Archive jusqu'au 26/octobre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Octobre 2005: Archive jusqu'au 26/octobre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Edmond (Edmond) le lundi 24 octobre 2005 - 19h45:

Réponses à un anti-sioniste



8. LE RÔLE DE LA GRANDE BRETAGNE

Supposer, comme vous le faites, que la Grande Bretagne jouât un rôle neutre avant et durant la guerre d'Indépendance est idéologiquement partial. C'est, de plus, un contresens historique total.

Ayant déjà trahi leur mandat et donné illégalement les trois-quarts de la Palestine à Faysal, le but de la Grande-Bretagne était d’assurer une victoire militaire arabe qui permettrait de détacher le Néguev de l’État juif, afin d’assurer une continuité territoriale entre l’Égypte et la Jordanie. ……..Suite...... http://www.primo-europe.org/selection.php?numdoc=Do-789413469

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 24 octobre 2005 - 19h24:

Pogromes anti-chrétiens à Alexandrie et en Haute-Egypte (info # 012410/5) [scoop]

Par Masri Feki © Metula News Agency



Ce sont encore les voyous de la civilisation religieuse de la fatalité et de la destruction qui terrorisent mes compatriotes de confession chrétienne en toute impunité et dans l’indifférence générale des autorités égyptiennes.



Lors de la prière de vendredi dernier, un appel a été lancé par des religieux musulmans demandant aux fidèles de combattre les chrétiens et de venger leur dignité atteinte par les infidèles. Depuis, quelque cinq mille musulmans défilent sans discontinuer dans les rues de Moharam Bek, à Alexandrie, appelant à la destruction de l’église de Mari-Girgis (Saint-Georges).



Au moment où j’écris cette dépêche, j’apprends que la religieuse qui avait été attaquée au couteau mercredi dernier 19 octobre à l’entrée de ladite église par un jeune musulman, vient de succomber à ses blessures. Je rappelle ici que selon l’AFP la victime n’avait été que « légèrement blessée ». Quant à l’avocat qui avait tenté de la protéger lors de l’agression, il est lui aussi en train d’agoniser dans un hôpital public.



Il est impossible de se rendre au quartier Moharam Bek d’Alexandrie sans marcher sur des débris de verre. Selon les sources officielles du Caire, quinze voitures et seize magasins appartenant à des coptes auraient été incendiés hier. Des jeunes musulmans ont également dévalisé des pharmacies, des bijouteries et des cybercafés appartenant à des chrétiens de la ville d’Alexandrie.



Le prétexte de ce véritable pogrome n’est plus une cloche qui aurait sonné en signe de provocation anti-musulmane. Cette fois-ci, les dhimmis (les non-musulmans vivant en terre d’Islam) sont accusés d’avoir diffusé le DVD d’une pièce de théâtre datant de 2003. Or, la pièce est également jugée anti-musulmane, ce qui, d’après les forces de sécurité, aurait incité les cinq mille musulmans à attaquer des églises et à agresser des membres de la communauté chrétienne de la ville du nord de l’Egypte. L’église Al-Rousouleya a ainsi été incendiée, tandis que des cocktails Molotov ont été jetés à l’intérieur de l’église de la Vierge Marie. Des islamistes ont par ailleurs attaqué l’église catholique Al-Hamra’ ainsi que de nombreuses églises évangéliques.



Fidèle à son habitude, le quotidien Al-Ahram [1], proche du parti présidentiel, garde un silence complice : pas la moindre allusion aux événements d’Alexandrie. Selon le quotidien indépendant Al-Doustour (La Constitution), ce qui s’est passé à Alexandrie serait la conséquence naturelle des « provocations » émanant de l’église Saint-Georges. Al-Doustour reprend à son compte le prétexte de la pièce de théâtre, réalisée voici deux ans, et qui « donnerait une mauvaise image de l’islam ».



Interprétée par des acteurs amateurs, la pièce relate l’histoire véridique d’un jeune chrétien qui se convertit à l’islam et est poussé par un imam à agresser des prêtres de sa communauté d’origine.



D’autres journaux, comme les deux hebdomadaires égyptiens El-Midan et Al-Osbou’ [2], dénoncent sur le ton de la menace l’infidélité des chrétiens d’Egypte, qui seraient mêlés à un « complot mondial anti-arabe » ! Pour le rédacteur en chef d’Al-Ousbou’, Moustafa Bakri : « certains traîtres de la diaspora copte complotent avec les sionistes et la CIA dans le but d’expulser les musulmans de leurs terres » [3]. On pourrait demander à Bakri quand et où des musulmans en Egypte ont été expulsés. Mais ce serait inutile, tant l’aberration du rationnel de ces zélotes est sans limites.



Le quotidien Al-Wafd [4] (conservateur), pour sa part, n’a fait que relater les informations fournies par la présidence sans se donner la peine d’aller enquêter sur le terrain ni de recueillir le moindre témoignage.



Pour certains médias occidentaux, les événements d’Alexandrie ouvrent la porte à un nouveau « cycle vicieux de violence » en Egypte, comme s’il s’agissait d’affrontements entre deux communautés querelleuses. Or, il ne s’agit visiblement que d’un cycle linéaire de violence trouvant son origine uniquement dans les mosquées.



L’influent cheikh d’Al-Azhar [5], Mohamed Sayed Tantawi, s’est contenté d’appeler les deux grandes communautés à retourner à la raison tout en refusant de dénoncer les agressions. Selon un représentant de la même congrégation, interrogé sur la chaîne qatari arabophone Al Jazeera, le pape Chenouda III (le chef spirituel des coptes Ndlr.) devrait présenter des excuses publiques pour ne pas avoir interdit la diffusion d’une œuvre qui donne une mauvaise image des musulmans. Qu’en est-il cependant de l’image de la communauté musulmane d’Alexandrie laissée pas ces agressions, ces autodafés et ces pillages ? La question n’est pas posée dans le pays du Nil.



Par ailleurs, nous venons de recevoir un communiqué de l’Association des Coptes d’Europe qui nous apprend que dans le gouvernorat de Sohag (Haute-Egypte), de jeunes musulmans originaires du village de Bani-Wassel ont attaqué dimanche matin des magasins et endommagé – en toute impunité et dans l’indifférence générale des autorités locales – des biens appartenant à des coptes. Selon la même source, deux voitures appartenant au monastère du Anba Thomas ont également été détruites et une troisième a été jetée dans une rivière. Aucun média n’a encore relaté la nouvelle, la police ayant empêché les journalistes de se rendre sur les lieux des agressions.



Le gouvernement égyptien s’est abstenu de dénoncer ces émeutes dont sont victimes les citoyens égyptiens de confession chrétienne. Presque dans le même temps, le Caire a « suspendu pour une durée indéterminée » l’instruction de l’affaire des mineures chrétiennes enlevées, violées, converties de force à l’islam et mariées à des musulmans religieux. Devant cette attitude, certains intellectuels égyptiens, comme l’écrivain Magdi Khalil réfugié aux Etats-Unis, ont critiqué l’attitude négative de l’Etat qu’ils qualifient de « complice ».



Appelé à se prononcer sur le drame qui frappe un nombre croissant de familles chrétiennes en Egypte, le pape Chenouda III – d’habitude extrêmement prudent quand il s’agit de s’exprimer sur les vicissitudes dont souffrent les chrétiens – avait annoncé, le 17 mars 2004 déjà : « la situation est extrêmement grave et ce que nous avons subi dans le passé nous suffit. L’Etat doit réagir car cette fois-ci nous n’allons pas nous taire. »



Officiellement, le gouvernement égyptien désavoue toutes formes de persécution mais, dans les faits, il minimise celles qu’il ne peut cacher. Après chaque émeute anti-chrétienne, le manque de fermeté du régime de Moubarak est expliqué au Caire par la crainte de désordres plus importants et par le déficit de légitimité dont souffre le régime. Quelle sera cette fois-ci la réponse officielle justificatrice de ce nouveau silence ? Elle intéressera sûrement ceux qui, à la veille du dernier scrutin présidentiel, ont prétendu que le régime était désormais assez fort pour s’opposer aux agissements des extrémistes.



Elu fraîchement le mois dernier avec 88.6% des voix lors d’une élection présidentielle jugée démocratique et très transparente par le pouvoir et les médias aux ordres, il est grand temps que Moubarak, qui s’est très modestement présenté durant sa campagne électorale comme « le candidat de tous les Egyptiens », assume ses engagements et prenne des décisions à la hauteur de ses responsabilités. Avant que la situation ne devienne effectivement incontrôlable.







Notes :



[1] Quotidien numéro 1 en Egypte (En arabe : Les Pyramides).

[2] En arabe : La Semaine. Site Internet : http://www.elosboa.com/.

[3] Moustafa Bakri, C’est un complot, Al-Ousbou’ du 24 octobre 2005.

[4] Quotidien numéro 2 en Egypte du néo-Wafd.

[5] La plus haute instance religieuse de l’islam sunnite dans le monde, dont le siège est dans la capitale égyptienne.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le lundi 24 octobre 2005 - 17h14:

Ce soir de Simh'at Thora et demain c'etait ici qu'on fetait en dansant : la fin et le recommencement de le Lecture de la Thora.

Hekhlot Hafsia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le lundi 24 octobre 2005 - 07h36:

UN JOURNALISTE SAOUDIEN OSE DIRE QUE L'IDÉOLOGIE SALAFISTE DU JIHAD EST "NAZIE"



Textes d'origine traduits et document de synthèse publié par Memri

le 17/10/05 – N° 1007.

Résumé et adaptation par Albert Soued pour www.nuitdorient.com



Mohamed ibn A'bdelatif Aal al Sheikh est un journaliste Saoudien qui a publié 2 articles dans le quotidien local "al jazirah" où il qualifie l'idéologie du mouvement salafiste du jihad de "nazie". Il fait des analogies entre le terrain favorable de la crise économique de l'Allemagne des années 1920/1930 et celui de l'échec socio-économique du monde arabo-musulman d'après guerre. Une 2ème analogie: la haine de l'autre, de celui qui est différent et volonté exprimée de l'exterminer physiquement. Une 3ème analogie: la lutte commence par l'intérieur en marginalisant la majorité modérée, accusée de trahir l'idéal national et en faisant appel aux instincts les plus bas du citoyen. Une 4ème analogie: formation d'unités d'élite fortement endoctrinées et capables de se sacrifier pour l'idéologie.



Ce journaliste peu ordinaire donne l'exemple d'un dangereux prêcheur et d'un terroriste haineux, Abou Mouhammad Al-Maqdisi, chef spirituel du mouvement "al Salafyah al jahadyah" en Jordanie. Cet homme est aussi le mentor d'Abou Mouss'ab Al-Zarqawi, le bras d'al Qaeda en Irak. Al Maqdisi a été emprisonné pendant un court laps de temps, accusé de fomenter un attentat anti-américain, puis libéré.

Al Sheikh est certain qu'il faut agir avec cet homme et ces groupes salafistes comme les Occidentaux ont agi avec les nazis et comme le Caliphat arabe a agi avec les Khawarij.

Les Khawarij était le 1er groupe qui avait rompu avec le Caliphe A'li ibn Abi Talib pour former un groupe islamiste d'opposition.

D'après lui, il faut traiter ces religieux radicaux, ces prêcheurs de haine et ces terroristes comme des criminels ou des assassins de droit commun, les juger et les jeter en prison, en les empêchant de s'exprimer. Au lieu de les aduler ou de les encenser pour leurs actes soit-disant héroïques ou leurs discours ou prêches soit-disant islamiques, il faudrait que la nation leur jette l'anathème. C'est ainsi que leur idéologie s'éteindra d'elle-même. Où qu'ils soient, dans le gouvernement, dans les instances politiques ou religieuses, dans les mosquées et les écoles, partout les chefs religieux devraient donner l'exemple. Or ils ne le font pas. Pourquoi? Comment peut-on libérer un meurtrier comme Al Maqdisi?



L'Occident a procédé à la "dénazification" après la guerre, en utilisant des méthodes efficaces de "reculturation". Chez nous, il faudrait procéder de même en enseignant l'Islam véritable, l'Islam modéré, respectueux de l'autre, l'Islam qui ne souhaite pas conquérir le monde.

Il faudrait recréer la conférence de Postdam de 1945 pour "reculturer" nos élites religieuses qui, au lieu de courir les cours de justice et de lancer des fatwas pour empêcher les femmes de conduire ou de se dévoiler, feraient mieux d'enseigner la tolérance et l'acceptation de l'autre, ce qui est le véritable Islam.

À ce moment là, la télévision par satellite Al Jazeerah, par exemple, n'oserait plus propager sur son réseau l'idéologie extrémiste salafiste. Pour éviter que la barbarie ne s'installe dans le monde, il faut "désalafier" tous les chefs religieux en Arabie et dans le reste du monde, par une concertation internationale du type de celle de la dénazification qui s'est tenue à Postdam en 1945.



Saudi Columnist: Jihadist Salafist Ideology is Like Nazism



Saudi columnist Muhammad bin 'Abd Al-Latif Aal Al-Sheikh published two articles in the Saudi daily Al-Jazirah, in which he attacked the ideology of the Al-Salafiyya Al-Jihadiyya movement. [1] He said that the ideology of this movement was similar to, or even worse than, the Nazi ideology, and that it should be dealt accordingly. Excerpts:

Memri Special Dispatch Series - No. 1007 - October 17, 2005 -



"Both Jihadist Salafism and Nazism Are Based on Hatred and Physical Elimination of the Other"

Aal Al-Sheikh published the first article on July 10, 2005, following the release from prison of Abu Muhammad Al-Maqdisi, the spiritual leader of the Jihadist Salafist movement in Jordan and mentor of Abu Mus'ab Al-Zarqawi: "The release of Abu Muhammad Al-Maqdisi and his subsequent re-arrest by the Jordanian authorities raises many questions. [2] The man is one of the founders of terrorism and the one who, through his books and extremist interpretations, gave rise to many of those who belong to the group now called Al-Salafiyya Al-Jihadiyya, which leads terrorism worldwide. Although he supposedly bases his methodological justifications on the sayings of people faithful to the Sunna and to the Muslim community [Ahl al-sunna wa'l-jama'a], he [in fact] reaches the [same] conclusion reached by the Khawarij regarding the political outlook of Islam. [3]

"The Jordanian court is said to have cleared him of the charges against him –first and foremost [the charge of] planning to blow up American military facilities in Jordan– but this dangerous human-terrorist creature was in fact doing something far more dangerous, namely, booby-trapping minds and exploiting the state of frustration suffered by the Muslim youth so as to perpetuate violence, killing, and destruction, and to implant the idea of suicide and to incite to it. Is the charge of booby-trapping minds less severe than the booby-trapping of property[?]... This is the root of the problem…

"Putting an end to terrorism is only possible by putting an end to the ideology that plants it in our society. A security solution is not sufficient, though it is certainly required… He [Al-Maqdisi] preaches takfir [accusing other Muslims of apostasy] and terrorism out of purely political motives – out of an understanding, an inner conviction, premeditation and planning… Al-Salafiyya Al-Jihadiyya... should be dealt with exactly as the Europeans dealt with the Nazis, and as our forefathers dealt with the ideology of the Khawarij.

"In my opinion, the ideology of Al-Salafiyya Al-Jihadiyya is very similar to Nazism in terms of its causes and reasons. If the economic depression and the state of frustration that befell the world in 1930 were a cause for the spread of murderous Nazism, it may be said that the economic and cultural setback that has befallen the Arab and Muslim countries and the frustration suffered by Muslims today are also the primary cause for this murderous ideology [i.e., that of Al-Salafiyya Al-Jihadiyya].These [circumstances] allow it to surface and to find followers and supporters among the Muslims. In addition, both ideologies share hatred of the other and [the goal of] eliminating through his physical extermination – and they have many other common denominators as well."



"Why Aren't We Fighting the Religious Scholars, Theoreticians, and Preachers of Terrorism like Criminals, Murderers, and Robbers?"

"After the ruin, destruction, and bloodshed that Nazism brought upon mankind, [and since] the number of its victims reached tens of millions, the world arose to fight against this murderous ideology, and all steps were taken – on the ideological, cultural, and political levels – to prevent this ideology from spreading anew. The question arises of why, in light of the similarity between these two ideologies, we haven't learned a lesson from this human experience, and why we are not fighting against the foundations of [Al-Salafiyya Al-Jihadiyya] – its religious scholars, its theoreticians, and its preachers – just as we deal with criminals, murderers, and robbers?

"Abu Muhammad Al-Maqdisi, for instance, claims in his well-known book Millat Ibrahim [The Religion of Abraham, i.e. Islam] – a book that is a kind of manifesto for Al-Salafiyya Al-Jihadiyya – that the concept of jihad in Islam should be directed against internal [enemies] before [it is directed] externally, 'since the danger from the immediate vicinity, from its influence, its corruption, and from the internal strife that it engenders, is greater and more severe than the danger of that which is distant and not imminent... Thus, internal jihad and jihad [against] Satan take priority over jihad against enemies in general. The Prophet Muhammad did not start off [by fighting] the Persians, Byzantines, and Jews while ignoring [the Arab infidels] in whose midst he lived, [but rather began with jihad against the Arab infidels].'

"Thus, the concept of jihad has become a destructive terrorist concept… This idea is a formative and decisive idea in the platform of the modern Al-Salafiyya Al-Jihadiyya. In his call to murder – which they consider jihad – Abu Muhammad Al-Maqdisi is a criminal and a murderer. How can we find him innocent?..." [4]

Muslim Clerics Are Not Fulfilling Their Duty in Fighting Terrorism

In a July 24, 2005 article titled "On the Contrary, They Are Worse than the Nazis and Stray More from the Right Path," Aal Al-Sheikh wrote: "...I received many readers' responses to the previous article. Some said that to compare these people to Nazis is to slander a group of Muslims who strayed from the right path, and that I should have related to them in a genteel manner and should have preached to them gently, and not harshly and blatantly – which, as one of [the readers] said, 'will only add fuel to the fire and will deepen the chasm between us and them.'…

"I am one of those who believe strongly that our clerics, students, and preachers shoulder most of the responsibility for the war against terrorism, especially since terrorism today exploits religion under the pretext of 'Allah said' and 'The Prophet said.' Thus, after these [terrorists] have sullied [Islam] with blood and tarnished its name through violence, killing, explosions, and destruction, it is the obligation of clerics and everyone involved in da'wa [propagating for Islam], before anyone else, first to defend the religion, and after that to defend peaceful people, from among the Muslims and others.

"The question that must be asked courageously is: Have the clerics of our times fulfilled their duty, as our forefathers did when they [fought] against the Khawarij? The most direct answer is: Sadly, no! Let's assume that the government decides to allow women to drive without obligating them, for instance, to wear a veil; what would be the reaction of these clerics and students? How many protest delegations would come to Riyadh from all the provinces? How many fatwas would be signed? How many accusations would be leveled? How many noisy sermons would be delivered by many imams in the mosques?... Is a woman driving a car, or even not wearing a veil, a more serious prohibition in Allah's eyes... than the acts of murder, slaughter, destruction, and violation of women's honor [committed] by these 'sick people?' Why in the name of God [do we show] all this gentleness, forgiveness, and a tendency to 'speak gently' when it comes to terrorists, while [we show] extreme blatancy and harshness when it comes to women, for instance?..."

"Al-Jazeera Has the Greatest Media Impact on Shaping, Spreading, and Strengthening This Dangerous Trend"

"In 1945, a short time after Nazi Germany's surrender, a conference was held in Potsdam, Germany, in which one of the important articles [adopted] was 'denazification.' This conference is credited with uprooting the culture of Nazism from Europe. [The conference] aroused the world's conscience against Nazism with the end of World War II, firmed up the revulsion towards it, and made it into something similar to a crime, not just in judicial and political terms, but also in terms of culture, ideology, and especially, the media. Thus, it suffices in Europe nowadays to accuse a politician of having Nazi tendencies, or of inciting to Nazism, for him to turn into something of a bandit. The [Potsdam] Agreement was signed by Britain, the U.S.S.R., the U.S., and China – the important world superpowers at that time.

"Why shouldn't we learn a lesson [of the Potsdam] experience, which had the greatest impact on the uprooting of Nazism from the world?... Imagine that the way of dealing with statements by Al-Salafiyya Al-Jihadiyya… was comparable to the West's way of dealing with Nazism. Would a [TV] channel, like Al-Jazeera, for example, dare to spread this ideology and to relate to statements by its leaders and preachers in the spirit of 'point/counterpoint' [5] and 'freedom of speech'? Everybody knows that this channel in particular has had the greatest media impact on the shaping, spreading, and strengthening of this dangerous trend, and that it provides it with wide space to express its 'acts of heroism', its statements, and its videotaped operations, to the point where it [Al-Jazeera] has become the primary platform of [Al-Salafiyya Al-Jihadiyya], as is happening today in Iraq.

"Therefore, I still believe that one of the primary missions of the international community today is to repeat its experience with Nazism and to deal with this dangerous barbarian culture exactly as it dealt with the Nazi culture. If this does not happen, the near future is liable to bring many [events], the consequences of which will be far more severe for all of humanity than [the consequences] of World War II." [6]


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[1] Al-Salafiyya Al-Jihadiyya is a term used by Islamist terror groups to describe themselves as continuing in the footsteps of the early believers of the Prophet Muhammad's generation, and as believing in the duty to wage a modern Jihad war against infidels.

[2] Abu Muhammad Al-Maqdisi is the nickname of 'Issam Muhammad Taher Al-Barqawi, a Palestinian from the Nablus region.

[3] The Khawarij was a group that broke away from the forces of Caliph 'Ali bin Abi Talib and formed Islam's first religious opposition group.

[4] Al-Jazira (Saudi Arabia), July 10, 2005.

[5] "Point/Counterpoint" ["Al-ra'y wa'l-ra'y al-akhar"] is a motto of Al-Jazeera TV.

[6] Al-Jazirah (Saudi Arabia), July 24, 2005

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 24 octobre 2005 - 05h45:

TUNES CELEBRES

si je puis ajouter à votre liste quelques noms aussi célèbres :
Raoul JOURNO chanteur oriental
Eliaou BOUBLIL responsable de la Hévra Kadicha de la Communauté Israélite Tune
Charles HADDAD DE PAZ Président de la communauté israélite de Tunis, suivi de SION ZANA
Abraham Albert COHEN, Pidion Aben, "Feken Cohin" en judéo arabe et avocat au Tribunal Rabbinique après l'Indépendance Tunisienne.

Francine YANA / Présidente Comité Ehad Marseille

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le lundi 24 octobre 2005 - 05h06:

PRESENTATION
Guy Milliere s'est rendu pour la première fois aux Etats-Unis à l'âge de vingt ans, en 1970. Pour voir à quoi ressemblait un pays que tout le monde autour de lui détestait et aimait en même temps. Ce ne fut pour lui que le premier d'innombrables voyages.
Au début des années 1980, alors qu'il donne des conférences dans universités et centres de recherche, Guy Milliere noue des liens d'amitié avec Martin Anderson, principal conseiller de Ronald Reagan à la Maison Blanche, et avec
d'autres membres importants de l'entourage immédiat de Reagan. Il en vient à travailler directement pour Reagan en 1984. Il reverra Reagan régulièrement jusqu'au moment où la maladie frappera celui-ci.
Depuis 1988 Guy Millière travaille avec plusieurs think tanks, dont la Hoover Institution et l'American Enterprise Institute. Il crée des liens avec les principaux intellectuels du courant néo-conservateur: Paul
Wolfowitz, Daniel Pipes, Norman Podhoretz, Irving Kristol, Michael Novak, Laurent Murawiec....
Avec l'arrivée au pouvoir de George W. Bush, ce sont les anciens membres de l'administration Reagan et les néo-conservateurs qui se retrouvent chargés de tracer les lignes directrices de la politique intérieure et extérieure du pays.
Parce qu'il les connait tous de près, Guy Millière a écrit ce livre pour leur donner la parole et pour que leur vision de l'avenir du monde soit enfin accessible au public français.

Guy Millière est professeur d'université en France ert aux Etats-Unis, expert auprès de l'Union Européenne, éditorialiste à Frontpage magazine aux Etats-Unis et à la Metula News Agency en Israël. Il a traduit et présenté
au public français les Ecrits personnels de Ronald Reagan. Il a publié de nombreux livres dont L'Amérique-monde et Un goût de cendres, France fin de parcours?

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le lundi 24 octobre 2005 - 04h28:

Les yeux fermés de Dominique Vidal
Dominique Vidal a un rire gras.

Pour s’en convaincre, il suffit de lire la critique du dernier livre de Barbara Lefebvre et Eve Bonnivard "Elèves sous influence" par le rédacteur en chef du Monde Diplomatique :

"Imposée par le lobby des nostalgiques de l’Algérie française, la loi du 23 février 2005 exige que les programmes scolaires "reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l’histoire et aux sacrifices des combattants de l’armée française issus de ces territoires la place éminente à laquelle ils ont droit...". (Début du rire gras) Faudra-t-il, pour contenter Barbara Lefebvre, adopter une nouvelle législation imposant aux manuels de "reconnaître en particulier le rôle positif des politiques américaine et israélienne "? (Fin du rire gras)

Très drôle n’est-ce pas ?

Sauf que pour placer son irrésistible saillie humoristique, Vidal est contraint de faire du hors-sujet et de la contorsion rhétorique. Quel lien, en effet, y a-t-il entre une vision révisionniste - révisionnisme restant d’ailleurs à prouver - du rôle de la France dans ses colonies et le combat d’Israël pour sa survie ou de l’Amérique pour la défense de son intégrité ? Aucun, sauf pour un obstiné démagogue et confusionniste.

Carpe farcie au lapin

Il faut dire que cela fait quelques années que Vidal fait dans la monomanie. Son obsession à condamner "la politique de Sharon" et la "folie meurtrière de Bush" l’amène parfois à produire de belles âneries dans sa feuille chouchou des bobos. Et surtout, sa priorité des priorités consiste à interdire toute réflexion sur le glissement progressif qui a amené l’intégrisme religieux musulman à s’allier à une gauche anti-cléricale par essence. Ce mariage de la carpe et du lapin ne suscite aucun étonnement, n’inspire aucun questionnement dans le cerveau formaté de Dominique Vidal.

Mieux ! Vidal se croit autorisé à déformer les conclusions du rapport de la CNCDH (Commission nationale consultative des droits de l'homme) en lui faisant dire "d’une part que les violences antisémites ont notablement régressé en France, d’autre part que les deux tiers d’entre elles ne sont pas le fait d’Arabes ou de Noirs".

Alors que ce rapport dit précisément :

"…Une plus grande implication de l’extrême droite, parmi les auteurs de ces faits racistes et antisémites qui, bien que minoritaire depuis 2000, alors que sa part était de 90 % dans les années 1994-1999, est passée de 14 % en 2002, à 18 % en 2003 et à 30 % en 2004".

Ce qui signifie que deux tiers de ces actes n’émanaient pas de l’extrême droite en 2004. Ce qui est presque le contraire de ce que prétend Vidal. Inversons, inversons, il en restera bien quelque chose.

Saint-Mathos

Plus loin, le rapport précise :

"Concernant l’antisémitisme, sur 209 interpellations, 104 personnes provenaient de "milieux arabo-musulmans" indique le ministère de l’Intérieur, et 92 ne sont pas qualifiés". "Pas qualifiés" signifiant possiblement arabo-musulmans pour certains. A ma calculette, ça fait au minimum 50%.

Mais arrêtons là cette bataille de chiffres et de statistiques et posons-nous la question de savoir ce qui fait qu’un individu transforme en profession de foi sa profession d’informateur, ce qui fait qu’il ne revendique sa judaïté que pour mieux distiller son “antisionisme”, ce qui fait qu’il nie les évidences et ne voit que ce qu’il croit, tel un Saint-Thomas inversé.

Comment, devant l’émergence de ce néo-antisémitisme musulman, peut-on refuser d’affronter la réalité? Comment, devant la montée de la menace terroriste islamiste qui a juré la perte de l’Occident, peut-on ne trouver à bredouiller que: "oui ou non, les humiliations et les frustrations que subissent les peuples arabes et plus largement musulmans alimentent-elles intégrismes et terrorismes ? Il n’est pas besoin d’être diplômé en géopolitique pour comprendre que l’occupation israélienne des territoires palestiniens et la guerre américaine en Irak poussent bien des jeunes dans les bras des groupes terroristes"?

Si l’on comprend bien Monsieur Vidal, le terrorisme n’existe que parce qu’Israël occupe la Cisjordanie (plus Gaza, mais Monsieur Vidal a oublié ce “détail”) et parce que les Américains ont débarrassé l’Irak d’un sanglant dictateur. Avant cela et ailleurs qu’en ces deux endroits de la planète, nul terrorisme, nul fanatisme, nulle violence. Juste un islam de paix et de tolérance. Monsieur Vidal n’a jamais entendu parler du Soudan, du Darfour, de l’Indonésie. Le fait d’être l’idéologue spécialisé dans l’antisionisme et l’anti-américanisme, ne lui permet pas, en plus de sa fonction de patron de la rédaction du Monde diplomatique, d’être au courant de ce qui se passe sur la planète !

No sky, no diamonds for Vidal

Du coup, et c’est bien dommage, il refuse de s’intéresser à ce qu’on met dans la tête de nos enfants. Il préfère sacrifier leur avenir sur l’autel de sa vision dogmatique et surtout, … surtout, comment résister à la tentation de descendre en flèche un bouquin qui pourrait ébranler des certitudes que l’on sent au fond, confusément, bien fragiles.

"Living is easy with eyes closed misunderstanding all you see" (Il est facile de vivre les yeux fermés en refusant de comprendre ce que l’on voit) chantait John Lennon.

Une jolie sérénade à fredonner sous les fenêtres de Dominique Vidal.


Jean-Pierre Chemla © Primo-Europe 22 octobre 2005

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Tun (Tun) le dimanche 23 octobre 2005 - 21h35:

maxiton a dit:
Ce qui est pathétique c'est d'avoir voulu revêtir un costume beaucoup trop grand pour soi
C'est tout ce que j'ai à dire

c encore plus juste quand le costume en question est trop grand pour rien

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 23 octobre 2005 - 21h03:

Souccoth

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le dimanche 23 octobre 2005 - 16h27:

merci beaucoup de nous faire partager ce plaisir;

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 23 octobre 2005 - 12h06:

Pendant la réception de Soukot du Président de l’Etat d’Israël un spectacle se déroule en permanence sur une scène installée sur les pelouses. Des chanteurs, des chorales et des groupes de danse

Vue d’ensemble de la scène avec une chorale
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Un groupe de danse
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Un autre groupe de danse
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Une chorale de jeunes originaires d’Ethiopie.
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Ces photos ont été prises en octobre 2004.

Jeudi 20 octobre 2005 plus de 6000 visieurs ont pu participer à la visite.