Archive jusqu'au 18/juillet/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juillet 2005: Archive jusqu'au 18/juillet/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le dimanche 17 juillet 2005 - 21h08:

Les terroristes représentent "l'idéologie du mal", selon Tony Blair

LONDRES (AP) - Le Premier ministre britannique Tony Blair a estimé samedi que les autorités étaient confrontées à une "idéologie du mal" dans leur lutte contre le terrorisme islamiste.

"Le plus grand danger, c'est que nous ne réussissions pas à faire face à la nature de la menace à laquelle nous sommes confrontés", a-t-il déclaré lors d'une intervention au cours d'un forum politique du Labour dans le centre de Londres. "Et ce que nous affrontons là, c'est une idéologie du mal".

"Ce n'est pas un choc des civilisations ou de personnes civilisées. Toutes les personnes civilisées, musulmans ou autres, sont révulsées", a-t-il souligné. "Mais c'est un combat mondial. Et c'est une lutte d'idées, des coeurs et des esprits, à la fois avec l'Islam et en dehors" de l'Islam.

Tony Blair a ajouté que le réseau Al-Qaïda et les groupes affiliés étaient responsables d'attentats dans 26 pays qui ont des milliers de morts, dont nombre de musulmans, au cours des 12 dernières années.

Il a expliqué que les exigences d'Al-Qaïda comprenaient l'élimination d'Israël, le départ des Occidentaux de tous les pays musulmans, l'établissement de régimes comparables à celui des talibans dans tous le monde musulman. "Aucune personne saine d'esprit ne négocierait" sur de telles revendications, a-t-il constaté.

Le Premier ministre britannique a également estimé que le terrorisme islamiste n'était pas lié des politiques particulières, comme l'occupation de l'Irak ou la situation en Israël et dans les territoires palestiniens. "La propagande extrémiste est savamment destinée à son coeur de cible. Elle joue sur notre tolérance et notre bonne nature. Elle exploite la tendance à la culpabilité du monde développé, comme si c'est notre attitude qui devait changer".

Au sein du propre parti de Tony Blair, un député travailliste critique du Premier ministre John McDonnell a plaidé samedi pour un retrait des troupes britanniques en Irak. "Tant que la Grande-Bretagne reste en occupation en Irak, les recruteurs des terroristes auront l'argument qu'ils veulent pour attirer davantage de jeune recrues sensibles dans leurs équipes de poseurs de bombes", a-t-il estimé. "La Grande-Bretagne doit se retirer maintenant".

Tony Blair, néanmoins, a assuré qu'il n'y avait pas de lien entre la situation en Irak ou le conflit israélo-palestinien et le terrorisme islamiste. "Si c'est la situation des Palestiniens qui les motive, pourquoi chaque fois qu'il semble qu'Israël et les Palestiniens font des progrès la même idéologie perpétre un acte indigne qui transforme l'espoir en désespoir", a-t-il demandé. "Si c'est l'Irak qui les motive, pour la même idéologie tue des Irakiens dans des attentats en défiance du gouvernement irakien élu"? AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le dimanche 17 juillet 2005 - 20h02:

Nouveau revers pour l'Axe des "experts"

L'axe des "experts" s'enlise une fois de plus. Le 20 décembre dernier, l' "expert" en chef Oussama Ben Iface aussi connu sous son nom de guerre de Pascal Boniface déclarait dans 20 minutes:

C'est compliqué de tirer un bilan maintenant, car certaines conséquences ne sont pas encore visibles. Ainsi, s'il était positif, sur le moment, d'aider les moudjahidins à lutter contre l'URSS en Afghanistan, on a vu ensuite que cela a favorisé l'émergence du chaos. Pour l'instant, en Irak, le bilan est mitigé. D'un côté Saddam Hussein a été déchu, ce qui est positif pour la population irakienne et pour les pays de la région. Mais de l'autre, le terrorisme et la haine des Américains se sont développés. La question est de savoir qui a gagné entre George W Bush et Oussama Ben Laden ? Je crains que ce ne soit Bush dans l'immédiat, mais Ben Laden à l'avenir.
Source: http://www.lmae.net/index.php?blogid=1&archive=2004-12-20

En gros ce pipeaulogue reprenait sa thèse favorite selon laquelle l'intervention d'Irak suscitait du terrorisme en créant une haine des américains et rendait du même coup Ben Laden populaire.

Malheureusement pour lui, un sondage effectué par le Pew Research Center démontre que le soutien du monde musulman au terrorisme et à Ben Laden est en chute libre par rapport à 2002.

Ainsi, mis à part la Jordanie qui est en fait peuplée à 70% de "palestiniens", le soutien au terrorisme aveugle s'effondre dans tous les pays musulmans, sauf en Turquie où il reste stable (la marge d'erreur du sondage est d'environ 3%).

De plus, la confiance en Ben Laden s'effondre partout sauf en Jordanie et au Pakistan.

Ce serait fun de publier un baromètre de confiance en Boniface et des "experts" après avoir faire lire aux sondés leurs différentes prédictions et les réalités de terrain.

Sinon, le sondage comprend d'autres éléments tout aussi intéressants. Religion de tolérance et paix oblige, 100% des jordaniens et 99% des libanais ont une opinion négative des juifs. La Turquie est le pays musulman dans lequel les juifs ont la moins mauvaise presse: ils sont détestés par seulement 60% des turcs.

Source: http://pewglobal.org/reports/display.php?ReportID=248

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h54:

Chers amis

je vous remercie pour ce site très valeureux, qui m'a fait un effet magique en le lisant puisque je suis marsois, et puisque je passe une grande partie de mes nuits à la Goulette, en dînant ou en faisant la fête au restaurant club les jasmins.

En lisant ces poèmes et ces informations, j'ai découvert une face cachée du passé de la Goulette.

Je suis sûr que je ne risquais pas de voir cette face, si je n'avais pas trouvé votre site par hasard, puisqu'ici à la Marsa et en Tunisie en général, nous sommes presque tous musulmans, alors même s'il y avait des vieux qui ont vécu ces instants, ils n'auraient jamais parler de ça surtout avec un jeune de 22 ans (question de donner l'exemple).

C'est ce qui manque aux familles tunisoises et surtout la famille Meherzi, celle de mon père, et la famille Chelbi, celle de ma mère. Mais heureusement, l'internet est là, l'harissa est là.

Mes sincères salutations
Mohamed Ali MEHERZI

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h53:

LES TUNES

Bonjour,

J'en fais à coup sûr partie, mais je ne connais pas l'origine de la dénomination "Tunes". Fabriquée à partir de Tunis ou Tunisie, je suppose, mais comment ?
Pouvez-vous éclairer ma lanterne ?

Merci d'avance.

SYLVIE N

PS . Votre site est formidable.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h49:

Bonjour,

je viens de lire votre article sur la chéchia. Je suis enseignant en modes et chapellerie dans un lycée professionnel à Paris et je profite de l'été pour mettre à jour mes cours. Je viens de lire le livre de Sophie Ferchiou techniques et sociétés, exemple de la fabrication des chéchias en Tunisie, université de paris VII.1971.
Je suis à la recherche du nom et d'images du chardon utilisé pour le cardage. Il n'est pas cité ni dans votre article ni dans le livre ! la personne qui a rédigé l'article peut elle m'aider dans ma recherche?
Cordialement
Thomas

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h22:

Instantanés d’un carnaval mortel (info # 011607/5) [scoop]

Par nos envoyés spéciaux Sami El Soudi à Gaza et Jean Tsadik à Karni © Metula News Agency



Bande de Gaza, rapports de midi, heure d’Israël, samedi 16 juillet



Les journalistes présents dans notre région du monde ont déjà épuisé tous les superlatifs pour parler des milliers d’affrontements, d’actes de terrorisme et de situations de tension qui secouent régulièrement notre paysage. Rarement cependant, avons-nous observé des conditions aussi complexes et menaçantes que celles qui prévalent ces jours dans et aux alentours de la bande de Gaza.



Nous ne dénombrons pas moins de cinq entités, dans ce minuscule territoire, impliquées dans des oppositions violentes, qui vont des manifestations acharnées aux raids aériens. Encore que tout le monde ne tire pas sur tout le monde, ce qui constitue un maigre sujet de satisfaction, nous l’admettons volontiers.



Afin de permettre aux abonnés de la Ména de comprendre les actes et les enjeux de ces bras de fer – et de ne pas employer des termes généralistes et creux, du genre "cycle de violence", qui satisfont nombre de nos confrères mais qui ne font qu’ajouter à l’incompréhension des consommateurs de l’information – la Ména a dépêché sur place, depuis jeudi, deux des meilleurs analystes du Proche-Orient. Il s’agit de Jean Tsadik, qui observe les événements côté israélien et de Sami El Soudi, qui se trouvait ce matin dans les quartiers sensibles de Gaza.



Les organisations terroristes palestiniennes contre les civils israéliens,

Tsahal contre les organisations terroristes



Le rapport que Tsadik nous a fait parvenir du passage de Karni (voir carte) est pour le moins inquiétant. Comme tout autour de la bande, on y assiste depuis trois jours à un déploiement impressionnant de forces israéliennes (1ère entité), puissamment armées, qui attendent le feu vert de leur gouvernement pour déclencher une opération de très grande envergure en territoire palestinien. En préparation de l’attaque, la bande de Gaza a été hermétiquement fragmentée en trois zones longitudinales, que personne ne traverse, hormis les cas humanitaires graves. Cette fermeture a pour but de prévenir le transport d’armes par les terroristes palestiniens (2ème entité) et, en cas de déclenchement de l’invasion, de leur couper toutes les voies de retraite. Cette mesure de fractionnement vient s’ajouter au bouclage non moins étanche de la bande elle-même. La seule exception que l’armée concède étant celle qui permet aux habitants des implantations (3ème entité) – après un contrôle très appuyé de leur identité – de rejoindre leur domicile ou de le quitter. Cette dérogation revêt un caractère dramatique presque palpable, dans le présent contexte où l’on sait que ces personnes devront avoir abandonné habitations, domaines agricoles et commerces d’ici à un mois. Et si certaines de ces personnes ont déjà quitté leurs foyers et que d’autres se préparent à le faire, une majorité d’entre elles s’efforce de continuer à vivre comme si de rien n’était, refusant obstinément de croire à leur déplacement.



En cas de déclenchement de l’opération militaire, qui semble ici inéluctable, les soldats israéliens qui y participeront auront à accomplir deux tâches principales : faire stopper les tirs de Qassam et de mortiers par les terroristes et prendre les mesures militaires afin que le désengagement ne se déroule pas sous leur feu.



C’est que la situation que nous décrivons se déroule sous les tirs incessants des missiles artisanaux et des obus. Nous en avons compté plus d’une cinquantaine durant les dernières 24 heures et dix, uniquement ce matin, sur la localité de Sdérot, située dans le Néguev occidental israélien. Nos reporters notent que les organisations terroristes, Hamas, Jihad [1] et des composantes du Fatah, ont rompu unilatéralement la trêve décrétée le 8 février dernier en Egypte. En fait, ces organisations ne l’avaient jamais réellement respectée mais l’assassinat collectif de Netanya cette semaine, faisant cinq morts, ainsi que le décès de Dana Glakowitz jeudi, dans le village de Netiv Ha-Assara (voir carte), situé en Israël, des suites d’un tir de Qassam, ont modifié le dispositif israélien. Tsahal, constatant que la trêve n’était plus du tout respectée, a repris cette semaine les frappes ciblées qu’elle avait interrompues au moins de septembre de l’année dernière. Ces trois derniers jours, dans la région de Gaza, les hélicoptères d’assaut, mais aussi des drones télécommandés tireurs de missiles et même la marine, s’en sont pris à des ateliers servant à fabriquer les Qassam et ont intercepté des groupes de lanceurs en voie de commettre leurs méfaits. Tôt ce matin, Sami a assisté de visu à l’attaque aérienne de l’une de ces formations de tireurs, qui étaient en train d’assembler leurs rampes de lancement de Qassam dans le cimetière du camp de Shati, dans la banlieue de Gaza.



Les activités de l’armée israélienne se déroulent également en Cisjordanie. Cette nuit, ses commandos ont procédé à l’arrestation de 26 terroristes, dont 24 membres du Hamas. Seize d’entre eux faisaient partie d’une cellule de Hébron et six de Bethlehem. Et puis hier, lors d’une opération combinée aérienne et terrestre, Tsahal a donné la chasse à quatre terroristes de la même organisation, près de la localité de Salfit, à l’ouest de la ville d’implantation d’Ariel. Les Israéliens étaient sur les traces d’un chef terroriste important du nom de Hussam Fahmi. Dans un premier temps, le groupe de fuyards avait trouvé refuge dans une grotte. Repérés, ils ont été soumis à une intense attaque d’hélicoptères, qui se solda par le décès d’un terroriste et des blessures infligées à un deuxième. Fahmi et le quatrième homme réussirent à quitter leur abri pour se réfugier dans une autre caverne des environs, où les deux individus ont finalement été abattus suite à une traque terrestre. A noter qu’un commando israélien est venu récupérer le terroriste blessé, qui avait été transféré dans un hôpital palestinien de la région. Les soldats l’ont transporté en ambulance vers le centre de Tel Hashomer où il sera soigné et ensuite interrogé.



L’Autorité Palestinienne contre les organisations terroristes



D’autre part, l’AP, après avoir subi des pressions extrêmement consistantes de la part des Etats-Unis mais également de l’Union Européenne afin qu’elle agisse immédiatement pour mettre fin aux attaques contre Israël, a croisé le fer avec les terroristes islamistes à Gaza.



Condoleezza Rice s’est longuement entretenue au téléphone avec Mahmoud Abbas jeudi soir. Selon nos sources à la Moukata de Ramallah, "la Secrétaire d’Etat s’est montrée précise comme jamais auparavant, allant jusqu’à menacer notre président de le laisser tomber, s’il ne prenait pas ses responsabilités". Peu avant, Madame Rice avait délégué son assistant, David Welsh, à Ramallah pour préciser ses attentes à M. Abbas de façon orale. De plus en plus, les Américains se rallient à la lecture israélienne de la situation, pour rejeter l’explication d’Abou Mazen, selon laquelle il serait trop faible pour faire face aux terroristes. Madame Rice a indiqué à son interlocuteur qu’elle savait qu’il disposait de 35'000 hommes armés, dont d’importantes unités d’élite bien équipées, "qui n’ont participé à aucune opération anti-terroriste depuis que le raïs a remplacé Yasser Arafat l’année dernière".



Pour être certaine d’être bien comprise, et pour montrer la préoccupation très sérieuse de l’Administration U.S, Condoleezza Rice se rendra personnellement dans la région au début de la semaine prochaine. Les Etats-Unis favoriseraient un plan militaire pour Gaza, selon lequel les forces de l’AP interviendraient dans le sillage de l’opération israélienne attendue, dans le but d’occuper le terrain et d’empêcher que les islamistes imposent leur loi dans le territoire de Gaza après le retrait de Tsahal. Intervenant dans le même sens, un responsable de la CIA présent à Gaza même, a confié ce matin à El Soudi, que "les forces et les moyens dont dispose l’AP sur place surpassent largement ceux des islamistes et qu’ils suffiraient à eux seul pour faire régner l’ordre".



Sur le terrain, justement, les combats entre la police de l’AP (4ème entité) et les terroristes du Hamas et du Jihad se multiplient. Hier, dans le quartier de Zeitoun, on a assisté à des scènes de guerre entre les protagonistes palestiniens. Une trentaine de combattants ont été blessés, alors que deux civils, qui assistaient à la bataille, ont été tués par des balles perdues.



Dans la même journée de vendredi, les hommes du Hamas attaquaient des postes de l’AP au missile antichar et mettaient le feu à trois jeeps et à un blindé des forces nationales. Ces actes font suite aux déclarations du ministre de l’Intérieur Nasser Youssouf en charge des forces de sécurité, qui a affirmé avoir reçu des instructions claires de la part de Mahmoud Abbas "d’user de toutes les mesures nécessaires, y compris la force, pour empêcher les tirs de roquettes et de mortiers (contre les agglomérations israéliennes)".



Tôt dans la matinée de vendredi, les hommes de l’AP avaient effectivement intercepté une camionnette du Hamas en route pour tirer des Qassam sur des agglomérations israéliennes. Lors de l’incident, six membres du Hamas ont été blessés, dont deux étaient dans un état critique.



Lors d’une conférence de presse tenue peu après, des représentants cagoulés du Hamas ont appelé à la démission de Youssouf, déclarant qu’il "mettait en danger l’unité du peuple palestinien et que les évènements de Gaza constituaient un crime contre le peuple palestinien".



Ce samedi, la situation entre les islamistes et l’Autorité est au bord de l’explosion générale. Chacun des deux camps protagonistes – les loyalistes et les islamistes – invitent leurs partisans à se montrer dans les rues, dans un exercice d’intimidation très… palestinien. A noter que les hommes des forces de l’ordre qui participent à cette démonstration de force ont le visage masqué, de crainte de représailles contre leur personne ou contre leur familles.



L’AP a déclaré l’état d’urgence dans l’ensemble de la bande de Gaza. La détérioration de la situation est à mettre sur le compte du non-respect de l’accord passé la semaine dernière à Damas entre Mahmoud Abbas et Khaled Mashal, l’un des chefs du Hamas, d’une part, et Ramadan Shalakh, un dirigeant du Jihad de l’autre. Aux termes de cet accord, les deux organisations terroristes s’engageaient à respecter la trêve, en échange de la constitution de "comités nationaux de surveillance du désengagement israélien", dans lesquels les organisations terroristes auraient siégé aux côtés de l’AP. Dans les faits, le Jihad avait rompu ses engagements avant même le retour d’Abou Mazen en Palestine et les Qassam pleuvaient sur les Israéliens, tant dans les implantations en voie d’abandon, que dans les agglomérations situées en territoire israélien.



Le non respect de l’entente de Damas a amené le président de l’AP à se soustraire également à ses propres engagements. Dimanche soir, une rencontre dite de la "dernière chance" devrait réunir à Gaza M. Abbas et les représentants des groupements islamiques armés. On s’attend à ce que le président de l’AP exige cette fois la soumission des terroristes, sous la menace d’intervenir militairement contre eux en cas de refus.



Le ministre israélien de la Défense, Shaoul Mofaz, a promis de donner à M. Abbas l’opportunité de prendre le contrôle des organisations terroristes par ses propres moyens. Cela semble signifier que le gouvernement de Jérusalem attendra de constater les mesures opérationnelles prises par le chef de l’AP à la suite de sa réunion avec les terroristes.



Manifestants édennistes du Grand Israël contre Tsahal, la police et les gardes-frontières



Retour au point de passage de Karni pour conclure cet instantané de la situation à Gaza. Pour y décrire cette étrange perspective visuelle, constatée par Jean Tsadik durant les journées de jeudi et vendredi : présentant leur dos à leurs camarades qui fourbissent leurs machines de guerre en préparation d’une intervention à Gaza, d’autres soldats et policiers, non armés, subissent les quolibets, les insultes et les provocations de centaines de manifestants. Des hommes, des femmes et de très jeunes enfants du courant juif religieux, venus pour la plupart des implantations de Cisjordanie (5ème entité) font face à la troupe.



Une femme, un bonnet en tricot sur la tête, avec une longue jupe noire qui lui descend jusqu’aux sandales, bouscule un jeune soldat en le traitant de "nazi". Tandis qu’il la repousse pour ne pas perdre pied, la manifestante se met à hurler, comme prise d’hystérie : "ne me touche pas, tu n’as pas le droit de toucher une femme !". Un peu plus loin, un étudiant hilkhatique présente à Jean Tsadik son avant-bras, sur lequel il a écrit son numéro d’identité à l’encre orange (la couleur du mouvement anti-désengagement). "Ils (les soldats) nous traitent comme les Allemands traitaient les Juifs", ose l’adolescent, ignorant tout de ce qui s’est passé à Auschwitz et à Maidanek.




Une scène du même genre de celle décrite par Jean Tsadik



Encore un peu plus loin, un colonel, venu inspecter les troupes en vue de l’intervention à Gaza, est littéralement agressé par la foule démente. Pendant qu’il tente de parlementer poliment avec ses assaillants, ils le "collent" à son véhicule et le molestent, pendant que d’autres lui poignardent ses quatre pneus. Un groupe de gardes-frontières qui a heureusement observé la scène, intervient fermement afin de secourir l’officier.



Ces altercations durent toute la journée ; "ils veulent nous user", affirme un jeune appelé, Moshé, qui porte lui aussi la kippa, "c’est très dur d’être insulté de la sorte, sans arrêt". "La décision de Sharon de fermer la bande les rend ivres de colère", poursuit-il, "ils comptaient avoir le temps de s’installer par dizaines de milliers dans les implantations, pour nous empêcher de déloger les habitants. Sharon les a pris de vitesse et ça les fait dire et faire n’importe quoi".



Tsadik fait remarquer au jeune soldat sa kippa et lui demande quels sont ses sentiments personnels. "Dès que je revêts mon uniforme, je n’ai plus de sentiments personnels, ou plutôt, il ne m’en reste plus qu’un seul : des soldats israéliens qui refusent d’exécuter les ordres et il n’y a plus d’armée et plus d’Israël ; et moi, j’aime mon pays", termine Moshé, presque timidement. Il montre sans se retourner deux tanks dans son dos : "c’est ça le combat d’Israël, leur ennemi, ce sont les terroristes qui veulent nous détruire, ça n’est pas nous".



Lundi, les orange ont prévu une énorme marche sur les points d’entrées de la bande. Ils se réuniront dans la ville de Nétivot (voir carte) et avanceront, rabbins anti-désengagement en tête, jusqu’au contact avec la troupe. Les organisateurs espèrent 100'000 manifestants.



Et si l’opération militaire commence avant cela, on ferait du funambulisme sur une réserve de dynamite. Les terroristes palestiniens et l’extrême droite israélienne opposés, chacun pour ses raisons, au désengagement. L’AP et Tsahal oeuvrant peut-être dans le même sens, et le tout, sur un territoire grand comme un confetti, sur lequel vivent 1.3 millions d’Arabes et 7'500 Juifs.



On pourrait appeler cela la Semaine de tous les dangers !





Notes :



[1] Le Jihad Islamique Palestinien avait refusé de signer la trêve du Caire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h07:

Lu sur france-echos.. enfin un site qui parle vrai et pas la langue de bois et du politiquement correct..

Terrorisme intellectuel a Marseille
dimanche 17 juillet 2005

« Musulmans » et « débiles mentaux »

Un responsable d'une mosquée marseillaise s'excite et dit n'importe quoi.
Dans une dépêche AFP du 15 juillet. Les commentaires de la redaction de France-Echos ont ete mis entre parentheses [ ].

Les médias occidentaux cultivent la peur du musulman
PARIS, 15 juil 2005 (AFP) - Les médias occidentaux, après les attentats de Londres, "sont en train de cultiver la peur de l'Arabe et du musulman" en insistant sur l'appartenance religieuse présumée de leurs auteurs, a déploré vendredi le responsable de la mosquée Al-Islah de Marseille.

[Personne ne « cultive » la peur, cher ami. Quand VOS coreligionnaires posent des bombes et tuent des innocents au nom d'Allah, il est normal d'en avoir peur, non ? Que je sache, les terroristes, quasi tous musulmans, ne se réclament ni de Bouddha ni de Jésus. Alors j'ai raison d'avoir plus peur des musulmans, et des Arabes majoritairement musulmans, que d'autres personnes. Je n'ai besoin d'aucun « média occidental » pour cela. Rejeter la responsabilité de VOTRE islam et de VOTRE Coran sur ces « médias » est tout simplement ignominieux.]

"Qu'on arrête de dire que (les auteurs supposés) sont des musulmans ou des islamistes, ce sont des criminels, des débiles mentaux", a estimé Abdelli Boualia, interrogé par téléphone depuis Paris.

[En quoi est-il incompatible d'être à la fois « musulman » ou « islamiste », et « débile mental » et « criminels » ? Drôle de raisonnement, Monsieur Boualia, qui échappe à toute logique saine et… occidentale. VOUS dites n'importe quoi ! D'ailleurs ces « criminels » que VOUS semblez condamnez se réclament de l'« islam », VOTRE « religion », il me semble, et je vous mets au défi de me prouver qu'ils n'ont pas tort de le faire. Allez-vous comme Monsieur Boubakeur falsifier des versets coraniques pour nous faire gober le contraire ? Ca ne marche plus !]

Les auteurs des attentats de Londres "n'avaient rien à voir avec l'Islam" et "les musulmans de France et de Navarre ne se reconnaissent pas" à travers ces kamikazes présumés, "ils ne se sentent pas concernés", a-t-il expliqué à l'AFP.

[« Rien à voir avec l'islam » ? Et les dizaines de versets de haine et d'appel au meurtre contre femmes et « mécréants » de VOTRE Coran, cher imam, VOUS les ignorez, VOUS qui êtes chargé de les enseigner ? On attend toujours leur « interprétation » par les gens tels que VOUS, qui jouez l'autruche et osez accuser les « médias occidentaux » au lieu de condamner VOTRE Mein Kampf islamique et VOTRE Mahomet voleur et assassin qui appliqua la « solution finale » envers les Juifs bien avant les nazis.]

"Dans mon entourage, tout le monde est sidéré, c'est inimaginable ces gens bien sous toutes les coutures - l'un était professeur - et qui en seraient arrivés à faire cela", poursuit-il en attendant pourtant la confirmation des premières informations des enquêteurs.

[Il faudra savoir, Monsieur Boualia ! Etaient-ils à la fois « débiles mentaux » et « bien sous toutes les coutures » ? VOUS dites n'importe quoi, pour masquer la responsabilité de l'idéologie islamique dans ces crimes commis au nom de VOTRE Allah, et sans jamais apporter le moindre début de preuve à vos opposants. Vous êtes d'une mauvaise foi à vomir. Tout comme Dalil Boubakeur ou Dounia Bouzar, vous vous comportez en « négationniste » de la réalité exégétique et historique de l'islam.

Ca suffit, VOS conneries et VOTRE takia!]

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le dimanche 17 juillet 2005 - 19h05:

Ce que la presse ne vous a pas dit..

Lu sur site occidentalis.com
Insurrections en Ile de France et en particulier en Seine-Saint-Denis; France -Echos lance un appel à témoins !

Dans la nuit du 13 au 14 juillet, de graves émeutes ont eu lieu dans le 93 (mais aussi dans toute la France) où le climat insurrectionnel a atteint des proportions inégalées.

La police a eu affaire à de véritables actes de guerre, et les quelques témoignages que nous avons eu s'avèrent fiables et sont confirmés ! (1)
Apparemment les forces de l'ordre ont payé un lourd tribu en faisant face à un véritable climat de guerre civile. On parle de fonctionnaires lynchés ainsi que de nombres pertes de véhicules. D'autres personnes font état d'usage d'armes à feu contre les force de police.

Les médias minimisent les faits, quand ils ne les banalisent pas, alors même qu'il semble que l'ampleur de l'insurrection a dépassé de très loin celle de Los Angeles, qui je vous le rappelle à fait le tour du monde.

C'est pourquoi par solidarité avec les forces de l'ordre nous tenons à lancer sur France-Echos un appel à témoins sur les circonstances exactes de ce qui vient de se produire, que nous considérons déjà, malgré la chape de plomb, comme des évènements d'ampleur internationale concernant en particulier les pays européens.

(1) Voir les articles suivants et leurs réactions :
- http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6272
- http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6285

Philippe de Villiers a lui meme confirme cet etat d'insurrection ds son interview sur TF1 le 16/07:
Résistance France
samedi 16 juillet 2005
Philippe de Villiers : « Nous ne pouvons continuer à assister impuissants à l'islamisation progressive de la société française » (+ audio)

Philipe de Villiers hausse le ton et renforce solidement son discours. Interviewé aujourd'hui par Claire Chazal au JT de 13 h de TF1, il a dénoncé vigoureusement :

- le contraste entre la pitoyable « guerre en dentelle » des deux garden-parties du 14 juillet (celle de Chirac et celle de Sarkosy) et la guerre dans les banlieues, « une vraie guerre, avec cocktails Molotov, etc. », qui a détruit plus de 230 voitures de familles françaises ;

- le contraste de traitement médiatique entre ces deux guerres, la première, futile, ayant accaparé l'attention des médias, la seconde, très grave, ayant été minimisée (contraste de traitement dénoncé déjà par plusieurs d'entre nous dans deux articles récents de FE et leurs réactions) ;

- le contraste entre la France du oui de nos élites déconnectées, et « la France du non qui souffre, impuissante et parfois désespérée. »

- Interrogé par Claire Chazal, qui tentait de recadrer le débat sur quelque-chose de plus politiquement correct, à propos du chômage et de l'intervention de Chirac le 14 juillet, il a ré-enchaîné sur l'islamisme : « la troisième guerre mondiale nous a été déclarée ; elle nous a été déclarée par l'islamisme radical » ;

- Il a été plus loin, en dénonçant ouvertement « l'islamisation de la France » qu'il faut contrer : « nous ne pouvons continuer à assister impuissant à l'islamisation progressive de la société française ».

- Puis il a poursuivit par une esquisse de quelques mesures urgentes pour lutter contre cette menace, avec notamment la création d'une garde nationale qui aurait pour mission : de rétablir de véritables contrôles aux frontières, d'investir les quartiers islamistes, de contrôler les mosquées.

- il a à cette occasion dénoncé le projet de Sarkosy de faire financer les mosquée par les contribuables français.

- Enfin, ce qui m'a le plus surpris - dans le meilleur sens - c'est qu'il a osé esquisser une mise en cause de l'islam lui-même : « l'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme le terreau du terrorisme ».

Bref, un Philippe de Villiers en très grande forme, et qui, dans un exerce médiatique dans lequel il n'est pas toujours le plus habile, s'est montré très brillant. Il ne s'est pas laissé déstabiliser par les innombrables et pathétiques tentatives de Claire Chazal pour rétablir la ligne politiquement correcte de l'interview.

Claire Chazal, en effet, mérite pour cette seule prestation un paragraphe à part, et une médaille de la meilleure chienne de garde des dogmes de l'idéologie suicidaire qui gangrène notre société depuis trente ans. Ses interventions ont été systématiquement du type : « mais il est traditionnel qu'il y ait deux garden-parties le 14 juillet » (pour couper de Villiers dans son propos, au moment où il s'apprêtait à dénoncer la guerre civile des banlieues).

Puis : « je ne veux pas minimiser l'incident, mais il y a toujours eu à ces occasions (14 juillet, rassemblement populaires), des incidents, des échauffourées, peut-être plus graves cette année, mais il y en a toujours eu » (sic ! sic ! sic ! et re-sic ! Mais je ne crois pas, Mme Chazal, qu'il y ait eu de tels incidents il y a seulement 15 ans, il y 20 ans, il y a 30 ans, il y a 40 ans : cela fait pourtant près de 110 ans que le 14 juillet se fête).

Puis nouvelle intervention de la journaliste pour tenter de relancer de Villiers sur un autre sujet (le chômage), ce sur quoi il a failli se laisser entraîner, avant de redresser spectaculairement la barre sur la dénonciation de la troisième guerre mondiale déclarée par les islamistes.

Enfin, à propos des mosquées subventionnées : « c'est peut-être une façon de mieux les intégrer et de mieux les contrôler, oui surtout de mieux les intégrer dans la population et la société … »

Ce à quoi de Villiers à fort justement répondu que pour le moment, les constructions de mosquées n'intègrent pas, mais favorise le communautarisme ; et que, surtout, l'objectif n'aurait jamais dû être l'intégration, mais l'assimilation.

Jusqu'à la fin, de Villiers ne s'est pas laissé démonter ; il a finalement conclut l'interview en dénonçant les fumisteries sarkoziennes de « l'immigration choisie », et de la « discrimination politique », et en martelant fermement la nécessité d'en finir avec l'immigration telle que nous la subissons, ainsi que la nécessité d'abroger le regroupement familial.

Bref, en deux mots : Bravo Phillipe !

N.B. : l'interview devrait être consultable en ligne durant quelques jours sur le site de TF1 : http://news.tf1.fr/news/

Il y a un lien direct sur l'interview ; sinon, sélectionnez le JT de 13 heures du samedi 16 juillet 2005 (l'interview se situe vers la 14ème ou 15ème minute).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le dimanche 17 juillet 2005 - 18h55:

Suite a l'attentat de Natanya et des attaques de mortiers des derniers jours ayant fait plusieurs victimes, Israel aurait lance ce matin une offensive aerienne sur Gaza en ciblant une voiture (certainement abritant un militant ou dirigeant du Hamas). On entends deja la presse jaser qu'Israel reprends sa politique fascisante d'assassinat cible..
Kofi Annan a deja appele Israel a la moderation! mais n'a pas demande a Abbas d'avoir une main de fer contre ses ouailles..

La realite politique dans la bande de Gaza et les territoires est qu'aucun dirigeant n'a pu ni ne peut manager les Palestiniens qui sont parfaitement ingerables. Anarchie totale.
Il leur faudrait un dictateur qui les vissent ou alors il faudra les maintenir en etat de soumission/colonisation appelez ca comme vous le voulez et abolir leur droit a l'autonomie et souverainete.. Apres tout la meritent-ils?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 17 juillet 2005 - 17h22:

Il n'y a vraiment que les occidentaux pour s'etonner d'un attentat suicide contre leurs ressortissants en Turquie et pour continuer a esperer l'entree de celle-ci au sein de l'Union Europeenne !

Voir a la Une du Monde d'aujourd'hui, l'article:

"Les musulmans du monde entier s'inquiètent à leur tour de l'islam radical".

Extrait de l'article:
[...]
"Plus généralement, il apparaît que les pays arabes ont une image beaucoup plus négative des juifs et des chrétiens que celle des Européens et des Américains à l'encontre des musulmans."
[...]

Ah oui ?! Alors qu'est ce que se serait si les attentats suicides etaient perpetres dans des pays arabes par des occidentaux ??!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 15 juillet 2005 - 22h31:

Le Billet d’Albert.

‘Poor English… !’ Aurais dis ma grand-mère Meiha, Z’al, qui ne sauvait pas parler un mot de français ni d’anglais…’…Mche’qen l’Englich… !’

‘…Oulidet mta qif…. ! Khand’qoua…’ (Des enfants de plaisir ont foutu la merde.. !)

Elle aurait pu ajouter aussi dans sa lancée, s’il avait vécue aujourd’hui à 115 ans …
En plus c’est sa date d’anniversaire de son départ. To day.

Bref, les braves sujets de sa Majesté, du côté de la TOUR DE LONDRES furent surpris, ahuris, l’air béat tout british sur Picadilly Circus à la vue et à l ‘écoute de la catastrophe qui leur tombe sur la tête.

‘...Choking.. !’ Y’a de quoi être choque et même révolté ont hurlé avec sagesse depuis Trafalgar Square jusqu’aux confins de l’Ecosse, nos bien aimés anglais tout en chœur.

‘ Sujets de sa Gracieuse Elisabeth, sans histoire mais avec des intentions malveillantes, autant pour ceux qui n’ont en pas car s’il en avait une d’histoire, cela aurait pire, nées et élevés comme des YEARLING, et pas comme des canassons dans les haras de notre Reine bien aimée, ils ont osé l’impensable.

Noyés dans Le SMALL ( smalla alliyèm) HIGTH SOCIETY BRITISH, ils ont ‘bombé le torse’ en s’explosant semant fracas, terreur et morts innocents.

Du déjà vu ailleurs.

‘Yesterday....’ §§§§§§ De bons sujets honorables, insoupçonnables mais des taupes dormantes, auraient pu être décorés tant ils sont patriotes par leur fonction et leurs assiduités à faire partie des gentlemen. Dommage, ils se sont transformés en KAMIKAZE.

‘...TOO DAY.. !’ Dure réalité que les Britanniques découvrent après la divulgation de leurs identités. Des pakistanais endoctrinés au service de EL QAIDA.

Des gens anodins qui chantaient GOD SAVE THE KING pour mieux frapper.
Nos voisins n’ont rien compris, hélas…


‘...Rod’beliq yè ouldi mél cha’quouti…. !’
Prends garde de l’eau qui dort… !’

Proverbe de Meiha. Chapitre 12 passage 3.

SIR ALBERTTWO DE SEMIONI.
C.C.R.M

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Francois (Francois) le vendredi 15 juillet 2005 - 19h45:

Justifier de futures attaques

Sever Plocker
Yediot Aharonot du 10/07/05


En s’auto-illusionnant, les européens préparent le terrain pour de futurs attentats


Les nations islamiques et arabes sont enchantées car le moment est venu de la vraie revanche sur le gouvernement « judéo-croisé » britannique – tels étaient les mots par lesquels commençait la revendication par al-Qaeda des attaques du 7 juillet à Londres.


Cependant, en dépit des annonces explicites des organisations terroristes et en dépit du carnage causé par les bombes au nom de l’islam et pour l’islam, la soi-disant opinion publique « progressiste » de Grande-Bretagne a fait d’énormes effort durant les dernières 24 heure pour tenter de réprimer, de gommer et de dissimuler la relation entre les attaques terroristes et l’islam radical.


Un officiel haut placé de la police de Londres a été longuement cité après avoir faussement affirmé que les mots « islam » et « terrorisme » ne pouvaient être accolés.


Le quotidien Guardian a publié un article accusateur d’un publicitaire musulman, Faisal Bodi « la fureur suscitée par la décision de Tony Blair de suivre George Bush dans ce que seul un aveugle continue d’appeler une guerre justifiée nous a tous placé en première ligne ».


Pendant ce temps, un membre important du parti Travailliste, David Clark, a dit que « la dimension politique de ce problème signifie qu’il n’y a pas d’espoir de vaincre le terrorisme à moins que nous ne soyons prêts à prendre sérieusement en considération les griefs légitimes des arabes … il est évident que nous n’accordons que peu d’importance aux arabes vivant en Palestine ».


De telles opinions, analyses et unes ont envahi les medias britanniques.


Ce vent mauvais a fait son chemin jusqu’au bureau du Premier Ministre britannique, Tony Blair, le plus sérieux chef d’Etat aujourd’hui en fonction qui a dit à la BBC que les causes sous-jacentes du terrorisme devaient « être traitées à la racine ». Ces racines, selon Blair, incluent la pauvreté et le conflit du Moyen-Orient. [Cet article a été écrit avant qu’Associated Press démente que Tony Blair avait tenu ces propos sur la BBC mais ce n'est pas important car on peut adresser les mêmes propos à tous qui soutiennent cette thèse. D’autre part, Plocker a tort sur un point, le leader le plus sérieux aujourd’hui est George Bush et pas Tony Blair]


Avec tout le respect que je lui dois, le Premier Ministre britannique a tout faux, comme les analystes qui n’ont pas seulement pointé du doigt les terroristes mais aussi le Président Bush, Israël, « les riches » et l’occident lui-même, lavant du même coup les terroristes de leur crime.


Le terrorisme doit être impitoyablement éliminé


La tentative d’enterrer la réalité par du verbiage est vaine. Les vérités suivantes s’imposent à n’importe quelle personne intelligente examinant les vagues terroristes du 21ème siècle :


Premièrement, il s’agit de terrorisme musulman. Ni anarchiste, ni sioniste, ni néo-conservateur. Ce terrorisme est le fait de fanatiques musulmans qui croient que le moment est venu de lancer un jihad global contre les infidèles, les croisés chrétiens et les musulmans modérés.


Deuxièmement, ce terroriste provident de riches musulmans éduqués, pas de pauvres incultes.


Les pays islamiques sont inondés par les milliards de dollars qu’ils retirent de la vente de pétrole à haut prix. Les terroristes qui ont planifié et exécuté les attentats de New York et de Madrid étaient des individus intégrés qui parlaient des langues étrangères et étaient familiers avec la technologie.


Les leaders du Hamas et du Hezbollah ont le même profil socio-économique.


Il n’y a pas la moindre relation, entre la guerre contre la misère et la guerre contre le terrorisme.


Troisièmement, les jihadistes ont lancé cette guerre contre l’occident car il est l’occident et pas afin de faire « progresser » la résolution du conflit israélo-palestinien ou inciter les Etats-Unis à retirer leurs forces d’Irak.


Leur seule et unique motivation était et est toujours de saper les bases de la culture occidentale qu’ils méprisent et de dévoiler sa faiblesse.


Semer la destruction pour semer la destruction


En conséquence, le terrorisme d’al-Qaeda ne cesserait pas – il ne ferait que s’accroître en fait – si en réaction aux attentats les US retiraient leurs forces d’Irak pendant qu’Israël se retirait sur la Ligne Verte.


Les jidahistes veulent autre chose de beaucoup plus vaste. Ils veulent établir un nouvel ordre mondial fondé sur la doctrine de l’islam radical.


Quatrièmement, il n’y a qu’un seul moyen de combattre le terrorisme. Le combattre. Le frapper. L’éliminer impitoyablement.


La guerre contre le terrorisme doit être totale jusqu’à la victoire et la reddition de l’ennemi.


Tout compromis avec le terrorisme islamique, toute tentative de le comprendre – c’est à dire de l’excuser au moins partiellement – signifie continuer de glisser sur la pente savonneuse contre laquelle Winston Churchill avait mis en garde quand il avait refusé d’ouvrir des négociations avec Hitler.


Peu après les actes de terreur de masse et même avant que les victimes aient été identifiées, la machine à s’auto-illusionner s’est mise en marche en Grande-Bretagne et en Europe.


Le transfert de responsabilité des meurtriers sur d’autres a déjà commencé. Voilà comment le terrain est préparé pour les prochains attentats.


Source : http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3110491,00.html
Traduction Balagan

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le vendredi 15 juillet 2005 - 19h56:

Programme prémilitaire d'intégration

Question : Je suis un jeune de 18 ans et j'habite en France. Ces derniers temps, j'ai commencé à réfléchir sur mon avenir, et évidemment j'ai pensé à Erets- Israël. Mais d'un autre coté, j'ai une profonde appréhension : comment plonger dans les eaux profondes, et d'emblée monter en Israël et aller à l'armée, alors que je ne sais pas l'hébreu. Ca m'a l'air de la folie douce. Et voila que la providence divine m'a fait savoir qu'il existait un programme prémilitaire d'intégration « Bné-Alya », sous votre égide ! Est ce vrai ? Comment le joindre ? Et la question des questions : est ce vraiment une mitsva de monter en Israël et d'aller à l'armée ?
Réponse : En effet, c'est une grande mitsva, une mitsva qui pèse autant que toutes les autres mitsvot de la Tora, comme l'ont dit nos sages (Sifri Ekev, 11). Ce qui n'est pas étonnant, puisque c'est Erets- Israël qui donne de l'oxygène à la vie du peuple juif. Et malheureusement nous assistons à la terrible tragédie de la fin de la bulle d'oxygène et du judaïsme en train d'agoniser en dehors d'Israël. Cette mitsva comporte trois éléments :

1. Habiter en Israël et non à Strasbourg, Pétersbourg, Williamsbourg, mais Tel-Avivbourg ou Hevronsbourg. En hébreu : « Yéchivat Haarets ».

2. Construire Erets- Israël, faire refleurir le désert, planter des arbres et construire des maisons. En Hébreu : « Yéchuv Haarets ».

3 .Conquérir Erets- Israël et y assurer notre souveraineté nationale, et non pas un pays aux mains des Turcs, des Anglais et même de Godefroy de Bouillon. En hébreu : « Kibouch- Haarets ou Yerouchat Haarets ». Tout ceci est abondamment élucidé par le Ramban, Nah'manide, dans son commentaire de la Tora (Bamidbar 33,53), et du Livre des Commandements de Maimonide (ajout positif 4).
Cette mitsva s'accomplit même si elle nécessite le sacrifice de soi, en hébreu « Méssirout-nefech », et en effet tout au long des siècles, les juifs sont montés en Israël nonobstant le danger, ont construit des implantations en dépit du danger, et se sont engagés dans l'armée d'Israël, faisant fi du danger. Evidemment cela ne signifie pas qu'il faille se conduire sans circonspection et sans préparation adéquate. Et c'est pourquoi avec l'aide de Dieu, nous avons mis sur pied un Programme Prémilitaire d'Intégration, qui entrera l'année prochaine dans sa troisième année, et qui comporte un système complet :
- Etude de la Tora.
- Etude de l'Hébreu.
- Histoire du Sionisme.
- Préparation prémilitaire.
- Volontariat.
- Activités culturelles, excursions.
Il est important de souligner que ce Programme convient à des jeunes religieux ou traditionalistes.
Tu pourras obtenir plus de renseignements au : 00-972-577-544906 ou visiter le site : www.bne-alya.org.
Après de longues années de souffrance d'exil, d'insultes et d'exactions, Dieu a décidé de ramener sa présence à Sion. Le professeur André Neher d'heureuse mémoire, avait l'habitude de dire :
J'ai traversé trois étapes : Au départ, je pensais que la Cheh'ina devrait revenir à Sion sans plus. Apres j'ai compris que les juifs devraient revenir à Sion, et je les ai appelés à monter. En fin de compte, j'ai compris que moi-même, je devais le faire, et je suis monté. Donc monte en Israël, l'Etat d'Israël t'appelle, Dieu t'appelle.


Chlomo Aviner
pour visionner, ecouter, lire les cours et les questions / reponses du Rav Aviner chlit"a, cliquez:
http://www.ozleisrael.org/questionsperso.php