Archive jusqu'au 29/octobre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Octobre 2005: Archive jusqu'au 29/octobre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 28 octobre 2005 - 14h55:

Shabbat Shalom 28 10 05

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 28 octobre 2005 - 08h32:

Mini Conférence => Divorce : comment réagir ?

mardi 15 novembre 2005

A partir des éclairages psychologique et rabbinique, ces matinées vous invitent à réfléchir aux questions essentielles qu'on se pose pendant et après une séparation.

Les intervenants :
- Michelle Bergheimer, psychologue, psychothérapeute, psychanalyste
- Salomon Malka, Rabbin de la Synagogue St Lazare et au Service des divorces
- Paul Sillam, psychothérapeute, Président de l'association CHAAR

10h-12h Salle Jérusalem du Consistoire de Paris
Entrée libre - Nbre de places limité :
Réservation sur le répondeur de l'association 01 34 19 29 07

Association CHAAR
Depuis février 2000, le Consistoire de Paris propose aux couples qui divorcent religieusement un accompagnement psychologique. Cette cellule d'assistance est animée par Michelle Bergheimer et Paul Sillam. Dans le livre Famille Face au Divorce, les Psys de l'association CHAAR font un bilan de leur mission au sein du Consistoire et proposent une base de réflexions psychologique et biblique.

Plus d'info sur le livre des psys "Famille Face au divorce:"

http://www.consistoire.org/accueil_detail_evenement.asp?cle=75

Plus d'infos sur l'association CHAAR
http://www.topj.net/chaar

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 28 octobre 2005 - 08h26:

Mérimée-Boidevaix : le "droit commun" et le "politique" (info # 012710/5) [scoop]

Par Luc Rosenzweig © Metula News Agency

Panique dans la "rue arabe" du Quai d'Orsay : l'intrusion du juge Philippe Courroye dans les tripatouillages des deux Excellences Jean-Bernard Mérimée et Serge Boidevaix risque de remonter jusqu'au coeur même de cette institution où se mijotent, à l'abri des regards indiscrets, les petits plats qui font la grande cuisine diplomatique française.

Les seuls qui ont quelques raisons de se sentir à l'abri des éclaboussures, sont l'ex-ministre Hubert Védrine et les "diplomates de gauche" de son entourage immédiat, Pierre Sellal et Loïc Hennekine, qui avaient pris soin de se couvrir par écrit en mettant en garde nos deux ambassadeurs de France à la retraite de ne point confondre leurs affaires avec celles de la France.

Les autres, de Chirac à Villepin en passant par Gourdault-Montagne, pourraient se voir demander des comptes, s'il se révèle, comme c'est hautement probable, que nos deux lascars ont régulièrement informé leurs anciens collègues de leurs interventions à Bagdad au temps de Saddam.

Il y a donc urgence à se mettre à l'abri, et à limiter la curiosité, puis la vindicte des juges et du public, à ceux qui ont eu la malchance de se faire prendre les doigts profondément enfoncés dans le pot de confiture.

Cette contre-offensive consiste essentiellement à charger au maximum Mérimée et Boidevaix, qui deviennent ainsi des fruits pourris tombés de l'arbre sain qu'est notre admirable service diplomatique.

Pour ce faire, il n'est pas de meilleur vecteur que le Canard enchaîné, porte-parole habituel de la rue arabe du Quai d'Orsay. Claude Angeli, rédacteur en chef de l'hebdomadaire satirique, dispose là d'une boîte aux lettres ouverte jour et nuit, alimentée régulièrement de "notes confidentielles" dont le contenu, fidèlement reproduit chaque mercredi, confirme naturellement le bien fondé de la "politique arabe de la France" et la nocivité intrinsèque des agissements de l'administration Bush et du gouvernement d'Ariel Sharon.

Dans son édition du 26 septembre, c'est sous la signature de Nicolas Beau, qui se verrait bien succéder à un Claude Angeli qui approche de l'âge de la retraite, que l'on peut lire un article édifiant sur les moeurs de nos éminents diplomates.

On n'hésite devant rien pour traîner dans la boue deux hommes devant qui ceux qui les accablent aujourd'hui faisaient naguère mille courbettes quotidiennes.

Le plus vulnérable est Jean-Bernard Mérimée, dont le réseau au sein des cercles du pouvoir se limite, si l'on peut dire, à deux has been qui furent ses condisciples à l'ENA, Lionel Jospin et le Baron Ernest-Antoine Seillière, ci-devant président du Medef, l'organisation patronale française. Comme il n'y a donc pas de raison de se gêner, la rue arabe du Quai refile à Nicolas Beau des rapports d'inspections du ministère indiquant que ledit Jean-Bernard a quelque peu fait valser l'anse du panier des fonds publics, par exemple en servant – horreur ! – du mousseux à ses invités du 14 juillet à Rome, et facturant, pas bête, du champagne à son administration.

On apprend en outre que le même Mérimée, ambassadeur à Rabat s'était fait offrir par Sa Majesté Hassan II un terrain près du lac de Ouarzazate au Maroc pour y construire une somptueuse villa, dont une partie des aménagements a été réalisée avec les revenus des "bons de pétroles" offerts par Saddam. Notons au passage que l'acceptation de ce cadeau n'a pas nui à la continuité de la carrière de Mérimée, qui obtint par la suite le prestigieux poste d'ambassadeur à l'ONU.

Qui vole un oeuf vole un boeuf et qui veut tuer son chien l'accuse de la rage... Dans la famille "diplomate délinquant", Mérimée occupe donc le créneau "droit commun", celui qui invite le peuple au mépris pour ceux qui ont trompé la confiance que leur accordait la République pour s'en mettre plein les poches. Ce qui est nouveau, et qui montre le degré de panique qui a saisi le Quai, c'est que les petites vilenies des Excellences sont aujourd'hui jetées en pâture au petit peuple, alors que d'habitude, on lave son linge sale en famille. C'est ainsi que jamais on n'a porté à la connaissance du public les rapports d'enquête concernant deux amis de Mitterrand, Vinson et Rouleau, nommés ambassadeurs par la grâce du Président.

Le premier, en poste à Bangkok, eut l'idée géniale de faire copier les meubles du XVIIIème siècle de la résidence par d'habiles artisans thaïs et de s'emparer des originaux. Le second, autre grande figure de la rue arabe du Quai, se signala par une gestion très personnelle, disons orientale, des fonds publics.

L'affaire était plus compliquée pour Boidevaix, chez qui l'appétit de pouvoir et la capacité d'intrigue sont plus flagrants que la cupidité. Le message transmis par le Quai à Nicolas Beau est donc tout autre : Boidevaix, contrairement à Mérimée, n'est pas un simple petit escroc en jacquette. C'est un pur et dur de la "politique arabe de la France", un homme de conviction donc. Mais – effet de l'âge ou traumatisme de la retraite – il aurait été atteint d'une maladie frappant souvent les diplomates âgés : "La naïveté des mondains "... Le péché de Boidevaix serait donc celui du vaniteux qui glisse dans la délinquance à force de se trop regarder dans le miroir. Cette indulgence relative pour l'ancien secrétaire général du Quai d'Orsay n'a rien d'un mouvement compassionnel pour un collègue ayant fait un faux-pas. Boidevaix est peut-être mondain, mais c'est loin d'être un naïf. Et dans sa musette de prévenu, il a gardé quelques munitions qui pourraient atteindre ceux-là même qui changent aujourd'hui de trottoir pour ne point le croiser.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 28 octobre 2005 - 05h10:

C’est très gentil de la part de Slim, mais je ne mérite aucun éloge, car il me semble qu’il est du devoir de chaque Tunisien, qu’il soit d’origine juive, musulmane, maltée, italienne, ou autre, d’éclaircir pour la jeunesse la mosaïque de la Tunisie, avec toutes ses couleurs et ses formes, que les générations ont ajoutées. Justement, la Tunisie était une mosaïque où chaque communauté trouvait sa place.... Les hommes honnêtes peuvent bien voir que les Juifs tunisiens, après cinquante années d’exile, sont toujours restés fidèles à la Tunisie, à leurs traditions, à leur langage, à la musique et à la nourriture, que ce soit à Paris, à Berlin, à New York, à Montréal, à Tel Aviv, à Beer Sheva, ou à Haifa.

On ne peut effacer d’un coup d’éponge la culture millénaire. Je suis d’accord avec Slim que la langue arabe est une très belle langue. Rien qu’à écouter Farid ou Abdelwahab, pour se régaler du délice de cette langue. Et justement, la langue tunisienne, qui est un mélange de berbère et d’arabe, se distingue dans son expression par les chansons qui sortent de la bouche d’Ali Riahi, de Chafia Rochdi, du Cheikh Le Afrit, de Habiba Msika, de Louisa Tounsia, de Jouini, etc, etc.

Je te félicite pour ta franchise et Allah y katr mennek. Ce n’est pas pour rien que le proverbe arabe dit: “Ma’arfet Erjal Knouz” (Connaître les hommes est un trésor).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 28 octobre 2005 - 00h50:

Je ne vois pas pourquoi tout ce ramdam autour des propos du president iranien. Pourquoi s'en etonner?
Au contraire c'est tres bon pour nous! comme ca les mechants sont dévoilés...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 27 octobre 2005 - 17h54:

Edito du Monde

La haine

S'il en était besoin, le masque est tombé. En appelant le monde musulman à faire en sorte de rayer Israël de la carte, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a complété en quelques mots, mercredi 26 octobre, l'inquiétant portrait d'un chef d'Etat tout-puissant et extrémiste. A chacune de ses déclarations, l'ambition iranienne, portée désormais par cet ancien Gardien de la révolution, se manifeste de manière de plus en plus ouverte et agressive.


A tous ceux qui croyaient ou voulaient croire que la République islamique s'était finalement assagie, en renonçant en particulier à cultiver son obsession "antisioniste", le réel se charge de démontrer qu'il n'en est rien. L'Iran de Mahmoud Ahmadinejad persiste et signe. Le nouveau président iranien entend bien réactiver la doctrine officielle de la jeune République depuis sa création en 1979 : "Comme l'a dit l'imam Khomeiny, Israël doit être rayé de la carte", a-t-il déclaré devant quelques milliers d'étudiants exaltés à l'occasion d'une conférence au thème sans équivoque ­ "Le monde sans le sionisme".

D'un coup, la parenthèse réformatrice de la présidence de Mohammad Khatami (1997-2005) s'est effacée. Voilà l'Iran à nouveau plus radical que les Palestiniens, déterminé à redevenir le porte-voix du monde musulman, à préempter le leadership de masses déshéritées, humiliées et en colère. Dans ce rôle convoité, le président iranien choisit de parler comme les prédicateurs les plus extrémistes, encourageant la foule à vouer aux gémonies Israël, les Etats-Unis, et pour faire bon poids, promettant aux dirigeants arabes tentés de reconnaître l'Etat juif de brûler "au feu de la fureur de la communauté des croyants".

Le discours de haine tenu par le président iranien intervient sur fond de raidissement politique. A défaut d'avoir su donner en quelques mois un regain d'espoir à son peuple (15 % de la population active est au chômage) et d'avoir montré que la manne pétrolière pouvait être mieux répartie, le régime s'applique à flatter les réflexes les plus conservateurs et dogmatiques. Les femmes, notamment, qui avaient pu ces dernières années bénéficier de très timides avancées, se voient à nouveau placées sous un contrôle vestimentaire permanent. Le monde de la culture est, lui, placé sous haute surveillance : le Conseil suprême de la révolution culturelle vient d'interdire la distribution et la projection "de films étrangers qui font la propagande des idées laïques, féministes, libérales (...)". Les sites Internet sont observés, filtrés, voire interdits.

La brutalité de ce retour en arrière est plus qu'un mauvais signe. C'est un sujet d'alarme sérieuse au moment où l'ambition nucléaire iranienne s'affiche obstinément. Au terme des négociations entre Téhéran et l'Union européenne, personne ne croit plus à la fable d'une puissance pétrolière cherchant à se doter d'un outil nucléaire civil. La communauté internationale est aujourd'hui en droit d'éprouver une très vive inquiétude sur l'usage que l'Iran ferait de la bombe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 27 octobre 2005 - 15h12:

Conegliano viendrait-il de coniglio qui signifie
lapin en italien. ?

Possible, car de grandes oreilles - de lapin -

sont utiles pour un musicien !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victoria (Victoria) le jeudi 27 octobre 2005 - 12h52:

Saviez-vous que le librettiste des 3 plus brillants opéras de Mozart était juif italien (donc sépharade ?)
Lorenzo Da Ponte, né juif dans le ghetto de Venise, de son vrai nom Emanuele Conegliano, s'est converti au catholicisme suite au remariage de son père (marchand de peaux).

En plus il est mort à New-York. (En voilà un qui avait du nez !)


http://www.pzweifel.com/music/lorenzo_da_ponte.htm

http://www.liberliber.it/biblioteca/d/da_ponte/

Rien qu'avec çà, il est difficile de prétendre que les racines de l'Europe ne sont pas judéo-chrétiennes !

PS. Albert, fais gaffe tu as un collègue célébrissime. Il va falloir te montrer à la hauteur !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 27 octobre 2005 - 11h49:

Cette fois ci ce n'est pas une blague (*), Bill etait bien parmi nous hier !

Gates visits Israel

Bill Gates praised Israel´s hi-tech sector. "Israel is doing fantastic things in the technology field and I am excited to be among you. You have extraordinary talents," the Microsoft founder, who is visiting Israel, said in a Yediot Aharonot interview Wednesday. Gates said he would hold talks with Prime Minister Ariel Sharon and Trade and Industry Minister Ehud Olmert later in the day with a view to advancing Israeli hi-tech. He was also scheduled to meet with Israeli students and address local business entrepreneurs before leaving for Jordan in the evening.

(*): Il y a plusieurs mois, un "1er avril" a annonce que Bill Gates souhaitant se convertir au judaisme, il se rendrait prochainement en Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 27 octobre 2005 - 11h40:

Le Senat americain demande a l'administration Bush d'inscrire Al Manar [chaine du Hezbollah] parmi les organisations terroristes (JTA.org)

The U.S. Senate unanimously urged the Bush administration to designate the Al-Manar television station as a terrorist group.
The measure, sponsored by Sens. Bill Nelson (D-Fla.) and Gordon Smith (R-Ore.) passed last Thursday. The State Department already has placed the Hezbollah-affiliated broadcaster on the terrorist exclusion list, which restricts its ability to operate or broadcast in the United States. Placing it on the foreign terrorist organization list would allow U.S. authorities to seize its U.S. friends and initiate prosecutions.

Hezbollah, a Lebanese terrorist group that has continued attacks on Israel since its withdrawal from Lebanon five years ago, is on the foreign terrorist organization list. Al Manar has fund-raised for Hezbollah and broadcasts anti-Semitic material. A number of European nations have banned its broadcasts.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 27 octobre 2005 - 11h16:

Merci a C Sarfati qui grace a sa vigilence nous a rappele que Reuters , media international , ou qui se veut comme tel.... a offert Jerusalem , la capitale unique et indivisible d ISRAEL a l AP ...

Mais il n est pas le seul malheureusement , l endroit le plus visite du monde .... la Tour Eiffel ... qui de son sommet offre a ses visiteurs la direction de toutes les capitales du monde ... presente Tel Aviv comme capitale de l Etat d Israel ... et laisse Jerusalem en capitale orpheline ... qui attend encore la creation de son etat ...

Notre vigilence est vitale , nous devons reagir a chaque fois que cet esprit negationniste s exprime ...

ISRAEL N A QU UNE SEULE CAPITALE ... ET C EST JERUSALEM ...

Personne au monde n a le droit de nous mettre devant le fait accompli ... comment reagirait un francais si on decidait que la capitale de la France c est Marseille . Nice , ou Toulouse ...