Archive jusqu'au 19/juillet/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Juillet 2007: Archive jusqu'au 19/juillet/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 19 juillet 2007 - 10h31:

Critiquer les films israeliens.
Qu'elle tralouida.
Il est evident que des films a tendance super politique, surtout fait par des israeliens, nuisent bien plus a Israel que des bombes terroristes.
Tout le reste,critiquer ,boycoter n'est qu'adra faraa,car pendant que certains se demennent et luttent reelement pour Israel, d'autres s'occupent a lui nuire. Je me demande qui subventionne des films pareils.
Yom tov lecoulam.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 19 juillet 2007 - 09h59:

J'aurai tant aime voir cette soirèe BARAKA sur la page acceuil de Harissa.

Seulement, il y a un probléme, on ne peut rien voir.

Suis-je le seul à ne pas pouvoir entrer consulter le clip....? En plus les photos sont trop petites pour pouvoir discerner les visages...Ce n'est pas une tméniqa j'espère ces montages.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jero (Jero) le jeudi 19 juillet 2007 - 08h49:

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur LA Soiree Baraka parrainee par HARISSA.COM au Qin !!!

Soiree Baraka au Qin a Paris : Toutes les photos par Vincent Sanier http://harissa.com/baraka/index.htm

KALEIDOSCOPE de la SOIREE BARAKA AU QIN A PARIS LE 26 JUIN 2007 http://harissa.com/harissatheque/kaleidoscopesoireebaraka.htm

CLIP VIDEO SOIREE BARAKA http://www.kiftv.com/pictures/baraka

L'esprit Baraka au Qin Elysees, montage par Guy Sarfati http://harissa.com/baraka/espritbaraka.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 19 juillet 2007 - 08h29:

Bush : un discours adapté à la situation (info # 011807/7) [Analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Le discours du président Bush d’avant-hier, entièrement consacré au Proche-Orient, n’a pas fait la une des media. Ce manque d’enthousiasme est vraisemblablement lié au fait qu’il s’agissait d’une intervention prospective et que les visions passées de l’actuel président américain, tel le projet de démocratiser le Moyen-Orient, ont, jusqu’à présent, toutes échoué sur des icebergs. La seule hyper puissance mondiale a toujours autant de mal à comprendre les mentalités étrangères à la sienne, les modes de fonctionnement qui leur sont associés, et, évidemment, à trouver des solutions applicables pour résoudre les conflits qui sont issus d’icelles.



Ceci dit, il serait trop facile et, pour tout dire, irresponsable, de ne pas attacher d’importance au contenu de cette dernière allocution. Certains, dans le monde arabe et en Israël, éprouvent cette tentation, car les propositions du Président contrarient leurs projets. Ceux-ci misent justement sur l’apparente faiblesse de la diplomatie US et sur le temps limité, avant la fin de son mandat, qui reste à George W. Bush afin de tenter de dégeler les crispations.



Peut-être les opposants à toute solution négociée dans notre région – je parle distinctement des islamistes, du front du refus arabe et des partisans du Grand Israël – ont-ils la capacité d’ignorer momentanément les propos provenant de la Maison Blanche, mais, ce faisant, ils en oublient que son pensionnaire n’a pas disserté sur un problème propre à l’Amérique, ni sur un différend théorique, mais celui qui hypothèque leur quotidien et leur avenir. Car les opposants à toute solution pacifique ont ceci en commun, que leur vision des choses ne comporte aucun futur.



Devant la faiblesse insigne de l’Autorité Palestinienne, rien ne serait pourtant plus simple, pour le gouvernement israélien, que de temporiser, laissant les Palestiniens finir de s’entre-dévorer et Mahmoud Abbas, Sami El Soudi et leur cause, continuer à perdre, chaque jour, un peu plus de leur crédibilité. Cette tentation stratégique existe, certes, car nul ne peut oublier que le Fatah a été, tour à tour, un ennemi voué à la destruction d’Israël, un partenaire de négociation, à nouveau un ennemi recourant systématiquement au terrorisme, puis, aujourd’hui, une institution désarticulée et désorientée, incapable d’imposer sa loi à qui que ce soit.



Laisser couler la représentation politique de la Palestine constituerait cependant, pour Jérusalem, un calcul à court terme. Une erreur. Parce qu’imaginer laisser 3.3 millions d’êtres humains hostiles, à sa porte, dans une stagnation politique indéfinie dans le temps, n’est pas le début d’une solution mais une invitation à une violence, sans fin heureuse perceptible, bref, le résultat d’une fausse analyse stratégique.



Le Proche-Orient étant ce qu’il est, si un élan constructif n’est pas imprimé en Cisjordanie et à Gaza, les islamistes et leurs cousins nationalistes panarabes, qui possèdent des théories enracinées dans les mentalités et qui sont bien organisés, finiraient, indubitablement, par s’emparer du contrôle d’une population qu’on laisserait à la dérive.



C’est une affaire de quelques mois, d’un an ou de quelques années ; mais, en termes historiques, dans la perspective de la pérennité de l’Etat hébreu, ce gain de quelques moments est dénué de toute signifiance. Toute durée dans laquelle une solution de pacification à long terme n’est pas élaborée au Proche-Orient ne représente, considérée objectivement, non du "temps gagné" mais du temps perdu.



On peut remarquer que le gouvernement Olmert a saisi les lois de cette dynamique, même s’il reste très difficile de réclamer à un Etat d’envisager faire des concessions véritablement douloureuses à un adversaire à la limite du K.O. Et ce n’est pas, fondamentalement, un réflexe sentimental ou opportuniste, que l’on pourrait reprocher aux Israéliens ; il suffit, pour le comprendre, à tout dirigeant d’un pays, d’imaginer avoir à négocier sur des questions existentielles avec un partenaire incapable d’assumer les conclusions d’une telle négociation, pour qu’il soit immédiatement pris de frissons, avant que de reculades.



Lors, quand Mademoiselle Rice ou Monsieur Bush poussent Ehoud Olmert à entamer les négociations du statut final d’un Etat palestinien avec Mahmoud Abbas, ils exigent d’Israël qu’elle mène des négociations dans un espace presque totalement virtuel. Si le Fatah parvient à survivre à la poussée islamique, à sa déroute électorale, à sa débâcle à Gaza, s’il parvient à se débarrasser de sa corruption endémique, si forte, qu’elle lui interdit tout mouvement, s’il se dote enfin des institutions et s’il trouve les hommes qui pourraient servir de base à un Etat, et d’une justice, s’il parvient à constituer une force de police suffisamment organique pour faire appliquer ses décisions, à convaincre les Palestiniens, et les autres Arabes, de la nécessité de cohabiter avec Israël, s’il parvient à récupérer Gaza et, pour terminer, mais c’est, à ce stade des "si", presque un point de détail, s’il arrive à se mettre d’accord avec les Israéliens sur les termes d’un traité de fin des hostilités, alors la paix régnera entre les Juifs et les Arabes…



D’où la proposition intéressante de M. Bush d’une conférence internationale à l’automne. Non pas d’une conférence fourre-tout, comme l’avait été le premier sommet arabo-israélien de Madrid, non pas d’une conférence à laquelle on convierait les ennemis irréductibles de la paix, type Axe du mal et islamistes, mais d’une réunion… heuh… orientée. J’ai presque envie de dire, d’une "conférence d’activistes" et des parties prenantes, dont l’intérêt vital réside en la réduction de la fracture israélo-palestinienne, pour priver les Frères musulmans et leurs métastases terroristes d’un de leurs arguments favoris pour faire flamber la terre.



Cette idée de conférence rappelle, dans ses objectifs, l’initiative de Nicolas Sarkozy d’une Union méditerranéenne. Ces deux projets concomitants ont pour but de proposer une alternative crédible à la dynamique de la Djihad. D’ouvrir un parapluie sur les pays arabo-musulmans soumis à la poussée islamiste, sans oublier de l’étendre à l’Occident et à Israël, qui en font également les frais.



Nombreux sont les pays arabes qui peuvent dialoguer avec Israël dans le cadre d’une réunion internationale, alors qu’ils hésitent à le faire à titre indépendant. Et puis, l’Amérique entend mettre à profit le souhait exprimé dans la proposition saoudienne, endossée par la Ligue arabe, car une négociation avec la Ligue, avec l’engagement des Etats qui y participent à la clef, extrait carrément la négociation du cadre virtuel que j’ai rapporté plus haut. Aux Palestiniens de s’exprimer dans le cadre de la proposition de Riad, c’est nettement plus solide.



La diplomatie américaine, constatant que la Ligue arabe se montrait incapable d’aller au-delà de sa proposition "à prendre ou à laisser", et consciente qu’Israël, même intéressée, si elle est confinée entre ces deux choix sera contrainte de repousser l’offre, veut organiser la conférence de cet automne. Washington met ainsi à disposition des protagonistes un espace où ils pourraient, au moins, entamer l’indispensable négociation en tête-à-tête, ce, sans que personne ne perde la face.



A l’arrière-plan de l’initiative Bush, on trouve la certitude du Département d’Etat que nous nous trouvons dans une phase de convergence stratégique entre les Etats arabes occidentalisants et Israël. Cette connivence s’est déjà exprimée spontanément à l’occasion de la dernière guerre du Liban et s’est poursuivie avec des rencontres au plus haut niveau, notamment entre le 1er ministre israélien et les monarques saoudiens. Objectif : s’opposer ensemble à la déferlante chiite. Passage obligé : dédramatiser le différend israélo-palestinien, de manière à pouvoir le résoudre. D’où l’impression, sur les rives du Potomac, que les divergences sont surtout techniques et qu’une rencontre internationale pourrait briser la timidité des Arabes, car pour s’entendre, il faut d’abord se parler, comme l’aurait rappelé M. de La Palisse.



Le président américain a énoncé, avant-hier, "une période de clarté" ; elle saute à l’esprit après avoir lu l’"éclairant" papier d’hier de notre camarade Sami El Soudi L’Autonomie se sépare de ses chimères mortelles. Le Fatah s’est enfin séparé des intégristes et des poseurs de bombes, ce qu’on attendait depuis vingt ans. Le schisme s’est fait par la force et la violence, non sur une décision concertée, mais seul le résultat importe. Israël dispose, face à elle, d’une direction, certes diminuée, de l’AP, mais qui désire, sans ambages et sans faux cols, négocier la solution des deux Etats pour deux peuples distincts. L’AP n’en a pas les moyens et ne contrôle pas le territoire sur lequel elle voudrait planter son drapeau. Reste la clarté, qui exige qu’on ne la sous-estime pas et qu’on la renforce avec intelligence.



Car ceux qui ont eu la patience de suivre l’allocution de George W. Bush jusqu’à son terme, auront sans doute remarqué qu’il n’a en aucun cas parlé de tenter, béatement, comme par le passé, d’organiser une paix globale à laquelle tous les courants seraient conviés. Son but, cette fois-ci, consiste à générer une alliance entre les Etats qui en ont objectivement exprimé le besoin. Comme les Arabes, les Israéliens, les Palestiniens, les Européens et les Américains. La lueur d’espoir, le rai de lumière, c’est que les derniers avatars en date semblent leur avoir suggéré qu’ils pourraient, pour survivre, avoir besoin les uns des autres.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le mercredi 18 juillet 2007 - 23h41:

La ‘TOILE’ Internet est un espace de liberté !

Chacun a le droit de s’exprimer,
Et ce n’est pas parce que ce film est d’origine Israélienne que celui-ci est une œuvre sacrée :
D’autant plus que quand bien même je ne l’ai pas vu ‘CE’ film ?
Il ne me semble pas mettre en valeur certains pans de la société israélienne :
N’y aurait-il alors que les Israéliens qui auraient le droit d’émettre un avis ?
Puisque critiquer un film israélien c’est intolérable. Inacceptable

Et pour nous en diaspora ?
Le seul droit qui nous resterait alors ?
Ce ne serait plus que celui d’évoquer les œuvres, ou les films, du reste du monde :
Le droit d’ingérer, digérer sans plaintes n’importe quel brouillis israélien sous le prétexte qu’il est justement ‘ISRAELIEN’ ??
Et puis à entendre certains ?
Critiquer un film d'ISRAEL ? C’est les critiquer tous!!
Critiquer un film d'ISRAEL c’est jeter l’opprobre sur ‘TOUT’ Israël et des pans entiers de sa culture ??

Encore une fois il n’est point d’art sans critiques :

http://diasporablogj.blogspot.com/2007/07/inedit-info-diasporablogj-des-juifs.html#links (klic klic)

suggest.1

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 18 juillet 2007 - 23h09:

Yoshua Rochtenberg est un jeune garçon de 18 ans, née d’une famille très riche.

Lors d’une promenade dans le tout Paris, il se retrouve par hasard dans le quartier du MARAIS.

Il fait la connaissance d’une jeune fille Miriam Ababou, fille unique 16 ans, issue d’une famille tunisienne installée à Paris. Elle aussi.

Ils se promettent de ce revoir.

Ils se revoient et une amitié commence à se tisser....

Un amour va poindre.

Suivez ‘...YOSHUA ou pas l’ombre d’un doute' la nouvelle de l'étè au PTB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Kfir (Kfir) le mercredi 18 juillet 2007 - 12h09:

Le nouveau ministre de l'Intérieur, Meir Sheetrit, s'est déclaré « choqué » de constater le nombre de non juifs vivant en Israel. Il souhaite entamer un débat sur la loi du retour car si ce n'est pas le cas il craint que dans quelques années Israel ne soit plus un Etat juif. (Guysen.International.News)

Il a ajouté que 70% des immigrants d'ex Union Soviétique n'étaient pas juifs, que des milliers de réfugiés africains s'infiltraient en Israel alors qu'une poignée seulement était originaire du Darfour et que des milliers de palestiniens illégaux vivaient et travaillaient dans le pays de façon permanente.

L’arroseur arrosé

Lundi 4 juin 2007 à 15:17


La brouille ne date pas d’aujourd’hui. Entre la communauté juive allemande, heureuse d’accueillir de nouveaux membres, et Israël, soucieux de voir lui échapper des nouveaux immigrants, les rapports demeurent particulièrement tendus.


En septembre 2006, la nomination de trois étudiants rabbins dans la ville de Dresde laissait entrevoir le dynamisme d’une communauté en pleine reconstruction, dont l’essor semble être particulièrement encouragé par le gouvernement allemand.

Ce dernier, qui aimerait bien contribuer à la renaissance d’une communauté juive, jadis éradiquée de la carte par l’ancien régime nazi, n’a cessé, depuis une quinzaine d’années de courtiser les immigrants russes par l’octroi de différents avantages.

Une politique qui semble porter ses fruits : Depuis les années quatre-vingt-dix, la communauté juive allemande aurait en effet triplé de volume.

Un constat de nature à aiguiser l’amertume de l’Agence Juive, laquelle peu enthousiaste à l’idée de perdre une importante partie de son potentiel de nouveaux immigrants avait dénoncé les différentes mesures allemandes prises en faveur des juifs russes.

Cette fois cependant, les récriminations proviennent de la communauté juive allemande.

Ses responsables ont en effet prévenu le Premier ministre israélien de leur intention de demander l’aide du gouvernement allemand pour que celui-ci empêche Israël d’encourager les juifs allemands à immigrer en Terre Sainte.

Cette étrange mise en garde, formulée par Stephan J. Kramer, le président du Conseil Central des Juifs en Allemagne, intervient après la décision interministérielle prise par Israël d’étendre à l’Allemagne les compétences de 'Nativ', un organe gouvernemental chargé de promouvoir l’immigration des juifs de l’ancienne URSS vers Israël.

Cette structure qui n'agissait que sur le territoire russe, aura désormais compétence à agir en Allemagne.

Une petite révolution qui suit de près le transfert d'autorité de 'Nativ'.
L'organe, qui fonctionnait jusqu’alors sous l’autorité du Bureau du Premier ministre a en effet récemment été placé sous celle du ministère des Affaires Stratégiques dirigé par Avigdor Lieberman.

En vertu de cette nouvelle décision, Nativ et l’Agence Juive travailleront en étroite collaboration afin de créer, dès la rentrée 2007, des oulpans d’hébreu et d’autres programmes éducatifs destinés aux 200 000 juifs ayant décidé de s’installer en Allemagne au cours des dix dernières années.

Ce changement de politique n’a pas sucité l’approbation du ministre de l’Intégration, Zeev Boïm qui a indiqué que ce genre d’opération pourrait être "dommageable".

Idem du côté de l’Agence juive, qui confronté à un échec de son action en Russie, renacle à l'idée d’aller repêcher les juifs Russes, désormais allemands, qui ont préféré la bière au houmous.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Kfir (Kfir) le mercredi 18 juillet 2007 - 11h57:

Israël : L’athlète de l’année

Par Albert Fratty pour Guysen International News

Jeudi 5 juillet 2007 à 11:38

L’athlétisme n’est pas, en Israël, une discipline sportive populaire ou attrayante. A l’exception d’un Alex Averbuh, champion d’Europe à la perche ou un Naki Pali, très grand espoir au saut en hauteur, tous deux nouveaux immigrants de l’ex-URSS, il faut bien avouer que peu d’israéliens ont franchi une petite notoriété nationale.


Les championnats d’Israël d’athlétisme qui se sont déroulés à Hadar Yossef, seul stade capable de les accueillir, n’ont pas dérogé à la règle.

Peu de performances notables ont été enregistrées ; on peut même dire que de nombreux concours et courses ont été remportés au prix de performances assez pitoyables au niveau européen…

Une jeune fille a pourtant marqué de son empreinte ces championnats. Elle s’appelle Ola Dor, elle a 31 ans et a battu d’un centimètre son propre record d’Israël au saut à la perche en franchissant 4,03m. Loin certes des meilleures performances mondiales mais Ola affirmait après le concours qu’elle était en pleine forme et qu’elle était persuadée de pouvoir passer 4,20m voire au plus au cours des prochains mois.

Mais nous n’avons pas choisi Ola uniquement pour ses performances sportives, non. Car Ola Dor, nom d’origine Olga Dogadko, a déposé l’an dernier une demande de conversion au judaïsme et s’était heurté à un mur de scepticisme et d’incompréhension auprès du tribunal rabbinique chargé d’étudier sa demande.

Ola, montée en Israël il y a dix ans, s’est vue exigée de cesser toute compétition en raison de sa tenue non-conforme, lors des compétitions, si elle voulait que sa candidature soit examinée. Elle a donc cessé durant plus de dix mois de participer à toute compétition mais les pressions pour la voir concourir à l’occasion des derniers championnats d’Israël ont eu raison de sa patience… Ola a pourtant formulé l’espoir de voir sa demande aboutir :

« Je tiens vraiment très fort à cette conversion. J’espère, si D .ieu veut, battre une nouvelle fois mon record d’Israël en tant que femme juive totale et entière. A ceux qui ne comprennent pas ma démarche, j’aimerais dire combien je suis fière d’appartenir à ce peuple. Durant des générations, mes ancêtres ont été privées de choisir et l’assimilation nous a décimée. Je veux revenir sur les pas de mon passé et j’espère vraiment obtenir ma conversion le plus rapidement possible ».

Vous comprenez mieux à présent pour quelle raison Ola est, pour nous, l’athlète de l’année !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 18 juillet 2007 - 06h33:

L’Autonomie se sépare de ses chimères mortelles (info # 011707/7) [Analyse]

Par Sami El Soudi © Metula News Agency



A regarder les accolades et les francs sourires de messieurs Abbas et Olmert, lors de leur rencontre d’hier à Jérusalem, il est difficile d’imaginer qu’il s’agit des leaders de deux peuples qui s’affrontent sans merci depuis un siècle environ. Je connais bien Abou Mazen, aussi je peux affirmer que l’endroit au monde où il se sent le plus à son aise, c’est la résidence du président du conseil israélien. Il est vrai que c’est un lieu où personne n’aurait l’idée de placer une bombe à son intention sous le tapis, comme ce fut le cas, sous la route qui devait le mener au domicile de son "frère" Ismaïl Hanya, lors du dernier rendez-vous que les deux hommes s’étaient fixés.



Encore étaient-ce les Israéliens qui, pour la cinq ou sixième fois, avaient informé le président palestinien du guet-apens que le Hamas lui avait tendu et qui lui sauvèrent ainsi probablement la vie. Pour qui fréquente Mahmoud Abbas, personnage redevable et prudent, ce genre de services n’est pas de ceux qu’il oublie facilement.



En fait, le meeting d’hier à Jérusalem marque un changement essentiel dans les relations entre l’Autorité Palestinienne et l’Etat hébreu. Le contenu du discours, quasi simultané, de George W. Bush, consacré au même thème, et l’ensemble de mesures de conciliation annoncé par Jérusalem en témoignent.



Je laisserai à mes confrères analystes de la Mena le soin de disséquer les déclarations de Bush, qui en valent la peine, et me contenterai d’aborder les modifications d’attitudes qui sont visibles au niveau du terrain. Ma première constatation allant dans ce sens, consiste à relever que les relations effectives entre l’AP et le gouvernement israélien, après la chute de Gaza, ne correspondaient plus à la façade antagonique que la direction du Fatah s’efforçait de présenter avant cette catastrophe.



Le sourire de M. Abbas, pris dans cette perspective, n’a rien d’étonnant ni d’artificiel : les Israéliens se sont comportés en vrais "meilleurs amis" avant, durant, et après la débâcle, ce que personne ne les obligeait à faire. La conduite du gouvernement Olmert et de son armée a permis d’évacuer des centaines de dignitaires et d’officiers de l’AP, souvent sous le feu des intégristes. Il n’est pas exagéré d’affirmer que, sauf l’intervention de Tsahal, la déroute de Gaza, pour le Fatah, aurait tourné au massacre d’une partie de ses élites. Il n’est pas faux, non plus, de dire qu’Israël, sur le plan politique, a amorti la portée de la noyade de notre Autonomie, qui s’est trouvée, et se trouve toujours, au bord de la désintégration.



Pas facile, en effet, de mobiliser la population palestinienne, depuis 1964, autour de l’option de la lutte armée contre Israël, lorsqu’on est mis en déroute, en moins de 24 heures, par une bande d’intégristes ne disposant que d’armes légères et trois fois moins nombreux que sa propre "armée de libération".



Effectivement, le grand leurre consistant à faire croire à la possibilité, à terme, de se mesurer à l’"entité sioniste" s’est évaporé, faisant place à un puissant sentiment de lassitude et de désintérêt pour la cause palestinienne.



Ces jours, on parle plus d’un Etat pour notre peuple à Washington et à Londres, qu’à Ramallah ou à Naplouse. Ici, on n’y croit plus vraiment, au point que les "irréductibles" miliciens du Fatah et des Brigades des Martyrs d’Al Aqsa se sont empressés d’accepter la proposition d’amnistie qui leur a été faite par Israël : la vie sauve, la liberté, contre leur engagement écrit et signé d’abandonner la lutte armée et de remettre leurs armes aux représentants officiels de l’Autorité Palestinienne.



Ceux dont les noms ne figurent pas sur la liste concernée par l’offre d’amnistie s’en plaignent d’ailleurs et ramènent leurs fusils-mitrailleurs quand bien même aucune immunité ne leur est publiquement garantie. Jusqu’à hier, plus de cent membres des "Brigades" avaient ainsi rendu leur arme, alors que 80 noms de miliciens de cette organisation seulement apparaissent sur la liste israélienne.



Des figures légendaires de l’"opposition armée", tel Zacharia Zoubeidi à Djénine, on été parmi les premiers à déposer les armes. Ils ont tous également accepté, aux termes du texte qu’ils ont signé, de passer une semaine dans les locaux de la police de l’AP et de s’y rendre une fois par jour durant une période de trois mois. C’est une manière de prouver la consistance de leur décision, Tsahal ayant la possibilité théorique de les arrêter dans les commissariats, si tel était son désir.



L’engagement israélien est conditionné par le respect de toutes les provisions de l’accord individualisé d’amnistie par les miliciens et terroristes repentis. Si l’opération est couronnée de succès, dans quelques mois, les Israéliens étendront leur offre à d’autres individus. Si ce n’est pas le cas, la traque des personnes recherchées reprendra.



C’est à l’effet conjugué de la débâcle de Gaza et de l’efficacité exceptionnelle – et inscrite dans la durée - de la chasse aux miliciens que l’on doit leur abandon volontaire de la lutte contre Israël. Ces évènements ont généré un sentiment fort et conjugué de déception, d’inutilité, de peur et de lassitude. Mais ce mardi matin, ce qui importe, pour la plus grande partie des Palestiniens de Cisjordanie, c’est qu’ils ne voient pas ces jeunes cow-boys, mi-combattants, mi-voyous, se déhancher dans leurs cités sous l’autorité menaçante de leurs fusils.



Ladite majorité de Palestiniens - je l’ai écrit et je le confirme -, qui accepteraient volontiers la carte d’identité bleue ciel des Israéliens s’ils la leur proposaient.



Mais ce n’est pas leur projet. Ils veulent, au contraire, une AP ressuscitée de ses cendres, forte, attrayante pour ses sujets, capable de faire régner l’ordre et la loi, et occupée à paver la voie de la Carte Routière, qui est, plus que jamais, l’unique document capable d’orienter la région vers la paix.



Les Israéliens, mais également l’Occident et les régimes arabes occidentalisants, exigent aussi d’Abbas et de son institution qu’ils s’engagent à ne pas renouer de dialogue avec les islamistes. Olmert l’a rappelé sans fioritures à son interlocuteur et Saëb Erekat, son ministre des Affaires Etrangères et responsable des négociations avec Israël, l’a confirmé publiquement, peu de temps après la rencontre.



De son côté, Jérusalem – en phase avec Washington – a décidé d’une série de mesures destinées à revivifier l’Autorité Palestinienne. Cela passe d’abord par le transfert de fonds : Israël nous a déjà restitué 100 millions de dollars qui nous reviennent de la perception, par ses soins, de diverses de nos taxes, et que Jérusalem avait gelés tant que perdurait l’expérience du cabinet Hamas. A cela, les Etats-Unis ajouteront un chèque de 250 millions dans leur devise, à titre de ballon d’oxygène, urgent pour la respiration de l’AP.



Ce n’est qu’un début, la Maison Blanche a décidé d’un train d’autres aides économiques, que j’ai chiffrées entre 500 et 700 millions de dollars, qui devraient nous parvenir d’ici la fin de l’année. Pour s’assurer que nous ressuscitions bien, Washington nous envoie l’ex-premier ministre britannique, Tony Blair, qui assumera la lourde tâche de s’assurer du bon usage de cet argent, de nous aider à constituer des institutions crédibles ainsi qu’un système judiciaire digne de ce nom.



Israël va également relâcher environ 250 prisonniers, presque tous affiliés au Fatah, durant les jours à venir.



Elle autorisera aussi le retour en Palestine de Naëf Hawatmeh, le chef du FDLP, demeurant actuellement à Damas, et de Farouk Kaddoumi, figure emblématique de l’OLP, demeuré à Tunis lors du retour d’Arafat. Cette initiative est destinée à permettre, très prochainement, la réunion du Conseil Central de l’OLP, que Mahmoud Abbas compte substituer au Conseil Législatif Palestinien (dans lequel les islamistes détiennent la majorité des sièges) en tant que parlement de l’AP. Or, pour légitimer cette manœuvre, M. Abbas a besoin du plus large éventail possible de personnalités représentatives des divers courants de la cause.



Les lecteurs de la Mena réaliseront sans doute, en prenant connaissance des éléments contenus dans cet article, le poids des changements intervenus dans les dynamiques des relations israélo-palestiniennes. On pourrait presque imaginer que notre leadership a pris la décision historique de quitter l’option autodestructrice, instaurée par Yasser Arafat et adoptée par les Palestiniens islamiques, pour commencer à construire notre entité politique étatique. Certes, mais il s’agit des premiers pas d’un long périple, pour lequel il nous faudra des chevaux frais. Et ne pas oublier qu’on ne pourra pas créer d’Etat palestinien limité à la Cisjordanie, ni même aborder sérieusement la phase finale d’hypothétiques négociations conclusives, ce, tant que le drapeau vert du Hamas flottera sur Gaza. Et il faudra plus que leur souffler dessus depuis la Maison Blanche ou même les velléités revanchardes de quelques escrimeurs éconduits du Fatah pour arracher la bande des griffes des partisans inconditionnels de la Djihad locale, régionale et planétaire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 18 juillet 2007 - 02h00:

Gaydamak pourrait être extradé vers la France - 17 juillet 2007 -

La police a annoncé lundi 16 juillet que le milliardaire Arkadi Gaydamak pourrait être extradé en France si Paris en faisait la demande officielle.

Gaydamak est visé par un mandat d'arrêt international depuis le 6 décembre 2000, renouvelé en mars 2001, et détaillant sur 494 pages les charges pesant sur l'homme d'affaires, notamment poursuivi pour "blanchiment d'argent, blanchiment aggravé, abus de biens sociaux, abus de confiance, fraude fiscale et commerce d'armes illicite".

La fortune de l'homme aux multiples passeports - en tant que citoyen de la Russie, de la France, d'Israël, du Canada et d'Angola - est estimée à 800 millions de dollars, voire à plus d'un milliard de dollars.

Même si Paris demande l'extradition du milliardaire, celui-ci pourrait y échapper. En effet, dans les années 1970, Israël avait refusé d'extrader vers la France le député Samuel Flatto-Sharon, poursuivi dans une affaire de fraude.

Source : Jerusalem Post édition française

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 18 juillet 2007 - 01h45:

Kouchner contredit par le Hezbollah

Le parti libanais n’a pas donné de nouvelles des deux Israéliens capturés. Par Jean-Pierre Perrin - mardi 17 juillet 2007

Bernard Kouchner s’est-il trop avancé en laissant entendre avant-hier que les deux soldats israéliens enlevés par le Hezbollah étaient vivants ? Hier, en effet, le Parti de Dieu a nié énergiquement que ses deux représentants à la réunion interlibanaise de La Celle-Saint-Cloud (Yvelines) aient jamais donné la moindre information sur la situation de ces deux militaires, dont la capture, le 12 juillet 2006, avait été à l’origine de la dernière guerre israélo-libanaise. Cités par Al-Manar, la télévision du Parti de Dieu, des responsables ont affirmé que jamais leur sort n’avait été abordé et que la discussion entre les deux responsables islamistes et le ministre français n’avait pas duré «plus de ­quinze secondes».
Lors de la conférence de presse qui avait suivi la conférence, Kouchner avait indiqué avoir reçu «l’assurance que les négociations [sur la libération des deux soldats] continuaient, qu’elles étaient, à des détails près, en bonne voie en particulier avec l’organisation des Nations unies» et qu’il avait proposé à ses interlocuteurs «d’être utile là aussi». Relancé sur la question de savoir si les soldats israéliens étaient encore vivants, il avait déclaré : «C’est ce que j’ai compris.» Hier, au Quai d’Orsay, on précisait que la réponse du ministre était induite par le fait que si des négociations étaient en cours les deux hommes devaient être vivants.
En fait, il aurait été exceptionnel que le Hezbollah livre des informations sur les deux prisonniers tant le secret fait partie de la culture idéologique du parti. Même la Croix- Rouge, selon des informations israéliennes, n’a pu obtenir des informations sur l’état de santé des prisonniers, lesquels auraient été blessés, dont l’un grièvement, pendant l’attaque contre leur patrouille. De surcroît, explique un analyste libanais, ­jamais le Hezbollah ne livre une information sans obtenir quelque chose en échange.