Archive jusqu'au 22/juin/2003

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires de Juin 2003: Archive jusqu'au 22/juin/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 22 juin 2003 - 18h09:

Pinaccolada c est grace a ce bouclage , a ces checkpoint a ces controles incessants que nous n avons qu un seul gros attentat par semaine sinon on en aurait 10 par jour ... Arretez d utiliser les mots et les phrases pour faire de la victimisation ... ce n est pas facile d etre sous surveillance 24h/24 je le reconnais mais ne serait ce pas a la population de se rebeller contre ces terrorristes qui nous obligent d agir de cette maniere . Rien n est illegal , je ne rappellerai pas encore les armes trouvees dans les ambulances , les faux corps , les infiltres parmi les ouvriers ou les femmes passant des armes dans un faux ventre de femme enceinte . Alors qu lieu de pointer contre Tsahal qui ne fait que proteger au maximum la population d Israel essayez de resoudre le probleme terroriste ,et debarassez vous des mauvaises herbes et de la pourriture vous retrouverez ou plutot ils retrouveront une vie normale ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le dimanche 22 juin 2003 - 18h09:

Les soldats sans famille de Tsahal.
Le 16 juin dernier, la Division Galile du Commandement Nord a organisé une journée spéciale en l'honneur des soldats sans famille.

Les festivités ont débuté le matin, avec un tour de la frontière nord, et se sont poursuivies par des loisirs dans le centre de Rosh Hanikra.

Un soldat sans famille est un soldat servant dans Tsahal et dont les parents ne résident pas en Israël. Bien souvent ce sont de nouveaux immigrants qui ont tout laissé derrière eux, famille et amis, pour venir servir dans l'armée israélienne.
Une cérémonie en leur honneur a été organisée en présence du Commandant de Division, le Général de Brigade Moshe Clipi.
Celui-ci a déclaré que l'objectif de cette journée était de remercier et d'encourager les soldats sans famille pour le dévouement dont ils font preuve, et ce en dépit des difficultés qu'ils doivent affronter au quotidien du fait de leur statut.
Nous espérons qu'ils sentent qu'ici aussi ils ont famille et maison.

"Plus impliqués, moins seuls, plus acceptés."

Leur représentant s'est également exprimé: "Il n'est pas facile d'être soldat seul dans le pays, revenir dans une maison vide, ressentir le manque de la famille.
Mais l'aide apportée par l'armée en général et en l'occurence par le Commandement Nord qui s'efforce de superviser leurs conditions de service est précieuse.

Grâce à eux, les soldats se sentent impliqués, moins seuls, plus acceptés".

Le temps fort de la journée fut la distribution de cadeaux: chacun des 90 soldats sans famille s'est vu remettre une enveloppe contenant des chèques cadeau leur permettant de recevoir un appareil électro-mnager tel qu'un four micro-onde ou un réfrigirateur.
Un des soldats, le "Caporal Gabriel, nouvel immigrant du Brésil, s'est vu remettre un cadeau très spécial.
Lorsque le général de Brigade lui a demandé ce qu'il désirait le plus au monde, celui-ci a répondu: "voir ma mère".
Quelques secondes plus tard, celle-ci apparaissait. L'armée l'avait fait venir depuis le Brésil.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jpc (Jpc) le dimanche 22 juin 2003 - 18h07:

Semantique a la francaise ou probleme de journalistes qui ne consultent plus le Larousse.

Aux US, les titres des journaux qui annoncent la mort de Kawasmeh parlent d'un TERRORISTE abattu par l'armee Israelienne. (plus de 20 morts Israeliens a son actif).

Mais dans tous les journaux francais, vous ne trouverez nulle part le mot "terroriste" car on dit qu'Israel a abattu un ACTIVISTE.

Je vous livre maintenant la definition de activisme dans le Larousse : Attitude morale qui insiste sur les necessites de la vie et de l'action plus que sur les principes theoriques.

Alors peut etre etait-il actif dans le terrorisme celui la mais en tous cas, c'etait un tueur qui n'a eu que ce qu'il merite.

Jean-Pierre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 22 juin 2003 - 17h50:

Bonjour,

mon fils agé de deux ans a des difficultés motrices à cause d'une lesion cerebrale.
Il existe une methode appelée le patterning qui peut lui permettre de marcher et de retrouver une autonomie normale.
Je recherche donc des benevoles en region parisienne sans qualification pour m'aider à pratiquer cette rééducation.
Si vous pouvez nous donner 1 heure par semaine ou plus pendant plusieurs mois, contactez nous.

Pour en savoir plus:
celine.benabou@laposte.net

Merci d'avance pour votre solidarité!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pinacolada (Pinacolada) le dimanche 22 juin 2003 - 16h15:

Le lexique de l'occupation : decryptage

mercredi 11 juin 2003 par Amira Hass


Le discours politique israelien s'appuie sur des termes dont le sens est devenu si distordu que la comprehension de la realite qui se cache derriere ces termes s'est distordue, elle aussi. En voici quelques exemples :

1/ "Bouclage" A la veille du sommet d'Akaba, Tsahal annonca que "le bouclage etait leve". Les journalistes de la radio s'empresserent d'annoncer : "le bouclage est leve". Puis tout le monde s'etonna que les Palestiniens ne se montrent pas reconnaissants. Repetons-le pour la millionieme fois : le bouclage impose aux Palestiniens n'est jamais leve ; il est un peu allege, parfois. Le regime du bouclage en Cisjordanie et a Gaza a ete instaure en janvier 1991 et se poursuit depuis sans interruption. Avant Oslo, avant la creation de l'Autorite palestinienne, et avant les attentats suicides dans les villes israeliennes. Depuis lors, Israel mene une politique a l'emporte-piece qui empeche les Palestiniens de se deplacer. Les autorites militaires accordent des laissez-passer a une minorite de Palestiniens. Quand elles le veulent, il s'agira d'une grosse minorite, et sinon, d'une petite minorite. Il y a des bouclages "ordinaires qui ont trait aux deplacements depuis les territoires jusqu'en Israel, et depuis Gaza jusqu'en Cisjordanie. Et il y a des bouclages "interieurs" qui, ces deux dernieres annees, sont tres serres. Des centaines de checkpoints et de barrages empechent les deplacements d'une ville a l'autre, d'un village a l'autre. Il y a des endroits ou les gens sont autorises a traverser a pied, a marcher un ou deux kilometres d'un vehicule a l'autre. Quelquefois, en certains endroits, on interdit aux gens de sortir de leur ville ou de leur village. Certains passent outre en empruntant des chemins de traverse. Souvent, ils sont pris par les soldats et, en guise de punition, sont retenus pendant des heures au sommet d'une colline ou a un carrefour, sous le soleil ou dans le froid, et ce partout en Cisjordanie. Les Palestiniens n'ont pas le droit d'emprunter les grandes autoroutes de Cisjordanie, reservees aux colons.

2/ "Checkpoints" : Les Israeliens sont convaincus qu'ils servent a empecher les terroristes de parvenir en Israel. Personne ne se demande de quelle maniere les checkpoints entre villes et villages remplissent cette fonction, meme quand lesdits villes ou villages sont eloignes de la Ligne verte ou d'une colonie. Un checkpoint fait du mal, et pas seulement economiquement. Son objectif est de harceler et d'humilier, tous les jours. Il implique des conflits constants avec les soldats, comme lundi dernier, au checkpoint de Sudra, au nord de Ramallah. Ceux qui veulent passer doivent marcher environ deux kilometres, d'un taxi a l'autre. Les ambulances n'ont pas le droit de passer. Les vieux et les malades sont pousses sur des chaises roulantes fournies par les services de secours palestiniens. parfois, quand il n'y a pas d'autre choix, les malades sont poses sur de petites charrettes qui habituellement servent a transporter du materiel lourd. Lundi apres-midi, une unite de Tsahal fit mettre en rangs des hommes qui rentraient chez eux, de chaque cote du checkpoint. Ceux qui venaient de Ramallah furent controles, puis autorises a passer, tres lentement. Ceux qui venaient du nord, principalement des etudiants, durent rester en rangs pendant une heure, sans personne pour les controler. Selon un temoin, professeur d'universite, l'un des soldats allait et venait constamment le long de la rangee pour "maintenir l'ordre". L'atmosphere etait relativement detendue, il ne faisait pas trop chaud et les etudiants bavardaient. L'un d'entre eux gloussa. Pour une raison inconnue, le soldat se mit en colere, se rua sur l'etudiant et lui frappa l'estomac avec la crosse de son fusil. L'etudiant le regarda droit dans les yeux. Le soldat serra le poing et le frappa au visage. (Tshal n'a pas reagi a l'heure ou nous mettons sous presse).

3/ "Avant-postes illegaux" : A l'origine, l'intention etait d'agrandir les colonies, pendant le processus d'Oslo, sans entraves. Entre temps, la plupart ont ete legalises, de jure ou de facto. On a tendance a l'oublier. Utiliser le terme "illegal" fait oublier le fait que la loi internationale interdit toute colonisation de la Cisjordanie et de Gaza, car elle interdit au pouvoir occupant de deplacer sa population dans le territoire occupe. Mais foin de la loi internationale ! S'il est si naturel pour des Juifs de Tel-Aviv ou de Ra'anana de s'installer dans de nouvelles colonies pres de Ramallah ou de Hebron, pourquoi des Palestiniens de Gaza ou de Ramallah ne pourraient-ils pas s'installer dans des quartiers proches de Tel-Aviv (et finances par le gouvernement) ? Pourquoi les droits supplementaires dont jouissent les Juifs entre la Mediterranee et le Jourdain sont-ils si evidents ?

4/ "Nous ne voulons pas controler la population palestinienne" : Ariel Sharon a dit cela pour corriger l'impression laissee par sa declaration selon laquelle il fallait en finir avec l'occupation. Rien de nouveau la-dedans. Deja, au debut du processus d'Oslo, il etait clair qu'Israel ne desirait pas s'encombrer de la responsabilite de controler une population civile sans droits civiques et qui ne voulait pas etre controlee. Israel a donc transfere a l'Autorite palestinienne toutes les responsabilites civiles, sans pour autant lui accorder la moindre autorite sur la terre de Cisjordanie. Des Juifs accepteraient-ils de vivre sous des "Conseils juifs" autonomes, dans des enclaves fermees, et sans reserves de terres ? Pourquoi les Palestiniens l'accepteraient-ils, sans terre, ni eau, ni liberte de mouvement, soit les ingredients necessaires au developpement de n'importe quelle communaute humaine ? Alors, pourquoi considerer la declaration de Sharon comme un grand pas sur le chemin de la paix ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 22 juin 2003 - 09h32:

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 22 juin 2003 - 09h31:

Quelques extraits saillants de la charte du Hamas:
http://www.sector404.org/
• « Israël existe et continuera d’exister jusqu’au jour ou l’Islam l’anéantira, de la même façon qu’elle a anéanti les autres avant elle. »
• Le mouvement de résistance Islamique pense que la terre de Palestine est une terre consacrée « Waqf » (propriété sous juridiction, géré et administré par l’autorité religieuse Islamique) pour les générations musulmanes futures jusqu’au jour du jugement dernier.
Cette terre, ou n’importe quelle parcelle de cette terre ne peut être spoliée, cédée.
Cette terre, où n’importe quelle parcelle de cette terre ne peut plus être abandonnée.
• La question Palestinienne ne peut être résolue qu’à travers le Jihad.
Toute initiatives, proposition et conférences internationales ne sont que de pures pertes de temps et vaines tentatives.
• Après la Palestine, l’aspiration Sioniste est de s’étendre du Nil à l’Euphrate.
Quand ils auront digéré la région conquise, ils aspireront pour encore plus d’expansion et ainsi de suite. Leur plan est défini dans « Les protocoles des sages de Sion » et leurs comportements actuels est la meilleure preuve à l’appui de ce que nous disons.

Edmond Silber

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 22 juin 2003 - 06h10:

Mel Gibson assure que sa Passion ne choquera ni catholiques ni juifs

LOS ANGELES (AP) - Mel Gibson l'assure, son film sur les 12 dernières heures de Jésus "inspirera, n'offensera pas" les catholiques ou les juifs. Certains craignent en effet que l'acteur ne soit influencé par son père, présenté comme un négationiste par un magazine américain.

Dans cette réalisation de l'ex-Mad Max, James Caviezel incarne le Christ et Monica Belluci Marie-Madeleine. Les dialogues de ce film, qui aurait coûté 25 millions de dollars (21,06 millions d'euros), seront exclusivement en latin et en araméen, sans sous-titres.

"Mon intention en portant (la Passion) à l'écran est de créer une oeuvre d'art durable et d'engendrer une réflexion sérieuse dans des publics de diverses cultures religieuses ou sans culture religieuse qui sont plus ou moins familiarisés avec cette histoire", explique Mel Gibson dans un communiqué publié vendredi par "Variety".

De son côté, la Conférence américaine des évêques catholiques lui a présenté des excuses pour avoir critiqué le film avant même sa sortie. Gibson espère voir son oeuvre sur les écrans au printemps prochain mais il n'a pas encore trouvé de distributeur.

La controverse autour de sa "Passion" a été provoquée en mars dernier par la publication dans le "New York Times Magazine" d'un portrait du père de Mel Gibson, Hutton Gibson, décrit comme un traditionaliste dont les croyances n'étaient pas reconnues par l'église catholique et qui niait l'existence du génocide des juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Abraham Foxman, président de la Ligue contre la diffamation, a écrit à Gibson fils pour s'inquiéter de ce que le film risque de présenter les juifs de manière négative.

"Si un examen approfondi de mes 25 ans de carrière dans la vie publique révélait que j'avais une seule fois persécuté ou fait acte de discrimination contre quiconque en raison de sa race ou de sa croyance, je serais plus que désireux de présenter des excuses. Mais il n'y a rien de tel", a répondu l'acteur dans son communiqué.

"Et je ne hais personne, et certainement pas les juifs", poursuit-il, "ce sont mes amis et associés, à la fois dans mon travail et dans ma vie sociale. Heureusement, des amitiés précieuses forgées au fil des années ne sont pas facilement ébranlées par des rumeurs malveillantes. L'antisémitisme n'est pas seulement contraire à mes croyances personnelles, c'est aussi contraire à l'essence du message de mon film", conclut Mel Gibson. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 22 juin 2003 - 06h56:

Le numero 1 du Hammas liquide par Tsahal . Il etait le plus recherche des terroristes .. Abdallah Kouassama etait responsable de plus de 50 morts israeliens il etait l organisateur et le recruteur de la plupart des Kamikases du hamas ... il est parti rejoindre ses vierges ... nous ne le regretterons pas .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 22 juin 2003 - 06h02:

Le départment de la défense US conclut à la nécessité de renverser le régime syrien (info # 012106/3) [scoop]

Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency



C’est encore relativement discret mais la Ména a appris que le département de la défense de l’Administration américaine a émis un avis majeur concluant à la nécessité d’entreprendre une opération militaire contre le régime de Béchar El Assad en Syrie.



Cette décision intervient après que l’ambassade US à Damas a envoyé à Washington un rapport très détaillé, soulignant que le régime alaouite n’avait réalisé aucune des conditions de l’ultimatum que la diplomatie d’Outre-atlantique lui avait présenté.



Ces conditions supplémentent l’exigence de remettre à la CIA tous les dignitaires du régime de Saddam Hussein qui avaient trouvé refuge en Syrie pendant la guerre d’Irak. La livraison de ces personnes se poursuit normalement mais ce serait se fourvoyer que d’imaginer qu’elle pourrait rendre moins impératives les autres actions exigées par la Maison Blanche.



Le rapport de l’ambassade stipule que les agissements et l’entraînement des organisations terroristes situées à Damas et dans les territoires sous contrôle de la dictature alaouite n’ont en rien cessé. Le pouvoir damascène s’est contenté de les rendre moins voyants mais ils se poursuivent de plus belle. L’Orient-le-Jour de ce matin souligne même la fâcheuse tendance qu’a Damas "de confondre, depuis de nombreuses semaines, le territoire libanais avec un no man’s land où l’on peut entasser, pour amadouer un secrétaire d’État US de plus en plus menaçant, les membres du Hamas ou du Jihad islamique"



D’autre part, la Syrie continue de servir de base logistique pour les maquisards arabes et musulmans qui s’attaquent aux forces de la coalition en Irak et qui ont fait, depuis la fin officielle du conflit, quelques 40 morts dans ses rangs.



Au Liban, les forces syriennes n’ont pas engagé leur mouvement de désoccupation qui figure également parmi les termes du diktat étasunien. Conscient de la détermination montante du département de la défense à en découdre militairement, le régime alaouite a promis un redéploiement supplémentaire de son armée dans les jours à venir ainsi qu’une évacuation totale courant 2004.



Interrogées par nos soins, les sources américaines que nous avons approchées ont déclaré irrecevable cet agenda de retrait et ont réitéré la nécessité pour qu’il se produise "sans plus de délais".



Même mécontentement au niveau du déploiement exigé de l’armée régulière du Liban dans la zone frontalière d’Israël, de la cessation de toutes les activités bellicistes du Hezbollah et de son évacuation de la région de la frontière internationale. Aucune de ces actions n’a été entreprise par Damas.



Au plan politique, et malgré les exigences de l’Administration, le régime assadien persiste à mettre les bâtons dans les roues du gouvernement de Mahmoud Abbas et partant, au processus de paix engagé par les Américains en vue de mettre un terme au conflit israélo-palestinien. Les rapports affirment que Damas a encore accru son aide au mouvement religieux terroriste du Hamas et ne manque pas une occasion de soutenir l’action des opposants à la solution des deux Etats pour deux peuples.



Dans les conditions qui prévalent, les analystes de Donald Rumsfeld ont acquis la certitude que Béchar El-Assad ne prenait pas les exigences de l’ultimatum au sérieux et qu’il tentait d’en contourner les stipulations, dans le but de poursuivre son opposition à toute solution négociée avec Israël ainsi que de maintenir son occupation militaire du Liban.



De plus, les Américains n’ont observé aucune évolution des modalités de la dictature syrienne en direction du rétablissement des libertés individuelles et politiques dont nos voisins sont privés depuis 1961.



L’avis du département d’Etat établit que le régime en place à Damas représente un écueil opiniâtre à la pacification du Moyen Orient ainsi qu’à sa démocratisation et que, tant que cette dictature restera en place, les objectifs énoncés par le Président Bush ne pourront se réaliser complètement.



Au département d’Etat, on admet l’ensemble des conclusions des analystes de la défense et, d’accord avec le Dr. Condoleezza Rice, on s’octroie un moratoire jusqu’à la mi-août, période butoir présentée à Assad pour la réalisation des exigences de l’Administration.



On envisage également que Colin Powell effectue une visite éclair, non prévue, à Damas, lors de son périple actuel au Proche Orient, pour y réitérer les clauses et le cadre temps des sommations américaines.



A la mi-août, l’Administration réexaminera la situation à la lumière du comportement de la dictature syrienne, et si les choses n’ont pas très favorablement évolué jusqu’alors, il est vraisemblable que l’avis du ministère de la défense soit endossé. Dans ce cas, il se pourrait qu’une campagne militaire soit déclenchée à l’automne ou au tout début de 2004 au plus tard.



A Beyrouth et en Syrie, les médias sont invités à s’épandre sur les pseudo efforts du gouvernement damasquin en vue de circonscrire le terrorisme et de se retirer du Liban. Mais personne n’est dupe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jano (Jano) le samedi 21 juin 2003 - 22h46:

Avez vous regardé la TV ce soir ? la fête de la musique ? pendant un moment, j'ai cru que nous étions en Algérie ! en effet, il y avait un grand drapeau algérien déployé ! pas de drapeaux français !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Benzarti (Benzarti) le samedi 21 juin 2003 - 15h09:

bonjour tout le monde!!
voila je voulais vous dire bonnes vacances comme je pars demain en tunisie inchallah!!!j'espere que cet ete sera favorable a la paix inchallah.peut-etre que certains d'entre vous vont en tunisie pour ces vacances.
a albert,
etes vous retourné en tunisie depuis 1989?avez vous encore la nationalité tunisienne ou bien vous etes vous fait naturaliser?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le samedi 21 juin 2003 - 16h56:

Aabid Hamid Mohamed El Tikriti , le secretaire personnel de Saddam qui vient d etre arrete cette semaine aurait declare , d apres le New York Times ; Saddam et ses fils sont vivants il sont en Syrie
El Tikriti numero 4 sur la liste des personnages a arreter apres saddame et ses deux fils est conssidere a Washington comme une source sure .
Des messages auraient deja ete envoyes a la Syrie pour essayer de retrouver le dictateur et sa progeniture ... des elements du " feddayin Saddam " fideles au president parlent du besoin de proteger leur chef
Lu sur walla on line
La reaction de la Syrie ainsi que celle du parti BAASS vont etre interessantes pour la suite de l implication de US dans la lutte contre le terrorrisme . Wait and See !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Odigo (Odigo) le samedi 21 juin 2003 - 10h52:

LE "CRIME D'HONNEUR" A LA MUSULMANE PERMIS EN EUROPE ?
C/C SELON zajden


Assises - Achor Hamzi condamné à cinq ans de prison

L'épouse jugée responsable de son propre assassinat

Verdict inattendu en cour d'assises. Le mari «excusé» du meurtre de son épouse qui voulait le quitter. L'accusation requérait l'assassinat.

MARC METDEPENNINGEN
Les jurés des assises de Bruxelles ont estimé qu'El Batoul Gormat, 47 ans, cette mère de 6 enfants, frappée à mort par le couteau de son époux le 29 mai 2001 en plein marché Chazal, était pour partie responsable de sa fin tragique sur le pavé schaerbeekois. Au terme de quatre heures de délibération, les juges populaires ont en effet accordé à l'accusé, Achor Hamzi, 64 ans, l'excuse de la «provocation», considérant que son épouse lui avait «infligé des violences graves», en l'occurrence morales, qui l'auraient conduit inéluctablement au crime.

Un mois avant les faits, El Batoul Gormat avait été emmenée, sur décision du CPAS, dans un home pour femmes battues à Halle. A sa sortie, elle entreprit des démarches auprès de la justice de paix pour se voir accorder la garde de ses enfants et bénéficier de l'occupation de la maison familiale. Une semaine après cette comparution, Achor Hamzi frappait son épouse de trois coups de couteau. Et avoue son crime aux policiers, leur expliquant que «son heure était venue» et proclamant : «Le Bon Dieu l'avait décidé ainsi».

Au cours des débats, les experts psychiatres s'étaient longuement attachés à expliquer les composantes culturelles de la violence de l'accusé, une «violence constitutionnelle», pratiquée dans des «sociétés archaïques» et l'affirmant dans son statut de patriarche. L'avocat général Bernard Dauchot[...] avait combattu avec vigueur cette réduction «culturelle» [...].

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oui, je suis juif, et quand les ancêtres de mon très honorable adversaire étaient des brutes sauvages dans une île inconnue, les miens étaient prêtres au Temple de Salomon (Disraéli)