Commentaires du 29 Septembre 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2002: Commentaires de Septembre 2002: Commentaires du 29 Septembre 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le lundi 30 septembre 2002 - 01h01:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 29 septembre 2002 - 06h32:

Bonjour les Tunes,

Mon beau-père, Robert-Isaac HASSOUN né en 1930 à Sousse, marié à Yvette Hanna née GHARBI née à Sousse en 1929, recherche ses copains d'enfance qui ont fréquenté l'école DUMONT à Sousse dans les années 40.
Il serait heureux de les retrouver.Merci de me laisser un message.
Bien cordialement etbonnes fêtes de Souccot.

Jean-Jacques SPINGARN

IJSpingarn@aol.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 29 septembre 2002 - 06h30:

Informer ou militer, il faut choisir ! (info # 012709/2)

Par Gérard Huber correspondant permanent à Paris © Metula News Agency



A La Ména, nous avons toujours veillé à ne pas confondre l’information avec le militantisme. Lorsque, s’agissant du conflit israélo-palestinien, nous voyons des journalistes de grands médias français (L’Humanité, Le Monde, France 2, Le Canard Enchaîné…) livrer une grille d’interprétation plutôt qu’une information, nous sommes en droit de nous demander s’ils subissent l’effet des rumeurs ou s’ils sont familiers, voire complices de certaines thèses politiques dont ils se font le relais.



C’est ainsi qu’en toute indépendance d’esprit, La Ména a pu montrer que la rumeur d’un Sharon qui ne mène pas une politique d’autodéfense (dont on peut contester l’orientation stratégique) décidée par un gouvernement démocratiquement élu, mais qui massacre les Palestiniens à titre personnel, parce que telle est son intention et sa visée historique avait fait des ravages dans l’approche objective des faits. Mais, pour ce faire, il a fallu que l’Agence obtienne un démenti de ladite rumeur dans L’Humanité. Deux jours après, c’était au Monde de remettre quelques pendules à l’heure.



Certes, Rouge, ou d’autres journaux extrémistes, pour ne pas parler de la Revue d’Etudes Palestiniennes, n’en continuent pas moins de se satisfaire de ce préjugé, tant il les conforte dans leur refus de mener une investigation politique digne de ce nom.



Et il est vrai que l’investigation est toujours douloureuse, puisqu’elle consiste d’abord à fragiliser ses propres certitudes, à les remettre en question, jusqu’à se remettre en question. C’est alors tout un ensemble de coordonnées intellectuelles, mais surtout affectives, et, dans certains cas – très nombreux- quasi-familiales qui s’effondre. L’hydre aux mille têtes devient alors la tâche de reconstruire, de refondre l’analyse et de reformuler l’interprétation des données. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, dit-on. Cela est valable pour tout le monde, quelle que soit la cause défendue.



Mais, justement, le journaliste qui veut faire honnêtement son métier, ne doit pas se mettre dans ce type de situation. Il ne doit pas, de son propre chef, se trouver confronté à choisir entre l’information et ses attaches intellectuelles et affectives, voire familiales. Car alors il confond informer et militer.



Je dis bien « de son propre chef ».



En effet, il n’est malheureusement que trop fréquent de constater que, dans le monde, des journalistes sont menacés (cette menace est quotidienne, notamment, dans les pays arabo-musulmans, et les médias français se taisent bien souvent sur ce sujet) en raison de leurs pensées ou de leurs sensibilités personnelles, ce qui est absolument intolérable.



Ce dont je parle, c’est donc bien du choix personnel (que je conteste) du journaliste à traiter l’information comme s’il en allait nécessairement de ses attaches intellectuelles et affectives.



Ce qui n’est pas du tout la même chose.



Car, autant il est odieux de menacer un journaliste pour les idées qu’il expose à travers une information qu’il délivre, autant il est scandaleux que le même journaliste justifie le bien fondé de cette information, au prétexte qu’il serait menacé sur le plan personnel, voire familial.



Toutes choses égales, par ailleurs, la cause de l’information ne se justifie pas plus par la mise en avant de ses propres choix que celle d’un peuple par le statut de martyr qu’il se confectionne.



Que des journalistes deviennent des meneurs de foules, c’est leur droit le plus strict. Mais, il faut qu’ils sachent qu’ils n’ont plus rien à voir avec l’information objective. Pour préciser mon propos, à l’approche des actions pilotées par le CAPJPO à la fin de la semaine, mais ce propos ne concerne pas que le CAPJPO, si Le Monde relaie le CAPJPO de manière systématique, comme c’est le cas en ce moment, je suis en droit de me demander jusqu’où ira sa rupture avec son éthique ?



Par ailleurs, que des militants exigent que France 2 diffuse le reportage d’Esther Shapira, dont j’ai également parlé dans des dépêches récentes, comme c’est le cas de l’UPJP qui organise prochainement une manifestation en ce sens, est leur droit le plus strict, si cela se fait de manière démocratique. Mais, il faut qu’ils sachent que le reportage de Schapira n’est qu’un élément du dossier. La Ména a récemment publié un entretien avec Nahum Shahaf qui montre que les questions vont bien au-delà de ce reportage. La vérité de l’information est donc encore loin d’être établie. Or, l’établir est la priorité, comme c’est une priorité d’étudier autant que faire se peut la question de savoir si le reportage de France 2 sur la mort de Mohamed Al Dura est compatible avec la Charte d’Ethique que France Télévisions vient de mettre au point. Si donc c’est leur droit de manifester, c’est surtout leur devoir de placer cette manifestation sous le signe du droit de chaque citoyen à être honnêtement informé.



A ce sujet, La Ména est très claire. Raison de plus pour affirmer que le travail qu’elle fait, soit pour informer, soit pour déconstruire la désinformation et réinformer n’a rien à voir avec cette autre initiative dont je voudrais parler à présent et qui consiste à « donner le prix de la désinformation » à un journaliste. La Ména ne saurait se mêler à ce type de réaction passionnelle et partisane qui rappelle trop la tradition qui consiste à vouloir que des têtes tombent.



En effet, quoi de plus facile que de « décerner » un prix de la désinformation, alors que la vérité de l’information n’a pas encore été établie !



Je trouve ce procédé incohérent. Soit la vérité de l’information est établie, et il n’y a plus lieu de décerner un « Prix de la désinformation », sauf à réagir avec ses humeurs, soit elle n’est pas établie et les raisons pour lesquelles ce « prix » est décerné sont encore illégitimes. Ce n’est jamais le bon moment pour ce type de « prix ».



A La Ména, nous nous battons pour l’information, c’est-à-dire pour parvenir à ce que toute la lumière soit faite sur le filtre par lequel certains médias retransmettent leurs commentaires, parfois fallacieux, sur le conflit israélo-palestinien. Nous ne nous battons pas pour montrer du doigt tel ou tel. Nous n’utilisons pas les mêmes moyens qui sont à l’origine de la désinformation, non seulement parce que moralement nous ne sommes pas d’accord avec de tels procédés, mais parce que montrer quelqu’un du doigt n’a strictement rien à voir avec le fait d’éclairer l’opinion.



Ceux qui s’interrogent avec gravité sur un certain nombre de révélations que La Ména et d’autres ont formulées au sujet des doutes qu’il est légitime d’avoir quant à la fiabilité de certains commentaires qui ont pu être livrés par des journalistes pourtant chevronnés (trop, peut-être) au sujet du conflit israélo-palestinien procèderont autrement que par la mise à l’index. Ils ne cesseront, au contraire, de chercher à obtenir que ceux qui désinforment s’ouvrent à leur propre démarche (l’information), afin que les esprits partisans prennent enfin la mesure de l’immense bévue dans laquelle ils s’enfoncent et en tirent toutes les conséquences.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 29 septembre 2002 - 06h28:

http://www.harissa.com/D_Communautes/images/timbre_tunisien.jpeg


Le timbre Tunisien avec Mohamed Doura

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le dimanche 29 septembre 2002 - 00h37:

Michka,

En fait, je me suis trompé tout à l'heure: ces musulmans ne considèrent comme leurs les terres conquises.
Devient musulman tout ce qu'ils touchent, tout ce qu'ils respirent. Entrez dans leur champ de vision, et c'est cuit: vous tombez sous la loi de la charia.
Je veux bien admettre qu'il existe un islam modéré, mais alors leurs représentants doivent impérativement trouver les moyens de faire taire une bonne fois pour toutes tous ces mecs ravagés et les faire enfermer dans des asiles.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 28 septembre 2002 - 23h36:

C'est du pur délire....Malheureusement, ils font beaucoup d'adeptes. Il faut un grand sursaut pour éradiquer ce cancer....Michka
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"Nous transformerons l'Occident en régime islamiste par l'invasion ou la culture "

Titre original de Memri : Des dirigeants islamistes interviewés à Londres

Le quotidien arabe Al-Hayat, édité à Londres, a publié une série d’articles sur la communauté musulmane au Royaume-uni. L’un d’entre eux comprend des interviewes de deux dirigeants islamistes résidant à Londres : le cheik Abou Hamza l’Egyptien, (1) imam de la mosquée de Finsbury Park et chef de l’organisation Ansar al-sharia, et le cheik Omar Bakri, originaire de Syrie, créateur et président du tribunal religieux islamique à Londres ; Omar Bakri s’occupe aussi de la direction de l’organisation islamiste Al-Muhajiroun. Voici quelques extraits de ces deux entretiens. (2)


Abou Hamza : L’Occident n’atteindra jamais le niveau de l’islam ; la seule solution est d’exhorter les occidentaux à intégrer l’islam


Vous considérez-vous citoyen britannique ?

Abou Hamza : Je me considère citoyen [britannique] dans la mesure où j’utilise mes papiers de citoyen pour me déplacer. Mais est-ce que je me considère citoyen britannique dans le sens où j’adhèrerais à la politique du pays ? La réponse est bien sûr négative… Je vis ici et je possède un passeport. C’est une identité superficielle. L’identité réelle se trouve dans le cœur et dans la tête ; c’est elle qui guide l’être humain. Cette identité est l’islam…


Mais en Grande-Bretagne, vous êtes une personnalité respectée.

Abou Hamza : Et qui vous dit que nous ne respectons pas les autres ? Mais devons-nous respecter une personne même lorsqu’elle cherche à devenir un animal ?… Il faut différencier entre un homme d’intelligence et un homme fou ou pervers… entre un homme normal et un criminel… Devons-nous respecter ceux qui se vantent de leur bestialité ? C’est inconcevable. C’est une attitude incompatible avec la loi islamique ou même la raison.

Chacun a droit à un respect minimal, dans la religion. Par-delà ce respect, les croyants ont droit à une estime particulière. Chaque homme… [peut choisir] entre l’être humain et le singe. Par exemple, un homme habillé est respecté. S’il se dévêt, il ne mérite plus le respect. Une personne adultère ne devrait pas y avoir droit. Pas plus que ceux qui s’attaquent à de jeunes enfants. Ceux qui essaient de se transformer en demi-hommes ou femmes ne devraient pas être respectés.


Dans quelle mesure la communauté islamique en Grande-Bretagne est-elle prête à s’intégrer à la société ?

Abou Hamza : « Intégration»… «extrémisme »… [Ces termes] sont trop généraux. S’intégrer à quoi ? Sous quelles conditions ? Extrémiste en quoi ? On peut être extrémiste dans son combat contre le mal… Quand on parle d’extrémisme et d’intégration, des questions se posent : qui s’intègre à quoi, au sujet de quoi? Si vous pensez à l’assimilation de musulmans à des non-musulmans dans le cadre de pratiques que l’islam n’interdit pas, comme la protection de la nature, la défense des droits de l’homme, la lutte contre la corruption, l’usure et l’adultère, alors, oui, il peut y avoir intégration. Mais si on prend [le terme] «intégration» dans son sens le plus large, et que nous nous intégrons tous, la fille du musulman ira trouver son père, enceinte, et il lui répondra: «Ce n’est pas grave : je suis intégré». Sa femme le mettra dehors et il ira coucher dans la voiture, pendant qu’elle amènera son amant chez elle…

Au sommet de Séville [en Espagne], la Grande-Bretagne a réclamé des mesures strictes face à l’immigration. Êtes-vous inquiet ?

Abou Hamza : Le fait est que j’ai la citoyenneté britannique. Il est vrai qu’elle n’a pas une grande valeur face aux mesures de sécurité… Je considère que le débat sur le degré de rigueur des lois d’immigration est un débat vide. Les pays européens veulent un certain type d’immigrés, parce que c’est d’eux qu’ils ont besoin. Les lois sur l’immigration ne me concernent pas. Je suis ingénieur britannique depuis 1985, et membre du syndicat des ingénieurs…

Il y a des citoyens britanniques torturés à Guantanamo, mais personne ne lève le petit doigt… Quand c’est de sécurité qu’il s’agit, l’étranger demeure étranger, où qu’il se trouve. On ne peut pas se battre contre l’enracinement profond du racisme. Il serait idiot de croire que ces pays pourront un jour atteindre le niveau de l’islam. Il leur faut beaucoup de temps, ne serait-ce que pour comprendre l’islam. Le seul moyen de mettre fin à leur racisme est de les exhorter à se joindre à l’islam ; ils se rendront ainsi compte qu’ils sont passés à côté d’une grande civilisation…

Envisagez-vous de quitter la Grande-Bretagne ?

Abou Hamza : Je voulais partir pour l’Afghanistan, et m’y suis préparé, mais Allah en a décidé autrement – d’abord parce que mon passeport a été confisqué par les autorités. Je suis actuellement assigné à domicile. Si j’étais en possession de mon passeport, je partirais. Avant le 11 septembre, nous avions tous l’intention d’immigrer en Afghanistan, et même après. Plusieurs personnes le souhaitaient. Elles ne s’attendaient pas à ce que les événements prennent cette tournure, d’autant moins qu’Al-Qaïda a d’abord nié le moindre lien avec ces incidents. Al-Qaïda n’y est pas mêlé : un ingénieur ne peut pas croire que ces bâtiments se soient écroulés comme ça, à cause d’un simple incendie… Ceux qui connaissent les propriétés de ces immeubles savent qu’Al-Qaida n’est pas coupable. L’explosion est venue de l’intérieur…


Le cheik Omar Bakri : Nous transformerons l’Occident en régime islamique par une invasion physique ou culturelle


J’ai assisté à votre cours sur les fondements de la foi, et il semble que vous ne voyiez pas d’intérêt à ce que les étudiants s’intègrent à la société britannique – c’est-à-dire que vous ne les aidez pas à devenir des musulmans britanniques.

Omar Bakri : C’est ma méthode d’enseignement : je m’oppose au concept d’intégration. Nous pensons qu’il ne nous est pas permis de nous intégrer aux sociétés dans lesquelles nous vivons. Je ne dis pas qu’il faut s’isoler, mais je ne dis pas non plus qu’il faut s’assimiler. Je crois à l’interaction avec la société [environnante] au moyen de ma religion et de ma foi, dans le but de changer l’environnement, et non d’être changé par lui…

Et à quoi mène cette vie de séparation ?

Omar Bakri : A un changement de la situation dans le pays où nous nous trouvons, comme en Abyssinie et en Indonésie, où les musulmans ont accompli des modifications. Avec la grâce d’Allah, nous transformerons l’Occident en Dar al-islam [une région sous gouvernement islamique], avec ou sans invasion. Si un Etat islamique se lève pour envahir l’Occident, nous serons son armée et ses soldats de l’intérieur. Et si cela ne se produit pas, [alors nous changerons l’Occident] au moyen d’une invasion idéologique, sur place, sans guerre ni morts.

Soit nous prêcherons l’islam et ils l’accepteront, soit nous vivrons parmi eux, et ils finiront par être influencés, par accepter l’islam comme solution politique à leurs problèmes, si ce n’est comme solution idéologique. L’islam peut consister en une foi spirituelle ou politique… L’islam a défendu la religion des chrétiens, des Juifs et d’autres encore en affirmant que la foi n’impose pas de contraintes. Les contraintes proviennent des lois. Les lois peuvent être islamiques ou faites par l’homme. Ils [les Occidentaux] nous ont imposé des lois d’origine humaine, et le [futur] régime islamique leur imposera des préceptes islamiques. Les musulmans obéiront à ces lois par esprit d’obéissance [c.-à-d. de leur plein gré] et les non-musulmans parce que ce sera la loi. Je ne me plie pas aux lois d’origine humaine. Je ne les enfreins pas non plus, ce qui ne signifie pas que je les respecte. Allah a dit : «N’obéissez pas aux infidèles et aux hypocrites.»

Comment pouvez-vous vivre dans une société où vous êtes un étranger ?

Omar Bakri : L’islam est une religion en accord avec les lois de la nature. Quand un homme rencontre des problèmes, il a recours aux lois de la nature. En Amérique, il y a récemment eu débat sur la question de séparer [les hommes et les femmes] dans les universités. Pourquoi ? Parce qu’il y a des problèmes. Certaines filles tombent enceintes dans leur jeune âge sans avoir de mari. Il n’y a aucune raison de réunir des personnes de même sexe à l’université… Je ne sors pas du cadre de la loi tant que celle-ci est compatible avec la loi de la nature et n’entre pas en contradiction avec l’islam. Certains pays commencent à discuter de la possibilité de punir les voleurs. Dans l’ancienne URSS, il avait été décidé qu’on amputerait la main du voleur. C’est une loi de la nature : une loi stricte, qui dissuade le voleur.

On vous accuse d’être en relation avec des organisations auxquelles la Grande-Bretagne est hostile et qu’elle considère comme ennemies. Vous enseignez à vos élèves que le mouvement taliban et Oussama Ben Laden seront [selon la tradition musulmane] sauvés [au Jour du Jugement].

Omar Bakri : Tant que mes mots ne se transforment pas en actions, ils ne font de mal à personne ! Ici, la loi ne vous punit pas pour avoir parlé, tant que rien ne prouve que vous avez agi. Tant que vous ne franchissez pas les limites de la loi, ils ne peuvent pas vous punir. Pour le faire, ils doivent présenter des preuves contre vous, autrement leurs lois entrent en état de contradiction insoluble. Cela sert l’islam : nous allons pouvoir affirmer que le camp capitaliste a perdu face au camp de l’islam en appliquant [les principes] auxquelles ils croient, comme la liberté d’expression.

Vous mettez à l’épreuve le régime [occidental] ?

Omar Bakri : En effet. Nous devons prouver la fragilité des lois d’origine humaine.

Jusqu’à aujourd’hui, ces lois ont tenu le coup.

Omar Bakri : Je ne sors pas de leur cadre: je ne les suis pas ni ne les enfreins… J’ai un pacte avec elles, que je ne viole pas. Je n’appelle au meurtre d’aucun citoyen britannique. Mais eux ont brisé notre pacte en tuant mes frères en Afghanistan ; ils l’ont brisé en tuant mes frères en Syrie et en Irak…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 28 septembre 2002 - 21h06:

MESDAMES ET MESSIEURS,

Pour la première fois sur ce site, l'enfant de la Goulette, Albert, va vous envoyer dans les prochains jours , une nouvelle qui prendra la forme d'un roman avec suite, si mes idées le désirent. Donc soyez devant vos écrans dans les prochains jours.
Voici un bout de ......
SOUS UN SOLEIL DE PLOMB


1948. Les armées arabes tentent d 'envahir le jeune état juif, cette portion de terre misérable que Ben Gourion a déclaré indépendante et va constituer désormais le nouvel état d'ISRAEL.Une nation juive.

Uri Ben Yehuda, engagé dans le Palmach bien avant l'indépendance d'Israël, avait fui l'Europe Centrale, sa Pologne, son pays natal, dont sont issus ses parents, morts gazés dans le camp de TREBLINKA.Grace à la complicité du jeune père catholique Julien de la paroisse de Cracovie.

La guerre fait rage. Une guerre faite d 'escarmouches, de positions sans grand moyen militaire, avec des rebuts de l'armée anglaise, de vieux fusils, de vieux coucous qui volent encore par miracle bref un matériel hétéroclite. De vieilles reliques. Une guerre menée surtout avec foi et avec la conviction absolue qu'il ne fallait surtout pas perdre. Le destin de tout un peuple pour la plupart rescapé de l'holocauste, d'une communauté meurtrie, veuve et orpheline de toute terre, était en jeu. Il fallait bien plus que des armes pour vaincre, il fallait qu 'un certain D ieu, celui d'Israël, leur vienne en aide. Mais la plupart d entre eux, échappés ou expulsés ont tellement prié autrefois qu'ils furent marqués à tout jamais par l'éloquente absence de ce D ieu. Uri n'y a jamais cru. Alors, son Dieu, c'était son fusil qu'il ne quittait jamais.........
A SUVRE.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 28 septembre 2002 - 18h26:

Quelques extraits de la prose de Tariq RAMADAN, jeune "islamologue" bien propre sur lui, qui fait un "tabac" dans la jeunesse musulmane. C'est pas Bruel, mais, à sa vue, les jeunes beurettes crient: "Tariiiiiiiiiiiiiiiiq!!!" Son article, "La Charia incomprise" est parue dans Le Monde du 10/09/2002.


"...Il est exclu de couper la main du voleur dans un Etat qui ne donne pas à ce dernier les moyens de vivre dignement. "

"La lapidation prévue en cas d'adultère n'est envisageable que si quatre personnes ont été des témoins oculaires du délit. Ce qui est pratiquement irréalisable, à moins que le musulman choisisse d'avouer sa faute. Avant l'exécution de la sentence, les juristes précisent qu'il lui est toujours possible de revenir sur son aveu. "

"...nous demandons : qui a créé le virus du sida ? Observez que la personne qui respecte strictement les commandements divins est à l'abri de cette infection, qui ne peut atteindre, à moins d'une erreur de transfusion sanguine, un individu qui n'entretient aucun rapport extraconjugal, qui n'a pas de pratique homosexuelle et qui évite la consommation de drogue. Par rapport à ces principes de base, seuls s'exposent à la contamination ceux qui ont un comportement déviant. "

"...On le voit : ces peines ont donc surtout une valeur dissuasive..."

"...cette loi est éprouvante pour les musulmans eux-mêmes. Elle constitue une punition, mais aussi une forme de purification. Il est interdit d'insulter le coupable. Après sa mort, on prie pour lui."

"...Or nous demandons : qui a créé le virus du sida ? Observez que la personne qui respecte strictement les commandements divins est à l'abri de cette infection, qui ne peut atteindre, à moins d'une erreur de transfusion sanguine, un individu qui n'entretient aucun rapport extraconjugal, qui n'a pas de pratique homosexuelle et qui évite la consommation de drogue. Par rapport à ces principes de base, seuls s'exposent à la contamination ceux qui ont un comportement déviant. "


Alors? Vous avez peut-être besoin d'un Primpéran* après ça.
Moi, les passages sur le SIDA me rappellent un peu les réflexions du gros borgne.
Islam, ...islamisme,...fascisme,...islamo-fascisme. Tiens,tiens, comme on se retrouve!

Si les musulmans se contentaient de n'appliquer ces règles qu'à eux-mêmes, on trouverait déjà ça barbare mais ce qui fait un peu froid dans le dos, c'est qu'ils considèrent que toutes les terres conquises une seule fois par les musulmans leur sont définitivement acquises (Espagne, sud de la France, Roumanie,Hongrie, Autriche). Israël, n'en parlons pas! Et donc, tous les sujets qui s'y trouvent devraient s'y soumettre.

Ce qui est fascinant, c'est l'extrême onctuosité du discours, permettant au lecteur de se persuader que les châtiments infligés sont reçus par les intéressés avec bonheur. "Oh, encore, encore, M'sieur le bourreau!"

Eh oui! Le moyen-âge s'habille aussi en costume-cravate.


*Anti-nauséeux bien connu des médecins et de leurs patients.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bingo (Bingo) le samedi 28 septembre 2002 - 15h48:

ROSH KHODESH EL BENETE. ou en francais
La fete des filles.
Traditionellement en Tunisie c'est une fete qui se pratique en debut du prochain mois lunaire.

Dans la recherches de nouvelles fetes chere a notre communaute juive de Tunisie, nos ancetre ne voulant pas oublie les filles qui contrairement a la bar-mitsvah des garcons n'avait pas de bat-mitsvah comme de nos jours.
Donc ils creerent cette fete uniquement en l'honeur des filles, et cette fete n'est connue que des juifs tunisiens.

Les papas voulant gatees leurs cheres progeniture feminine celebrerent cette nouvelle fete quasi annuellement, et en cet honneur il n'oublierent pas de faire des gateaux se traduisant au fil des ans en minis pieces montees.
On benissait les filles, on allumait des bougies en l'honneur de nos saint defunts, et surtout on festoyait en mangant des douceurs et il etait celebre un grand repas familial.

La piece montee se composait de choux a la creme inondes de caramel. Il ne faut pas oublier que dans les BAR-MITSVA des garcons on faisait des pieces montes geantes de la meme composition que celle de la fete des filles.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 28 septembre 2002 - 13h27:

Au sujet de l'article de Claude Imbert. Petite rectification : Claude Imbert signe les editos de l'hebdomadaire Le Point.
L'article " Critiquer l'Islam " est l'édito de cette semaine. Michka

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le samedi 28 septembre 2002 - 10h48:

Pour la FETE DES FILLES: tu pourrais entre autres sites, te reporter a celui-ci, tu y trouveras des explications en anglais et meme les souvenirs de Lucia de San Francisco. Pour la date de cette annee, voir la rubrique "calendar" du site:

http://kolot.com/FS1999/hanukkah-tunisia.shtml
"In the North African country of Tunisia, Jews celebrate the sixth night of Hanukkah as the Girls' Festival in memory of the Jewish heroines Esther and Judith....
Lucia San Francisco remembers the festival: "I remember when I was a young girl in Tunisia, my parents had a special celebration for the "girls holiday". It was customary to get the girls a special pastry (piece montee) made of small cream puffs placed like a mountain, the whole thing wrapped in caramel; some were very elaborate. There were also special meals and presents. That's the way we used to do it in Tunis. I still keep those fond memories. The year my father died, his best friend had a "piece montee" sent to me, the kindest present of all. Celebrate it and enjoy it."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lucia (Lucia) le samedi 28 septembre 2002 - 07h14:

Qui pourrait me (re)-donner quelques informations
concernant la "fete des filles", comme on la
celebrait a Tunis: date et coutumes. Je sais que
nous en avions parle l'annee derniere je crois,
mais il y a une dame qui me le redemande, et je
n'ai plus les details. J'espere que Nao, Mr.
Tubiana ou Albert me repondra. Merci d'avance.
Lucia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 28 septembre 2002 - 00h13:

Je suis simplement stupéfaite.....La lecture de cet article sur AIPJ signé de Claude Imbert dévoile l'exaspération des français face aux musulmans qui veulent imposer leur diktat. Quand trop c'est trop, il n'y a rien de plus normal que les esprits s'échauffent.
Nous autres émigrés venus de Tunisie, avons toujours respecté les lois du pays d'accueil comme c'est écrit dans nos Textes.
C'est un devoir que de défendre les Lois de la République en toute circonstance et notre Liberté si durement acquise. Michka
__________________________________________________

Critiquer l'islam

« La plus con des religions » : le mot de Houellebecq est à l'emporte-pièce. Mais il exprime un jugement lapidaire partagé par une majorité de Français. En français de bistrot, il veut dire « la religion la plus obscurantiste ». Que des bigots de la clique islamique songent à le faire condamner en justice laisse pantois. Où se croient-ils donc ? Au Yémen, au Nigeria ? Pensent-ils qu'un tribunal français puisse censurer l'irrespect sceptique d'une tradition laïque qui est, chez nous, l'oxygène de la République ? Voltaire, qui l'eût cru ? Certes, le ministère public a sagement suggéré la relaxe, mais cette procédure incongrue en dit long sur l'audace des cagots. Et sur les risques d'une nonchalance craintive de la société française devant des menées cafardes et insidieuses.

Critiquer l'islam ? Pourquoi pas ? Après le 11 septembre, nous fûmes abreuvés de mises en garde légitimes : il ne fallait pas imputer aux fidèles tranquilles les monstruosités des fanatiques. Bien sûr ! Mais, emportés par ce vertueux souci, endormis par les invocations historiques de l'islam serein et tolérant d'Averroès ou de Cordoue - qui ne survit que dans quelques réduits de sagesse -, invités à une contrition expiatoire pour notre passé colonial, si ce n'est pour nos croisades, nous négligeons quelques actualités moins compatissantes.

La première est que l'islamisme est une maladie de l'islam et ne prospère qu'en son sein. Dire que l'un n'a « rien à voir » avec l'autre est absurde : le « mauvais » islam n'est que la version guerrière d'une loi coranique dans laquelle aucune autorité islamique reconnue n'a installé ses garde-fous. Et il suffit d'entendre ces jours-ci Abd Samad Moussaoui pour voir comment son frère Zacarias est, chez nous, passé d'un islam tiède jusqu'à Al-Qaeda. Le second constat, c'est qu'aucun réformisme puissant ne s'est encore levé pour assainir un dogme descendu du ciel, au VIIIe siècle, sur l'Arabie de Mahomet, ses sables, ses chameaux et ses sanglants cimeterres...

Allons plus loin ! Et voyons que, du Caire à Marrakech, des musulmans éclairés s'inquiètent ouvertement de la responsabilité de l'islam contemporain, fût-il non belliqueux, quant au blocage historique qui courbe tous les pays de l'aire arabo-islamique dans le sous-développement et la servitude. Après Naipaul, un islamologue respecté, Bernard Lewis, ne refuse pas cette corrélation : il note partout, depuis le XVIe siècle, le rejet des techniques et l'atrophie de la créativité temporelle par une religion totalisante qui s'impose sans distinction aux sphères publique et privée.

Des réformateurs, aujourd'hui, se lèvent certes dans l'islam, mais ils sont encore étouffés - et plus qu'au XIXe siècle - par une doctrine qui refuse les libertés de l'esprit et maintient la société dans un machisme hémiplégique : rares sont les pays qui, comme la Tunisie, ouvrent aux femmes dévoilées l'accès à la vie publique. En revanche, nous voyons le baassiste Saddam Hussein, jadis réputé champion de la laïcité, empoigner désormais le drapeau du prophète et occupé à édifier la plus haute mosquée du Moyen-Orient. Nous voyons le faible Arafat débordé par le martyrat terroriste du Hamas. Et l'Algérie aligner, en dix ans de massacres islamistes, le terrible holocauste de 100 000 morts.

Critiquer l'islam, c'est rendre service à notre communauté immigrée, à son appétit de modernisme et de rationalité. Voire à l'islam de France lorsqu'il se dit prêt aux réformes. Il faut, en tout cas (après Molière), railler les Arnolphes barbons et barbus imposant aux beurettes des mariages forcés. Moquer les arguties du Conseil d'Etat autour du voile à l'école. Dénoncer l'antisémitisme forcené qui s'établit sur des sites islamistes de l'Internet et qui refuse, dans quelques écoles, le devoir d'en enseigner les vices. L'islam de France, disent ses défenseurs modernistes, ne veut être « rien d'autre qu'une religion parmi les autres » (1). Chiche ! Notre laïcité ne demande rien d'autre. Mais, hélas ! ce n'est pas toujours ce qu'elle découvre. Et devant quoi la République ne cesse de reculer (2).

1. «Les versets pacifiques», par deux avocats des mosquées de Paris et de Lyon (Libération du 24 septembre).
2. Sur toutes les reculades, un livre indispensable : «La République et l'islam», de Jeanne-Hélène Kaltenbach et Michèle Tribalat (Gallimard). (Voir critique page 54.)
Claude Imbert

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 27 septembre 2002 - 20h39:

Nao mais tu rentres maintenant dans les travaux secrets de l'intelligence Israelienne?
A mon avis ce n'est pas de l'affaire des tunes de se meler dans les tueries.
Nous avons connu la paix et nous devons continuer a souhaiter la paix pour Israel et pour les Palestiniens. Que D' leur donne la sagesse de savoir vivre ensemble paisiblement.Amen

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le dimanche 29 septembre 2002 - 06h22:

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