Archive jusqu'au 28/juin/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juin 2005: Archive jusqu'au 28/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le lundi 27 juin 2005 - 16h42:

Axelle,
Je vous renvoie a l'article du Figaro de Patrick St-Paul (L'évacuation de Gaza ...), qui cite effectivement le responsable du cimetiere, Eliezer Orlach et qui relate la situation particuilerement douloureuse dans laquelle se retrouve notre frere tune Avraham Berrebi.

http://www.lefigaro.fr/international/20050625.FIG0040.html?085436

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 27 juin 2005 - 11h22:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Les morts sont bien morts,,, réponse à Axelle,,,

On ne peut que vous donner raison quand vous posez une question qui en elle même contient sa propre et logique réponse: “ Pourquoi dans ce cas bien précis, l'âme d'un mort, qui n'est pas responsable de ce qui se passe actuellement en Israël, devra errer indéfiniment ? Ma réflexion est la suivante : L’ÉTERNEL dans sa grande miséricorde, ne peut pas abandonner une âme dans de telles circonstances.

Pensez-vous que cela soit possible ? “

Dites vous bien cependant que si certains ont leur propre interprétation de ce qui doit se faire ou pas, comme : “ Il faut récupérer tous les restes, explique,,, Eliezer Orlach, sinon l'âme du défunt sera condamnée à errer indéfiniment etc ...”, cela n’engage qu’eux même, et pas obligatoirement le Peuple dans son entier, on retrouve des faux prophètes dans tous les peuples, ceux ci sont prêts à tenter un kidnapping du fait religieux pour consolider et justifier leur assise politique.

Cela s’appelle : de la démagogie.

Souvenez vous qu’à certaines époques, on mettait une pièce sous la langue du défunt, pour payer son “passage” sur l’autre rive, ou que les Hébreux confiaient leurs défunts à des grottes, où lorsque la nature avait fini son oeuvre, les ossements étaient conservés dans des urnes, ce qui fait que même l’enterrement ne serait pas une procédure normale.

Bien à vous,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le lundi 27 juin 2005 - 10h08:

Marc Olivier Fogiel qui avait reçu Ayann Irsi Ali cette jeune élue du parlement Néerlandais, invitée par le ministère des affaires étrangères français, menacée de mort et protégée par son pays après l’assassinat du co-réalisateur d’un court métrage qui a fait scandale s'excuse auprès d'Oumma.com d'avoir osé inviter une opposante aux islamistes porteurs de mort.

quel courage !!!

lundi 27 juin 2005

Réponse de Marc Fogiel à Mourad Ghazli
Par Marc-Olivier Fogiel
jeudi 23 juin 2005


Cher Mourad GHAZLI,

J’ai bien reçu votre courrier argumenté et constructif concernant l’émission du 5 juin 2005 au cours de laquelle j’ai reçu madame Ayann Irsi Ali pour son livre INSOUMISE et je vous en remercie ...

Depuis plusieurs semaines, les plus prestigieux quotidiens et hebdomadaires français avaient commenté la sortie de ce livre et donné la parole à cette jeune élue du parlement Néerlandais, invitée par le ministère des affaires étrangères français, menacée de mort et protégée par son pays après l’assassinat du co-réalisateur d’un court métrage qui a fait scandale.

Il va de soi que parler de ce livre ne signifie en aucun cas en approuver le contenu et en visionnant cet entretien, suite à votre courrier, j’ai l’impression d’avoir plutôt essayé avec le soutien de Jack LANG de tempérer et de relativiser ses propos en soulignant
que la quasi totalité des musulmans qui pratiquent leur religion avec la plus grande tolérance et le plus grand respect de l’autre.

Pour comprendre, ce qui aux yeux de la minorité extrémiste, lui vaut cette condamnation à mort, j’ai tenté de l’aider à exprimer le fond de sa pensée. J’ai donc lu un extrait de l’interview qu’elle avait accordée à l’EXPRESS qui vous a tant choqué.

Je comprends et je partage l’émoi ressenti par les croyants qui voient ainsi leur prophète insulté mais lui faire dire ce qu’elle pense était la seule façon, non pas de justifier la menace qui pèse sur elle, mais de rapporter les propos qui lui valent cette fatwa.

Je souhaite également dissiper tout malentendu en ce qui concerne ma phrase de fin. Lorsque je la félicite pour son courage, il s’agit bien de son courage d’exprimer ses idées, si contestables soient elles, au péril de sa vie, de vivre cachée, entourée de gardes du corps. Il ne s’agissait en aucun cas de la féliciter pour le fond de sa pensée.

Si vous avez pu interpréter mes propos en ce sens, j’ai sans doute été maladroit et vous prie de m’en excuser ...

Je sais la responsabilité qui est la mienne et je mesure l’impact et les conséquences des mots prononcés dans une émission de prime time. Loin de moi l’idée de vouloir mettre de l’huile sur le feu ou d’attiser les haines et les conflits. Les messages que je m’efforce de faire passer dans mes émissions sont ceux de tolérance, d’ouverture d’esprit, de respect de l’autre et de ses
différences et je ne peux que saluer votre action basée sur la fraternité ... Je me permets d’ailleurs de vous préciser que dans mon émission de radio il y a 3 semaines sur FRANCE INTER, je reprochais moi même aux responsables des médias français de parler de communauté maghrébine à propos de PERPIGNAN alors que le jeune homme assassiné était français ...

En espérant avoir dissipé tout malentendu, je vous prie de croire, Monsieur GHAZLI, en l’assurance de mes sentiments respectueux.


Marc-Olivier Fogiel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le lundi 27 juin 2005 - 08h59:

Mr Primo bojour Je constate que vous etes tres fache de ce qui se passe
Il n'y a malheureuseument rien de nouveau
De tous temps il y a eu des collaborateurs actifs.Le roi Agripas a combatu aux cotes des
romains contre ses propres citoyens.Durant des siecles des juifs !ont influence des rois a chasser le juif !
Tous leurs efforts est d'etre "comme les autres
pour etre admis "parmi les autres"
Et les resultats sont connus !!
Les details n'ont pas grande importance car le
mouvement proprement dit esr clair
Il faudrait leur rappeller un fait tres important En 1492 en Espagne on a permis au juif de choisir en 1942 il n'y a plus de choix
On a extermine le juif d'apres l'identite et non suivant ses idees
Bien a vous et bonne journee
Shalom sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le lundi 27 juin 2005 - 07h48:

Signature, siou plait !

La France est un beau pays. On peut encore y signer ce qu’on veut et avec qui on veut. Cette liberté totale dont les citoyens jouissent leur permet, aux heures creuses des chaudes journées de juin, de soutenir quelque intellectuel parisien ayant tenu des propos racistes à l’insu de son plein gré.

Libération, le quotidien de référence pour tout ce qui se rapporte aux modes intellectuelles, n’a pas hésité à suivre Le Figaro en prenant la défense d’Edgar Morin. Celui-ci, ayant battu le rappel de ses aficionados, fans et amis, dispose maintenant d’une pétition en direct. Il est trop tôt pour dire si ce mouvement va prendre de l’ampleur.

Peu importe au demeurant. Il nous suffira de savoir que le journal Libération a pris parti pour un délire raciste qui n’a aucun fondement factuel. Il nous suffira de savoir que les signataires de l’appel de Libération frayent sans rechigner avec un Alain Coutte, « chef d’entreprise » dont les théories devraient faire crever de honte n’importe quel démocrate (voir plus bas).

Bien entendu, il y a plusieurs types de signataires : les uns ont un attachement sincère à la liberté d’expression et, n’en lisant que l’intitulé, apposent pieusement leur signature au bas de toute pétition qui prétend la défendre. Pour d’autres, il s’agit plus prosaïquement de copinage, d’activation de réseaux, de renvois d’ascenseur. Assister ensemble à des colloques onéreux payés sur fonds publics permet de nouer de solides amitiés.

D’autres encore sont atteints de pétitionnite aiguë et trouverait indécent que leurs noms ne figurassent point aux côtés d’un tel ou une telle.

D’autres, enfin, trouvent l’occasion trop belle de haïr à haute voix les Juifs et leur Etat, tout en restant politiquement corrects.

Une étude un peu plus fouillée permettrait surtout de comprendre que le monde intellectuel français est petit, étroit. Les associations qui font vivre, parfois grassement, ce petit monde sont si intimement liées que leurs Conseils d’Administration ont l’air d’un “copié-collé” effectué sous l’oeil débonnaire des inspecteurs des finances. Les réflexes corporatistes jouent au moins autant que les affinités idéologiques.

Alors, parce qu’il faut rire un peu, et afin de rendre service aux exigeants lecteurs de Libération qui ne se satisfont pas des simples libellés derrière les noms des signataires – ils sont par trop sommaires – nous avons mené notre petite enquête sur ces « personnalités ». Le temps nous étant compté, nous avons volontairement omis de nous intéresser à ceux dont le logiciel envoie systématiquement une signature quand l’intitulé du message parvenant à leur boîte mail comporte le mot “pétition”.

Qu’ils ne nous en tiennent pas rigueur : leur apport indéniable à la culture et à la recherche française, a toujours suscité l’admiration de la planète, une admiration que nous partageons...

Qui sont donc ces signataires qui sifflent sur nos têtes, unanimes et véloces, accourant au secours de la liberté de la presse menacée ?

Bernard Ancori, professeur, Université Louis Pasteur, Strasbourg, assez actif, comme Edgar Morin, au sein du réseau PEKEA, une ONG de valorisation des savoirs tenant colloques et réunions à Santiago, Bangkok. Basée à Rennes et soutenue par le Conseil Régional de Bretagne.

Jean-Christophe Attias, directeur d'études à l'EPHE ; habitué avec Esther Benbassa (voir plus bas) de l’émission de Daniel Mermet, « là-bas si j’y suis », où des auditeurs sont invités à expliquer que “les Juifs ont bien profité de la Shoah, maintenant y en a marre!”.

Jacqueline Aubenas, mère de Florence Aubenas, journaliste à Libération (lire).

Anis Balafrej, ingénieur, Rabat (Maroc), actif au sein de l’Association Marocaine de Soutien au Peuple Palestinien. Pris en flagrant délit de propagation de fausse nouvelle en affirmant qu’il y a eu plusieurs centaines de morts à Jénine (pour mémoire, Israéliens et Palestiniens sont d’accord sur le chiffre de 52 Palestiniens et 23 Israéliens).

René Balme, maire de Grigny (Rhône), vice-président de la communauté de communes Rhône-Sud, créateur avec Noël Mamère de l’association du réseau des Elus et Collectivités hors AGCS, bref anti OMC, militant actif pour la Palestine et le retour des réfugiés (en Israël, pas dans le futur Etat de Palestine), organise dans sa ville de Grigny des soirées citoyennes consacrées au “génocide” de Jénine, par exemple.

Enrique Baron, député européen, ancien président du Parlement européen, est intervenu en séance plénière pour demander une enquête sur le « génocide » de Jénine

Marine et Jean Baudrillard, philosophes. Jean Baudrillard est co-auteur avec Edgar Morin du livre « la violence du monde ». S’est fait remarquer en déclarant à propos du 11 septembre : "Que tout le monde sans exception ait rêvé (de ces attaques), c'est un fait!".

Esther Benbassa, directrice d'études à l'EPHE, auteur d’un rapport délivré à la Commission Consultative des Droits de l’Homme. Elle avait nié, en 2001, la possibilité de regain de l'antisémitisme. En 2003, elle finit par le reconnaître mais récidive dans ses errements avec une analyse angélique voulant accréditer la thèse de la symétrie parfaite entre deux nationalismes -juif et arabe- qui s'opposeraient (lire).

Jose Vidal Beneyto, directeur du collège d'études européennes. Monsieur Vidal Beneyto est trop modeste. Il oublie de dire qu’il est président des Amis du Monde Diplomatique. Il a signé un appel en compagnie d’Egard Morin « halte au carnage en Irak et en Palestine ».

Prof. Gianluca Bocchi, Université de Bergame, Italie, auteur avec Edgar Morin et Mauro Cerruti de « repenser l’Europe ». Actif lui aussi dans les Rencontres de Cerisy.

Marcel Bolle de Bal, professeur émérite à l'Université libre de Bruxelles, Membre de la loge "Les Amis Philanthropes" à l’Orient de Bruxelles, a déclaré : « nous sommes bouleversés – ou devrions l’être – par ces milliers de victimes palestiniennes en Palestine…. nous Occidentaux devons accepter que le spectacle insolent de nos richesses puisse susciter des vocations de kamikazes chez ceux qui, démunis de tout, privés de leurs terres et bombardés par nos armes de mort (américaines le plus souvent), n’ont plus rien à perdre ». Pensait-il en particulier aux deux étudiants britanniques d’origine pakistanaise qui ont tué, entre autres, une citoyenne française en mai 2003? Aux Sunnites irakiens qui se tuent sur des marchés ou devant des mosquées chiites, faisant essentiellement des victimes civiles parmi leurs compatriotes?

Pascal Boniface qu'on ne présente plus, mais auteur d'un étrange mea culpa à l'occasion d'une interview-confession réalisée par Elisabeth Schemla pour POI. Il y jurait par ses grands dieux qu'il n'avait jamais placé Israël dans l'axe du mal, que ce pays avait finalement droit à une dissuasion nucléaire, que la France devra toujours être garante de sa sécurité, etc. Apparemment, la pathologie dont souffre l'éminent géopoliticien est plus grave que prévue et donne lieu à des récurrences malheureusement incontrôlables. Ce n'est donc certainement pas la défense de la liberté d'expression qui l'a poussé à signer cette pétition. Il s'agit bien et toujours, comme de très nombreux signataires de cette pétition d'ailleurs, de cet antisionisme qui l'a poussé à écrire son livre "Peut-on critiquer Israël?".

Pierre Calame, directeur de la fondation pour les progrès de l'homme Charles Léopold Meyer et habitué des colloques avec Edgar Morin.

Henri Callat, président départemental du MRAP (Aude), animateur des Colloques interdisciplinaires de l'ADREUC, une association financée directement par le Conseil Général de l’Aude et qui organise régulièrement des colloques avec les Amis du Monde Diplomatique. Fait partie du comité International de défense du député palestinien Azmi Bishara.

Sophie Calle, artiste, amie de Florence Aubenas. On retrouve son nom sur un appel international initié par les éditions Actes Sud contre l’occupation israélienne en compagnie d’Eyal Sivan, Pierre Vidal-Nacquet, Michel Warchawsky et… Edgar Morin.

Marcel Charbonnier, fonctionnaire, traducteur des livres d’Israël Shamir, un auteur se prétendant israélien et pratiquant un antisémitisme débridé. Marcel Charbonnier contribue bénévolement depuis le mois de juin 2000 de façon très active et efficace à la réalisation de la newsletter de la Maison d’Orient à Marseille, a fait plusieurs voyages dans les Territoires. S’est notamment fait remarquer par une lettre publique adressée au journal l’Humanité où il reprochait à ce journal d’être "pro-sioniste" (sic).

Olivier Corpet, directeur de l'IMEC, admirateur d’Edgar Morin et auteur d’un article fort élogieux sur le sociologue lors d’un colloque « autour d’Edgar Morin » organisé au Centre Culturel International de Cerisy. On le retrouve dans ce colloque aux côtés de Jacques Cortès (voir plus bas) et François Fejtö, (voir encore plus bas)

Michel Cool, journaliste, ancien directeur de la rédaction de Témoignage Chrétien, l’hebdomadaire qui organisait des voyages « de paix » en Israël et dans les territoires palestiniens en compagnie du Rabbin Haddad et de Ghaleb Ben Cheikh.

Maurice Cosandey, président de la société suisse des professeurs de Sciences naturelles, que l’on retrouve dans divers colloques sur le « pluriel, le responsable, le solidaire » aux côtés de Pierre Calame et d’Edgar Morin… trans-disciplinarité oblige !

Alain Coutte, dirigeant d'entreprise. Et auteur d’ouvrages écrits au kilomètre pour prouver que les Juifs sont à l’origine de la Shoah (pour obtenir la création d’Israël) et des attentats du 11 septembre (puisque d’après lui, et lui seul, aucun Juif n’est mort dans les attentats)… Coutte est avant tout un chef d’entreprise : ses livres se vendent un peu partout dans le monde arabe. On imagine comme son engagement pour la liberté de la presse doit être alimenté par la recherche de la vérité !

Michel Crozon, CNRS, s’occupe, entre autres activités, des régulières et onéreuses « Rencontres CNRS Jeunes Sciences et citoyen » sur le site du Futuroscope, sous la direction d’Edgar Morin et avec la participation de Marcel Bolle de Bal, déjà cité plus haut.

Jean Dornac, créateur et administrateur du site www.altermonde.levillage.org, site qui milite pour le boycott d’Israël et qui fait la part belle au Réseau Hors AGCS de René Balme, maire de Grigny, déjà cité plus haut.

Jean-François Dortier, directeur de «Sciences humaines», disciple et grand admirateur d’Edgar Morin dont les textes sur la complexité lui ont permis, dit-il, de “sortir du sommeil dogmatique”.

Gabriel Enkiri, écrivain, a publié récemment un livre dont il cherche à faire la promotion « Israël, un projet funeste ». Il se dit à l’origine, avec d’autres, du pacte de Genève.

François Fejtö, et toute sa petite famille… journaliste, historien, voir plus haut dans les colloques de Cerizy et autre lieux bien pensants…

Claude Fischler, directeur de recherches CNRS, co-directeur du CETSAH, a procédé à la nouvelle édition d’Edgar Morin « Israël-Palestine, le simple et le complexe » après l’avoir relu.

Marcel-Francis Kahn: célèbre professeur de rhumatologie, importateur en France du concept de fibromyalgie, notion prêtant à polémique dans le milieu médical. Très sûr de lui et péremptoire, il arbore volontiers le Keffieh et n’hésite pas à se lancer dans des analyses telles que celle parue dans l'Humanité le 25 septembre 2002 : « Sharon est un criminel de guerre… La volonté de Sharon est manifeste. Il prend bien garde de ne pas s’attaquer au cheikh Ahmed Yassine, le chef du Hamas… ». MFK aura sans doute trouvé en mars 2004, après l’élimination ciblée de cheikh Yassine, une nouvelle démonstration de la culpabilité du « boucher Sharon ».

Nathalie Kosciusko-Morizet, parlementaire, député UMP de l’Ouest francilien. Elle avait eu la « garantie » d’être ministre dans le gouvernement actuel. Elle se fait la défenderesse de l’Environnement.

Jean-Louis Le Moigne, professeur émérite à l'Université d'Aix-en-Provence, habitué lui aussi des colloques de Cerizy, des théories de la complexité et compère, de ce fait, d’Edgar Morin.

Jean-Marc Lévy-Leblond, professeur émérite de l'université de Nice, l’un des promoteurs des premières tentatives de boycott des universités Israéliennes en décembre 2002. Dans une correspondance, il établit une comparaison entre l’indemnisation des familles d’islamikazes par Saddam Hussein et celle des victimes de la Shoah par l’Allemagne d’après-guerre !

Eric Rouleau, journaliste. Mais journaliste engagé au sein du Monde Diplomatique et spécialiste de la cause palestinienne. Reçu de nombreuses fois par Yasser Arafat, il fut aussi, mais c’est un hasard, nommé Ambassadeur de France à Tunis, par François Mitterrand. Tunis ou s’était réfugié Arafat à son départ du Liban sous la protection de l’armée française.

Michèle Sibony : elle dirige auprès de Richard Wagman l’UJFP, Union Juive Française pour la « Paix » (les guillemets sont de Primo) : tout comme la CAPJPO, cette organisation se bat pour une paix « juste » au Proche-Orient, mais pour toutes les deux , une paix juste est une paix qui comporte la destruction d’Israël à court terme par la démographie sinon par les décisions internationales.

Eyal Sivan : l’auteur du film-marathon de 4h30, Route 181, pour lequel Arte avait déployé le tapis rouge en novembre 2003. On y voyait un plagiat de la scène du coiffeur de Shoah, le film de Claude Lanzmann. Ce coiffeur relatait un massacre de la population arabe de Lod lors de la guerre d’indépendance de 1948. Les historiens contactés par Primo avaient alors taillé en pièces cette version des faits.

Michel Tubiana : ex-président de la LDH qui, avant de remettre sa démission, avait tenté, sans succès, un coup d’éclat : il avait essayé de faire interdire un colloque à Toulouse consacré aux enfants victimes du terrorisme au prétexte qu’il se penchait sur le sort des victimes israéliennes des attentats et qu’il avait reçu le patronage du Ministère des Affaires Étrangères israélien.

Saïd Zulficar, réseau de Libération coloniale, signataire d’une pétition en faveur de Dieudonné, vice-président de "Patrimoine sans frontières", une ONG qui aide à la sauvegarde du patrimoine des pays en guerre. Fonctionnaire de l’Unesco, originaire d’Egypte, il a reçu en 2002 le Prix de la communication culturelle nord sud.
Ce Prix a été créé en 1991 par le Professeur Mahdi Elmandjra. Il a été accordé en 2001 à « Mohamed Jamal AL-DURREH (Palestine) cet enfant martyr de 12 ans qui a été sauvagement abattu par les Israéliens le 30 septembre 2000 et, à travers lui, à tous les enfants de l’INTIFADA ainsi qu’à Talal ABU RAHMA, reporter de France 2 qui immortalisa à travers sa camera cet acte odieux ». (sic)

Les noms viennent s'ajouter peu à peu, mais sans se bousculer. Mais nous ne continuerons pas cet exercice fastidieux.

Certes, il n’est pas interdit de penser, ni de signer. Il n’est pas interdit non plus de s’interroger sur les raisons de certaines signatures. La réponse, comme on le voit, est plus souvent copinage et patronage, deux mamelles de la France qui secrètent des laits plutôt nauséabonds, ces temps-ci...

En ces temps de disette et de Célébrités à la Ferme, l’honnêteté intellectuelle n’est pas une obligation. C’est juste un luxe.

Primo Europe

PS : sur le même sujet, lire l'excellent article de Stéphane Juffa, Metula News Agency en cliquant ici

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 26 juin 2005 - 22h00:

DE… SOUSSE …. A L’ELYSEE..


NUMERO 2 A L’ELYSSE


NOMME SECRETAIRE GENERAL DE L’ELYSSE, MONSIEUR FREDERIC SALAT – BAROUX….
A 41 ANS , IL ACCEDE A LA PLUS HAUTE FONCTION A L’ ELYSEE APRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE…

IL EST LE FILS DU PROFESSEUR JACQUES SALAT – BAROUX QUI FUT UN EMINENT CHIRURGIEN ET MEMBRE DE L’ ACADEMIE DE DE MEDECINE…

Né DANS UNE MODESTE FAMILLE JUIVE DE SOUSSE EN TUNISIE . JACQUES SALAT - BAROUX A ETE L’ UN DES PIONNIERS DE LA PROCREATION IN VITRO ET A MARQUE DE SON EMPREINTE TOUTE UNE GENERATION DE MEDECINS …

INDISCRETIONS..
ACTUALITE JUIVE N° 894 DU 16 JUIN 2005

DOCUMENTATION.. FREDDY GALULA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 26 juin 2005 - 21h30:

GAGNER LA GUERRE CONTRE LA TERREUR



Par le Major Général en retraite Paul Vallely, un analyste militaire pour Fox News. Il a accompli une carrière remarquable de 32 ans dans l'armée américaine. Il préside le comité militaire au Centre de Politique de Sécurité à Washington. Le texte ci-dessous est issu d'une présentation à l'Institut pour Les Affaires contemporaines à Jérusalem le 9 mars 2005.

Paru dans Jerusalem Issue Brief – vol 4 n° 23 – 23 mai 2005

Traduit par Artus pour www.nuitdorient.com



Seule une poignée de pays soutiennent la terreur


Dans notre livre "Le jeu final: pour aller tout droit vers la victoire dans la guerre contre la terreur" (Regnery - 2004), le lieutenant général Thomas MacInerney, chef d'état major adjoint des forces aériennes et moi-même avons proposé une stratégie pour gagner la guerre contre la terreur.

Lors du premier mandat de l'administration Bush, bien avant les attaques du 11/9, il nous est apparu clairement qu'il y avait 8 pays qui soutenaient le terrorisme. Étaient inclus le Pakistan, l'Afghanistan, l'Iran, l'Irak, la Syrie, la Libye et la Corée du Nord, tous impliqués dans des envois d'armes à des terroristes. Le 8ème pays est l'Arabie Saoudite qui avait fourni un sanctuaire, l'entraînement et les finances à des organisations terroristes. Aujourd'hui cette liste a été réduite à 5 (hors Irak, Afghanistan et Libye) et le Pakistan et l'Arabie sont en train d'évoluer à un certain niveau.

Les Frères Musulmans sont venus d'Egypte vers l'Arabie en 1954 et Ben Laden y est né en 1957. Les Saoudiens ont disséminé leur doctrine wahabite dans toutes les mosquées du monde, y compris les 1500 mosquées américaines qui sont financées par l'Arabie. Les prêcheurs islamiques radicaux ont créé un réseau d'écoles wahabites afin que la doctrine puisse atteindre toute la communauté musulmane. Il faut savoir aussi que tous les groupes terroristes non étatiques tels que le H'izbollah au Liban, le H'amas à Gaza, le Jihad Islamique en Judée Samarie, Aboul Sayf aux Philippines et Jémaa' Islamiya en Indonésie et dans le sud-est asiatique sont tous interconnectés par des mécanismes financiers et de soutien logistique.

Si nous poursuivons notre stratégie de mettre hors jeu les états-nations qui continuent à soutenir la terreur, les organisations non-étatiques disparaîtront. Ainsi le H'ezbollah disparaîtra si on coupait le cordon ombilical qui le relie à l'Iran.



Éliminer les sanctuaires terroristes


En novembre 2004, Falouja était de loin la ville la plus dangereuse du monde. Aujourd'hui elle est la ville la plus sûre d'Irak et ses habitants reviennent y vivre. Nous avons trouvé dans cette ville une quantité phénoménale d'armes et de munitions. Pratiquement chaque immeuble contenait un type d'armes. Nous ne pouvons pas permettre aux sanctuaires d'exister où que cela soit dans le monde et nous devons empêcher les organisations qui en profitent de répandre la terreur. Or les Etats-Unis avaient permis un tel sanctuaire à Falouja, faisant l'erreur de croire qu'il était possible de négocier avec des gens dont le principal objectif est de tuer pour reprendre le pouvoir perdu par Saddam Hussein. Une autre erreur a été commise par les Etats-Unis lors de la construction de la première autorité provisoire irakienne, qui n'était en fait qu'un bras du Département d'Etat en charge d'une zone de guerre. Nous avons fait l'erreur de ne pas reprendre immédiatement la police et l'armée existante et de ne pas avoir installé sur le champ un gouvernement intérimaire, comme nous l'avions fait en Afghanistan.



Quand nous nous sommes engagés dans la 2ème guerre mondiale contre l'Allemagne et le Japon, la guerre a duré 3 ans et 9 mois. Nous sommes déjà engagés dans la guerre contre la terreur qui durera plus longtemps. Une guerre doit être décisive, rapide avec une finalité précise. Quand la guerre dure trop longtemps elle entraîne des pertes aussi bien civiles que militaires. Cette nouvelle guerre risque de durer longtemps à moins que certaines actions ne soient menées, comme par exemple couper le flux d'argent venant de pays qui offrent une base arrière de soutien de la terreur.

Aujourd'hui nous n'avons qu'une seule guerre, la guerre globale contre la terreur, et il n'y en a pas d'autres. Les autres guerres ne sont que des campagnes au sein de cette guerre globale. Ainsi le conflit entre Israël et les Palestiniens ne sera résolu que si cette guerre globale est gagnée.



Viser la Syrie


Il est fort possible que des armes de destruction massive (ADM) chimiques et biologiques aient été déménagées d'Irak entre le 15/1/03 et le 8/3/03. Nous avons des photos-satellite de camions tracteurs à 18 roues se dirigeant vers 2 localités en Syrie et une localité au Liban dans la vallée de la Beqaa'. Si une quelconque intervention doit avoir lieu, elle doit viser aussi les camps d'entraînement aux environs d'Alep. Les Etats-Unis ne devraient tolérer aucun camp d'entraînement en Syrie qui soutienne les forces de la coalition d'Irak. Depuis la mort d'Arafat, le H'ezbollah est devenu le principal soutien financier et militaire du H'amas et du Jihad Islamique. On doit s'occuper de ces 2 organisations et ne pas être si naïf et croire qu'on peut négocier avec elles.



S'occuper de l'Iran


Si jamais les Etats-Unis prennent la décision d'une option militaire contre l'Iran, celle-ci n'impliquera probablement pas de forces terrestres. Il y aura sans doute des opérations clandestines, mais l'essentiel sera réalisé par les airs. Nous avons la capacité de faire ce que nous devons faire.

Si l'Iran est attaqué, la Russie ne bougera pas car elle n'en a pas encore les moyens et la Chine ne se détournera pas de son expansion économique, plus intéressée par l'échange de technologie et la protection de ses frontières que par une aventure au Moyen Orient.

Je pense que si l'opération en Iran est faite adéquatement, le peuple iranien prendra soin du reste et les Etats-Unis n'auront pas besoin d'occuper ce pays.







THE U.S. VERSUS SYRIA AND IRAN: WINNING THE WAR ON TERROR


By Maj. Gen. Paul Vallely (ret.), a military analyst for FOX News. He had a distinguished 32-year career in the U.S. Army, retiring in 1991 as deputy commanding general, U.S. Army, Pacific. He is chairman of the military committee at the Center for Security Policy in Washington, D.C., and is the co-author of End Game: The Blueprint for Victory in the War on Terror (Regnery, 2004). This Jerusalem Issue Brief is based on his presentation at the Institute for Contemporary Affairs in Jerusalem on March 9, 2005.

Jerusalem Issue Brief - Vol. 4, No. 23 – 23 May 2005



Only a Handful of States Back Terror


In the book End Game: The Blueprint for Victory in the War on Terror, Lt. Gen. Thomas McInerney, who was Vice Chief of Staff of the Air Force, and I offer a strategy for winning the war on terror.

During the first term of the Bush administration, it was very apparent to us even before the World Trade Towers and the Pentagon were attacked that there were eight countries supporting terrorism. They included Pakistan, Afghanistan, Iran, Iraq, Syria, Libya, and North Korea, which were involved in shipments of arms to terrorists. The eighth country is Saudi Arabia, which has provided sanctuary, training, and funding for terrorist organizations. This list has now been reduced to five countries, and some of these are in transformation as well, including Pakistan and Saudi Arabia, to some degree.

The Muslim Brotherhood moved to Saudi Arabia in 1954, and bin Laden was born there in 1957. The Saudis have spread their ideology of Wahhabism throughout the mosques of the world, including some 1,500 in the United States primarily funded by Saudi Arabia. Radical Islamic preachers have created a network of Wahhabi schools, so the transformation also has to occur within the Muslim community.

The non-state terrorist organizations – Hizballah, Hamas, Islamic Jihad, Abu Sa'if in the Philippines, Jemaah Islamiah in Southeast Asia and Indonesia – are all interconnected in terms of funding and support mechanisms.

If we follow a strategy that takes the nation-states that continue to support terrorism out of play, the non-state terrorist organizations will fade. For example, Hizballah will fade if its umbilical cord with Iran can be cut.



Eliminate Terrorist Sanctuaries


In November 2004, Fallujah was by far the most dangerous city in the world. Now it is the safest city in Iraq and its people are moving back. In Fallujah we found an enormous amount of arms and ammunition. Almost every building contained some type of arms. We cannot permit sanctuaries to exist anywhere in the world that enable terrorist organizations to spread their terror. The U.S. had allowed such a sanctuary in Fallujah. It made the mistake of thinking it was possible to negotiate with those whose intention is to kill and to take back the power that was taken away from them when Saddam fell.



Another mistake the U.S. made in Iraq was in setting up the coalition provisional authority, which basically was a State Department organization in charge of a war zone. It was a mistake not to call back the police and the military immediately, and it was a mistake not to put in an interim government immediately, as the U.S. did in Afghanistan.

Once the United States committed to fight the Germans and the Japanese in World War II, the war lasted three years and nine months. We are already in this global war on terror for a longer period. The war has to be decisive, quick, and it has to have finality. Having a long duration of combat results in more casualties for both the military and the civilian populations. This war will continue for a long time unless certain things happen, including cutting off the money from the nation-states that provide a geographical base for supporting terrorism.

There is only one war today and that is the global war on terror – there are no other wars. The rest are campaigns within the war on terror. The problem between Israel and the Palestinians will not be solved until we solve the greater regional problems.



Focus on Syria


It is possible that chemical and biological weapons of mass destruction were moved out of Iraq between January 15 and March 8, 2003. The U.S. has satellite pictures of 18-wheel trailer trucks going to two locations in Syria and one location in the Bekaa Valley.

If any military action is taken in Syria, it may focus on the training areas outside of Aleppo. The U.S. should not tolerate any terrorist training camps in Syria that support attacks on coalition forces in Iraq.

Since Arafat passed away, Hizballah has become the main support for Hamas and Islamic Jihad with financial support and arms. These terrorist organizations must be dealt with. We must not be so naive as to think that we can negotiate with them.



Dealing with Iran


If the U.S. selects a military option in Iran, it would probably not involve ground forces. The action would involve covert operations and would primarily be done by air. The U.S. has the capability to do what it has to.

If Iran is attacked, Russia will do nothing because it doesn’t have the capability to do much right now. China is not going to do anything either. The Chinese are more interested in the transfer of technology and have no interest in leaving their borders to come fight in the Middle East.

I believe that if the operation in Iran is done correctly, the Iranian people will take care of the rest. The U.S. does not want to occupy that country.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 26 juin 2005 - 18h46:

Pierrre Besnainou, originaire de Tunis, nouveau Président du Congrès Juif Européen


Pierre Besnainou a été élu Président du Congrès Juif Européen (CJE) lors de l’Assemblée Générale qui a eu lieu dimanche 26 juin à Paris.

Vice-Président du CJE, de la Section Française du Congrès Juif Mondial (CJM) qu’il représente au sein du CRIF, Pierre Besnainou a été élu par les représentants de 34 pays européens contre le Président sortant, Cobi Benatoff.

Pierre Besnainou entend « œuvrer pour la réconciliation des peuples européens avec le Judaïsme et Israël ».

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le dimanche 26 juin 2005 - 18h43:

Israël s'alarme de l'arrivée au pouvoir en Iran de Ahmadinejad


JERUSALEM (AFP) - Israël a titré la sonnette d'alarme après l'élection de l'ultra-conservateur Mahmoud Ahmadinejad à la présidence en Iran, qui risque d'après le numéro deux du cabinet israélien, Shimon Peres, de provoquer de "graves problèmes" à la communauté internationale.

"La conclusion (de ce scrutin), c'est qu'il y a (en Iran) une combinaison dangereuse d'extrémisme religieux, d'armes non conventionnelles et d'isolement international qui va continuer et provoquer de graves problèmes", a affirmé M. Peres dans un communiqué publié dimanche.

Il a ajouté que l'élection présidentielle en Iran avait mis aux prises "des extrémistes et qu'elle ne pouvait être considérée comme libre et démocratique".

Le chef de la diplomatie, Sylvan Shalom, a exhorté de son côté "la communauté internationale à adopter une position ferme et unie" sur l'éventualité que l'Iran puisse se doter de l'arme nucléaire.

"Nous devons faire en sorte que les pays occidentaux ne deviennent pas les otages du radicalisme iranien", a-t-il souligné.

Le général de réserve Amos Gilad, responsable politique au ministère de la Défense, a de son côté estimé à la radio militaire que le résultat de ce scrutin "va annuler tout le processus de réformes et de changements en Iran".

Un haut responsable à la présidence du Conseil à Jérusalem avait auparavant affirmé à l'AFP que Mahmoud Ahmadinejad et son rival malheureux Akbar Hachémi Rafsandjani étaient à son avis "interchangeables, car ils considèrent Israël comme +une entité sioniste+ dont ils souhaitent la destruction".

Selon ce haut responsable qui a requis l'anonymat, "l'arrivée au pouvoir de cet homme (Ahmadinejad) va renforcer le danger extrémiste dans ce pays, qui représente une menace pour le monde entier".

Il a estimé que "le régime des ayatollah" reste en place et que l'Iran veut "se doter de l'arme nucléaire et soutenir des organisations armées radicales hostiles à Israël, comme le Hezbollah" chiite libanais.

"Les Iraniens vont davantage intervenir pour tenter d'empêcher la paix entre Israël et les Palestiniens (...) Il y aura plus d'argent et d'entraînements militaires pour le Hezbollah et le Hamas" islamiste palestinien, a indiqué à l'AFP M. David Kimche, ex directeur général du ministère des Affaires étrangères à Jérusalem.

"Il sera aussi plus difficile pour les Européens de parvenir à un accord avec l'Iran dans le domaine du nucléaire", a-t-il ajouté.

Même conclusion pour l'analyste israélien Gerald Steinberg. "Israël, dit-il, doit s'inquiéter encore davantage des ambitions nucléaires de l'Iran, car l'élection de Ahmadinejad montre les limites des possibilités des Européens et des Américains de parvenir à un accord négocié dans ce domaine".

Les journaux israéliens ont relayé ces craintes en faisant valoir que les Iraniens ont renoncé au progrès en appelant Ahmadinejad à la barre.

"L'exécuteur a été élu en Iran", a ainsi titré le Yédiot Aharonot, principal quotidien israélien. Le journal cite des opposants iraniens selon lesquels le président élu a jadis fait partie des pelotons d'exécution de prisonniers politiques à Téhéran, et s'est prononcé pour la ségrégation entre les femmes et les hommes dans les restaurants municipaux.

"Sa victoire est celle de la peur (...) L'Iran recule, et nous avons à présent vraiment des raisons de nous inquiéter", écrit le journal.

"Cela signifie aussi que les tentatives visant à déstabiliser le régime du dirigeant palestinien Mahmoud Abbas et à torpiller un arrangement avec Israël vont se multiplier", poursuit-il.

Dans son éditorial, il se console cependant en estimant que "désormais, les pays occidentaux ne peuvent plus se voiler la face avec l'illusion qu'il faut encourager le courant des réformistes en Iran".

Par la voie de son principal négociateur, Saëb Erakat, l'Autorité palestinienne s'est pour sa part contentée d'indiquer à l'AFP qu'elle "respecte le choix démocratique des Iraniens".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 26 juin 2005 - 13h53:

Chanson.

‘…TIIIIIIRE TIIIIIIRE L AIGUILLE MA FILLE…..DEMAIN …DEMAIN…. TU TE MARRIES….MA FILLE…..§§§§

Je remercie mon ami RICHARD BOUTBOUL GRAND COLLECTIONNEUR DE CHANSONS ANCIENNES SUR VINIL EN TOUT GENRE…Qui a eu la gentillesse de m’envoyer cette magnifique chanson chantée par Renèe Lebas.


‘…TiIIIIre tiIIIIre l’aIguille ma fiIIlle,
Demain……DemaAAAAin tu te marries mon amie…
Tire tire l’aiguille ma fille …§§§§§§§


Ta robe doit être finiIIIe
Sous tes doigts mes sœurs, les fleurs
Faites de paillettes et de diamants..
Le diadème de rosée porte bonhHHHeur
Est entre les mains de ta maman…§§§§§§§

Lay lay lay lay lay LAY LAY….
‘…Tire tire l’aguille ma fille,
Lay lay lay lay lay….Lay lay….…
Tire tire l’aiguille ma fille..§§§§§

Ta chambre est couverte de petits bouts de soie
Le chat … sur la tapis s’en donne a cœur joie
Près du feu qui danse
Le fauteuil s’ balance
Et berce ton père endormi
Ta mamaAAAn s’en dire un mot
Achève de plier ton trousseau
Ton papa saura demain…. après demain
Qu’un mariage coûte bien du malLLLLLL….§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


Lay lay lay lay, lay lay §§§§§
Tire tire l’aiguille ma fille
Lay lay lay lay, lay lay §§§§§
Tire tire l’aiguille ma fille


La lumière de lampe de ta chambre fume et chancelle
Ses yeEEEEEux …..se couvrent d’un rideau de dentelles..§§§§§§§
Ne les laissent pas se fatiguer Mon amie
Demain…il faut t’être joliIIIIIIIIIIIIe
EtTT………. quand……………… l’orRRRRRRRRRRRRRRRRRRRgue chaAAAAAAnteraAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Elle aura son père qui lui prendra le braAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAs
Puissent des millions d’étoiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIles au fil des heEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEures
SeEEEEEEEEEEEEEEEEEEmer votre rouuUUUUte de…………….. bonheuUUUUUUUUUUr


Lay lay lay lay, lay lay §§§§§
Tire tire l’aiguille ma fille
Lay lay lay lay, lay lay §§§§§
Tire tire l’aiguille ma fille

Tire tire l’aiguille ma fille…Lay lay l ay….l …..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Joasim (Joasim) le dimanche 26 juin 2005 - 13h18:

voila je viens de rentres d,un sejour de 12 jours en tunisie ou j,ai etait tres decu j,avais laisse un tres beau pays tres propre j,ai trouve que tout est tres mal entrenu ma ville sfax je ne les point reconnu au pelegrinage de la griba cela nait point comme je me le represante a part cela les autorites ont etait supert les organisateurs du voyage se son moque de nous on nous a promis un sejour merveyeux se n,et point cella les hotels mauvais cohen jo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le dimanche 26 juin 2005 - 12h21:

bouquet7 copie

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le dimanche 26 juin 2005 - 12h18:

Chère Email

Depuis environ dix ans, je n’étais pas revenu à Tunis, mais cette année j’ai été au pèlerinage de Djerba car mon père y repose depuis quarante ans, mai 1965.

A l’occasion de ce triste anniversaire, j’ai transgressé une décision que j’avais prise, et j’y suis revenu. Cela correspondait exactement au pèlerinage.

Le 24 mai, avec mon épouse, nous avons fait un aller retour à Tunis, et j’ai plusieurs anecdotes et plusieurs constatations à raconter.

Mais mon intervention à la suite de votre témoignage de ce jour, c’est qu’à l’occasion de notre journée à Tunis, nous avons réservé un taxi qui nous a permis de revoir les endroits restés chers à notre cœur et à notre mémoire. Et bien entendu, la Grande Synagogue de Tunis……

D’abord, fait curieux, le chauffeur de taxi qu’on ne peut accuser de mauvaise volonté, bien au contraire, ne connaissait pas l’endroit où elle se trouvait.

Bien entendu, je lui ai indiqué le chemin ; il m’a alors juré qu’il ne savait pas que c’était la Grande Synagogue.

J’ai donc quitté le taxi le temps de faire un cliché, et me rendant compte de la présence d’un policier de garde, tout à fait normalement, je lui demande la permission de tirer une photo.

Il me répondis alors, courtoisement jusque là, que c’était interdit.
Avec, comme il se doit, le plus grand respect, je me permets de réitérer ma demande en lui disant que je suis un enfant du pays et que……
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase, qu’il pointait déjà sa mitraillette sur moi, réellement ; mais j’ai été très surpris lorsque je l’ai questionné des yeux, de n’y voir aucune animosité.
C’était sa façon de me dire « n’insiste pas et je suis sérieux »

Je sais que mon commentaire de ce qui précède va surprendre plus d’une ou plus d’un.
Certes, ce n’est pas agréable, mais je suis certain que ce n’était qu’un geste maladroit.
En tout cas, je suis peut-être rêveur, mais je n’ai éprouvé aucune crainte. J’ai lu dans ses yeux que c’était simplement sa façon de me demander de ne pas insister.

Tout ça pour dire que rien n’a changé depuis votre visite, et que l’attentat contre la Ghriba, n’a fait qu’accentuer la crainte des autorités.

Comme je vous l’ai dit, j’ai vu des choses, à la portée de tous les touristes, bien sur, mais qui ont une énorme importance pour les TUNES que nous sommes.
En l’occurrence, le cimetière du Borgel qui est dans un état catastrophique.

J’ai tiré des photos mais je n’ai pas osé les diffuser sur notre site

Si ça peut intéresser certains, elles sont à la disposition des Harissiens. Mais attention, cela vous touchera certainement beaucoup.

Amicalement

Moshébé