Archive jusqu'au 01/aout/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Aout 2005: Archive jusqu'au 01/aout/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 juillet 2005 - 22h19:

BAZOUKA...."Ktoret" en Hebreu

Dans la bible c'est le nom, d'après le dictionnaire que l'on donnait à tous les encens végètaux ou naturels que les prêtres faisaient brûler pendant un sacrifice animal.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le dimanche 31 juillet 2005 - 22h06:

Pour Manuel PEREZ, info sur l'origine de son Nom :

PEREZ

BIRES (Tunisie), PERES (Alger, Oran, Maroc), Perse (Alger).

Nom d'homme biblique.

En espagnol, PEREZ veut dire " petit Pierre ".

Date d'apparition. Les PEREZ sont une famille de marranes originaires de Cordoue ou de Séville, dont un grand nombre de membres moururent victimes de l'Inquisition.
Antonio Perez de Sarragosse parvint à échapper à l'Inquisition en 1487.
Au début du XVIIIè siècle, Aaron Perez était grand rabbin de Djerba.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 31 juillet 2005 - 22h03:

Reasons for which Sharon holds on

Why does Sharon hold on to his decision to disengage from Gaza at the price to even put a good part of his people against him? Some try to give more or less logical reasons, others give national reasons, just to serve their own agendas. And others still interpret what Palestinians and the left say. All the reasons mentioned do not have to be taken seriously, without trying to see the factual reasons which may have pushed Sharon and his team to make this decision.
Despite all the negotiations, the demonstrations and the plays of force, Sharon keeps silent and continues his plan as if there was nothing, by repeating that he is doing it in interest and for the safeguard of Israel. The left, which previously was not a friend of Sharon's finds well its interest in this alliance, thanks to the disengagement and in order to maintain itself in power in the meantime, without being officially elected. From the point of view of the left it has made a positive alliance. Peres reached what he had always wished for: not to make himself government decisions, but to have some say with Sharon and within the government, without risk for him nor for the party that he leads. He becomes a player without being blamed by the people and a diplomat in the European countries' high society.
Sharon's alliance with the left is a temporary alliance and can be discontinued at any moment and as soon as the disengagement(s) will be completed. Meanwhile, in spite of his position with the government, Peres does not stop contradicting Sharon and saying that Israel must give up the occupied territories in order to obtain peace. Thus, perhaps without wanting it, he gives arguments to the Palestinians in their forthcoming negotiation. It is one of the reasons why Peres is loved in European circles and soon he may also be liked in American circles if the relationship between Sharon and United States Administration would worsen. Thoughts of those who are for the disengagement and of those who are opposed, already start to leave burs and shake deeply the sense of security which the people of Israel had until now. The harmful or beneficial repercussions which will result from this can change the course of history and the future of Israel.
Chirac's invitation for Sharon could not come at a better moment, because Sharon found himself under pressure from his American friends and his friends of the right. The reasons of the right and of the religious are as menacing as the excuses of the Pentagon, which exerts its double fork of leverage to make sure that Sharon follows the Bush plan.
From his side, the President of the United States needs to show that his Middle-East policy already bears the fruits which he expected. Neither Sharon nor another government could change his mind without causing damage to the defense and to the economy in Israel, which had just barely recovered. If disengagement would not take place, the pressure exerted by the U.S. and by Europe against Israel would increase in several fields of defense, in the Israeli economy on the practical side and in the fields of national and international policy, to the point where it could completely isolate Israel.
Chirac and Sharon played their cards well. This visit allowed them to create a diversion, to one for his people and for his European colleagues, and to the other for his people and in order to reduce the American pressure. The moment was ideal for one as well as for the other because both needed one the other in these fields. One could wonder whether this visit does not resemble the years 1955 and 56 when the friendship between Israel and Guy Mollet's and Bourgès- Maunoury's France reached a point of decisive importance in the development of Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Suggest1 (Suggest1) le dimanche 31 juillet 2005 - 19h34:

‘’’’’pour info je suis Manuel PEREZ
d'origine espagnol de mon grd pere.’’’


Il semble que le nom de ‘’PEREZ’’vienne de ‘PERETZ’

Judah a eu cet enfant nommé ‘PERETZ’ de TAMAR qui était restée veuve et sans descendance


‘’ On se souvient que Tamar, la bru de Judah, après la mort prématurée de son premier mari,
'Er', réclama son dû : un enfant – autrement dit, du sperme de la lignée de son mari.

Juda appliqua la règle du lévirat et lui donna pour second époux son second fils, Onan.

Et si Onan " se soulageait par terre ", c’est parce qu’il ne voulait pas faire un enfant qui ne lui appartiendrait pas, qui porterait le nom de son frère disparu.
Et Dieu le tua, non parce qu’il se masturbait, non parce qu’il refusait de mener à son terme la relation sexuelle, mais parce qu’il se croyait seul propriétaire de son enfant.

Après le décès d’Onan, Tamar ne désarmait pas.
Elle revint à la charge, réclamant toujours son dû !
Le troisième fils de Juda, Chêla.

Mais le père refusa.
Alors, Tamar, sa bru, " quitta ses vêtements de veuve, elle prit un voile et s'enveloppa ; et elle s’assit à "la porte des chemins… "
Juda, n’apercevant pas son visage, la prit pour une prostituée, s'unit à elle, mais se rendit ensuite compte qu'il n'avait pas de quoi la payer.
Il lui promit de revenir.
Elle exigea un gage de sa bonne foi : " ton sceau, ton manteau et le bâton que tu as à la main " –
C'est-à-dire ses insignes de chef de tribu.
Trois mois plus tard, l'on informa Juda :
" Ta bru, Tamar s'est prostituée et elle est même enceinte ! "
Mais Tamar envoya dire à son beau-père :
" Je suis enceinte du fait de l'homme à qui ces objets appartiennent. "
Judah comprit alors toute l'histoire et dit :
" elle est dans son droit plus que moi, c’est qu’en effet, je ne l’avais pas donnée à Chêla, mon fils. "

Ainsi, l’enfant à naître à Tamar était dès l’origine propriété des ancêtres, représentés par le chef de tribu.
Judah.
Les trois frères, Er, Onan et Chêla ne sont que vecteurs – ils sont d’ailleurs substituables l’un à l’autre – là réside la signification de la règle du lévirat.
Ainsi donc, pour les Hébreux de l’antiquité, l’enfant n’appartenait pas à son père, pas à ses parents, mais à l’ancêtre de la tribu.
De même le sperme n’était pas propriété de l’homme (Onan est mis à mort par Dieu pour avoir manifesté le désir de disposer de son propre sperme), pas plus propriété de la femme, qui doit s’adresser, lorsqu’il y a litige, au représentant des ancêtres :
le chef de tribu, pour l’obtenir.

C’est de ‘PERETZ’ que descendra ‘DAVID'et plus tard le 'MESSIE''

Suggest1

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 31 juillet 2005 - 19h15:

loubenn

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 31 juillet 2005 - 18h44:

La place variable de l'Islam dans les Constitutions arabes

LE CAIRE (AP) - La nouvelle Constitution irakienne retiendra probablement l'Islam comme source du droit, au grand dam des Etats-Unis qui redoutent l'instauration d'un régime fondamentaliste. D'un pays à l'autre, la place accordée à la loi coranique (charia) dans la Loi fondamentale varie en effet largement dans le monde arabo-musulman.

Ainsi, le mot "Islam" n'apparaît pas dans la Constitution rédigée au Liban après la guerre civile de 1975-90, alors que l'Arabie saoudite, qui abrite les sanctuaires les plus sacrés de l'Islam, a fait du Coran même sa Constitution, et que l'Iran est une République islamique dirigée par le clerc musulman le plus érudit du pays. En réalité, la culture pèse plus lourd que la loi, en particulier lorsqu'il s'agit des femmes.

Dans les pays du Golfe, où la charia constitue généralement la "principale source" de la législation, les femmes sont plus sujettes à ségrégation et portent plus souvent un voile couvrant tout le visage. Le Koweït par exemple interdit l'alcool et n'a donné le droit de vote aux femmes que cette année.

En Egypte en revanche, la loi coranique représente "la source" de la Constitution, amendée dans les années 1970 par le président Anouar el-Sadate désireux de renforcer son image de musulman sans pour autant appliquer la charia. Dans ce pays, la bière, le vin ou les spiritueux sont en vente libre et les femmes votent depuis le début du XXe siècle.

Mais en Irak, certains s'inquiètent de l'application de la charia, du moins dans les régions à majorité chiite. Dans certaines villes du Sud, le clergé oblige déjà les femmes à porter le voile et fait fermer certaines boutiques d'alcool ou de musique.

"Baser la nouvelle Constitution de l'Irak sur la charia pourrait affaiblir l'occasion (de fonder) un Irak démocratique (...) L'Irak en tant qu'Etat religieux (...) ne sera pas acceptable. Nous ne pouvons pas avoir un Irak démocratique et fédéral si nous avons un régime de type taliban dans certaines zones", estime le ministre du Plan, le Kurde Barham Saleh, cité samedi par le quotidien "Al-Hayat".

Et le projet de Constitution publié la semaine dernière par le journal gouvernemental "Al-Sabah" confirme les craintes des laïcs: l'Islam y est désigné comme "la principale base" de la loi. Toutefois les débats continuent au sein de la commission composée de chiites, Kurdes et sunnites.

Les chiites représentent 60% des 26 millions d'Irakiens, les Kurdes, majoritairement sunnites, 20%, et les sunnites 15% à 20%. Le rôle de l'Islam devait être discuté dimanche, selon le député kurde Fouad Massoum, chef de la commission, qui souhaite "que l'Islam soit l'une des sources".

L'ayatollah Ali Sistani, le plus influent dirigeant chiite irakien, plaide quant à lui pour un rôle fort de l'Islam mais rejette l'idée d'une direction religieuse à l'image de l'Iran chiite où il est né. D'après Mouafak al-Roubaïe, conseiller à la sécurité nationale et chiite, le principal souci du clergé chiite est de "protéger l'identité musulmane de l'Irak et de son peuple, ce qui signifie protéger un Irak et un peuple unis en tant qu'Etat".

La commission a décidé dimanche de demander lundi un délai supplémentaire de 30 jours au Parlement, alors que la Constitution devait être adoptée d'ici au 15 août. Les Etats-Unis, qui avaient imposé l'Islam comme étant "une source" de la Constitution provisoire adoptée en mars 2004 lorsqu'ils occupaient le pays, suivent les débats de près.

Six pays arabes ne mentionnent même pas la loi coranique dans leur Constitution: l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Liban et la Jordanie. Au Liban, où existe une forte communauté chrétienne dont est issu le président Emile Lahoud, l'Islam n'est pas religion nationale. En Syrie et en Libye, la législation est surtout influencée par l'idéologie nationale, respectivement le panarabisme et le socialisme.

Quant à la Tunisie, elle a aboli la polygamie en 1956 et interdit le voile islamique dans les établissements publics, notamment scolaires. Les autorités appellent régulièrement les femmes à refuser le hidjab mais il est de plus en plus présent dans les rues ces dernières années.

Le seul domaine dans lequel la charia continue de primer est celui du statut individuel: mariage, divorce, héritage. Le Coran autorise l'homme à divorcer par proclamation et attribue aux filles une part d'héritage moitié moindre de celle des fils, ce qui était un grand progrès du temps de Mahomet, au VIIe siècle de l'ère chrétienne. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le dimanche 31 juillet 2005 - 17h45:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Commentaire sur un choix qui ne se discute pas :

“,,,,, La merde ds les yeux vous connaissez? Voila un tissu de mensonges publie par le NY Times (qui est de la meme espece que le Monde.)

Op-Ed Columnist
French Family Values
By PAUL KRUGMAN
Published: July 29, 2005 .,,,,,”

Le choix de la société où l’on vie est une question personnelle, et même si la fameuse analyse est entachée d’erreurs car trop générique, dans ses grandes lignes elle reflète certaines réalités de deux sociétés, dont l’auteur nous a fait part, sans pour autant affirmer que l’une est meilleure que l’autre ( tout n’étant qu’une question de choix,,,), et tout en mentionnant que les études auxquelles il se réfère ne sont pas de lui.. ( Alberto Alesina and Edward Glaeser, at Harvard, and Bruce Sacerdote, at Dartmouth).

On a parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec l’analyse publiée dans le NY Times, mais doit on pour autant se permettre de tenir des propos grossiers dignes d’un charretier,,, et bien loin de l’esprit d’ Harissa,,,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 juillet 2005 - 16h54:

Réponse.

Comme on le sait tous, la plupart des encens que les curés et prêtres ou autres religions utilisent lors de leurs cérémonies religieuses sont faits à base d'encens pur. Celui ci se présente en grains, gros ou granulés de divers couleurs ; selon généralement l'habit du saint. Exemple l’Encens Jésus couleur rouge et doré, couleur du sang pour rouge, et doré pour le 'sang précieux'.
Et ainsi de suite pour les autres.


L'encens provient généralement de la sève de certains arbres. On incise l'écore et une fois à l'air libre, elle se durcie. Il suffit de la récolter tout simplement puis de la broyer selon ce que l'on veut obtenir comme format .

Petits granulés couleur légèrement jaune, il prend une autre appellation ; larmes.

Le Fassoukh par contre est cuit.
Je ne connais pas les ingrédients. Fassoukh signifie ' Effacer' donc enlever le mauvais oeil.
On y trouve aussi notre JAOUI national. Petits cailloux naturels à l'odeur légèrement âcre une fois brûlé dans le canon.

Il y a aussi LE DAD, celui est une racine que l'on séche, coupè en carrès, il accompagne souvent, JAOUI, Fasoukh sur le charbon ardent.

On y ajoute aussi un peu de sel pour le TERCHIQ,
petites explosions pour faire ECLATER L OEIL DU MECHANT.

Les quatre ingrédients associés font ce qu'on appelle TEBKHIRA.

D’où l’expression fort connue des TUNES…’ DAD, JAOUI OU FASSOUK FI AÏEN EL HOSSED…’ ………………..dans les yeux des envieux.. !’

On connait aussi HAJRAA EL YIDOUYI...LA PIERRE JUIVE, elle se se présente comme un petit coquillage, genre carapace d'un pierre l'hermite.
Il suffit de la poser sur des braises ardentes pour la voir exploser sour les pieds d'un envoutè. 5 € Pièce. 4 € pour les sachets de Jaoui...Tarif sur commande.

-Le LOUBEN ARBI, mon cher Henri a la particularité d'être un excellent médicament pour la blancheur dents..!!!! Et pour l'estomac, m'a t'on toujours dit.

Une fois mastiqué, le goût au départ est un peu insurmontable mais à la longue on s'en accommode. Il purifie aussi l'haleine et nettoie les dents.

-Bazooka malheureusement je ne connais pas l'hébreu mais il se pourrait que cela soit.


PRECISION.

HOUCINE EL AFRIT -à ne pas confondre avec notre ancien chanteur juif d CHEIKH El AFRIT Z ‘AL ( dont il a copié son pseudo) -est un chanteur populaire connu en TUNISIE.
Il donne même des galas en France.

Bref, lors d’une manifestation musicale, il a insinué lors d’une interview, que la CHANSON PARLE ‘..DIAMANTA … ! ‘ Que j’avais fais passe une fois sur le PTB grâce aux paroles que DOUNKHA a bien voulu me souffler, LUI APPARTIENT.
Or, c’est faux puisque l’auteur véridique s’appelle SIMON AMIEL. Z ‘AL.

Que l’on se le dise. Même si la chanson a été reprise.

A FAIRE PASSER SUR ACCEUIL. Merci.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 31 juillet 2005 - 16h47:

Avec sa cote de popularite dans le rouge, Jacques-le-Dadais veut faire dans l'altruisme pour ne pas rester en rade a cote de sa Bernadette-1ere-Mere-Superieure-de-France. En son temps, elle avait cree une Fondation pour le 3eme Age, vous vous rappelez, la collecte des centimes de Francs pour les personnes agees avec David Douillet pour faire branche (a vot' bon coeur m'sieurs dames, en avant la soucoupe comme a la messe).
Mais le porte parole/caniche de service de l'Elysee oublie de preciser que les Rothschild ont deja un copyright d'avance sur cette idee chi-raquienne soit-disant novatrice.

Chirac a court d'idees nous fait un plagiat des Rothschild ...

www.jta.org

Chirac proposes foundation

Jacques Chirac proposed the creation of a France-Israel Foundation to “bring the two societies closer together.”
The French president’s proposal came toward the end of Israeli Prime Minister Ariel Sharon’s visit to France this week. According to Jerome Bonnafont, a spokesman for the Elysee Palace, Sharon accepted and the two leaders expressed their wish to progress quickly so the foundation can “deblock the links between French and Israeli society in all domains of cultural, economic, and academic life.”

To further revive the Franco-Israeli relationship, Sharon invited Chirac to visit his farm in southern Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le dimanche 31 juillet 2005 - 15h28:

Vas y Bebert instruit nous sur le louben.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 31 juillet 2005 - 15h15:

Nao

j'ai lu l'article de Kruglman auquel vous faites allusion.

Pas de quoi s'énerver

Il explique que les Francais travaillent moins que les américains, qu'il y a un taux de chômage plus élevé en Fance qu'aux US
Qu'ils ne travaillent que 35 h, que leurs revenus moyens sont inférieurs que ceux des US;

Qu'ils possèdent des voitures et des maisons plus petites. Qu'ils vont moins souvent au restaurant

Mais ils passent plus de temps en famille

Leur écoles sont dans l'ensemble meilleures et ils n'ont pas,pour la majorité d'entre eux à déménager pour trouver une meilleure école ou une meilleure faculté . que leur excellent service de santé, fait qu'ils n'ont pas à se préoccuper d'avoir une bonne assurance édicale pour leur vieillesse. ne risquent pas de se voir mettre en faillite en raison de soins coûteux.

J'ajoute à titre personnel qu'en France - et je sais de quoi je parle - PERSONNE ne se voit refuser l'entrée d'un hôpital, ou ne manque de soins appropriés, parce qu'il n'a pas d'argent.

C'est coûteux pour la société , mais nous avons des garanties qui n'ont pas de prix mais c'est vrai ont un coût

Il y a quelques années, à l'occasion d'un voyage professionnel en Californie, un confrère s'est vu réclamer pour son épouse souffrant de Grossesse extra utérine -donc pour une urgence extrême - la somme de dix milles dollars d'honoraires; AVANT qu'elle ne soit simplement examinée par un confrère.

Nous étions entre médecins. !!!


Pour finir Krugman suggérait à je ne sais pas à quel sénateur américain de revoir ce problème en cs termes faciles :

And whatever else you may say about French economic policies, they seem extremely supportive of the family as an institution. Senator Rick Santorum, are you reading ?

Amitiés

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 31 juillet 2005 - 15h43:

Breitou, quelle est la difference entre cet encens pur et ce que l'on nomme traditionnellement "Ktoret" en Hebreu ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 31 juillet 2005 - 15h41:

Il faut appeler un chat un chat: la clairvoyance de Jean Pierre Chemla sur l'apres "desengagement/retrait" de la Bande de Gaza, dans son article ci-dessous, Antisemistisme: la fausse embellie, fait de lui un veritable prophete.