Archive jusqu'au 28/septembre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Septembre 2005: Archive jusqu'au 28/septembre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 27 septembre 2005 - 21h27:

Premières images de la Brit Milah de OURI fils de Isabelle Tahar Miller et de Justin ( bridou) Miller.

Elles m'ont coutè chéres pour avoir l'exclusivitè.


 BRIT MILLAH I

 BRIT MILLAH II

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le mardi 27 septembre 2005 - 20h24:

Comment peut-on faire confiance a Bibi ???

Bibi Netanyahu a ete un bien pietre premier ministre en son temps.

De plus, il a vote POUR LE DESENGAGEMENT 3 fois et n'a demissione que UNE SEMAINE AVANT LE DESENGAGEMENT en disant qu'il etait contre.

Pour moi, il sent l'opportunisme a outrance et ceux qui le supportent ne sont que des extremistes qui ne devraient jamais arriver au pouvoir.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 27 septembre 2005 - 19h15:

Eurabia

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mardi 27 septembre 2005 - 19h12:

ASSOCIATION des ANCIENS ELEVES du LYCEE CARNOT de TUNIS



INVITATION EXCEPTIONNELLE

Dîner-débat le jeudi 3 novembre à 20h

avec une personnalité du monde des médias

Restaurant de l’UNESCO 7, place de Fontenoy - 75007 Paris, Métro Ségur (7ème étage)



Vous le connaissez : Il est journaliste, auteur, réalisateur de télévision et de cinéma, fondateur et délégué du Festival du cinéma américain de Deauville. Il a produit six cents émissions et écrit une dizaine d’ouvrages dont On connaît la chanson, Chantons sous l’occupation,

Mais savez-vous aussi qu’il a aussi été élève au lycée Carnot, ?

Cet homme aux multiples casquettes, c’est André Halimi. Il est l’invité de notre dîner-débat du jeudi 3 novembre. Ce sera l’occasion de lui poser sur les grands thèmes qui ont nourri sa production :



· La « grande » chanson : Brassens, Amstrong, …

· Les coulisses du monde du show-biz

· L’épopée des comiques : Bourvil, Coluche …

· Le monde du cinéma

· La création d’évènements comme le Festival de Deauville

· Le travail de mémoire en particulier sur la période de l’occupation




Cordialement.



Michel Hayoun

Président

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le mardi 27 septembre 2005 - 18h52:

"Donnez leur un visage" pour ne pas oublier les déportés


Le Musée juif de la Déportation et de la Résistance a commencé la digitalisation des dossiers des Juifs et Tziganes déportés pendant la Seconde Guerre mondiale depuis la caserne Dossin à Malines vers le camp d'Auschwitz. Quelque 1.500 photos ont déjà pu être archivées dans le cadre de ce projet baptisé "Donnez leur un visage". On compte 56.000 personnes qui ont été enregistrées comme juives auprès de la Police des étrangers et persécutées pour cette raison. Parmi elles, environ 25.000 ont été déportées et 3.000 se sont réfugiées en France où elles ont été arrêtées et déportées depuis le camp de Drancy. A peine, 1.200 sont rentrées, a indiqué l'un des administrateurs du Musée et député VLD, Claude Marinower. Le projet a une portée didactique puisqu'il devrait notamment déboucher à terme sur la création d'une borne interactive qui sera installée dans le pavillon belge du camp d'Auschwitz. Il permettra aussi à la famille de ces personnes déportées de mettre un visage sur le nom d'un disparu. (DEC)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le mardi 27 septembre 2005 - 18h37:

Empêcher Eurabia

Par Michael Barone, Washington Times - Publié le Septembre 27, 2005

La dernière chance de l’occident : gagnerons nous le conflit des civilisations ?

Par Tony Blankley Regnery, $27,95, 256 pages

Tony Blankley est inquiet. Le rédacteur de la page éditoriale du Washington Times – un des plus puissants quotidiens conservateurs américains -, membre du jury "du groupe de McLaughlin" – une émission de débat politique typiquement américaine qui fait un carton sur le cable - est inquiet « d'Eurabia », c'est-à-dire de la 0possibilité que les islamistes radicaux submergent l'Europe.

« Si les taux de naissance actuels continuent » écrit-il dans "la dernière chance de l’occident" – déjà bestseller aux Etats-Unis et en Australie – « si les politiques actuelles de l’Europe continuent, si les tendances multiculturelles actuelles continuent à nier aux institutions occidentales n'importe quelle forme de protection et de respect, si la tolérance actuelle de l'intolérable continue inconsciemment, si les idées actuelles en Europe (et jusqu'à un degré substantiel en Amérique) ne changent pas, les valeurs occidentales et les modes de vie seront supplantés en Europe par les valeurs de l'Islam radical."

M. Blankley ne plaisante pas. Il commence le livre avec un scénario figé en 2007 et 2008. Les lobbyistes islamistes de Londres réclament que ne soit plus exposée la nudité de la statue d'Eros sur Piccadilly Circus. D'autres musulmans commencent à détruire des statues et des peintures dans tout Londres, mais aussi à Florence, à Rome, à Madrid et à Paris. Dans les mois qui suivent la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne établissent des commissions qui recommandent le déplacement des statues « offensantes » pour les musulmans. Des tissus en aluminium recouvrent Eros.

Le trait n’est pas aussi forcé que vous pourriez penser, comme M. Blankley le démontre aisément.

Les Européens étaient bien heureux d'importer les immigrés musulmans pour effectuer les sales emplois à leur place, mais se trouvèrent vite dépendants d'eux tant les taux de natalité européens battaient des records vers le bas. Surtout les Européens n’étaient pas préparés à la montée subite de l'Islamsme parmi les immigrés et leurs enfants. Le réflexe normal d'une Europe ravagée deux fois au 20ème siècle par des guerres mondiales fut d’éviter le nationalisme et d'exalter la « tolérance ».

Mais, comme M. Blankley l’écrit, « l'effort de l'Europe pour tendre à la tolérance culturelle a s’est lentement changé dans un étonnant et profond rejet d’elle même, de sa culture occidentale jusqu’à nier tout instinct d'autodéfense culturelle et nationale. ». Or Les taux de natalité musulmans élevés signifient qu'une proportion croissante de la population de l'Europe sera musulmane; le basculement vers Islamisme, épousé initialement par seulement une minorité de musulmans mais largement toléré et cautionné par une majorité, s'est développé. L'Europe, constate M. Blankley, est bien sur la route d’Eurabia. Et « Eurabia », continue-t-il, c’est quelque chose que nous ne devrions pas plus accepter aujourd’hui qu’il y a deux générations quand les Américains ont refusé de vivre avec une Europe dominée par Adolf Hitler.

Alors que pouvons-nous faire? Ici le Tony Blankley optimiste émerge. Si les tendances courantes continuent, l'Europe devient Eurabia; mais l'histoire nous montre que "nous pouvons considérer comme principe général que ce genre de tendances continuent rarement indéfiniment." Les chocs de 2004 -- les bombardements de Madrid, le massacre de Beslan, l'assassinat de Theo Van Gogh – ont réveillé beaucoup d'Européens, un peu de la même façon que le 11 septembre a réveillé beaucoup d’Américains; et les attentats de Londres en juillet sont survenus après qu'il ait fini son manuscrit.

"Juste comme si 2004 avait été l'année où l'homme et la femme de la rue européenne et quelques politiciens ont commencé à s’éloigner de la vieille idée d'une grande Europe multiculturelle. Jusque même dans les sphères les plus élevées des universités européennes et de certains gouvernements, il y a un même flagrant doute apparent au sujet de l'utilité du multiculturalisme et des principes fondamentaux qui ont formé la politique et les loi européennes sur les questions d’immigration et de la citoyenneté."

M. Blankley s’interrgoe: Que feraient Franklin Roosevelt et Winston Churchill ? Les réponses feraient sûrement discuter dans les salons bien pensants. Roosevelt a favorisé la censure, imposé la déchéance de la nationalité et les expulsions, interné des citoyens (et pas seulement les Japonais naturalisés Américains), restreint les déclarations publiques. Des politiques encore plus restrictives furent imposées par Churchill. Pourtant la majorité écrasante des Américains et des Britanniques et même des salons bien pensants les a soutenues. Elles étaient des mesures de secours dans un moment d'urgence. On était en guerre.

« L'occident doit retrouver la foi de combattre » lance M. Blankley et, dans le cas de l'Europe, la foi religieuse – pensant que cela peut se produire tant la croyance séculaire dans le multiculturalisme est minée par des événements. Il ferme le livre avec des recommandations spécifiques. Les Etats-Unis devraient déclarer la guerre aux jihadists islamiques et imposer des lois qui interdisent la prosélytisme prêchant la contestation violente du gouvernement. Nos forces de sécurité devraient pouvoir utiliser le profilage ethnique. Nous devrions sécuriser nos frontières et adopter les cartes d'identification nationales biométriques. Nous devrions faire beaucoup plus pour développer le projet BioShield, pour louer des traducteurs courants en arabe et d'autres langues appropriées. Nous devrions être disposés à des actions plus militaires dans le Moyen-Orient. Nous devrions essayer de renforcer la croyance des Européens dans les valeurs occidentales et "gagnez la guerre européenne des cultures."

Tout ceci semble titanesque à accomplir. Mais, M. Blankley prévient, l'alternative est redoutable. "si l'Europe devient Eurabia, cela signifiera la perte de nos premiers cousins culturels et historiques, de nos alliés économiques et militaires les plus étroits, et de la source même de notre propre civilisation.

Cela, les Américains devraient franchement le redouter, et devrait déplacer des montagnes pour l’éviter." Il est bien aisé de croire que l'Islam n'est pas une menace significative. Soulageant de le croire, oui, mais très difficile à croire pour quiconque a lu "la dernière chance occidentale."

Michael Barone is a senior writer at U.S. News & World Report and co-author of "The Almanac of American Politics.

Source: http://unionrepublicainepopulaire.blogspot.com/2005/09/empcher-eurabia.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 27 septembre 2005 - 09h48:

Likoud

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mardi 27 septembre 2005 - 08h52:

Simon Wiesenthal, un géant du vingtième siècle (info # 012609/5) [analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency



On a déjà beaucoup écrit, et on écrira encore, sur Simon Wiesenthal, récemment disparu. Je veux vous donner, dans ces lignes, ma perception et mon analyse du rôle de cet homme d’exception.


Simon Wiesenthal aurait pu être un survivant de la Shoah parmi d’autres, mais il a été plus que cela. Il a réalisé, alors qu’il était encore interné et promis à une mort atroce, qu’il devait survivre à tout prix, précisément pour témoigner de la mort atroce de six millions d’autres, pour clamer qu’un tel crime ne pouvait supposer ni pardon ni oubli, afin que cela ne puisse jamais recommencer. Il a donc fait preuve d’une force morale et d’une détermination extraordinaires : sa première liste de criminels nazis, il l’a établie dans le camp même de Mauthausen où il était interné, et, dès le jour de sa libération, le 9 mai 1945, il l’a remise à l’armée américaine.


Pourtant, la volonté morale et l’opiniâtreté de Simon Wiesenthal ont été très vite soumises à rude épreuve, lorsque la guerre froide s’est enclenchée peu après la Seconde Guerre Mondiale. La « realpolitik » a pris le dessus en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. En Allemagne, à l’Ouest, on a voulu « tourner la page » pour faire face à la nouvelle menace. Le chasseur de nazis est apparu alors comme un empêcheur de tourner en rond, quelqu’un qui refusait de « laisser les morts enterrer les morts » et de voir recyclés les anciens nazis. Par son acharnement, il a donné aux tenants de la « realpolitik » une leçon qui vaut encore aujourd’hui : l’éthique ne peut être exclue de la décision politique si celle-ci veut avoir une valeur.



Wiesenthal a introduit l’impératif catégorique moral dans la politique et l’a placé au-dessus de cette dernière, ce qui lui a été reproché à l’époque. C’est d’ailleurs aussi ce qui est reproché aujourd’hui à ceux qui pensent comme lui. Wiesenthal a créé un précédent historique. Si on avait compris plus tôt ce que je nomme le « précédent Wiesenthal », bien des erreurs et des errances de la seconde moitié du vingtième siècle et du début du vingt-et-unième n’auraient pas eu lieu et nul n’aurait eu l’opportunité de protéger des « salauds » sous le prétexte que « ce sont les nôtres ».



Simon Wiesenthal a remporté sa victoire majeure et essentielle en contribuant à l’arrestation d’Adolf Eichmann. Il a montré ainsi qu’aucun « salaud » n’était à l’abri nulle part, même après des décennies. Il a démontré que l’éthique peut justifier un droit et un devoir d’ingérence. Il a permis qu’ait lieu l’un des actes fondateurs d’Israël, une douzaine d’années après sa naissance. L’Etat d’Israël a été créé pour que les Juifs retrouvent leur identité et leur terre et pour qu’ils disposent d’un ultime refuge face à la plus vieille et à la plus féroce haine de l’histoire de l’humanité. L’Etat d’Israël a aussi été créé pour que nul n’oublie l’Innommable et pour que la justice triomphe. Si Israël n’avait pas existé, Eichmann n’aurait été ni arrêté, ni jugé, ni condamné. Grâce au procès Eichmann, des milliers d’apprentis Eichmann ont retenu la leçon, d’autres nazis ont tremblé jusqu’à la fin de leurs jours. Les minutes du procès Eichmann restent un témoignage irremplaçable de l’abjection ordinaire. Israël est apparu comme le pays de ceux qui ont réellement dit « plus jamais ça » et qui ont mis leurs paroles en œuvre.


Après le procès Eichmann, Simon Wiesenthal est devenu un homme avec qui il a fallu compter. Jusqu’à voici deux ans, lorsqu’il a pris sa retraite, bien après l’âge de 90 ans, il a contribué à l’arrestation de plus de 1100 autres criminels contre l’humanité du Troisième Reich. Il a contribué à montrer plus que tout autre que la haine anti-juive n’était pas une haine comme les autres puisqu’elle avait conduit au crime absolu, mais aussi que toute haine raciste enclenchait un engrenage qui pouvait conduire au pire. Il a été une sentinelle de clarté à laquelle nous sommes tous redevables, juifs et non juifs. Il a créé des émules et des disciples. Serge Klarsfeld est de ceux-là.


Bien qu’insulté et menacé en Autriche, la terre où sa famille, presque totalement décimée par les nazis, avait planté ses racines, Simon Wiesenthal avait tenu à rester en Autriche. Ce que je comprends et que j’admire. Ne jamais céder, ne jamais baisser les yeux était pour lui un principe de vie. A ceux qui lui parlaient de vengeance, il répondait : « non, pas la vengeance : la justice, tout simplement la justice ». La Loi, le droit naturel. Ce qui sépare l’humanité de l’inhumain. Face au relativisme, Wiesenthal aura été jusqu’au bout un exemple de droiture et le rappel que la Loi doit régner si l’humanité veut survivre. Il aura été bien davantage qu’un grand homme : l’un des géants du vingtième siècle, l’un de ceux dont l’action et les principes devront encore impérativement nous guider dans les siècles à venir.


Qu’il repose en paix !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mardi 27 septembre 2005 - 05h45:

c:/
de la part de Edith et Victor Hayoun

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mardi 27 septembre 2005 - 03h30:

Chers famille harissienne et amis adratiques,

Je reemmerge apres 2/3 semaines d'absence bien remplies et fatiguantes. Malgre mon esprit embue du aux nuits sans sommeil, je tenais a remercier tous ceux qui ont ecrit leurs bons voeux a l'occasion de la naissance de mon petit Uriel.
J'ai tout imprime et garde a la posterite vos messages chaleureux dans son baby book.
En particulier, un grand merci a Lucia pour son incroyable gentillesse et aide pendant la semaine de fete qui a precede la mila ainsi qu' Emile Tubiana et sa douce epouse. Vraiment grace a Harissa j'ai rencontre des gens formidables devenus une 2eme famille pour moi.
Et un petit clin d'oeil au Dirlo du PTB pour sa bilada grandiose..
Avec mes meilleurs voeux de Shana Tova et de Hatima Tova a tous.
Amities
Nao

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 27 septembre 2005 - 00h23:

Sharon sort vainqueur du scrutin au comite central du Likoud ... n en deplaise a certains qui deja vendaient la peau du vieil ours avant de l avoir mis a terre ...

La suite au BB

http://harissa.com/forums/read.php?36,32341