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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires de Juin 2003: Archive jusqu'au 19/juin/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 19 juin 2003 - 12h14:

De Gaulle aurait-il accepte d'etre le parrain du petit Bourras-Chirak ?
Voici ce qu'il disait a Alain Pierrefitte
Par Charles de Gaulle

"Sur le plan ethnique, il convient de limiter l'afflux des Mediterraneens et des Orientaux, qui ont depuis un demi-siecle profondement modifie les compositions de la population francaise.
Sans aller jusqu'a utiliser, comme aux Etats-Unis, le systeme rigide des quotas, il est souhaitable que la priorite soit accordee aux naturalisations nordiques (Belges, Luxembourgeois, Suisses, Hollandais, Danois, Anglais, Allemands, etc.)
"Charles de Gaulle le 12 Juin 1945, directive au Garde des Sceaux.
(Cite par Plein Droit, n¡29-30 Novembre 1995).


- "Si tous les Arabes et Berberes d'Algerie etaient consideres comme Francais, comment les empecherait-on de venir s'installer en metropole.
Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-deux-Eglises, mais Colombey-les-deux-Mosquees !" (1959).

- "Nous sommes avant tout un peuple europeen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chretienne." "Sinon, la France ne serait plus la France." (1959).

- "J'attire votre attention sur un probleme qui pourrait devenir serieux. Il y a eu 40 000 immigrants d'Algerie en Avril. C'est presque egal au nombre de bebe nes en France pendant le meme mois. J'aimerais qu'il naisse plus de bebes en France et qu'il vienne moins d'immigres.
Vraiment, point trop n'en faut ! Il devient urgent d'y mettre bon ordre !" (1962).


Vous avez dit integration ?

Il y a quelques jours un responsable de l' UOIF a declare que l'interdiction du foulard serait considere comme une declaration de guerre a l'Islam.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 19 juin 2003 - 13h48:

Le rav Schnéor Zalman Schneerson en France (1936 - 1947) (extrait)
Iyar 5763 / Mai 2003
En 1935, est apparu dans l'horizon du judaïsme français un Juif d'Europe Centrale, 'hassid Loubavitch descendant direct du rav Schnéor Zalman de Liady, l'auteur du Choul'han 'Aroukh harav et du Tanya, qui allait rapidement prendre une place importante dans notre communauté, alors fort pauvre en personnalités orthodoxes.

Et, il faut bien le dire, ce personnage haut en couleur, habillé à la mode des Ost Yuden (Juifs d'Europe centrale), avec son caftan et son chapeau rond, ne faisant pas la moindre concession sur la pratique juive (ses disciples du temps de la guerre racontent que, même dans les pires des circonstances, il veillait à ce que les jeunes préparent un broc d'eau à côté de leur lit, pour pouvoir se laver les mains dès leur réveil…) détonnait dans le paysage juif d'alors.

Mais, d'un autre côté, ce même Juif a repris alors sous son aile une Association des Israélites Pratiquants (A. I. P.), qui aura une importance notable avant la Choa, et plus encore durant celle-ci ; il lancera même un plan de sauvetage du judaïsme européen qu'il tentera de faire parvenir aux autorités françaises et… allemandes en pleine guerre, contribuera au développement du… Consistoire de Paris après la période noire et donnera des cours de Guemara à des jeunes d'Orsay !

On ne sera pas surpris enfin que la plupart des jeunes qui l'ont fréquenté aient fini par devenir d'importantes personnalités juives.

Certains détails de sa vie nous sont connus par l'intermédiaire de celui qui a été son secrétaire particulier durant la Guerre, l'agnostique Léon Poliakov (ainsi que lui-même le déclare dans son livre de mémoires, L'auberge des Musiciens, paru chez Mazarine en 1981), qui sera plus tard l'historien clé de l'antisémitisme.

Il écrit à son propos :

Il naquit en 1898 à Gomel, et atteignit l'âge d'homme au moment même où le régime qui avait inscrit sur ses étendards « la religion est l'opium du peuple » prenait le pouvoir. Pour ma part, je me souviens qu'au plus fort de la terreur nazie le rabbin Schneersohn m'assurait que le communisme était tout aussi dangereux pour les Juifs que le nazisme, à une nuance près : « L'un détruit les corps, disait-il, l'autre s'attaque aux âmes juives ». Le rabbin était de ceux qui allaient faire front à la destruction avec un héroïque entêtement. Le salut n'était pas dans la fuite, il n'y avait nul moyen de fuir, sauf dans la ruse, en bravant les lois édictées par le régime communiste. Un petit réseau d'hommes sûrs se constitua afin que fût enseignée aux enfants la Loi de Moïse, que fut égorgé rituellement le bétail, que fussent cuites les matsoth. Ces hommes se transformèrent en conspirateurs à leur corps défendant […].

Alors le jeune Zalman Schneersohn donna sa mesure. Aujourd'hui, il n'évoque pas volontiers ce passé et ce n'est pas sans peine que j'ai pu en reconstituer quelques épisodes… Le siège de l'organisation clandestine se trouvait à Moscou. Le rabbin maintenait la liaison avec les villes et les bourgades de l'Ukraine, distribuait les fonds que faisaient parvenir des amis d'Europe ou d'Amérique, prodiguait conseils et encouragements. Le camouflage étant indispensable, il était devenu bonnetier, artisan indépendant, mais affilié à une coopérative. L'humble maison qu'il habitait dans la banlieue de Moscou recevait des visiteurs venus de toute la Russie, et accoutrés d'une telle manière qu'ils ne pouvaient pas passer inaperçus. Les uns repartaient avec des livres de prières, les autres avec de l'argent. Tant d'allées et venues si remarquables dans l'atelier d'un tricoteur auraient dû attirer les foudres de l'autorité. Il n'en fut rien : miracle de D., dit le rabbin. « Mais n'avez-vous jamais été arrêté, cuisiné, contraint aux aveux ? lui demandai-je. J'ai été pris dans une dizaine de rafles pour le moins, à Moscou, à Kharkov, à Kiev, à Leningrad, mais j'ai toujours passé au travers. C'était la volonté de D.

« Vous voulez des histoires ? Tenez… C'était en 1933, je crois, après la collectivisation, quand on pouvait espérer, à certains indices, que l'ère des persécutions avait pris fin, que le gouvernement adopterait une politique plus libérale. J'étais alors à Moscou ; des Juifs bien renseignés, comme on dit, m'avaient donné des précisions qui me rendaient optimiste. Le soir, dans la chambre que j'occupais chez des amis chez qui j'avais dû passer la nuit, je décidai de rédiger un appel aux autorités. J'écrivis à peu près ceci :

« Je suis un loyal citoyen de l'URSS. Tous mes frères aussi. En tout ce qui ne concerne pas la religion, nous respectons entièrement les obligations que le gouvernement nous impose. Mais quand il s'agit de religion, nous ne reconnaissons que le pouvoir du Créateur de l'Univers. Aucune volonté humaine ne peut s'opposer à Sa volonté. Et puisqu'il est dit dans la Tora : “ Vous enseignerez Mes commandements à Mes enfants ”, nous obéissons. Je suis l'un de ceux qui risquent leur vie pour enseigner la Tora aux enfants juifs de l'Union soviétique. Y a-t-il là le moindre rapport avec la politique ? Certainement pas. Peut-on nous considérer comme des contre-révolutionnaires ? Jamais. Nous ne sommes ni contre-révolutionnaires, ni révolutionnaires. Nous sommes profondément religieux… »

Ainsi de suite, sur plusieurs pages. Là-dessus, je me couchais, l'esprit plus léger.

Au petit jour, des policiers font interruption dans la maison. Une rafle. A peine avais-je présenté mes papiers d'artisan-tricoteur que l'un des policiers aperçoit sur la table le brouillon de mon appel. Il s'en empare, le parcourt et m'intime l'ordre de le suivre. On me conduit au siège de la police. Et, sur le champ, on m'introduit dans le bureau du commissaire. Il n'a pas l'air commode. L'interrogatoire commence.

— Ainsi, vous voulez passer outre aux lois soviétiques ? hurle-t-il. Vous l'écrivez vous-même : vous vous vantez de risquer votre vie ? Et vous prétendez être ouvrier-tricoteur ? Sale curé, tu n'as pas les mains de tricoteur !

Les injures pleuvent. Je me raidis, je murmure une prière. A ce moment, le téléphone sonne, le commissaire referme mon dossier, le fourre sous son bras et sort de la pièce.

J'attends. Un quart d'heure. Une demi-heure. Personne. Je me risque à entrebâiller la porte. Derrière, un soldat monte la garde. Il m'assène un coup de poing et me repousse dans la pièce.

Dans l'après-midi, un autre enquêteur apparaît. Il ignore tout de mon affaire. Qu'était-il advenu du commissaire ? Je ne sais. Le nouveau n'insista pas longtemps. Mes papiers d'artisan étaient en règle. Il me fit relâcher le soir même.

Mais quelle importance ont ces petits faits ? L'essentiel est que nous parvenions à faire ce qui était en notre pouvoir, et la protection divine était sur nous. Plus de 10.000 petits garçons, peut-être 15.000, ont pu devenir de bons Juifs religieux. Peu importe comment nous y sommes parvenus. Et nous avons envoyé des centaines de milliers de colis à nos frères exilés en Sibérie avec l'aide de la Croix-Rouge politique. La directrice de la Croix-Rouge était Mme Pechkova, la femme de Maxime Gorki. Je n'avais pas confiance en elle, mais elle avait un adjoint, Vinaver, qui avait un vrai cœur de Juif. Et il se croyait marxiste ! « Zalman Schneersohn, me disait-il parfois, quand j'intervenais avec trop d'insistance pour quelqu'un, un jour, je vous ferai mettre en prison ». C'était une façon de parler : Vinaver n'aurait pas fait de mal à une puce.

Un jour de l'année 1934, je le trouvai préoccupé. « Nous allons être obligés de fermer nos bureaux, me dit-il. Nous n'avons plus d'argent ni pour payer les colis, ni pour payer les employés. » « Combien vous faut-il par mois ? » lui dis-je. Et, le lendemain, je lui apportai l'argent pour deux mois. Aujourd'hui, je pense que ce n'était pas très prudent de ma part… Et, peu après, ce fut la panique, la Croix-Rouge fut supprimée et nos affaires allèrent de mal en pis. C'était l'époque de la grande purge : alors le simple fait de recevoir une lettre de l'étranger constituait un délit administratif.

Quittons un instant le texte de Poliakov. Bien qu'il ne fournisse pas beaucoup de détails quant à l'œuvre du rav Schneersohn à cette époque, on sent entre les lignes la force du personnage : il fait partie de l'entourage direct du rabbi d'alors, le Mahariyats, d'autant plus qu'il est membre de la famille, et est l'un des principaux acteurs de la « résistance religieuse juive » en URSS.

L'étendue de cette œuvre est remarquable : il parle lui-même de milliers de jeunes recevant alors une éducation juive dans la clandestinité par son biais.

Mais le plus remarquable est la fantastique capacité du rav Schneersohn de faire face à chaque situation et d'y trouver les moyens d'agir. Trouver en deux jours, en pleine Russie soviétique, de quoi assurer deux mois de fonctionnement de la Croix-Rouge russe, n'était certainement pas une chose facile. En tout cas, pour le commun des mortels. Pas pour le rav Schneersohn.

Revenons au témoignage de Poliakov. Nous en sommes à la fin du séjour du rav en Russie :

Au début de 1935, j'avais perdu les contacts indispensables, toute notre action était paralysée. Je décidai de quitter la Russie soviétique. Et j'en sortis légalement, légalement, vous entendez : encore un miracle. J'obtins un visa de sortie et je pus emmener ma famille, un visa obtenu grâce à l'intervention du Dr Rosen, le directeur de l'« Agro-Joint » auprès de Kalinine en personne.

A notre connaissance, le rav Schnéor Zalman Schneersohn a d'abord séjourné un an en Erets Israël, mais il n'a pas trouvé où œuvrer, a questionné le rabbi, le Maharyats, qui lui a suggéré de se rendre en France. Poursuivons avec Poliakov :

Le rabbin vient s'installer à Paris, et ce fut alors que j'ai fait sa connaissance. Ses ambitions étaient à la mesure de sa foi, mais il se heurta à l'incompréhension des autorités consistoriales de l'époque. Ce qui n'était pas bien étonnant : son orthodoxie, d'une intransigeance absolue, non plus que ses méthodes de travail, si souples qu'elles étaient, étaient déconcertantes, et pas davantage ses manières et son costume n'étaient du goût de ses confrères français. Quant à lui, il donnait aux termes « rabbin français » une résonance bien particulière… Il dut donc travailler seul, aidé seulement par quelques amis. Fidèle à son principe fondamental qui voulait que l'enseignement des enfants l'emportât sur toute autre tâche, il implanta bientôt aux quatre coins de la capitale huit Talmudé Tora régulièrement fréquentés par plusieurs centaines d'enfants. Comment ? Avec quel argent ? Là dessus, il ne sort pas de son habituelle réserve, et sourit. Miracle…

Sans pouvoir réellement déflorer le secret des sources intarissables du rav Schneersohn, nous nous devons tout de même de rappeler que dès les lendemains de la Première Guerre mondiale et jusqu'aux années 1970, le Joint a énormément aidé les Juifs en Europe, ainsi que nous l'avons vu dans notre précédent dossier. Il suffisait alors, nous a dit à l'occasion le rav Zoucha Waltner, l'ancien directeur des institutions de Tanger, de savoir présenter un plan valable aux dirigeants de cette institution pour en voir le financement assuré… Or le Joint oeuvrait même en pleine France durant la Choa, au moins à Nice à cette époque, malgré les dangers. Nous verrons plus loin que d'importants notables français, repliés en Suisse, ont également tenté d'aider le rav.

A son arrivée, Philippe Feist, un Juif d'origine allemande qui vivait à Paris, l'a de suite fortement soutenu, l'aidant en particulier à trouver l'appartement de la rue D.ieu… On ne pouvait trouver meilleure adresse.

Yits'haq Schneersohn, un cousin à lui, l'a également assisté. C'était un homme très riche, qui s'était assez éloigné de la pratique, mais qui soutenait les entreprises du rav. L'un de ses élèves se souvient de lui, venant alors avec une valise pleine d'argent pour soutenir son proche. On lui doit la formation du Centre de documentation juive contemporaine, qui existe encore à ce jour : l'intéressant est qu'il a lancé ce centre en pleine guerre, dans le but d'assurer le souvenir de ce qui s'est passé alors, durant la Choa.

Sur le plan structurel, le rav Schneersohn reprend sous sa direction une association créée dans les années 1910 sous le nom d'Association des Israélites pratiquants (A. I. P.), dans le but de « regrouper les Juifs ayant gardé l'attachement aux formes de la vie religieuse, telles qu'elles se sont cristallisées au cours de longs siècles en Europe Centrale ».

Le rav Schneersohn utilisera cette structure durant les années noires de la Choa, la mettant au service de la communauté, sans tenir compte de l'adhésion personnelle à la foi. Mais c'est surtout durant la Choa que son œuvre prend une dimension dramatique, et remarquable à la fois. Nous continuons avec Poliakov.

Suite à mon article '...LES LOUBAS.....' , je reçois ce jour là cette baracha bél tèfchir.
Hazak. Donc acte. Il faut savoir, mon cher ami, loin de moi de dénigrer cette haute instance que sont les loubas.Je connais leur mérite et suis bien loin de pouvoir les critiquer, bien au contraire, d'autant plus que ces gens là sont plein d'humour juif....Alors un fédlèg comme moi, pur et sans arrièrres pensées ne peut être taxè de leur porter du tort.:) :) :)
'...Ou mazèl tov ...§§§§...Ou simèn tov...§§§§..
Chikhè yè Henri Bueno....
Raby Myak

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 19 juin 2003 - 08h29:

Alors que tous les peuples du monde multiplient par six , sept, voire même dix leur natalitè, él mout èl hamra fièm, nous les juifs c'est comme à la bourse, soit on gagne un demi-point ou on reste sur nos positions, toujours pareil dans les statistiques, celà fait vingt ans que nous sommes comptès au compte goutte,pourtant on aime bien faire l'amour nous....? Alors réveillez vous et farfou rouah'kom???? Au lieu de compter, agissez et faites glisser le chlim bik...ou le chmilbik..Wnessou...?

- En Tunisie, sur 7 millions d'individus comptès on a recensè 8 millions d'indics...:) :)

J'ai racontè ca à un Egyptiens, il m'a dit que chez nous aussi les Moukhabarat sont dix fois plus nombreux que la population égyptienne....On est mort de rire..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 19 juin 2003 - 07h21:

Majorite,

Je ne sais pas d'ou il a sorti ces chiffres,mais D'apres l'agence Hamcha-houtat,il y aurait cinq millions cinq cent milles et 55 juifs en Israel, cinq millions aux etats unis,et cinq cent cinquante cinq milles en France.
Fait aujourdh'ui Yom el Hemiss,avec poisson au menu. :):):)

Peut-etre que Bebert a d'autres chifres.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le jeudi 19 juin 2003 - 00h48:

La majorité des Juifs vit en Israël

Il existe en Israël plus de Juifs que dans le reste du monde. C’est en tout cas ce qu’a affirmé aux membres de la commission parlementaire de l’intégration le professeur Sergio de la Pergola, directeur de l’Institut du Judaïsme Contemporain. D’après les chiffres officiels publiés par les Etats-Unis, la communauté juive américaine compte 5,6 millions d’âmes alors qu’en Israël, 5,1 millions ont été recensés. Cependant, M. de la Pergola estime que les données communiquées ne sont pas exactes et n’ont pas été réactualisées. Il ajoute que le nombre de Juifs dans les deux communautés est à peu près équivalent avec un léger avantage pour celle qui est établie en Israël.

A7.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le mercredi 18 juin 2003 - 23h55:

Vu que son premier gosse elle l a deja eu d un champion de judo, est -ce que d apres vous elle va se taper toute l equipe de judo la fille a Chichi ?

Ceci dit pour le moment elle a choisi le champion de l antisemitisme toutes categories (cf. sa prestation haineuse chez Ardicon)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le jeudi 19 juin 2003 - 00h40:

La France envers et contre tous

Alors que la pression internationale sur le Hamas s'intensifie , suite aux opérations intensives contre ses chefs, la France a adopté une position différente de ses partenaires de l’Union européenne en mettant son veto à la proposition du ministre britannique des Affaires étrangères, Jack Straw, et de l’émissaire européen au Proche-Orient, Migel Mauritinos, de déclarer hors-la-loi le Hamas et de cesser le transfert de fonds. De même, la France tente de faire rompre l’isolement imposé à Yasser Arafat par Israël et les Etats-Unis. Ainsi, le ministre français des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, a déclaré que le fait que le Premier ministre italien, Silvio Berlusconi, n’ait rencontré lors de sa récente visite qu’Ariel Sharon et ait boycotté Yasser Arafat, n’avait pas “satisfait les Européens.” Mardi. Berlusconi a répliqué à ces propos en déclarant que les dirigeants français “ont raté une occasion de se taire”. La déclaration de Silvio Berlusconi fait écho aux critiques émises par Jacques Chirac à l’encontre de l’Italie pour son soutien à la politique américaine avant la guerre en Irak

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 18 juin 2003 - 21h04:

Monsieur Selahattin Ülkümen 'Z'L

Que votre âme repose là bas aussiparmis les justes. Amen.

Sincères condolèances.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 18 juin 2003 - 20h35:

Et voici un autre son de cloche.

'....En 2012 après Jésus-Christ... Toute la France est réformée. Toute la France? Non... Une petite poignée de fonctionnaires résiste encore et toujours à l'envahisseur.
Retranchés dans leur petit village privilégié, il sont encerclés par les camps fortifiés de Refurm, Referendum, Droidelum et
ServiceMinimum.
Nos héros :
- Cegetix le Syndiqué : petit grèviste malin, il a toujours une bonne idée pour échapper au travail et trouve toujours un prétexte pour déclencher une grève générale.
- Fonctionpublix : le meilleur ami de Cegetix, Fonctionpublix refuse d'admettre qu'il mange trop, et est prêt à taper sur tous ceux qui lui font remarquer qu'il est "un peu enveloppé". Il accompagne Cegetix dans toutes ses aventures, tant qu'on peut rigoler et échapper au boulot.
- Echapofix le délégué syndical : l'heure de gloire d'Echapofix a été le jour où il a réussi à faire passer sa somptueuse résidence aux frais du CE de sa société.
- Prenpadrix : c'est lui qui appelle à la grève générale
- Demagogix le Chef : époux de Poildanslamimine, il se fait réélire depuis plus de 30 ans en promettant tout et n'importe quoi à ses militants. Il n'a qu'une seule crainte : que du travail lui tombe sur la tête.
- Bloqulepayx le druide : c'est lui qui prépare la potion de grève, la
recette magique qui permet à nos héros de résister encore et toujours aux réformes.
Avec leurs amis Eratepix, Assedix, Eraimix, Taxonléprofix, Essainecefix...ils luttent courageusement pour la défense de leurs privilèges.


De mon redacteur en chef. Correspondance.
Agence Breitouna and C°

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 18 juin 2003 - 20h34:

Madame, Monsieur,

C'est avec beaucoup de tristesse que nous vous annonçons la disparition de Monsieur Selahattin Ülkümen, diplomate turc honoré par le Musée de l'Holocauste, à Jérusalem, du titre de "Juste Parmi les Nations" pour avoir sauvé des dizaines de familles juives de la déportation vers les camps de la mort durant la Seconde Guerre Mondiale.

Nous portons à votre connaissance l'article et la photo ci-dessous.

Bien cordialement,

L'équipe de Tête de Turc
http://www.tetedeturc.com


Décès d'un diplomate turc qui sauva la vie de nombreux Juifs

Istanbul (AP) - 9 juin 2003 - Selahattin Ülkümen, un diplomate turc qui sauva des Juifs de la déportation vers les camps de concentration durant la Seconde Guerre Mondiale, alors qu'il était en poste sur l'île de Rhodes occupée par les Nazis, est décédé le 7 juin d'un arrêt cardiaque, à Istanbul, à l'âge de 89 ans.

Ülkümen était consul général de Turquie sur l'île de Rhodes quand les Juifs commencèrent à être rassemblés pour être déportés, en 1944. Il s'opposa à ces déportations et protesta officiellement auprès du commandement allemand en charge des déportations vers les camps de la mort. En juillet 1944, il délivra des visas de sortie aux Juifs de nationalité turque vivant sur l'île, ainsi qu'à leurs épouses et enfants non naturalisés. 42 familles juives furent ainsi sauvées.

La résidence du Consul turc sur l'île fit l'objet d'un attentat à la bombe en représailles. Son épouse mourut des blessures occasionnées par l'explosion, peu de temps après avoir donné naissance à leur fils, Mehmet.

Le Musée de l'Holocauste Yad Vashem à Jérusalem remit à Ülkümen le tire de "Juste Parmi les Nations" en 1990. "J'ai fait mon devoir en tant qu'être humain. Si je devais revivre ma vie, je ferais exactement la même chose" avait-il coutume de dire, selon son fils.

En 2001, Ülkümen et deux autres diplomates turcs, Necdet Kent et Namik Kemal Yolga, reçurent la plus grande distinction honorifique de Turquie et une médaille de l'Etat d'Israël pour avoir sauvé des vies juives. Lors de la cérémonie, l'ambassadeur d'Israël en poste à Ankara à l'époque, Uri Bar-Ner, remercia les diplomates turcs, au nom du peuple juif, pour avoir sauvé "nos frères Juifs au moment le plus sombre de l'histoire".

Les diplomates ont été surnommés les "Schindlers turcs".

Necdet Kent, qui délivra la nationalité turque à des douzaines de Juifs originaires de Turquie vivant en France sans pièces d'identité turques, est décédé l'année dernière. Yolga sauva également de la déportation de nombreux Juifs vivant en France en leur accordant la citoyenneté turque.

Ülkümen prit sa retraite du ministère turc des Affaires étrangères en 1979. Ses différentes affectations le conduisirent à Beyrouth, au Liban, et au Caire, en Egypte.
Ses funérailles ont eu lieu à la mosquée de Levent à Istanbul.

Sur la photo : l'ambassadeur d'Israël en Turquie, Uri Bar-Ner, à droite, et le sous-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Faruk Logoglu, à gauche, posent aux côtés des diplomates turcs à la retraite Namik Kemal Yolga, second à partir de la gauche, Selahattin Ülkümen, au milieu, et Necdet Kent, second à partir de la droite, durant une cérémonie à Istanbul, le 15 mai 2001.

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 18 juin 2003 - 20h25:

Et bien Maxiton, bientôt, l'heureux grand-père cajolera sa médaille d 'or dur..!
Le futur petit Bouras, grosse tête, héritera surement de la cervelle de son papa, souhaitons lui d'être un médaillè olympique de la bétise.En kimono

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 18 juin 2003 - 19h45:

La France (toujours avocate du diable) a pas ete tendre avec les Moudjahidine du Peuple, opposants au regime iranien et qui ont ete arrete hier en masse.
Du coup, les manifestations de soutien aux opposants iraniens ont pris un tour dramatique: trois personnes se sont immolées par le feu à Paris, près des locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), et l'une d'elles a succombé.
A quand les suicide bombings???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 18 juin 2003 - 19h51:

On est jamais tranquilles!

L'opposition islamiste de Jordanie a solidement repris pied au parlement, selon des résultats partiels des élections législatives, et a fait savoir qu'elle jouerait un rôle actif contre le gouvernement pro-occidental d'Amman.
Les dirigeants et candidats islamistes qui se présentaient dans les circonscriptions de la capitale, Amman, l'ont tous emporté avec des majorités confortables.
Les villes, où s'exprime un large soutien au soulèvement palestinien contre Israël, sont principalement peuplées de Jordaniens d'origine palestinienne sensibles aux sirènes de l'islamisme.
Un bouillant prédicateur, le cheikh Abdul Monem Abou Zant, a réalisé l'un des meilleurs scores de la capitale, tandis qu'Ali Soukar, adversaire déclaré de la normalisation des relations avec l'Etat hébreu, engrangeait une victoire écrasante dans la ville de Zarka, à l'est d'Amman.

Va falloir garder l'oeil sur eux aussi! Pauvres Israeliens, ils en auront jamais fini..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 18 juin 2003 - 19h32:

Bourras est aussi connu pour ses positions tres pro-palestos entendues chez Ardisson.