Archive jusqu'au 08/juillet/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Juillet 2007: Archive jusqu'au 08/juillet/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 08 juillet 2007 - 10h48:

Le Mouvement Siona

Le Consistoire de Paris

Les familles de Guilad SHALIT, Oudi GOLDWASSER, et Eldad REGEV


Vous invitent à participer nombreux à l’office solennel pour la liberations des trois jeunes soldats israeliens, detenus en otage par des organisations terroristes,


Le dimanche 8 juillet 2007, a 18 heures,

A la synagogue, 44 rue de la Victoire, 75009 PARIS

Metro LE PELETIER ou NOTRE-DAME DE LORETTE

Les familles SHALIT, GOLDWASSER, et REGUEV participeront a cet office, en presence de

Joseph SITRUK, grand rabbin de France,

David MESSAS, grand rabbin de Paris,

Daniel SHEK, ambassadeur d’Israel en France,

Jean KAHN president du Consistoire central,

Joel MERGUI, president du consistoire de Paris,

Richard PRASQUIER president du CRIF (Conseil representatif des instituions juives de France)

ROGER PINTO, president de Siona.


Allez y nombreux ... c est aujourd hui aussi que les parents des soldats enleves rencontrent Nicolas Sarkozy .... Montrez votre inquietude et votre attachement ... Ve Yachouvou Banim le Gvoulam !!! Amen ve Amen

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 07 juillet 2007 - 22h10:

Technion invente les capteurs solaires placés sur des ballons à hélium - Par Sébastien Fortin - 6 juillet 2007 -

Un ballon solaire qui produit de l'électricité, un vrai gain de place.

Les chercheurs de l'institut de technologie du Technion ont conçu une nouvelle méthode de production d'électricité grâce à des ballons d'hélium recouverts de cellules solaires.


 BALLON SOLAIRE

Ballon solaire.


Les scientifiques des départements d'ingénierie aéronautique, d'architecture et du génie civil ont déjà installé deux modèles, un à Haïfa et un autre dans une zone déserte en manque d'électricité.

Dr. Pini Gurfil, qui dirige le projet environnemental, a expliqué que pour produire l'électricité à partir de l'énergie solaire les ballons pourraient être utilisés à une basse altitude dans le ciel.

Gurfil et Yossi Corrie, étudiant en doctorat, ont développé une technique qui consiste à utiliser des ballons remplis d'hélium recouverts de cellules d'énergie solaire pour fournir de l'électricité.

Un seul et même câble apporte à la fois l'hélium au ballon et l'électricité à la terre.

Les chercheurs du Technion estiment que chaque maison ou appartement n’aurait besoin que deux ballons. S'ils étaient produits en masse, leur coût pourrait être réduit en dessous des 500 euros le mètre carré de piles solaires estimés aujourd'hui.

Le duo a breveté son invention et espère que cette technologie concurrencera les actuels producteurs d'électricité.

Cette technologie pourrait être utilisée dans un premier temps pour assurer l'électricité aux bateaux et aux maisons dans les jungles, les déserts ou autres lieux isolés. Mais au-delà de cette première étape, Gurfil et Corrie espèrent que les maisons dans les villes autour du monde obtiendront leur électricité à partir de tels ballons.-



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2/

L'énergie solaire illumine un village du Néguev

Un village arabe de la région du Néguev est devenu la première communauté au monde à être équipée d'un système d'électricité solaire, conçu pour subvenir à tous ses besoins en énergie.

Grâce aux efforts conjugués des services gouvernementaux et d'une compagnie privée d'électricité naturelle Interdan, le système a été installé dans 20 des 100 maisons de Drijat et va éclairer les salles de sciences et d'ordinateurs de l'école locale, la mosquée et les réverbères, qui vont maintenant illuminer le ciel sombre de la nuit du désert. Suite…

Sur la route nationale conduisant à la ville israélienne d'Arad dans la partie nord du Néguev, il n'y a aucun panneau indiquant le village de Drijat. Ce n'est qu’au bout de 4 Kms d'un petit chemin que vous apercevez enfin le panneau indicateur.

Mais derrière l'anonymat du village se cache une réalisation qui le rend unique. Récemment, il est devenu la première communauté du pays et du monde à être équipé d'un système d'électricité solaire à usages multiples fournissant de l'énergie au village entier.

Ce projet de développement du Néguev et de la Galilée, instauré par le Ministère de l'Infrastructure Nationale, les Services de Développement du Néguev et le bureau de M. Shimon Pérès, membre de la Knesset, a illuminé les rues et la mosquée de ce petit village bien propret.

Situé au pied des collines de Hébron, Drijat est le seul village arabe israélien dans le Néguev. Les habitants sont traditionnellement des ouvriers agricoles, à l'opposé des bédouins, qui sont nomades. Les 850 habitants de Drijat appartiennent tous au même clan celui d’Abou Hamad. Le village fut créé il y a 150 ans par la famille Abou Hamad du Mont Hébron, laquelle vivait dans des grottes qu’elle avait creusées dans le centre du village.

Après la création de l'Etat d'Israël, ils construisirent des maisons permanentes en pierre.

Jusqu'à ces derniers temps, Drijat, comme beaucoup d'autres communautés arabes du Néguev, n'était pas reconnu par le gouvernement. Ceci signifie qu'il n'était connecté ni à l'eau, ni à l'énergie électrique ni aux autres services. Après avoir lutter avec la bureaucratie pendant des années, les villageois ont finalement gagné leur bataille il y a deux ans et ont été reconnus officiellement par l'état. A l'heure actuelle, le gouvernement essaie de rattraper le temps perdu en fournissant aux habitants de Drijat les services fondamentaux.

Pour cela, il a chargé Interdan, entreprise privée israélienne d'électricité naturelle, de mener à bien l'installation actuelle et la gestion du projet. L'énergie est recueillie par 8 panneaux solaires photovoltaïques installés sur les toits, puis entreposée dans un système de batterie DC qui la convertit en AC. Selon Inderdan, elle fournit (ou pourrait fournir, s'il était relié au village) un courant stable de la même qualité que celui fournit par la compagnie d'électricité nationale. Les batteries produiront de l'électricité pendant la nuit et les jours nuageux pendant 4 jours, sans lumière solaire directe, événement rare dans le désert du Néguev.

« Ce qui est unique c'est qu'ils ont transformé un village entier en village solaire moderne et pas seulement en installant des systèmes individuels pour faire marcher le téléphone, comme ils le font en Afrique », dit Gil Nezer, directeur du marketing de Interdan.

Par contre, ce que le système ne peut garantir, c'est l'utilisation des climatiseurs et des appareils de chauffage, qui pourraient rapidement consommer toute l'énergie stockée. Les groupes électrogènes sont donc encore utilisés pendant la nuit.

« Notre espoir réside dans la réduction de l'utilisation des groupes électrogènes, dès que tout le village sera connecté aux panneaux solaires » poursuit Nezer. « L'essentiel existe dans le fait que nous pouvons utiliser l'électricité pendant la journée ».

Cette réalisation a déjà modifié la vie des habitants. Tagrid Abou Hamad, femme au foyer, présente sa spacieuse maison qui a été équipée d'un système solaire. « Maintenant les enfants ont quelque chose à faire pendant la journée : ils peuvent regarder la télévision ou utiliser l'
'ordinateur. Je n'ai pas besoin de m'inquiéter pour eux » dit-elle. « Nous avions l'habitude d'allumer des bougies et c'est dangereux ».

Le voisin de Tagrid, Nasser Abou Hamad, est d'accord. « C'est particulièrement important pour les enfants. Au lieu de vagabonder dehors et que les parents ne sachent pas où ils sont, ils peuvent regarder la télé ou utiliser l'ordinateur. Et cela les aide à étudier ».

Après avoir compté durant des années sur des groupes électrogènes privés, bruyants, instables et polluants, les habitants, grâce à l'
'installation des systèmes solaires, vont pouvoir dorénavant utiliser des appareils domestiques fonctionnant grâce à une électricité naturelle « verte », même pendant la nuit ou les jours nuageux.

Jusqu'à maintenant, le système, fabriqué par l'entreprise canadienne Xantrex, a été installé dans 20 maisons sur la centaine existant dans le village, les salles de sciences et d'ordinateurs de l'école locale, la mosquée et les réverbères du village.

Aujourd'hui, le village est également éclairé par des lampes fonctionnant grâce aux panneaux solaires installés sur des poteaux situés le long des rues. Abou Hamad précise que, par le passé, il était désagréable de rentrer à la maison tard dans la nuit. « Tout était fermé et obscur. Maintenant le village est illuminé et vous pouvez voir absolument tout. On a une impression de sécurité ».

Pour la première fois, le dôme vert de la mosquée est illuminé de façon « théâtrale ». Abou Hamad est convaincu du fait que c'est la première mosquée au monde, qui reçoit sa lumière par l'intermédiaire de panneaux solaires.

Le long processus par lequel les familles de Drijat décidèrent qui recevrait les premières unités ,a connu sa propre dynamique sociale ; le critère principal de choix fut le nombre de membres de la famille vivant dans la maison, mais les familles ayant des personnes sérieusement malades parmi elles, vinrent en tête de liste.

Les conditions d’obtention de l'énergie (soleil, vent et hauts niveaux de radiation) sont facilement disponibles dans la région mais elles ont été laissées en grande partie inexploitées, en ce qui concerne la production de l’énergie solaire.

M. Nezer d’Interdan ajoute que sa société espère que Drijat servira de modèle pour répandre l'utilisation de l’énergie solaire dans tout Israël.

par Patricia Golan

De mon correspondant spécial en Israêl.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 06 juillet 2007 - 19h42:

Etats-Uniens ou Américains, that is the question

La note “Etats-Uniens”, du 4 juin, ayant retenu l’attention du “New York Times”, celui-ci nous a demandé un article sur la question, publié aujourd’hui ainsi que par l’IHT (et traduit du français par les soins du “NYT”). Nous en donnons ici la version française originale.

En France, dans la presse ou dans une conversation, quand on parle des “Américains”, sans autre mention, il n’existe aucune ambiguïté : il s’agit des ressortissants des Etats-Unis d’Amérique. Il arrive, mais c’est rare (dans des ouvrages historiques ou ethnologiques notamment) qu’Américains soit pris dans un sens générique et désigne l’ensemble des habitants du Nouveau Monde, mais le contexte permet d’identifier cette acception.

Notons que certains diminutifs comme Ricains (première attestation en 1918), Amerloques (1945) ou Amerlos (1936), pas forcément hostiles, mais qui ont pris une teinte péjorative pendant la guerre froide, font référence exclusivement aux USA.

“Américain” (la majuscule initiale est réservée au “gentilé” substantif, l’adjectif se contentant d’une minuscule) est une sorte de mot à tiroirs, dont le sens varie selon les contextes, et qui pourrait illustrer une théorie des ensembles : tous les Américains (des USA) sont américains, et pourtant, tous les Américains ne sont pas américains (des USA) !

Une sorte de machine de guerre “altermondialiste”

Il est certain que ce mot, fruit de l’Histoire, attesté dès le XVIe siècle, mais pouvant s’appliquer à d’autres qu’aux seuls habitants des Etats-Unis, au contraire de Canadiens, Mexicains, Argentins, etc., a quelque chose d’insatisfaisant pour l’esprit, et qu’il pourrait s’en trouver un autre, d’aventure, qui soit plus précis.

Voilà une soixantaine d’années naquit discrètement au Québec Etats-Uniens (orthographe non fixée, il y a aussi Etasuniens et Etatsuniens), dont la diffusion a d’abord été modeste : il est désormais assez fréquent dans les médias, et nous connaissons même une émission sur France-Inter, tous les samedis (”Rendez-vous avec X”), qui l’emploie exclusivement. Cependant, l’homme de la rue continue à dire “Américains”. Une occurrence récente d’Etats-Uniens (pas la première, pourtant, loin de là), dans une “newsletter” éditée par le site Internet du Monde a provoqué l’ire d’un lecteur, qui y a vu une charge anti-américaine, considérant ce terme comme une sorte de machine de guerre “altermondialiste” (ce courant politique étant friand du mot).

L’écho d’une saga de science-fiction” ?

En guise de réponse, nous avons édité, le 4 juin, une note sur notre blog Langue sauce piquante, simplement intitulée “Etats-Uniens”, qui défendait son usage en termes mesurés : ce mot n’est certes pas très joli ni musical, mais il répond à une certaine nécessité. Elle a suscité un grand nombre de commentaires, très contrastés, allant de l’opposition absolue (en raison de son anti-américanisme supposé, de sa “laideur”, de son inutilité, de son côté “snob”, ou “ridicule”, voire “sarcastique” et n’ayant de sens “que pour les intellectuels”), à l’approbation enthousiaste, notamment pour contrer l’appropriation “impérialiste” du gentilé, en passant par la proposition de termes formés de la même façon mais jugés plus adéquats, comme Usaniens ou Usiens (à l’instar du grec Usanos, qui termine “à la grecque” les initiales américaines USA, alors que lesdites initiales font IPA dans cette langue). Un commentateur s’envole même pour l’espace : “Etats-Unien”, n’est-ce pas “l’écho d’une saga de science-fiction“ ? Une mention spéciale pour un intervenant qui déclare : “Bien sûr que les USA sont le seul pays au monde sans nom ! les deux premiers mots définissent son organisation politique, et le dernier sur quel continent il se trouve”, ce qui est sans doute une référence à l’ex-URSS, dont le nom ne comportait effectivement aucun ancrage géographique, mais qui est abusif pour les USA, où il est quand même fait référence à un continent ! “Pourquoi chercher à changer le monde ?” lance ce blogueur, alors qu’un autre vote pour “Etats-Unien”, qui a l’avantage de “relier un Bostonien à un Alabamais”.

Enfin, certains blogueurs font très justement remarquer qu’il existe déjà un adjectif curieux, US, invariable et formé de deux majuscules accolées (un véritable ovni typographique), assez présent dans la presse (surtout quand elle manque de place, en particulier dans la “titraille”), comme dans l’Humanité du 18 juin, en page 24, qui parle d’“intervention militaire US en Irak”.

Combler un manque lexical

Pour notre part, en tant que correcteurs du site Internet du Monde, vestales de la langue française et responsables de sa bonne tenue orthographique et sémantique, nous sommes tenus d’avoir une opinion, qui est la suivante : Américain a pour lui la légitimité historique, Etats-Unien, son “challenger”, est assez pertinent et comble en partie un manque lexical ; en fait, ils se complètent et nous laisserons donc les deux cohabiter… même si nous titille la tentation d’une pratique nouvelle. Et nous ferons peut-être ainsi mentir Pierre Bayle, historien et critique français du XVIIe siècle, grand défenseur de la liberté de penser, qui écrivait : “Notez que la naissance d’un mot est pour l’ordinaire la mort d’un autre ; c’est comme à l’égard des productions de la nature”.

http://correcteurs.blog.lemonde.fr/ du 6 juin2007

La traduction en anglais dans

Op-Ed Contributor
There’s a Word for People Like You

By MARTINE ROUSSEAU and OLIVIER HOUDART
Published: July 6, 2007

http://www.nytimes.com/2007/07/06/opinion/06rousseau.html?_r=3&oref=slogin&oref=slogin&oref=slogin

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 06 juillet 2007 - 18h38:

Gaza : la fiction envahit la réalité (suite et fin) (info # 010407/7) [Analyse]

Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency

Arafat d’abord, le Hamas ensuite : c’est l’âme de la destruction qui règne. Alors qu’un peuple qui veut se lever et acquérir sa juste place au sein des nations désire, avant tout, se construire, c’est au contraire le nihilisme qui a inspiré, dès le départ, le pseudo peuple « palestinien ». Encore je ne parle pas des perdants, ces nombreux « Palestiniens » qui auraient préféré agir autrement, mais qui ont toujours été assujettis à leur leadership, la courroie de transmission des maîtres internationaux de l’ingénierie politique.

C’est pour cela que jamais la paix n’a été possible : dès le départ, et en permanence, la fonction impartie aux ustensiles « palestiniens » a toujours été celle d’instruments violents des intérêts soviétiques, arabes et islamiques dans la région pour des motifs géopolitiques et stratégiques. Or c’est dans la réalité que les croyances et les assertions se vérifient : si ce que je qualifie d’assemblage artificiel avait eu le moindre vouloir-vivre ensemble, la moindre ambition de nation-building, de construction nationale, il l’aurait, de toute évidence, mis en pratique. Qu’après plus d’un demi-siècle d’ « existence » proclamée, il n’en ait pas exhibé la capacité, mais ait toujours fait le mauvais choix de la destruction et de l’autodestruction, voilà les preuves accablantes de mon analyse. Ce sont les derniers clous dans leur cercueil, que les « Palestiniens » s’évertuent à refermer sur la terre qu’ils ont, à mauvais escient, réclamée comme leur. Et les plus récentes occurrences, les triomphes électoraux et militaires du Hamas, après le choix de l’Iran comme nouveau « patron », sont encore venus étayer la réalité dont je parle.

Notons que dans la grande tromperie « palestinienne », on s’est tôt évertué à tout confondre : « notre terre », disaient les « Palestiniens », « leurs terres », psalmodiaient les autres. Mais s’agissait-il de la terre que possède un individu, un clan ou une tribu, c’est-à-dire, se trouvait-on sous un régime de propriété ? Ou s’agissait-il du régime politique, c’est-à-dire de la souveraineté politique ?

Les territoires régis par des régimes impériaux et tribaux font mal ce genre de distinctions, mais le trouble servait les desseins confusionnistes : être propriétaire d’un verger, ce n’est pas en être le souverain politique ! Confondre les deux, c’est tout mélanger à dessein. Mais l’embrouille n’a jamais cessé : tout comme les ingénieurs socioculturels soviétiques, l’intelligentsia marxiste européenne manufacturait, elle aussi, du faux ethnologique à plein régime ; les années soixante étaient emplies de la « poésie palestinienne » qui devait annoncer un peuple à créer, lequel existait surtout dans les proclamations sanguinaires du Fatah, de l’OLP et du FPLP – lesquels travaillaient, avec délice, en suivant les indications du KGB et des services de renseignement arabes.

Poètes, les représentants locaux des « Palestiniens » à Paris et ailleurs, qui, raffinés, culbutaient les rombières d’extrême gauche extasiées à coups de poésie le jour, et préparaient l’assassinat des enfants juifs la nuit. Voilà qui vous aide à mettre sur pied une nation ! C’était l’époque où, en Europe, on « prenait la parole », où, sous couvert de « donner » la parole au peuple, on inventait du faux peuple, on manufacturait du peuple-Michelet, du peuple-Victor Hugo, on attribuait à un Peuple manufacturé dans l’officine gauchiste et littéraire toutes sortes d’attributs léninistes, maoïstes et autres. L’IRA « était » le peuple irlandais, l’ETA « était » le peuple basque, le PC vietnamien « était » le peuple vietnamien, Pol Pot « était » le peuple du Kampuchéa. L’OLP et Cie « étaient » donc, logiquement, « le » peuple « palestinien » : c’était la mission historique du « peuple » en question qui en déterminait l’existence. Le lecteur familier des concepts hégéliens remâchouillés marxiens apercevra aisément le peuple « en soi » et le peuple « pour soi » : la fiction philosophique envahissait la réalité sous les traits rébarbatifs de la dialectique soviétique, chaussée de godillots guébistes.

Il y avait plus. La politique bolchevique avait toujours été largement visuelle, tout comme la religion orthodoxe russe : elle agissait moins par le Verbe que par l’Image. Elle agissait largement par l’icône que l’on vénère, les vertus en lesquelles on croit. C’est une religion qui agit directement par la voie du symbole – l’orthodoxie croit moins à la vertu de ce que le symbole représente, qu’en l’action directe du symbole (l’icône) sur la réalité : magie de l’image ! D’où la force des images des films d’Eisenstein, par exemple, qui recréèrent, recomposèrent, redéfinirent la réalité, l’image se substituant à la réalité. Lénine conçut, aussi promptement que Joseph Goebbels, la puissance du film, et l’utilisa avec semblable alacrité. Il confia à son protégé, le jeune et doué agitateur et manipulateur Willy Münzenberg, l’orchestration de l’iconographie filmique de l’Internationale communiste. Il s’agissait de manufacturer du mythe visuel – le Cuirassier Potemkine, Ivan le Terrible, etc. De créer des mythes à forte composante visuelle. Les artistes « prolétariens » ou bolchevisants s’y mirent avec enthousiasme, eux qui développaient à la fois un art d’irrationalité visuelle, à l’instar de Vladimir Mayakovski et des Futuristes russes d’un côté, et des Surréalistes conquis au communisme de l’autre.

On créait du mythe, de l’icône, susceptibles de mobiliser. L’Internationale communiste se spécialisa dans la manufacture de récits hagiographiques mobilisateurs et porteurs. Les amateurs d’histoire pourront se référer au Procès de Leipzig, intenté à Georgi Dimitrov, aux assises et aux spectacles du Front populaire, aux Grands Procès de Moscou, liturgies du pseudo-Bien et du pseudo-Mal, etc.

Les parades et défilés sur la Place Rouge de Moscou, stricts équivalents des parades nazies orchestrées par Albert Speer, rythmaient l’imaginaire romantique et visuel. Les créateurs de mythes mobilisateurs travaillaient à plein régime : Fidel Castro fut ainsi créé (avec l’aide du New York Times et de son grand reporter Herbert Matthews, gauchiste soviétophile bon teint) ; Che Guevara fut assemblé comme légende combattante ; l’atelier contribua à engendrer l’image de Mao, grâce aux journalistes Agnes Smedley, Edgar Snow et leurs semblables, grands menteurs devant l’éternel ; Ho Chi min, grâce à Wilfred Burchett, entre autres employés de l’Internationale Communiste.

Yasser Arafat fut construit de la même manière par la méga-machine de propagande centrée à Moscou. Le voyou de bas étage devint – étonnante métamorphose – le « héros » controuvé du « peuple » inventé, avec l’aide de « La Voix des Arabes » et des autres media moyen-orientaux, dans lesquels les patrons politiques – les services secrets locaux et surtout les politiques panarabes et panislamistes – possédaient un intérêt stratégique.

L’historiographie moderne admet tout à fait la création de « réalités fictionnelles » qui deviennent « sources de réalité. » Elle ne l’a simplement pas assez étendue et développée : les nazis inventèrent non pas les griefs des Allemands des Sudètes, mais leur transformation en processus politique majeur ; l’URSS passa maîtresse dans les fables permettant de violer les frontières, de légitimer les assauts et les manoeuvres – y compris l’invention de la République d’Azerbaïdjan -, permettant de partitionner l’Iran, parmi les stratagèmes et subterfuges du même type.

C’est ici qu’interviennent la convergence et la complicité de ceux qui trouvaient l’intérêt commun qui permit l’invasion de la réalité moyen-orientale par la fiction « palestinienne ». Quand un instrument nouveau fait son apparition dans la politique mondiale, les divers acteurs s’intéressent aussitôt aux usages qu’il est possible d’en faire. Quand l’instrument est strictement dénué de fondements dans la réalité et s’avère incapable d’y plonger des racines, il est incapable de générer une transition de l’invention à la réalité la plus minime.

Il y aurait peut-être eu un moment historique où aurait pu naître un peuple palestinien. Ce qui est sûr, c’est que les éléments constitutifs de ce peuple putatif en auront constamment décidé autrement, dans toute la mesure où l’artifice qui avait, dès l’abord, présidé à sa pseudo-création l’emportait sur le principe de réalité.

L’appel du néant et la volonté de destruction qui régnaient, dès le départ, sur le mouvement palestinien, ce mouvement consacré à la terreur et à la ruine, au massacre et au sang, ont si intimement formé et moulé le pseudo peuple qu’ils prétendaient créer ou représenter, qu’il n’en est plus resté quoi que ce soit d’autre : telle est la leçon de la prise du pouvoir et de contrôle de Gaza par le Hamas.

Alea jacta est ! disaient les Romains, le sort en est jeté.

Notes : l’intégralité des éléments historiques utilisés dans cet article sont développés dans les livres de l’auteur :


- The Mind of Jihad, t. 1, Presses de l’Institut Hudson, Washington, DC, 2005

- Pandora’s Boxes, Vol. 2 : The Mind of Jihad II, Presses de l’Institut Hudson, Washington, DC, 2007

- The Mind of Jihad, t. 3, à paraître, Presses de l’Institut Hudson, Washington, DC, 2008

Les deux premiers volumes seront également réunis et agrégés dans le cadre d’un volume unique à paraître aux Presses Universitaires de Cambridge en 2008.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 06 juillet 2007 - 14h59:

Avec les salutations de Braham

description

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 06 juillet 2007 - 08h38:

1/
La machine à silence de l'entreprise israélienne Silentium par Lionel Amsellem - Jeudi 5 juillet 2007 -
Votre univers de travail est devenu insupportable, les machines font trop de bruit; Achetez une machine à silence !

LA MACHINE ANTI BRUIT

Autrefois (et encore aujourd'hui) l'atténuation du bruit était basée sur l'isolement par des murs.

Mais une entreprise israélienne a créé une boite révolutionnaire qui diminue le bruit.

La technologie est impressionnante car cette machine va en fait créer un signal « anti-bruit ». Celui ci va interférer avec le bruit original et va le réduire.

La société Silentium dit pouvoir baisser le bruit d' environ 10DB.

Le produit est une boite peu coûteuse et susceptible de réduire le bruit à basse et à moyenne fréquences. Les applications commerciales sont illimitées.

La société Silencium est basée à Rehovot.

Pour plus de renseignement : http://silentium.com

ActiveSilencer Docking Station


The ActiveSilencer' Docking Station (ASDS) represents a breakthrough in noise reduction. This soundproof product has been designed to reduce noise generated by workstations and servers.
The ASDS reduces equipment noise by up to 10dB(A) while keeping the original airflow path undisturbed. It utilizes a combined solution of specialized soundproofing material and Silentium's proprietary Active Noise Control (ANC) technology. The ASDS; is the most advanced solution for the growing IT noise problem faced by today's workforce. Silentium's proprietary noise-cancelling technology is highly effective in reducing low-frequency noise. When combined with unique high quality acoustic materials this product achieves unprecedented spatial noise reduction over the entire frequency bandwidth of the audible spectrum.

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2/

le Technion découvre une thérapie révolutionnaire pour stopper la progression de tumeurs du cerveau Par David Rosenfeld - Mercredi 4 juillet 2007 -
Le Prof. Yoram Palti du Technion de Haïfa a découvert les vertus de champs électriques contre le cancer.

Les expériences réalisées avec succès ont été publiées ce mois-ci dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences USA.

Poser des électrodes sur le crâne et diffuser un champ électrique de faible intensité multiplie par plus de 2 les chances de survie pour les patients souffrant de tumeurs du cerveau.

La technologie dénommée Novo-TTF (Tumor-Treating Fields) agit directement sur le mode de division cellulaire des cellules cancéreuses. Les résultats sont tellement encourageants que la U.S. Food and Drug Administration a autorisé le Prof. Yoram Palti à sauter les tests cliniques de Phase II pour passer directement à la Phase III. Fait très rare.

La technologie Novo-TTF devrait permettre des résultats cliniques d'ici 2010. A cette fin, Prof. Palti a créé la société NovoCure Ltd..

Présentation

Bienvenue sur le site NovoCureTrial.com. Ce site Internet contient des informations relatives à l’étude clinique (EF-11) pivotale (phase III), approuvée par la FDA, portant sur le dispositif NovoTTF-100A. Cette étude clinique est menée auprès de patients atteints d'un glioblastome multiforme (GBM) récurrent ou évolutif. Le promoteur de l'étude a créé ce site afin de faciliter le recrutement des patients pour cette étude.

Le dispositif et le traitement
Le NovoTTF-100A est un dispositif expérimental portable destiné au traitement du cancer par application de champs TTFields (champs de traitement de la tumeur) (L'ASPECT SCIENTIFIQUE). Il est destiné à une utilisation continue à domicile par les patients (LE TRAITEMENT) atteints d'un GBM récurrent ou évolutif (L'ÉLIGIBILITÉ). Deux des dix patients atteints d'un GBM récurrent et inclus dans l'étude clinique pilote se sentent bien et leur tumeur n'a pas évolué, plus de deux ans après l'initiation du traitement. Chez l'un des deux patients, la tumeur n'est plus visible à l'IRM (' EXPÉRIENCE CLINIQUE).

ATTENTION. Dispositif expérimental. EXCLUSIVEMENT limité à une UTILISATION EXPÉRIMENTALE par la loi américaine.

L'étude clinique
Cette étude est une étude pivotale (phase III) contrôlée et randomisée destinée à tester l’efficacité et la sécurité d’un nouveau dispositif médical, le NovoTTF-100A (L'ÉTUDE). Le nombre total prévu de patients participant à l’étude est de 236. Le recrutement de patients pour l'étude a actuellement lieu dans plusieurs centres aux États-Unis et en Europe (LES CENTRES).

Nouvelle publication
Veuillez consulter la revue "Proceedings of the National Academy of Science"
(PNAS) et lire le dernier rapport scientifique sur le Novo-TTF. http://www.pnas.org

EN SAVOIR PLUS
Contexte
Une étude clinique pivotale approuvée par la FDA (phase III) teste actuellement le dispositif NovoTTF-100A. Ce dispositif a précédemment été testé dans deux études pilotes européennes. Les données provenant de ces études laissent penser que le dispositif NovoTTF-100A pourrait augmenter l'intervalle de temps avant que la maladie n'évolue ainsi que la survie globale moyenne chez les patients atteints d'un GBM récurrent ou évolutif.

Étude pilote européenne menée auprès de patients atteints d'un GBM récurrent. Deux des dix patients se sentent bien et leur tumeur n'a pas évolué, plus de deux ans après l'initiation du traitement.
Chez l'un des deux patients, la tumeur n'est plus visible à l'IRM.
L'intervalle de temps avant que la maladie n'évolue était deux fois plus long chez les patients traités, par rapport à un groupe témoin apparié.
La survie moyenne était deux fois plus élevée chez les patients traités, par rapport au groupe traité dans l'étude clinique GLIADEL*

Les patients ont pu conserver leurs activités quotidiennes habituelles pendant toute la durée de l'étude

Informations complémentaires
http://www.pnas.org

Effets secondaires.

Contrairement à la chimiothérapie ou la radiothérapie, le dispositif NovoTTF-100A ne semble pas entraîner d'effets indésirables significatifs. Certains patients ont signalé une irritation cutanée sous les électrodes.

Aucun effet indésirable grave lié à l'utilisation du dispositif n'a pu être observé au cours de plus de 120 mois d'exposition cumulée au dispositif NovoTTF-100A

CES CONCLUSIONS REQUIÈRENT DE PLUS AMPLES ÉTUDES AVANT DE POUVOIR ÊTRE VALIDÉES
* http://www.accessdata.fda.gov/

De mon correspondant spécial en Israël.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 06 juillet 2007 - 00h53:

FORMIDABLE MR GERMAIN ALIAS BRETOU DU PTB....

J'ai hate de lire la suite..... BRAVO TU NOUS LAISSE EN HALEINE......

J'espere pouvoir lire la suite des aventure de YOSHOUA de la yeshiva et des haras.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 05 juillet 2007 - 21h53:

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YOSHUA OU PAS L'OMBRE D'UN DOUTE

AU PTB....


Yoshua, 18 ans, fils d'une riche famille et noble, LES ROCHTENBERG, tombe sur une jeune fille, au hasard d'une rencontre dans le quartier du Marais, à Paris, d'une jeune fille juive de parent tunes, Myriam Ababou 17 ans.

Il en tombe amoureux.

Amour, émotion, angoisse etc...Dans une nouvelle tirèe de la caboche de Albert.

A lire en dilettante après le déssert.

Ce soir 4 chapitres...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le jeudi 05 juillet 2007 - 21h59:

"Lettre à mon fils captif depuis un an"

en pdf à l'URL de l'article en exclusivité pour le Fugaro :
http://www.lefigaro.fr/international/20070705.WWW000000357_lettre_a_mon_fils_captif_depuis_un_an.html


Claudie Baran (Le Figaro Magazine).

c:/
Le jeune caporal Gilad Shalit.



EXCLUSIF FIGARO MAGAZINE Un an après l’enlèvement du jeune soldat israélien, le Figaro Magazine s’est procuré une lettre écrite par ses parents, qui ont «l’espoir fou» qu’elle lui parvienne.
GILAD SHALIT a été capturé par des activistes palestiniens le 25 juin 2006. C’était il y a un an. Le 3 juillet, pratiquement jour pour jour après l’enlèvement du jeune tankiste, le journaliste anglais Alan Johnson était libéré. Une bonne nouvelle qui pourrait être suivie d’une seconde quand Ismaïl Haniyeh, dirigeant du Hamas et ancien Premier ministre palestinien, dit espérer que « le cas du soldat israélien Gilad Shalit puisse également trouver une issue avec un accord honorable qui garantirait la libération de nos héros prisonniers dans des geôles israéliennes ».

Un espoir pour la famille de Gilad : Noam (53 ans) et Aviva (52 ans), ses parents ; Yoel (24 ans) et Hadas (17 ans), son frère et sa soeur. Noam Shalit, directeur de marketing dans une société américaine, n’est pas dupe pour autant. Pour lui, le dirigeant du Hamas, qui, voilà plusieurs mois, avait déjà annoncé la libération de son fils, n’a aucun pouvoir sur les groupes armés qui sévissent dans la bande de Gaza. De plus, les dernières nouvelles sur l’état de santé de Gilad sont alarmantes.

Dans un message diffusé par le Hamas il y a quelques jours, le caporal israélien affirme que sa santé ne cesse de se dégrader et qu’une hospitalisation prolongée s’impose. Crise d’angoisse pour la famille ! Ses parents ont donc décidé de lui adresser une lettre avec l’espoir « fou » qu’elle parvienne jusqu’à sa cellule. Nous la publions dans son intégralité. Une exclusivité du Figaro Magazine.


« Notre cher fils Gilad »
C’est ici chez nous, à Mitspe Hilla, en Galilée occidentale, que je t’écris cette lettre. Je suis
assis face à tes dernières photos prises l’été dernier et j’entends comme bruit de fond ta voix
brisée et hésitante provenant de la cassette que tu nous as adressée la semaine dernière. C’est
tout ce que nous avons de toi pour le moment, après cette longue année de silence, cette
année qui nous semble interminable pour nous comme pour toi, j’en suis sûr.
Tu dois certainement bien te douter que maman et papa, ta soeur Hadas, ton frère Yoel et les
autres membres de la famille qui t’aiment tellement sont terriblement anxieux. Après une si
longue absence, tu nous manques tant. Tu n’imagines pas à quel point nous sommes inquiets
pour toi et à quel point tu nous manques !
Je suis certain que tu sais le calvaire que nous vivons, toute la famille souffre pendant cette
longue année et je suis persuadé que tu sais que nous faisons tout notre possible pour te
ramener à la maison. De nombreuses personnes en Israël, en Egypte, en France et dans le
monde entier ne cessent d’oeuvrer pour ta libération contre celle des autres prisonniers
palestiniens qui veulent également rejoindre leurs familles. Nous ne cesserons pas tant que
nous n’aurons pas la joie de te serrer dans nos bras ici chez nous à la maison. Je tiens à ce
que tu saches que l’Etat d’Israël s’est engagé pour ta libération et est disposé à libérer des
centaines de prisonniers palestiniens pour que tu reviennes sain et sauf à la maison.
Il nous est très pénible de n’avoir aucune nouvelle, de ne pas savoir comment tu te sens, quel
est ton état de santé. Quelle est la gravité de ta blessure, comment tu traverses cette période
difficile et de quelle manière tu es traité par les organisations qui te détiennent.
Ces organisations déclarent que tu es un prisonnier de guerre, mais à mon grand regret elles
n’appliquent pas les conventions des droits que l’on accorde aux prisonniers de guerre selon
les lois internationales et selon la religion islamique. Cette religion qui ordonne de se
conduire avec les prisonniers de guerre d’une manière digne et humaine en leur octroyant
tous les droits auxquels ils ont droit et en pourvoyant à leurs besoins. Les droits que l’Etat
d’Israël accorde dans leur totalité à tout prisonnier palestinien quelle que soit la raison de
son arrestation.
Malgré ton très jeune âge, sois fort cher Gilad et tiens bon. Je sais que c’est une période
éprouvante, mais ne craque pas, ne fléchis pas jusqu’à ta libération. Nous ferons tout ce qui
est en notre pouvoir pour que cette libération soit très proche. Nous espérons qu’en fin de
compte les organisations seront assez charitables pour te transmettre sans délai cette lettre
qui vient de tes parents. Comme tous les prisonniers palestiniens détenus en Israël qui ont la
joie et la consolation de recevoir et d’envoyer des lettres à leurs parents et à leurs frères.
Mon cher Gilad, que nous soyons bientôt réunis à la maison. Nous t’embrassons et nous
t’aimons.
Maman et Papa »
PROPOS RECUEILLIS PAR C. B.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le jeudi 05 juillet 2007 - 19h41:

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=9221&artyd=5

Farfour meurt en martyr
05/07/07

- Thème: Proche-Orient

Memri publie un extrait du dernier épisode de l’émission pour enfant "Pionniers de demain", diffusée sur la chaîne du Hamas. Dans cet ultime épisode, Farfour le clone de Mickey, meurt en martyr.

Alors qu’il promet à son grand-père mourrant de défendre et de « libérer cette terre de la souillure des Juifs criminels et usurpateurs », il se fait arrêter et interroger par un Israélien. A la suite de son interrogatoire, il est envoyé en prison où il meurt. A la fin de l’épisode, l’animatrice conclut : « "Oui, mes chers enfants, nous avons perdu notre plus cher ami, Farfour. Farfour est mort en martyr en défendant sa terre, la terre de ses pères et de ses ancêtres. Il est devenu un martyr entre les mains des criminels, des assassins, des assassins d'enfants innocents, qui ont tué Iman Hijo, Muhammad Al-Dura et beaucoup d'autres encore. »

Le clip est consultable sur le site Internet du MEMRI, à l’adresse suivante :

http://www.memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1497.

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