Commentaires du 13 Novembre 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2002: Commentaires de Novembre 2002: Commentaires du 13 Novembre 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le jeudi 14 novembre 2002 - 04h48:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 13 novembre 2002 - 06h03:

13 novembre ...souhaitons un tres bon anniversaire a notre ami henri fitoussi (halqeloued) ,27 ans ,et aussi a mon fils govinda,4 ans.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 13 novembre 2002 - 02h26:

TUNES CELEBRES DE PARIS

Raymond HADDAD né à Nabeul en Tunisie, a fondé et dirige depuis 1965 le premier véritable restaurant tunisien "LA BOULE ROUGE" à Montmartre, célèbre restaurant choisi par de nombreuses personnalités dont Enrico Macias, Philippe Seguin , pierre Lelouche, bertrand Delanoé...cuisine judéo-tunisienne.

desibellaiche@wanadoo.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 12 novembre 2002 - 23h28:

Il n'y a pas que les Juifs qui s'indignent de la barbarie "Islamarabe"........ Michka
__________________________________________________


Un Berbère s'indigne
Azul felawen,

L'opinion que j'ai de l'amazighité, du fait berbère, veut que j'empêche la gangrène « Islamarabe » de se propager plus avant dans les frêles consciences des plus démunis des nôtres. Sans prétention aucune si ce n'est d'aider à libérer les miens de leurs fers hillaliens. La foi n'étant pas de l'ordre du démontrable, pas plus que l'existence ou non de Dieu, ce n'est pas là-dessus qu'il faut opposer islam et christianisme. De même qu'il serait fallacieux de réduire le christianisme à l'Europe et le religieux aux atrocités qui s'en sont réclamées, fruits contaminés de la méchanceté humaine. Non, pour rester clairs et lucides, c'est les dogmes , les fondements mêmes qu'il convient de comparer. Là, c'est édifiant et l'Islam n'est pas une inoffensive et innocente continuation de la réflexion biblique. Pour s'en convaincre, rien de tel que d'étudier quelques traits marquants de la personnalité de Mahomet. Il s'y découvre très aisément et diamétralement à l'opposé des prophètes dont il se prétend le sceau, une propension pour tous les bas penchants du ventre : ce n'est pas peu de déclarer qu'il était loin de pratiquer l'abstinence des grands mystiques, j'ajouterai qu'il n'avait rien contre les fillettes ( hein petite Aicha ? ). Que les zélotes d'Allah fassent le décompte du nombre de femmes, filles, concubines et esclaves qu'il a prises sans faire l'impasse sur les butins de raids contre ses adversaires. N'avait-il pas droit aux plus belles captures en tant que chef de guerre ( sic ) et prophète ? Tandis que les anciens prophètes quand ils étaient célibataires le demeuraient, lui jouissait impudique devant la toute juvénile, devant la femme de son propre fils. Si ça c'est de la moralité de prophète, moi je suis un phasme vénusien monozygote. Mahomet ne fut pas, loin s'en faut, un apôtre de la paix. Les Banou Qoraizha, Kinâna fils de Hoqaïq, Ka'b fils d'Achraf entre autres en ont fait les frais. De combien de personnes a-t-il lui-même ordonné le meurtre ? Un nombre incalculable. En cela, il a beau se dire plus grand en vertus que ses prédécesseurs, il démontre de façon flagrante et sanglante qu'il n'en n'est que l'image négative. Jésus en personne a préféré subir la violence plutôt que de la propager et bien avant lui des élus ont succombé sous les coups des cruels sans jamais les rendre. Le seul moyen que leur octroie leur croyance pour la faire connaître est la parole, l'écrit et la prière. Toute force leur est proscrite. L'Islam lui dans ses principes basiques et non juste dans une lecture tendancieuse faite par des brutes isolées , légitime le sabre pourvu qu'il vienne à bout de ceux qui refusent la soumission ( bessif qu'on dit…). Mahomet a érigé en commandements les coutumes barbares et tribales d'incultes bédouins, les razzias sauvages, les iniques spoliations, les expéditions punitives conférant à la vengeance et aux vils crimes au nom de son dieu une dimension sacrée, à renfort de promesses d'orgasmes éternels et de bacchanales sobres.

Ce prophète amateur de plaisirs, fardé et parfumé selon le Coran, n'est en moeurs ni Abraham, ni Moise, ni Élie, ni Ézéchiel, ni Jacob ni encore moins Jésus. Lui a goûté satisfait au pouvoir, à la vindicte, aux couches d'X femmes, il a mené des troupes au combat au moins 27 fois et frappé de sa main d'autres hommes. Lui a fait torturer sadiquement ses opposants, assassiner ses gêneurs même exilés , jalousé cupidement des trésors, lancé des fatwas sans merci. Il s'est approprié le bien d'autrui sans état d'âme, et convoité concupiscent son épouse. Il a répandu sciemment des torrents sang au service de son dieu ravi et poussé à la haine des Juifs qui se sont dérobés à sa perverse religion comme des chrétiens fidèles à leur foi : tout en feignant de les préserver, il leur a réservé un sort d'inférieurs déchus (dhimis). Que dire de la supériorité qu'il attribue de facto à son extraction ? Il a fait écraser tous les peuples vaincus de ses préceptes, et leur support linguistique unique et conquérant quand les chrétiens avaient pour devoir de parler la langue de leurs hôtes (cf. la Pentecôte). Il a généré le pire de tous les totalitarismes qui installe les arabes champions du genre humain quand Jésus avait permis que ses paroles s'adressent à tous dans la liberté et l'égalité, dans le respect de leurs identités et de leurs particularismes, élevant tous les Hommes au rang de peuple de Dieu, non dans une pensée unique et tyrannique comme en islam.

La différence entre l'islam et le christianisme c'est que le second m'accepte dans ma liberté de berbère, et comprend et aime ma langue. Ces Juifs qu'on a appris des arabes à injustement maudire étaient chez nous de notre race et parlaient notre idiome. Eux étaient des nôtres. Eux se ont refusés à la syphilis islamique. On rapporte à Dihiya, Grande Dame Amazighe cette exhortation devant les envahisseurs orientaux : » Lion d'Afrique et de Judée, montrons à ces Arabes que nous ne laisserons pas leur Islam nous réduire en esclavage ; Que notre slogan (…) soit la Liberté ou la Mort « , ce qui raisonne avec une force flamboyante et particulièrement magnifique aujourd'hui et rime avec notre « Ur nettruz, Ur nekkenu » Nous vouons les Juifs aux gémonies pour singer les Arabes et leur convenir. Les Arabes ont un contentieux aussi ancien que la préférence d'Israël l'Hébreu à Ismaël l'Arabe par leur père Abraham. Mais nous Imazighen, si nous devons avoir un juste grief contre les israélites, qu'il nous appartienne et ne soit point un absurde mimétisme avec les Arabes qui eux les abhorrent. Les descendants de Moïse ont-ils porté atteinte à notre identité, L'on-t-ils asservie, brimée, et ont-ils à quelque moment emmurés notre parler, dicté leurs us ou aplatis devant l' autel de leur culte ? Si nous devons les mal aimer, que ce soit pour nos causes à nous pas selon les desiderata de l'engeance d'Allah. Combien d'arabo-musulmans ont fait preuve envers nous d'amitié, de sympathie pour notre culture, combien ont appris notre vocable que ces » mécréants » Berbères de confession juive parlaient parfaitement ? combien d'entre eux comme ces voyageurs « Infidèles » Allemands, Anglais, Français et Italiens d'autrefois, ceux des colons qui nous ont appréciés, comme beaucoup de missionnaires aussi ont appris le tamazight, ont rédigé des dictionnaires, recueilli et sauvé de l'oubli des pans entiers de notre mémoire séculaire ? Oui, je vous le demande, combien d'arabo-musulmans ont été tolérants et bienveillants devant ce que nous étions et ont veillé à la sauvegarde de notre oeuvre ? Et ce que je devrais retenir contre les Européens vient de moi, de mon cœur et de mon foie Kabyle. Je leur en voudrais pour moi et pour mon peuple, pas en vassal sémaphore répétant la rancune de Mahomet. En fait, les hobereaux du Coran, les hérauts arabistes font chaque jour la démonstration de leur férocité sans borne à notre encontre. Ils nous traitent de « fils de Pères Blancs », de « fils de Harkis » et nous tuent quand nous ne réclamons que justice et liberté d'être ce que nous sommes, révélant à qui en douterait le lien que fait la machine à broyer islamo-arabiste entre Chrétiens et Européens. Ils nous appellent traîtres alors que c'est eux qui à chaque instant, perpétuellement abandonnent Massinissa, Jugurtha, et Kocyla, quand nous continuons nous de les bénir. Eux ont écrit d'Augustin qu'il était un collaborateur au service de l'occupant mais encensent Tariq Ibn Ziyad pour s'être prosterné sur la carpette d'Oqba. Je vois dans leur regard torve et mauvais la rage inextinguible, alimentée par la résistance opiniâtre et souveraine que les Berbères plus que nulle autre pièce du puzzle de l'humanité leur opposent depuis toujours. Et ils sentent bien du fond de leur sinistre dépit que nous sommes en train d'expulser de nos chairs le poison noir de leur fielleux discours, craignant que la puissance de notre inertie n'inspire d'autres peuples qui souffrent de leur hégémonie. Car nous le prouvons à la Terre entière, l'Islam n'est pas fatal, et il est possible de le bouter.

Beaucoup de nos jours se croient avisés, se sentent l'âme cheguevaresque ou ghandienne en critiquant l'impérialisme (ce mot fabriqué par les bolcheviques, cher aux baathistes et aux Boumedienistes de tout acabit, pour faire écran sur leur dictature à eux) de l'occident, virevoltant en de grotesques croupades sur l'Histoire, mélangent dans leur infinie niaiserie colonialisme, Croisades, esclavage et capitalisme, habités de complexes anti-européens dont ils fustigent l'arrogance. Ils seraient plus futés de poser un œil sur tous les territoires atteints du syndrome d'identitéro déficience arabique, contaminés par l'insolence de l'expansionnisme islamique, au mépris absolu des cultures indigènes. De l'Indonésie au khazakhstan, de dakar à Samarcande, de tizi wezzu à Seattle, l'arabe est la seule langue de l'islam n'en déplaise aux amoureux de leurs patrimoines. Les musulmans portent tous des noms arabes plus ou moins différemment prononcés et les lieux se couvrent d'un linceul arabe au détriment de leur appellation originelle. Ils s'enturbannent de la même façon de Tataouine-les-Bains à La Mer de la Tranquillité, parachevant l'uniformisation à la botte des arabes. Bien des berbéristes sont encore sous l'emprise d'une fièvre qu'ils disent combattre et s'étranglent d'entendre un des leurs répondre à paul, Ian, Pietro, Jürgen, Hirokazu ou Chang. Mais rien ne les perturbe devant tel abdenour, slimane, omar ou badredine. Car Mahomet les a tant étouffé au travers des siècles qu'ils le défendent inconsciemment. L'islam est devenu à ce point constitutif du substrat amazigh que certains réagissent épidermiquement dès qu'on y touche fut-ce de biais, alors qu'ils n'ont souvent même pas lu une ligne in extenso du livre qui les opprime . Naître là ou l'Islam s'est campé laisse peu de marges de manœuvres. Les droits sont bafoués, la société pleine de censure et de tabous interdit toutes digression hardie hors des chemins barbelés de sourates. La pression socioreligieuse comme l'ingérence systématique de tous dans les affaires privées de la foi empêchent d'invoquer une quelconque tolérance. En fait, même si l'on n'a jamais adhéré à l'Islam comme beaucoup de Kabyles, on se le voit attribuer sans échappatoire du seul fait de venir au monde, non juste par ses parents victimes de l'atavisme et de leur milieu , mais par toute la population prompte à la lapidation psychologique sinon pire et qui s'arroge un droit de regard sur ce qui ne la regarde pas et on est appelé apostat alors qu'on ne renie que ce que l'on a d'abord admis.

S'il ne faut pas jeter la pierre aux hommes on peut juger leur idéologie avec rigueur et sans complaisance. je dis souvent ne pas aimer les arabes ( ou ceux qui le sont devenus ), comme beaucoup d'entre nous le déclarent aussi, mais pour être tout à fait honnête, ce n'est pas tant leur ethnie que leur style, leurs méthodes, leurs attitudes et leurs thèses que je réfute. Il ne s'agit pas d'haïr d'autres hommes au nom de leur souche, car certains parmi eux valent, c'est sûr, mille d'entre les nôtres, mais bel et bien de se protéger de leur HIV islamique. Ce n'est donc pas les Arabes, morceau de l'humanité, que je dénigre, car ils appartiennent au genre humain au même titre que nous et que tous les autres groupes, et sont nos semblables, mais leurs règles destructrices et leurs lois empruntes de folie. Eux non plus, comme nous n'ont pas toujours été musulmans, et tous encore ne le sont pas. Ce que je rejette avec vigueur, c'est le fléau idéologique, le fascisme intégral qu'est l'islam et par conséquent, ses promoteurs virulents. Il faut oui résister, mais détestons des idées et pas des hommes : eux peuvent changer de voie et se rapprocher de nous quand les concepts qui les poussent resteront toujours hostiles à la noblesse de notre espèce.

Ne laissez pas mes amis, mes sœurs, votre héritage foulé aux pieds par les chameliers du Hedjaz ni salir par les coprolithes islamiques. Courage, l'Islamarabisme agonise chez nous et bientôt nous en serons saufs

Cedarland

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 12 novembre 2002 - 21h46:

La haine du juif telle qu'exprimee par des maghrebins en France (histoire vecue racontee par ma tante):

"L'autre jour (premier soir du Ramadan) ton oncle me dit : si tu vas vers le Métro Couronnes, achète chez l'arabe "Les délices de carthage" des cakes. Le magasin était pris d'assaut, il y avait du monde jusque sur le trottoir. Donc, je me suis dit "je vais aller à côté chez un autre commercant arabe qui venait d'ouvrir son magasin. Je suis entrée et ai commandé. Le type me fait le paquet et au moment de payer, il y a eu des klaxons à n'en plus finir. Que dit-il "Ce sont les Juifs qui bloquent le passage, la police n'arrête que les voitures des arabes. Là où il y a des Juifs, c'est le bordel". Le tout surénchéri par deux ou trois autres présents. Mon sang n'a fait qu'un tour, car c'est de l'antisémitisme gratuit, de bas étage et faux de surcroît où la haine préside.
Je l'ai regardé dans les yeux et lui ai dit : "Pourquoi dites-vous cela ? Vous êtes indécrottable ! bientôt vous allez dire que si il pleut c'est la faute des Juifs ". Eh bien, c'est une juive qui va mettre le bordel dans votre magasin, gardez vos gâteaux à la con !". Et je suis partie...dans un silence total."

Entre ce qui doit s'entendre dire ds les mosquees de France et de Navarre ds les sermons des jours de priere et le conflit du Moyen Orient ou la tele les assomme ts les jours avec ces pauvres palestos,"leurs braves freres martyrises par ces salops de sionistes", rien n'est etonnant! La seule chose qui me decoiffe, c'est que ces gens la se croient chez eux!!! ils ont vraiment oublie d'ou ils viennent!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 novembre 2002 - 20h50:

Je m excuse je ne savais pas que NOAM était un petit garçon , ce qui n'elève rien à mon poème
MILLE EXCUSES.
ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 12 novembre 2002 - 20h38:

Il y a quelques annees BHL a ecrit "La barbarie a visage humain"! Ce titre o combien evocateur s'applique tt a fait a la barbarie palestinienne (on pourrait rajouter au monde arabe en gnl!) qui a tue ces deux gosses innocents et leur maman au Kibboutz Metzer. D'apres Haaretz, ce kibboutz etait un modele du genre pr ses relations pacifistes exemplaires avec le village arabe voisin! Pour les habitants de ce Kibboutz c'est le reve brise (comme dirait si bien Charles Enderlin)!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 12 novembre 2002 - 19h57:

'….MATAN NE SERA PAS HATTAN…..'

J'ai vu la photo….!
J'ai vu des photos…!

La photo, deux innocents. Jouant.
Les photos des mariés. Se mêlant.
.
En haut, deux jeunes enfants assassinés. Souriant.
En bas, une fête de gens heureux. Chantonnant.

Quel dilemme…!
Qu'elle haine….!

D'un côté, le chagrin du père tous les matins.
De l'autre le mazel tov et le siman tov, le soir.
D'une part un géniteur qui pleure des lendemains
De l'autre nos mariés qui vivent dans leur terroir. ( Bél li aïï'nara)

Le père Avi va vivre dans sa ghbinè
Aux second je souhaite la brit millè.

Deux 'bébés' innocents qui ne connaîtront pas la joie
Trucidés par des mains sales assassines sans foi ni loi.
Qui ont juré sur leur grand Dieu de semer leur mort
Et terreur dans les foyers juifs, jusque dans leur corps.

Quelle horreur…!
Près d'un tel bonheur….!

Comme la première est crado
Comme la seconde, c'est beau.

Matan ne sera pas HATTAN.
Noam ne sera pas KALLAH.

Voilà Israël, aujourd'hui.

'Papa Avi Ohayoun……Sémèhni
Ql'èmi rkhèj'li mèl fômi
Ou zél'kou mèl fôm qu'albi.
('……………………..Pardon..
Mes paroles me sortent de la bouche
Et ont glissé par la porte de mon cœur.)'

ABRAHAM SHEMYONI…
'It'gadèl ou itkaddesh…'
Ou mènarèfch kaddèch..bèch doum èl brèkhè éhdi…')

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 12 novembre 2002 - 19h19:

L’actualite : la confectionner ou la relater, il faut choisir ! (info # 011111/2)

Par Itzhak Lurçat et Jean Tsadik © Metula News Agency



"Le rêve brisé", le reportage de Charles Enderlin diffusé par France 2 les 4 et 5 novembre derniers, nous en apprend plus, en fait, sur son auteur que sur le processus de paix israélo-arabe. Ce reportage, annoncé avec force publicité, était un enchaînement d'images d'archives des négociations entre 1996 et 2000, agrémentées d'interviews choisies des protagonistes par Charles Enderlin. Le point culminant de ce reportage, supposé nous révéler les "secrets" des négociations israélo-palestiniennes, était le moment dramatique où, après l'échec du sommet de Camp David, une "rencontre de la dernière chance" était organisée par Enderlin, entre les négociateurs palestinien et israélien Saeb Erekat et Gilad Sher, dans les bureaux de France 2 en Israël !

Ainsi, comme l'a justement souligné Daniel Schneidermann dans son émission "Arrêt sur images", Enderlin n'était plus seulement un journaliste qui rapportait des faits, avec plus ou moins d'objectivité, il devenait lui aussi l’un des acteurs des négociations qu'il prétendait décrire. Enderlin est intervenu ni plus ni moins que comme celui qui "a voulu sauver le processus de paix", là où même le Président Clinton avait échoué ! Et il serait pour le moins étrange qu’Enderlin se soit permis de jouer ce rôle de médiateur, dans les locaux de la chaîne publique de télévision française, s'il n'avait pas été mandaté à cet effet par la diplomatie française – ou, à tout le moins, s’il n’avait pas reçu son aval -, dont il est factuellement devenu l'un des rouages au Moyen-Orient.

Le véritable héros du reportage d'Enderlin n'était donc pas Yasser Arafat, pas plus que Pérès ou Barak, mais Enderlin lui-même ! Enderlin, ou comment un journaliste, las d’être confiné à rendre compte aux téléspectateurs français des événements de l’actualité, a voulu se faire acteur de l'Histoire !

On comprend, à posteriori, les dangers de cette interaction contre-nature, entre le fait de commenter l’information et celui d’y prendre part, que Stéphane Juffa avait déjà cernée à satiété dans sa chronique "Notre différend !". Lorsque, dans le quatrième volet de cette chronique, il exprimait :

"Drôle de façon de faire, si on peut dire ! Mais comment ne pas faire de la réclame pour la thèse d’Arafat - Dr. Jekyll et Barak et Clinton - Mr. Hyde, lorsqu’elle colle si bien à la politique officielle de la France et lorsque son ministre des affaires étrangères du moment, Hubert Védrine, se fend, en personne, d’articles apologétiques pour le Rêve brisé, en France et Outre-Atlantique.

Et que penser de l’interaction entre les théoriciens de l’anti-israélisme systématique et les décideurs politiques français, surtout lorsque l’on sait que c’est justement Hubert Védrine qui avait proposé à ses collègues européens d’envoyer dans notre région… une force internationale d’interposition militaire dispensée de l’assentiment d’Israël ?

S’agit-il d’une interaction insupportable entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique telles qu’elles surviennent en France ou, plus simplement, d’une action concertée, voire commanditée ?"

Avec un Enderlin acteur politique, avec les bureaux d’une chaîne étatique d’information mise à la disposition d’une action politique – en échange du droit d’en utiliser les images par la suite, en exclusivité, pour soutenir une thèse partisane –, la concertation et l’amalgame entre le pouvoir français et l’usage des médias qu’il contrôle, pour la propagation propagandiste de ses vues politiques ne fait plus de doute.

Avec un Charles Enderlin, à la fois correspondant de presse et ambassadeur extraordinaire du Quai d’Orsay, comment ne plus se convaincre que la très médiocre théorie du Rêve Brisé et le battage médiatique tout à fait extraordinaire dont elle jouit sur tous les canaux hertziens de l’information publique française serait en fait une commande faite à Enderlin par le Ministère français des Affaires Etrangères ?

Prétendre le contraire, ne pas prendre au moins cette éventualité très au sérieux, devant le constat de l’interaction entre le pouvoir exécutif et le pouvoir médiatique, serait faire acte de niaiserie.

Et lorsque le Rêve Brisé – le livre et la série télévisée – escamote littéralement l’importance du double refus d’Arafat à Camp David – non à la cessation de l’état de guerre entre Israéliens et Palestiniens et non à l’engagement palestinien d’abandonner toute revendication politique à l’égard d’Israël une fois qu’un accord de paix sera signé ! – il transige avec l’Histoire. Il omet d’expliquer au spectateur, que sans ces deux paramètres, un accord de paix au Proche Orient n’a pas d’objet, que, évidé de ces deux éléments, il n’est plus un accord de paix !

Cette réécriture de l’histoire, qui veut sauver le destin politique du raïs palestinien, apparaissant autrement comme monsieur-antinomie-de-tout-règlement-concerté, constitue l’imposture-base de la diplomatie française au Proche Orient. Et lorsque cette réécriture fait l’objet d’une théorie abracadabrantesque, déferlant sur les médias tricolores telle une vague de fond, et qu’elle est composée par un individu ayant un pied dans la télévision et l’autre dans la diplomatie secrète, on doit considérer qu’un pas ô combien périlleux pour le droit des Français à être correctement informés vient d’être franchi.

Qu’ensuite, et accessoirement, la direction de France 2 empêche par tous les moyens que ne s’engage le débat public sur le traitement par Enderlin de l'affaire A-Dura, voilà qui devient tout à coup beaucoup plus compréhensible.

Quant à l’intéressé, il nous a offert un reportage instructif sur l'action concertée de la diplomatie et de l'information françaises, la première, voulant à tout prix s’octroyer un rôle de composition au Moyen Orient, même si, pour y parvenir, il lui faut battre en brèche les règles élémentaires de la déontologie journalistique.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ilian (Ilian) le mardi 12 novembre 2002 - 18h24:

Cher Hai,
Il y a de gens qui sont au rendez-vous depuit 19 h. [heure de Sofia]. J'attendais seulement ton intervention a 18h. [ heure de Paris].

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le mardi 12 novembre 2002 - 18h01:

Bon, je vois qu'il y a beaucoup de monde au rendez-vous.

Je vais faire comme Nathalie sur un site voisin.

Message de Jevdjenijevitch (Nathalie) le 05/11/2002 à 10h33 -

Bonjour à tous,
Je ne sais si c'est la bonne rubrique mais je désire ne plus recevoir de message et je souhaite également que mon profil disparaisse totalement du site. J'ai retiré le maximum de données figurant dans mon profil mais je désire que tout soit définitivement effacé.
D'avance, merci
Nathalie
Message de Webmaster (Yoni) le 05/11/2002 à 11h46 -

Nathalie, j'efface votre profil utilisateur.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 12 novembre 2002 - 16h43:

Come Back:
Allez je ne tiens plus! faut que je revienne sur Harissa. Trop de choses graves se passent en ce moment et je ne peux rester silencieuse plus longtemps. Pourtant, entre deux biberons, je vous lis regulierement chers amis Harissiens. Ces memes amis harissiens (Albert, Mishka, Bazooka, Emile, Toufiq, Djlachem,Slim, Roland Fellous-merci pr la guematria du nom-, Victor Cohen -la birkat hacohanim internautique j'ai adore!....) que je remercie du fond du coeur pr tous leurs voeux et leurs gentils messages lors de la naissance d'Eva, ma petite fleur (qui n'a rien d'une tune-teint et cheveux clairs, yeux bleus).
Les photos arriveront bientot c'est promis!
Nao
PS: Ouf,je vais enfin pouvoir me defouler sur adra en commentant l'actualite-mon autre passion-!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mardi 12 novembre 2002 - 14h26:

Message pour Madame MICHKA,

Très bien cet article de Monsieur Guy MILLIERE.
Très instructif et ô combien malheureusement vrai.
Et comme le dit si bien Mr BAZOOKA, il faudrait l'envoyer à tous les médias de la terre entière !
Il faudrait le lire tous les matins en ce levant.
Que dis-je l'apprendre par coeur ! Surtout ne pas l'oublier... Enfin, que faire devant une telle inconscience collective ? Et si nous faisions comme eux ? chiche ! bien restons sérieux, mais,
il serait GRAND TEMPS de bouger, voire même de
courir et très vite.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le mardi 12 novembre 2002 - 11h37:

Je refais un saut chez moi avant de repartir.

Transmettez, transmettez.

Ils croulent sous les lettres qu'ils ne lisent plus.

Le film "Amen" dont je vous parlais commence par une scène terrible.

Un homme qui veut attirer l'attention du monde sur ce qui se passe dans les camps fait irruption dans une assemblée de personnalités importantes et dit:

"Il n'y a qu'un moyen de toucher le coeur humain et de faire prendre conscience de ce qui se passe."

Et là, il se tire une balle dans le coeur.

Et puis, les débats ont repris.

Croyez-vous que vous allez pouvoir démontrer à un ennemi qu'il a tort de vous faire du mal?

Naïveté, perte de temps.

C'est croire qu'il pense comme vous, qu'il a les mêmes valeurs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 12 novembre 2002 - 11h14:

Michka,

Ah! Si vous n'existiez pas .... et si Guy Milliere n'existait pas ...

Ce texte eloquent devrait etre distribue au CSA, a l'AFP, aux syndicats de journalistes et aux chaines de TV et radio publiques ou privees.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 12 novembre 2002 - 10h35:

SOURCE : AIPJ.NET

L'islamiquement correct décodé

Le vocabulaire des journalistes politiquement corrects s'enrichit de jour en jour. On ne dit plus quartiers à risque, mais " quartiers sensibles ". La signification du mot " sensible " en ce contexte ? Un véritable mystère. S'agit-il de dire que les quartiers souffrent, ou que des gens souffrent dans ces quartiers ? Et qui souffre en ce cas ? Certainement pas les forces de police : elles n'osent plus entrer. Pas les habitants qui subissent violences et harcèlement divers non plus : on ne leur donne en général pas la parole et ils ont, par définition, tort. Alors ? Vraisemblablement ceux qu'on n'appelle plus délinquants (quel vilain mot), mais " jeunes ". Et de fait ce doit être cela : les quartiers sensibles souffrent parce que des jeunes y expriment leur souffrance et leur sensibilité en agressant les passants, en brûlant des voitures, en organisant des viols collectifs.

De même, l'avez-vous remarqué, le mot " terroriste " est en voie de disparition. On lui préfère désormais le mot " activiste ". Qu'est-ce qu'un activiste ? Quelqu'un qui se livre à une activité. Voire quelqu'un qui agit au service d'une cause ou d'un principe. L'activiste fait exploser une bombe, et tue ou mutile des dizaines de personnes ? C'est qu'il a choisi ce type d'action pour s'exprimer. C'est tout. Il aurait pu distribuer des tracts, ou organiser une manifestation. Mais c'est trop bête ! Il n'y a pas pensé. Et puis, sans doute était-il jeune et plein de sensibilité.
Les journalistes politiquement corrects savent aussi choisir leurs sujets. Quand un assassin tue des gens au hasard et sème la terreur dans la région de Washington et qu'on pense qu'il s'agit d'un blanc, ex-militaire, et fascisant, c'est un sujet passionnant. Si on découvre que l'assassin est un noir américain converti à l'islam et devenu adepte de Ben Laden, cela devient soudain beaucoup moins intéressant.

Mieux vaut passer à autre chose…

Le politiquement correct est, en outre, un art de l'équilibre. Des Juifs se font agresser en France par de jeunes maghrébins : on parlera aussitôt d'" affrontement entre communautés ". L'agresseur a peut-être légèrement tort. Mais l'agressé a tort lui aussi incontestablement : il n'avait qu'à ne pas être juif et à ne pas passer dans la rue à ce moment-là, n'est-ce pas…

Tout sujet de journal télévisé où sera abordé un acte de violence islamiste sera accompagné désormais par un discours disant qu'il existe des extrémistes dans toutes les religions. C'est sans doute vrai.

J'attends néanmoins qu'on me montre un chrétien, un juif ou un bouddhiste se barder de ceintures d'explosifs pour aller se faire sauter au milieu de la foule. Si je dis cela à un journaliste politiquement correct, il me répondra, je sais, que si cela n'a pas encore eu lieu, on ne peut en déduire que cela ne se produira jamais, et que si ce sont des islamistes qui agissent de cette façon, c'est parce qu'ils ont leurs raisons et que les atteintes à leur sensibilité sont infiniment plus grandes que les atteintes à la sensibilité subies par des chrétiens, des juifs et des bouddhistes. C'est bien connu, tout criminel est une victime dont le cœur a été meurtri dans sa petite enfance… Les auteurs de l'attentat de Bali devaient avoir le cœur très meurtri, les pauvres…

La prise d'otages dans un théâtre à Moscou n'a pas connu la happy end que le politiquement correct aurait pu souhaiter : les " activistes " se font sauter dans le désespoir, détruisent le quartier et tuent tous leurs otages. Belles images de désolation. Rappel de la " juste cause tchétchène " et possibilité de dire que tout cela c'est la faute à Poutine qui n'aime pas les musulmans et se rapproche dangereusement des États-Unis. L'affaire se termine plus vite que prévu par une intervention des forces spéciales russes : les " activistes " tchétchènes sont mis hors d'état de nuire et leurs bombes neutralisées. Heureusement, Poutine a fait une erreur. Des gaz incapacitants ont été utilisés et apparemment surdosés. Des otages sont morts, et d'autres encore hospitalisés. Ouf ! Il sera quand même possible de critiquer Poutine.

Personne ne dira que sans l'action des forces spéciales russes, le résultat aurait été un carnage sans nom, et que le résultat actuel, aussi triste soit-il, est un moindre mal. Personne ne se penchera plus avant sur la situation en Tchétchénie où l'armée russe brutalise et détruit, mais fait face à des gens qui voudraient créer une république islamique à la mode talibane et une base arrière pour le terrorisme international. Ce serait tellement sympa, d'un point de vue politiquement correct, une république islamique à la mode talibane en Tchétchénie. On irait à nouveau filmer clandestinement des femmes opprimées et couvertes d'un voile de la tête aux pieds. On se demanderait, avec des frissons, qui les prochaines bombes artisanales iraient frapper. Poutine a mal agi ! Il n'a pas vu que les Tchétchènes dans le théâtre à Moscou étaient des jeunes " activistes " sensibles désireux de s'exprimer. Il n'a vraiment rien pour plaire aux journalistes politiquement corrects.

Guy Millière

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mercredi 13 novembre 2002 - 02h23:

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