Archive jusqu'au 11/septembre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Septembre 2005: Archive jusqu'au 11/septembre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 11 septembre 2005 - 07h02:

JE VOUDRAIS SAVOIR LA RECETTE DU BOUSCOUTOU

MERCI

NATHALIE

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 11 septembre 2005 - 06h59:

Anciens élèves du Lycée Carnot de Tunis


site France : www.carnottunis.com

site Tunisie : http://www.lyceecarnotdetunis.com/Accueil.htm



Bonjour,


Mille excuses de vous relancer, mais vous ne pouvez manquer de figurer sur l'annuaire 2006 avec, à ce jour, 1500 anciens élèves et profs inscrits. Vous avez sûrement laissé passer le message, pensant y répondre plus tard (ça nous arrive aussi), mais c'est le moment -maintenant - de prendre quelques instants pour le compléter.



C'est la première fois que deux associations d'anciens élèves, d'un même lycée, installés dans deux pays différents (la Tunisie et la France) s'associent pour préparer un annuaire commun. Merci infiniment de votre réponse, grâce à vous - il sera un annuaire exceptionnel , celui des «anciens du lycée Carnot» des quatre coins du monde.



Inscription à l'annuaire 2006

(par mail, fax, courrier)



Nom, prénom : …………………………………………..
(nom de jeune fille):……………………………………….

Né(e) le …………………………….à …………………

Domicile : ………………………………………………….
Ville: ……………………………………………………….
Tél/Portable: ………………………………………………
E-mail : …………………………………………………….

Entrée au Lycée en 19…. en classe de ………………………
Départ du Lycée en 19…. en classe de …………………….

Profession: ………………………………………..

Société : ……………………………………………


déclare accepter figurer sur l'annuaire 2006

des Anciens élèves du lycée Carnot de Tunis

Merci de faire circuler le formulaire d'inscription dans votre réseau Carnot.


Cordialement.

Lina Hayoun
Déléguée générale
00 33 (0)6 20 88 40 52
fax 00 33 (0)1 49 10 09 82
18 champs Elysées 75008 Paris
alct@free.fr
http://carnottunis.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 11 septembre 2005 - 06h53:

Connec’sion

et les Commissions Culture de Michkenot Israël et d’Ohaley Yaacov
vous invitent à une conférence exceptionnelle


Vichy et les Juifs,
l’exemple des polytechniciens juifs

par Bernard LEVI, X41

auteur de Xbis, un Juif à Polytechnique (1939-1945)

Ed. Calmann-Lévy


Mercredi 21 septembre 2005 à 20 h 30
à la synagogue Michkenot Israël
6, rue Jean Nohain – Paris 19e
(angle rues A. Carrel et C. Hugues)

Entrée gratuite

Réservations par mail à
infos@connec-sion.comou michkenot@club.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 11 septembre 2005 - 06h50:

Katrina : l’anti-bushisme est une maladie profonde (info # 010909/5) [Réinformation]

Par Sébastien Castellion © Metula News Agency

Sébastien Castellion est un haut fonctionnaire français qui a vécu aux Etats-Unis avant de rejoindre le ministère des Finances.

Le jeudi 8 septembre, le Monde titrait à propos de la tragédie qui a dévasté l’Amérique : « Le cyclone Katrina interroge le modèle Bush ».

Ah, Bush ! Heureusement qu’on l’a, celui-là, pour expliquer tous les malheurs de la planète. Un tsunami en Asie : Bush est coupable, parce qu’il n’a pas envoyé assez d’argent (je n’invente rien, il a fallu 48 heures à la presse française pour lancer ce thème) aux populations dévastées. La coalition baath-alQaida en Irak massacre de malheureux civils irakiens qui ne demandent que le retour à une vie normale après 35 ans de dictature psychopathe ; mais ce ne sont pas les assassins qui sont accusés, c’est la faute de Bush, même s’il fait tout ce qu’il peut pour soutenir le gouvernement démocratique irakien qui combat les terroristes. Des attentats suicides à Londres : c’est la faute à Bush, puisqu’il a envahi l’Irak. Bush est à la presse française ce qu’Israël est à al-Manar : la source de tous les maux et l’excuse idéale pour ne jamais réfléchir.

Et pourtant, même devant une catastrophe aussi tragique que celle de la Nouvelle-Orléans, il n’est pas interdit d’analyser la réalité et de la dire telle qu’elle est. Fidèle à sa mission de réinformation, la Ména vous offre donc, rassemblés pour la première fois par un media, les éléments de vérité actuellement disponibles. Des enquêtes ultérieures auront certainement lieu et apporteront de nouvelles précisions. Mauvaise nouvelle pour le Monde, les faits montrent que la responsabilité de la catastrophe, qui est largement partagée, ne repose sur Bush que sur un point qui fut loin d’être le plus sérieux, et qui sera précisé plus bas. Afin de faire acte de pédagogie, ces faits sont rassemblés sous forme de réponses aux questions les plus souvent posées.

Pourquoi la ville a-t-elle été inondée ?

Parce qu’elle était inondable. La Nouvelle-Orléans a été construite à partir de 1718 entre le fleuve Mississipi, l’Océan et le lac Pontchartrain, dans une dépression naturelle qui fait que 80 % de la surface de la ville se situent au-dessous du niveau de la mer. Le lac, en particulier, menace en permanence de se déverser dans la ville. La ville, qui est protégée contre ce risque par une unique digue – ou plutôt l’était –, c’est cette digue que Katrina a détruite, provoquant la catastrophe que la planète entière connaît désormais.

La catastrophe avait-elle été prévue ?

Oui, et plutôt cent fois qu’une. Tous ceux qui devaient savoir – les autorités de Louisiane, les autorités municipales, l’agence fédérale pour la gestion des urgences (FEMA) - savaient qu’un cyclone important, attaquant directement la ville, risquait de provoquer une inondation généralisée, avec des conséquences humanitaires dramatiques. Il y a un an, dans son édition d’octobre 2004, la revue National Geographic avait publié un article prévoyant dans le détail les conséquences d’un cyclone : tout y est, y compris le problème des réfugiés auxquels les secours ne parviennent pas à temps. Espérons simplement que le nombre des victimes annoncé par le National Geographic (50 000) sera, quant à lui, fortement exagéré.

Pourquoi la digue n’a-t-elle jamais été renforcée ?

Là, cela devient franchement intéressant. Il existe deux réponses à cette interrogation.

D’abord, l’argent. A intervalles réguliers, depuis 40 ans, des propositions de renforcement avait été évoquées – soit au niveau de l’Etat de Louisiane, soit au niveau fédéral – puis abandonnées. Personne n’a jamais réellement insisté. Manifestement, toutes les branches du gouvernement américain considéraient qu’ils avaient mieux à faire de leur budget. Il n’y a d’ailleurs aucune raison sensée de penser que cette négligence aurait pris fin si Kerry (ou Gore) avaient été élus présidents à la place de Bush. Ni l’un ni l’autre ne se sont fait remarquer par des déclarations en faveur du contrôle des inondations dans leurs campagnes respectives.

Parce qu’avec les études préliminaires il faut au moins huit ans pour passer de la décision à la conclusion d’un tel projet. Ensuite, parce que certains des meilleurs amis de Gore et Kerry ont toujours été férocement opposés à l’idée même de digues pour contenir les forces de la nature.

Ainsi, le mouvement écologique américain (qui soutient massivement, faut-il le rappeler, le parti démocrate) a, depuis plusieurs années, lancé une véritable campagne contre la construction de digues et d’écluses sur les fleuves, au nom de la préservation de l’environnement naturel. Une de ces organisations – la branche de Louisiane du Sierra Club – avait intenté un procès en 1996 au corps du génie militaire pour empêcher la mise en œuvre d’un programme de renforcement des digues du Mississippi (le plan de ce programme n’étant pas public, il est impossible de dire s’il aurait pu, ou non, éviter la catastrophe de 2005). Le 8 septembre, le site Internet de cette organisation continuait à se vanter de ses efforts pour conserver les régions marécageuses des environs de la Nouvelle Orléans dans un état « humide et sauvage ». Un choix de mots particulièrement malheureux quand on songe aux pillages et aux meurtres que la ville vient de subir.

Encore le 13 avril dernier, l’éditorial du New York Times, voix sacrée des démocrates américains, reprochait à Bush de prévoir une dotation de 17 milliards pour le génie militaire afin de contrôler les inondations – alors que (je cite le New York Times) « les écologistes reprochent à ce corps d’armée de transformer des rivières majestueuses en canaux sans vie et de détruire des millions d’hectares de marécage ». En clair : les Démocrates, qui se déchaînent maintenant sur Bush, et sur Bush seul, pour n’avoir pas renforcé la digue, étaient les mêmes qui lui reprochaient de prévoir des financements destinés à renforcer des digues…

Pourquoi la ville n’a-t-elle pas été entièrement évacuée ?

Pour les lecteurs qui ne seraient pas familiers avec le fédéralisme US : Bush n’avait pas le pouvoir d’organiser ou d’ordonner l’évacuation de la cité, quand bien même il l’aurait voulu. C’était la responsabilité du maire de la ville, Ray Nagin, qui a effectivement ordonné l’évacuation un peu moins de 48 heures avant l’arrivée de Katrina.

Mais, de manière encore incompréhensible, le maire n’a pas fait exécuter le plan d’évacuation qui avait pourtant été élaboré par sa propre commune. Ceux qui pouvaient et voulaient partir sont partis ; pour les autres, le maire a fait aménager le Superdome et le palais des congrès local. Il n’a pas, contrairement à ce qui était prévu, utilisé les bus scolaires, propriété de la ville, pour évacuer ceux qui n’avaient pas de voiture ou rechignaient à partir.

Pourquoi, une fois le désastre humanitaire constaté, les secours ont-ils mis 5 jours à arriver en nombre suffisant ?

Une fois la digue détruite et la ville inondée, il était à peu près impossible de passer avec des moyens civils : il y avait trop d’eau pour les véhicules terrestres et pas assez pour les bateaux. Les infrastructures – eau courante, électricité – ont totalement cessé de fonctionner. Il était donc impossible d’éteindre les incendies ou même de tirer la moindre chasse d’eau.

La seule solution à la hauteur du problème était donc de faire appel aux moyens militaires des Etats-Unis afin de gérer les dégâts de la catastrophe. On eut donc recours à 40 000 soldats, des hélicoptères, des canots, des tonnes de nourriture et d’eau, soit tous les moyens du génie. Mais un déploiement de cette envergure prend du temps. Contrairement à ce que la presse a semblé croire, nous ne vivons pas dans le monde de Star Trek : une opération militaire de cette taille ne peut pas se matérialiser instantanément, et ce n’est pas parce que la presse peut envoyer un hélicoptère et des caméras en quelques heures, que l’US Army peut faire la même chose avec 40 000 réservistes. C’est pour cela qu’il s’est donc écoulé un délai de quatre jours entre la rupture de la digue et l’arrivée des secours militaires.

Les forces armées auraient-elles dû être prépositionnées pour intervenir, en cas de besoin, dès avant l’arrivée de la catastrophe ? Sans doute – et c’est le seul point sur lequel, avec l’avantage que nous avons maintenant de savoir ce qui c’est passé –, peut-on reprocher à Bush de n’avoir pas fait tout le nécessaire. Gageons que les troupes le seront, prépositionnées, la prochaine fois qu’une menace de cette ampleur paraîtra seulement envisageable. Encore faudra-t-il, dans cette hypothétique prochaine fois, se mettre d’accord à l’avance pour savoir sous quel commandement seront placées les forces une fois entrées dans l’Etat sinistré. En principe, c’est le gouverneur de l’Etat qui assure le commandement des réservistes de la Garde Nationale dans les opérations de secours, mais entre les réservistes et les forces régulières, et avec la nécessité d’entrer et de sortir de l’Etat pour chercher des moyens complémentaires, il peut être plus pratique de transférer la responsabilité au niveau fédéral.

Le directeur de la FEMA, Michael Brown – qui n’a pas brillé par sa perception de la gravité du danger dans les jours qui ont précédé la catastrophe mais qui n’étant pas Bush intéresse donc moins la presse française – a proposé cette « fédéralisation » des secours après la rupture de la digue au gouverneur démocrate de Louisiane, Mme Kathleen Blanco. Mme Blanco a refusé l’offre de la FEMA, apparemment pour éviter que l’Etat "bushiste" ne tire un profit politique des secours. Constitutionnellement, il n’y avait pas moyen d’imposer cette décision à Madame Blanco : elle lui appartient, et elle seule peut en porter la responsabilité.

Dans ce registre, il y a d’ailleurs beaucoup plus grave. La Croix Rouge a révélé hier lors d’une interview donnée à Fox News – et l’a confirmé sur son site Internet – qu’elle disposait, elle, avant le passage de l’ouragan, des moyens nécessaires, qui étaient prêts à se déployer pour porter secours aux victimes réfugiées dans le Superdome. Or l’agence louisianaise de sécurité (qui dépend de Mme Blanco et nullement de Bush), a, dans un premier temps, refusé l’arrivée de ces secours, en expliquant (et là, je cite la Croix Rouge) "qu’ils ne voulaient pas créer un aimant attirant la population autour du Superdome, que l’objectif était d’évacuer ces gens et pas de les laisser là éternellement".

Au moment même où les réfugiés s’entassaient, affamés, l’Etat de Louisiane a donc pris la décision politique de refuser l’arrivée des moyens mobilisés par la Croix Rouge, ce après avoir négligé de mettre en œuvre son propre plan pour procéder à leur évacuation. Les autorités de Louisiane ont ainsi agi au nom d’une priorité à l’évacuation, pour laquelle elles attendaient une intervention extérieure à l’Etat, et dont elles savaient pertinemment qu’elle mettraient un certain temps (critique) pour parvenir sur les lieux. Je laisse aux lecteurs le soin d’imaginer quelle serait la réaction de la presse tricolore, si le gouverneur qui a ainsi pris la décision délibérée de laisser les gens sans vivres et sans secours – pour la plupart, rappelons-le, des noirs nécessiteux – si ce gouverneur, disions-nous, était un républicain ami de Bush ?

La guerre d’Irak a-t-elle empêché les moyens nécessaires d’arriver en Louisiane ?

A partir du vendredi 2 septembre, il y avait en Louisiane toutes les troupes et tous les moyens nécessaires – et même au-delà du nécessaire – pour porter secours à toute la population et évacuer tous ceux qui le désiraient. Le problème n’a jamais consisté dans le manque de moyens, mais en un délai trop long pour diligenter ces moyens au bon endroit. Et les raisons de ce délai n’avaient, bien évidemment, rien à voir avec la guerre en Irak. Le public français se trouve ici piégé dans ce qui constitue typiquement un faux débat ; du type de ceux qui ne peuvent intéresser que les journalistes du Monde et leurs pygmalions.

Le fait que les victimes soient majoritairement noires et pauvres a-t-il contribué au retard des secours ?

Autre faux débat ! – encore que, si on daignait l’approfondir, on pourrait signaler que Mme Blanco, dont l’administration a (toujours selon la Croix-Rouge) été la seule à retarder délibérément l’intervention des secours, est une Démocrate blanche du Sud – l’héritière du parti de l’esclavage et de la ségrégation, comme on le rappelle assez rarement en France.

Mais on n’a pas besoin de recourir à cette hypothèse pour expliquer la concentration d’une population noire et pauvre parmi les victimes. La Nouvelle-Orléans est à 68 % noire, et la principale raison ayant empêché les victimes d’être évacuées est que certains n’avaient pas de voiture individuelle, ce qui est évidemment corrélé avec la pauvreté. Partant de ces données, il n’y avait aucun scénario envisageable dans lequel une majorité de bourgeois blancs se serait retrouvée coincée au Superdome pendant que les prolétaires, confortablement évacués, auraient plaint leur sort malheureux en regardant la télévision.

Dans les zones où les réfugiés ont été évacués, des millions d’Américains leur viennent en aide, sans se soucier le moins du monde de leur race ou de leur classe. Depuis l’arrivée des secours, des militaires de toutes races ont sauvé des milliers de vie, se fichant pas mal de l’ethnicité de ceux qu’ils sauvaient. Bush n’a jamais rien dit de raciste – et on peut penser que s’il l’était un tant soit peu, il n’aurait pas confié la conduite de la diplomatie mondiale successivement à Colin Powell et Condi Rice. Dans ces conditions, ceux qui veulent continuer à parler de race se placent délibérément dans un univers parallèle, où ils remplacent la réalité qu’ils constatent de leurs yeux par leurs projections les plus malsaines. Mes amis israéliens de la Mena, comme presque tous les Juifs du monde, connaissent bien cette maladie. Mais aujourd’hui, ils n’en sont plus les seules victimes. La haine des Américains, ou au moins de ceux qui votent Bush – et naturellement, la haine de Bush lui-même – a atteint le même niveau d’irrationalité et de fureur que la haine des Juifs.

L’affection est profonde. Et il serait grand temps, pour son propre bien, que la France cherche à se faire soigner.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 11 septembre 2005 - 00h58:

BESIMANE TOV OUBE MAZAL TOV a Nao et a sa famille.

J'aurais tant voulu assister a la MILA et pouvoir benir ce bébé ce jour la, en attendant recevez cette
illustration qui symbolise cet événement.

Victor Cohen
MILA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 10 septembre 2005 - 17h10:

bravo mon bébé

Isa ma tendre amie,

Quand tu prononceras ce simple mot "mon fils",
Une immense fierté t'envahira
Et submergera ton coeur.

Ce bébé si doux que tu tiens en tes bras
est dejà "ton petit prince".

Lorsque ses premiers pas seront encore hésitants
Il t'émerveillera chaque jour davantage
Et il sera "ton petit Roi".

Au fil du temps... Au fils des ans
Et toujours ce sourire sera sur tes lèvres
Dès que tu prononceras avec bonheur
Ce simple mot "Mon fils".

mazel tov

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rachco (Rachco) le samedi 10 septembre 2005 - 10h17:

Ma chère Isa je ne résiste pas à ajouter ici aprés les rhouta's de Djachem .... les cinq et les Jeudi !
Mazal tov à toute la famille que du bonheur!
------bravo les filles T pour ce tiercé gagnant---

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le samedi 10 septembre 2005 - 05h00:

Isa et Justin,

Au nom d'Harissa et en mon nom propre, je souhaite la bienvenue au nouveau petit Miller et un grand mazaltov aux heureux parents.

Voici quelques images pour ce qui arrive : http://www.harissa.com/D_Religion/brithmilah.htm

Jaco

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le samedi 10 septembre 2005 - 04h57:

Pierre Besnainou, qui était mardi 6 septembre, l’invité du Bureau exécutif du CRIF, s’est félicité de la décision du gouvernement d’Athènes d’interdire un rassemblement néo-nazi qui devait avoir lieu du 16 au 18 septembre 2005 en Grèce. En liaison avec Moses Constantinis, le président du Conseil des communautés juives, l’équivalent grec du CRIF, le Congrès juif européen, présidé depuis le 26 juin par Pierre Besnainou, était intervenu auprès du gouvernement dirigé par Kostas Koramanlis. Prenant note de ce succès, Pierre Besnainou a considéré que « c’est un pas supplémentaire dans notre combat contre l’extrême-droite, qui devrait être éradiquée en Europe depuis longtemps ».

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 10 septembre 2005 - 01h26:

Ma Zaza bien-aimée,

Heureux d'apprendre l'arrivée de ce petit garçon sur cette planète.

Vive la famille Miller!

Khota! Khota!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le vendredi 09 septembre 2005 - 22h15:

Ma Chère Nao,

Mon service info basé à Paris m’a annoncé la bonne nouvelle vers les 18 heures 32 heures de Paris.

Voilà donc pour toi et ta famille……


Avoir un fils.


AvoIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIir un fiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIls
Né ce jour saint du vendredIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII….
Que c’est beau OOOOOOOOO..OOOOOOOOOOOOO….La viIIIIIIe…§§§§§§§§

Avoir un fils./………Avoir un fils./.
Après deux filles
QueEEEEEEEEEEEEEEEEEEEl chéEEEEEEEEEEEEri…§§§§§§§§§§§§§§…..

Avoir un fils
AAAAAAAAAAAAAAvoir un fiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIls..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Qui portera votre nom
Pour la postérité./..

Avoir un fils
Avoir un fiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIls..§§§§§§§§§§§§§§
Qu’il soit béni..MMMMMMMMMMMMMmmmmmm..§§§§§§
Dans ton foyer……Nao.OOOOO…§§§§§…..

Avoir un fils
Bientôt circonciIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIs
Qu’il soit béniIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..§§§§§§§§§§§§§§§§§
Parmi vous./.

Passera le temps ./.
Il grandiIIIIIIIIIIIIIIIIII…IIIIIIIIIIIIIIIIIIII…IIIIIIIIra ..§§§§§§§
Treize ans plus tard ..§§§§……MMMMMMMMMmmmmm
Tu verras ton jeune Hatan en taleth….§§§§§§§…….
Rentrer chez vous , le petit homme.§§§§§§§§§§§§§

Avoir un fils./.
Avoir un fiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIls
C’est la lumière qui inonde vos CŒURS…§§§§§§§…….
Que D ieu vous le gaAAAAAArde
Pour toute votre vIIIIIie..

Avoir un fils./.
Avoir un fiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIls..§§§§§§§
Qui partira un jour avec une inconnuUUUUUUUUUUUUe
Les larmes aux yeux tu auras ..AAAAAAAAAAAAAAAAs….§§§§§
Et c’est la vie….

Avoir un fils……Avoir un fils……

LE BEBE DANSANT