Archive jusqu'au 06/janvier/2004

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires de Janvier 2004: Archive jusqu'au 06/janvier/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mardi 06 janvier 2004 - 17h28:

Hayoun ce serait en arabe plutôt le mot source au pluriel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mardi 06 janvier 2004 - 15h26:

A quoi rime cet entêtement des autorités françaises à
vouloir dédouaner la compagnie " flash airlines " ?

on va finir par accuser Israêl d'avoir construit l' aéroport
d'où a décollé l'avion égyptien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le mardi 06 janvier 2004 - 13h43:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Aprés l' intervention de Sieur David Hayoun, et toutes les réactions que cela a suscité, le Ftileur se devait de ftiler son petit grain de sel,

A propos de : "je suis un ' feuj tune' , ou plus exactement mes parents et mes grands parents sont Juifs Tunisiens mais je préfère préciser "Tunisiens Juifs".

· Il y a là déjà une grossière erreur sémantique, car le terme de Tunisien Juif n' est pas forcément plus juste que celui de Juif Tunisien, il serait plus approprié de parler de Tunisien de confession Israélite, ou sans confession si vous préférez, car chez nous on est majoritairement Tunes plutôt que Juifs ou Arabes, car selon les époques, les Berbères que nous sommes se convertirent en masse, au culte de Baal, au Judaïsme, au Christianisme, à l' Islam, sans compter toutes les invasions que nos ancêtres durent subire et avaler, car notre manière d' être considère que " tout ce qui rentre fait ventre " et devient notre propriété, ce qui fait notre richesse, c' est toutes les cultures, et toutes les différences que nous avons phagocytées.

· Ainsi les Juifs et les Arabes, de même que les Byzantins et les Turcs ( Qui ont colonisé la Tunisie durant des siècles ) sont originaires du Moyen Orient, tandis que nos origines sont Nord Africaines, ce qui n' est pas du tout pareil.

· Le nom Hayoun : notre nomenclature des Noms Tunes a trouvé ce qui suit : AYOUN ou HAYON ou HAYOUN ou HAYOUNE : variante berbère de haïm (hébreu hayîm : vie); peut aussi être un superlatif de l' arabe hayy (vivant). Où situez vous donc vos ancêtres Juifs ?

· Le " victimisme " (Terme absent du dictionnaire ), que vous avez ressenti chez certain, n' est pas et de loin, le fait de tous, donc pas de généralisation abusive !

· Estimez-vous donc heureux que le site Harissa.com vous donne la possibilité de vous exprimer gratuitement sans la moindre censure, même si vous n' êtes pas d' accord avec ce qui se dit sur nos colonnes, chacun étant libre de ses opinions, et ceci même s' il est des Ftileurs qui pratiquent le " Dez El Dekhel ", " Rentre Dedans " en bon Français.

· S' il vous plaît envoyez-nous donc encore beaucoup de perles, afin que l' on se paye le Grand Kif de les Ftiler à satiété, Zekch !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mardi 06 janvier 2004 - 10h05:

MONSIEUR HAYOUN
VOUS AVEZ RAISON DE DIRE QUE LES JUIFS POUVAIENT ETRE TUNISIENS JUIFS MAIS VOTRE JEUNESSE VOUS FAIT OUBLIER L'HISTOIRE LES TUNISIENS JUIFS SE SONT JETES A CORPS PERDU AVEC LES TUNISIENS MUSULMANS POUR L'INDEPENDANCE DE LA TUNISIE ET MEME DE L'ALGERIE LISEZ LES LIVRES DE STORA MAIS LE DESTOUR A COMMENCE A FAIRE SES REUNIONS DANS LES MOSQUEES DONC LES JUIFS ETAIENT EXCLUS ET SURTOUT TOUTES LES CONSTITUTIONS DES PAYS DE L'EX EMPIRE OTTHOMAN EN DEVENANT INDEPENDANT ONT MIS L'ISLAM COMME RELIGION D'ETAT .QUE DEVENAIT L'EGALITE DES CITOYENS TUNISIENS DANS
LE TRAVAIL ET L'AVENIR DE LEURS ENFANTS et comment s'ETONNER QUE 2.6 MILLIONS D'ISRAELIENS SONT LES YAOUDIS REVENANT EN JUDEE POUR AVOIR EUX AUSSI LEUR INDEPENDANCE DANS L'exEMPIRE OTTHOMAN NOUS AVONS JUIFS ET MUSULMANS LA MEME DEMARCHE ET L'intelligence AU 21°SIECLE c'EST DE LE COMPRENDRE ET MAINTENANT AU LIEU DE FAIRE LA GUERRE DE CONSTRUIRE UN ROBOT POUR ALLER SUR MARS CAR A LA VITESSE DE LA DEMOGRAPHIE ORIENTALE MARS SERA NECESSAIRE REFLAICHISSEZ OULD ABRAHAM IBRAHIM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le mardi 06 janvier 2004 - 05h55:

Objet : Conf. du Grand Rabbin JH Sitruk. Lundi 12
Janvier 2003.
L'association Mayane vous invite nombreux à la
conférence de Monsieur le Grand Rabbin de France
Joseph Haïm Sitruk, qu'il donnera avec l'aide de
D'., le lundi 12 Janvier 2004 à 20h30,
Comptant sur votre présence et sur votre fidélité.
SYNAGOGUE DE LA VICTOIRE
44, rue Victoire - 75009 Paris.
M° : St Georges. Entrée libre. Info 06 15 10 30 16.
(Message à diffuser très largement. Merci)

PS : Diffusion du CD N° 3 du Grand Rabbin de France.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le mardi 06 janvier 2004 - 00h46:

Mr. Hayoun,

Aujourd'hui vous etes "Francais Juif" alors que vos parents etaient "Tunisien Juif". L'annee prochaine vous serz peut etre "Canadien Juif" et dans 10 ans "Australien Juif". Il y a des generations vos ancetres etaient "espagnoles Juifs" etc etc etc.


Il me semble qu'etre Juif aoit plus constant que la nationalite que vous avez acquis.

Ne serait il donc pas plus juste que vous etes "Juif Francais" puisque vos racines Juives sont un peu plus longue que vos racines Francaises?

Quand a Ben Ali, Je suis d'accord avec vous, les dictateurs ne me plaisent nule part sauf dans les trous ou on les trouve quand il se cache de la justice.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le mardi 06 janvier 2004 - 00h42:

Les "David Hayoun" sont au web ce que le chiendent est aux terrains vagues.

Sous couvert de l'anonymat que leur procure ce mode de communication, ces petites bestioles se sont mises à proliférer.

On appelle ça le "parasite du hérisson" ;o)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mardi 06 janvier 2004 - 00h11:

Pour Mr HAYOUN.

Je pense et je trouve que votre commentaire n'a pas sa place sur le forum d'harissa. Si vous avez honte d'être juif, croyez-moi, alors, ne dites plus que vous êtes juif ! laissez à ce peuple sa fierté, sa légitimité et son honneur. D'autres personnes, dont je fais partie, se chargeront de parler de ce peuple avec toute la grandeur qu'il mérite. Axelle.


Je profite de ce commentaire pour venir souhaiter à tous les harissiens et harissiennes mes meilleurs voeux pour cette année 2004 et que cette nouvelle année vous apporte joie, bonheur et santé à tous. Très cordialement. Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 05 janvier 2004 - 22h12:

5 janvier 2004 / 09 h 44
Sarkozy et le cheikh Tantaoui d'Al-Azhar pris à partie par le monde musulman ; en France, le CFCM se radicalise et menace
Par Marwan Haddad contact@proche-orient.info


Une fatwa de Fadlallah, guide du Hezbollah chiite, des anathèmes de plusieurs imams prestigieux, une montée au créneau très menaçante du Conseil français du culte musulman : la visite de Sarkozy en Egypte sert de révélateur sur les vrais dessous du voile. Recensement des déclarations majeures par Marwan Haddad


Des excuses publiques, adressées à tous les musulmans : c'est ce qu'a exigé, lors de la prière du vendredi 2 janvier, le guide spirituel du Hezbollah libanais, cheikh Mohammed Hussein Fadlallah, du cheikh d'al-Azhar, Mohamad Sayyed Tantaoui. Le dignitaire chiite, réputé pour ses fatwas, est catégorique : cheikh Tantaoui, considéré comme la plus haute autorité de l'islam sunnite, a « nui à l'islam et aux musulmans en fournissant à l'Etat français une légitimation musulmane à sa décision » (d'interdire le voile islamique à l'école publique).

Fadlallah n'est pas seul à le penser, si l'on en juge par la levée de boucliers qui a immédiatement suivi la visite du ministre français de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, au cheikh d'al-Azhar, le 30 décembre, au terme d'une visite privée en Egypte. Lors de cette rencontre, tout en assurant que « le voile est une obligation divine, pour la femme musulmane », obligation à laquelle « aucun musulman, qu'il soit gouvernant ou gouverné, ne peut s'opposer », Tantaoui a admis que la France « a le droit d'adopter des lois opposées au voile ». « Je le répète : c'est leur droit et je ne peux pas m'y opposer en tant que musulman, puisqu'ils ne sont pas musulmans », a insisté le cheikh d'al-Azhar, ajoutant même : « une musulmane qui se conforme à la loi d'un pays non musulman n'a pas à craindre le châtiment divin ». De fait, Tantatoui n'a pas réservé à Sarkozy la primeur de ces propos, contrairement à ce qu'essaye de faire accroire le ministre, puisqu'il les avait déjà officiellement tenus quelques jours auparavant.
« Je vous remercie, Grand imam d'al-Azhar, d'avoir indiqué que dans un pays laïque non musulman, le devoir de chacun est de respecter la loi de ce pays », s'est aussitôt exclamé Nicolas Sarkozy, sans prêter attention au mécontentement visible des autres dignitaires d'al-Azhar qui assistaient à la rencontre.

Ces derniers n'ont pas tardé à réagir. Aussitôt la séance levée, ils se répandaient dans les médias. Le mufti d'Egypte, cheikh Ali Gomaa, a ainsi affirmé que « ce projet de loi est contraire à l'esprit de la laïcité française », accusant la France de « porter atteinte, en instaurant de nouvelles lois, aux principes de liberté auxquels elle croit », voire d'exprimer « un refus de l'autre ». Cheikh Gomaa s'est même fendu d'un « conseil aux frères français : veiller au respect des principes de liberté prônés par la Révolution française. Le voile, a-t-il ajouté, est une prescription obligatoire de l'islam. Son interdiction contredit la laïcité et détruira la paix sociale dans la société française ».
Egalement présent à la rencontre Sarkozy-Tantaoui, Abdessabour Marzouk, membre de l'Académie de recherches islamiques d'al-Azhar, s'est déclaré « surpris » par la déclaration de cheikh Tantatoui, assurant que celle-ci n'a pas été précédée d'un accord avec les membres de l'Académie : « Par conséquent, le cheikh d'al-Azhar ne représente que sa propre personne, et non pas l'institution. Quand il prétend que la France a le droit d'adopter une loi interdisant le port du voile, il n'engage que lui-même ».
Réaction identique de l'ancien mufti d'Egypte, cheikh Nasr Wassel, lui aussi convié à la rencontre avec le ministre français : « Le voile n'est ni plus, ni moins, qu'une obligation », a-t-il sèchement commenté avant d'ajouter, sur un ton menaçant : « Nous devons rappeler à la France, pays laïc, que sa laïcité ne saurait être oppressive à l'égard des autres religions. La décision d'interdire le voile est contraire aux principes mêmes de la laïcité ».

Fort de cette caution, le secrétaire général de l'UOIF (et vice-président du Conseil Français du Culte Musulman, créé par Nicolas Sarkozy), Fouad Alaoui, publiait aussitôt un communiqué incendiaire, intitulé « Non à l'ingérence étrangère », dont voici de larges extraits :
« (…) Cheikh Tantaoui a confirmé notre avis affirmant que le port du foulard islamique, pour les femmes musulmanes, est une prescription religieuse musulmane. Avec cet avis religieux de cheikh Tantaoui, nous avons la confirmation que notre défense des femmes qui ont décidé de se conformer librement à cette prescription, ne relève pas d'une lecture intégriste ou fondamentaliste de l'islam, mais tout simplement d'une défense d'une liberté fondamentale de nos citoyens : la liberté religieuse (…) ».
« Cette position a toujours été la nôtre, mais le débat n'est pas là. Cette prise de position personnelle de cheikh Tantaoui démontre, avec tout le respect que nous avons pour lui, qu'il n'a pas mesuré la portée du débat qui existe en France sur cette question. En réalité, notre désaccord avec ceux qui veulent légiférer pour interdire le foulard islamique n'est pas à mettre sur le registre du respect des lois, mais plutôt sur celui du respect d'un droit fondamental de l'être humain : la liberté religieuse garantie par les textes fondamentaux de la République et les conventions internationales des droits de l'Homme ».
« Or, poursuit le communiqué de Fouad Alaloui, en voulant légiférer pour restreindre nos libertés religieuses, nos hommes politiques, et le président de la République en premier lieu, remettent en cause les fondements de notre République, et nous agressent en tant que citoyens dans notre dignité et intimité religieuse ».

Toujours en France, le Conseil régional du culte musulman Ile-de-France (branche régionale du CFCM), présidé par Lhaj Thami Breze (par ailleurs président de l'UOIF) a dénoncé, le 4 janvier, la future « loi sur le respect de la laïcité à l'école », considérant qu'elle « vise les musulmans, stigmatise leur religion, pratique l'exclusion et les condamne au repli identitaire ». Ce sera, a ajouté le communiqué du Conseil, « une loi discriminatoire parce qu'elle refuse d'offrir un service - le droit à l'instruction - à cause de l'appartenance religieuse ».
Le président du CFCM, Dalil Boubakeur, a eu beau affirmer que « l'interdiction de signes ostensibles » prévue dans la loi laisse « une marge de manœuvre aux jeunes musulmanes », la frange extrême de l'islam de France n'est absolument pas disposée à lui prêter l'oreille. Réunis le 3 janvier, la majorité des membres du bureau national du CFCM ont désavoué le cheikh d'al-Azhar, l'accusant d'ingérence dans les affaires intérieures françaises. Dans la foulée, les mêmes ont « conseillé » à Nicolas Sarkozy de s'enquérir de l'avis du CFCM plutôt que de celui de dignitaires religieux étrangers.
Par ailleurs, une série de manifestations « anti-loi » sont annoncées en France : la première aura lieu à Paris, à l'appel du Parti des Musulmans de France, le 17 janvier, jour où s'achève le « débat sur l'école » mené dans les académies et les rectorats. Une « grande marche nationale » est par ailleurs annoncée, toujours à Paris, le 7 février cette fois, jour où le projet de loi sur la laïcité dans les établissements scolaires devrait être présenté.
Il y a fort à parier que des manifestations de soutien aux marches françaises seront simultanément organisées un peu partout dans le monde… d'autant que le président du Conseil Européen pour la Fatwa et la Recherche, cheikh Youssef Qaradoui, vient, une fois de plus, de demander au président Chirac de s'abstenir de légiférer sur la question du voile.

Correspondance particulière pour la SHARON AGENCY.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le lundi 05 janvier 2004 - 21h02:

Au Hayoun de service

D'abord laissez moi douter de votre nom qui a l'air d'un pseudo pour apparaitre Juif car ce que vous dites a l'air moins "Juif".

Je connais bien le site Harissa.com et je ne sais pas combien vous avez lu de pages mais je peux vous dire que personne ne pense comme vous. Si vous preniez la peine d'y naviguer, vous verriez a quel point l'amitie Judeo-Arabe y est mentionnee et d'ailleurs il y a sur ce forum plusieurs intervenants Arabes.

Le seul probleme interessant que vous soulevez est celui de l'appartenance d'un individu : il y a le sexe, la race, la religion, la nationalite, la profession etc...

En voulant etre a tout prix "Tunisien Juif" au lieu de "Juif Tunisien", vous preferez revendiquer d'abord votre appartenance a une nationalite et c'est votre droit bien que vous n'expliquiez pas votre logique. Pour moi la nationalite n'a pas l'importance que vous voulez lui donner et qui s'apparente beaucoup a celle d'un employe d'un gouvernement autoritaire (genre Sovietique) ou quelqu'un qui fait partie d'un parti politique.

Il semble d'autre part qu'il n'y ait aucune importance pour vous que 98% des Juifs Tunisiens aient quitte la Tunisie depuis pres de 40 ans (vous y compris) apres 2000 ans de vie la-bas et que vous preferez regarder l'histoire qui vous convienne plutot que de faire un examen plus approfondi de la situation.

Alors Mr Hayoun, un peu de serieux si vous voulez discuter avec les Tunes.

Chalom

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 05 janvier 2004 - 20h36:

MABROUK X 5 et
MAZAL TOV X 5!

A notre Albert prefere :
Que D. t'accorde encore plein de sante pour profiter pleinement de la joie d'etre grand-pere.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 05 janvier 2004 - 20h32:

Monsieur Hayoun,

Il ne suffit pas que vos grand-parents aient, je vous cite "été sauvé(s) par des tunisiens musulmans alors qu'ils étaient traqués par les nazis", pour que lesdits tunisiens trouvent grace a nos yeux ...

Mon pere, juif tunisien (orphelin de pere) et toute sa famille (sa mere za"l, son frere, sa soeur, son beau-frere et ses neveux) ont aussi ete "sauves" par une famille tunisienne (arabe musulmane).
Ils ont en effet, pendant la guerre, trouve refuge au sein de la maison appartenant a une famille arabe musulmane, d'un petit village du centre tunisien. Cela leur a permis d'echapper aux nazis et a une partie des bombardements.

Mais s'il y a quelqu'un a remercier dans l'affaire, c'est surtout le frere de ma grand-mere (le grand-oncle de mon pere za"l), qui s'est senti oblige, son beau-frere (mon grand-pere za"l)ayant disparu, de prendre toute la famille de ma grand-mere (sa soeur) sous son aile, et de lui trouver un refuge pour ses enfants et petits-enfants.

C'est seulement grace a L'ARGENT de ce grand-oncle que mon pere et sa famille a ete sauve.
Car le proprietaire tunisien (arabe musulman) n'a accepte de les cacher dans sa maison qu'en contrepartie d'une somme tres rondelette, que seul mon grand-oncle, proprietaire terrien et d'usines (avant la guerre) etait a meme de pouvoir acquitter !

Je vous laisse deviner ce qu'il est advenu des juifs tunisiens qui n'ont pas eu la possibilite de graisser la patte aux "braves" musulmans tunisiens qui etaient prets a les "sauver"...

Gardons aux choses leurs proportions historiques.

Merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 05 janvier 2004 - 21h42:

Boeing de Flash Airlines : Gare aux conclusions précipitées ! (info # 010501/4) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



A la Ména, où plusieurs rédacteurs sont des pilotes chevronnés, nous avons tenu hier soir une réunion d’experts au sujet des circonstances du crash du Boeing 737/300 de la Flash Airlines. Nous connaissons bien l’aéroport de Sharm el-Cheikh, pour la bonne raison que ce sont les Israéliens qui l’ont construit, du temps de notre présence en ce lieu féerique, que nous appelions alors Ophira. Autant le dire tout de suite, malgré le peu d’informations qui nous sont parvenues en l’état de l’enquête, la recherche des causes de la catastrophe est déjà largement hypothéquée par l’immixtion de considérations politiques dans le processus d’investigation.



Le bimoteur venait de percuter les flots, que déjà le ministre égyptien de l’Aviation civile, monsieur Chafik Zaki, excluait l’hypothèse d’une action terroriste et affirmait sa certitude qu’il s’agissait d’un accident. Nous, de faire savoir à qui veut bien l’entendre que ce jugement péremptoire était pour le moins précipité et qu’aucune information fiable, jusqu’à maintenant, ne peut objectivement privilégier une cause plutôt qu’une autre.



On comprend l’impatience du gouvernement cairote, soucieux de minimiser l’étendue de la gangrène islamiste dans son pays et l’influence dramatique qu’aurait la révélation d’un acte de malveillance sur le tourisme mais on comprend moins l’empressement de Gilles de Robien à lui emboîter le pas. Après tout, la grande majorité des victimes est d’origine française et la priorité du ministre français des transports devrait se borner à la recherche de la vérité. Qu’avait-il alors à déclarer que "la thèse de l’accident était largement privilégiée" et que "rien n’indique qu’il pourrait y avoir une autre cause au crash".



Sur ce point au moins, nous devons contredire le ministre parisien. Bien évidemment, nous ne possédons ici aucun indice direct pour décider s’il s’est agi d’un attentat ou d’une défaillance mécanique ou humaine, par contre, nous connaissons de conditions conjoncturelles qui nous empêchent catégoriquement d’écarter l’hypothèse d’un acte de barbarie politique. Et de rappeler à monsieur de Robien, qu’il suffit de se donner la peine de lire la presse égyptienne, pour se rendre compte de l’ambiance violemment anti-occidentale qui règne au pays des pharaons. Il suffit aussi de relever le haut degré d’activisme islamique qui y mobilise, en permanence, d’immenses forces de sécurité et les menaces que les fondamentalistes musulmans n’ont de cesse de faire peser sur la présence de "touristes étrangers dénudés et sacrilèges" en terre d’islam.



Ajoutez à cela les alertes rouges qu’ont reçues les services tricolores, les informant, récemment et avec ténacité, de l’imminence d’une action islamiste contre des appareils ou contre des voyageurs français. Objectivent parlant, ces signes montrent, qu’en théorie du moins, n’en déplaise au ministre, beaucoup d’indices périphériques indiquent qu’il pourrait y avoir une autre cause au crash.



Quelle que soit la cause de la tragédie, que les responsables de l’enquête découvriront assurément du fait de l’abondance des indices, on ne peut pas regarder ce crash sans prendre au moins en compte deux faits significatifs. Le premier, c’est que tous les pilotes-kamikazes du 11 septembre 2001, dont le chef, Mohamed Atta, qui est né dans une ville du Delta du Nil du nom de Kafr el Sheikh, ont transité par le Caire. Puis, dans l’analyse de la relation déroutante qui existe entre des pilotes égyptiens et le sabordage des avions qu’ils pilotent, il faut – si on recherche la vérité, bien entendu – considérer le crash du vol 900 d’Egypt Air, le 31 octobre 1999, à proximité de l’île de Nantucket, au large de la côte américaine. D’après les enquêteurs de la FAA (l’Autorité Fédérale de l’Aviation aux USA) il ne fait aucun doute que cette autre catastrophe n’était pas due à une cause mécanique. Bien que le Caire le réfute encore officiellement, les Américains sont convaincus que c’est le copilote, Jamil el-Batouty, qui a volontairement précipité le 767 et ses 217 passagers dans l’océan. Les deux moteurs avaient été volontairement éteints, le pilote automatique manuellement débranché et el-Batouty avait engagé une manœuvre suicidaire en piqué, tout en répétant à 11 reprises "Je m’en remets à Allah !"



Parce qu’il faut bien comprendre que le Boeing 737 est l’un des appareils les plus sûrs du moment, doté des moteurs parmi les plus fiables de ceux qui sont exploités par l’aviation civile. Au moment du décollage, les conditions météorologiques ne posaient aucun problème aux pilotes. Dans ces conditions, il faut de multiples concours de circonstances, rarissimes, pour qu’un 737 percute la planète. Juste après l’envol, des témoins oculaires ont vu le Boeing entreprendre un virage qui ne figurait pas sur son plan de vol et qui ne le ramenait pas non plus vers la piste de l’aéroport. Dans les circonstances d’hystérie que traverse le monde, il ne peut être exclu que l’un des pilotes ait tenté de sacrifier ce vol ou que des pirates essayaient de prendre le contrôle de l’avion. C’est en tous cas les théories que privilégie monsieur Kokhav Hess, le plus capé des enquêteurs d’accidents aéronautiques en Israël.



A la Ména, nous déplorons que l’enquête ait été confiée aux services égyptiens, secondés par des personnels de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile). Ca n’est pas que nous doutions des capacités des plongeurs et des servants des robots sous-marins. Certainement pas, nous sommes persuadés que ces personnels feront correctement leur travail. Nous connaissons cependant la dépendance politique des responsables de l’aviation civile française, qui ont modifié – ou laissé modifier – les informations contenues dans les boites noires de l’Airbus A320 immatriculé F-GFKC, qui s’était écrasé sur l’aérodrome d’Habsheim, près de Mulhouse. Or, dans ce genre d’enquêtes, c’est comme dans la vie, on ne perd sa virginité qu’une seule fois. Ici, nous pensons qu’une enquête diligentée par la FAA, l’autorité aéronautique dont dépend Boeing, le producteur de l’appareil accidenté, aurait été notablement plus crédible.



Surtout, nous ne sommes nous-mêmes les tenants d’aucune thèse et je me suis contenté, dans cet article, de mettre les lecteurs de la Ména en garde contre les périls visibles d’une investigation dont le cloisonnement avec les intérêts politiques pourrait s’avérer discutable. C’est également pour moi l’occasion de vous mettre en garde contre l’usage de compagnies charter exotiques. Tous les avions ne sont pas gris comme les chats, la nuit. L’an dernier, il y eut deux fois plus d’accidents impliquant des sociétés charter que des lignes régulières (y compris les compagnies européennes à bas prix, qui sont absolument fiables !) bien que les appareils des lignes régulières transportent largement plus de passagers que les charters.



Ne laissez pas un tour opérator décider du choix de votre transporteur, votre sécurité valant bien plus que les quelques centaines d’Euros que vous pouvez économiser. Les avions charter appartenant aux grandes compagnies aériennes occidentales sont bien entretenus, pilotés et suivis. Il n’en va pas de même pour les transporteurs charter basés dans des pays qui ne contrôlent pas bien (ou pas du tout) leur aviation civile. L’utilisation de ces sociétés de transport aérien comporte un risque évitable, dont vous devez être conscients pendant que vous commandez vos vacances.



Et si la Flash Airline, opérant deux 737, avait demandé deux procédures d’atterrissages d’urgence en 2002 et 2003, à Athènes et à Genève, pour des problèmes techniques et si l’OFAC, (l’Office Fédéral suisse de l’Aviation Civile) avait conclu, suite à une inspection impromptue des appareils de Flash, "nous avons découvert que cette compagnie aérienne constituait un danger pour la sécurité aérienne", cela devrait allumer un témoin lumineux auprès des amateurs de vacances à bon marché.



Que le crash de Sharm el-Cheikh soit du à un acte de terrorisme ou à un accident, les gens sages en auront retenu ses leçons.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 05 janvier 2004 - 20h22:

Monsieur Ayoun,

On va vous inscrire dans les tunes célèbres de l'imbécilitè. Au lieu de faire le clown, dites nous quelque chose de 'hlou' yè bim.