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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Avril 2006: Archive jusqu'au 07/avril/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le jeudi 06 avril 2006 - 15h24:

Bazooka,

Chirac a fait plus fort: il a promulgué une loi en donnant l'ordre de ne pas l'appliquer !!!

C'est une toute première dans les annales !!!

Le CPE est une histoire de fous !!!

Et les syndicats n'ont rien à envier à cet exemple qui vient de haut.

Voila comment, faute de consultation attentive des partenaires sociaux, on transforme une initiative interessante en cauchemard.

Initiative interessante, car il faudra bien choisir entre "avantages sociaux" et "acquis sociaux".

A cause des avantages sociaux, la main d'oeuvre a des difficultés à être concurentielle, si on ajoute à ça les aleas du marché, la fluidité est devenue indispensable dans les entreprises et beaucoup de patrons hésitent à embaucher, compte tenu de la lourdeur de la "débauche" en cas de régression.

Mais si l'entreprise travaille, pourquoi se séparerait elle de quelqu'un qu'elle a formé pendant deux ans et qui lui donne satisfaction?

Je ne dis pas que j'ai raison, je réfléchis seulement avant de crier avec les loups à un an et demie d'une présidentielle.

Ce qui n'enlève en rien le ridicule du Président et l'inexpérience "satisfaite" du Premier Ministre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 06 avril 2006 - 16h32:

Comme Emile le dit si bien, le Juif est bon par nature.
Je rajouterais, sans vouloir choquer personne, mais a l'attention de qui vous savez, que ca ne veut pas dire pour autant qu'il est c.n ...

Merci pour lui.

Israeliens et Palestiniens collaborent contre le H5N1
LE MONDE | 05.04.06 | 17h05


En depit de l'arrivee au pouvoir du Hamas dans les territoires occupes, les autorites israeliennes et palestiniennes s'efforcent de cooperer pour enrayer le developpement de la grippe aviaire sur leurs territoires. Apres la decouverte de volailles mortes dans un elevage du centre de la bande de Gaza il y a deux semaines, des responsables des ministeres de la sante et de l'agriculture des deux bords se sont rencontres au terminal d'Erez, le point de passage entre Israel et Gaza.


Accedez a l'integralite de cet article sur Lemonde.fr
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-685875,36-758261,0.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 06 avril 2006 - 12h12:

Dans les prochains jours, les quotidiens francais titreront :

Sauves du CPE (a defaut de guillotine) grace a Badinter !

25 ans apres avoir abolit la peine de mort en France, Robert Badinter envoit un camouflet de poids au President de la Republique en lui rappelant l'Article 10 de la Constitution Francaise :

" Le President de la Republique promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi definitivement adoptee.

Il peut, avant l'expiration de ce delai, demander au Parlement une nouvelle deliberation de la loi ou de certains de ses articles. Cette nouvelle deliberation ne peut etre refusee. "

http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/Constitution.pdf


Pourquoi Chichi a t-il attendu depuis le mois de Janvier (soit plus de deux mois apres la promulgation) pour annoncer qu'il fallait une nouvelle deliberation ?

Sera-ce la foule des etudiants et des lyceens en colere qui l'eut destabilise ?

Badinter President !! Badinter President !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 06 avril 2006 - 11h46:

Citron:

C. Q. F. D. !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 06 avril 2006 - 09h03:

COMMENT ISRAËL PEUT GAGNER

par Daniel Pipes - New York Sun- 4 avril 2006

Version originale anglaise: How Israel Can Win

Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Depuis que j'ai affirmé, dans une colonne de la semaine passée, qu'Israël peut et doit vaincre les Arabes palestiniens, un barrage de répliques est venu contredire cette thèse. Certaines sont insignifiantes (Haaretz publia un article contestant mon droit de m'exprimer sur de tels sujets parce que je ne vis pas en Israël), mais la plupart d'entre elles soulèvent des questions sérieuses, qui appellent une réponse.

Le stratège de l'antiquité chinoise Sun Tzu observa qu'en guerre, il faut «faire de la victoire ton principal objectif». Un conseil auquel s'associa le théoricien de la guerre autrichien Raimondo Montecuccoli, au XVIIe siècle. Son successeur prussien Clausewitz ajouta que «la guerre est un acte de violence consistant à forcer l'ennemi à accomplir sa volonté». Cette réflexion reste valable de nos jours: la victoire consiste à imposer sa volonté à l'ennemi, soit en principe à l'obliger à abandonner ses objectifs stratégiques. Les conflits se terminent usuellement avec l'effondrement de la volonté de l'un des camps.

Théoriquement, il ne doit pas forcément en être ainsi. Les belligérants peuvent parvenir à des compromis, ils peuvent s'épuiser l'un l'autre ou encore ils peuvent choisir de résoudre leurs litiges sous la menace d'un ennemi plus puissant (comme lorsque la Grande-Bretagne et la France, longtemps considérés comme «naturellement et nécessairement ennemis», signèrent l'Entente cordiale, en 1904, en raison de leur appréhension commune devant l'Allemagne).

Mais de telles solutions «sans vainqueur ni vaincu» sont l'exception à l'ère moderne. Par exemple, bien que l'Irak et l'Iran aient mis fin à leur guerre de 1980–1988 dans un état d'épuisement mutuel, ce match nul n'a pas résolu leurs différends. D'une manière générale, aussi longtemps qu'aucun camp ne traverse l'agonie de la défaite – ses espoirs réduits à néant, ses coffres vides, sa vitalité éteinte –, le spectre de la guerre persiste.

On peut s'attendre à une telle agonie à la suite d'une défaite dévastatrice sur le champ de bataille, mais, depuis 1945, cela n'a guère été le cas. Les avions abattus, les tanks détruits, les munitions épuisées et les territoires perdus sont rarement des éléments décisifs. Ainsi, observons les multiples défaites arabes contre Israël entre 1948 et 1982, la défaite de la Corée du Nord en 1953, celle de Saddam Hussein en 1991 et celle des sunnites irakiens en 2003. Dans tous ces cas, la défaite sur le champ de bataille ne s'est pas traduite par une vague de désespoir.

Dans l'environnement idéologique des dernières décennies, le moral et la volonté comptent davantage. Les Français abandonnèrent la partie en Algérie en 1962 alors qu'ils dominaient leurs ennemis en effectif et en armement. Il en alla de même des Américains au Vietnam en 1975 et des Soviétiques en Afghanistan en 1989. La guerre froide prit fin sans faire de victimes.

Appliquées à la guerre d'Israël contre les Arabes palestiniens, ces réflexions conduisent à plusieurs conclusions:

Israël n'est pas libre de tenter de vaincre; il en est notamment empêché par les souhaits de son principal allié, le gouvernement américain. C'est la raison pour laquelle je me penche sur cette question, moi, un analyste américain, dans l'intention d'influencer la politique des États-Unis et des autres pays occidentaux.

Israël devrait être exhorté à convaincre les Arabes palestiniens qu'ils ont perdu, à agir sur leur situation psychologique.

Un geste agressif tel que le «transfert» des Arabes palestiniens hors de Cisjordanie serait contre-productif pour Israël – cela aggraverait le sentiment d'outrage, accroitrait le nombre d'ennemis et prolongerait le conflit.

À l'opposé, la perception de la faiblesse d'Israël réduit d'autant la possibilité d'une défaite des Arabes palestiniens; ainsi, les erreurs commises par les Israéliens pendant les années d'Oslo (1993–2000) et le retrait de Gaza provoquent l'exaltation et l'aspiration a davantage de combats parmi les Arabes palestiniens.

Il suffit à Israël de vaincre les Arabes palestiniens, et non l'ensemble des populations arabes ou musulmanes, lesquelles finiront par suivre l'exemple des premiers.

Je résiste ici à la tentation de suggérer des mesures spécifiques qu'Israël pourrait prendre – d'une part parce que je ne suis pas israélien et d'autre part parce qu'il est prématuré de débattre de possibles tactiques victorieuses avant que la victoire ne soit la stratégie choisie. Je rappelle simplement que les Arabes palestiniens bénéficient d'un immense effort de secours et de soutien d'un réseau mondial d'ONG, d'éditorialistes, d'universitaires et de politiciens; que le problème – fabriqué de toutes pièces – des «réfugiés» arabes palestiniens se situe au plus profond du conflit; et que le manque de reconnaissance internationale de Jérusalem en tant que capitale d'Israël pourrit la situation. Ces trois problèmes sont clairement des priorités.

Ironie du sort, la destruction par Israël des motivations guerrières des Arabes palestiniens sera la meilleure chose qui ait pu leur arriver. Car ils pourraient alors enfin renoncer à leur rêve malsain d'éliminer leur voisin, et auraient une réelle chance de se concentrer plutôt sur leurs propres affaires politiques, économiques, sociales et autres. Pour devenir un peuple normal, dont les parents n'encouragent pas leurs enfants à devenir des terroristes suicidaires, les Arabes palestiniens doivent subir l'épreuve de la défaite.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le jeudi 06 avril 2006 - 08h45:

Nouveau réalisme ou nouvelles chimères? Réponse à Barry Rubin

L'unanimité des commentaires, au lendemain des élections israéliennes et de la victoire du parti Kadima, est troublante. Tout le monde semble se réjouir de la victoire du parti Kadima, qui traduirait la fin du rêve du "Grand Israël " (1) et l'adoption, par les électeurs, d'une attitude pragmatique et réaliste. Il y aurait beaucoup à dire sur l'idéologie post-sioniste des dirigeants du nouveau parti fondé par Ariel Sharon sur les ruines du Likoud. Mais c'est sur le plan de la géostratégie, et non sur celui de l'histoire et du sionisme, que je voudrais répondre à l'article de Barry Rubin, intitulé "Le nouveau réalisme israélien", qui a été publié simultanément dans plusieurs quotidiens internationaux.

Barry Rubin, qui dirige le centre GLORIA, est un observateur avisé de la scène politique moyen-orientale. A ce titre, ses arguments méritent d'être pris au sérieux. Selon Rubin, la victoire de Kadima, "tournant politique le plus important des 30 dernières années", serait la conséquence du charisme d'Ariel Sharon, qui a "totalement transformé la pensée stratégique israélienne au cours de la dernière moitié du [vingtième] siècle". Cette transformation consiste en l'abandon de ce qui constituait le cœur du consensus stratégique israélien entre 1967 et 1995 : à savoir "la nécessité de garder le contrôle de la Rive Occidentale [du Jourdain] et de la Bande de Gaza", en tant que qu’atout dans la négociation d'un accord de paix, et surtout en tant "qu'espace important pour la défense d'Israël".

Selon Rubin, Sharon serait parvenu à la conclusion que ce consensus n'avait plus de raison d'être, au vu de l'échec du processus de négociations, entamé à Oslo et poursuivi jusqu'en 2000, et au vu du changement du contexte géostratégique international. Dans ces circonstances, Sharon aurait décidé d'un retrait unilatéral pour fixer les frontières définitives d'Israël, tout en édifiant un "mur de sécurité", qui renforcerait la protection du pays...

Cette analyse succincte du bouleversement de la pensée stratégique israélienne par la nouvelle doctrine Sharon de l'unilatéralisme laisse de nombreuses questions sans réponse. Tout d'abord, même si l'on accepte l'idée que les "territoires" de Judée-Samarie et Gaza ne peuvent plus constituer un atout dans les négociations, en l'absence de partenaire du côté palestinien, on a du mal à comprendre en quoi cela diminue leur importance stratégique. La réponse que pouvait constituer le "mur de sécurité" a déjà montré sa totale inefficacité, et les tirs de missiles Qassam (puis de Katioucha) sur les villes de Sdérot et d'Ashkélon ont démontré que le mur n'était qu'un cache-misère du point de vue sécuritaire et stratégique.

Plus troublante encore est l'affirmation de Barry Rubin, selon laquelle "la victoire du Hamas aux élections palestiniennes n'a fait que renforcer le nouveau consensus stratégique". J'avoue rester perplexe devant une telle affirmation, qui semble contredire la logique la plus élémentaire. Si la victoire du Hamas signifie l'absence de partenaire palestinien, en quoi confirme-t-elle le "nouveau consensus stratégique" et la politique de retrait unilatéral ? Les seules options stratégiques pour Israël seraient-elles un retrait négocié, ou un retrait unilatéral ? Si c'était le cas, cela reviendrait à tomber de Charybde en Scylla. Car, en quoi la création d'un Etat-Hamas aligné sur l'Iran dans les territoires évacués unilatéralement va-t-elle servir les intérêts stratégiques de l'Etat d'Israël ?

Cette question, loin d'être purement rhétorique, nous amène en réalité au cœur de la contradiction inhérente à la stratégie de l'unilatéralisme, que Rubin qualifie hâtivement de "nouveau consensus stratégique" israélien. On ne peut, en effet, déterminer de manière unilatérale la stratégie d'Israël, sans tenir compte des réalités du monde qui nous entoure, ni en faisant abstraction des développements préoccupants en provenance d'Iran, de Syrie ou de Gaza. A cet égard, se contenter de dire que la victoire du Hamas "renforce le nouveau consensus stratégique" relève soit de l'autosuggestion, soit d'un optimisme béat, dont on pouvait penser que les événements des dernières années nous avaient définitivement guéris.

En 1988, quand les Palestiniens ont déclenché la "première Intifada", Shimon Pérès, alors ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement d'union nationale, avait déjà proposé un retrait de la bande de Gaza. Cette proposition ne fut pas suivie d'effet, et suscita de vives réactions. "Si nous nous retirons unilatéralement de Gaza, les terroristes palestiniens pourront librement tirer des missiles sur Ashkélon et Sdérot, comme ils l'ont fait au Liban" (2). L'auteur de cette prédiction savait de quoi il parlait : c'était un militaire au passé glorieux - son nom était Ariel Sharon. Dix-sept ans plus tard, pourtant, c'est Sharon lui-même qui a dirigé le retrait unilatéral de Gaza, lequel a, comme il l'avait prédit, exposé Ashkélon et Sdérot aux tirs de missiles.

Cela n'empêche pas Barry Rubin de considérer l'unilatéralisme comme l'illustration du "pragmatisme résigné", auquel seraient parvenus les dirigeants et les électeurs israéliens, en abandonnant le "rêve de paix, la ferveur nationaliste et le prétendu salut religieux". Le rêve de paix des architectes d'Oslo était, certes, une erreur historique, dont nous avons payé chèrement le prix, mais il avait au moins le mérite de reposer sur une certaine logique, celle de l'échange de "la paix contre les territoires". Le rêve des stratèges de Kadima ressemble à une caricature du rêve d'Oslo : il n'y a plus de partenaire palestinien, plus d'accord de paix en vue, alors on abandonne les "territoires", pour se retrancher derrière un mur.

Au-delà de son inanité stratégique, une telle conception comporte aussi une erreur fondamentale dans la manière d'envisager le conflit israélo-arabe. Car Israël est condamné à vivre au milieu d'un environnement arabo-musulman, et aucun "unilatéralisme" ne pourra mettre fin à cette réalité. Aucun mur ne pourra supprimer la présence de nos voisins, avec lesquels nous sommes condamnés non pas à nous entendre (car il faut être deux pour faire la paix), mais à vivre, même au prix d'une continuation de la guerre pendant encore un siècle (3). A cet égard, le "nouveau consensus stratégique", vanté par Barry Rubin, ressemble étrangement aux rêves des architectes d'Oslo, qui prétendaient mettre fin au conflit pour faire d'Israël la "Suisse du Moyen-Orient".

Aucun mur ni aucune doctrine stratégique ne peuvent faire disparaître l'hostilité de notre environnement, et aucun retrait unilatéral ne peut contraindre nos ennemis à nous accepter. La "barrière de sécurité" construite par Sharon risque fort de se transformer en une nouvelle ligne Bar-Lev, ou Maginot. Le "nouveau consensus stratégique" ne peut dissimuler cette dure réalité qui saute aux yeux : le seul "bénéfice" stratégique qu'Israël a retiré du retrait unilatéral de Gaza est la constitution d'un front Iran-Hamas, dont l’objectif est de "rayer Israël de la carte". Contre cette volonté destructrice, la pire des attitudes serait de nous réfugier une fois de plus derrière un mur illusoire et de nous enivrer d'un "nouveau réalisme" qui désigne en réalité de nouvelles - et dangereuses - chimères.

Pierre Itshak Lurçat *

* Avocat et journaliste au bimensuel israélien francophone, L'Enjeu.

Notes
1. C'est le titre de l'éditorial du Monde, daté du 31 mars dernier.
2. Cité par Daniel Haik, Sharon, un destin inachevé, p. 239, L'Archipel 2006.
3. Sur ce sujet important, je renvoie à l'interview passionnante d'Eliezer Cherki, Jerusalem Post [édition française] 7. 2. 2006.
http://a7fr.net/Default.aspx?tabid=52&articleType=ArticleView&articleId=5105

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 06 avril 2006 - 08h05:

Nos echanges montrent que nous avons une vision tronquée de l'Histoire et les modifications des Etats Orientaux au cours des siecles et combien de populations Chretiennes Souri ou Roumi
anterieures à l'arrivée au 7° siecle ont été converti et l'ont accepté parfois pour se proteger d'autres invasions et dans l'Islam nous trouvons des rites differents comme chez les Alaouites qui cachent des peuples d'autres religions anciennes qui par cette difference ont continué à ce marier entre eux Demandez aux djerbiens les varietés de rites Musulmans?Chez les chretiens d'Orient les varietes entre grecs orthodoxes Maronites assyrochaldeens coptes on cache les enciens peuples.Chez les juifs aussi il y a ces variables suivant les exils.C'est pourquoi faisons comme la France qui par la Laicité qui laisse à chacun son rite religieux
et ses rites regionaux Bourguignon ou Flamand ect
pour ne connaitre que leur citoyenneté qui est l'avenir pour sortir des tribus familiales de l'antiquité Il y a beaucoup à faire pour moderniser les esprits.Car une Paix avec un groupe il ressortira une autre guerre avec un autre groupe.C'est pourquoi les Europeens ont ecrit qu'ils vont vers L'ORIENT COMPLIQUé avec des Idées simples ::Orientaux ouvrez vos YEUX autrement on aura L'AYIEN c'est les Chinois qui vont nous sortir de notre sous developpement mental

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le jeudi 06 avril 2006 - 07h58:

Bazooka

votre question n a aucun lien avec mon message precedent.

toutefois pour vous repondre, le statut de dhimmi a ete invente par les arabes dans les annees 600 de notre ere.
ce statut tolere la presence d etrangers a condition qu ils payent des taxes et ils sont consideres comme une population etrangere, mais ont un droit de cite et une liberte de culte ( qui variait au bon vouloir des dirigeants).

un dhimmi est considere comme etranger toutefois tout au long de l histoire des pays musulmans, des dhimmis ont accedes a des postes cles des gouvernements, il y avait des conseillers, des generaux d origine dhimmis.

ce statut est obsolete est n est plus utilise depuis des decennies dans ces meme pays musulamns (du moins en afrique du nord).

je pense que tous cela vous le savez, bazzoka,

toutefois je tiens a preciser qu il faut replacer ce terme dans son contexte historique.. vous savez certainement quel statut avait les juifs pendant plusieurs siecles en Europe. la communaute juive tunisienne a souvent ete enrichie par des juifs fuyant les persecution des rois europeens . comparons les pommes avec les pommes.

en 2006 personne ne parle de dhimmis ( du moins en afrique du nord)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 06 avril 2006 - 08h18:

Le billet d'André Nahum

Ils étaient entre un et trois millions à défiler hier dans les rues de Paris, de Marseille et d'autres grandes villes.
Autant que la semaine dernière.
Syndicalistes, étudiants et lycéens ne donnent pas encore de signes d'essoufflement comme s'ils voulaient rééditer un vrai-faux-Mai-68 avec grêves, occupations d'établissements scolaires et d'universités, manifestations de masses sans échapper à leur inévitable corrolaire, les exploits en fin de cortège des casseurs encapuchonés .
Qu'avait donc de si toxique ce CPE, objet de leur courroux ? Il est virtuellement mort et pourtant, conscients de leur force, ils se refusent de baisser la garde et leur pugnacité ne faiblit pas.
Au départ, avec ce contrat de première embauche, Dominique de Villepin était probablement animé du désir louable de diminuer le taux de chômage des jeunes en introduisant une certaine flexibilité de l'emploi. Mais l'enfer est pavé dit-on de bonnes intentions. Dans sa précipitation, le premier ministre, trop sûr de lui, a commis deux erreurs qui risquent fort de causer sa perte : Il a oublié qu'il était impossible dans notre pays de toucher aux acquis sociaux et a omis de se concerter avec les organisations concernées.
D'où la situation actuelle.
Jacques Chirac, avait le choix entre faire appliquer une loi votée démocratiquement et rétablir l'ordre, ou désavouer son premier ministre sous la pression de la rue, ou à la limite demissionner lui-même. Au lieu de cela, il louvoie. Il promulgue la loi en question et demande dans le même temps qu'elle ne soit pas appliquée en attendant de la modifier, pour la vider de sa substance.
Une autre bourde !
Un fiasco total.
A l'évidence le gouvernement ne sait plus comment s'en sortir.
Alors l'Elysée fait appel à Nicolas Sarkozy, non pas en tant que ministre mais comme président de l'UMP et voilà "l'homme à abattre", le rival honni, promu arbitre de la situation.
On attend de lui qu'il sorte le president et son premier ministre du guépier dans lequel ils se sont fourvoyés sans qu'on sache trop bien si cette mission n'est pas elle aussi une sorte de piège.
Comme on le voit, tout cela est très compliqué et chacun joue son jeu propre avec plus ou moins de virtuosité sur fond de manipulation des jeunes grisés par la découverte de leur pouvoir tout neuf.
Les syndicats profitent de l'aubaine pour se refaire une santé.
Socialistes, communistes et trotskystes font de leur mieux pour récuperer le mouvement et à droite comme à gauche, les ambitions personnelles s'entrecroisent et s'entrechoquent. C'est à qui tirera le mieux la couverture à lui.
Est-ce là, la " chienlit" dont parlait jadis le general De Gaulle ou pas encore ?

André Nahum

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 06 avril 2006 - 08h17:

HAMETZ A VENDRE SUR eBAY

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