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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Fevrier 2006: Archive jusqu'au 28/février/2006-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 28 février 2006 - 10h43:

L'Europe reprend ses versements de 121 millions d'Euros à l'autorité palestinienne, (buts humanitaires ?!) mais surtout pour payer les terroristes du Hammas...

Vas-y l'Europe!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 28 février 2006 - 10h56:

Peut-etre que c'est celui la le pays de cocagne dont vous revez tous ?
Juste apres la Terre Promise bien sur ...


Australie. Un gouvernement lucide, qui applique la democratie a la lettre.

Apres la tournure des recents evenements au Danemark, et les violences vecues ces derniers jours a cause de simples caricatures austeres, il faut saluer le discours democratiquement correct et sans faille du gouvernement australien.

Coup de chapeau au parler vrai de l'Australie !!! CANBERRA, AUSTRALIE :

Les musulmans, qui desirent vivre sous la loi islamique de la Sharia, se sont fait dire, mercredi 15 fevrier 2006, de quitter l'Australie, car le gouvernement a fermement l'intention d'eviter d'eventuelles attaques terroristes, en ciblant les radicaux de ce pays.

Il leur a aussi dit qu'il approuvait que les mosquees du pays soient epiees afin de mieux controler la situation.

Le lendemain, un groupe de musulmans dirigeants est alle promettre loyaute a l'Australie durant une entrevue exclusive avec le premier ministre John Howard, et ce dernier et ses ministres leur ont fait savoir qu'ils avaient clairement l'intention de faire un lavage de cerveau a ceux ayant des idees extremistes.

Le tresorier Peter Costello a fait allusion a ce que certains guides religieux radicaux pourraient etre sommes de quitter le pays s'ils n'acceptaient pas que l'Australie soit un etat laique et que ses lois soient dictees par le Parlement. «Si ces lois ne rencontrent pas vos valeurs, si vous voulez un pays vivant sous les lois de la Sharia, alors l'Australie n'est pas pour vous» dit-il lors d'une interview a la television nationale.

«Aux guides religieux qui enseignent qu'il y a deux lois gouvernant les gens en Australie, la loi australienne et la loi de l'Islam, je leur dirai que c'est faux. Si vous ne pouvez pas accepter les lois du Parlement, les cours independantes, la democratie, et que vous preferez la loi de la Sharia, et avez la possibilite d'aller vivre dans un autre pays qui le pratique... alors peut-etre que cela est une meilleure option.»

A la question posee si l’intervention insinuait que les guides religieux radicaux seraient forces de quitter le pays, il a ete repondu que ceux qui avaient une double nationalite pourraient etre sommes de quitter le pays.

Brendan Nelson, ministre de l'Education, a mentionne a la presse que les musulmans qui ne voulaient pas vivre avec les valeurs locales devraient decamper.

«En somme, les gens qui ne desirent pas etre Australiens, et qui ne desirent pas vivre avec les valeurs de l'Australie et les comprendre, alors, ils n'ont qu'a decamper !»

C'est ce qu'on appelle gouverner avec le CRAN inclus dans toute veritable democratie !

Et vous, qu'en pensez-vous ? .... de cette democratie la ? On en reverait, n’est-ce pas ?

J.H

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 28 février 2006 - 10h44:

Chers amis,

Les Editions du Nadir de l'Alliance israélite universelle viennent de publier

"Parcours d'écriture "

textes de Jacqueline Mesnil-Amar et André Amar, rassemblés par Michèle Bitton et Sylvie Jessua-Amar, avec une préface d'Elisabeth de Fontenay et une postface de Catherine Chalier

Ce volume rassemble des textes devenus intouvables de deux grands noms des lettres et de la pensée juives en France.

"Jacqueline Mesnil-Amar et André Amar donnent, dans ces pages, une magistrale leçon de vie gagnée sur les ténèbres... Le retour au judaïsme, ou plus exactement, la détermination passionnée à apprivoiser - pour eux et pour ceux qui les entouraient - un héritage dont ils avaient été privés, fait certes d'eux des témoins exemplaires de ce que fut la destinée, après la Shoah, d'un grand nombre de juifs assimilés."
(extrait de la postface de Catherine Chalier).

Pour voir la couverture et les informations pour la commande, cliquez sur le lien :

http://www.aiu.org/Mesnil.Amar-11.PDF

Merci de diffuser cette information

Bien sincèrement

Jean-Claude Kuperminc

Jean-Claude Kuperminc
Directeur
Bibliothèque et Archives de l' Alliance israélite universelle
45 Rue La Bruyère
75009 PARIS
France
tel. 33 (0)1 53 32 88 62
fax 33 (0)1 48 74 51 33
E-Mail jean-claude kuperminc@aiu.org ; biblio@aiu.org

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mardi 28 février 2006 - 09h34:

Ilan était juif et un juif, c'est riche.» Cette phrase d'un des individus arrêtés n'est-elle qu'un simple préjugé sans fondement raciste ? Ou bien révèle-t-elle plutôt une culture antisémite qui a la vie dure dans notre société ?

Par Annette LEVY-WILLARD

Libération

jeudi 23 février 2006

«La vérité est que ces voyous ont d'abord agi pour des motifs crapuleux... l'argent, mais qu'ils avaient la conviction entre guillemets que les Juifs ont de l'argent» (Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur). «L'un des individus a fait savoir qu'il s'était attaqué à Ilan Halimi car "il était juif et qu'un Juif c'est riche"» (Pascal Clément, ministre de la justice). «La dimension confessionnelle n'est pas inexistante, mais si on leur avait dit que les martiens étaient riches, ils auraient enlevé un martien» (un enquêteur de la police). «Crapuleux», l'enlèvement, la torture et l'assassinat d'Ilan Halimi, mais pas antisémite, entend-on à la télévision et lit-on dans la presse, entre deux appels à la prudence, et malgré la mise en examen, lundi, pour «crime raciste» de sept des suspects arrêtés.

Les Juifs et l'argent, l'argent et les Juifs, rien d'antisémite, un «point de vue», un simple «préjugé», un cliché sans conséquences, comme on parlerait des Belges ou des Ecossais. Ainsi, pour Théo Klein, ancien président du Crif, associer les Juifs et l'argent n'est pas de l'antisémitisme : «C'est une attitude désagréable à l'égard des Juifs. Les Auvergnats n'ont pas toujours eu une excellente réputation, ça existe dans tous les pays, dans toutes les populations. Pour moi, l'antisémitisme est un mouvement organisé dont le but est de mettre les Juifs à l'écart. Je ne pense pas que ce soit une bande organisée pour lutter contre les Juifs», déclarait-il hier à l'AFP.

Depuis l'époque féodale. Jacques Attali, qui a justement publié un livre sur ce sujet (les Juifs, le monde et l'argent, Fayard), est d'un avis opposé. «Il y a deux sources à l'antisémitisme dans l'histoire, Dieu et l'argent. L'antisémitisme a toujours accusé les Juifs de déicide ou de monopoliser l'argent. On déteste les Juifs parce qu'ils ont inventé le monothéisme et on déteste les Juifs parce qu'on les a forcés à faire des métiers d'argent.» Le système féodal avait en effet interdit aux Juifs d'être paysans, de posséder des terres, de porter des armes. Restait l'argent. «Les chrétiens et les musulmans ont obligé les Juifs à être prêteurs au point qu'on ne les autorisait pas à s'installer en Europe ou en Islam s'ils ne prêtaient pas d'argent. Et puis ensuite on les virait ou on les tuait», précise Jacques Attali, pour qui le meurtre d'Ilan Halimi est «un acte isolé de barbares, comme ils s'appellent, mais il révèle clairement que les deux fondements de l'antisémitisme sont toujours là : la religion et l'économique. Dire que ce meurtre n'est pas antisémite est une méconnaissance de l'histoire.»

Et l'histoire, qui commence au VIIIe siècle, se perpétue jusqu'aux temps modernes. Shmuel Trigano, auteur d'un essai ­ l'Avenir des Juifs de France (à paraître le 14 mars, Grasset) ­, rappelle qu'au XIXe siècle encore les nouveaux courants socialistes dénonçaient les Juifs et l'argent et s'en prenaient aux quelques banquiers juifs européens alors que l'ensemble des communautés juives d'Europe vivait dans une grande pauvreté.

Dans les premiers jours de l'affaire, la prudence a été de mise, malgré l'évocation de l'argent et le fait que la victime soit juive. On parle de «voyous», «gang», «bande», «degré zéro de la pensée», «barbares», etc. Ce n'est pas de l'antisémitisme, affirment initialement les autorités, puisque les kidnappeurs n'avaient pas ciblé les Juifs ­ Ilan et les autres qu'ils ont tenté d'enlever ­ «en tant que tels» mais «seulement» parce qu'ils auraient appartenu à une communauté qui, pensent les ravisseurs, aurait de l'argent. Pourtant, penser qu'Ilan appartient à une communauté est, en soi, le désigner avant tout comme Juif et non comme «Français ordinaire».

«On ne juge pas l'antisémitisme par rapport à l'identité de la victime, mais par rapport à l'intention de l'agresseur, s'étonne Shmuel Trigano. Pour que ce soit antisémite, il faudrait donc que l'agresseur ait une claire conscience de ce qu'il fait, une théorie qui justifie son acte. Une "pure" intention antisémite. Mais cela n'existe pas. Les paysans qui tuaient les Juifs dans les pogroms du XIXe siècle n'avaient pas les outils intellectuels pour penser qu'ils étaient antisémites. Et on peut dire que ces pogroms étaient "crapuleux" parce qu'ils avaient toujours un motif économique, ils en retiraient toujours un profit.»

Tabou. Qualifier un crime antisémite de crapuleux s'apparente parfois à une volonté de le banaliser. Ainsi, à Montpellier, quand trois personnes ont essayé de mettre le feu à une synagogue et ont attendu dans leur voiture pour voir si elle brûlait, le procureur a déclaré : «Ce n'est pas un acte d'antisémites mais de jeunes désoeuvrés...» Le qualificatif d'«antisémitisme» reste un tabou, même quand des Juifs se font agresser. Par crainte d'aggraver la situation ? «C'est ce qui s'est passé en 2001, se souvient Shmuel Trigano, qui a alors fondé l'Observatoire du monde juif pour recenser les agressions antisémites. Le gouvernement n'a pas voulu révéler le nombre d'attaques contre des Juifs, et Lionel Jospin avaient demandé aux institutions juives de garder le silence "pour ne pas mettre de l'huile sur le feu". Comme si divulguer la vérité ne ferait qu'augmenter le nombre d'agressions. Or, on s'aperçoit que si la société ne condamne pas ces agissements, eh bien cela conduit à encore plus d'agressions, et c'est ce qu'on a vu avec la multiplication des actes antisémites dans les années 2001-2002. Le non-dit en France produit des catastrophes. C'est un signe de maladie d'une société parce que le principe de réalité n'existe pas. C'est reconnaître qu'on est dans une situation impossible. Et ce refus conduit naturellement à fustiger les réactions "émotionnelles" de la communauté juive, qui serait décrétée agressive et raciste parce que la victime crie en désignant son agresseur.»

«Aujourd'hui, on s'étonne.» Dans un climat de «non-dit» et de silence, le reportage d'Yves Azéroual et Elie Chouraqui sur l'antisémitisme en banlieue, pour l'émission Envoyé spécial (Antisémitisme, la parole libérée, France 2) avait beaucoup choqué lors de sa diffusion, il y a deux ans. «Les jeunes que nous avions interviewés à la sortie d'une école de Montreuil disaient exactement cela : "Les Juifs c'était tous des riches"», se souvient Yves Azéroual. «Et tout le monde a protesté en me disant que ce sont des ados, que cela n'a aucune signification. Et puis quand on a montré des jeunes blacks et beurs d'une cité de Montreuil qui, face à la caméra ­ et c'est moi qui ai décidé de flouter leur visage, pas eux ­, appelaient à tuer des Juifs, on n'a pas trouvé cela grave, on m'a dit : "Ce sont des voyous et des excités." Parce qu'on refuse de voir et de dire qu'une culture antisémite s'affiche dans les banlieues au sein d'une minorité de la communauté afro-arabo-musulmane. Alors, aujourd'hui, on s'étonne qu'un chef de bande black musulman passe à l'acte, comme s'il n'y avait, dans cette histoire, ni passé, ni futur.» Le présent, en tout cas, avec la torture et le meurtre du jeune Ilan, imposera qu'on cherche à comprendre la véritable nature de ce crime.

© Libération

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 28 février 2006 - 08h38:

Interview : Eric Raoult et le syndrome Al Dura (info # 012702/6) [analyse]
Par Serge Farnel © Metula News Agency

Interview du député UMP Eric Raoult réalisée par Serge Farnel au cours de la manifestation d’hier à Paris. M. Raoult est notamment vice-président de l'Assemblée nationale, membre de la Commission des affaires étrangères, membre de la Mission d'information commune sur la création d'une télévision française d'information à vocation internationale, vice-président du groupe d'études sur la sécurité intérieure, président du groupe d'amitié entre la France et l’Afrique du Sud, vice-président des groupes d'amitié entre la France et l’Algérie, secrétaire du groupe d'amitié entre la France et Israël ; M. Raoult a été missionné par l'Assemblée nationale, pour se rendre, du 22 au 26 janvier, dans les territoires palestiniens, en tant qu'observateur des élections législatives.

La Ména : Eric Raoult bonjour.

Eric Raoult : Bonjour

La Ména : Vous avez tenu à assister à ce rassemblement contre l'antisémitisme et le racisme. Pensez-vous qu'il faille être particulièrement vigilant aujourd'hui quant à l'incitation à la haine raciale et à l'antisémitisme, que ce soit dans les médias ou d'une autre manière ?

Eric Raoult : Il faut être très vigilant ! Il y a une banalisation. Parce que quand on a entendu les remarques qui avaient été celles des types qui on fait ce rapt, on s'est attaqué à lui parce qu'il était Juif, parce qu'il avait de l'argent. C'est ce que le fascisme disait avant-guerre. Ce sont les caricatures que l'on a pu voir. Quand on entre à Yad Vashem, ce sont des caricatures là-dessus. Donc en l'occurrence il faut être vigilant. Pourquoi ? Parce qu'à tout moment ça peut recommencer chez des esprits faibles, chez certains qui pensent ce qu'ils entendent. Donc une vigilance de tous les instants, et une vigilance de ceux qui ont manifesté, mais aussi des mômes dans les écoles, des gens dans les villes.

La Ména : Certaines personnes accusent, à tort ou à raison – ça il faut le déterminer –, la chaîne publique française d'avoir véhiculé un faux qualifié d'antisémite. Il s'agit de l'affaire du petit Palestinien Mohammed Al Dura au début de la seconde Intifada.

Eric Raoult : Je crois qu'il ne faut pas mélanger les choses. Il y a ce qui se passe là-bas et ce qui se passe ici. On peut avoir la position que l'on veut sur le Moyen-Orient. Mais ne mélangeons pas avec Ilan. Et donc, tous ceux qui voudraient confondre être pro-palestinien et être pro-terroriste... ce que nous voulons, nous, c'est la paix ici !

La Ména : Je comprends ce que vous me dites mais certains pensent que ces images-là ont pu attiser l'antisémitisme et que c'est de cette manière-là que l'antisémitisme a pu être importé en France. Êtes-vous d'accord avec ce mouvement de citoyens apolitiques et areligieux qui demandent à la chaîne publique qu'elle rende publics ces rushes ? Est-ce que vous pensez qu'au nom de la transparence, il est normal de le demander ?

Eric Raoult : Oui mais sur toute chose...

La Ména : Donc sur cela, en particulier, vous êtes d'accord ?

Eric Raoult : Une image, ça peut être aussi mortel qu'un arme.

La Ména : On est donc d'accord.

Eric Raoult : Oui on est d'accord. Mais je pense que plus on évitera de mélanger la Palestine et la France, plus on évitera de mélanger ce qui se passe là-bas avec ce qui se passe ici…

La Ména : Mais regardez par exemple le journaliste juif américain Daniel Pearl, qui a été décapité par les islamistes pakistanais sur fond de l'image d'Al Dura. Donc, en ce qui le concerne, l'image a été importée et il en est mort.

Une dame proche de Raoult : Attendez Monsieur, on est là pourquoi aujourd'hui ?

La Ména : Je pose la question qui concerne le fait que, dans notre pays, la haine puisse être attisée par des images qui sont montrées aux téléspectateurs français, madame. C'est de cela dont je parle.

La dame : Ah oui !

Eric Raoult : Oui mais ce n’est pas le sujet. Le sujet d'aujourd'hui, c'est un moment de recueillement, un moment de solidarité, et un moment pour se dire aussi: "ça peut plus continuer".

La Ména : On est d'accord, mais pour que cela ne puisse plus continuer ...

La dame à Eric Raoult : Monsieur qu'est-ce qu'il faut faire ?

Eric Raoult : Ce qu'on doit faire, c'est bien séparer les choses. Il y a une position que l'on peut avoir sur un conflit au Proche-Orient et ce qui s'est passé avec cette prise d'otage, ce drame horrible, qui fait ressembler notre pays à une mauvaise série américaine. Et si nous sommes descendus aujourd'hui, il y a des gens de droite, de gauche, des gens qui s'en foutent, il y a des catholiques, il y a des Juifs, des non Juifs. Et je pense que ce qu'il faut voir, ce sont les points communs pour rassembler et pas les différences. Vous avez raison sur ce que vous dites !

La Ména : Ah ?

Eric Raoult : Mais je ne crois pas qu'il faut le dire aujourd'hui.

La Ména : J'avais pensé, mais peut-être me contredirez-vous, que le lien que vous dites qu'il ne faut pas faire, des personnes ont malheureusement pu le faire, parce que cette image qui a été importée, est quand même un faux !

Quand on regarde, par exemple, comment Ilan a été assassiné, avec la mise en scène qui a été faite, est-ce que cela ne correspondrait pas à une mise en scène qui a pu être vue lors de l'assassinat de Daniel Pearl ?

Comment peut-on juger de l'influence qu'ont eu ces images sur cette personne-là ? Qu'est-ce qu'on en sait finalement ? Ce mouvement citoyen, défini sur aucune appartenance politique, et qui demande, sans faire aucune accusation, que les rushes de la chaîne publique française soient rendus publics, est-ce que vous pensez, qu'au nom de la transparence, il est normal de le demander ?

Eric Raoult : Oui c'est normal (…)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mardi 28 février 2006 - 07h53:

Ma che nicnas adar marbim be simha.
Des que debute le mois d'Adar on ajoute de la joie.
Autour de cette table si bien garnie,de notre cher Abraam, tous les amis Tune d'harissa feterons aujourdh'ui roch odech Adar dans la joie.

Bibert,douakhtli mehki,j'etais venu a Paris et je n'arrivais pas a retrouver ta boutique Mabelle.
Rabi maak ya houya.
BEBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le mardi 28 février 2006 - 00h25:

Chers amis,
Méfions-nous des amis de circonstances...
Parce que vous voilà discrets, intégrés, assimilés, vous, Juifs de France . Philippe de Villiers s'empare donc aujourd'hui de l'islamisation. Le "péril juif", lui, il ne l'a pas connu.
Des islamistes futés, s'ils sont "sympas", pourront lui envoyer des "michloah manot" (friandises de Pourim) avec comme carte de visite : De la part des sages de Sion... ce qui adoucira ses phobies.
Un jour, sur les grands boulevards, je fus interpellée par des jeunes du mouvement "Occident" qui voulait me donner ou bien me vendre leur torchon. J'ai refusé d'un large geste.
L'un de ces petits fachos, devant mon refus, faillit m'arracher l'étoile que je portais à mon cou. C'était en 1964.
Alain Madelin fut un des fondateurs de ce mouvement. Il quitta cependant ce mouvement prétextant que c'était une foucade (caprice) de jeunesse.
Certains dans notre communauté, (communautés, communautarisme, oh quels vilains mots !)prétendent qu'Alain Madelin est un ami d'Israël.
Je me répète encore une fois : méfions-nous des amis de circonstances.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jneyen (Jneyen) le mardi 28 février 2006 - 00h24:

DOUDA C'A Y EST J'AI TROUVE LE PAYS DONT TU REVE.

Demain matin de bonne heure je vais au tribunal de commerce pour deposer les statuts de ma future agence de voyage.

Des que je suis pret je vendrais via le site harissa des billets pour ce pays, bien entendu ce n'est qu'a ce moment que je devoilerait le pays convoité.

En attendant je m'informe pour les visas et pour les cartes de sejours long terme et peut etre pour l'immigration massive des juifs de France, attention je ne voudrais pas faire de concurence a Israel!!!!!!

J'espere que tu sera un des premiers a acheter ton billet, j'espere que beaucoup d'autres suivron afin que mon agence prospere, et HARISSA AUSSI.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 28 février 2006 - 00h09:

mea culpa,la meche n'est pas encore vendue,de toute facon avec un nom comme jneyen,pas besoin de carte routiere,ni de position satellite.
la forteresse grise,c'est la ou les esquimaux qui broient du noir doivent montrer carte balanche.