihad islamique. Son frère et son cousin avaient été tués la semaine dernière par l'armée israélienne lors de heurts.

Par ailleurs, un Palestinien de 16 ans a trouvé la mort lors d'affrontements avec des soldats israéliens dans un village de Cisjordanie. Selon des témoins, les soldats israéliens ont ouvert le feu sur des Palestiniens qui lançaient des pierres. L'armée, elle, affirme que l'adolescent était sur le point de lancer une bombe incendiaire lorsqu'il a été abattu. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fabien (Fabien) le lundi 12 janvier 2004 - 17h36:

Je recherche la famille Rozenberg, qui habitait il y a une quinzaine d'années avenue Emile Zola à Paris. Un des parents etait Tune, le père s'appelle Simon, les enfants Nathalie et Lionel.
Lionel doit s'être installé en Israel.........
si vous les connaissez merci de les contacter, voici mon e'mail immo.prince5@free.fr
Amitiés et shalom alekheim

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 12 janvier 2004 - 17h44:

Vraiment Assad est aussi con qu'il en a l'air! une vraie tete a claques!

Le président israélien Moshe Katsav a invité son homologue syrien Bachar al Assad à Jérusalem pour des discussions de paix avec les responsables israéliens, mais Damas a rejeté l'invitation, ne la jugeant pas sérieuse.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 12 janvier 2004 - 10h30:

Maxiton !!!
Tu devrais passer de temps en temps au Boukha Bar , tu y es cordialement invite ... ainssi que tous les autres ... tout peut y etre traite ... et on y est toujours bien recu !!! Au plaisir de vous y lire bientot
http://harissa.com/boukhabar/read.php?f=15&i=590&t=590