Archive jusqu'au 05/octobre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Octobre 2005: Archive jusqu'au 05/octobre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 05 octobre 2005 - 20h05:

Hag Sameah et Shana Tova Oumevourechet a tous les harissiens.
Gmar Hatima tova.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Tarraji (Tarraji) le mercredi 05 octobre 2005 - 10h56:

salut tt le monde,je suis tunisien musulman j'aimerais bien connaitre + d'information sur les juifs tunisiens j'ai entendu parler qu'avant il etait nombreux mais maitenant il ne sont que 3 ou 4 milles.Et merci d'avance.
Avant d'oublier je veux vous dire illi bech nerb7ou les marocain le samedi a rades lol.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 05 octobre 2005 - 07h48:

Les forces de sécurité palestiniennes se rebiffent (info # 010410/5) [analyse]

par Sami El Soudi © Metula News Agency



C’est au cri de : "Soit l’Autorité, soit le Hamas" qu’une quarantaine d’officiers de police ont tenté de pénétrer hier, lundi, dans la salle du Conseil Législatif à Gaza, où étaient réunis nos parlementaires. Après une âpre négociation, ponctuée de coups de feu tirés en l’air, les députés ont accepté d’admettre un représentant des manifestants pour qu’il puisse exprimer leurs doléances.



Dehors, dans la cour du bâtiment, les autres policiers continuaient de scander le même slogan. Durant 25 minutes, l’officier a exposé aux députés les deux réclamations principales de ses camarades. La 1ère a trait à l’incapacité et à la corruption des chefs des services de sécurité qui, selon les policiers, ne font strictement rien pour exécuter les décisions du gouvernement palestinien, notamment celles concernant le désarmement des terroristes islamistes.



La seconde récrimination concerne le manque de moyens qui sont attribués aux forces de police, l’infériorité de leur armement face à celui du Hamas et de ses alliés, et partant, l'impuissance des policiers à mettre un terme à l’anarchie séditieuse des intégristes, à protéger la population et à se protéger eux-mêmes.



Ce sérieux coup de ras-le-bol survient à la suite des combats de dimanche, lorsque les forces de l’ordre ont été contraintes de subir sans pouvoir se défendre les lance-roquettes du Hamas. Des officiers présents m’ont rapporté qu’ils avaient assisté impuissants au meurtre de leur commandant par les miliciens islamistes, parce qu’ils avaient consommé toutes leurs munitions qui leur sont distribuées en quantités insuffisantes.



L’un des manifestants m’a confié que le commandement de la police limitait le nombre de balles qui étaient livrées aux policiers "parce qu’il doutaient de l’usage que les hommes en feraient. Ils craignent que nous les vendions aux agents des intégristes pour arrondir nos soldes misérables". "Ou, au contraire", surenchérit son voisin, "que lors de la prochaine agression du Hamas, nous leur réglions leur compte une fois pour toutes !". "(A Gaza, NdA.) nous sommes 20'000 et eux 4 à 5’000", ajoute un troisième, mais ils disposent de mitrailleuses lourdes, de missiles (de roquettes antichars, NdA.) et de munitions en nombre illimité. Si les politiciens décidaient de lâcher Dahlan (les 1'500 hommes d’élite de la Sécurité Préventive qui ont été formés par le colonel Mohammed Dahlan, NdA) sur les terroristes, nous n’en ferions qu’une bouchée. C’est pour cela qu’il faut prendre une décision, c’est soit l’ordre soit le désordre, soit l’AP, soit le Hamas, mais pas les deux à la fois, en se servant de nous comme de chair à canon !".



Et ses camarades de reprendre de plus belle : "Soit l’Autorité, soit le Hamas !".



Dans la salle plénière, les parlementaires n’étaient pas loin de partager l’opinion de notre police, puisqu’ils ont contraint le président Abbas, par l’adoption d’une motion, à démettre l’actuel gouvernement du 1er ministre Ahmed Qreï et à le remplacer par un gouvernement transitoire appelé à fonctionner jusqu’aux législatives de fin janvier.



Les députés, écoeurés par l’incompétence des forces de sécurité, ont toutefois rejeté la recommandation de la commission ad hoc formée pour enquêter sur les raisons de la poursuite de l’anarchie, et qui préconisait le vote d’une motion de censure et le limogeage des cadres des services de sécurité.



La différence majeure entre les deux procédures réside dans le fait que M. Abbas, qui dispose de 15 jours pour proposer à la chambre un nouveau gouvernement, peut à nouveau faire appel à Qreï pour en assumer la direction. La décision du président sera fort intéressante, lui qui comptait sur un large succès populaire cet hiver pour se débarrasser de son 1er ministre. L’adoption de la dernière motion pourrait avoir pour but de forcer la main d’Abou Mazen et d’écarter Qreï sans attendre. Le sentiment largement partagé par une majorité de députés tient en effet l’actuel chef de cabinet volontairement responsable du désastre sécuritaire. Il existe certes une palette de responsables qui sont soit incompétents, soit corrompus, soit, encore, corrompus et incompétents mais Qreï est soupçonné de torpiller intentionnellement les efforts d’Abbas. Ce "sabotage" s’est signalé par une série de contre-ordres et de déclarations de l’intéressé allant tous dans le sens du maintien de la capacité armée des groupes intégristes. Qreï est resté très arafatien, qui considère que le maintien du potentiel terroriste du Hamas et du Jihad constitue une carte stratégique des Palestiniens lors du marchandage du statut final avec les Israéliens. Pour l’actuel 1er ministre et pour un noyau d’arafatiens irréductibles, dont Nabil Chaath et Saëb Erekat, les Israéliens ne comprennent que la menace, et s’ils sont libérés de celle-ci, ils resteront insensibles aux requêtes palestiniennes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mounia (Mounia) le mercredi 05 octobre 2005 - 07h46:

"Bonne fête": voeux partagés entre juifs et musulmans


Lui est directeur d'école, elle maman d'élève, lui est juif, elle musulmane: ils ont échangé leurs voeux mardi à l'occasion du Nouvel an juif et du début du mois de jeûne musulman du ramadan.

Devant cette école élémentaire toute en briques du XIXe arrondissement, ils se lancent en souriant: "Ramadan Karim" ("bon ramadan", en arabe) et "Chana Tova" ("bonne année", en hébreu).

Ce quartier populaire du nord-est de Paris abrite d'importantes communautés juive et musulmane qui le plus souvent s'ignorent, quelquefois se heurtent, parfois se rencontrent.

Laurent Klein dirige l'école de la rue de Tanger, Mehrézia Labidi-Maïza, la déléguée des parents d'élèves, y envoie son fils et habite en face.

Ils sont presque du même âge, 45 et 42 ans respectivement, et ont écrit un livre sur le "vivre ensemble" au collège, intitulé "Abraham réveille-toi, ils sont devenus fous !" (L'Atelier, octobre 2004).

Ce mardi, les musulmans entament le ramadan tandis que les juifs fêtent Roch Hachana (Nouvel an) et le début de l'an 5766. Toutefois, et malgré la journée nationale d'action qui bloque la ville, chacun travaille comme d'habitude.

"Pour nous, c'est tout un mois qui commence, avec le jeûne mais aussi la prière, les méditations, la lecture du Coran", s'exclame Mme Labidi-Maïza, le sourire grand ouvert sous le foulard coloré qui cache ses cheveux. "Pour nos amis juifs aussi, c'est toute une série de fêtes qui débute avec le mois de Tichri".

"On espère que c'est un signe de paix et de rencontre", ajoute-t-elle. "Avec des amis juifs, on s'est promis de se rappeler les uns des autres dans nos prières".

"Dans mon quartier, les gens sont souvent indifférents. Mais j'ai rencontré chez l'épicier une maman juive, d'origine tunisienne elle-aussi, qui venait comme moi acheter tout ce qu'il fallait pour les +makroute+ (gâteaux de semoule). On a échangé nos souhaits de bonne fête".

"Chez les pères et les mères, nous sommes attentifs à ça. Mais chez les jeunes, malheureusement, ça se perd. C'est par manque de visibilité des pratiques, des traditions. Et à Paris, personne n'a le temps".

Laurent Klein, lui, trouve cette coïncidence "assez symbolique de ce qui nous rapproche car nos calendriers ont des mois lunaires". C'est aussi "la rencontre de deux communautés importantes de la France", qui lancent "un petit signe à la République en lui montrant que l'on peut avoir d'autres habitudes, d'autres coutumes et vivre en bonne harmonie".

"Il faudrait que l'on se rende compte que ce n'est pas parce qu'on a des revendications de type religieux qu'on veut démolir l'école laïque", insiste ce défenseur convaincu de l'école publique. "Ainsi, pour les musulmans, ce n'est pas parce qu'ils ont envie d'exprimer quelque chose de leur culture que c'est une atteinte à la laïcité".

L'oeil sérieux derrière ses grandes lunettes, il ajoute: "Roch Hachana concerne toute l'humanité: c'est la commémoration de la création de l'être humain".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 04 octobre 2005 - 01h08:

Chana tova and happy ramadhan to all.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 03 octobre 2005 - 18h00:

AP-Hamas : au bord de la confrontation (info # 010310/5) [analyse]

Par Sami El Soudi © Metula News Agency

Cela a débuté à un banal barrage de police dans le quartier de Cheikh Radouane à Gaza. Dans l’automobile sujette au contrôle, quatre miliciens du Hamas, dont Mohamed, le fils de l’ancien patron du groupe islamiste Abdel Aziz El Rantisi.

Les policiers réclament leurs fusils-mitrailleurs aux occupants, en vertu des nouvelles dispositions légales de l’AP, interdisant aux membres des milices d’arborer des armes sur la voie publique. En guise de réponse, les miliciens ouvrent le feu sur les policiers.

Les Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont compilé leur version de l’incident dans un communiqué, affirmant que "le jeune homme (Mohamed Rantisi) a refusé de se rendre", et que les policiers ont alors "ouvert le feu contre son véhicule, faisant plusieurs blessés".

Rapidement, les batailles de rue ont éclaté un peu partout dans le quartier, les auxiliaires du Fatah accourant prêter main forte aux forces de l’ordre. Quant au Hamas, il utilisa, en plus d’armes automatiques, de nombreuses roquettes antichars. L’une d’elles atteindra de plein fouet le poste de police de Cheikh Radouane.

Lors d’un incident distinct, un sympathisant du Hamas, qui avait agressé un policier lors d’une manifestation islamiste contre l’augmentation du prix du carburant, a été abattu.

Dans le climat déjà très lourd qui régnait à Gaza, entre l’AP de Mahmoud Abbas, tentant de prendre le contrôle du terrain, et les milices fondamentalistes armées, les deux incidents ont dégénéré en fusillade généralisée. Les échanges de feu ont gagné le centre de Gaza puis se sont étendus à de nombreux quartiers et aux camps de réfugiés.

C’est dans le camp de Chaati, à l’ouest de Gaza City, que les violences ont atteint leur paroxysme. Le Hamas y a incendié le poste de police, de même que des véhicules des forces de sécurité. Durant les heurts, un policier a été tué.

Le bilan de la nuit s’élève, en plus du décès du policier, à deux civils tués, dont une femme, ainsi qu’à 70 blessés environ, parmi lesquels des membres des forces de l’ordre, des miliciens islamistes, des passants et parmi eux des enfants.

Tôt ce matin, pendant que j’écris cet article, la situation demeure extrêmement tendue. Le premier ministre, M. Mahmoud Abbas, qui est attendu à Jérusalem et à Washington et qui va avoir à rendre compte de la façon dont il réalise son engagement liminaire, stipulé par la Carte Routière, de désarmer les groupes terroristes, a commencé à agir. Ainsi, durant les quatre derniers jours, les responsables de l’Autorité Palestinienne se sont fait de plus en plus précis et pressants, s’agissant de leur décision d’interdire la rue aux fondamentalistes armés.

De leur côté, les chefs du Hamas, depuis Gaza et depuis Damas, ont réitéré leur refus d’obtempérer, accusant l’AP d’avoir entamé leur liquidation. Hier, Mohamed Nazal, intervenant depuis la capitale syrienne, a menacé Abou Mazen de guerre civile.

Il est difficile de ne pas voir, dans la multiplication des incidents armés entre l’AP et le Hamas, un mouvement de prise en tenaille des groupes terroristes. Un mouvement d’étouffement, soutenu par l’Egypte, Israël, les USA et la Grande-Bretagne.

Aux actions sur le terrain s’est ajouté cette semaine la déclaration faite par la Secrétaire d’Etat Condoleezza Rice à l’Université de Princeton, calquée sur celle de Shimon Pérès, pour établir, à l’endroit du Hamas, que "vous ne pouvez pas à la fois conserver une option politique et une option de violence".

Or cette détermination Jérusalem-Washington pose au Hamas un problème crucial concernant ses espoirs de jouer un rôle déterminant lors des élections générales palestiniennes de cet hiver. Pour Sharon, tant que le Hamas sera une organisation terroriste, sa participation à un processus démocratique sera inconcevable. On notera à ce propos, que les arrestations massives de membres du Hamas et du Jihad effectuées ces derniers jours par Tsahal en Cisjordanie, en plus de diminuer la menace terroriste immédiate sur les cités israéliennes, affaiblissent considérablement l’appareil politique du mouvement islamiste. Il est à cet égard incontestable que ces arrestations ont favorisé les candidats du Fatah lors des municipales partielles qui se sont déroulées il y une semaine et que leur poursuite participe à l’affaiblissement des positions fondamentalistes sur la rive occidentale du Jourdain.

Il s’agit là, pour le moins, d’une entente tactique tacite d’intérêt commun entre Abbas et Sharon. Pour le moins !

D’autre part, et je peux en faire un témoignage direct, ayant visité la Moukata la semaine dernière, l’Administration palestinienne a bien assimilé les messages synthétisés dans l’article que j’ai écrit avec Jean (Tsadik, Ndlr.) la semaine dernière : Changement de donne fondamental [lire]. En particulier, les conseillers de M. Abbas ont parfaitement pris note du changement de stratégie israélienne relativement au Hamas et de la décision de Jérusalem de suivre de près et d’empêcher, par tous les moyens possibles, le upgrade des capacités destructrices de la milice intégriste. A ce propos, à la Ména nous avons appris depuis que l’armée israélienne avait créé une cellule d’observation des évolutions du Hamas, qui se réunit une fois par semaine, et des observations de laquelle dépendent directement d’éventuelles mesures militaires, qui seront prises indépendamment des tirs de Qassam sur Sdérot.

A la Moukata, on comprend aussi que les diverses déclarations des stratèges et des officiers de Sharon, toutes effectuées mercredi dernier, sont en fait à la fois un ballon d’essai et un avertissement. Et le brouhaha diplomatique aussi bien que les dénégations du 1er ministre israélien sont à prendre avec précaution. Il est clair, à Ramallah, que Jérusalem et la communauté internationale préparent une solution de remplacement à la Carte Routière, qui serait envisagée au cas où l’AP faillirait à prendre contrôle des territoires palestiniens et à désarmer les intégristes.

Dans ces circonstances, Mahmoud Abbas saisit fort bien qu’il est en train d’établir sa crédibilité et son poids politique en vue des négociations selon sa capacité à désarmer les terroristes.

C’est pour cela, parce qu’elles ne sont pas le fruit du hasard, que les confrontations Hamas-AP ne peuvent qu’amplifier. C’est pour cela que le ministre de l’Intérieur Nasser Youssouf multiplie ses déclarations de fermeté au sujet de la nécessité de désarmer les islamistes. C’est pour cela que les dirigeants du Hamas, sans citer son nom, l’appelant faction, prétendent qu’ils vont s’opposer à lui, même au prix d’une guerre civile.

C’est pour cette raison, enfin, qu’hier, le Président Abbas a appelé le Premier Ministre Sharon, afin de choisir une nouvelle date pour se rencontrer, après l’annulation de leur précédent rendez-vous. Et puis, pour lui souhaiter, ainsi qu’à Israël, comme un voisin désirant vivre en paix, une bonne nouvelle année juive, une bonne shana tova. C’est aussi le vœu que j’adresse à mes voisins israéliens ainsi qu’à nos lecteurs israélites.

Notre paix sera aussi la leur ou elle ne sera pas. C’est si évident…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le lundi 03 octobre 2005 - 14h11:

A Labima

Non Copernic c'était le FPLP.

Les synagogues c'est plutôt les voyous de banlieues dites
sensibles

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le lundi 03 octobre 2005 - 11h33:

Shana tova aux fideles juifs et bon debut de Ramadan a Mounia, Citron, Najib, Salwa et autres fideles musulmans

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Labima (Labima) le lundi 03 octobre 2005 - 10h04:

"Je veux être encore fière de la France" dit Yael-König.
La grande Synagogue de Lyon a été construite en retrait "sur recommandation" afin de ne pas gêner la Basilique de Fourvière qui lui faisait face.
En Israël, à la sortie des Synagogues on vous dit: - rassemblez-vous.
En France on vous dit:- dispersez-vous.
En Israël une employée peut vous recevoir avec un chapeau qui lui tombe sur les yeux sans que personne ne trouve à redire.
En France on vous demande d'enlever votre coiffe pour faire des photos d'identité, exception est faite cependant aux bonnes soeurs à cornettes.
Partout dans le monde les offices religieux se passent sans problèmes. Seuls les Juifs ont la faveur de la police à l'entrée des lieux de culte.

Nous les "Tunes", nous n'avions pas de problèmes ethniques pendant la dernière guerre.
Les Français juifs d'Algérie ont eu cette chance unique de retrouver leur statut d'indigènes pendant quelques années.

Le coeur des Français est "gros comme çà":
Laval, ministre de Pétain, prônait, avant l'heure, la "réunion des familles". Je m'explique: Les nazis avaient décidé de déporter les juifs à partir de seize ans. Laval, dans son infinie bonté insista pour que les enfants ne soient pas séparés de leurs parents...

Les actes antisémites: Carpentras, Copernic et nombre de Synagogues saccagées ont été pour la plupart le fait d'une certaine bourgeoisie française bon teint. Les procès, quand ils ont eu lieu se sont déroulés dans la plus grande discrétion. Les médias si présents aujourd'hui en étaient absents.
Montons un peu plus haut; la Hollande qui a su accueillir les Juifs qui étaient persécutés sous l'inquisition recommandait à ces sépharades de la tenue et surtout beaucoup de discrétion.
Une anecdote pour terminer: il y a trois ans, en France,un samedi matin nous nous rendions, mon mari kippa en tête, à la Synagogue, lorsque soudain à notre hauteur deux têtes blondes à vélo, le doigt pointé sur mon mari, nous interpellent :
"Oh! un juif!"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le lundi 03 octobre 2005 - 07h14:

KAMARA AM AHAR HIR MEN ADA. AMIN

Beaucoup de joie avec notre Bebert National a qui je souhaite particulierement une bonne sante.

Et qu'Achem dans sa bonte se tourne vers nous, et nous fait un cadeau, "la PAIX ".
La paix entre nous d'abord, puis avec nos voisin, car si il n'y a pas de paix entre nous, il ne peut avoir de paix avec les voisins.

CHANA TOVA ET METOUKA LE COL AM ISRAEL

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le lundi 03 octobre 2005 - 00h59:

Chana Tova Gmar Khatima Tova , puissiez vous etre tous etre inscrits dans le livre de la vie