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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juin 2005: Archive jusqu'au 16/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 15 juin 2005 - 21h51:

Ftileur....Racine de Ftiler....Action de Ftiler.
Mot barbare inconnue dans le dictionnaire sauf pour les avertis comme moi, goulettois..comme son auteur :) qui veut dire faire durer le plaisir dans un jeu de rami/poker en tirant dans le sabot que la carte qu'on attend et qui permet d'étaler en premier.

Idem dans une partie de CHKOB.

Le ftileur est donc celui qui attend patiemment l'ouverture d'une bonne carte pour étaler avec jouissance son jeu vainqueur.


LA DOUDA VOUS FTILE TOUS.....SANS SE DEMONTER...

Que l'on se le dise...JE FTAILE....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 15 juin 2005 - 20h18:

LES INTENTIONS DE L'AUTORITÉ PALESTINIENNE



Par Dr Joel Fishman, membre de Jerusalem Center for Public Affairs

Éditorial paru dans Maqor Rishon du 3 juin 2005

Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued pour www.nuitdorient.com



Le 26 mai 2005, pour la première depuis qu'il était Président des Etats-Unis, G W Bush a reçu le président de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas, lui prodiguant honneurs et reconnaissance publique. En effet le dernier contact à Washington entre les présidents palestinien et américain a eu lieu quand Yasser Arafat a téléphoné à Bill Clinton, à la fin de son second mandat, pour lui présenter ses bons vœux. Clinton lui aurait répondu "Vous m'avez mis dans un joli pétrin, c'est un échec colossal !". Malgré les efforts d'historiens révisionnistes, Clinton faisait allusion au fait qu'Arafat l'a laissé tomber à Camp David, en refusant de mettre un terme à la guerre menée contre Israël et les Juifs. À cette époque, le conseiller de Clinton, Dennis Ross aurait fait la remarque suivante "Arafat devrait voir un psy!" qui démontre qu'aussi bien lui que son chef n'ont pas réussi à comprendre la logique d'Arafat. Plutôt que de parler d'un psy, ils auraient dû s'assurer des véritables intentions du chef Palestinien.

Paraphrasant Robert C Tucker, professeur emeritus de Princeton, "L'OLP (Organisation de libération de la Palestine et son successeur, l'Autorité Palestienne, AP) est un mouvement de masse révolutionnaire qui engendre des régimes à parti unique". L'OLP a été fondée en 1964, en même temps que les armées de libération nationale de Colombie et de Bolivie. Il faut savoir que dans ce type de mouvement, c'est l'appareil qui est crucial et non le chef, malgré la tradition et le besoin d'un homme fort au Moyen Orient.

Ainsi se demander si Mahmoud Abbas est un chef modéré ou non est peine perdue. À titre d'exemple, Henri Kissinger a précisé que lors de la 2ème guerre mondiale, le conseiller du président Roosevelt, Harry Hopkins, était le premier à préconiser le renforcement des modérés, quand il a exhorté son chef à faire des concessions à Staline, le futur "partenaire de la paix de l'Amérique"! De même, Natan Sharanski a écrit que dans les années 90, l'administration Clinton a montré le même aveuglement lorsqu'elle a voulu "renforcer Arafat". Aujourd'hui l'administration Bush essaie de renforcer Abbas qui a été élu dans des élections où ont dominé l'intimidation, le double vote et la froide indifférence des électeurs.



Pour comprendre le vrai programme de l'AP, nous devons orienter notre attention vers le document fondateur de l'OLP, la charte nationale palestinienne. Des études détaillées des professeurs Efraim Karsh et Yehoshouaa' Porat ont montré que la Charte n'a jamais été abrogée, en dépit du vote à main levée, haut en couleurs et programmé lors de la visite de Bill Clinton à Gaza. L'analyse de la Charte par feu Pr Yehoshefat Harkabi (qui a écrit sur le sujet dans les années 60/70) est toujours effective et aurait pu être écrite hier. Harkabi explique qu'après la foudroyante défaite de la guerre des 6 jours, les Arabes ont changé de thème de propagande, afin de cacher leurs véritables intentions. Quand ils appelaient à "jeter les Juifs à la mer" en 1967, ils laissaient une mauvaise impression sur l'opinion mondiale. Utilisant un langage codé, ils ont commencé à parler de "justice pour le peuple palestinien" pour l'extérieur, tandis qu'en arabe, ils appelaient à la destruction d'Israël et à l'expulsion de ses citoyens. Pour l'essentiel, les exigences de l'OLP/AP sont sans limites et ne peuvent être satisfaites sans le suicide politique d'Israël.



Voici quelques points essentiels de la Charte qu'il faut rappeler aujourd'hui.

- Le judaïsme est une religion et les Juifs ne peuvent s'auto-déterminer sur le plan national

- Les Juifs n'ont pas d'identité religieuse et ne peuvent prétendre à un état national.

Ils ne peuvent pas revendiquer la Terre Sainte

- La destruction complète d'Israël est un préalable à la construction d'un état palestinien démocratique

- Toute solution qui n'implique pas la totale libération du territoire est rejetée. Cet objectif ne peut être atteint politiquement, mais seulement par les armes. Il n'y a aucun compromis sur le déplacement nécessaire des populations juives.

- Les Palestiniens ont le droit à la libération nationale et la guerre contre Israël est légale, alors qu'Israël n'a aucun droit à se défendre.

- La guerre contre Israël est élevée d'un intérêt national purement arabe vers une mission humanitaire universelle. La destruction d'Israël est ainsi associée à une cause de justice internationale et tous les moyens sont justifiés dans ce but.

- Toute amitié d'un pays avec Israël entraîne l'inimitié de l'OLP à son égard.



Harkabi avait tiré plusieurs conclusions à l'époque qui n'ont rien perdu de leur valeur aujourd'hui.

- Colombes et faucons Israéliens feraient une erreur de croire qu'un accord puisse être trouvé par des concessions territoriales.

- Il serait dangereux de parvenir à un accord qui ne soit pas une paix véritable avec tous les Arabes.

- Tout accord politique avec un pays arabe n'entraînant pas un complet changement d'attitude publique envers Israël et de politique intérieure, telle que les incitations à la haine et la diffusion de littérature antisémite, ne peut durer.

- Ce que veulent le plus les Palestiniens et de nombreux pays arabes, c'est un armistice pendant lequel ils peuvent se renforcer, et revendiquer des concessions à Israël qui, sous la pression des grandes puissances, est obligé de céder.



Les Palestiniens et leurs amis occidentaux bien pensant, ainsi que divers gouvernements Israéliens ont joué à ce jeu, essayant de sous-estimer ces différents points qui réapparaissent inéluctablement sous une forme ou une autre. La réincarnation la plus récente, tirée du 1er principe énoncé ci-dessus, le suicide politique d'Israël, est la revendication d'un seul état palestinien, plutôt que deux états.

Les élites israéliennes qui décident n'ont pas compris les véritables intentions des Palestiniens et ont jaugé l'ennemi sur sa capacité militaire seulement. Si cela était vrai, l'ex chef d'état-major "Boogie" Moshé Yaalon aurait résolu le problème depuis longtemps. Mais cela n'est pas le cas et c'est pourquoi la visite d'Abou Mazen à la Maison Blanche est une préoccupation grave pour nous.



Le président Bush espère un accord. Mais il ressort de sa rhétorique qu'il raisonne avec la définition palestinienne de "la paix et la justice", ou du moins qu'il essaie de montrer un certain progrès dans ce cadre. Alors que le Président Bush a demandé la fin de la terreur, en même temps, la possibilité de retrait d'Israël vers les lignes d'armistice de 1949 est apparue dans son programme, ce qui est le signe d'un nouveau développement préoccupant. D'un autre côté, on sait que tout retrait israélien, même vers les lignes d'armistice de 1949, n'entraînera aucune paix avec les Palestiniens. En écoutant les propos de G W Bush, on s'aperçoit qu'il y a un danger que les Etats-Unis soient devenus un médiateur conscient ou non dans la négociation d'un nouvel armistice, pour lequel Israël serait forcé de payer comme si cela était la paix. Le côté palestinien doit encore prouver par des paroles et des gestes qu'il est prêt à faire la paix avec un Israël bien vivant et non en ruines. En agissant en médiateur entre deux parties mises sur le même plan, le président Bush est entrain de pousser vers une situation éminemment instable (car elle ne correspond pas à la réalité du terrain).



Quelles seraient les motivations de G W Bush?

Il y a peut-être des facteurs de long terme, tel que le désir de maintenir de bonnes relations avec le monde arabe, une recherche de faveurs, après l'invasion de l'Irak et le maintien de troupes américaines dans ce pays. De même G W Bush souhaiterait calmer l'Europe occidentale. Par ailleurs les médias ont rapporté que l'Arabie Saoudite presserait les Etats-Unis, par des menaces, les bonnes relations dépendant des progrès faits en faveur des Palestiniens.

Vu la rhétorique choisie par le président américain et les sujets évités lors de la visite d'Abbas, il apparaît ainsi que les Etats-Unis soient arrivés à un tournant politique qui, à long terme, pourrait être hostile et même dangereux pour Israël.







DOES PRESIDENT BUSH UNDERSTAND MAHMOUD ABBAS?

THE INTENTIONS AND CAPABILITIES OF THE PALESTINIAN AUTHORITY





By Dr Joel Fishman, fellow of the Jerusalem Center for Public Affairs.

OpEd MakorRishon - 3 June 2005



On May 26, for the first time since he took office, President Bush received the Chairman of the Palestine Authority, Mahmoud Abbas giving him honor and public recognition. Effectively, the last known contact in Washington between a PA chairman and an American President took place when Yasser Arafat telephoned Bill Clinton, at the end of his second term, to give him his good wishes. President Clinton responded by exclaiming: "You made me into a colossal failure!" Despite the efforts of revisionist historians to alter the record, Clinton referred to the fact that Arafat let him down at Camp David by refusing to end the Palestinian war against Israel and the Jews. At that time, Clinton's advisor Dennis Ross remarked that Arafat should see a psychologist which shows that both Clinton and Ross failed to understand Arafat's logic. Instead of calling a psychologist, they would have done better to ascertain the Palestinians' real intentions.

Using the term of Princeton Professor Emeritus, Robert C. Tucker, the Palestine Liberation Organization (and its successor, the PA) is a "revolutionary mass-movement regime under single-party auspices". It was founded in 1964, along with the National Liberation Army of Bolivia and Colombia. It is noteworthy that in the case of such a movement or regime, it is the apparatus which is crucial and not the leader – despite the tradition of the "strong man" in Middle Eastern politics. Therefore, wondering whether a leader such as Mahmoud Abbas is a "moderate" is simply misguided. For example, Henry Kissinger pointed out that during World War II, President Roosevelt's advisor, Harry Hopkins was the first to advocate "strengthening the moderates," when he exhorted him to make concessions to Stalin, America's future "partner for peace". Similarly, Natan Sharansky wrote that in the nineties, the Clinton administration showed the same blindness when, as a matter of policy, it endeavored to "strengthen Arafat." Now, the Bush administration is trying to strengthen Mahmoud Abbas who won in an election characterized by intimidation, double voting, and the cold indifference of his electorate.



In order to understand the P.A.'s real program, we must direct our attention to the founding document of the PLO, the Palestine National Covenant. Detailed studies by Professors Efraim Karsh and Yehoshua Porath have shown that the Covenant was not abrogated, despite the staged and colorful vote by show of hands which took place when President Clinton's visited Gaza. The analysis of the Covenant by the late Professor Yehoshefat Harkabi, who wrote in the late sixties and early seventies (despite his later change of views) has held its value and could have been written yesterday. Harkabi explained that after their crushing defeat in the Six Day War, the Arabs changed their propaganda strategy in order to conceal their true intentions because, in 1967, when they called for " driving the Jews into the sea," they made a bad impression on world opinion. Using a more coded language, they began to speak of "justice for the Palestinian people" abroad, while in Arabic calling for the destruction of Israel and the expulsion of most of its citizens. Essentially, the demands of the PLO\PA are open-ended and cannot be fulfilled without bringing about the politicide of Israel. Some of the basic points of the PLO Covenant are:

· Judaism is a religion, and Jews do not have any claim to national self-determination.

· Jews have no religious distinctiveness and do not constitute a national entity.

· There is no Jewish claim to the Holy Land.

· The complete destruction of Israel is a prerequisite for the establishment of the "Palestinian Democratic State."

· Any solution that does not involve total liberation of the country is rejected. This aim cannot be achieved politically; it can only be accomplished militarily. The achievement of this goal presupposes a large displacement of the Jewish population. There can be no compromise.

· The Palestinians have the right of national liberation. While warfare against Israel is legal, Israel's has no right to defend itself.

· Warfare against Israel is elevated from an Arab national interest to a universal humanistic mission. The destruction of Israel, therefore, is associated with the cause of international justice, and all means toward this end are justified.

· The friendship of any state with Israel will bring enmity on the part of the PLO.



Commenting on this state of affairs, Harkabi drew several conclusions which are as relevant today as they were three decades ago:



· It would be a mistake of both Israeli doves and hawks to assume that a settlement can be achieved if Israel makes territorial concessions.

· There is a danger in agreeing to any arrangement short of peace.

· Any political settlement with an Arab state that did not entail a complete change in its national position and its public attitude toward Israel, such as ending incitement and the distribution of anti-Semitic literature, would not last.

· What the Palestinians really want is at most an armistice for which Israel, pressured by the big powers, will be made to pay as if for peace.



The Palestinians, their well-meaning friends in the West, and various Israeli governments have played down the above points from the Palestinian Covenant, but they regularly reappear in different forms. Its most recent reincarnation, adapted from the first principle described above, the politicide of Israel, advocates a single state of Palestinians and Israelis together, rather than the so-called "two state solution". Not understanding Palestinian intentions, Israel's decision-making elite have mistakenly viewed the capabilities of the Palestinians as being primarily military. If this were the case, it would have been clear that outgoing Chief of Staff Moshe "Boogie" Yaalon had solved the problem several years ago. But this is not so, and that is why Abbas' visit to the White House became a matter of grave concern for Israel.



President Bush is hoping for a settlement, but it is obvious from his rhetoric that he is working within the Palestinian definition of "peace and justice," or at least, attempting to show some progress within this framework. While the President has called for the end of terror, the possibility of Israeli withdrawal to the 1949 armistice lines has appeared on the agenda, which signals a disturbing new development. At the same time, no Israeli withdrawal, even to the 1949 armistice lines, will ever result in peace with the Palestinians. Listening to the words of the President, it appears that there is a danger that the United States has become a witting or unwitting partner in forcing an armistice for which Israel has to pay as if for peace. The other side has yet to prove by its deeds and words that it is prepared to make peace with an Israel that is alive and not in ruins. By equating Israel's case with that of the Palestinians, President Bush is pushing for movement in a situation which does not guarantee the continuity of both sides.



What could be his motivations? Perhaps there are long-term factors, such as a desire to maintain America's good relations with the Arab world, purchasing favor in the wake of the invasion of Iraq and the presence of U.S. forces there. Similarly, President Bush may wish to placate Western Europe. Separately, the press has reported that Saudi Arabia has been pressuring the United States with the threat that good relations will depend on progress in coming toward the Palestinians. While all of these long-term factors have been known, it appears that from President Bush's choice of rhetoric and the subjects which he avoided on the occasion of the Abbas' visit, the United States may have reached a turning point in policy which, over the long term, may be dangerous and even hostile to Israel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le mercredi 15 juin 2005 - 19h15:

Le peuple Juif doit-il etre un peuple uni ???

J'ai souvent entendu ce genre de commentaires comme Sarel l'expose plus haut. Par des rabbins, par des politiciens et autour d'une table et de maintes discussions. A chaque fois, je demande a la personne qui demande que les Juifs soient unis de nous indiquer autour de quoi les Juifs doivent etre unis et immanquablement, cette personne vous indiquera ses propres idees, qu'elles soient politiques ou religieuses.

Non, je ne pense pas me tromper en disant que si Dieu avait vraiment voulu un peuple uni pour lui confier une mission quelconque, il n'aurait pas choisi les Juifs mais plutot les Allemands ou les Japonais qui pensent plus en ces termes. Je pense au contraire que la force du Juif reside dans cette individualite a outrance qui fera que dans chaque endroit, il y aura toujours un Juif pour contester ce qu'il ne trouvera pas a son gout.

Maintenant pour la polemique entre Sarel et Douda, je dirais que la position de Sarel est on ne peu plus claire et connue : pour lui, il faut etre uni autour de son Judaisme rabbinique qui est un Judaisme d'exil, petit et referme sur lui-meme, interesse uniquement par le rituel et qui n'a absolument rien a voir avec une spiritualite quelconque.

Et en filigrane, on pourrait presque lire dans les commentaires de Sarel que la shoah est arrivee a cause de ceux qui ne pratiquent pas ce Judaisme, ce qui est aussi une position officielle du Judaisme Orthodoxe rabbinique.

Alors, meme si je n'approuve pas les methodes de Douda d'essayer de terroriser les autres intervenants au lieu de dialoguer, je suis plus proche de ses idees que de celles de Sarel qui pense a tort que cette religion sclerosee qu'est devenue le Judaisme soit vraiment le message Divin que Israel doit aujourd'hui apporter au monde.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 juin 2005 - 18h13:

Moshebe, je vous prie relisez ce que Sarel a ecrit. Et si vous le comprenez autrement alors vous confirmez ses dires et les miens qu'il y a dans le monde des milliards de facons de voir et d'exprimer les choses et des milliards de facons de les percevoir. Cela confirme qu'il n'y a pas d'union pas simplement dans le peuple juif mais aussi dans le monde. On Judeo-tunisien on dit
"OUCAN KHOU YEFHEM KHOU HAD MAYEBKI A"ALA BOU"
Si un frere comprend son frere personne ne pleurera son pere)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 juin 2005 - 17h58:

Sarel est très nouveau chez nous dans les commentaires d'harissa. Ce qu'il vient d'ecrire "Point de vue general Le probleme juif "n'est pas loin de la réalité que chacun voit autrement et heureusement pour nous.
Le problème juif a toujours existé et continuera à exister comme dans tout le monde. Etre unis est une utopie. Aujourd'hui qu'une grande partie du peuple se trouve dans une seule place augmente évidemment les opinions et les débat. Tant qu'il y aura des differents opinions et des débats. On peut dire que le peuple est vivant, saint et sauf. Quant aux paroles de Douda:

"Alors pas de ça sur ADRA,,, et si c'est une erreur de langage, mieux vaut présenter des excuses,,, et s'effacer."

Je pense que les idées exposées n'était pas claires pour l'un ou pour l'autre de toute façon ce langage de "s'effacer" est un langage un peu voyoux. Je dirais à Sarel de ne pas prendre ces paroles comme insultes. Douda n'est ni malade ni tordu il pense simplement autrement que les autres puisqu'il est aussi une partie du peuple.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mercredi 15 juin 2005 - 16h15:

Pour Sarel et la Douda.

Sarel.
Je lis vos interventions régulièrement. J'ai remarqué une chose très importante : ce que vous dites, vous le dites avec votre coeur. Et cela est formidable. Il n'y a pas de haine dans vos propos. Vous essayez de nous faire comprendre le fond de votre pensée, peut-être avec trop de passion ! Il est certain que parler du peuple juif est un sujet très épineux et sensible.
Mais, vous savez, Sarel, Israël est là aujourd'hui, et c'est cela qui fait et fera toujours la force du peuple juif.
Moi, qui ne suis pas juive, je crois en Israël.
A la force de son peuple. Il y aura toujours une grande partie de l'humanité pour le dénigrer. A nous de l'aider ce peuple d'Israël.
Dites-vous bien que ceux qui ne cessent de haïr Israël depuis des siècles, ont été et seront, à leur tour rejetés. Car, ce n'est pas dans l'ignorance des autres que l'on obtient la supériorité ...

Douda.

Je comprends votre colère, mais, je ne pense pas que Sarel est voulu vous blesser. Il s'est peut-être mal exprimé. Je suis peinée de cet antagonisme ( provisoire ). Mais, je vous connais pour savoir que demain vous n'y penserez plus ...

Amicalement à tous les deux. Axelle

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Moshébé (Moshébé) le mercredi 15 juin 2005 - 15h31:

Sarel,

Mon modeste niveau intellectuel ne m’a pas permis de comprendre totalement votre dernière intervention.

En autres choses que j’ai réussi à saisir en espérant me tromper, vous dites que l’envoi se six millions d’êtres humains, juifs ou pas, n’est pas un crime contre l’humanité.

De grâce Sarel, rassurez moi et dites moi qu’il est temps pour moi d’aller consulter.

Si comme je l’espère, vous preniez la peine de me confirmer que j’ai mal compris, arguments à l'appui, je vous promets de lire vos prochaines interventions avec toute la curiosité que vous méritez.

Amicalement (pour le moment)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 15 juin 2005 - 13h24:

SAREL merci d'etre avec nous D'accord avec tes
observations.C'est la solution finale du peuple Juif que voulait les allemands et aussi d'autres personnes Tsiganes malades ect.C'est le nazisme de tuer ce qui est difficile à eliminer Mais pour un non Juif c'est l'Humain qui etait agressé en General, pour l'Humaniste lamda pret à defiler avec les extremistes de tout poil au nom des droits de l'Hommisme un etre invertebrer sans nom et sans Histoire pour faire pleurer Margot la petite Etudiante prete à defiler avec tous les etudiants du monde surtout quand ils ont belle gueule en vue d'un monome Humanitaire du grand amour Universel qui finit par des baisers sous les ponts de Paris C'est celle qui chauffe le coeur des grands elans des trop pleins de vitalité printaniere La Douda a assez d'experience pour ne pas tomber aussi dans cette souriciere

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 15 juin 2005 - 17h30:

Sarel,

Vous qui etes, au sens strict, le Seigneur/ l'Emissaire/le Ministre du S.eigneur, vous ne pouvez/devez laisser la Douda vous en imposer.

Il a deja fait le coup a plus d'un/e Harissien/ne.

Ses surnoms favoris sont: l'Eolienne (pour le vent qu'il produit), et la Mouche (ref. la Mouche du coche), moi j'ajouterais aussi: le Soufflet (qui monte aussi vite qu'il tombe) ou encore le Bullfrog (la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf, et qui finalement eclate).

En somme, beaucoup de bruit pour rien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 15 juin 2005 - 16h15:

Monsieur Sarel, je vous conseille de ne pas polemiquer avec notre ami DOUDA.

Le malheureux est un peu fatigué en cemoment; cela dépend de l'équilibre de son humeur et si il prend ou nom du sel de lithium pour son humeur.Rebbi ifaraj ali inchallah.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le mercredi 15 juin 2005 - 09h53:

B jour a tout le monde on
J;ai lu avec attention ce matin l'article de Mr DOUDA
Et il m'a semble que ce Mr est tres fache contre moi a tel point qu'il me conseille de quitter Le ADRA .tout d[abord je ne savais pas que ce forum lui appartenait .E t si c;est oui je m;excuse de ne pas avoir ses idees pour lui plaire .
D;habitude j;aime ecrire ce que je pense sans juger les autres .
Mais cette fois ci on a essaye de me depaindre d;une facon blessante et je n;ai pas d;autre solution que de repondre .{expliquez moi s;il vous plait le mot ou titre ;ftileur;}
Vous avez une facon de commander sans laisser de possibilite a la reponse .Vous etes l'enqueteur 'le 'juge et l'executeur
Vous conaissez comme moi qui se servait et se sert encore de cette
procedure.Alors ayez la patience de lire d;autres idees que les votres
Vous dites que la SHOA est un crime contre l'humanite ,C;est exact en partie
Mais le but initial etait ;il faut en convenir; LA SOLUTION FINALE qu'avait inities les nazis et
proposee a WANNSEE le 20 1 1942 .Est ce que c;etait contre des pays ou uniquement contre les juifs ?Par votre facon de voir vous essayez de vous joindre aux autres minorites qui ont etees massacrees.Mais vous savez exactement que le juif etait l;enjeu principal.Quand Hitler dans ses discours criait ;OU EUX OU NOUS ;il ne pensait pas aux tziganes mais seulement aux juifs
Lisez son testament et vous decouvrirez ce qu;il pensait encore a la derniere minute.
Je connais cette facon de lire l;histoire a l;endroit qui convient .
Mais on ne peut pas nier que tous les actes perpetres contre
;la race juive;etaient toujours intentionnes dans le sens de s;en debarrasser .DE tous temps les religions issues du judaisme ont voulu l;effacer.Ils n;y sont jamais arrives malgre la collaboration
parfois de certains juifs ;pas tellement fiers ou courageux;
Je ne veux pas m;attarder sur tout ce que le peuple juif a endure.
Puisque d;apres vous c;etait contre l;humanite
Mr DOUDA je vous laisse choisir un meilleur argument .
Je vous conseille de lire mon article LE JUDAISME SUR LA SCENE Ne croyez que je suis fache ;loin de la .Vous remarquez que je n;essaye pas de vous definir.’car c;est impoli .
DE toute facon je m;adresserai a Mr halfon pour savoir si je peux
encore me servir du forum
Malgre tout on reste amis j;espere et sur ce je vous adresse un cordial SHALOM sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 15 juin 2005 - 08h48:

Pour ceux qui sont en Israel, rappel de l'exposition de peintures Autour de l'Ecole de Tunis, organisee a Jerusalem, rue Hamaaravim (petite rue dans la rue Agron, situee pres de la librairie francaise Vice-Versa), dans les locaux de l'Association Mondiale des Juifs d'Afrique du Nord, jusqu'au 26 juin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 15 juin 2005 - 08h27:

Sarel a touche du doigt un sujet epineux, douleureux, mais actuel et reel.Il ne faut pas faire l'autruche et essayer de le faire taire.
Le moderateur du site est le seul abilite a lui refuser l'acces du site.