Commentaires du 10 Novembre 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2002: Commentaires de Novembre 2002: Commentaires du 10 Novembre 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le lundi 11 novembre 2002 - 03h44:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h59:

Mon cher AMI,

Hai...!Allons avez vous perdu le sens de l'humour ou quoi??? Je vous croyais fedlagi...! Alors..
Vous êtes un type honorable et jamais je ne mettrai vos compètences en doute, ourass baba..
Allez je plaisante avec vous depuis ce jour où vous etes rentrè ici??? Alors...
ALBERT LE FEDLEGJI

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h51:

Monsieur Albert,
L'émotion est passée, et je suis tout à fait calme.
Je ne pense pas que vous m'ayez manqué de respect.
C'est une discussion comme une autre qui peut parfois prendre un ton passionné.
C'est une signe de vie et de vérité.
Mais, s'il vous plaît, pouvez-vous me trouver une référence où j'ai écrit moi-même que je suis le ressuscité?
Ou s'agit-il de bruits qui courent sur moi comme j'ai pu en appprendre à propos de mon état mental.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h35:

Monsieur Lapid,

Je ne nie pas le fait qu'une plaque commèmorative soit au moins placèe à l'entrèe de ce cimetière mais avez vous lu un de mes anciens articles sur le cimetière du BORGEL????? Je ne crois pas mais si vous voulez je peux pour vous le réinserer au theatre, bien que cela ne soit pas sa place..En résumè que l'on appose déjà une petite plaque sur les poitrines déssèchèes des oubliès du carrè Kamouné et Maurice, les inconnus sans nom ni date de décès, je ne parle pas de leurs dates de naissance.
Excusez moi Monsieur HAI, si je vous ai manquè de respect, mais je ne le crois pas.
Raby Myak..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h21:

Vous avez raison Albert, ils n'en sont pas responsables directement. Pourtant il y a des faits qui sont indiscutables.
Ce qui est vraiment inadmissible, c'est de laisser certains d'entre eux utiliser des arguments souvent mensongers pour justifier ou meme nier le "gommage" de toute presence juive dans l'histoire de la Tunisie.
Aussi, nous les derniers temoins, nous nous devons de relancer le debat et de mettre tout en oeuvre afin de retablir la verite sur le depart des juifs de Tunisie. Je crois que cela doit etre fait d'une maniere un peu plus approfondie que celle qui a ete tentee dans le Forum Discussion.
Essayons de relever ce defi, apportons nos temoignages et exprimons nos reflexions a ce sujet.

Quant au "ressuscite", je le remercie d'avoir relance le debat. Mais de grace, qu'il reserve
certaines de ses reflexions a son propre site qui sera visite par ceux qui arrivent a le suivre..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h19:

Mon cher HAI,

Je n'insulte jamais personne ici, c'est bien toi qui dis que tu l'incarnation de notre grand et venère RABBIN???? NON??? Ou je me trompe Monsieur HAI TAIEB....
ALBERT LE MARBRIER....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h18:

PS.
Et pour finir, bien que votre réaction soit tout à fait à côté de la plaque (si je puis dire) je vous signale (et vous pouvez vous renseigner si vous ne le savez pas) que les fils payent pour les fautes de leurs pères, que les Allemands ont payé pour la génération précédente, et que nous tous, nous payons pour la faute d'Adam et Eve.

(Mais je répète, c'est pas du tout ce que je réclamais).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 16h07:

Mon cher Albert le marbrier,

Je n'aime pas ce ton.
Je ne suis pas M. le resuscité, surtout si c'est dit comme une insulte.
Pourquoi parlez-vous de payer?
Est-ce que j'ai demandé un procès de Nuremberg?
Est-ce que j'ai demandé de payer pour les fautes?
Que veulent dire ces insinuations?
J'ai demandé une plaque.
Et vous, marbrier, vous devriez savoir mieux que quiconque combien ça coûte.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ilian (Ilian) le dimanche 10 novembre 2002 - 15h23:

Sur le vieux cimetiere juif de Sfax aussi on a construit un immeuble. Comment peut-on vivre dans cet immeuble en sachant qu'il y a des morts qui reposent en dessous? Je croyais qu'en Islam aussi comme dans les autres religions les tombes des gens etaient sacrees, et que de profaner une tombe constituait un peche.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 10 novembre 2002 - 15h13:

Ceux d'aujourd'hui doivent t'ils payer les conneies des autres...??? Monsieur le ressucitè..?
ALBERT LE MARBRIER

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 13h57:

J'ai une dernière chose à vous dire, mais j'attends d'abord les réactions à mes messages (ceux de L.A. doivent être en plein sommeil).

C'est pourquoi je vous les dirai ce soir.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 13h32:

Et je peux ajouter quelque chose.

On entend souvent parler de l'état de la Tunisie après le départ des Juifs et de la nostalgie de ce qu'elle était avant.

D'ailleurs, vous savez que la plage de Kherredine n'existe plus, de même que celle de Gammarth (qui était immense, il fallait faire une ou des centaines de mètres pour arriver à la mer).

J'ai appris par Ilian que celle de Sfax aussi à disparu.

Comme si la nature punissait la Tunisie.

Et si c'était pas dû seulement au départ des Juifs, et si c'était parce que les Tunisiens étaient punis pour une faute grave vis à vis de Hachem, ou Allah, qui désignent le même Lieu (Hamakom) contrairement à Dieu qui n'est rien d'autre que Zeus?

Reportez-vous à mes recherches sur l'étymologie.

A ce propos, je peux vous fournir des éléments qui sont une véritable bombe à propos de Chouraqui et de sa brusque volte-face à propos du mot "Dieu".
Regardez ce qu'il écrivait en 1979


Dans "Ce que je crois"

Il écrit, dans le premier pazragraphe de son livre:

"Abraham...concluait avec son Dieu une alliance"

Et, quelques années après, il écrit:

Faut-il donc avoir une mentalité sémitique pour comprendre l'importance essentielle du Nom et du Verbe dans le langage? Est-il indifférent de substituer les noms des dieux, des héros et des lieux d'un livre? En fait, tout être est attaché à son nom, à son orthographe et à sa prononciation. Pourquoi n'avoir pas toujours rigoureusement respecté ce principe plus particulièrement dans les traductions de ces Livres que l'on proclame sacrés? Pourquoi le Nom de I~vH Eloh~lms a-t-il été à peu près universellement refoulé puis oublié?


Car à son égard le refoulement est général, constant, universel, et d'autant plus grave que l'oubli du Nom s'accompagne de l'occultation de ses significations, Lui, l'Etre créateur reçu dans toutes ses puissances, unique en son essence, pluriel en ses créativités, source de toute réalité, de toute vie, Personne vivante attentive à tout appel fait à Son Nom par toute créature.

La licence des Septante s'est répandue dans toutes les traductions de la Bible et par voie de conséquence dans toutes les confessions, les écrits et les cultes inspirés par elle. Si bien que les églises chrétiennes qui font profession de croire au Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ignorent son Nom, si bien qu'elles élèvent sur leurs autels celui d'innombrables idoles, différentes selon les pays et les cultures.

Ce procédé est inacceptable, parce que si les mots peuvent changer de sens, les noms propres devraient rester à jamais immuables dans toutes les langues où ils sont employés. Les juifs de l'Exil ont eux-mêmes cédé à la tentation de désigner IH~vH Eloh~s sous le nom des idoles des nations parmi lesquelles ils vivaient.

De nos jours encore, eux-mêmes sacrifient à cette tendance, scientifiquement, spirituellement et théologiquement injustifiable, dans leurs traductions de la Bible comme dans leurs synagogues où ils parlent de Dieu, proche parent de Zeus ou de God, divinité dominante des peuples nordiques.... Le Nom de I~vH est ineffable et ne saurait se vocaliser sans sacrilège. De ce fait, certains rabbins écrivent Dieu de sa seule initiale D., et God en omettant la voyelle o., G.d., faisant comme si ces noms d'idoles étaient celui d'Elohîms. En ce sujet central, juifs et chrétiens partagent une même confusion intellectuelle.

Ces habitudes sont si invétérées que nous y échappons difficilement: il m'a fallu des décennies de réflexion pour prendre conscience de l'importance de ces problèmes de langage; ils ont des conséquences incalculables sur la vie de l'esprit.


Je vous ferai, si vous voulez, entendre des enregistrements de conversations entre Chouraqui et moi qui révèlent l'origine de son changement radical.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 12h59:

Je suis très heureux qu'il y ait déjà des réactions à ce qui a été un des plus grands scandales de l'époque.
C'est pourquoi les témoignages que je lis sur Harissa de nombreux musulmans qui chantent l'amitié judéo-tunisienne me font sourire (ou pleurer).

En tout cas, ceci confirme bien, si on regarde l'ensemble du site, que cette question n'a pas été évoquée dans toute son ampleur (et peut-être pas du tout).

Je ne vois pas ce qui nous empêche, maintenant que nous sommes (presque tous) en contact, de réfléchir à une action commune, et de décider de répondre à tous ces Tunisiens qui veulent nous tendre la main (je sais très bien que dans leur majorité, ils ne savent pas ce qui s'est passé), de leur répondre que s'ils veulent de l'amitié, ils doivent respecter nos morts, et que, même si on ne peut pas revenir sur ce qui s'est passé (je me souviens moi aussi des récits de gens qui parlaient des ossements charriés par les bulldozers) on peut quand même faire le minimum que je propose, c'est à dire mettre une plaque pour dire que c'était un cimetière.
Je suis persuadé que, de même que le Juifs (ça aussi je m'en rappelle bien) n'allaient pas se promener dans ce jardin, de même, la plupart des musulmans se comporteront différemment quand ils sauront qu'ils marchent sur la terre des morts, car ils ont aussi ce respect.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 10 novembre 2002 - 11h45:

A la seule différence, c'est que personne dans notre communauté ne fut avertie à temps pour prendre les dispositions qui s'imposaient à cette époque pour déterrer nos morts et les transférer au Borgel,
après accord des familles concernées, comme ce fut le cas pour les défunts du cimetière des catholiques qui eux furent prévenus dix ans avant le début des travaux. Et ont transféré les corps de leur proche dignement. Au Borgel aussi.
Je crois savoir, que pour nos mos morts de l'avenue de Londres,ils ont été enterrés dans une fosse commune au Borgel..Juste une caisse.
N i plus ni moins…Quelques ossements….
UN ANCIEN MARBRIER GOULETTOIS.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le dimanche 10 novembre 2002 - 11h21:

Au sujet du cimetiere israelite (aujourd'hui Jardin Thameur) situe entre le Passage, l'avenue Roustand (aujourd'hui avenue Habib Tameur) et l'avenue de Londres, je voudrais apporter mon temoignage.

En effet, ma famille habitait l'Avenue de Londres pres du Passage et, je pouvais, d'une des fenetres de notre appartement, observer tout ce qui se passait dans une grande partie de ce cimetiere.

Le maire de Tunis de l'epoque (1957-1959) avait fait part a la communaute israelite de Tunis de son intention de transformer ce cimetiere en jardin public. Bien entendu, la Communaute juive, proprietaire de ce cimetiere, refusa mais, devant la force utilisee (des bulldozers forcerent les grilles du cimetiere), elle finit,la mort dans l'ame, par ceder. La seule faveur accordee fut celle de pouvoir deterrer certains rabbins renommes dont rebbi Hai Taieb pour pouvoir les enterrer de nouveau au cimetiere du Borgel.
Dans une grande emotion et un chagrin immense, la communaute juive assista a ce triste spectacle qui s'avera encore plus penible lorsque les bulldozers commencerent leur sale travail mettant a nu les ossements de nos morts.
Ainsi debuta le debut du "gommage" de toute presence juive en Tunisie qui remontait a plus de deux mille ans bien avant la conquete de la Tunisie par les arabes.
Pour information, il m'a ete rapporte que le maire de Tunis instigateur de ce projet et son executeur (un architecte juif parait-il) moururent ,peu apres l'inauguration de ce jardin, dans des circonstances tragiques. Quant aux juifs dans leur grande majorite, ils evitaient, afin de ne pas le profaner, de fouler le sol de ce jardin et les trottoirs des rues l'entourant dont celui de l'Avenue Habib Thameur.

La suite, tout le monde la connait. A vous de juger et aussi d'apporter vos temoignages.
Pour moi, ce fut, entre autres facteurs, un tournant important qui influenca ma decision de quitter mon pays natal pour aller faire mes etudes en France en attendant que ma famille me rejoigne.

Hector Chemla

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 10 novembre 2002 - 09h42:

A Lapid :

Pourquoi faut-il 2 policiers pour mettre un PV ?

Parce qu'il en faut un pour lire et l'autre pour ecrire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Niki (Niki) le dimanche 10 novembre 2002 - 09h22:

NOS ENFANTS,IL FAUT LES AIMER POUR CE QU'ILS SONT ET PAS POUR CE QUE L'ON VOUDRAIT QU'ILS SOIENT.
CE N'EST PAS SIMPLE MAIS CA VAUT LE COUP D'ESSAYER, CA EVITE BIEN DES CONFLITS INUTILES. PENSEZ Y.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 10 novembre 2002 - 08h39:

g:/harissalebon/harissa/tombes.jpg

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 08h23:

J'avais oublié qu'on ne pouvait pas mettre
d'image sur ce forum.
J'ai donc mis le plan sur mon site, et voici
l'adresse

http://perso.wanadoo.fr/clauta/cimetiere.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hai (Hai) le dimanche 10 novembre 2002 - 08h09:

Chers amis,

J'aimerais poser une question sur le cimetière qui se situait au centre de Tunis, entre le Passage, l'avenue Roustand et l'abvenue de Londres, jusqu'à la rue des Salines, et qui était le grand cimetière juif.
Je crois que l'affaire s'est passée vers 1956 ou 1958.
J'imagine donc que beaucoup ne l'ont pas connu.

Maintenant c'est un jardin public.

Mais rien n'est là pour rappeler qu'on marche sur les morts.

C'est pourquoi j'avais, en 96 ecrit à plusieurs personnalités tunisiennes.

Je joins à ce message un extrait et un plan du quartier.


Il y a une autre chose qui m'a beaucoup peiné.

Ils ont transformé l'immense cimetière juif de Tunis qui se trouvait en plein centre de la ville en jardin public.

J'ai finalement admis que la décision était inévitable était donné sa superficie et sa situation.

Mais j'ai écrit à plusieurs personnalité tunisiennes que le moindre des choses aurait été de mettre une pancarte, soit à l'entrée du cimetière, soit à l'intérieur, pour rappeler (et pour informer, car la plupart ne le savent pas) que les promeneurs marchent (ou crachent) sur une terre sous laquelle il y a des milliers de corps.

Inutile de dire que ça ne leur a servi à rien.

J'avais même envoyé un passage du chef indien Seattle.

Je suis un général sans armée. Je ne vais pas jouer au plus fin, mais je demande publiquement à notre grand Rabbin qu'il demande publiquement au gouvernement tunisien qu'il fasse ériger une stèle dans l'autre cimetière, l'ancien, celui de l'avenue Habib Thameur, et qui a été transformé en jardin public.

"Ici, dans le périmètre délimité par ces grilles, se trouvait l'ancien cimetière juif de Tunis"

Voilà c'est tout, c'est pas grand chose, c'est pas trop demander, c'est pas la restitution des territoires, c'est pas un contentieux sur les biens, c'est notre idée du bien.

Pourquoi cette histoire me chagrine?

Pour deux raisons.

La première c'est que moi, rebbi Haï Taïeb, j'étais enterré là-bas.

Et la deuxième c'est que c'est quand même un comble de l'ironie de l'histoire que nous nous trouvions, nous Juifs, dans l'obligation de lire à nos frères arabes ce texte de Seattle:


"Vous devez enseigner à vos enfants que la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 10 novembre 2002 - 05h59:

A Mimaud-Minou
Je n'ai peut etre pas bien compris votre message ou il n'est peut etre pas explicite.
Vous demandez par charite qu'on vous explique ce que vous avez deja choisi: abandonner votre fils qui appartient a une autre religion.
Vous demandez par charite qu'on vous conseille, qu'on vous console, qu'on vous guide.
Votre demande d'appui est a mon avis d'ores et deja une remise en cause de votre pretendu abandon.
Par consequent, vous avez deja compris que le lien qui vous attache a votre fils depasse ces questions.
Vous ne precisez pas votre religion.
Si vous etes nee juive et que votre fils est age de plus de 13 ans, c'est a dire, qu'il a deja fait sa bar-mitsva, et que vous avez tout fait pour lui transmettre votre judaisme, vous etes en premier lieu relevee de vos obligations et lui, libre de choisir. D'autre part, meme s'il se converti ou s'est deja converti, IL RESTERA MALGRE TOUT A JAMAIS JUIF.
Je compartis votre peine et votre desarroi et serais heureuse de pouvoir vous aider.
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 10 novembre 2002 - 03h56:

COMMUNIQUE DE PRESSE

EZRA VENTURE LANCE SON PREMIER APPEL A PROJETS

Ezra Venture, association finançant des initiatives originales liées au judaïsme, lance son premier appel à projets. Le premier lauréat sera sélectionné en février 2003. Les dossiers de candidature doivent être envoyés d'ici au 15 décembre 2002.

Qu'est-ce qu'Ezra Venture?
Ezra Venture se donne pour mission d’accompagner, dès leur création, des projets innovants destinés au judaïsme français. Ezra Venture encourage ainsi la volonté d’entreprendre et contribue à professionnaliser l’action associative.
Créée à l'instigation d’une fondation philanthropique privée, Tsadik Fund, et soutenu par le Centre Communautaire de Paris, Ezra Venture s’est constituée autour d’un noyau de personnes ayant une solide expérience des mondes de l’entreprise, de l’associatif et de la communauté juive.

Quels types de projets recherche Ezra Venture?
Le projet doit répondre, de manière innovante et fédératrice, à des besoins culturels, éducatifs ou sociaux, existants ou latents, du judaïsme français ou européen. Le projet doit être réaliste, cohérent et orienté vers la création d’une structure pérenne et viable financièrement.

A qui s’adresse Ezra Venture?
Jeune entrepreneur de 22 à 35 ans, le porteur de projet doit faire preuve de créativité, de détermination, de professionnalisme et d'aptitude à la gestion de son projet. Le lauréat bénéficiera pendant une période d'un à deux ans, d’un soutien financier, d’un encadrement et d’une formation. Les candidats trouveront des informations complémentaires sur le processus et les critères de recrutement sur le site de Ezra Venture.


Ezra Venture
Fondation pour l’initiative juive
http://www.ezraventure.org
Contact Presse : ELYA TRIGANO
Tél : 06 61 41 43 53 Fax : 01 53 20 52 50
Email : contact@ezraventure.org

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 10 novembre 2002 - 03h53:

Hello,

your web site is wonderful and informative. I knew nothing about Tunisian Jews. Please preserve your heritage. The food photos are wonderful.
I believe food obsession is a trait shared by all of us Jews.
Thanks for the great web site.

Ziva Sahl,

Los Angeles Ca, USA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 10 novembre 2002 - 03h39:

Les Arabes et la légitimité d’Israël

Par Aziz Krichen


"Israël a un droit irrévocable à l’existence pour la simple raison qu’il existe. Une telle tautologie apparente du pur état de fait est fondée en termes de droit naturel. Elle est par là universelle. C’est précisément ce qui fait de cette variante de la légitimité la seule valable d’un point de vue politiquement réaliste." *





Dan Diner, professeur d’histoire à l’université hébraïque de Jérusalem, a publié récemment un article fort intéressant sur la question, cruciale entre toutes, de la légitimité d’Israël au regard de l’opinion publique arabe*. La position à laquelle il aboutit – voir citation en exergue – est partagée par beaucoup de pacifistes au Proche-Orient. Je la trouve néanmoins, pour ma part, un peu courte ; impuissante, en tout cas, à garantir une véritable perspective de reconnaissance réciproque et une paix permanente.



Dans l’absolu, le pur état de fait n’institue aucune espèce de droit naturel ; il ne possède aucune valeur contractuelle intrinsèque. En l’occurrence, l’existence de l’Etat hébreu doit davantage au simple rapport de force. Or celui-ci, chacun le devine, n’est jamais définitivement figé, irrévocable, donné une fois pour toutes. Appuyé sur l’hyperpuissance américaine, Israël est aujourd’hui militairement plus fort que l’ensemble du monde arabe, qui se débat dans le sous-développement et l’absolutisme. Mais qu’en sera-t-il demain, dans 10 ou 50 ans ? Qui peut parier que les cartes ne seront plus jamais redistribuées ? C’est la prise en compte de ces changements éventuels qui pousse beaucoup des protagonistes actuels à se crisper sur des attitudes de refus et de violence, les uns parce qu’ils y placent leurs espoirs de revanche, les autres leurs craintes et leurs angoisses.



La logique induite par le pur état de fait et le simple rapport de force peut engendrer une cessation provisoire des hostilités, un accord partiel ponctuel, bref, un armistice. Elle ne produira jamais une paix réelle et durable, parce qu’elle n’est pas de nature à extirper, pour toujours, la suspicion et les arrière-pensées. L’évolution de la scène proche-orientale depuis Oslo – au-delà des responsabilités personnelles de Sharon, d’Arafat ou de Peres – illustre parfaitement cette impossibilité objective à s’accorder mutuellement crédit.



Comment sortir de cet enfermement tragique et établir un cadre minimum de confiance et de compréhension ? Dan Diner avance deux autres types de légitimité pour Israël, en dehors du pur état de fait : une légitimité religieuse (dans la Bible, Dieu a promis la Palestine au peuple juif) et une légitimité historique séculière, liée à l’holocauste. Il les écarte aussitôt au prétexte qu’elles ne peuvent obliger les Arabes et les musulmans. Pour la légitimité biblique, il a sans doute raison. L’argument ne convainc pas l’ensemble des juifs religieux, comment convaincrait-il les adeptes d’autres religions ? Mais la légitimité qui découle du génocide ? Dan Diner estime qu’elle « n’oblige catégoriquement que le monde occidental ». C’est cette dernière opinion que je souhaite discuter ici, parce qu’elle me semble fausse et marquée, finalement, par une sorte de myopie morale à l’égard du monde non occidental.



La Shoah n’est ni le premier ni le dernier crime contre l’humanité. Par son caractère de masse, l’effort systématique d’organisation et de planification, la multiplicité vertigineuse des exécutants – cette abomination n’en représente pas moins un moment unique dans l’histoire de la barbarie humaine. L’abjection n’a jamais été portée aussi haut, jamais le crime n’est allé si loin : à ce titre, il engage tous les hommes. Non seulement les Allemands, non seulement leurs supplétifs en Europe et parmi les chrétiens, mais tous les hommes, y compris ceux qui étaient le plus éloigné des lieux où il fut perpétré. Il s’agit d’un crime contre le genre humain, d’un crime commis par l’homme contre lui-même, par conséquent d’un crime de tous les hommes : qu’ils l’aient accompli de leurs propres mains, qu’ils aient participé à son accomplissement, qu’ils n’aient pas voulu l’empêcher, qu’ils n’aient pas su ou pu le faire. Il engage chacun parce que personne n’a été en mesure de le prévenir.



Un crime aussi général appelait réparation. Au sortir de la Seconde Guerre, le monde, à travers les Nations Unies, a estimé que cette réparation passait par la partition de la Palestine, en accordant aux juifs un Etat et en entérinant, pour ce «peuple sans terre», la fiction d’une «terre sans peuple». C’est dire qu’en prenant cette décision, l’ONU n’a pas demandé son avis aux populations qui allaient, les premières, en souffrir. L’instauration de l’Etat d’Israël s’est faite sans elles et contre elles. On sait le drame impitoyable qui en résulta.



Un demi-siècle après cette naissance cruelle, et en dépit du sang et des larmes, ils sont pourtant nombreux ceux qui, en Palestine et dans le monde arabe, au nom de tous les hommes, sont prêts à accepter d’assumer une telle réparation. Ils sont nombreux à consentir de subir une lourde injustice pour contribuer à adoucir un malheur historique plus terrible. Moins coupables que d’autres, ils sont nombreux à admettre d’avoir à payer le prix le plus élevé.



Faisant cela, ils savent retrouver les traditions d’hospitalité et de noblesse qui firent la grandeur de leur civilisation. Mais faisant cela, ils savent pouvoir aussi recouvrer la liberté et la maîtrise de leur présent. Reconnaissant l’existence d’Israël de manière radicale, définitive, sans réserve, apportant aux juifs la sécurité du lendemain, ils ajouteraient, à la légitimité de la résistance nationale – qui vise l’établissement d’un Etat palestinien à côté de l’Etat d’Israël, conformément aux résolutions de l’ONU de 1947 –, une légitimité morale universelle qui permettrait de triompher de tous les obstacles qui se dressent sur le chemin de la paix. Cette double légitimité rendrait, en effet, rapidement caduc l’union sacrée anti-arabe que la grande majorité des juifs manifeste aujourd’hui, partout où ils se trouvent, et elle rendrait insoutenable, à terme, l’alliance forcée des démocraties occidentales avec la droite israélienne, qui ne vit que de la peur et par la peur : celle qu’elle provoque et celle qui l’habite.



Je suis persuadé que la peur est le maître mot du drame du Proche-Orient – la peur, et le réflexe victimaire irraisonné qu’elle suscite inévitablement. Du fait des manœuvres autour du pétrole que leur sous-sol renferme en abondance, les Arabes et les musulmans évoluent avec la hantise quotidienne de l’agression étrangère. Les Palestiniens sont recroquevillés sous le déluge de feu qu’Israël déverse en permanence sur eux. Les Israéliens supportent d’autant moins les coups qui leur sont portés qu’ils assimilent leurs auteurs aux bourreaux qui ont cherché à les exterminer. De ces peurs qui se font face, la plus vive, la plus nue, la moins contrôlable, est celle des juifs : ils ont été de l’autre côté de l’enfer et cette expérience continuera de les marquer longtemps. Dans ces conditions, c’est aux Palestiniens et aux Arabes de faire le plus gros effort. En termes humains, leur peur est plus soutenable, quoi qu’ils aient à subir aujourd’hui. C’est au plus fort de faire le premier geste, et eux sont les plus forts – ou les moins faibles – sur ce plan, malgré les apparences.



En Palestine, dans le reste du monde arabe, on compte par milliers le nombre de patriotes et de démocrates qui admettent en conscience, sans restriction mentale, la légitimité d’Israël, à cause, précisément, de l’holocauste. Leur voix n’est pas souvent audible, parce qu’elle est recouverte par le fracas des bombes et des attentats et par le vacarme des va-t-en-guerre d’Orient et d’Occident. Nul ne sait de quoi demain sera fait. Rien n’interdit, en attendant, de continuer à lutter. Pour la paix. Dans la justice et la fraternité retrouvées.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le samedi 09 novembre 2002 - 23h29:

Pour Mimaud.Minou.

Pourquoi abandonner son fils parcequ'il va vers une autre religion ? Tout d'abord, vous savez, notre enfant restera toujours notre enfant. Oui, cela doit être dur de voir son enfant quitter sa religion d'origine. Mais, peut-être a-il fait cela pour différentes raisons : par amour, par conviction ou parceque sa religion ne lui convenait plus ! il y a tellement de raisons à une telle décision.
Vous conseiller :
Il faut lui parler, lui demander pourquoi il a fait cela (mais vous devez certainement le savoir), lui demander ce que cette nouvelle religion va lui apporter ? et ce que l'autre ne lui apportait plus ! va t-elle lui permettre de trouver son équilibre ? faillait-il l'obliger à garder son ancienne religion sous peine de le voir souffrir et de la pratiquer à contre coeur ?

Vous guider :
Ne pas le rejeter, essayer de lui faire comprendre, si c'est le cas, qu'il fait une erreur, et qu'il réfléchisse bien aux conséquences de son acte. Et qu'il ne peut pas oublier tout l'enseignement qu'il a reçu de son ancienne religion, du réconfort moral qu'il a dû trouver par elle, plus d'une fois.

Vous consoler :
Je peux le faire moralement. Je vais d'ailleurs vous envoyer un e-mail personnel et nous en discuterons toutes les deux. Ne pleurez pas surtour, laissez faire les choses. Vous savez, la vie se charge parfois de vous montrer vos erreurs et de vous les faire comprendre. Et peut-être que votre fils un jour le comprendra;

Je vais vous raconter une histoire vraie, la mienne. Lorsque j'ai rencontré mon mari, je n'étais pas juive et comme vous devez vous en douter, sa famille n'a pas été très d'accord de cette union. Mais, nous nous aimions et mon mari m'a dit, que vas-tu faire ? Je lui ai répondu, en aucun cas je t'empêcherais de pratiquer ta religion comme je t'imposerais la mienne. Puis, les enfants sont venus. Justement, les enfants !
Ils nous ont encore plus rapprochés. Et lorsque je suis allée dans la famille de mon mari, j'ai partagé avec eux, leurs fêtes, leurs coutumes, qui n'étaient pas les miennes. Et petit à petit, ils m'ont expliqué pleins de choses, et je me suis intégrée totalement dans leur religion. Ce qui a changé à la fois ma vie, ma manière de voire les choses et cela m'a rapproché d'eux.
J'avais découvert tant de choses par eux, et je ne le regrette pas que maintenant, je vous l'avoue, j'ai trouvé un sens à ma vie. Le hasard m'a mise sur cette route, c'était la volonté de Dieu. J'ai été très malade et guérie d'où le beau poème en hommage à Israël que j'ai composé.
Tout cela pour vous faire comprendre, qu'il faut accepter les choses (je sais, c'est très dur parfois), et le temps fait le reste.
En tout cas, il faut pardonner, car nous-mêmes, nous ne sommes pas parfaits, et que bien dès fois, les autres aussi doivent nous pardonner nos erreurs qui les font souffrir.
Priez, demandez l'aide de Dieu, je pense qu'il vous entendra. Et attendez, car parfois, l'avenir nous réserve tellement de surprise !
Mais, je vous en supplie ne rejetez pas votre enfant. Car si vous le perdiez (c'est à dire s'il venait à mourir) vous regretteriez ce rejet et vos larmes ne cesseraient de couler jusqu'à la fin de votre vie. J'aimerais tant vous aider !
Je sais, je ne suis pas à votre place, mais un enfant comme une mamam et un papa, on ne pourra jamais les remplacer. A bientôt dans un e-mail, bon courage. Pardonnez-lui. D'accord ? Axelle

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 09 novembre 2002 - 16h49:

Merci, Michka

J'ai essayé d'être le plus convaincant possible sur ces mutations qui nous concernent tous en Europe comme en Israël.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 09 novembre 2002 - 14h20:

Source : réinfo-israel. Ce que j'en pense MAGISTRAL comme le précédent texte d'Alain Legaret que Haï a eu raison de nous faire relire.

Bravo Jean-Pierre pour ta "bombe lente". Quelle accuité.

Michka
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Make love, not war, par Alain Legaret

«Faites l’amour, pas la guerre !». Combien de fois ne l’avons-nous pas repris ensemble, ce credo, quand nous refaisions le monde pour le rendre plus juste, plus fraternel, plus tolérant !

Lorsque notre idéal était fondé sur la liberté et l’égalité, sur l’amour de son prochain dans la laïcité, sur la vie. Parce que ces valeurs étaient solidement ancrées en nous et que, pour rien au monde, nous n’aurions accepté de les bafouer.

Mais aujourd’hui, mon ex-camarade, pour ne pas faire la guerre, tu as choisi de faire l’amour par lâcheté.

Tu as choisi de faire l’amour à des gens qui veulent t’empêcher de faire l’amour. A des gens qui te promettent sous les pavés, le désert.

Pour ne pas faire la guerre, mon ex-compagnon, tu as choisi de faire l’amour à des gens qui interdisent tout mais surtout pas d’interdire.

Tu fais l’amour à des dictateurs qui souillent les droits de l’homme. A des gens qui enseignent la haine à leurs enfants et qui bientôt l’enseigneront aux tiens.

Pour ne pas faire la guerre, mon ex-ami, tu as choisi de faire l’amour à ceux qui applaudissent quand des avions détruisent des tours à Manhattan. A ceux qui tuent intentionnellement hommes, femmes et enfants avec distinction de race.

Tu as choisi de faire l’amour à des gens qui font la guerre parce qu’ils sont frustrés d’amour, et pour qui l’existence n'est qu'accessoire, surtout la tienne. Ils font l’amour non pour donner la vie, mais pour donner la mort.

Pour ne pas faire la guerre, mon ex-complice, tu as choisi de faire l’amour à des gens ouvertement antisémites, au point que, toi aussi, parfois, en atteignant l’orgasme, tu te surprends à crier «mort aux juifs !».

Tu as choisi de faire l’amour en masochiste soumis à un maître qui te fait jouir en fouettant nos libertés, en insultant nos femmes, en étouffant notre culture et en crachant sur nos démocraties.

Tu as choisi de faire l’amour à une mante tellement religieuse, qu’elle t’en a déjà fait oublier ta chère laïcité avant qu’elle ne décide de te prendre l’âme.

Pour ne pas faire la guerre, tu as choisi, en guise de petit déjeuner, d’offrir mon pays sur un plateau à ton amant, qui n’en demandait pas tant. Cet amant avec lequel tu t’assembles désormais au point de lui ressembler.

Car enfin, à trop faire l’amour, mon ex-frère, tu as déjà attrapé des maladies totalitairement transmissibles qui te seront à coup sûr mortelles.

Je t’ai perdu, car tu m’as trompé. Tu t’es trompé. Et malgré tous tes efforts pour le séduire, tu resteras toujours un infidèle aux yeux de ton nouvel amant.

Du moins, jusqu’à ce que tu ne reprennes avec lui son credo : «Faites la guerre, pas l’amour !» .


Alain Legaret

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 09 novembre 2002 - 13h05:

Envoyé par Menahem Macina le 09-11-2002 à 13:08

La bombe lente, par Jean-Pierre Chemla


08/11/02

Quand l’Ayatollah Khomeyni quittait sa résidence d’exil de Neauphle-le-Château pour rejoindre Téhéran, en 1979, peu d’observateurs, s’imaginaient que cet épisode de l’Histoire du XXe siècle représenterait l’amorce du processus historique essentiel du XXIe siècle.

Bien au contraire, nos mentalités, encore empreintes des enseignements de la guerre du Vietnam et des conflits sud-américains ou africains des années 60/70, n’y voyaient qu’un épisode supplémentaire de la grande saga des mouvements de libération populaire.

Peu de temps après, le conflit soviéto-afghan nous fit prendre fait et cause naturellement pour ces courageux Moudjahidin, qui canardaient les hélicoptères de l’Armée Rouge à coup de fusils rafistolés. Personne ne semblait avoir de doute sur le camp qu’il fallait soutenir.

Parallèlement, en Europe de l’Ouest, surtout en France et en Belgique, on assista au grand et rapide flux migratoire en provenance d’Afrique du Nord et d’Afrique noire, qui, accentué par la politique de rapprochement familial décidée au milieu des années 70, bouleversa, en quelques années, le paysage sociologique de ces pays d’accueil. La France, par exemple, vit apparaître dans ses banlieues de nouvelles communautés qui modifièrent les rapports sociaux mais qui, aussi, l’enrichirent d’une culture gaie et sympathique. Les intonations aiguës des titis parisiens laissèrent la place à un néo-accent qui était le résultat du brassage des intonations de ces populations avec celles des autochtones.

Certaines franges des communautés chrétienne et juive commencèrent à réagir à ce qu’elles vivaient comme une menace pour l’intégrité des bases religieuses et de la civilisation qu’elles s’étaient efforcées de bâtir durant des siècles. On vit apparaître les tendances intégristes chrétiennes, dont Monseigneur Lefebvre était l’incarnation principale. Côté juif, on assista également à un regain de ferveur religieuse, inhabituel depuis des décennies, et la scolarisation en établissement privé prit un nouvel essor, autant, à tort ou à raison, dans le but de soustraire sa progéniture à ces nouvelles fréquentations, qu’à des fins quasi militantes, en opposition à ce que l’on n’appelait pas encore intégrisme islamiste. De fait, c’est au cours de cette période que s’effectuèrent et le financement des mosquées occidentales par l’Arabie saoudite, et l’infiltration wahhabite dans la pensée religieuse musulmane européenne.

On approchait ainsi de ce siècle - «qui serait religieux ou ne serait pas» -, avec tous les ingrédients de cette bombe lente qui n’avait aucune raison de se déclencher tant que l’opposition Est-Ouest régissait encore le sens de rotation de la terre.

Bien sûr, le basculement d’un affrontement à l’autre ne fut pas aussi tranché que cela, et les attentats anti-américains - comme celui de Beyrouth ou la prise d’otages de Téhéran – préfiguraient, avec vingt ans d’avance, l’horreur du 11 septembre 2001.

Mais c’est en novembre 1989, date de la chute du Mur de Berlin, que le vide laissé par le communisme fut comblé par la montée en puissance de l’intégrisme islamiste. Celui ci allait dorénavant prendre en charge tant l’enfant pakistanais réduit à l’état d’esclavage, que les paysans des régions du tiers-monde, incapables de nourrir leurs familles malgré un travail harassant et inhumain.

L’Amérique ne comprit pas les messages brouillés que lui envoyaient des organisations semi-occultes en tuant, ici des civils américains en vacances ou sur leur lieu de travail, là des soldats dans leurs bases militaires. Le 11 septembre 2001, le message fut reçu cinq sur cinq et la troisième guerre mondiale pouvait commencer.

Que s’est-il passé pendant ce temps dans les sociétés d’Europe de l’ouest ?

Au lieu d’un rejet de la communauté musulmane sur base d’un amalgame – injuste, à priori – de ses fidèles à ces nouveaux ennemis de l’Occident, on assista, au contraire à un mélange exacerbé des cultures. Alors que la génération des immigrants nés à l’étranger continuait à vivre en vase clos, celle de leurs enfants parvint à s’intégrer sans grande difficulté.

Au début des années 80, cette génération semblait prendre le chemin habituel des précédentes vagues d’immigrations - polonaise, italienne ou espagnole -, sans que rien ne laissât supposer l’apparition des fractures à venir.

Il y avait, certes, dans ces familles, la singularité d’un patriarcat et d’un machisme traditionnels, dont les jeunes filles continuent, jusqu’à ce jour, à subir le poids, puisqu’elles ne peuvent généralement se marier que dans leur communauté.

Les garçons, en revanche, n’eurent aucun mal à se libérer du joug familial et culturel, et ne se privèrent pas de s’unir à des européennes séduites par un exotisme, lui même magnifié par les mutations orientalistes que l’on pouvait observer dans différents domaines artistiques - musique, couture, architecture, etc. Bref, le "beur" devenait l’archétype du nouveau "lover".

Mais, progressivement, la modification du décor politique international finit par perturber la donne et poussa ces individus, devenus des couples, à se rapprocher de la religion musulmane. Dès lors, on assista très rapidement à une radicalisation des esprits et à des conversions à l’Islam de jeunes femmes françaises, dites «de souche», avec port du voile à la clé.

Les enfants nés de ces unions ont très rarement été prénommés Thomas ou Nicolas, mais plutôt Karim ou Rachid. La première génération de ces couples mixtes ayant près de 20 ans, on peut constater qu’en grandissant, ils ne se revendiquent presque jamais d’autre chose que de l’Islam. Ils sont en général très impliqués dans le conflit israélo-palestinien, et certains ne cachent pas leur sympathie pour des entreprises telles que Al Qaïda. De plus, ils reçoivent le soutien inattendu des anciennes forces progressistes, sevrées de la lutte des classes, et qui, frustrés de ne plus avoir d’opprimés à défendre, n’ont pas hésité, trente ans après avoir scandé «Ni Dieu, ni Maître !», trente ans après avoir manifesté pour la libéralisation de l’avortement, à prendre fait et cause pour des organisations religieuses islamistes où les droits de la femme sont bafoués.

Autre fait saillant : le recul de la République et de la laïcité. L’Education Nationale, creuset essentiel de nos valeurs républicaines, a abdiqué, à plusieurs reprises, dans des affaires de port du voile islamique, là où, symboliquement, aucune exception n’aurait du être tolérée, de la même façon qu’on ne cède jamais aux chantages terroristes. L’argument de l’impossibilité de séparer vie religieuse et vie publique pour un musulman ne tient pas la route et tout se réforme quand on veut faire montre de bonne volonté.

L’Islamisme a imbibé l’ensemble de nos sociétés et a provoqué une montée d’un cran du positionnement par rapport à la religion coranique. Ceux qui étaient de fervents musulmans se sont rapprochés de l’intégrisme. Ceux qui étaient simples pratiquants sont devenus de fervents musulmans, et certains, qui n’étaient pas musulmans, le sont devenus. Lorsque l’on salue un musulman, la classique poignée de main occidentale a été remplacée par un mouvement de l’avant-bras vers le cœur, révérence enseignée dans les écoles coraniques.

Même si, en apparence, l’ensemble de la communauté musulmane en Europe se comporte de façon civique et pacifique, on ne doit pas oublier que, dans toute entreprise déstabilisatrice, le pourcentage d’activistes requis est faible. 10% suffiraient pour imposer leur credo à une majorité silencieuse.

Il faut bien convenir qu’il s’agit là d’un bouleversement imprévu de nos sociétés, et que les réactions sont largement, voire majoritairement hostiles à cette mutation. Ceux qui observent ces changements comme une usurpation d’influence, se rassurent en général en tablant sur le fait qu’à partir d’un certain seuil d’islamisation de la société, la nation saura dresser à temps les barrières salutaires qui bloqueront le processus. C’est sans compter avec le fait qu’au fur et à mesure que cette islamisation s’étendra, la proportion d’individus auxquels elle posera problème diminuera. Autrement dit, cette extension se nourrira d’elle-même et le risque de voir le drapeau de l’Islam flotter, un jour, sur cette vieille Europe étourdie, est possible, si ce n’est probable, d’autant que la lenteur relative de ce bouleversement pourra le rendre insensible aux observateurs peu vigilants. La possibilité d’une inversion du processus apparaît d’autant plus hypothétique que l’on sait de quelles intolérances sont capables les nations musulmanes envers les autres croyances et les autres philosophies.

Aujourd’hui, mettre en garde contre ce risque est particulièrement malaisé. Comment, en effet, pouvoir exprimer ces craintes sans être taxé de raciste, d’agent sioniste, ou de suppôt des Yankees impérialistes. Les terroristes intellectuels font bonne garde et bénéficient de la complicité involontaire de médias, inconscients de ces données du problème, si bien que cette bombe lente ne sera jamais découverte ni désamorcée, bien que tout près de nous, juste à nos pieds.

Il n’est peut-être pas trop tard pour que nos dirigeants réagissent. Certains veulent promouvoir un Islam de France plutôt qu’un Islam en France. C’est peut-être un premier pas.


Jean-Pierre Chemla

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 09 novembre 2002 - 08h25:

MON KIF???

C'est de cliquer sur la Rubrique Accueil et lire dans le menu ALBERT LE BEAU tel qu'il est avec photo..
PAR Albert Siméoni, un personnage si bien décrit que je doute que d'autres puissent le faire comme lui, tellement ils sont constipès.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le samedi 09 novembre 2002 - 00h24:

* Message important de Yves Kamani :

M. Goasguen a entrepris une démarche courageuse au sein de l'Assemblée Nationale de proposition de résolution visant à la création d'une commission d'enquête sur l'utilisation des crédits accordés par la France, au titre de la coopération internationale et européenne, à l'autorité palestinienne.
Seulement, cela n'aboutira pas s'il n'y a pas un nombre suffisant de ses collègues qui s'engagent à ses côtés pour demander cette COMMISSION D'ENQUETE. VOUS POUVEZ l'AIDER EN ECRIVANT A VOTRE DEPUTE ET EN FAISANT ECRIRE VOTRE ENTOURAGE!!!!
A VOS PLUMES!!!
Yves Kamami. Président de l'UMDPJF
PS: Toutes les adresses et emails des députés sont disponibles sur internet à l'adresse http://www.assemblee-nationale.fr/12/tribun/fiches_cir/ Au besoin, n'hésitez pas à prendre rendez-vous à sa permanence parlementaire pour lui remettre votre lettre.
ci-joint la lettre de M. Goasguen, la liste des députés ayant déjà signé, et surtout, une lettre-type dont vous pourrez vous inspirer.


LETTRE DE M. GOASGUEN
Cher Monsieur,
Le 2 octobre demier j'ai déposé sur le bureau de la Présidence de l'Assemblée nationale une proposition de résolution visant à la création d'une commission d'enquête sur l'utilisation des crédits accordés par la France, au titre de la coopération internationale et européenne, à l'autorité palestinienne.
Cette proposition de résolution a déjà reçu le soutien de 59 députés, qui l'ont cosignée à mes côtés. Vous trouverez ci-joint le texte de cette proposition ainsi que la liste des signataires.
Je vous remercie de l'intérêt que vous portez à notre action et vous prie d'agréer mes salutations distinguées.
Claude GOASGUEN Député de Paris Vice-président du groupe UMP

PROPOSITION DE RESOLUTION
Tendant à la création d'une commission d'enquête sur l'utilisation des crédits accordés par la France au titre de la coopération internationale et européenne à l'autorité palestinienne.
Présentée parM. Claude GOASGUEN, Député.
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs,
La France accorde des crédits à l'autorité palestinienne au titre de la coopération internationale: compte
tenu des enjeux actuels il est primordial de parvenir à un contrôle d'utilisation de ces différentes aides. Nous ne sommes à ce jour pas en mesure de connaître avec précision la nature, le montant et l'utilisation des crédits alloués à l'autorité palestinienne, dans le cadre des fmances françaises comme dans le cadre européen. Les Etats membres de l'Union européenne jugent qu'il est dans l'intérêt de tous et de la paix de consentir à l'administration palestinienne les moyens d'assurer en général au minimum le fonctionnement des services publics de base à la population. Mais certains faits montrent que l'utilisation de certains crédits n'est précisément pas compatible avec le maintien de la paix au Proche-Orient (programmes religieux appelant à la haine sur la principale chaîne palestinienne, manuels scolaires diffusant des slogans extrémistes, non aboutissement de programmes immobiliers ou humanitaires, etc.) Il apparaît donc grave sur le plan des principes et des conséquences que le....
C'est pourquoi il vous est proposé, Mesdames, Messieurs, d'adopter la présente proposition de résolution.

PROPOSITION DE RÉSOLUTION
Article unique
En application des articles 140 et suivants du Règlement, est créée une commission d'enquête parlementaire de trente membres chargée d'enquêter sur l'utilisation effective des crédits accordés par la France à l'autorité palestinienne au titre de la coopération internationale et européenne.


Liste des cosiqnataires de la proposition de résolution de Claude GOASGUEN
ALMONT Alfred - Martinique
AUCLAIR Jean - Creuse
BEAULIEU Jean Claude - Charente Maritime BENISTI Jacques Alain - Val de Marne BERNARD Jean Louis - Loiret
BERNIER Marc - Mayenne
BLUM Roland - Bouches Rhône
BROCHAND Bernard - Alpes Maritimes
CAZENAVE Richard - Isère
CHASSAIN Roland - Bouches Rhône
COLOMBIER Georges - Isère
COUVE Jean Michel - Var
COVA Charles - Seine et Marne
DASSAULT Olivier - Oise
D'AUBERT François - Mayenne
DIEFENBACHER Michel - Lot et Garonne
DOOR Jean-Pierre - Loiret
DUBOURG Philippe - Gironde
DUBRAC Gérard - Gers
FAGNIEZ Pierre Louis - Val de Marne
GARD Daniel - Aisne
GIRO Maurice - Vaucluse
GUEDON Louis - Vendée
GUICHON Lucien - Ain
HERIAUD Pierre - Loire Atlantique
HOUILLON Philippe - Ile et Vilaine
JACQUES Edouard - Meurthe et Moselle
JOISSAlNS MASINI Maryse - Bouches Rhône
LABAUNE Patrick - Drôme
LACHAUD Yvan - Gard
LAMY Robert - Bouches Rhône
LE RIDANT Jean-Pierre - Loire Atlantique
LEVY Geneviève - Var
MALLIE Richard - Bouches Rhône
MARIANI Thierry - Vaucluse
MARITON Hervé - Drôme
MARLAND MlLITELLO Muriel - Alpes Maritimes
MARSAUDON Jean - Essonne
MARTINEZ Henriette - Hautes Alpes
MARTY Alain - Moselle
MASDEU ARUS Jacques - Yvelines
MEYER Gilbert - Haut-Rhin
MIGNON Jean Claude - Seine et Marne
NESME Jean Marc - Saône et Loire
NICOLAS Jean Pierre - Eure
PEMEZEC Philippe - Hauts de Seine
PONS Josette - Var
PREVOST Daniel - Ile et Vilaine
PRIOU Cristophe - Loire Atlantique
REMILLER Jacques - Isère
RIVIERE Jérôme - Alpes Maritimes
SALLES Rudy - Alpes Maritimes
VACHET Léon - Bouches Rhône
VANNESTE Christian - Nord
VANNSON François - Vosges
VERNAUDON Béatrice - Polynésie française
VIALATTE Jean Sébastien - Var
VOISIN Michel - Ain


LETTRE-TYPE ARGUMENTAIRE
Monsieur le Député,

Nous venons d’apprendre l’existence d’une proposition de résolution de Monsieur Claude Goasguen, député de Paris et vice-président du groupe UMP, proposition qu’il a transmise à la Présidence de l’Assemblée Nationale.

Dans cette proposition de résolution, M. Goasguen demande une commission d‘enquête sur l’utilisation des crédits alloués par la France à l’autorité palestinienne, ce que nous ne pouvons qu’appuyer vigoureusement. En effet, il est légitime que les allocations de fonds destinés à des institutions étrangères soient être parfaitement transparentes et claires vis-à-vis du contribuable français.

Cela permettra notamment de crédibiliser la politique française d’aide et de coopération avec certains pays du tiers-monde, vis-à-vis des adversaires de cette politique généreuse de coopération au sein de notre pays.

Pour une meilleure démocratisation de la société palestinienne, il est essentiel que l’on sache qu’il n’existe pas de corruption, ni de détournement de ces fonds à des fins privées. Il faut surtout que cet argent soit attribué aux réels problèmes, notamment de malnutrition, qui gangrènent la société palestinienne, et non à des programmes éducatifs propageant la haine de l’Autre, juif ou chrétien.

En effet, ce n’est qu’après avoir changé le contenu des manuels scolaires, français et allemands, en 1951, que l’Europe a pu ensuite se construire (traité de Rome du 25 mars 1957) sur de bonnes bases de respect et de tolérance de l’Autre. De même, la paix ne pourra se construire au Proche-Orient, si nous, Français , n’incitons pas les Palestiniens et Israéliens à suivre notre exemple.

Cette proposition de commission d’enquête devrait permettre d’aider à une meilleure répartition et à un meilleur contrôle de l’utilisation réelle de ces subventions. Elle a déjà été cosignée par 60 parlementaires : nous n'avons pas encore lu votre nom parmi les signataires .

Vous sachant attaché à défendre les intérêts de vos électeurs (notamment les deniers public provenant de nos impôts), il serait judicieux que vous partagiez le souci de M. Goasguen et signiez, à votre tour, sa proposition de résolution.

En vous remerciant vivement et par avance pour votre engagement, que vous ne manquerez pas de faire connaître, veuillez croire, Monsieur le Député, à notre haute considération.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le samedi 09 novembre 2002 - 00h21:

Amour maternel?

Y-a-t-il une personne charitable qui peut m'expliquer pourquoi une mère abandonne son fils car il appartient à une autre religion?
Y-a-t-il une personne charitable qui peut me conseiller, me consoller ou me guider afin que je pardonne...

mimaud.minou@caramail.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le dimanche 10 novembre 2002 - 03h43:

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