Archive jusqu'au 04/septembre/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Septembre 2005: Archive jusqu'au 04/septembre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le samedi 03 septembre 2005 - 01h18:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Cher David Eden,

Merci de ton intervention que l’on attendait avec délice, et l’on constate que tu uses d’une méthode excellente, qui consiste à répondre à la place d’Henri, à la question qui lui était posée par une autre question.

Bien, alors il est vraisemblable que tu trouve normale, que l’on procède avec toi de la même façon, en te posant à ton tour, et en guise de réponse, une question qui brûle les lèvres :

Pourquoi au travers de tous tes commentaires, il semble se dégager une impression de négativisme total et permanent, voire de douleur éternelle ( ce que l’on ne saurait que déplorer, s’il en était réellement ainsi,,, et ce que bien sûr personne ne souhaite ).

S’il te plait Cher Ami, dis nous donc quels seraient tes voeux les plus chers, qui pourraient changer ta vision d’un passé regrettable s’il en est, alors que la roue de l’histoire a déjà tourné de nombreuses fois, et qu’à présent cette roue devrait plutôt tendre vers un avenir, que l’on voudrait constructif ?

Envoies nous donc pour une fois au moins, de la lumière plutôt que des ténèbres dont on ne sait que faire.

La Paix soit en Toi,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le samedi 03 septembre 2005 - 00h28:

ma chere nao,la plupart des ces pauvres noirs n'ont aucun moyen de transportation.
la nouvelle orleans a un taux d'utilisation des transports en commun superieur a new york.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 02 septembre 2005 - 22h23:

Bush le croyant est un homme qui aura ete eprouve par Dieu. Apres la tragedie apocalyptique du 11/09, la guerre en Irak loin d'etre finie, voila maintenant qu’il doit gerer les consequences desastreuses apres le passage du cyclone Katrina qui a litteralement devaste et englouti sous les eaux la Nouvelle Orleans et d'autres regions cotieres du Sud.

A y regarder de plus pres, on trouvera peut etre une similitude de victimisation entre les morts des recents incendies de squats a Paris et les rescapes sans maison du cyclone Katrina en Louisiane.

Les JT francais se delectent, je le sais, je les regarde, a montrer le chaos qui regne, chaos incomprehensible pour une superpuissance mondiale.
Il est vrai que les images de la Nouvelle Orleans ressemblent plus a celle de Haiti, en proie aux emeutes, qu'une grande ville americaine civilisee.

La realite est que tous ces gens, en partie des Noirs, la Nouvelle Orleans ayant une population noire egale ou superieure a 55.5%, ont refuse de quitter leurs maisons malgre les alertes des autorites.

Ici s'elevent deja des voix scandalisees du Black Caucus comme quoi l'Amerique ne fait pas assez pr ses "minorites ethniques", ses noirs eternelles victimes, nous culpabilisant de ne pas faire assez vite et bien pour eux!

Demandons-nous plutot que font ces Noirs pour l'Amerique!??

On a assiste a des scenes de pillage, vandalisme sans nom en ville avec des services de police debordes; des civils courant dans les rues armes au poing pillant allegrement des magasins; bref des scenes indignes d'une democratie civilisee, des scenes semblables a des emeutes et de desobeissance civile.. .

Ce qui me revolte, c'est qu'ils profitent de la tragedie pour rendre la situation encore plus catastrophique et chaotique. On va entendre pendant des mois les clameurs des African American groups disant que comme d'habitude, ils sont la population eternellement sacrifiee des Etats-Unis, societe portee a bout de bras par les Blancs, que la discrimination bat son plein 50 ans apres les resultats obtenus par Martin Luther King.

Je suis arrivee en Amerique sans aucune idee preconcue les concernant ayant plutot des sentiments de compassion a leur egard. Mais passez quelques annees ici et vous verrez que les inegalites ne sont pas la ou on les croit.

Dans les villes, beaucoup glandent, recoivent de l'argent du gouvernement federal et le medicair tout en refusant d'adopter le systeme de valeurs en place oriente vers le travail et la reussite sociale et par dessus le marche pleurent, nous critiquent, nous accusent et veulent toujours plus..

Mon discours vous choque peut etre mais il faut etre aveugle pour ne pas dire qu'il y a un probleme noir aux USA malgre la reconquete legitimes de leurs droits et les acquis sociaux. Le probleme, ca n'est pas nous "ces mechants blancs" qui les maltraitont comme le pense la gauche democrate coupable a l'exces mais eux-meme qui continuent, dans leur obsession confortable de victimisation, a s'enfoncer dans leur marasme.

Ca me fait etrangement penser a nos immigres en France, qu'ils soient noirs ou maghrebins.. Meme shema d'echec et de victimisation...

"Aides toi, le Ciel t'aidera" dit le dicton.

Shabbat Shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 02 septembre 2005 - 21h32:

L'etat de notre religion aujourd'hui

De penser et d'ecrire comme Henri le fait, que une fois qu'on sera arrives au ciel, nous allons "passer a la caisse" et payer pour les mitzvoth que nous avons refuse d'accomplir, s'apparente on ne peut plus a une SPIRITUALITE DE KOUTTAB (ou de madrassa). Ce n'est certainement pas de cette facon-la que nous allons esperer devenir une lumiere pour le monde.

Malheureusement nous sommes dans une epoque ou le monde monotheiste (Juifs, Chretiens et Musulmans) est en train de virer vers une droite religieuse, reactionnaire, petite, refermee sur elle-meme et qui est en train de nous ramener directement vers un obscurantisme moyen-ageux.


Laics contre religieux

Henri, ce ne sont pas les laics qui attaquent les religieux comme tu veux bien le croire. Sache que les laics n'ont pas de politique definie qu'ils essaient d'imposer. Les laics ne font que se revolter contre la main-mise des religieux sur plusieurs secteurs de la vie civile comme la naissance, le mariage et la mort entre autres. Si tu demandes a n'importe quel laic, personne ne te dira qu'il veut que les religieux alignent leur pensees sur les siennes. Par contre si tu demandes aux religieux, ils te diront tous, comme toi tu ecris ici, que la Torah est divine et que nous devons respecter les lois religieuses et meme forcer les autres a respecter ces lois la.

Pour moi, ce sont TOUJOURS les religieux qui veulent imposer leurs edits et les laics qui ne font que se defendre.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 02 septembre 2005 - 19h17:

Sharon-Bush : les affreux

Cette question : pourquoi est-il impossible de soutenir Ariel Sharon et George W. Bush sans risquer de passer pour un «fasciste», alors même que les deux hommes ont été élus par des démocraties exemplaires ? Pourquoi nombre de médias français, qui n'ont de cesse de fustiger le militantisme de la chaîne américaine Fox News, leur appliquent-ils une partialité tout aussi critiquable ? La réussite du démantèlement des colonies de Gaza, en août, a été bien timidement saluée, tandis que le pire continue d'être annoncé pour la Constitution irakienne, qui vient d'être rédigée.

Pourquoi ces rejets ? Notamment, parce que les deux hommes ne font pas mystère de leurs convictions patriotiques. Parce que ces dirigeants arborent leur drapeau au revers de leur veste, parce qu'ils représentent des nations fières, parce qu'ils ont décidé de résister à l'islam radical, en guerre depuis le 11 Septembre contre l'Occident et les musulmans éclairés. Bush et Sharon sont infréquentables parce qu'ils ne croient pas en la vision angélique du grand mélangisme internationaliste.


Comme l'écrit Roland Dajoux dans un livre récent (4), «le temps est venu pour l'Occident de comprendre que le danger du fondamentalisme islamique est un danger mondial, que le drame qui se joue en Israël, répétons-le, n'est finalement qu'une préfiguration, la vision prémonitoire du danger qui guette le monde non islamique». Israël et les États-Unis, deux nations d'immigration s'il en est, montrent la force que donne un sentiment identitaire partagé par tous. A méditer.

Le bloc-notes d'Ivan Rioufol

irioufol@lefigaro.fr
[02 septembre 2005]

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le vendredi 02 septembre 2005 - 18h57:

Wnessou El Douda,

Vous avez bien raison. Il ya en France des centaines de milliers de Juifs qui vivent dans une democratie avec des droits de citoyens egaux de part le droit.
La raison de ce grand nombre vient du fait que beaucoup d'entre sont des refugies ou les descendants de refugies de terre d'Islam. Ces terres quand devenus sous controle arabe ont ete videe de presque toute presence non hala et en priorite bien sur les Juifs.
Malgre les attaques antisemites et la politique anti-Israelienne du gouvernement Francais, il fait toujours plus beau a Paris (en figure) qu'a Tunis ou Algers.

Vous demandez a henri d'expliquer pourquoi les Juifs resteraient pour la plupart en France malgre l'antisemitisme. Je vous pose 2 autres questions aussi legitimes:

1. Pourquoi les Juifs se sont enfuis de Tunsie? Il reste moins de 1% de la population!!

2. Pourquoi les Arabes restent en Israel si en fait ils y sont traites si mal comme votre presse et gouvernment le dise? (meme question que pour les Juifs de France)

Davideden

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le vendredi 02 septembre 2005 - 18h23:

Une voix libanaise pour Israël

(English version following)



Propos de Brigitte Gabriel tenus lors de la conférence sur l’anti-terrorisme de l’Université de Duke.

Je suis fière et honorée d’être parmi vous aujourd’hui, en tant que Libanaise s’exprimant en faveur d’Israël, l’unique démocratie du Moyen-Orient. En tant que personne élevée dans un pays arabe, je souhaite faire un tour d’horizon depuis le cœur du monde arabe.

J’ai été élevée au Liban, où l'on m’a enseigné que les Juifs étaient diaboliques, qu’Israël était le démon, et que le seul instant où on aurait la paix au Moyen-Orient serait lorsqu’on aurait tué et jeté tous les Juifs à la mer.

Quand les Musulmans et les Palestiniens ont déclaré le Jihad aux Chrétiens en 1975, ils ont commencé par massacrer les Chrétiens, ville après ville. J’ai fini par vivre dans un abri souterrain de 10 à 17 ans, sans électricité, mangeant de l’herbe pour survivre et rampant sous les tirs des snipers, bondissant pour aller chercher de l’eau.

C’est Israël qui est venu aider les Chrétiens au Liban. Ma mère a été blessée par un obus musulman et fut transportée dans un hôpital israélien pour y être soignée. Quand nous avons pénétré dans la salle des urgences, je fus frappée par ce que je vis. Il y avait une centaine de blessés, Musulmans, Palestiniens, Chrétiens, Libanais, et des soldats israéliens couchés par terre. Les médecins soignaient chacun selon sa blessure. Ils ont soigné ma mère avant les soldats israéliens couchés près d’elle. Ils ne voyaient pas la religion, l’appartenance politique, ils voyaient des gens dans le besoin et ils les aidaient.

Pour la première fois de ma vie j’ai fait l’expérience de qualités humaines que je savais étrangère à ma culture face à l’ennemi. J’ai fait l’expérience de la valeur des Israéliens, qui étaient capables d’aimer leur ennemi dans les moments critiques. J’ai passé 22 jours dans cet hôpital. Ces jours ont changé ma vie et la façon dont je crois à l’information, écoute la radio et la télévision. J’ai pris conscience que le gouvernement m’avait vendu un mensonge fabriqué sur les Juifs et Israël qui était si loin de la réalité. Je savais par expérience que si j’avais été une juive dans un hôpital arabe, j’aurais été lynchée et jetée à terre, les cris de joie de « Allah Akbar », « Dieu est grand », résonnant à travers l’hôpital et les rues avoisinantes.

Je suis devenue amie avec les familles des soldats israéliens blessés : d’une femme en particulier, Rina, dont l’enfant unique avait été blessé aux yeux. Un jour, alors que je rendais visite à ce dernier, un groupe de l’armée israélienne est venu jouer des chansons nationales pour remonter le moral des soldats blessés. Comme ils entouraient son lit, jouant une chanson sur Jérusalem, Rina et moi commençâmes à pleurer. Je ne me sentis pas à ma place et commençais à quitter la pièce mais sa mère me prit la main et me ramena sans même me regarder. Elle me serra en pleurs et me dit : « ce n’est pas ta faute ». On est juste restées là pleurant, se tenant les mains.

Quelle différence entre elle, une mère encore capable de m’aimer, moi l’ennemie, devant son enfant unique invalide, et une mère musulmane qui envoie son fils se faire exploser en mille morceaux juste pour tuer quelques Juifs ou Chrétiens.

La différence entre le monde arabe et Israël est une différence de valeurs et de personnalité. C’est la barbarie contre la civilisation, la démocratie contre la dictature, Dieu contre le diable.

Autrefois, existait un endroit spécial dans les profondeurs de l’enfer pour quiconque tuerait intentionnellement un enfant. Maintenant le crime prémédité d’un enfant israélien est légitimé en tant que “combat armé” palestinien.

Toutefois, lorsqu’un tel comportement est légitime contre Israël, il l’est aussi partout dans le monde, contraint par rien d’autre qu’une croyance subjective d’un peuple qui s’entourera de dynamite et de clous dans le but de tuer des enfants au nom de Dieu.

Parce qu’on a encouragé les Palestiniens à croire que le meurtre de civils israéliens innocents est une tactique légitime pour faire avancer leur cause, le monde entier souffre actuellement de la peste qu’est le terrorisme, de Nairobi à New York, de Moscou à Madrid, de Bali à Beslan.
On condamne les attentats suicide qui seraient dus au désespoir de l’occupation. Laissez-moi vous dire la vérité. Le plus important attentat à la bombe perpétré par les Arabes contre l’Etat juif s’est produit 10 semaines avant l’indépendance d’Israël.

Un dimanche matin, le 22 février 1948, en prévision de l’indépendance d’Israël, un triple bombe explosa dans la rue de Ben Yehuda, qui était alors le quartier juif de Jérusalem. 54 personnes furent tuées et des centaines blessées. Ceci démontre évidemment que le terrorisme arabe n’est pas dû au « désespoir » de « l’occupation » mais à LA SEULE IDEE de l’existence d’un Etat juif.

Au cours du siècle écoulé, tant de fois des citoyens ont côtoyé ces faits et n’ont pas réagi, autorisant le diable à l’emporter. Comme les États-Unis ont fait face et combattu le communisme, maintenant il est temps de combattre la terreur de la bigoterie religieuse et l’intolérance. Le temps est venu de soutenir et de défendre l’Etat d’Israël qui représente la ligne de front de la guerre contre le terrorisme.

Assurez-vous de transmettre ce texte à toutes vos connaissances.

Traduction de Dominique Ellert pour Primo-Europe ©



A Lebanese voice for Israel



Remarks of Brigitte Gabriel, delivered at the Duke University Counter Terrorism peak-Out

I'm proud and honoured to stand here today, as a Lebanese speaking for Israel, the only democracy in the Middle East. As someone who was raised in an Arabic country, I want to give you a glimpse into the heart of the Arabic world.

I was raised in Lebanon, where I was taught that the Jews were evil, Israel was the devil, and the only time we will have peace in the Middle East is when we kill all the Jews and drive them into the sea.

When the Moslems and Palestinians declared Jihad on the Christians in 1975, they started massacring the Christians, city after city. I ended up living in a bomb shelter underground from age 10 to 17, without electricity, eating grass to live, and crawling under sniper bullets to a spring to get water.

It was Israel who came to help the Christians in Lebanon. My mother was wounded by a Moslem's shell, and was taken into an Israeli hospital for treatment. When we entered the emergency room, I was shocked at what I saw. There were hundreds of people wounded, Moslems, Palestinians, Christians, Lebanese, and Israeli soldiers lying on the floor. The doctors treated everyone according to their injury. They treated my mother before they treated the Israeli soldier lying next to her. They didn't see religion, they didn't see political affiliation, they saw people in need and they helped.

For the first time in my life I experienced a human quality that I know my culture would not have shown to their enemy. I experienced the values of the Israelis, who were able to love their enemy in their most trying moments. I spent 22 days at that hospital. Those days changed my life and the way I believe information, the way I listen to the radio or to television. I realized I was sold a fabricated lie by my government, about the Jews and Israel, that was so far from reality. I knew for fact that, if I was a Jew standing in an Arab hospital, I would be lynched and thrown over to the grounds, as shouts of joy of Allahu Akbar, God is great, would echo through the hospital and the surrounding streets.

I became friends with the families of the Israeli wounded soldiers: one in particular Rina, her only child was wounded in his eyes.

One day I was visiting with her, and the Israeli army band came to play national songs to lift the spirits of the wounded soldiers. As they surrounded his bed playing a song about Jerusalem, Rina and I started crying. I felt out of place and started waking out of the room, and this mother holds my hand and pulls me back in without even looking at me.
She holds me crying and says: "it is not your fault". We just stood there crying, holding each other's hands.

What a contrast between her, a mother looking at her deformed 19 year old only child, and still able to love me the enemy, and between a Moslem mother who sends her son to blow himself up to smithereens just to kill a few Jews or Christians.

The difference between the Arabic world and Israel is a difference in values and character. It's barbarism verses civilization. It's democracy verses dictatorship. It's goodness verses evil.

Once upon a time, there was a special place in the lowest depths of hell for anyone who would intentionally murder a child. Now, the intentional murder of Israeli children is legitimized as Palestinian "armed struggle".

However, once such behavior is legitimized against Israel, it is legitimized every where in the world, constrained by nothing more than the subjective belief of people who would wrap themselves in dynamite and nails for the purpose of killing children in the name of god.

Because the Palestinians have been encouraged to believe that murdering innocent Israeli civilians is a legitimate tactic for advancing their cause, the whole world now suffers from a plague of terrorism, from Nairobi to New York, from Moscow to Madrid, from Bali to Beslan.

They blame suicide bombing on "desperation of occupation". Let me tell you the truth. The first major terror bombing committed by Arabs against the Jewish state occurred ten weeks before Israel even became independent.

On Sunday morning, February 22, 1948, in anticipation of Israel's independence, a triple truck bomb was detonated by Arab terrorists on Ben Yehuda Street, in what was then the Jewish section of Jerusalem. Fifty-four people were killed, and hundreds were wounded. Thus, it is obvious that Arab terrorism is caused not by the "desperation" of "occupation", but by the VERY THOUGHT of a Jewish state.

So many times in history in the last 100 years, citizens have stood by and done nothing, allowing evil to prevail. As America stood up against and defeated communism, now it is time to stand up against the terror of religious bigotry and intolerance. It's time to all stand up, and support and defend the state of Israel, which is the front line of the war against terrorism.

Be sure to send this one out to everyone you know.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 02 septembre 2005 - 16h31:

257.000 touristes français ont visité Israel en 2004, soit 48% de plus qu'en 2003.

Les prévisions s'élèvent à 315.000 visiteurs pour 2005.

Un article sur le tourisme français en Israel dans Haaretz

Hoteliers enjoy Norman summer invasion

By Irit Rosenblum

Fri., September 02, 2005 Av 28, 5765

http://www.haaretz.com/hasen/spages/620238.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 02 septembre 2005 - 14h43:

Des restes humains, venant d'Inde, à l'origine de l'ESB ?
Reuters 02.09.2005 - 8:33


LONDRES (Reuters) - Des scientifiques britanniques émettent l'hypothèse que
la maladie de la vache folle pourrait avoir pour origine des farines
animales contaminées par des restes humains rejetés sur les rives après
avoir flotté sur des fleuves en Inde dans le cadre de rites funéraires.

La cause exacte de la maladie de la vache folle (ESB, encéphalopathie
spongiforme bovine), qui a contaminé deux millions de têtes de bétail lors
d'une épizootie en Grande-Bretagne, reste inconnue.

Pour le professeur Alan Colchester, de l'Université du Kent en Angleterre,
l'ESB pourrait avoir été provoquée par les tonnes d'ossements et autres
tissus animaliers importés d'Inde pour en faire des farines animales, et ces
tonnes importées pourraient avoir contenu des restes d'humains contaminés
par la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

"Nous avons déterminé qu'une importante quantité de farines animales
importées étaient arrivées en Grande-Bretagne durant la période à laquelle
l'ESB s'est déclarée pour la première fois. Les quantités les plus
importantes de ces farines animales provenaient du sous-continent indien",
a-t-il ajouté.

Dans un rapport publié par la revue médicale Lancet, Colchester et sa fille
Nancy, de l'université d'Edimbourg, expliquent qu'un grand nombre de
dépouilles humaines et de carcasses d'animaux sont jetées dans les grands
cours d'eau en Inde, conformément à une coutume hindoue.

"Nous prenons en compte le risque considérable du mélange de restes humains
avec les carcasses d'animaux qui sont recueillis. Ces carcasses sont
traitées sur place et exportées pour partie. En dix ans, plus de 330.000
tonnes provenant de ces régions ont été importées en Grande-Bretagne",
ajoute Colchester.

Pour ces scientifiques, les aliments animaliers contaminés ont débouché sur
l'ESB.

Depuis que la maladie de Creutzfeldt-Jakob, variante humaine de l'ESB, a été
identifiée au milieu des années 1990, plus de 150 personnes en sont mortes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 02 septembre 2005 - 06h46:

Une constitution pour l’Irak : discussion sur la forme du nouvel Etat (info # 010109/5) [analyse]

Par Masri Feki © Metula News Agency

Né au Caire le 23 avril 1984 Masri M. Feki a vécu en Egypte et au Burundi. En France depuis septembre 2002, il étudie le droit et l'hébreu moderne avant d'intégrer l'Institut d'Etudes Politiques de Toulouse et préside depuis février 2004 l'Association Francophone d'Etudes du Moyen-Orient (AFEMO).

Feki est favorable à une Egypte libre, laïque et démocratique dans un Moyen-Orient uni, pluriel et pacifique.

Après les élections populaires du 30 janvier 2005 se profile la perspective d’un référendum qui aura probablement lieu le 15 septembre prochain. Le projet constitutionnel qui vient d’être adopté par l’Assemblée nationale de Bagdad sera alors soumis à l’approbation de la nation irakienne.

Cependant, les débats qui ont précédé l’adoption du texte ne sont pas sans influencer l’homme de la rue qui sera appelé à voter, dans deux semaines, pour ou contre le projet.

L’Irak à l’épreuve de la démocratie

Si la place de l’islam dans la constitution et le mode de répartition des richesses suscitaient déjà des divergences au sein du parlement irakien, les différentes communautés du pays ont eu beaucoup de mal à se mettre d’accord sur l’éventuel fondement fédéraliste du nouvel Irak. Et si les Kurdes ont derrière eux une expérience de quinze ans d’autonomie, ce n’est pas le cas des sunnites, habitués à l’Etat centralisé, et encore moins des chiites, assoiffés d’autonomie après trois décennies de domination sunnite. Les sunnites, eux, craignent les retombées d’une modification des rapports de force et paraissent être les plus hésitants.

Chacune des trois principales communautés du pays cherche à garantir sa présence sur la scène politique et à conserver les acquis accumulés par le passé. Les Arabes chiites sont les vainqueurs des dernières élections législatives ; ils ont à ce titre les clés du nouveau système. Les Kurdes ont réussi à acquérir un statut d’autonomie assez avancé depuis la première guerre du Golfe en 1991 et se sont assurés la protection par les Alliés de la zone Nord qu’ils peuplent en majorité. Quant aux Arabes sunnites, ils ont été les maîtres de l’Etat irakien moderne depuis sa naissance en 1920. Contrairement aux récents développements concernant les communautés arabe chiite et kurde dans la sphère publique, les acquis de la communauté sunnite font essentiellement partie du passé. Les Arabes sunnites sont à ce titre les principaux perdants de la nouvelle conjoncture et semblent être parfaitement conscients du défi auquel ils sont confrontés à l’heure actuelle.

Le fédéralisme, un concept mal compris en Irak

Le fédéralisme est l’antithèse du modèle étatique unitaire proposé par les panarabes en général et ceux de l’ancien parti Baath irakien en particulier. Pour comprendre les récents blocages parlementaires au sujet de la forme institutionnelle du nouvel Irak, il est indispensable de prendre en considération les effets de la propagande inouïe, tant médiatique que dans les instances éducatives, qu’entretenait le Baath, parti auquel appartenait le président déchu Saddam Hussein. Une propagande qui entendait mettre en garde la société irakienne contre les ingérences étrangères qui résulteraient d’une autonomie, même faible, des gouvernorats. L’ancien régime avait l’habitude d’accuser l’Iran et Israël d’être les fers de lance d’un complot mondial fomenté contre le projet panarabe duquel se revendiquait le Baath. Les baathistes irakiens voyaient, à l’instar de leurs aînés syriens, le complot juif mondial derrière la cause kurde. Ils suspectaient en outre des manoeuvres perses séfévides [1] dans les gouvernorats à majorité chiite du sud.

Aujourd’hui encore, cette vision – archaïque pour le volet iranien et peu défendable quant au volet kurde – est fortement présente dans l’opinion publique arabe en général, laquelle n’a d’ailleurs jamais connu de régime autre que centralisé. En effet, depuis la chute de l’Empire ottoman en 1917, aucun des pays dits « arabes» qui ont vu le jour au Moyen-Orient [2] n’a connu de système politique fédéral ou décentralisé, exception faite du statut spécial qu’accordait Le Caire aux provinces soudanaises avant l’indépendance de l’Etat soudanais en 1956. Mais là encore, comme à l’époque de l’Empire ottoman, il s’agit d’un pays (le Soudan) qui appartenait à un autre (l’Egypte) plus qu’il n’en faisait partie.

Le fédéralisme est ainsi assimilé dans l’inconscient arabe au séparatisme des vilayets [3]. Les Arabes qui, de façon apparemment étonnante, étaient les premiers à prôner le fédéralisme dans l’espace ottoman et la levée de la tutelle d’Istanbul dans les régions arabophones. Mais justement, derrière leurs revendications régionales, ils ourdissaient des visées séparatistes. Quoi de plus compréhensible, dans ces conditions, si une partie de l’opinion publique arabe d’aujourd’hui se remémore les souvenirs lointains de l’époque de la botte turque en entendant les parlementaires kurdes irakiens exprimer les aspirations de leurs électeurs.

En second lieu, le fédéralisme est conçu comme un grand ensemble qui unit plusieurs petits ensembles. Pour les panarabes, si un Etat arabe fédéral doit voir le jour, ce serait le grand Watan arabi (Patrie arabe) qui remplacerait la Ligue vacillante des Etats arabes et ferait des Etats qui y siègent des provinces fédérées ou décentralisées du grand Etat arabe prêché par le panarabisme nasséro-baathiste. Les tenants de ce discours soutiennent que les Etats fédéraux dans le monde sont toujours nés d’une union d’Etats autonomes ou confédérés et non de la désintégration d’un Etat unitaire. Cet argument est démenti par les faits, car de nombreux Etats unitaires dans le monde se sont transformés en Etats fédéraux suite à des événements internes ou des intrigues partisanes ; c’est le cas du Brésil au moment de l’adoption de la constitution d’octobre 1988 ou de la Belgique en 1993.

Une vision intolérante de la Nation

L’idéologie panarabiste, se réclamant de la lignée du pangermanisme et du panturquisme, propose une conception intolérante de la Nation, qui exclut de la communauté idéale de l’Etat arabe les populations non arabes qui y résident. Cette vision intolérante de la Nation est aujourd’hui rejetée par une grande majorité du peuple irakien.

Le pluralisme politique est incompatible avec la vision nationale défendue par les panarabes en général et ceux d’Irak en particulier, qui voient dans le modèle fédéral qui leur est proposé la fin de leur projet. Il est possible d’affirmer aujourd’hui que le débat sur le projet constitutionnel présente une dernière occasion de s’exprimer pour les partisans du panarabisme.

L’Irak ou le défi de la modernité

Lorsque soumis aux normes d’une approche consistante, le fédéralisme paraît convenir à la nature même de la Mésopotamie et se placer dans la continuité historique de ce pays. L’Irak était en effet déjà fédéral (ou confédéral ?) du temps de l’Empire ottoman. Trois entités territoriales autonomes y cohabitaient : Bassora au sud, Bagdad au centre et Shahrazoud au nord. S’ils adoptent à nouveau ses principes, les Irakiens auront à la fois défié les théoriciens du panarabisme fascisant du Baath et affirmé leur attachement à l’identité plurielle de l’Irak. Tout en se gardant de tout idéalisme, on peut imaginer que le nouvel Etat irakien en train de naître servira peut-être de modèle à suivre pour ses voisins. Il serait pluraliste, multiculturel et multiconfessionnel, représentatif et démocratique. Mais ce nouvel Irak serait surtout le premier de ces « pays arabes » à avoir surmonté le défi de la modernité.

Notes :

[1] En référence à l’expansionnisme de l’Empire perse de la dynastie séfévide qui régna sur l’Iran jusqu’au 19ème siècle.

[2] Ni en Afrique du Nord d’ailleurs.

[3] Provinces ottomanes du temps de la Sublime Porte.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 02 septembre 2005 - 05h45:

Breitou, puisque la Dahka est assurée et que tu poses des questions à Henri, notre cher et bien aimé et qu'il Izke le Mitzvot Rabot Velehaim Aroukim, je me permets d'entrer dans la dance du Dfedlik, car tu parles de notre époque et tu mentionnes des personnages avec lesquels j'ai eu beaucoup en commun. En 1948 tous les Juifs d'Israël et du monde ont tous oeuvré dans le même but soit: la création de l'État d'Israel. Je veux ici ajouter que non seulement les Juifs du monde mais aussi certains non-juifs ont donné un coup de main quand il le fallait.

A ta connaissance BEN GOURION, MOCHE DAYAN, GOLDA MEYER, BEGIN, etc étaient des passionnés de la bible. Donc à poser les questions comme tu le fais ce n'est pas actuel car dans les années après la deuxième guerre mondiale tous les Juifs étaient liés dans l'amour et la fraternité.

Nous étions tous des pionniers, des maçons, des paysans, des hassidim, et des soldats etc etc. J'ai connu toutes ces personnes que tu cites sauf Begin. Par contre dans les années 40 tu ne pouvais pas voir à Paris des Tunisiens juifs religieux se distinguer par leurs habits.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 02 septembre 2005 - 01h03:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Cher Henri, combien restent ils d’Israélites en France ?

Plus de huit cent mille selon les estimations publiées sur Adra même ! alors que la proportion est bien moindre dans le reste de l’Europe, d’aprés toi qu’est ce qui les retient en France, les qualifierait tu de suffisamment maso, pour sois disant supporter un antisémitisme quotidien, qui d’aprés toi est généralisé, n’aurais tu pas une stratégie plutôt étriquée, dans ta façon de propulser ta propagande ?

Fais nous donc la Mitzva et “dans la joie” de nous détailler ce phénomène étrange avec une explication qui ne soit pas sortie du chapeau de Chéribibi, on t’en rendra une grâce sans limite.

Au fait n’aurais tu pas de la famille qui vie en France ?

Bien à Toi,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 01 septembre 2005 - 21h13:

-‘….La demeure de D ieu, si grande ou si modeste qu’elle soit, ne peut jamais égaler l’espace d’un cœur rempli de torah.. !’