Archive jusqu'au 02/février/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Fevrier 2006: Archive jusqu'au 02/février/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 02 février 2006 - 18h36:

CA-RI-CA-TU-RE

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 02 février 2006 - 18h31:

CONSEIL DES COMMUNAUTES JUIVES DE SEINE SAINT DENIS

Le Président
Sammy GHOZLAN


Le Conseil des Communautés Juives de Seine Saint Denis désapprouve la publication de caricatures du prophète Mahomet,par des médias européens qui ont choqué le monde musulman.

Si dans une vraie démocratie,la liberté d'expression, reste un droit inaliénable,nous considérons que ce type de provocation qui heurte la conscience d'une communauté,( la communauté musulmane en l'occurence), ,pour sa croyance,sa religion,est stérile et offensante surtout si elle peut être perçue comme un blasphème.

Nous constatons toutefois que ceux qui dans les pays arabomusulmans ,s'offusquent et menacent de représailles, n'ont jamais protesté contre les nombreuses caricatures antijuives qui foisonnent dans ces pays.
Par ailleurs nous n'avons pas entendu les musulmans citoyens de pays européens (notamment en France et en Belgique) condamner les propos et les caricatures antisémites en général et celles d'un certain humoriste en particulier qu'ils ont souvent soutenu.

Nous adressons néanmoins à nos concitoyens musulmans ,l'assurance de notre solidarité.

Sammy GHOZLAN

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 02 février 2006 - 18h29:

Expo à Sarcelles la Grande Synagogue de TUNIS

David HAÏK
Membre de la C.A. de SARCELLES A.C.I.P.

Recherche et Etude de 2002 à 2006

Organise

Samedi 18 Février ‏2006 à 20H30

.et Dimanche 19 Février ‏2006 de 9H30 à 19H00

à SARCELLES

Exposition, Conférences et Débats , livres

La Grande Synagogue De Tunis

L’A.I.U. 1865 -1966

sous la présidence du

Rabbin Abraham COHEN
2ème rabbin de la Grande Synagogue de Tunis

Avec Beth CHALOM et Beth COHANIM

Exposition, Conférence et Débats , livres

1865 - 1966 A.I.U. TUNISIE - O.R.T. - A.I.U..

De David Cazès A Simon Temam

Dernier directeur de l’école Malta Srira

Les tunes ont la parole et la plume
Une page ou 5 minutes lors des débats

Courriel dvd.haik@laposte.net ;

Entrée Gratuite : INFORMEZ VOS AMIS par E-Mail

Le Rabbin David HAGEGE ZA’L
1er rabbin de la Grande Synagogue de Tunis

En 1930 ,administrateurs de la nouvelle Synagogue :

David Hagège et Jacob Hassid

La Nouvelle Synagogue De Tunis

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La Nation Juive Portugaise Tunis 1710

DONS et LEGS OSIRIS

1877 Synagogue D’ARCACHON en France
à Paris Synagogue De la rue Buffault

à Tunis La Nouvelle Synagogue De Tunis

Rebbi Isaac Lumbroso

Achat du terrain en 1878 - 1000m² - 20M de façade 2700 piastres

Le Baron Jacques Castelnuovo 1200 piastres
Le Caïd Nissim SAMAMA 1500 piastres
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1865 – 1966 Un siècle de présence de L’ A.I.U. en TUNISIE.

A.I.U.

En 1865 19 eloul Salomon Garcin président fondateur

En 1878 LE Baron Jacques Castelnuovo crée l’école Malta Srira

De David Cazès 1er Directeur
à 1966 Jaques Haïk directeur… trésorier….

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Simon Temam
Dernier directeur de l’école Malta Srira

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En 1913 Elihaou Zérah

Grand Rabbin de Tunisie

Israël ZEITOUN AV Beth Din

Yacoub ELHAÏK Grand Rabbin Portugais
Et Suppléant Av Beth Din

En 1892 La yéchiva ETS HAÏM est composée des rabbins

Gabriel Alevy di liihon ,Yacoub Boccara,Yacoub Silvera,

Yacoub Elhaïk,Eliahou Elhaïk ,Haïm David Costa,

Le bahour David Ben Baron
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A la grande Synagogue de Sarcelles
Exposition, Conférence et Débats , livres

1865 - 1966 A.I.U. TUNISIE - O.R.T. - A.I.U..

De David Cazès A Simon Temam

Dernier directeur de l’école Malta Srira

Les tunes ont la parole et la plume
Une page ou 5 minutes lors des débats

Courriel

Entrée Gratuite : INFORMEZ VOS AMIS par E-Mail

Documents

A.I.U.

Bibliothèque de l’Alliance Israélite universelle à Paris

1860 – 2010 Information pour les anciens élèves 1860 – 2010

150 ans de L’ A.I.U. inscriptions : AIU.ORG

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1846 – 2006 HILLOULA des 160 ans 1846 - 2006

Documents

Familles et amis du Grand Rabbin et Dayan Yacoub ELHAÏK

1897-1914

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En 1931 Raymond VALENSI
Président de L’A.I.U Tunisie

Président de La Nation Juive Portugaise depuis 1919

Victor Joseph VALENSI Architecte ( Diplôme)

LA SYNAGOGUE De Tunis Prix GUADET 5 Juin 1913

Mise en chantier de la nouvelle Synagogue

1931 Rabbins de la Nation Juive Portugaise
Grand Rabbin
Yacoub BOCCARA 1914 –1941
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Rabbins Haïm BOCCARA , Pinhas EL HAÏK,Daniel LUISADA

En 1913 Gabriel VALENSI ( père)
Président de La Nation Juive Portugaise

Le père, le fils, le petit fils
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Raymond VALENSI ( fils)
Président de L’A.I.U Tunisie
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Victor VALENSI ( petit fils)
élève architecte PRIX GUADET 1913 – 500 Frs

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En 1913 Yacoub EL HAÏK ( père )

Grand Rabbin et Dayan de La Nation Juive Portugaise

Le père , les enfants et petits enfants ….
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Melle Laure EL HAÏK ( fille )
Professeur à L’A.I.U. 1909

Le Rabbin Pinhas EL HAÏK ( fils )
Rabbin à L’A.I.U 19.**.
______________

Alice EL HAÏK ( petite fille )
Jacques HAÏK et Ange EL HAÏK ( petits enfants )
1936 - 1966 1955 . .

Professeurs et trésorier à L’ A.I.U.

----------------------
Moshé HABABOU-SALA (arrière petit fils )
Professeurs à L’ORT - A.I.U.

Avec le soutient des Associations rejoignez-les

Kéter Yéouda et Ayn Yossef

La nation Juive Africaine

La nation Juive Européenne

ACIP Sarcelles

Beth Chalom

Beth Cohanim

VOTRE PARTICIPATION, VOTRE VECU ,VOS SOUVENIRS.

ENVOYEZ UN COURRIEL ET VENEZ PRENDRE LA PAROLE.

Les Restaurateurs de Sarcelles sont informés, venez passer une journée de rencontres et de souvenirs en famille

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 02 février 2006 - 13h44:

Douda,

A Riyad, désert des droits de l’homme

Dernière autocratie du Golfe à résister aux réformes qu’exige Washington, le royaume séoudien s’est offert une conférence «internationale» sur les droits humains. Michel Beuret y a assisté.

L'Hebdo, 23 octobre 2003


Un mirage politique est apparu dans le désert séoudien les 14 et 15 octobre derniers: la tenue d’une conférence internationale sur le thème des «Droits de l’homme en temps de paix et de guerre», la première du genre dans l’un des Etats les plus dénoncés pour violations des droits humains. La route de Riyad valait le détour, compte tenu du contexte actuel.

Les pressions de Washington sur les régimes pétromonarchiques, soupçonnés d’abriter les «fous d’Allah» ou leurs relais financiers, ont conduit récemment bien des potentats du Golfe à retourner leur djellaba à la barbe du tuteur séoudien. Qatar, Bahreïn, Oman, les Emirats arabes et même le Koweït ont entrepris de timides réformes – droits civiques ici, émancipation des femmes ailleurs – autant de semi-conducteurs politiques vers une possible démocratisation.

Seule l’Arabie séoudite, en proie à des difficultés économiques croissantes (32% de chômage, 270 milliards de francs de dette publique en 2002) et à la menace grandissante de l’ennemi intime (al-Quaïda s’en prend désormais à la monarchie), était restée impassible. La Conférence de Riyad laissait augurer une annonce de changement, même si les médias internationaux n’y ont pas été officiellement conviés.


L’Islam est grand

Ce 18 sha’ban 1424 du calendrier coranique (14 octobre), les sujets du roi Fahd ont pu découvrir en une des journaux la double nouvelle: Sa Grandeur royale promettait des élections municipales pour fin 2004, tandis que l’on annonçait, sous le patronage de Son Altesse le prince Naif Bin Abdulaziz al-Saoud, l’ouverture de la fameuse conférence au Centre culturel King-Fahd, un bunker de marbre blanc sis à l’extérieur de la capitale.

Dès l’ouverture de la conférence, un docteur de la foi (ouléma) donne le ton: «L’islam produit tout ce dont l’humanité a besoin en terme d’universel et d’amour du genre humain.» La salle demeure aux trois quarts vide, mais certifiée 100% masculine. Au balcon de la grande salle, une poignée de femmes voilées de noir bénéficie d’une vue imprenable.

Pour une conférence internationale, la part des non-Séoudiens était hélas congrue parmi les Bédouins: des professeurs, une poignée d’attachés d’ambassade, quelques représentants du CICR et d’organisations internationales et l’envoyé de la BBC. Aucune liste de participants n’a circulé, mais les grands de ce monde censés venir selon les communiqués séoudiens (Kofi Annan, Boutros Boutros-Ghali, le président de la Cour pénale internationale, etc.) ont tous décliné le rendez-vous. Pour nourrir les rangs devant les caméras, l’on fera venir quelques classes d’étudiants.


Justice indépendante?

Ce début de matinée est consacré à l’étude des rapports entre les droits de l’homme universels et ceux auquel le saint Coran fait allusion. D’emblée, il s’agit de montrer l’ascendant du Coran, tant sur le plan chronologique que pratique. Dans le casque, un traducteur à «l’anglais Arafat» peine à suivre la cadence prédicatrice d’oulémas peu rodés à l’exercice.

Par étapes, les intervenants effeuillent la liste des droits universels en rappelant que le Coran les défend depuis quatorze siècles. Cela donne: «L’égalité est un droit de l’homme et un principe de l’islam. Fatima, la femme du Prophète en personne – salut et bénédiction sur Lui – se serait fait couper la main si elle avait volé.» Mais cette violence n’est pas recommandée, attestent les exégètes, car «le Prophète privilégiait le pardon».

Dans l’auditoire, une question vient déranger les zigzags intellectuels des casuistes. Libéral séoudien, le professeur de chimie Ahmed al-Owais ne nie pas que le Coran est bon. «La vraie question est de savoir comment faire appliquer les droits des musulmans. Il faut pour cela créer un organisme indépendant». Traduction: une justice séparée de l’Etat… Autrement dit, faire un pas vers la sécularisation… Silence dans la salle. Réponses furtives. D’ailleurs, il est temps d’aller déjeuner.


Le Prophète et l’arme chimique

Fustigeant tout au long des conférences le double discours des Occidentaux sur «leurs» droits de l’homme – bafoués en Afghanistan, à Guantanamo, en Irak ou en Palestine – le thème glisse vers le respect des droits en temps de guerre. L’auguste professeur Zaid bin Abdelkareem al-Zaid rappelle ainsi que lors de «la conquête de Badr» (an II de l’Hégire), le Prophète a recommandé de traiter les prisonniers aussi bien que des proches.

La gymnastique scolastique de Riyad a poussé très loin l’anachronisme, en estimant ainsi que le Prophète aurait interdit l’usage d’armes chimiques, puisqu’il recommandait d’utiliser «les mêmes armes que ton ennemi, pas davantage». Le public peut poser ses questions, mais par écrit et signées. Celles qui dérangent, notamment sur les droits de l’homme en Arabie séoudite, sont impitoyablement écartées par le «politburo» islamique.

Au fil des conférences, l’impression grandit qu’il y a comme un malentendu sur la notion de «droit de l’homme». «Peut-on, parce que le Prophète recommandait la lecture, parler d’un droit à l’éducation dans l’islam?», s’interroge Kevin Studds, représentant de la CroixRouge britannique. De même, que penser des sophismes du type: l’islam interdit de brutaliser les enfants, les Séoudiens sont musulmans, donc il n’y a pas d’enfants battus en Arabie séoudite…

Une voix de femme La vraie surprise – faut-il s’en étonner? – est venue d’une voix féminine au balcon. «Je sais que nous sommes en retard sur le programme, mais je compte bien utiliser le quart d’heure auquel j’ai droit», déclare d’emblée le Dr Nora al-Saad. Devant des Bédouins incrédules et l’enthousiasme des «internationaux», la subversive développe le speech le mieux préparé jusque-là, tableau Powerpoint à l’appui: l’islam et la charia, assène-t-elle, protègent la femme, ses droits à la dignité, à l’éducation, au divorce et à la protection sociale. Seulement voilà, les Séoudiens n’appliquent pas le code juridique coranique.

Toussotements sous les keffiehs et premiers applaudissements des Occidentaux, tandis que dans le casque, le traducteur manque de s’étrangler. «Le Prophète lui-même consultait les femmes avant de prendre des décisions», poursuit le Dr Al Saad, «et rien dans l’islam ne condamne les femmes à rester cloîtrées chez elles». La charia, comme projet d’émancipation féminine, voilà qui résonne étrangement. Soudain, elle se fait interrompre: «Votre temps de parole est dépassé!» Connaître la suite? Impossible. Tout entretien avec l’une ou l’autre des femmes intervenues lors de la conférence est proscrit.


Manifestation réprimée

Le sentiment d’avoir flirté avec un instant de vérité sera bref. Dans le micro, la voix d’une autre, le Dr Khadija Hassan, viendra citer les statistiques d’Amnesty International et les enquêtes de CNN sur les viols et la maltraitance des femmes… en Occident. Pour conclure que ce n’est pas en Arabie que l’on peut se prévaloir de chiffres aussi calamiteux. Pour couronner le tout, la princesse royale Hissa bint Salman Bin Abdulaziz al-Saoud, qui a étudié en Grande-Bretagne et que l’on présente bardée de doctorats, affichera elle aussi une splendide langue de bois coranico-académique.

Au café, le professeur Al Owais et d’autres libéraux sont très déçus. «C’est incroyable! Cette conférence a été un show-off! Ici, on ne sait pas faire d’autocritique. La vérité c’est que l’islam n’est pas mauvais, c’est la tradition qui le corrompt.» Loin de parler de droits de l’homme, la réunion semblait en effet plutôt destinée à conforter le régime. Les choses pourront-elles changer un jour? «Cela dépend de nous avant tout.» Autrement dit, des intellectuels éclairés.

Au-dehors, alors que le conclave glosait sur les droits humains, environ 500 manifestants se sont réunis – une première en Arabie séoudite! – pour revendiquer des réformes. Au moins 150 ont été arrêtés et l’on n’ose imaginer leur sort aujourd’hui (lire le rapport d’Amnesty International du 28 mars 2000, détaillant les violations des droits de l’homme au cours des vingt dernières années).

Un mirage, le rendez-vous de Riyad? «Pas tout à fait, sourit Bas de Gaay Fortman, professeur au Centre d’études sur les droits de l’homme à Utrecht, car nous avons pu prendre des contacts avec des représentants des minorités religieuses persécutées dans ce pays (chiites, ismaéliens, ndlr). En fait, la vraie conférence a eu lieu en coulisse.» |

Douda du PTB

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 02 février 2006 - 11h27:

La chute de l’empire romain est l’un de ces sujets qui n’épuiseront jamais la songerie ; Montesquieu l’attribua à l’extension excessive de ses conquêtes, qui lui aurait fait perdre ses vieilles disciplines ; Edward Gibbon incrimina le christianisme, qui aurait sapé les fondements du patriotisme antique ; Max Weber mit en avant la crise économique qui avait ruiné le monde méditerranéen ; Guglielmo Ferrero, la crise politique qui avait condamné Rome à vivre au rythme de pronunciamentos successifs ; Michel Rostovtzeff, la mutation sociale qui avait débouché sur la barbarisation de l’Occident.

Autant d’explications, autant de contreverses. Dans son Bilan de l’histoire, René Grousset écrit : « Aucune civilisation n’est détruite du dehors sans s’être d’abord ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l’extérieur, qu’il ne se soit préalablement suicidé. Et une société, une civilisation, ne se détruisent de leurs propres mains que quand elles ont cessé de comprendre leurs raisons d’être, quand l’idée dominante autour de laquelle elles étaient naguère organisées leur est comme devenue étrangère. Tel fut le cas du monde antique. »

On Peut faire la meme analyse pour les Israeliens
et Judeens de la periode DEs Hashmonim ou Asmoneens Aristodule Judeens se battait contre
son frere Jannée ce qui a permis à Herode de prendre le pouvoir en se convertissant au Judaisme La voie de l'iranien est decadente et barbare car l'Islam s'est etre noble pour la Paix tandis que la voie actuelle est agressive et ne correspond pas à la part de Lumiere qu'elle peut faire fleurir avec Israel et les Nations

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le mercredi 01 février 2006 - 18h06:

Histoire du Peuple Juif

http://perso.wanadoo.fr/jewish-story/filmfra.htm

suggest.1

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 01 février 2006 - 17h23:

Jean Renoir et tant d'autres ...

Doc Galula,

N'ayant aucunement l'intention d'etablir une "liste noire" des artistes francais qui ont fricotte avec l'antisemitisme et l'occupant, je me permets toutefois d'ajouter de l'eau a votre moulin.
Vous citez Jean Renoir pour le 7e art, il faudrait y joindre Gabrielle Chanel (dite Coco)pour la Haute-Couture.
Le comble c'est que dans les annees 50, la presse feminine (Helene Lazareff de Elle en tete) lui a redore le blason, et que depuis les annees 70-80 tout ce qui se dit branche, de bon gout et avant-garde dans la gente feminine de la communaute juive s'habille chez Mademoiselle ...

Malgre de nombreuses biographies, des pans entiers de sa vie restent encore opaques, car elle n'excellait pas uniquement que dans l'art de manier le de a coudre, elle savait aussi dissimuler les imperfections ... y compris les siennes.

Voir (entre autres) ce dossier de l'Express:
http://www.lexpress.fr/mag/arts/dossier/vieprivee/dossier.asp?ida=22997

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 01 février 2006 - 17h04:

Google a l'intention d'ouvrir un centre de Recherche & Developpement en Israel, voir article Ha'aretz:

http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=676494

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 01 février 2006 - 09h00:

QUELQUES CITATIONS ET INFOS UTILES CES JOURS-CI

Winston Churchill, June 4, 1940, speech before the House of Commons

"We shall not flag nor fail. We shall go on to the end. We shall fight in France and on the seas and oceans; we shall fight with growing confidence and growing strength in the air. We shall defend our island whatever the cost may be; we shall fight on beaches, landing grounds, in fields, in streets and on the hills. We shall never surrender and even if, which I do not for the moment believe, this island or a large part of it were subjugated and starving, then our empire beyond the seas, armed and guarded by the British Fleet, will carry on the struggle until in God's good time the New World with all its power and might, sets forth to the liberation and rescue of the Old."

Winston Churchill, 4 juin 1940, discours devant le Parlement britannique.

« Nous ne faiblirons pas et ne faillirons pas. Nous irons jusqu’au bout. Nous combattrons en France et sur les mers et sur les océans ; nous combattrons avec une confiance accrue et une force croissante dans les airs. Nous défendrons notre île quoiqu’il en coûte ; nous combattrons sur les plages, sur les terrains d’atterrissage, dans les campagnes, dans les rues et sur les collines. Nous ne nous rendrons jamais et même si, ce que je ne crois pas pour le moment, cette île ou un grande partie de celle-ci était soumise et affamée, alors notre empire d’outre-mer, armé et protégé par la flotte britannique, mènera le combat jusqu’à ce que dans le temps voulu par D.ieu, le nouveau Monde avec toute son pouvoir et sa puissance, se mette en route pour la libération et le secours d e l’Ancien Monde ».

Ehud Olmert, June 9, 2005, speech to Israel Policy Forum in New York.

"We are tired of fighting, we are tired of being courageous, we are tired of winning, we are tired of defeating our enemies, we want that we will be able to live in an entirely different environment of relations with our enemies."

Ehud Olmert, 9 juin 2006, discours devant le Forum Politique d’Israël à New York

“Nous sommes fatigués de nous battre, nous sommes fatigues d’être courageux, nous sommes fatigués de gagner, nous sommes fatigués de vaincre nos ennemis, nous voulons être capables de vivre dans un environnement de relations totalement différent avec nos ennemis ».

source: simon pilczer
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Palestinian elections 'not democracy'

Wednesday's Palestinian election, hailed by the world for passing without incidents of violence, was not the same as democracy, Likud Knesset candidate Natan Sharansky told The Jerusalem Post outside the Knesset on Sunday.

Sharansky, who wrote the influential bestseller The Case For Democracy, said that there should have been a process of democratization in the Palestinian Authority that culminated with an election, instead of holding an election that he said came instead of real democratic reforms.

"Democracy isn't hocus-pocus; it's a process," Sharansky said. "An election between a terrorist organization that wants to destroy the state of Israel and a corrupt dictatorship that does not care about helping its own people is not democracy. The results of the election were clean but it has nothing to do with democracy."

Sharansky blamed the Israeli government for not doing enough to encourage the development of Palestinian democracy. He said there was never any pressure from Israel for the Palestinians to democratize.

A confidant of US President George W. Bush and Secretary of State Condoleezza Rice, Sharansky explained his position on Wednesday in a meeting at the White House with Deputy National Security Adviser Elliot Abrams and other top officials.

The American officials promised not to take sides in Israel's election, despite recent statements from Bush and Rice praising Sharon and Olmert.

"They said they had no preference and that they would not repeat the mistakes of those who tried to interfere with Israel elections in the past," Sharansky said.

Les élections Palestiniennes ne sont pas le reflet d'une démocratie

D'après Natan Sharanski, la démocratie est un processus qui aboutit à des élections. Or l'Autorité Palestinienne n'a pas entamé le processus des réformes démocratiques dans ses institutions et dans son fonctionnement. La démocratie ce n'est pas n'importe quoi.

Des élections où le citoyen n'a le choix qu'entre une organisation terroriste qui cherche à détruire Israël et une dictature corrompue qui néglige sa population, n'ont rien à voir avec la démocratie.

Sharanski blâme le gouvernement Israélien de n'avoir pas fait pression sur l'Autorité Palestinienne pour qu'elle entame le processus des réformes.

Ce sont les propos qu'a tenus Sharanski à la Maison Blanche où on lui a promis que les Etats-Unis n'interféreraient pas dans les élections israéliennes.

Sharanski est un confident de G Bush et de C Rice.

Source: Gil Hoffman, THE JERUSALEM POST - Jan. 29, 2006
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Un Iran doté d'armes nucléaires, une menace pour le monde (Merkel)

29 janvier 2006

L'Iran constituerait une menace pour le monde entier s'il parvenait à se doter d'armes nucléaires, a déclaré dimanche à Jérusalem la chancelière allemande Angela Merkel après des entretiens avec le Premier ministre israélien par intérim Ehud Olmert.
"Nous avons parlé de la situation en Iran et de la menace qu'encourrait Israël si l'Iran se dotait d'armes nucléaires", a affirmé Mme Merkel lors d'une conférence de presse.
"Il ne s'agit pas seulement d'une menace pour Israël mais pour tout le monde démocratique", a-t-elle ajouté.
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Pour n'avoir pas censuré la publication de caricatures sur le prophète Mohamed, le Danemark subit l'assaut du Jihad mondial, allant jusqu'au boycott de ce pays et la fermeture d'ambassades arabes à Copenhagen.

Un grave problème se pose à l'Europe: sous la pression de l'Internationale islamique la liberté d'expression n'est-elle pas menacée? Ne peut-on pas critiquer l'Islam, quand des individus comme Dieudonné s'en donnent à cœur joie contre le Judaïsme et les Juifs, sans aucune sanction possible ? Ne sommes-nous pas condamnés à l'"islamiquement correct"?
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La toute dernière: sous la pression islamique, la Croix Rouge Internationale avait demandé au Magen David Adom (l'étoile de David rouge), de remplacer l'étoile par un losange ("ôtez-moi ce sigle que je ne saurai voir…"). Montrant une bonne volonté exagérée, Israël a accepté de changer de symbole dans les opérations à l'étranger.

Et voilà le Hamas qui demande à Israël de changer de drapeau national, pour tenir compte de sa population arabe…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 01 février 2006 - 08h17:

RENOIR Antisémite notoire



Chers Amis
Au moment où est inaugurée la nouvelle cinémathèque et son exposition à la gloire de Jean Renoir il serait peut-être utile de rappeler une interview qu'il a donnée à Lisbonne
en 1940 au moment de partir pour New York

http://www.matierefocale.com/article-229924-6.html

Chers Lecteurs,

Il y a quelques jours, je vous proposais de voter pour élire NOS PLUS GRANDS FRANCAIS DE TOUS LES TEMPS, et je proposais dans cette liste iconoclaste, et je l'espère drôle, une série de héros et d'anti-héros français qui par leur mauvaise ou bonne influence ont marqué notre beau pays.
Dans cette liste, on trouvait le nom du réalisateur Jean Renoir. Je rappelais le fait que celui-ci avait été un antisémite notoire. Le fait est peu connu et quelques uns parmi vous ont été, à juste titre, choqués.
Il est tout à fait normal qu'on m'ait demandé alors de préciser mes sources. Non sans mal, je les ai retrouvées, et je crois qu'il était assez important de consacrer un article à la chose.

C'est Henri Jeanson qui rappelle l'anecdote dans le journal L'AURORE, le 5 Novembre 1968. La scène se passe en 1940, à Lisbonne. Renoir attend le bateau qui le mènera aux USA, pays que le cinéaste a choisi pour son exil. Voici un extrait de l'interview, rapporté par Jeanson.

LE JOURNALISTE : "Alors, M. Renoir, vous quittez l'Europe? Vous quittez la France?"
JEAN RENOIR: "Hélas oui... Et ce n'est pas sans regrets. Mais je suis un homme d'humeur, et souvent irréfléchi, et j'ai commis quelques imprudences. Je me suis stupidement compromis avec le Parti Communiste et les gens de gauche. Mais le temps travaille pour moi.
Je reviendrai en France. Hitler est un homme à ma main, je suis sûr que nous nous entendrons très bien tous les deux, car nous sommes confrères. J'ai été victime des Juifs qui nous empêchaient de travailler et qui nous exploitaient. Quand je reviendrai, je serai dans une France désenjuivée, où l'homme aura retrouvé sa noblesse et sa raison de vivre."

Doc Freddy Galula