Par Nao (Nao) le vendredi 24 mars 2006 - 02h31:

Dans l'emission de C ds l'Air (France 5) du 23/03, on voit les facs assiegees, le materiel detruit (sucrons le RMI de la racaille!), les amphis bondés d'etudiants grevistes qui se la jouent Mai 1968 qui n'en est pas un..

Tous ces jeunes on le sent bien sont manipules et sont recuperes par les syndicats vereux, les politiciens de l'opposition verts de rage et les casseurs eux de couleur verte..
Ces manifs et revendications offrent a ces derniers sur un plateau d'argent une opportunite en or de foutre le bordel et de raviver l'ambiance emeutes de l'automne.

Le CPE ca n'est ni meilleur ni pire que les autres tentatives deployees dans le passe pour relancer la croissance et l'emploi. En France on ne peut RIEN proposer ou essayer sans que ca soit percu comme suspicieux et inacceptable. Societe qui vit figee.

De tte facon, rien ne relancera la croissance a ce stade car la France est asphyxiee par son propre systeme.

Je parie que si vous demandez aux etudiants ce qu'ils savent du CPE et de son fonctionnement (car le droit du travail c'est complexe ds son application), une bonne majorite ne sait meme pas pourquoi ils font la greve et manifestent. C'est le oui-dire qui fait la pluie et le beau temps.
Le CPE est un FAUX probleme.

Le VRAI probleme c'est que la France est une societe en crise profonde, desesperee, qui ne se voit aucun avenir et ou les Francais refusent de se remettre en question et de lacher leurs privileges sociaux. Sasn cette remise en question, elle ne pourra pas se lever et avancer.

C'est une societe en pleine asphyxie, en pleine crise d'apoplexie.

Allez voir l'emission "Un oeil sur la planete" (France 2) ou les gens qui immigrent au Canada sont souvent obliges de prendre des jobs inferieurs a leurs qualifications juste pour bosser et se payer leur croute. Ils ne font pas la fine bouche.
Les Francais eux ont ete pendant un demi siecle TROP gates socialement, encourages a la paresse (les 35h) et considerant comme legitimes et comme un Droit les acquis sociaux donnes par une societe paternaliste qui les a deresponsabilises!! Ailleurs on ne vous pas passe pas de la pommade; mais ca les Francais ne s'en rendent meme pas compte.

Vu de l'exterieur, toutes ces scenes de manifs, de blocages, de greves, de violence, de destruction, de bagnoles brulees, de CRS qui chargent avec leurs matraques ca fait desordre. Depuis Octobre, la France presente aux medias etrangers une image tres negative.
Basée l'image de la France pays de cocagne, du bon vin, de la baguette et du camembert..

La France ne fait plus rever! Pire encore ici et ailleurs on se moque d'elle.

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 23 mars 2006 - 23h15:

Maxiton:

Non, l'histoire la plus courte c'est:

" Dieu soit loue !"

Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 23 mars 2006 - 17h30:

l'histoire juive la plus courte ( et peut-etre la plus connue )

Amene !

Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 23 mars 2006 - 17h41:

Allez une derniere - pour reflechir :

Dans uns yeshiva de Sfat,trois rabbins discutent autour d'un texte talmudique.

Et de fil en aiguille et d'association d'idees en association d'idees en arrivent a juger les actions de Dieu et jusqu'a Son existence.

Verdict :

Dieu est coupable et Il n'existe pas

" Allez " dit un des rabbis en remplissant les verres de schnaps ( ou de Boukha si vous voulez ) " Allez lehaim ! "

Et un des deux autres, avant de boire, se met a reciter la priere "che hakol yehye bidbarro. "

Les autres surpris essayent de comprendre son illogisme.

Et lui :

Dieu c'est Dieu, et la brakha c'est la brakha !

Par Lalla (Lalla) le jeudi 23 mars 2006 - 17h47:

maintenant ils ont besoin d'un passeport biometrique pour entrer aux USA.ET AUSSI D'UN VISA.

Par Girelle (Girelle) le jeudi 23 mars 2006 - 16h50:

Comme tu as raison Henri, rigoler, c'est mieux, mais il me sera beaucoup pardonné, parceque je n'ai vraiment pas commencé.

Vas y pour tes blagues, ça nous détend !!

PS, suis sure que tu es le roi de la belote !!

Par Emma (Emma) le jeudi 23 mars 2006 - 18h39:

Clôture du II° Congrès mondial des imans et des rabbins pour la paix
Par Bertrand C. Bellaigue


« Notre réunion a été quasi miraculeuse », a dit Joseph Cohen, le Grand rabbin de Haïfa. « C'est une représentation théâtrale inutile », ont estimé certains Palestiniens présents.

Le « IIe Congrès mondial des imans et des rabbins pour la paix » a terminé ses travaux mercredi 22 avril à Séville, en Andalousie, en créant un "comité permanent de d'orientation" de douze membres représentant les principales zones géographiques de l'islam et du judaïsme. Ce comité sera chargé, notamment , de l'organisation des prochaines rencontres et du IIIe congrès.


« Le simple fait que nous soyons réunis ici-même et que nous nous parlions constitue déjà un miracle », a déclaré le Grand rabbin de Haïfa (Israël), Joseph Cohen, en présence de l'iman de Gaza, le sheikh Imda el Faloudji, venu en Andalousie avec une délégation de vingt compatriotes de Palestine.

Au cours d'une conférence de presse donnée à l'issue de cette assemblée qui s'est réunie du 19 au 22 mars, les deux chefs religieux représentant l'islam et le judaïsme, entourés d'autres clercs des deux religions, ont souligné l'importance de la rencontre qui venait de se terminer, et mis en évidence les efforts auxquels se sont livrés les congressistes dans leur recherche des moyens de parvenir à la paix. Ils ont souligné l'importance du rôle que doivent jouer l'éducation et le cadre familial dans cette tentative de mettre fin aux hostilités au Moyen-Orient.


L'iman Al Falouji, de Gaza, a exprimé la conviction que “ les chefs religieux , assumant leurs responsabilités, doivent contribuer à établir une « culture du dialogue » , constituer un « groupe de pression » capable d'agir sur les hommes politiques afin de parvenir à la paix, à l'acceptation d'une vie en commun (entre juifs et musulmans) , afin de « mettre en pratique une convivialité basée sur le mutuel respect des droits, et capable d'offrir à nos sociétés un avenir meilleur, en les prémunissant contre le déchaînement de violences sanglantes. ».


Faisant allusion aux conclusions auxquelles sont parvenus les membres du « IIe Congrès mondial pour la paix », le Grand rabbin Joseph Cohen a souligné que les congressistes avaient « nié que dans les doctrines du judaïsme et l'islam, il existe un seul élément inhérent et quoi que ce soit qui les sépare. »

« Nous avons décidé de travailler ensemble, désormais. La déclaration finale que nous avons adoptée est un fait historique puisque nous y condamnons le recours à la violence au nom de quelque idéologie que ce soit. »

« Nous n'insisterons jamais assez sur l'importante de notre réunion de Séville qui a eu lieu au moment même où nous vivons plongés dans une situation dominée par un contexte de violences croissantes, auxquelles prennent part en grand nombre juifs et musulmans. Ce conflit ensanglante la Terre Sainte et les deux communautés, les deux peuples qui y vivent souffrent également », a déclaré le Grand rabbin Joseph Cohen. « Nous vivons en Terre Sainte, a-t-il ajouté, il est de notre responsabilité de faire respecter le message de la religion dans le but de protéger la vie des peuples et de satisfaire leurs aspirations.”

Il s'est d'autre part félicité que les congressistes, au sein desquels, a-t-il précisé, se trouvaient plus de quatre cents chefs religieux et théologiens des deux croyances « aient pu se rencontrer et se réunir pendant quatre jours à Séville en faisant preuve d'une modération telle dans l'expression de leurs points de vue, qu'ils ont été capables d'éviter que surgisse entre eux des conflits insurmontables. »

“Nous nous sommes engagés à condamner toute forme de violence exercée au nom de Dieu ; que ses auteurs soient chefs d'Etat ou un terroriste », a dit Alain Michel, fondateur du mouvement “Hommes de parole” organisateur de ce congrès, avec la collaboration en Espagne de la Fondation des trois cultures.

Il a aussi révélé, en dépit de la satisfaction manifestée par les autres porte-parole, juif et musulman, que « pendant les quatre jours qu'a duré le congrès », les représentants palestiniens avaient protesté contre « le fait de ne pas pouvoir parler de politique ni de la situation dont souffre le peuple palestinien ».

Alain Michel a déclaré « bien comprendre la frustration éprouvée par ces délégués », mais a souligné que « ce congrès avait été pour eux la première occasion de sortir de Gaza. » Il a insisté sur le fait que « le thème central de cette réunion était religieux, et que son but était l'élaboration de recommandations souhaitant que l'éducation prodiguée par les leaders religieux soit fondée sur des arguments positifs dépourvus de violence. »


A travers ces remarques, il a été possible de constater que ce congrès n'a pas été un « long fleuve tranquille », en dépit de la volonté des organisateurs juifs et musulmans d'éviter tout incident et d'aplanir toute difficulté idéologique. Ils n'ont pas pu échapper aux vives critiques des représentants palestiniens. Ceux-ci ont estimé, notamment, que la représentation entre juifs et musulmans au sein du congrès n'avait pas été équitable, « les rabbins présents ayant été beaucoup plus nombreux que les imans.

L'un d'eux, l'Iman Salal Abdelal , de Gaza, interviewé par l'agence nationale espagnole EFE, a estimé que ce congrès ne serait qu'une représentation théâtrale de peu d'utilité étant donné, a-t-il affirmé, que les rabbins n'avaient pas prononcé un seul mot au sujet de la Palestine, et que lorsqu'il avait tenté d'expliquer comment vivait son peuple, ils lui avaient coupé la parole.


Le Ier Congrès mondial des imans et rabbins pour la paix avait eu lieu en janvier 2005 à Bruxelles. Le second avait été placé sous le patronage des rois d'Espagne et du Maroc. L'événement a été suivi de près par la presse espagnole en raison de son caractère symbolique aux yeux de tous les participants : il se déroulait en Andalousie - l'Andalous des musulmans et des juifs - qui était parvenue, au siècle d'or, à créer une harmonie civilisatrice entre les fidèles des trois religions monothéistes, dans laquelle la Renaissance européenne avait trouvé certaines de ses racines.

Par Henri (Henri) le jeudi 23 mars 2006 - 16h12:

La Douda,
Je sais qu'on m'aime, mais tout depend comment,
Avec de la moutarde, de la mayonnaise ou en bons TUNES avec de l'harissa.
Aujourdh'ui je suis de bonne humeur baroukh Achem, car hier soir ce n'etait, helas, pas du tout le cas.

Girelle on n'est pas oblige d'etre serieux tout le temps,les copains et Henri Z'al avec eux savait se foutre de moi en jouant a trois contre moi a la belote, pour me voir m'enerver , et eux me disait, "Henri tu ne sais pas jouer a la belote"
Ya hasra al a Touness el khadra.

Par Douda (Douda) le jeudi 23 mars 2006 - 15h40:

Douda

Salut Henri,

De quoi te plains tu ? ça fait des lustres qu'on te recommande de rigoler pour ton propre bien, et pour le bien de tous, et au lieu de cela, tu ecoutes les Cassandres tireuses de signal d'alarme, répètant à l'envi et sans raisons, les messages de paniques, des ftileuses de rassra,,,

Malgré tout cela,,, On t'aime,,,

Douda du PTB

Par Davideden (Davideden) le jeudi 23 mars 2006 - 15h36:

"Les francais n'ont pas besoin de visa pour les USA"

C'est bien comme ca que les Moussaoui rentrent aux USA.