Archive jusqu'au 01/juin/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Juin 2006: Archive jusqu'au 01/juin/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 31 mai 2006 - 21h51:

Iran
Que vous rappelle la carte de l'Iran ?
Reponse au prochain message !

Iran

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par __Lena (__Lena) le mercredi 31 mai 2006 - 21h41:

BONNE FETE DE CHAVOUOT A TOUS

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 31 mai 2006 - 21h33:

REMISE DES TROPHES

HARISSA D OR...CE SOIR ...


GRAND GALA...

AVEC PHOTO DE NOS ACTEURS ET ACTRICES SUR LE PODIUM...

UN CHEF DE VERITE A NE SURTOUT¨PAS MANQUER....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 31 mai 2006 - 21h26:

31 mai 2006

Le Président iranien pourrait se rendre à Nuremberg le 11 juin prochain

Le Parlement européen refuse de signer une résolution pour déclarer Ahmadinejad « persona non grata ad personam ». Mais 51 députés frondeurs lancent un appel à la Présidence de l'UE et aux États membres

Par Nicole Leibowitz

51 députés européens - la liste n'est pas exhaustive - viennent, en désespoir de cause, d'adresser une lettre ouverte à la Présidence autrichienne de l'UE, aux États membres, ainsi qu'à la FIFA. Ils demandent que le Président iranien soit déclaré "persona non grata ad personam » sur le territoire de l'Union européenne. Cette lettre a été initiée le 17 mai dernier à Strasbourg par cinq députés européens dont la Belge Frédérique Ries et la Tchèque Jana Hybásková, Présidente de la délégation pour les relations entre le Parlement et Israël.

Une initiative, toute citoyenne, qui a pourtant des allures de fronde : ces mêmes députés, et le Congrès juif européen en tête se sont en effet précédemment vus refuser que soit discutée, en séance plénière du Parlement européen, la résolution qu'ils avaient espéré faire aboutir pour empêcher la venue d'Ahmadinejad à Nuremberg - prévue éventuellement pour le 11 juin, à l'occasion de la coupe du monde de football. Un refus majoritaire des députés (en tête ceux du PSE, le groupe socialiste européen) d'autant plus troublant que ces derniers n'ont pas hésité à déclarer « persona non grata » le président biélorusse, Alexandre Loukachenko.

L'affaire est évidemment très grave. Comment croire encore en cette Europe, comment lui accorder quelque vertu quand elle se refuse à interdire la présence sur son sol de l'un des plus dangereux dictateurs de la planète, cet « autre Hitler » comme l'a encore qualifié récemment la chancelière allemande Angela Merkel ?

« Nous voulons être de bons hôtes »

Mais que valent les mots s'ils ne sont pas suivis d'actes ? Que penser donc de Madame Merkel elle-même qui se refuse également à interdire l'entrée dans son pays à Ahmadinejad - au motif que les « supporters et joueurs iraniens qui participent à cette coupe du monde ne peuvent être punis à cause des déclarations de leur chef d'État » ? Attitude confortée par Wolfgang Schäuble, son ministre de l'Intérieur, lequel assurait dès avril dernier, et "Proche-Orient.info" s'en était fait l'écho : « Nous voulons être de bons hôtes. En principe, le président iranien peut assister à la coupe du Monde comme n'importe quel autre chef d'État".

Une lâcheté généralisée, dont joue et se joue le Président iranien. Ne serait-ce que par sa réponse au "Spiegel". Comme le quotidien allemand lui demandait s'il se rendrait à Nuremberg le 11 juin pour le match Iran-Mexique, il a simplement répondu : "Cela dépendra de mon humeur ». Et d'enchaîner sur « la population allemande, prisonnière de l'Holocauste… ».
Manifestement, Ahmadinejad n'a vraiment rien à craindre de l'Europe.

http://www.proche-orient.info/xjournal_europe_der_heure.php3?id_article=46018

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 31 mai 2006 - 19h41:

Pour la déclaration des revenus de l'année 2005 sur formulaire papier, dernier délai ce soir à minuit.

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 31 mai 2006 - 19h09:

Lectures
Auto émancipation ! Avertissement d’un Juif russe à ses frères
31/05/06

- - Thème: Histoire

« Allez, vous pouvez fermer les yeux et vous cacher la tête comme l’autruche (…) »
La réalité rappelle toujours crûment que l’espoir aime à se changer en illusion.
Il suffit d’un geste, d’un silence, ou d’un mot pour que l’espérance tombe en ruines, pour que d’un avenir timidement rêvé il ne reste rien.

Lorsqu’il rédige en 1882 L’avertissement d’un Juif Russe à ses frères, Yéhouda Leib Pinsker, membre fondateur du mouvement Ahavat Zion (ou encore Hibbat Zion, Amour de Sion), a déjà pris conscience de la condition d’aliéné qui est celle des Juifs d’Europe orientale. En 1881, après l’assassinat du Tsar Alexandre II la Russie se déchaîne dans une vague de pogroms, pillant, violant, tuant les Juifs, jusqu’à Varsovie, pendant près de trois ans. Orchestrés par le pouvoir, ces massacres, sont légalisés par des condamnations iniques contre les défenseurs juifs, et consentis par les milieux intellectuels et révolutionnaires, désespérément muets. C’est ce mutisme, rendu insupportable par ses effets meurtriers, qui rappelle douloureusement aux Juifs l’impossibilité de vivre dans cette partie du monde, selon une existence conçue sur un modus vivendi de porcelaine. Le cri radical de Pinsker ; Auto émancipation ! retentit comme un cri de ralliement parce qu’il porte en lui la possibilité d’une existence autonome. L’émancipation, si elle est refusée en Russie, est brandie en Europe occidentale comme l’étendard d’une civilisation lumineuse. Mais n’est-ce pas là la preuve que partout en Europe les Juifs sont civilement esclaves depuis des siècles puisque de l’Est à l’Ouest, leur condition est dictée et leur présence artificielle ?

Pour en finir avec les trahisons et pour stopper l’hémorragie autrement que par « des palliatifs de rebouteux », il fallait d’abord retrouver la parole. Pinsker interpelle les Juifs comme Moïse s’est adressé à eux, comme à une nation. Son texte n’est pas une lamentation. Les dégâts provoqués sur l’être juif sont incommensurables et la perte s’annonce pour son peuple s’il ne fait pas le choix d’une existence nationale propre. Or, c’est précisément sur cette condition non négociable que le constat de Pinsker est sans complaisance : les Juifs se sont habitués à leur sort plus précaire que celui du commun des mortels. Confession honteuse, humiliante et indigne qui ordonne « la reconquête du respect de soi-même » (1), avant d’envisager la possibilité de s’organiser politiquement sur un territoire. La terre d’Israël n’est pas dans le texte de Pinsker, l’unique horizon du peuple juif. La question territoriale reste centrale, elle est indispensable à la reconstruction, même si au moment de la rédaction l’auteur considère que l’essentiel est de trouver pour les Juifs une nation qui accepterait d’être un abri pour eux, ignorant temporairement le rôle fédérateur d’Eretz Israël.

Pour autant, sans retour à Sion, le texte de Pinsker contient l’essence du sionisme ; ce qu’il faut d’indépendance, de dignité et de liberté pour arracher la parité aux nations.
Georges Bensoussan présente et commente Léon Pinsker en démontrant la particularité de sa vision clairvoyante d’une solution nationale et territoriale à la « question juive », exprimée dans une clarté saisissante et si convaincante. L’Auto-émancipation ! est un souffle libérateur qui s’inscrit dans l’histoire passionnante de l’invention du sionisme dont on a un aperçu ici, et qu’on peut découvrir plus profondément dans l’Histoire intellectuelle et politique du Sionisme de Georges Bensoussan. Ce texte mériterait une large diffusion. Si sa première adresse était faite aux Juifs, il pourrait aujourd’hui, aisément porter la contradiction aux esprits convaincus que le sionisme est une manifestation raciste et scandaleuse de l’être juif.

Stéphanie Dassa

Léon PINSKER, Auto émancipation ! Avertissement d’un Juif russe à ses frères. Notes et Postface par Georges Bensoussan ; Ed. Mille et Une Nuits, 2006. 2, 50 €

Notes:
(1) G. Bensoussan, Histoire intellectuelle et politique du Sionisme 1860-1940, Fayard 2002, page 96

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7056&artyd=8&stinfo=266.$$id_send.$$id_user

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le mercredi 31 mai 2006 - 19h06:

Revue de presse
L’action du gouvernement face à la Tribu Ka
31/05/06

- - Thème: Antisémitisme

Le Ministère de la Justice et la préfecture de police se sont préoccupés de la Tribu Ka, ce groupuscule aux délires antisémites qui a fait irruption rue des rosiers dimanche 28 mai.
Le site du groupuscule, à travers lequel il se faisait connaître, a été verrouillé ; le Ministre de la Justice a demandé au parquet de Paris d’en « examiner le contenu » et voir « quelles suites légales lui donner ». De son côté, la brigade criminelle mène une enquête ouverte sur la descente, accompagnée de propos antisémites, de plusieurs dizaines de membres de ce groupe radical. Leur chef, qui se fait appeler Kémi Seba pourrait faire l'objet de poursuites pour appel à la haine et à la violence. Le Figaro revient sur le parcours de ce dernier connu pour ses discours racistes et antisémites contre les «leucodermes» (les Blancs) et «tous les macaques de l'amitié judéo-noire» (de Harlem Désir à l'écrivain Calixthe Beyala).

La Tribu Ka n'est pas inconnue des services de police, rappelle le quotidien qui précise qu’en pleine affaire Halimi, ce jeune juif massacré par une bande dirigée par Youssouf Fofana, Kémi Seba avait envoyé au début 2006 un courriel à plusieurs organisations juives où il les menaçait en ces termes : «Que notre frère [Fofana] soit coupable ou pas, nous vous prévenons que si d'aventure, il vous prenait l'envie d'effleurer ne serait-ce qu'un seul [de ses] cheveux au lieu de lui laisser avoir un procès équitable, nous nous occuperons avec soin des papillotes de vos rabbins.»
Cette manœuvre d’intimidation a entraîné une avalanche de condamnations et de réactions d’indignation de la classe politique, indique le Parisien. Le Maire de Paris, Bertrand Delanoë a dénoncé des « comportements insupportables ». Martine Billard, la députée des Verts, et Philippe de Villiers ont exprimé leur « profonde indignation ».

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7053&artyd=5&stinfo=266.$$id_send.$$id_user

Les délires antisémites de la Tribu Ka (Le Figaro)
http://www.lefigaro.fr/france/20060530.WWW000000396_la_tribu_ka_dans_le_collimateur_de_la_justice.html
La Tribu Ka disparaît de la Toile (Libération)
http://www.liberation.fr/page.php?Article=386341

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 31 mai 2006 - 10h42:

Braham chalom,
Ils sont capable de se tourner vers la haute cours de justice qui a souvent des droles de verdicts.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 31 mai 2006 - 10h34:

Notre ami Jojo,Georges Chemouny Z'AL de Tunis est decede a Nice, hier le 30 mai 2006 d'une crise cardiaque.
C'etait un ami d'enfance de l'ecole ORT Ariana des annees 59/60.
Il sera inhume demain a Paris.
Information recueillie par des amis et confirmee par Claudette sa soeur.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 31 mai 2006 - 09h52:

Plus d'allocations familiales

Le ministre de l'interieur M. Rony Bar-On a decide que les deputes du Hamas, habitant Jerusalem, en seront expulses (et n'auront plus droit au Bitouah' Leoumy) s'ils ne demissionneraient pas du gouvernement palestinien (29-05-06¨

hamas,indesirables

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le mercredi 31 mai 2006 - 08h06:

C’est l’histoire d’un aveugle qui vivait dans un petit village il y a une bonne centaine d’années.
Il vivait modestement avec sa femme.
Dans beaucoup d’histoires, tout commence modestement.

Tôt le matin, été comme hiver, il se rendait à la synagogue, une simple synagogue avec des bancs en bois rangés autour de la Téva. Il ne manquait pas un jour.
Ni les pluies du mois de heshvan (novembre) ni le grand froid de tévèth (janvier), ni les torrides chaleurs de tamouz et av (juillet-août) ne l’empêchaient de se rendre à la maison de prière.
Il priait le matin, il priait minha en début d’après-midi, et il retournait le soir pour maariv. Il ne demandait rien, il priait l’Eternel, il remerciait et il sortait.

En voyant tant d’assiduité, l’Eternel voulut lui octroyer un voeu.
Un jour, en fin d’après midi, au moment où le soleil va disparaître sous la ligne de l’horizon, l’aveugle sortit de la synagogue en tâtonnant de son bâton le trottoir dont il connaissait chaque pavé.
Eliahou HaNavi lui apparut et lui dit :
-“l’Eternel veut te récompenser de tout l’amour que tu mets dans tes prières, tu peux faire un voeu et il se réalisera”.
-“Tu imagines, lui dit l’aveugle, le voeu que je voudrais formuler. Ce serait pour moi une joie immense de voir le monde, les arbres qui m’entourent, les couleurs des fleurs, les rues où je passe chaque jour, les hommes qui prient dans cette synagogue… mais laisse-moi réfléchir, je te donnerai la réponse demain.”
Eliahou HaNavi accepta d’attendre le lendemain que l’aveugle formule son voeu.

Sur le chemin de la maison, l’aveugle plongé dans ses réflexions savait qu’il ne pouvait penser qu’à lui-même, il fallait qu’il demande l’avis de sa femme sinon elle le lui reprocherait. Certes son souhait de découvrir le monde le remplissait de joie et d’émotion, mais son épouse saurait le conseiller.

-“Tu es fou, lui dit-elle. Comment est-ce que tu peux demander la vue alors que nous n’avons pas d’enfant. Voilà déjà plusieurs années que nous sommes mariés et que nous attendons… et les années passent. Si tu as un voeu à faire c’est celui de d’avoir un enfant.”

La femme sans doute avait raison, c’était sûrement plus important d’avoir un enfant que de demander la vue.

Soudain, l’aveugle se mit à penser à la mère de sa femme. “O va vo” se dit-il, que dira-t-elle si je ne la met pas au courant de ce voeu?
Le voilà donc en route pour aller s’enquerrir de son avis, d’ailleurs s’il ne le faisait pas celle-ci se fâcherait.
Il alla donc lui parler de son voeu de recouvrer la vue et celui de sa femme d’avoir un enfant.

La bonne vieille lui dit: -“Toi tu es un imbécile et ma fille aussi. Recouvrer la vue? Avoir un enfant? Ce n’est pas ça qu’il faut demander. Regarde comme tu es pauvre. Tu as de vieux habits, ta maison se délabre de jour en jour, et tu as tout juste de quoi manger. Ce que tu dois demander c’est la richesse”.

En sortant de chez sa belle-mère, l’aveugle se trouvait bien embarrassé.
Il devait donner sa réponse le lendemain matin et il ne savait quoi décider.

-“Mon D-ieu, viens-moi en aide, je ne sais pas quel voeu choisir, viens-moi en aide pendant mon sommeil, mets en moi l’intelligence et la raison qui me permettront de formuler le voeu le plus sage”.

Sur cette prière, l’aveugle s’endormit.
Le lendemain matin, sur le chemin de la synagogue, l’aveugle avec son bâton qui le précédait, marchait lentement pour aller trouver Eliahou HaNavi.
-“Tu as réfléchi, tu as dormi, peux-tu maintenant dire quel voeu souhaiterais-tu voir se réaliser? Lui demanda Eliahou HaNavi.

L’aveugle put répondre avec toute la sagesse qui brillait dans ses yeux :
-“ Je veux voir mon enfant manger avec une cuillère en or”.

Eliahou HaNavi lui dit :
-“Brave homme, tu es très fort et plein de sagesse, tu as réussi à formuler trois voeux en un seul.
Tu dis que tu veux “voir”, tu verras… “ton enfant”, tu auras un enfant… “manger avec une cuillère en or”, tu auras la richesse. >>>