Archive jusqu'au 03/décembre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Decembre 2005: Archive jusqu'au 03/décembre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le vendredi 02 décembre 2005 - 10h29:

Finkielkraut, le Sarkozy des intellos

Par Pascal Bruckner

Qu'il soit bien clair : je ne participerai pas à la curée contre Alain Finkielkraut, qui est à la fois un ami, un frère spirituel et un intellectuel avec qui je partage tant de choses. Je connais son goût du martyre, son appétit pour le scandale, sa volonté d'avoir raison contre tous, son pessimisme à toute épreuve. Il en use ici à satiété. Il mêle dans cet entretien deux sortes de provocations : une qui relève de l'humeur plus que de l'esprit, une autre enfin qui produit un effet de vérité et qui ébranle les dogmatismes. Relisant ses propos dans « Haaretz », je remarque un manque de nuances, voire des affirmations péremptoires que je n'aurais pas contresignées et qui pourraient desservir la cause qu'il entend défendre. Nier ou minimiser la réalité de la discrimination au faciès ou à l'adresse n'est tout simplement pas raisonnable. On dirait parfois que la conversation a été faite sous transes. Mais je n'y vois aucune incitation à la haine raciale, et les excuses qu'il a présentées ensuite le prouvent.

Le tollé que provoque cet entretien, la réaction absolument hystérique des médias montre à quel point il touche juste. Je sens dans ses paroles un homme désespéré qui ne reconnaît plus la France qu'il a aimée et se détourne d'une patrie défigurée. Finkielkraut est notre conscience malheureuse, le prophète qui annonce sans relâche la catastrophe pour en prévenir l'arrivée. J'entends dans ses imprécations une exaspération légitime face au climat de bien-pensance qui écrase notre pays et contribue à son abaissement. Il y a vingt-trois ans, je publiais « le Sanglot de l'homme blanc », où je dénonçais déjà la culpabilisation de l'Occident, accusé de tous les maux de la terre parce que lui et lui seul pratique l'autocritique et le repentir. J'y évoquais déjà à l'époque le racisme anti-Blancs dont je demandais qu'il soit dénoncé au même titre que les autres. Je fus pour cet essai mis au ban de la gauche pendant des années, y compris dans ce journal. Alain Finkielkraut lui-même jugea le livre à l'époque excessif. Je constate qu'il m'a rejoint sur ce point.

Je croyais cette vision du monde qui oppose une Europe coupable, forcément coupable, à un Sud toujours innocent et intouchable périmée. Entendre aujourd'hui, en 2005, que la France vit une « fracture coloniale », voire reste une puissance coloniale sur son propre territoire et occupe les banlieues à la manière d'une armée étrangère, laisse pantois. Lire sous la plume d'intellectuels responsables ou de sociologues chevronnés que les « indigènes de la République » continuent à Clichy-sous-Bois ou aux Minguettes le même combat qu'à Diên Biên Phu ou dans les Aurès est d'une niaiserie abyssale. Apprendre qu'un historien reconnu, Olivier Pétré-Grenouilleau, spécialiste de l'esclavage, est aujourd'hui avec son éditeur, Pierre Nora, de Gallimard, menacé, diffamé, poursuivi en justice pour avoir étudié dans un livre récent les trois traites négrières, africaine, arabe et occidentale, relève de moeurs néostaliniennes qu'on croyait révolues. L'impossibilité d'avoir un débat sur l'islam radical, l'immigration, le nationalisme sans être traité de fasciste prouve le degré de confusion mentale où se trouve notre pays ! Si Voltaire vivait aujourd'hui, il serait traîné devant les tribunaux par nos antiracistes intransigeants !

On dirait que toute une partie de l'intelligentsia, dans un masochisme enthousiaste, ne trouve rien de mieux que calomnier la France, la piétiner, l'humilier au moment même où les milliers d'immigrants qui se pressent à nos portes prouvent à quel point elle reste désirable pour tant d'étrangers. Vient un moment où le mensonge n'est plus supportable. Alain Finkielkraut joue dans le monde intellectuel le même rôle que Sarkozy dans le monde politique : il est le détonateur, celui qui donne un coup de pied dans la fourmilière des endormis. Je préfère mille fois ses outrances aux radotages du politiquement correct qui font depuis vingt ans le jeu du Front national. J'invite tous les esprits libres, quels que soient leurs désaccords par ailleurs, à le soutenir face à la tyrannie de minorités totalitaires porteuses d'un antisémitisme abject et d'une intolérance repeinte aux couleurs du progressisme.

Source: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p2143/a289102.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 02 décembre 2005 - 04h50:

Ya Si Tun, je me dois de me joindre à Slim pour son merveilleux et lucide raisonnement.. En effet en tant que peuple qui a passé par tant de mauvaises expériences pendant des siècles, nous ne devons pas fermer les yeux, ni nous taire devant le mal. Il faut appeler la chose par son nom et ne pas l’ignorer. Les exemples sont hélas assez nombreux et je ne voudrais pas les citer, car Slim les a bien énumérés. Il faut au contraire se méfier de ce genre de propagande. Il ne faut pas avoir honte de dénoncer le mal là où il se trouve. Il faudrait prendre les paroles de Slim comme des paroles de sagesse et d'un homme conscient du mal. Celui qui sème du mal ne sera pas épargné. Le mal ne connait pas d'amitié et ne sera jamais reconnaissant a celui qui l'a fait naître. En tunisien on dit "Eli Yohfor Hofra Yohforha Beqiassou" (Celui qui creuse un trou le creuse à sa taille). Ce genre de propagande fait plus de mal à celui qui l'exploite et l'entretient. Encore plus, inculquer la haine aux enfants innocents pèsera lourd et longtemps sur ceux qui le font et sur leur peuple. Donc Ya Si Tun combien vos intentions sont bonnes et je vous crois, j'espère que vous saisissiez le raisonnement de Slim. ESALAM ALIK OU RAHMET ALLAH.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le vendredi 02 décembre 2005 - 01h19:

Ahmadinedjad revendique le droit à la bombe nucléaire


Pour défendre leur dossier nucléaire, les dirigeants iraniens jurent par leurs grands dieux qu'ils ne cherchent à développer que la branche civile de ce programme dans le but de disposer d'énergies alternatives lorsque le pétrole viendra à manquer. Et si le Conseil de Sécurité n'est pas encore passé à des mesures coercitives, c'est grâce à l'habileté des émissaires iraniens qui parviennent à semer le doute sur les intentions de la "République" des mollahs.

Ce doute n'a plus lieu d'être:

Déclaration du président Mahmoud Ahmadinedjad ce mercredi 30 novembre 2005:

"La propagande internationale et la pression politique n'affecteront pas la volonté de l'Iran d'obtenir la technologie nucléaire...Ceux dont l'arsenal regorge d'armes de destruction massive tentent de priver le peuple iranien de ses droits. Le peuple ne permettra pas que l'on piétine ses droits"...

"de ses droits" se rapportant à "armes de destruction massive".

On ne peut être plus clair...


Primo-Europe

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 01 décembre 2005 - 21h31:

PROCES D'OUTREAU.

'..LEURRE DE LA JUSTICE..!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Slim (Slim) le jeudi 01 décembre 2005 - 20h55:

Cher Monsieur/Madame Tun:

Avec tout le respect que je vous dois, je dois m'opposer a votre interpretation quant au fait que Mr. Soued est tombe dans le piege de la Chaine Iqra (Iqra est l'imperatif du verbe "lire" 2eme personne singulier, c'est aussi, selon la tradition Musulmane, la premiere parole du premier verse du Coran prononcee par le prophet Mohammad, et transmis par l'ange Gabriel).

Ce n'est pas en ignorant de telle paroles, de telles monsonges, et une telle haine gratuite que l'on pourra eliminer ce genre de fleau (c'est avec ce genre de propagandes qu'ont commences les genocides Rouandais et Burundais, L'Holocauste, le massacre des Bosniaques et des Croates, l'elimniation des Turques dans les pays des Balkans, l'expulsion des Armeniens et des Assyriens de l'Anatolie, etc). Il faut bien connaitre qui vous veut du mal pour savoir comment l'eduquer, et au cas ou cela n'est pas suffisant, de l'affronter avec tous les moyens possible. Comme vous pouvez le constater dans cette video, ce genre de journaliste sans scrupule veut manipuler les cerveaux des plus jeunes, car ils/elles sont les plus impressionables/vulnerables.

Comme example concret, l'Europe a ignoer pendant tres longtemps les seromons des Imams fanatiques qui prechaient dans ses mosquees, et a cause de ce choix naif de sa par, l'Europe est devenue une plaque tournante du terrorisme Islamiste international, car c'est dans ce genre de milieu que le fanatisme nait, s'epanoui, et s'exporte.

Je suis un fervant croaynt de la libre expression, tant que celle-ci n'insiste pas a la haine et a la destruction.

L'ironie dans cette affaire, c'est le nom meme da chaine. Iqra doit etre un nom donne a une chaine d'ouverture, de connaissance, de lecture, de sciences, et de debats libres. Cette chaine represente l'oppose meme du mot Iqra!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 01 décembre 2005 - 20h47:

Qui a dit que Bush n'est pas un bon communicateur ???

c:/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 01 décembre 2005 - 20h14:

La révolution culturelle est toujours en marche (2ème partie) (info # 010112/5) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Si un Emile Zola anonyme se présentait aujourd’hui avec son J’accuse à la rédaction d’un media généraliste français, on lui conseillerait poliment d’aller ouvrir un blog.



Pas parce que les journalistes concernés éprouveraient de l’antipathie pour le contenu de ce texte, en tout cas pas à titre personnel ni dans la plupart des cas. Pour d’autres raisons. La première, c’est que son contenu est trop compliqué ; qu’il demande trop à réfléchir et que, lorsqu’on a compris les injustices patentes qu’il dénonce, il appelle autant le media que le lecteur à agir, à prendre leurs responsabilités.



Or dans l’évolution de la société européenne, les priorités ont changé pour tout le monde. On en est à la civilisation du loisir, entendez par là, que le temps de nos contemporains se trouve de plus en plus partagé entre deux activités exclusives : le travail, limité le plus souvent à fournir les moyens pour subvenir au coût de la vie et, avec les surplus de revenus, à se payer la tranche la plus grande possible de loisirs. Ensuite, les loisirs en question, qui consistent à en faire le moins possible, à se transformer en récipient de tous les divertissements que le monde actuel peut nous procurer sans nous "casser la tête".



C’est cette notion, que j’ai fortement caricaturée sans pour autant, je crois, corrompre sa représentation essentielle, qui va définir les contours de l’offre et de la demande dans pratiquement tous les domaines de l’existence et, particulièrement, dans les produits que les media offrent à l’homme hors de son travail.



On trouve ici l’une des raisons poussant vers le journal unique et le media unique, que j’ai évoqués dans la première partie de ce papier. Tous les media, les quotidiens, les magazines, les radios et les chaînes de télévision établissent leur production sur la base d’études similaires. Toutes tendent à répondre ultimement à la même interrogation, garante de la vente des produits médiatiques : "que veut le blaireau ?".



Toutes ces études alertent l’entertainer, le divertisseur, sur un interdit central : ne déranger le carcajou sous aucun prétexte, au risque de le perdre. Alors, bien sûr, en des temps où on a tous la même came à proposer, la concurrence est colossale, et la perte d’un client, pire, son passage chez un autre divertisseur, constitue la gaffe extrême, le faux-pas à éviter à tout prix : "Tudju, cassez pas la tête au blaireau !" compose l’élément prépondérant de toutes les lignes éditoriales de tous les media généralistes.



Conclusion : pas de risques téméraires aux bénéfices aléatoires. Rester dans la norme ! C’est ce qui fait qu’on va surtout soigner l’emballage, le luxe, la scintillance ; pour le reste, on s’en tient à la norme issue des études. C’est entre autres pour cela que les téléspectateurs peuvent switcher à n’importe quel moment durant les journaux télévisés (c’est également le cas en Israël, bien sûr !), ils sont presque certains d’atterrir sur la même rubrique, qui sera traitée de manière presque identique sur la une, la huit et la dix-sept. C’est parce que le choix des sujets, l’exclusion des sujets, leur ordonnance, leur longueur, résultent de la mise en pratique des mêmes règles.



Ne pas oublier non plus que Bébert et sa petite famille sont le plus souvent à table à l’heure de l’édition principale du JT. Pas question, dans ces conditions, de lui créer des aigreurs d’estomac avec des images trop acides – c’est le zapping assuré ! –, ni de leur coller la migraine avec des trucs trop compliqués – là, chez les Bébert, ils risquent de quitter l’écran des yeux et de demander à Justine pourquoi elle a ramené un sept en histoire-géo. C’est le pré-zap. Encore un item qui leur fait perdre le contact cathodique et ils se réfugient chez Schoenberg, non sans avoir poussé en choeur le cri qui tue les chefs de rédactions : "la télé c’est de plus en plus nul !" –. Alors mollo sur le chaland : intéresser, oui, déranger, non. Eveiller la curiosité, oui, exciter, non. Dire que ça va très mal en France, tkssss, mais assurer que ça va aller mieux ! Prétendre qu’à l’étranger on avance, re-tksss, mais à l’étranger, on ne connaît que des déboires et des catastrophes…



Vous comprendrez que, dans ces conditions, Monsieur Zola, son J’accuse, il peut se le… à un endroit par lequel on ne pense pas grand-chose d’ailleurs (Francis Blanche, Pierre Dac).



Ceux que le culte du loisir ne dérange pas plus que cela, ce sont les dirigeants politiques ; pendant que leurs concitoyens se distraient, eux, ils font un peu ce qu’ils veulent. Car cette nouvelle façon de vivre a imposé des priorités qui, l’air de rien, je veux dire sans passer par la confrontation des idées, a bouleversé la société pis que les plus terribles révolutions sanguines.



C’est qu’on ne peut pas se soucier avant tout de ses loisirs et simultanément corriger les injustices. On évolue dans la réalité relative, celle qui fait de nous des princes paresseux, un peu cons, et privés de toute prérogative personnelle. L’un des droits que certains considèrent comme indissociable de l’exercice de la société démocratique, c’est par exemple le "droit au scandale". Les grands scandales, dont le traitement déchaînait les foules, et les mises à plat qui faisaient chuter les gouvernements, occupent une place secondaire dans la civilisation du divertissement.



Tous pourris, et alors ? semble se dire Bébert, beaucoup plus pris par les demi finales de la Star-Ac’ que par la révélation de ce que ses dirigeants politiques, d’en bas, de tout en haut, de droite et de gauche, ont bouffé des années durant au râtelier du tyran Saddam Hussein. Que ses grosses industries, dont des entreprises publiques, ont participé aux constructions maffieuses d’un gazeur de gamins, et que l’ambassadeur de son pays à l’ONU a vendu le vote de la France pour quelques millions de barils d’or noir qui empeste.



Des condamnations ? Deux trois lampistes, qu’on ne va certes pas envoyer à la guillotine ! Comme dans l’Affaire Elf [voir l’article Le procès Elf n’a pas eu lieu, d’Ilan Tsadik], l’Affaire du sang contaminé, les Juifs de France Télévisions qui dansent pour fêter la mort d’Arafat, Sharon qui rit de toutes ses dents pour la même raison, le directeur des infos étrangères de France 2, Thierry Thuillier, qui met impunément en scène des flagrants délits d’assassinats d’enfants par des Israéliens [voir Les émules d’Enderlin à un doigt de l’accusation de crime rituel], la Controverse de Netzarim, bien entendu, et la participation de la France au génocide d’un million d’Africains…



Dans l’univers du loisir roi, ces évènements ne sont pas primordiaux. Les responsables restent en place, lorsqu’ils n’obtiennent pas de l’avancement. Le système peut se permettre de s’écrémer à peine, ou même de ne pas s’écrémer du tout. Le système perdure et les magouilles continuent, souvent du fait des mêmes escrocs. Bébert s’en fout. D’ailleurs, Bébert ne lit plus, même si les media-papier et leurs antennes sur Internet s’efforcent de ne pas le fatiguer, en diffusant des articles courts, softs, et écrits dans un français de communication, la langue hyper dépouillée des Français au repos.







A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Finzi (Finzi) le jeudi 01 décembre 2005 - 18h59:

Réponse à l'article de Marion Van Renterghem paru dans Le Monde :

Je me demande pourquoi on n’a pas pensé à décrire une Fatima B. qui elle aussi vivrait au coeur de la cité des 4000 et qui oui, aurait un apt propret qui trancherait avec le hall.

Aucun signe particulier sur cette femme enfin ... tout dépend de qui la regarde ... basanée, typée, d’origine maghrébine ...

Elle doit bien exister cette petite Fatima élégante la quarantaine passée, pas voilée, et qui camoufle sa lassitude de vie, non ?

Elle serait horrifiée de la rapide dégradation de son cadre de vie, « saoulée » par le bruit des mecs qui zonent en bas de chez elle. Elle serait même emmerdée par la prolifération des femmes voilées et surtout de la liberté qui rétrécit comme une peau de chagrin. Elle aurait élevé ses enfants correctement et serait elle aussi, terrifiée de la montée de l’islamisme dans son quartier. Ce n’est pas comme ça qu’elle rêvait sa vie quand elle était petite écolière à l’école de la République. Elle aussi en a plus que ras le bol d’entendre le Coran à fond sur des cassettes, elle aimerait bien danser et rire comme les femmes à la télé ... et pourquoi pas, boire une petite coupe de champagne, tiens, rien que pour fêter sa promotion ! Elle se sent mal. Ce petit bout de femme ne sait pas comment lutter contre tout ce mal alors elle fait ce qu’elle peut : elle bosse et élève ses enfants tranquillement et correctement. Non, ils n’étaient pas dehors pendant les émeutes. De temps en temps, elle quitte sa banlieue sordide et va rêver dans les Grands Magasins. Elle admire les immeubles environnants et se dit que si elle continue ses efforts, ses enfants auront une vie plus agréable que la sienne. Ils pourraient même peut-être habiter un de ces immeubles proprets de la capitale. Pourvu qu’elle ne mente pas à ses enfants, pourvu que cela se réalise un jour.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Tun (Tun) le jeudi 01 décembre 2005 - 18h47:

salut les amis je voudrais me permettre de vous supplier de faire quelque chose,ne faites attention a ce genre de reportage et de propagande c´est du n´importe quoi ,de plus cette chaine (iqra )dont vous avez tire le reportage est une chaine fanatique et vous etes tombe dans leurs propres piege qui est d´attirer votre attention et de vous provoquer,donc n´y faites plus attention et ne leurs acordez pas votre attention,merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 01 décembre 2005 - 12h49:

Après le lynchage médiatique, les menaces..

M.Finkielkraut s'est vu aborder en pleine rue par un motar qui lui a dit '

'...Je vous ferais bien la peau..!'

Ce motar n'était rien d'autre qu'un journaliste de l'huma.

Ce fait nous a étè rapportè par Madame Elisabeth de Orient Proche Info sur l'antenne de radio J.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 01 décembre 2005 - 09h45:

le mot le plus simple Primo...'

Dites lui...

'...Que nous l'aimons du fond du coeur..!'

Albert