Archive jusqu'au 21/janvier/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Janvier 2006: Archive jusqu'au 21/janvier/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le vendredi 20 janvier 2006 - 10h04:

Audience Finkielkraut: témoignage



Aujourd’hui, mardi 17 janvier, procès Finkielkraut à la 17 ème chambre de Paris, intenté par les "Fils et Filles d’Africains déportés".

Fausse alerte.

D’une manière générale j’aime la pensée de cet homme. La manière précise qu’il a de l’énoncer sans s’alourdir d’avertissements ni de précautions. L’homme parle aux intelligences! Et tout ce que j’avais pu déjà lire de lui témoignait du courage et de l’exception.

J’avais très mal suivi le dossier de cette action en justice et je voulais profiter de cet événement pour y voir un peu plus clair. Quels étaient les propos exacts reprochés, quel était le contexte, quels arguments faisaient valoir la partie plaignante. J’avais la conviction profonde (je savais) qu’A.F., celui dont la droiture et l’éthique étaient évidentes à mes yeux, n’avait en aucun cas eu l’intention d’insulter qui que ce soit. Et je percevais ce procès comme faisant parti de ces nouvelles chasses aux sorcières qui sont si à la mode depuis quelques temps. Et souvent, les sorcières étaient sionistes voire juives.

Donc Finkielkraut incitateur de haine… ??? Je demandais à voir les acrobaties des plaignants cherchant à le démontrer.

Les rouages des procédures judiciaires me sont quasiment étrangères et il est apparu assez vite que cette audience de la 17 ème chambre consistait en une "fixation" - j’appris le terme le jour même -, c’est à dire qu’il s’agissait d’une séance rapide où certaines choses devaient être précisées comme :
- Qui étaient les plaignants. …. (J’ai cru comprendre, que dans le cadre d’une vague stratégie de la partie plaignante, une autre association en était venue grossir les rangs au dernier moment.)
- Combien de temps dureraient les plaidoiries. (Ceci, je pense, afin d’organiser au mieux la tenue du procès)
- Décision de la date de la véritable audience. (Fixée, à l’issue de l’audience en novembre 2006).
- …Et sans doute encore d’autres détails dont je n’ai eu connaissance.

A.F. n’était pas présent et son avocat non plus pour cause de maladie. ...Audience assez courte qui nous fit la grâce de se tenir dans la toute première heure…

A la sortie de l’audience devant la porte de la 17ème chambre, des attroupements se forment autour des caméras des journalistes interviewant l’avocat des plaignants. L’absence d’A.F. y est évoquée et interprétée comme le mépris que ce dernier aurait envers la communauté noire. (à l’attaaaaque !!)

Quelques instants plus tard une dame (Présidente, il me semble de l’association plaignante) déclare devant les caméras : "Finkielkaut n’est pas venu et je l’ai entendu "parader" sur une radio". …Une chose que je ne supporte pas, c’est cette utilisation du langage qui, grâce à l’emploi de mots choisis et subjectifs, cherche à induire des images mentales afin de décrédibiliser l’adversaire, surtout quand j’ai l’impression que ce dernier est victime d’une volonté malveillante et organisée.

Je m’approche d’elle et lui demande : "Pourquoi employez-vous le mot "parader"? Aimeriez-vous entendre quelqu’un déclarer avoir vu votre avocat "parader" devant les caméras ? Vous auriez pu tout simplement dire que vous avez "entendu" A.F. à la radio". Elle ne veut pas me répondre et m’évite prestement.

L’instant suivant un individu, sans doute fils de déporté d’Afrique, bien que son jeune âge laissait plutôt penser qu’il était arrière-petit-fils de déportés d’Afrique, prononce en aparté devant ses camarades cette sentence sans appel : "Tous des négriers reconvertis dans la banque et le spectacle" (Copyright Dieudonné).

Et puisque j’espérais trouver (le naïf) dans cette action en justice quelques motifs sincères issus d’un malentendu, je ne laisse pas passer cet outrage qui salit plus à mes yeux la personne qui le prononce que ses destinataires. Je m’approche de lui et lui demande : "Pourriez-vous me répéter ce que vous venez de dire ?". L’individu fait mine de m’ignorer. J’insiste et me poste à ses côtés pendant qu’il converse avec ses amis. "Quand vous aurez fini vous pourrez sans doute me répondre", lui dis-je. "Je vais attendre". Il me regarde avec un sourire narquois puis daigne m’adresser la parole :

- Qu’ai-je dit ?

- Vous avez déjà oublié ?

- Vous avez entendu quelque chose ? (il me regarde l’air insolent)

- Je vais vous aider. Vous avez dit : "tous des négriers reconvertis dans la banque"….et ??? Et ??? Vous pouvez maintenant sans doute continuer ?

L’individu me regarde toujours d’un air narquois et s’adresse à ses copains : "J’ai dit quelque chose ??? Vous avez entendu quelque chose ??".

Réponse unanime : Bien sûr que non !! Dans un aveu pitoyable, j’en entends un déclarer : "Il a dit "tous" mais il n’a pas dit de qui il parlait" (soufflé n’est pas joué !!). Je ne relève même pas. Le mensonge et la lâcheté sont au rendez-vous.

Et me voilà lancé dans un grand discours : "Il est possible que l’ensemble de votre combat soit à l’image de votre attitude : vous adhérez à une action en justice pour incitation à la haine mais c'est bien vous qui, devant moi, êtes acteurs de propos de cette nature, avec de surcroît, un manque de courage à les assumer. Vous qui traînez A.F. en justice, vous avez déjà peur des conséquences de vos propres discours. Quelle est donc à vos propres yeux (j’insiste sur l’expression) la nature de votre plainte ??!!. Si j’en crois les propos que vous refusez d’assumer, il ne doit pas s’agir de quelque chose de très honorable. La méfiance instinctive que j’avais déjà à l’égard de vos motivations s’en trouve justifiée".

- Que voulez vous dire ?

- Personne parmi vous ne s’est opposé à ce qu’a prononcé votre ami et qui dépasse de très loin ce que l’on pourrait reprocher à A. Finkielkaut…Bien au contraire vous le couvrez par vos dénégations…. Cela me conforte dans l’idée que le nom de votre association est une usurpation de sens.

- Fils où fille de déporté n’est pas une marque déposée !!

- Sans doute. Mais je persiste à penser qu'il y a abus de sens avec volonté manifeste de brouiller les repères. Voire de nuire.

En voilà justement un (parmi ceux qui avaient nié avoir entendu les dieudoniaiseries) qui trouve le moyen d’enliser le sujet dans les marécages de la confusion :

- Qui êtes-vous ?

- Et vous ?

- Je vous reconnais vous êtes Jacques Tarnero. Vous travaillez pour une radio juive. (Introduction d’un élément de confusion dans le sujet principal).

- Et peut-être que vous même travaillez pour le Mossad ? Lui répondis-je. (cette réplique a le don de le surprendre….c’est amusant….)

- Alors qui êtes vous ?

- Quelqu’un…. pas plus et pas moins que vous. Mais vous remarquerez que je ne vous demande pas qui vous êtes.

Un individu me brandit alors un portable (ou un Pad) sous le nez pour se livrer à une interminable interview enregistrée, et croyant dur comme fer avoir affaire à un J.Tarnero se dissimulant derrière l’anonymat, tenta à l’aide de questions plus grotesques et inquisitrices les unes que les autres, de débusquer le Tarnero que j’étais à ses yeux… (et tant qu’à faire pourquoi ne pas imaginer un Finkielkraut déclarant publiquement qu’il n’est pas Finkielkraut... stupidité ambiante)….


Voyant qu’il n’arrivait pas à ses fins (et pour cause) l’individu autoproclamé journaliste se volatilisa ainsi que le groupe de ses supporters.

Mais tout n’est pas noir dans ce monde … (...pardonnez-moi l’expression…) et je me retrouvai en tête à tête avec un natif de Côte d’Ivoire avec lequel j’eus une discussion véritablement cordiale (et désordonnée) qui n’en finissait pas. Il me parla de sa culture, de son histoire, et de ses problèmes de racisme au quotidien. Il me parla de ses voyages dans les pays de l’Est et l’impression qu’il avait parfois d’être regardé comme un martien du fait de sa peau noire. Il était convaincu que les Noirs et les Juifs étaient confrontés au même combat et devaient s’unir. Dans la confusion et l’urgence (il était vraiment l’heure de retourner au boulot), je n’eus pas vraiment la possibilité d’argumenter qu’il n’était pas question pour moi de sceller des alliances ethnico- stratégiques …..Juifs, Noirs, jaunes, rouges, blancs, marrons ?? Qui devait s’unir avec qui ? Et contre qui ? Ce genre de question devait être abordé autrement.

Je quittai rapidement le Palais de Justice… et pour faire plaisir à certains, je confesse que je fus dans l’obligation d’aller récupérer ma voiture à la fourrière des Halles.

160 €….une peccadille pour le banquier reconverti que je devais être…

Francis Potazman © Primo-Europe

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 20 janvier 2006 - 08h40:

SPIELBERG PLAIDE EN FAVEUR DU TERRORISME PALESTINIEN

"Munich" , le film de Spielberg affirme que la cause israélienne est une faillite morale

par Charles Krauthammer

Paru dans le Washington Post du 13 janvier 2006

Texte anglais : Spielberg makes case for Palestinian terror. 'Munich' contends Israeli cause is morally bankrupt.

Traduction française : Menahem Macina pour www.upjf.org (1)

Si Steven Spielberg avait fait un film sur la désagrégation psychologique d’un assassin par vengeance, c’eût été excellent. Mais il a décidé de donner à cette fiction le nom de "Munich" et de l’enraciner dans un événement historique réel : le massacre, en 1972, par des terroristes palestiniens, de onze athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Munich. Ce faisant il devait relater correctement l’événement.

La seule part de vérité du récit est dans les quelques minutes qu’a duré le véritable massacre. Le reste est une invention « qui s’inspire d’événements réels », comme le mentionne délicatement Spielberg dans le générique.

Des événements réels ? Balivernes, qui s’inspirent de la conviction de Tony Kushner (co-auteur du scénario), selon qui la création d’Israël fut un désastre historique, moral et politique pour le peuple juif.

Les victimes de Munich escamotées

C’est une règle, en matière de réalisation cinématographique, qu’on ne peut traiter que d’un personnage que l’on connaît. Dans "Munich", les athlètes sont des figurants non seulement dramatiques mais historiques, des personnages subsidiaires. Spielberg nous en donne scrupuleusement les noms – une "Liste de Spielberg" – et rien de plus : ils n’ont pas d’histoire, pas de contexte, pas de relations, rien. Ils sont là pour mourir.

Les Palestiniens qui ont planifié le massacre et sont traqués par Israël sont dotés – par la concision du talentueux expert cinématographique – de densité, de profondeur, d’histoire. Le premier Palestinien qu’il nous est donné de rencontrer est le poète érudit en train de donner une conférence publique, puis se conduisant aimablement avec son commerçant italien, avant d’être abattu brutalement et de sang-froid par les Juifs.

Vient ensuite l’homme mûr de l’Organisation de Libération de la Palestine, qui adore sa fille de 7 ans et est déchiqueté. Aucun de ces conspirateurs n’est jamais montré en train de comploter l’attentat de Munich ou quelque autre acte de cruauté s’y rapportant.

Mais la brutalité israélienne la plus choquante met en scène la prostituée hollandaise – apolitique, magnifique, pathétique, qui est abattue, nue, bien sûr, par des Israéliens devenus à moitié fous qui règlent des comptes personnels. Le comportement typiquement israélien, je suppose.

Plus flagrante encore que la manipulation par le truchement des personnages est la propagande par le biais des dialogues. La légitimation palestinienne est claire et nette : Les Juifs ont volé notre terre et nous allons tuer tout Israélien qui nous tombera sous la main pour la récupérer.

Ceux qui sont censés plaider en faveur des Israéliens affirment… la même chose. La mère du personnage principal, le sioniste engagé, insensible à la pitié, déclare : Nous avions besoin d’un lieu de refuge. Nous l’avons pris. Puis, elle évoque les membres de sa famille disparus dans l’Holocauste.
Le réalisateur prend prétexte de l’Holocauste

Spielberg fait de l’Holocauste le moteur du Sionisme et sa justification. Ce qui est, bien entendu, la thèse palestinienne. D’ailleurs, c’est la thèse classique des anti-Sionistes, et, plus récemment, celle du Président de l’Iran, qui affirme qu’Israël devrait être effacé de la carte. Et pourquoi pas ? Si l’existence d’Israël n’est rien d’autre que la conséquence du complexe de culpabilité de l’Europe pour l’Holocauste, pourquoi les musulmans devraient-ils supporter un Etat juif en leur sein ?

Il faut un ignare d’Hollywood pour donner consistance à l’argument d’un antisémite iranien radical. Mais l’histoire juive n’a pas commencé avec la Nuit de Cristal. Le premier Congrès sioniste a eu lieu en 1897. Les Juifs ont lutté pour la reconnaissance de leur droit à créer un "Foyer national juif en Palestine", et l’ont obtenu de la Grande Bretagne, en 1917, et de la Ligue des Nations, en 1922, deux décennies avant l’Holocauste.

L’antique demande d’une patrie

Ceci étant dit, la revendication juive est beaucoup plus ancienne. Israël était l’ancienne patrie des Juifs, l’emplacement des deux premières communautés juives durant un millénaire – longtemps avant les Arabes, longtemps avant l’Holocauste.

Les destructions romaines, en 70 et 135 de notre ère, ont anéanti l’indépendance des Juifs, mais jamais leur aspiration ni leur vœu de retourner dans leur patrie. Leur miraculeux retour, deux mille ans plus tard, fut tragique parce que d’autres s’étaient établis dans le pays et avaient une revendication concurrente légitime. C’est pourquoi, durant trois générations, les Juifs ont proposé de partager la maison. La réponse arabe, à chaque génération, a été le rejet, la guerre et la terreur.

Et Munich. Munich, le massacre, n’a eu qu’un modeste succès : le lancement de la cause palestinienne avec le sang de 11 Juifs. "Munich", le film, en a fait un succès total, 33 ans plus tard. "Munich" bénéficie maintenant d'une cote élevée dans la production cinématographique et de l’imprimatur de Steven Spielberg, rien de moins, en répandant dans toutes les salles de spectacle du monde le message initial que voulaient faire passer les terroristes.

Cela n’a rien de surprenant, si l’on considère que la thèse de la faillite morale de la cause israélienne – et pas seulement la campagne d’assassinats des planificateurs de l’attentat, mais toute l’entreprise d’Israël même -, qui est celle du film "Munich", est tellement massive, que le film se termine sur le départ définitif d’Israël du principal assassin du Mossad, marqué au fer rouge par son expérience. Et où le héros se réinstalle-t-il ? Dans le seul véritable foyer de la conscience, de la sensibilité et de l’authenticité juives : Brooklyn.

(1) Note de la traduction

La controverse fait rage autour du film "Munich", de S. Spielberg. Bien des opinions se sont exprimées dans un sens ou un autre. Krauthammer a pris son temps pour intervenir dans le débat. Il vient de le faire avec sa maestria coutumière. Rares sont celles et ceux qui pourront objecter à son argumentation. Personnellement, j'estime qu'elle est péremptoire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 20 janvier 2006 - 04h50:

Harissa 060120

A vous les harissiènnes, sans familiarité,
Je vous déclare ici, toute mon amitié.
C’est toujours un plaisir, que de vous rendre hommage,
Alors, de m’en priver, serait vraiment dommage.

Shabbat Chalom à toutes….et à tous, bien sur !

Moshébé

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 19 janvier 2006 - 23h22:

Alessandra Mansi

Voici le lien ou vous procurer le SORGHO=DROA.

La recette je la donnerais dans quelques jours d'ici la vous aurez le temps de commender votre Sorguo

Victor Cohen

Le lien du fournisseur:
http://www.agro-rima.com/fr/produits1.asp?id=85

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 19 janvier 2006 - 22h09:

CHANSON.

Paris le 19/01/2006.

LA CHORALE DE LA BREUTOUNA…SECONDE S…

HOMAGE A NONETTE NOTRE PROF D ARABE ET DE FRANÇAIS.

Bon….JOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR….Madame le Professeur…
D’araAAAAAAAAAbe …

Nonette par ci Nonette par làAAAAAAA.

Vous êEEEEEEEEtes le meilleure prof de la plaAAAAAAAAce…
Nous n’avons pas peur de vous le confier ici
Dans notre claAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAsse…..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Et nouUUUUUUUUUUUUUUUUUUs nous souvenons de votre grammAAAAAAAAAaire..
Nous étions tous Babas par votre savoir faiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIre…
MadaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAme le ProfessEEEEEEEeur….
Qui insistiez sur les points virgules
Lorsque nous sautiiiiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIons nos acceEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEnts…..§§§§§§§§

Nous éEEEEEEEEEEEEEEEEEEtions toujours pris à partiIIIIIIIIIIIIIIIIII…ee à cause de tous ses oublis……Ma…DDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDame le Professeur de Français..
Nous vous oublierons jamaIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIis…..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

AujouUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUr’d’hui nous sommes tous mariéEEEEEEEEEEs,
Avec des cancres bien éduquéeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees.
On vous regreeeeEEEEEEEEEEEEEEEEtte depuis que vous êtes retraitéEEEEEEEEEEEEEEEE.

Le PEEEEEEEEEEEEEEEEEEETEEEEEEEEEEEEEEB Madame NoneTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTtte vous attend de pieds fermes
POUR FAIRE LA FEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETE et montrez ce qyue vous savais faiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIre…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
AAAAAAAA…loOOOOOOOOOOOOOOOOrs n’hésitez pas de rentrEEEEEEEEEEEEEEEEer, nous sommes vos anciens élèves
Que vous avez réprimandéEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEs.

Ne noOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOus en voulez pas siIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…. A l’époque on discutait vos répartiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIes.
Nous éEEEEEEEEEEEEEEEtions tous de bonne volonté mais voilàAAAA….. on vous chahutaiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIt.

PaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAArdonnez- nous Madame Le ProOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO…..fesseur,
Nous avons une grande envie de vous dire
CE SOIRRRRRRRRRRRRRRRRRR Que nous vous aimOOOOOOOOOOOOOOOons….§§§§§§§

QuaAAAAAAAAAAAAAAAAnd à CE BreiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIItou,, votre élève qui nous perturbait vos COUURRRRRRRRRRRRRRRRS…..Mettez lui son bonnet d’âne sur son fait…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

BREITOU DU PTB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 19 janvier 2006 - 20h41:

Dans mon souvenir, c'était la première fois qu'il fit une déclaration immédiate. Et je reste abasourdi par sa vigueur (…) Le Saint Père, à sa manière en même temps sereine et claire, déclara qu'en fait, il y avait un problème fondamental dans cette analyse parce que, dit-il, dans la tradition islamique, Dieu a donné Sa parole à Mahomet, mais il s'agit d'une parole éternelle. Ce n'est pas la parole de Mahomet. C'est là pour l'éternité juste comme c'est là aujourd'hui. Il n'y a aucune possibilité de l'adapter ou de l'interpréter.

Cette distinction essentielle, poursuivit le pape Benoît XVI, rend l'Islam différent du Christianisme et du Judaïsme. Dans ces deux dernières religions, «Dieu a agi à travers Ses créatures. Ainsi, ce n'est pas uniquement la parole de Dieu, c'est aussi la parole d'Isaïe; pas uniquement la parole de Dieu, mais aussi celle de Marc. Il utilisa Ses créatures humaines et leur inspira la vocation de répandre Sa parole dans le monde.» Les Juifs et les Chrétiens «peuvent prendre ce qui est bon» dans leurs traditions et façonner cela. En d'autres termes, il y a «une logique intérieure dans la Bible chrétienne qui permet et exige de l'adapter et de l'appliquer à de nouvelles situations».

Alors que la Bible est, pour Benoît XVI, la «parole de Dieu nous parvenant à travers une communauté humaine», il considère le Coran comme «une chose tombée du Ciel, qui ne peut être ni adaptée ni appliquée». Cette immuabilité a de lourdes conséquences: elle signifie que «l'Islam est bloqué. Il est bloqué avec un texte qui ne peut pas être adapté.»

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le jeudi 19 janvier 2006 - 20h14:

Bonjour
je suis Alessandra, italienne de Rome mon mari est ne a Tunis et il m'a fait connaitre les desserts tunisiens, que l'on aime beaucoup. Je voudrai preparer le Droo (avec la farine de sorghoo) savez vous m'indiquer si c'est possible trouver ce produit a Rome, ou mème a l'ètranger avec l'ecommerce? je vous remercie si vous voulez me rèpondre.

A bientot

Alessandra Mansi
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Roma
alessandra.mansi@fastwebnet.it

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 19 janvier 2006 - 20h04:

Amona, j’ai fait un rêve merveilleux… (info # 011901/6) [analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency

Le chef d’état-major Dan Haloutz a affirmé, après les journées d’Intifada provoquées par les extrémistes religieux à Hébron, que "la situation était devenue inflammable à cause de l’attitude préalablement indulgente adoptée face aux partisans des implantations". Désormais, les choses pourraient bien changer, suite aux dispositions prises par le premier ministre par intérim, Ehoud Olmert, afin de préparer la démolition de vingt implantations illégales en Cisjordanie.

Ce qui est en cause, ce sont des noyaux de constructions établis sans autorisation par des activistes, partisans du Grand Israël. La vingtaine de collectivités concernées ont été érigées depuis mars 2001, soit après l’accession d’Ariel Sharon au pouvoir, et Israël s’était engagée auprès des Etats-Unis à les évacuer.

A Hébron, les heurts violents entre militants et forces de l’ordre avaient suivi la décision de la Haute cour de justice israélienne d’évacuer huit familles juives d’habitations palestiniennes situées dans le marché de gros de la ville des patriarches.

Les regards se portent maintenant sur l’implantation sauvage d’Amona, érigée sur une butte au nord de Ramallah, dont le démantèlement avait lui aussi été exigé par la Haute cour, avec hier, mercredi, comme date butoir. Le terrain sur lequel repose Amona est un terrain privé appartenant à une famille palestinienne. En écho à cette sentence, le ministre de la Justice, Shaoul Mofaz, a assuré le tribunal que "l’Etat achèvera le rasage des maisons d’Amona avant la fin du mois".

Depuis, les esprits s’échauffent et les enjeux se précisent. Les uns et les autres placent la barre très haut, le chef d’état-major déclarant que "les partisans des implantations considèrent Amona comme le lieu où ils vont défaire Israël" ; Haloutz apportant la précision suivante, pour le moins décoiffante : "Il y a de plus en plus de voix (juives) appelant à la création d’un Etat de Judée et à l’élimination de l’Etat d’Israël" et d’ajouter, "il ne s’agit nullement d’un retrait mais d’un cas classique de loi et d’ordre".

Et si ce message n’était pas assez acéré, la ministre de la Justice Tzipi Livni a ajouté de son côté, l’avertissement suivant au discours gouvernemental : "le conflit entre les partisans de l’Implantation et le gouvernement est une lutte pour la suprématie".

Ehoud Olmert a lui aussi voulu faire montre de fermeté en décrivant les erreurs passées face aux saisies illicites de terres par ces mots : "le bafouage des règles de la loi est entré dans les mœurs. Jusqu’à présent, nous n’avons pas fait usage des forces nécessaires pour réprimer cette violence et pour restaurer l’ordre".

Sur le terrain, à Amona, les renforts de jeunes zélotes, qu’on appelle en Israël les jeunes des toits, en référence à l’opposition violente qu’ils avaient livrée à l’armée depuis les toits lors de l’évacuation des implantations de Gaza, affluent et se préparent à la bagarre.

Ils sont cette fois-ci ouvertement encouragés à s’opposer aux forces de l’ordre par les leaders des implantations, dont le numéro un, Pinhas Wallerstein, qui a promis une résistance acharnée. Bravant les interdits très stricts posés par l’armée, Wallerstein a invité les militants à traverser les villages palestiniens (pour se rendre à Amona), même si cela met leur vie en danger. "Nous sommes prêts à venir ici même si nous devons prendre des coups", a-t-il poursuivi, "même si on nous jette en prison. Nous sommes prêts à payer le prix de nos convictions".

Le Conseil de Yesha, l’organe militant responsable des implantations de Judée-Samarie, considère, tout comme le gouvernement et l’armée, Amona comme un cas-test. Le chef des insurgés d’Amona, Avikhaï Boharon, prévient que "la confrontation sera déterminée et que, le meurtre excepté, nous la mènerons aussi loin que possible !". Expliquant la valeur de l’exemple d’Amona à l’aune du désengagement de Gaza, Boharon détaille : "Ce qui est advenu une fois n’arrivera pas une seconde fois, parce que si cela se renouvelle, ça arrivera une troisième et une quatrième fois. Lorsqu’un homme se bat pour ses valeurs, il commet aussi des actions désespérées".

Côté forces de l’ordre, on entend regrouper pas moins de 4'000 militaires, gardes-frontières et policiers du rang pour prendre d’assaut les neuf maisons d’Amona. On espère qu’à l’instar de ce qui s’est passé lors du désengagement, l’étalement des moyens et le nombre d’hommes fera comprendre aux religieux-nationalistes que leur combat est sans issue.

C’est qu’il restera ensuite, vraisemblablement en février, à expulser les huit familles de squatters haridim du marché de Hébron, ce qui n’a toujours pas été fait, ainsi que les 19 implantations illégales restantes. Si l’affaire est proprement et rapidement emballée à Amona, cela découragera les extrémistes lors des évacuations à venir. Dans le cas contraire, si les jeunes des toits parvenaient à faire durer le siège pendant plusieurs jours, devant les caméras de CNN et des chaînes israéliennes, cela leur garantira des renforts pour les batailles à venir.

On joue gros, effectivement. On a affaire à un face-à-face direct entre la loi des hommes, la république, et les édénistes, qui affirment que leurs ordres viennent du ciel. Sur un autre registre, il s’agit également d’un examen de passage que l’Administration U.S entend faire passer au remplaçant provisoire de Sharon. Qu’il leur démontre qu’il est willing and able (désireux et capable) de tenir les engagements difficiles que leur avait fait leur ancien allié, et Olmert pourrait jouir du précieux appui de la Maison Blanche en vue des élections générales de mars. Qu’il se montre incapable ou indiscipliné, et l’Administration sera tentée de jouer les Ponce Pilate, de s’en laver les mains et de ne pas se mêler des ballottages entre Israélites.

Pour Olmert et Kadima, croyez-moi, cela fait une sacrée différence.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le jeudi 19 janvier 2006 - 18h49:

Six Israéliens sur dix prêts à renoncer à certains quartiers arabes de Jérusalem-Est

JERUSALEM (AP) - Six juifs israéliens sur dix seraient prêts à renoncer à des quartiers arabes de Jérusalem-Est dans le cadre d'un accord de paix définitif avec les Palestiniens. Mais très peu d'entre eux accepteraient d'abandonner la Vieille ville, qui abrite le Mur des lamentations, premier lieu saint du judaïsme, selon un sondage publié jeudi.

Trente-six pour cent des 500 juifs israéliens interrogés par l'Institut de recherche Tazpit ne veulent en revanche aucune concession territoriale dans la ville qu'Israéliens et Palestiniens revendiquent comme capitale.

Les résultats du sondage montrent qu'une forte majorité des personnes interrogées estiment que Jérusalem doit abriter une large majorité de juifs, a commenté le directeur de Tazpit, Aharon Fein. Au total, 95,3% jugent très important qu'il y ait un majorité juive importante à Jérusalem, selon le sondage, dont la marge d'erreur est de 3,5 points.

Après son retrait historique de Gaza l'été dernier, l'Etat hébreu envisage désormais de nouveaux changements afin de tracer ses frontières définitives, de manière unilatérale ou dans le cadre de négociations avec les Palestiniens. Jérusalem est une des questions les plus épineuses auxquelles les deux parties sont confrontées.

La Vieille ville de Jérusalem est un lieu de pèlerinage pour les juifs, les chrétiens et les musulmans. A l'ouest de celle-ci s'étendent des quartiers juifs, et à l'est, des quartiers arabes annexés par Israël après la guerre de 1967, mais qui n'ont jamais vraiment été intégrés dans la ville.

Quelque 63% des personnes interrogées sont d'accord pour faire certaines concessions sur Jérusalem dans le cadre d'un accord de paix définitif. Mais 54,4% ne seraient prêtes qu'à renoncer aux quartiers arabes de Jérusalem-Est.

Environ 5,4% sont d'accord pour abandonner les quartiers arabes, le quartier juif de la Vieille ville, le Mont des oliviers avec ses lieux saints juifs et chrétiens, mais par le Mur des Lamentations, dernier vestige des temples juifs bibliques.

Et seules 3,2% des personnes interrogées sont prêtes à renoncer aux quartiers arabes, au quartier juif de la Vieille ville, au Mont des oliviers et au Mur des lamentations. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 19 janvier 2006 - 16h29:

Et on en prend d'autres et on continue le carnage !

Islamikaze a l'ancienne gare centrale d'autobus de Tel Aviv il y a moins d'1/2 h.
On deplore actuellement 16 blesses dont 1 grave.

Pour lire les premiers temoignages sur Ha'aretz:
http://www.haaretz.com/hasen/spages/672502.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Kinor (Kinor) le jeudi 19 janvier 2006 - 12h33:

A Tun
Je n’ai pas trouvé de chansonsd’Oum Kalthoum mais une de Fairouz
Avec ce lien , vous découvrirez des chansons Tunisiennes

http://www.israel-music.com/beni_barda/shorashim_mi_beit_abba/