Commentaires du 13-14 Octobre 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2002: Commentaires d'Octobre 2002: Commentaires du 13-14 Octobre 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mardi 15 octobre 2002 - 07h29:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bingo (Bingo) le dimanche 13 octobre 2002 - 18h55:

Monsieur TANUGGI,
Depuis quand BEN CHEMOUL LE CATCHEUR, dit "L'ANGE BLANC" est il Tune?
Je le connais personnellement, cette ilustre personne est Algerienne et non pas Tune, c'est aussi une personne tres celebre.
Mais, je pense que sans aucun doute Monsieur BEN-CHEMOUL dit L"ANGE BLANC, devrait figurer sur le site Harissa dedie aux juifs d'Algerie.
Bingo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 13 octobre 2002 - 08h39:

Zarghrèt yè yèmtèh….Zarghrèt yè Khèllè…
Koumou yè Aâl'tè hadrou èl Aroussa
Lèbchouè bèl jèw ou bèl sââd
Houè èl youm farhèta…
AhhhhhhhAAAAAAhhhh..§§§§§….Yè Lilliiiiiiii…
Khèrjjè mèl darra mèlboussè bèl obiod
Oun challè sââdèh i koun kif késsouètta…

AhhhhAAAAhhhh…§§§§….Yè lilIIIIiiiiiLLIIII..§§
Guènioullè mèl sbah hattè lââchiè
Ou erkzou èl lillè ââlla kdèmkôm…..§§§§§§§§

AhhhhhHHHHHaaaa§§§§§

Elf mabrouk yè tèfla ta èl kawèt èl deglè…

( Youtoute toi ta tante….Youyoute toi son oncle..
Levez-vous chère famille et préparez la mariée..
Habillez-la d'ambiance et de chance
C'est son jour de fête..
Elle sort de chez elle vêtue de blanc
Et je lui souhaite que sa chance soit aussi de cette couleur..
Chantez-lui du matin au soir..
Et dansez sur vos talons ce soir….)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 13 octobre 2002 - 06h58:

L'AMOUR

Salut à toutes les personnes qui liront mon message.
Je tenais à dire que l'apparence n'est que la carapace de notre âme. Ce message concerne les garçcons ainsi que les filles. Beaucoup de personnes se basent sur le physique et cela est vraiment nul. Quand un beau GARCON(ou une fille) RENCONTRE UNE FILLE DANS UNE FETE OU AUTRE et qu'il dit que cette fille est horrible car elle est mal foutue ou autre et BIEN CEST LA OU LE GARCON COMMENCE A DISCUTER AVEC CETTE FILLE ET COMMENCE A DECOUVRIR SA BEAUTE INTERIEUR QU'ELLE DETIENT . ENSUITE CEST LA QU'IL S'APERCOIT QUE CETTE FILLE EST UNE BOMBE ATOMIQUE.
VOILA ALORS LES GARCONS OU LES FILLES ARRETEZ DE VOUS BASER SUR LAPPARENCE OU SUR LE CUL ET ESSAYEZ DE REGARDER CE QUI SE CACHE OU FOND DE CETTE PERSONNE ET LA VOUS AUREZ TOUT A Y GAGNER

BISES

AUDREY

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 13 octobre 2002 - 06h25:

Liberté


Dans une rue lointaine
Déserte, noire et sans nom
J’ai déchargé ma peine
Au bras de l’abandon
Et j’ai saisi au vol
Le courage et l’oubli
Laissant cloués au sol
Des regrets qui supplient
***
Et mon désir pour toi
M’a fait pousser des ailes
Et survolant les toits
Tout comme une hirondelle
Je sillonne les cieux
Depuis des années
Et rien que pour tes yeux
Je me sens destinée
***
Et depuis je plane
Décollant de ce monde
Et de ma plume émanent
Des pensées vagabondes
Grâce à elles je domine
Un univers perfide
L’altitude me fascine
Et le vertige du vide
***
Et je me cramponne
A ce grand parachute
De mes vers qui résonnent
Pour amortir ma chute
Car je viens de découvrir
Que tu es bien terrestre
Que tu peux même surgir
De ceux que l’on séquestre
Que tu peux laisser ta trace
Derrière certains barreaux
Que dans les plus beaux palaces
Tu pourrais faire défaut
***
Oui je viens de comprendre
Que tu es accessible
Et je veux redescendre
Pour faire de toi ma cible
Je sais que te reprendre
Ne m’est plus impossible
Liberté chérie
Pour toi j’ai atterri
***
Accueille-moi dans ton temple
Bénis moi et accepte
Que je suive l’exemple
De tes nobles adeptes
J’ai hâte de combattre
Les sales masques de plâtre
Et je serai rebelle
À ceux qui te rabaissent
Liberté ma belle
Je sauverai ta noblesse . / .


Raja CHEBBI

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 13 octobre 2002 - 06h19:

DAVID CHARVET

Voila le clip de David charvet je sais qu'on voit mal mais l'interet est d'entendre la chanson

Gros bisous Maya

Kakoun vous envoie un clip de TV5 Musique :
http://www.tv5.org/musique/redirect.php?player=%2Fmusique%2Fplayers%2Fcharvet.php

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 13 octobre 2002 - 05h50:

TUNES CELEBRES

Dans votre liste des "vedettes" puorquoi avoir mentionne young perez et non robert cohen, halimi, et felix brami.

les trois ont ete champions de boxe.

et ben chemoul le catcheur champion d'europe

Andre Tanuggi

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 13 octobre 2002 - 05h02:

Le Monde, ça n’est plus de l’information ! (info # 011110/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency



Chacun est libre de penser ce qu’il veut de l’intervention de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, dans la nuit du 6 au 7 octobre 2002, qui a fait 15 morts et plus de 100 blessés, et notamment que ce n’est assurément pas l’amorce d’un projet politique. Mais, après tout, les forces en présence savent à quoi s’en tenir. Tant que l’Autorité Palestinienne n’appelle pas à la fin de l’Intifada et des attentats – suicides, il n’y a aucun argument militaire sérieux à opposer à l’Etat d’Israël, si la sécurité de ses citoyens est menacée.



Ce qu’en revanche, on peut tenter d’expliquer, c’est pourquoi le gouvernement israélien a pris la décision – contestable pour beaucoup, mais n’oublions pas que, au même moment, des implantations « sauvages » sont démantelées - de cette intervention.



Encore faudrait-il éclairer l’opinion sur lesdites forces en présence !



Eh bien, peuple de France, si tu comptes sur ton quotidien préféré, autant te dire que tu n’es pas sorti de l’auberge.



C’est ainsi que Gilles Paris, toujours lui – peut-être que, vu de Metula, ce journaliste qui porte le nom de la capitale de la France, la représente inconsciemment, et que, ça, La Ména ne peut pas l’accepter en raison de l’autre idée qu’elle a de la France et de la Ville des Lumières - nous assène un galimatias invraisemblable, au moment de nous expliquer ce qu’il appelle le “ raid meurtrier de Tsahal ” (in Le Monde daté du 9 octobre).



Fidèle à la méthode du Monde qui, de manière perverse, met en titre une information que le rédacteur décrit autrement dans le contenu de l’article, Paris commence par nommer l’armée israélienne de son nom hébraïque (ce qui a le don d’en irriter plus d’un), pour l’appeler, par la suite “ l’armée israélienne ”.



Mais, il explique surtout que, dans la bande de Gaza, il y a des Palestiniens, des civils, des activistes palestiniens, des activistes présumés du Mouvement de la Résistance islamique (Hamas), des enfants palestiniens, des services de sécurité de l’Autorité Palestinienne, des activistes du Hamas, des responsables de la police anti-émeute, des activistes et des islamistes….



Ce qui veut dire que des “ terroristes ”, comme dit désormais Olivier Mazerolle, Directeur de l’Information de France 2, il n’en existe que dans la bouche du premier ministre israélien. D’ailleurs, ce ne seraient que des activistes palestiniens qui “ s’attaquent aux militaires et aux colons présents dans la bande de Gaza en tirant notamment des obus de mortiers artisanaux qui n’ont fait jusqu’à présent que très peu de dégâts ”.



Ce qui veut dire aussi que, lorsque le Hamas est la cible d’Israël, les combattants visés sont des “ activistes présumés ”, mais lorsqu’il devient celle de l’Autorité Palestinienne, ce sont des “ activistes ”. De même, lorsque le Hamas est la cible d’Israël, il est le “ Mouvement de la Résistance islamique ”, mais, lorsqu’il devient celle de l’Autorité Palestinienne, il est composé d’“ islamistes ” (en référence au soutien à Oussama Ben Laden).



Mais, l’auteur de ce brillant article va plus loin. Il use d’un langage de militant, lorsqu’il parle de “ bavures de l’armée israélienne ”, au lieu de “ bavures de quelques soldats israéliens ”, puis, lorsqu’il réduit les enquêtes sur ces “ bavures ” à des procédures destinées à “ blanchir les militaires responsables de la mort de civils ”.



Et, au moment d’en finir avec le dénigrement de l’armée israélienne, il nous livre le but de son article : démontrer que les “ règles d’engagement de l’armée israélienne ” qui incluent le fait de tuer des enfants palestiniens sont imperméables aux interrogations soulevées à propos de ces “ bavures ”.



Là encore, la méthode est perverse. D’un côté, l’on parle de “ bavures ”, de l’autre, de “ règles d’engagement ”. Comme ça, tous ceux qui, depuis le début de la seconde Intifada, proclament urbi et orbi que ce qui a changé dans l’armée israélienne, c’est que l’Etat lui a désormais donné le droit de tuer des enfants, sont servis.



Une fois de plus, Paris attise la haine anti-israélienne des Palestiniens et de tous ceux (Arabes, Juifs, Chrétiens…) qui sont profondément choqués et trouvent inacceptable que des enfants palestiniens tombent sous les balles de militaires israéliens, comme si des enfants Israéliens ne tombaient pas sous celles de terroristes Palestiniens, comme si le fait que les enfants israéliens qui étaient tués ne l’étaient pas en tant que Juifs, mais en tant que “ colons ”, et comme si le fait que les chefs de l’Autorité Palestinienne et du Hamas organisent leur combat au milieu des familles palestiniennes démontrait la nature auto-émancipatrice, nationale et populaire de la cause qu’ils défendent.



Ce n’est, fort heureusement, pas l’avis de tous les Palestiniens, notamment de ceux dont Paris se garde bien de parler, et qui commencent à comprendre que, face à la détermination sans faille du gouvernement israélien et de son armée, l’autodétermination du peuple palestinien doit prendre le chemin de protéger ses enfants avant tout.



Le Monde aurait ainsi pu saluer la courageuse initiative de Sari Nusseibeh, responsable de l'OLP à Jérusalem, qui vient de faire une déclaration commune avec Ami Ayalon, ancien chef du Shin Beth.



Que nenni !



En fait, il persévère, puisque ce ne sont pas ces Palestiniens qu’il met en scène dans son édition du 10 octobre, mais bien ceux qu’il refuse d’appeler des « terroristes ».



Sous la plume de Rémy Ourdan, on lit, en effet, au lendemain de l’affrontement entre l’Autorité Palestinienne et le Hamas, un article « A Gaza, les combattants se préparent à un assaut de l’armée israélienne », dans lequel le journaliste fait un reportage sur les « combattants » des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa issues du Fatah, des Brigades Ezzedine Al-Qassem, la branche armée du Hamas, du Djihad islamique et du FPLP.



De ces interviews, le lecteur retiendra que tous sont résistants, qu’ils ne s’intéressent plus aux contorsions de leurs chefs, qu’ils combattent, comme des frères, la corruption des chefs de l’Autorité Palestinienne, que l’un d’entre eux a eu sa maison détruite et qu’il a échappé de justesse à l’arrestation etc. En revanche, il n’apprendra rien sur la Charte du Hamas, par exemple, qui revendique explicitement l’héritage du Protocole des Sages de Sion.



Et dans son édition du 11 octobre, « avec l’AFP » il attribue l’attentat – suicide qui a eu lieu le 10 à Tel-Aviv à « un Palestinien, qui portait une ceinture d’explosifs ». Là encore, il laisse au Chef adjoint de la police israélienne la responsabilité du qualificatif de « terroriste ».



Aussi, le lecteur doit-il surtout comprendre que Le Monde a délibérément décidé de renoncer à l’information objective et de s’engager dans la voie militante.



En effet, à l’approche de la manifestation organisée par les pro-palestiniens de la CAPJPO, le 12 octobre à Paris, Le Monde dénie la réalité terroriste de ceux qui commettent des attentats (suicides ou autres) à partir des Territoires palestiniens.



De la même manière, ce journal fait silence sur l’appel à un Djihad total que Arafat vient de facto de lancer contre Israël, du fond de sa Mukata sinistrée, en promulguant une loi qui ferait de Jérusalem la capitale du futur Etat palestinien, au moment même, d’ailleurs, et ce n’est pas fortuit, où le Congrès des Etats-unis se déclare favorable au déplacement de son ambassade dans cette même ville.



La reprise des attentats – suicides, à Tel-Aviv vient pourtant confirmer, s’il en était besoin, que tant qu’il y aura dans le monde des occidentaux qui ont pignon sur rue, pour croire en la vertu intrinsèque des attentats – suicides, ceux-ci ne s’arrêteront pas.



Nous ne le redirons jamais assez. Le Monde prend une lourde, une très lourde responsabilité journalistique en refusant de faire l’autocritique de l’analyse qu’il défend depuis deux ans, et surtout en s’engageant aux côtés de ceux qui, au Proche-Orient, comme en France, « comprennent » la guerre totale déclenchée par les organisations palestiniennes dominantes.



Le visage de la rédaction de ce quotidien est désormais comme celui de Janus : il peut à la fois se donner des airs pacifistes comme à propos de l’Irak et tenir le langage mystificateur des va-t-en-guerre contre Israël.



C’est d’ailleurs le double visage de la manifestation dont je parlais plus haut et qui a pour slogan : « La Guerre contre l’Irak a commencé en Palestine ».



Jusqu’à quand le Conseil de Surveillance du Monde – et son sémillant Alain Minc qui dénonça, il y a peu, « le terrorisme de l’esprit », va-t-il tolérer cette machiavélique instrumentation du principal quotidien de France ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Fellous_Roland (Fellous_Roland) le samedi 12 octobre 2002 - 22h49:

Pour la famille Tahar Miller, une panne de mon ordinateur m'a privé de lire les commentaires de chaque jour. Je n'apprends qu'aujoud'hui l'heureux évènement chez Isabelle et Justin Miller. Je n'écris pas sur Harissa car je travailles sur un projet qui me tiens à coeur, je vous tiendrai au courant ici meme, en temps voulu. Mais la n'est pas notre sujet ,aujourd'hui nous voulons féliciter toute la famille Miller, parents, la soeur Naomi, la grand mère Danielle, les grands parents oncles et tantes. Nous souhaitons au nouveau née beaucoup de bonheur, santé, prospérité, longévité, paix et bénédiction. La naissance de la petite Eva Ruth, eut lieu un jeudi, jour cher aux Tunisiens Nar el khmiss, le cinquième jour de la semaine. Le 27 Tichri est née la petite Eva Ruth. C'est la semaine ou nous relisons à la synagogue le début de la Torah, la Genese. Je pense que le prénom de Eva en hébreu Hava est évident en rapport avec la péricope de la semaine. Mais ou va-t-on trouver Ruth dans ce premier chapitre de la Genese? Pour cela nous allons faire un peu d'éxégèse biblique. Expliquons en deux lignes en quoi consiste cette méthode, les rabbins ont l'habitude aussi de commenter la Torah par la Guématria, c'est à dire trouver un rapport entre deux mots par la somme des lettres ,Aleph = 1 Beth = 2 et ainsi de suite,un exemple connu, le vin a la valeur numérique de 70 de meme que le secret 70 en hébreu yayine et sode c'est à dire si nous buvons beaucoup de vin nous ne pouvons garder un secret. une autre ,méthode c'est le Raché et Sofé Tevot c'est à dire former un mot par les initiales ou finales d'une phrase. Vous allez voir c'est intéressant .la guématria de Ruth est 606, dans la Genese 1-3 nous lisons dans ce verset :D... dit que la lumière soit, si nous calculons la somme de cette petite phrase en hébreu Vayomer Elohim yehi or nous trouvons 606. Reprenons le commentaire D...dit que la lumière soit c'est Ruth qui vient de naitre, puisque la valeur numérique est la meme 606. Commentaire par les initiales le verset approprié se trouve dans le Cantique des Cantiques 8 - 3 Rochhi veyimino tehabekeni les trois premières lettres forment le mot Ruth en hébreu, traduction " ma tete et sa droite me tient enlacee ". Commentaire, la photo de la mère ou du père avec la fille Ruth. Troisième exemple les finales et retounons à la Genese 24 - 24 vatomer elav bat les trois finales de ces mots forment Ruth, traduction " elle lui a dit voici la fille " commentaire, Isabelle qui dit à son mari voici notre fille Ruth. Je ne puis ne pas parler du livre de Ruth, une de ses plus belle phrases. En effet Ruth dit à sa belle mère >. Commentaire : la petite Eva Ruth qui dit à sa mère Isabelle , ton peuple, ton combat pour notre peuple et sa Terre sera aussi le mien .Ton D..., Je tacherai d'etre fidèle à notre D...et sa Loi . Et encore un grand Mazal Tov . Roland Fellous.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 12 octobre 2002 - 02h51:

----- Message d'origine -----
De : Jean-Pierre CHEMLA
À : France 2 Médiateur
Envoyé : samedi 12 octobre 2002 02:58
Objet : La nausée


La nausée



Un grand hebdomadaire consacre cette semaine ses colonnes au désarroi des juifs de France, avec cette question, comme un leitmotiv en filigrane : dans quel ordre ceux ci se situent-ils ? D’abord juifs ou avant tout français ?
J’imagine que la réponse ne peut être fournie d’un bloc tant les sensibilités et les opinions divergent dans cette communauté.
Il y a cependant une réflexion qu’on peut énoncer pratiquement sans risque : si l’on voulait encourager les juifs à quitter la terre des Droits de l’Homme, on ne s’y prendrait pas autrement.
Je sors à l’instant de l’émission diffusée en ce 11 octobre 2002 sur France 2 et consacrée à Gaza.
Pompeusement affublée du titre de « contre-courant », cette diffusion rejoint, au contraire, le flot des jugements habituels et banals sur le conflit israélo-palestinien où seul un point de vue est privilégié, où seul un protagoniste souffre quand l’autre l’opprime, où seule une revendication semble juste, où seuls certains sont mutilés, où seul un camp est habité d’un idéal légitime.
Bien entendu, comme d’habitude, l’alibi du reportage réalisé par un israélien pacifiste est utilisé, permettant aux médias désinformateurs de s’exonérer de toute responsabilité quant à la distorsion de la vérité qui pourrait en résulter. Il est remarquable, à ce propos, de constater le nombre impressionnant d’intellectuels et journalistes israéliens stigmatisant non seulement la politique de leur gouvernement, mais également les principes mêmes de l’existence d’Israël ,que nos organes de presse écrite ou audiovisuelle arrivent à dénicher, à tel point que l’on peut s’interroger, s’ils sont si représentatifs de l’opinion de leurs concitoyens, sur les raisons pour lesquelles Israël n’a pas encore cédé aux exigences de dirigeants palestiniens toujours plus avides.
En fait, à en croire ce reportage, qu’y voit-on ? Qu’Israël est partagé entre un courant d’ultra droite revendiquant un territoire incluant le Liban, la Jordanie et plus encore, d’une part, et une mouvance ultra pacifiste prête à toutes les concessions et tous les abandons, d’autre part. Or, les sondages parus en Israël montrent bien que ces deux tendances sont tout à fait minoritaires. On est alors en droit de s’interroger sur les buts recherchés lorsque l’on instille de façon lancinante et répétitive de telles contre-vérités.
Le juif de France, après une telle émission, fait en général la part des choses et n’a aucune difficulté à remettre le propos à l’endroit. Son grand problème devient tout autre. Il devient celui du regard de son voisin, de son collègue de travail, qui, s’ils ont suivi le reportage d’un œil et d’une oreille distraites ne peuvent en avoir retenu que la vision superficielle d’un Israël nazifié (et ceux qui ont vu l’émission ne pourront pas me contredire) pour lequel il devient incompréhensible qu’une communauté de gens raisonnables puisse se sentir solidaire. Les explications historiques et la Hasbarah ne peuvent plus rien face au poids des mots et au choc des photos.
Bien entendu, tout cela survient après la vague d’antisémitisme qui continue toujours, d’ailleurs, et pour laquelle nos politiques de gauche ou de droite, n’ont eu que des réponses indigentes, après les « morts aux juifs » scandés impunément lors de manifestations pro-palestiniennes, après les Védrine, les Bachelot, les Ternisien, les Morin-Naïr-Sallenave, les Zemor, les Lipietz, les Schwartzenberg-Brauman-Halimi, après l’agaçant « Il n’y a pas d’antisémitisme en France » de Jacques Chirac.
Et c’est ainsi que commence le sentiment de se sentir étranger dans son propre pays, que l’on tombe dans le piège du repli communautaire, piège tendu par ceux là mêmes qui nous reprochent de s’y perdre, et que déambulant à travers nos villes et nos campagnes, le paysage nous paraît tous les jours un peu moins familier, avec, au creux de l’estomac, une nouvelle sensation : la nausée.

Jean-Pierre Chemla

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 11 octobre 2002 - 20h51:

Sacha Gironde a été lourdement tabassé, le 2 octobre. Récit d'un acte antisémite, à Paris XIIIème...


Le 2 octobre, vers 18h.30, rue Croulebarbe, dans le XIIIème arrondissement de Paris, ma femme Yaël, ma fille de trois mois, mes beaux parents et moi-même avons été victimes d'une violente agression antisémite. Bien que pratiquants, nous ne sommes pas des orthodoxes, nous ne portons aucun signe distinctif, si bien que le mystère reste entier sur le fait que nous ayons été identifiés comme juifs.
Puis elle continue à crier en français, s'adressant aussi à ma femme, à moi, au bébé, « sales juifs, on va vous tuer ».

Rue Croulebarbe donc, ce 2 octobre, alors que nous longeons paisiblement le joli square René Legall, nous croisons des jeunes regroupés autour d'une cabine téléphonique. Ma femme, le bébé et moi précédons mes beaux-parents de quelques mètres. Dans la cabine même, une Maghrébine mène une conversation au téléphone et parle portes ouvertes afin que ses copains, un Européen et des Maghrébins, y participent. Ils ont tous entre quinze et dix huit ans environ. Juste après que nous soyons passés, la fille sort de la cabine et lance à mes beaux-parents, en arabe :« Yihud ! » - ce qui veut dire « juif ! ». Puis elle continue à crier en français, s'adressant aussi à ma femme, à moi, au bébé, « sales juifs, on va vous tuer ». Elle le répète très fort, elle dit « mort aux juifs », elle le dit d'une façon lancinante, sûre d'elle, elle articule très bien. Elle prend son temps pour répéter ses injures. Elle est sûre d'elle.

"Sur le coran, on va te niquer"

Arrivé à ce point du récit, je dois un instant l'interrompre pour raconter ce qui m'est arrivé quelques jours auparavant. Cet événement n'a pas de lien direct avec cette affaire, mais il l'y mènera fortuitement. Ainsi, le 17 septembre dernier, je me promenais dans le square René Le Gall - j'y vais souvent puisque j'habite le quartier - et là j'ai vu une bande de jeunes en train de saccager la roseraie. Ils arrachaient les fleurs. Passant près d'eux, je leur ai dit que ça me faisait chier qu'ils détruisent les roses. Ils m'ont répondu en m'insultant et en me balançant « sur le coran, on va te niquer ». L'affaire, en un premier temps, se termine là. Sauf que trois jours plus tard, j'ai de nouveau croisé dans la rue l'un des jeunes qui démolissaient la roseraie – c'était l'Européen de la bande. Me reconnaissant, il me lance : « Fils de pute ». J'étais avec ma femme et le bébé. Comme j'exigeais qu'il fasse des excuses, il a appelé sur son portable, cela se passe en quelques secondes, tous ses copains à la rescousse : « Venez tous au Picard ». Le magasin Picard devant lequel nous nous trouvions est situé à l'angle de la rue Pascal et du Boulevard Arago. Ma femme s'est éloignée avec le bébé. Moi, je suis resté là, car je voulais des explications. Alors que je le saisissais par le col, mais sans violence, il m'a lancé : « si tu me touches, les condés vont venir et tu auras un problème pour agression sur mineur ». Il ne croyait pas si bien dire. Au moment même, un garçon de café est sorti du bistrot qui se trouve juste à côté et m'a empoigné en m'engueulant : « On n'agresse pas un mineur ! » Le mineur, lui, en a profité pour me frapper.

Cet épisode a laissé le temps aux gars de sa bande d'arriver. Ils venaient probablement du square où ils semblent avoir établi leur quartier général. Ma femme et moi, du coup, nous nous sommes réfugiés chez Picard. Certains jeunes sont restés dehors contre la vitrine du magasin, d'autres ont fait de brèves incursions à l'intérieur et ont crié « on va te niquer ! ». Le caissier a appelé la police. Les gens étaient paniqués, personne ne bougeait. L'un des agresseurs est allé jusqu'à mettre la main sur le berceau. J'ai hurlé. Il est parti. La police est arrivée pendant que les gars s'enfuyaient. Elle a malgré tout réussi à en interpeller un - celui précisément qui m'avait reconnu dans la rue et qui venait de nous insulter. Il a été embarqué dans la voiture des flics, moi dans une autre pour que je fasse ma déposition.

Au commissariat, le père du garçon est venu le chercher. Je l'ai rencontré. Il est ingénieur de recherche au CNRS et sa femme est prof de lettres en fac.Il avait l'air désespéré de l'état de son fils, ne plus savoir quoi en faire. Et il m'a raconté que son fils, 15 ans, ne va plus au lycée, qu'il prend des médicaments pour apaiser des problèmes psychologiques. Je cru ce père, je me suis dit que j'avais eu affaire à un petit barbare local. Le barbare s'appelle M. J'ai simplement fait une main courante. Il est mineur. Finalement, tout ça m'a fait renoncer à porter plainte.

Je n'imaginais pas revoir un jour ce gars-là. Mais il faisait partie de la bande qui, le 2 octobre, se trouvait autour de la cabine téléphonique. Juste avant que n'éclatent les injures, tous sont donc très occupés par la conversation de la fille qui téléphone, quand je remarque, parmi eux, un gars qui part en courant. Je dis à ma femme : « Je le reconnais, c'est ce M., il ne nous voit pas ». Je suis certain qu'il ne nous a pas vus avant de déguerpir. C'est important de le préciser pour que ne s'installe pas la moindre confusion entre toutes ces affaires, même si elles ont des acteurs communs et si j'en suis la victime à répétition. Une confusion regrettable qui pourrait laisser s'installer dans l'esprit de certains l'idée qu'après tout cette histoire d'antisémtisme n'en est pas une et qu'il ne s'agit, avant tout, que d'une banale agression de petits voyous. Dans ce groupe également, un Maghrébin, que j'avais déjà vu, lui aussi, à la roseraie et chez Picard. Il ne me voit pas non plus.

« Sales juifs », « mort aux juifs ». On en revient aux insultes antisémites. En un premier temps, je reste stupéfait. C'est à moi que ça arrive ! Ma femme s'éloigne avec le bébé. Moi, je reviens sur mes pas pour m'interposer entre la fille et mes beaux-parents qui sont restés en arrière. Je dois rattraper la fille, je fonce vers elle, je crie à mes beaux-parents de prévenir la police, les mecs s'éparpillent, ils ont peur de moi. La fille porte des tennis, je cours, je l'attrape par le bras. Mais elle me fout une baffe. Les gars reviennent vers elle. Et là, le Maghrébin de la roseraie me reconnaît ; il dit à ses copains : « c'est le mec… ». Ensuite, tout ira très vite.

L'un d'eux va ôter sa banane de la taille et s'en servir comme matraque

Les gars vont m'agresser à coups de poing et de pied. L'un d'eux va ôter sa banane de la taille et s'en servir comme matraque. À l'intérieur, dissimulé, un objet lourd et compact. Il me frappe à la tête, et me frappe encore… Il n'y a plus que des Maghrébins autour de moi, dont celui de la roseraie qui répète mécaniquement, comme la première fois, « sur le coran, on va te niquer ». Et la banane frappe, et frappe encore. Je perds connaissance. Quelques secondes seulement, paraît-il. Je me retrouve affaissé contre la grille du square. Le sang gicle, j'ai du sang partout, sur mes vêtements, sur le visage. Mais lorsque je me réveille, ils sont déjà en train de déguerpir.

Seule la fille est toujours là. Elle ramasse ses affaires qui sont tombées, un walkman et un pull, je crois. Je vois le sang, je pense à « sale juif » : je bondis et je la rattrape de nouveau par le bras. Il faut appeler la police, je le redis à mes beaux-parents.

Aux fenêtres des immeubles, il y a beaucoup de monde. Les gens regardent. Les gens ne bougent pas. Personne ne tentera de nous porter secours.
Les gens des fenêtres assistent à un spectacle de rue. Mais voilà qu'un couple de noirs passe. Et l'homme me voit en train de tenir fermement la fille par le bras. Il vient vers moi et me dit : « Qu'est-ce que c'est que ça ? Frapper une fille ! ». Et il libère la fille. Je suis couvert de sang, mais ça ne le gêne pas. Pendant ce temps, mes beaux-parents se sont trompés, ils ont appelé les pompiers. Les pompiers arrivent et me soignent dans le camion. On prend ma tension, on me met des compresses. Le noir est resté, il finit par comprendre l'erreur qu'il vient de commettre, il donne son téléphone. La brigade anticriminalité, (la BAC) arrive. Ses hommes parlent avec ma famille, pas avec moi qui suis dans le camion.

À plusieurs reprises, je dois insister pour que les insultes antisémites dont j'ai été victime figurent bien dans ma plainte

Dans le camion, je n'arrête pas de dire aux pompiers que je veux voir les flics. Les pompiers les appellent enfin. Bientôt, ils sont là à parler à ma femme et à mes beaux-parents. Moi, on m'emmène aux urgences à Cochin. À Cochin, j'explique ce qui m'est arrivé, mais on n'a pas l'air de vouloir me prendre très au sérieux. J'en sors avec quatre jours d'ITT. Entre temps, mes beaux-parents sont allés au commissariat du XIIIème où on leur a dit qu'il fallait attendre.
Au bout d'une heure, n'étant entendus par personne, ils repartent sans pouvoir porter plainte et me rejoignent à l'hôpital. Vers 23h, je quitte Cochin et nous retournons ensemble au commissariat où nous sommes enfin accueillis dans les étages supérieurs. Mes beaux-parents sont dirigés vers un bureau, moi dans un autre. Une policière est venue vers nous avant que nous soyons séparés et nous a dit : « on ne peut pas retenir la plainte pour menace de mort. Une menace de mort participe d'un harcèlement ». Que me reste-t-il ? Plainte pour coups et blessures et antisémitisme ? Le policier qui prend ma déposition accepte seulement que je porte plainte pour « violence en réunion ». C'est ainsi qu'il caractérise les faits. À plusieurs reprises, je dois insister pour que les insultes antisémites figurent bien dans ma plainte. Je le dis et le redis. J'ai beaucoup de mal à me faire entendre. Mais, finalement, j'y arrive.

Le lendemain matin, je file à l'Hôtel Dieu pour faire une nouvelle ITT (interruption totale de travail). Seuls les examens pratiqués dans cet hôpital sont pris en compte par le judiciaire lorsqu'il a, ensuite, à juger de la peine des coupables. J'obtiens finalement sept jours. J'ai un traumatisme cranien, quatre plaies à la tête dont deux sont suturées par cinq points. J'ai de la fièvre, autour de 38°, mais on m'explique que cette fièvre n'est en rien liée à l'agression. J'ai mal partout, à la tête, au dos, je ne sais pas comment me mettre.

Pendant ce temps, et là les choses vont aller vite, c'est le Major Savy qui vient de prendre l'affaire en main. Il raconte à ma femme qui, à son tour, est venue porter plainte, que M. - celui dont j'ai précédemment rencontré le père dans ce même commissariat – a été convoqué et entendu. En gros, répercute le Major Savy, il a dit : « j'ai rien fait, c'est pas moi qui ai cassé la tête au gars ». Ce qui montre bien que ce dénommé M.,qui je le répète s'était enfui avant mon agression, a bien été mis au courant a posteriori, par ses copains, des faits. Il a prétendu ne connaître que leurs prénoms et ne pas savoir où ils habitent. C'est ainsi qu'il a livré le prénom de la fille et celui d'un gars.

L'enquête, me dit la police, devrait aboutir. Je revois le Major Savy jeudi 10 octobre 2002.

Je précise que je suis le premier du quartier à porter plainte, suite à cette agression antisémite. Pourtant elle s'inscrit dans un contexte d'agressions répétées. Ainsi, le rabbin de la communauté Rachi, située rue Croulebarbe, – dont Emmanuel Levinas a été très proche - a été plusieurs fois insulté en traversant le square René Le Gall. Lui et plusieurs membres de la communauté ne peuvent plus aujourd'hui se promener dans ce parc. Oui, tout cela se passe en plein centre de Paris, dans un quartier plutôt résidentiel et bourgeois.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 11 octobre 2002 - 20h07:

alors la pour circoncire le felfel il faut un "tahhar/mohel"de choc!surtout qu'avec les afghans il faut se lever de bonne heure,d'ailleurs de bonne source nous apprenons que les "bouts" de felfel afghan sont a l'origine de notre harissa internationale.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 11 octobre 2002 - 19h31:

Le nez, de tes piments parle tout seul.
Reste à voir s'ils sont circonsis....!
BRAILLETOUT.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 11 octobre 2002 - 18h04:

G:/My Documents/pimentafgna.jpg

PIMENT AFGHAN : JUIF OU MUSULMAN ??

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le dimanche 13 octobre 2002 - 06h03:

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